Création de pays : FEDERATION COMMUNISTE LIBERTAIRE D'USTIA
Généralités :
Nom officiel : République Fédérale Communiste Libertaire d'Ustia
Nom courant : RFCLU/Ustia
Gentilé : Ustien(ne)s
Inspirations culturelles : Commune de Paris, Makhnovtchina, FAI/CNT (Guerre d'Espagne de 1936)
Situation géographique :
Langue(s) officielle(s) : Ustien
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Toutes (dialectes+langues nationales+langues mortes)
Drapeau :
Devise officielle : "Anarchistes de tous les pays unnisez-vous!"
Hymne officiel :
Capitale : Vortst
Population : 22 131 144 habitants (185 976km²)
Aperçu du pays :
Présentation du pays :
Avant le XIe siècle :
Le chaos et les luttes tribales étaient la norme là où s'étant actuellement Ustia. En effet, il y avait sur ce territoire environ 80 tribus, seul ceux qui vivaient sur l'île d'Ustinien purent se développer, en découvrant nottament la navigation, l'élevage et la métulargie. Ce développement technologique dût à un isolement des autres tribus et donc une paix permanante leur permit de prendre une avance considérable sur les tribus continentales. Puis, en 946, Vladimir Ramonav devint chef de la tribu des Ustiniens, qu'il renoma Ustiens car il trouvait qu'Ustinien ne faisa pas assez guerrier. Sa grande décision fut de faire construire une grande armada et de traverser la mer pour aller voir ce qu'il y avait de l'autre côté. Il réalisa son projet, et en 954, il accostat sur les côtes nord de Nazum. Très rapidement il se rendit compte de la supériorité de son armée sur celle des tribus qui habitaitsur cette terre, il décida donc de soumettre ses populations. Malheureusement pour lui, il fut tué lors d'une bataille contre les Smarz, une tribu très féroce et combative. A sa mort, les anciens de la tribu nomèrent Youssef Ilitch, un opposant des Ramonav à la tête de la tribu, et sa première décision fut d'abandonner la conquête du continent. Cette décision déplut fortement aux grands officiers qui se sentaient lésés par une telle décision, ils décidèrent donc, sous l'impulsion d'Igor Ramonav, de fomenter un coup dEtat contre les anciens du villages et les Ilitch. Ce coup d'Etat réusssi et Igor Ramonav se proclama roi et devint donc Igor Ier le conquérant. Igor et ses décendants envahirent progressivement l'actuel territoire de la RFCLU et devint le grand royaume d'Ustia. En 1071, pendant le règne de Vladimir VI le pacifiste, les guerres d'expansion prirent fin et commença ainsi une nouvelle êre.
XIIe au XIIe siècle :
Cette période de 2 siècles qui commença sous Vladimir VI le pacificateur fut marqué par une grande prospérité, en effet, hormis quelques conflits avec les royaumes voisins pour un demi-lopin de Terre, une révolte d'esclave qui fut durement réprimé et une tentative de coup d'Etat mené par les Ilitch, le pays connut une grande paix, une extrème stabilité politique et une amélioration technologique et économique. Cependant, à l'est, une menace commançait à se préciser, le royaume de Khardaz. En effet, ce royaume avait, en 1298, envahit la Sptélamie, territoire autonome sous protection d'Ustia. Le roi en place le prit comme une déclaration de guerre et fit lever son armée pour aller défendre son allié. Malheureusement, avant même que l'armée ustienne soit prête, la Sptélamie fut entièrement annexée. Le roi Kirill II prit donc la décision d'entretenir une armée permanante bien plus importante mais il n'alla pas essayer de libérer la Sptélamie, jugeant cette expédition trop risquée. Face à cette inaction, Godric II, le roi de Khardaz, décida de poursuivre ses ambitions expansionistes.
1300 à 1432 :
Cette période appelée "Le Siècle de Fer" fut marquée par une guerre frontalière, meurtrière et destructrice. Cette guerre fut lancé lors de l'invasion d'Ustia par les armées de Godric II en 1300, la première bataille fut, malgré leur sous-nombre, remportée par Ustia. Cependant, le rapport de force tourna rapidement en faveur des Khardaz qui, au bout de 60 ans de guerre avait réussi à con quérir la moitié des terres ustiennes. Pourtant, la situation s'inversa lors de la bataille de Kardan. Cette bataille, la première sur le sol Khardazi, eut lieu suite au débarquement des armées d'Ustia, partis de l'île d'Ustinien, au nord du royaume de Khardaz. Les armées d'Ustia prirent complètement au dépourvu les troupes Khardazi restées dans le royaume et qui furent vaincu à Kardan en 1361. Suite à cette victoire, les troupes ustiennes marchêrent vers Kharinsk, la capitale Khardazienne, qui leur était offerte sur un plateau d'argent. Apprenant cela, Whillhelm, le commandant en chef des armées Khardiziennes rapatria de toute urgence l'entièreté de ses troupes vers Khardaz et vainquit les troupes ustiennes qui avaient pénétrés son territoire. Sauf que pendant ce temps, le gros des armées ustiennes avait suivi les troupes Khardaziennnes et avait réussi à pénétrer profondément leur territoire. De plus, maintenant qu'ils avaient récupérés leurs plus grands ports militaires, les Ustiens possédaient également la possibilité de débarquer au nord de Khardaz à tout moment. La guerre continua encore 70 ans et, en 1431, les armées Khardaz furent décimées à Kaplat, point stratégique de la défense de Kharinsk. Une fois Kaplat tombée, Kharinsk était presque tombée. Les habitants de cette ville tinrent le siège pendant 10 mois puis, en 1432, ils ouvrirent les portes aux ustiens qui avait réussi à vaincre les armées Khardaziennes.
1432 au XIXe siècle :
Après sa victoire, Kirill IV, se proclama empereur et prit le nom de Vsevolod I le conquérant. Commença ainsi l'êre impériale. Cette êre débutta par de nombreuses insurections de Khardaziens qui voulaient regagner leur indépendance. Malheureusement pour eux, les Ramonav tenaient à leur pouvoir et firent stopper ses insurections dans des bains de sang qui servirent d'exemples. A la fin du rêgne de Vsevolod III, le troisième empereur, Kharinsk avait été détruite par le feu car il jugeait que cette ville était un ramassis de brigands et d'insurgés. Son successeur, Igor I est connu comme l'empereur du peuple, il a notament fait reconstruire, aux frais de la couronne, Kharinsk pour y installer le palais du représentant impérial pour les affaires Khardaz. Cet personne, nommée par l'empereur était chargé de gouverner Khardaz en son nom. Igor I reconnut notament l'autorité de la famille von Frenzbourg, ancienne famille de militaires khardaziens pour gouverner Khardaz en son nom. Igor I aurait pû ouvrir l'êre libérale si ses successeurs ne se sentaient pas plus proche des Vsevolod que de lui. En effet, à sa mort, et jusqu'en 1821 se sont succédés des empereurs tyraniques ne reconnaissant pas l'autorité des von Frenzbourg. Cependant, en 1821, après la mort de Nikita IX, Igor II monta sur le trône et, tout comme son homonyme, il rompit avec les codes répressifs de ses prédécesseurs en déléguant la question khardazienne aux von Frenzbourg. Il lança également l'industrialisation de l'empire d'Ustia. Cependant, il ne réussit pas à lancer une industrialisation unforme. En effet, le nord (très proche de la mer, de la capitale et de la marine nationale, en pleine modernisation) c'est fortement industrialisé alors que le sud est resté très agricole.
XIXe siècle :
Ce siècle fut nommée l'êre libérale car, à la suite d'Igor II, les empereurs vont accorder de plus en plus d'autonomie à Khardaz puis à leur propre population, ils vont poursuivre l'industriaisation et créer une armée nationale composée de membres du peuple et plus de nobles et de mercennaires, même si ces derniers vont continuer à exister. Pourtant, un événement va tout faire basculer, en 1899, certains nobles, notables et bourgeois khardaziens vont se réunir pour créer un parti, le Parti Indépendentiste Khardaz (PIK), et écrire un manifeste dans lequel il réclamme "l'indépendance pleine et entière du royaume de Khardaz" et "l'exécution de tous le membres de la famille von Frenzbourg pour trahison au peuple Khardaz et complicité de massacre". Ce manifeste emporte immédiatement une énorme adhésion parmis la population khardazienne qui tente par trois fois de faire sortir de force les von Frenzbourg de leur palis. Ces derniers, dépassés par les évènements font ouvrir le feu sur le peuple et réprimé violemment ces mouvements. Sauf que, de massacre en massacre, la popularité des von Frenzbourg diminue de plus en plus jusqu'à ce qu'une majorité de membres du PIK soient élus à l'Assemblé khardazienne. Cette assemblée fondée par Igor III en 1841 gouvernait au nom du peuple khardazien aux côtés des von Frenzbourg. A ce moment, von Frenzbourg utilisa l'armée et fit fermer l'Assembée. En réaction, Ivan II, l'empereur, démit Herbert von Frenzbourg de ses fonctions et nomma Dimitri Tsarukyan, le président du PIK avec qui il négocia l'indépendance khardazienne. En 1903, Dimitri Tsarukyan et Ivan II signèrent le Traité d'Indépendance de Kardhaz.
XXe siècle :
Ce siècle commença très bien avec la reconnaissance du Tsarat parlementaire du Khardaz mais, très vite la situation tourna au vinaigre. En effet, en 1911, un homme nommé Eugène Varlin arriva à Ustia. Il était citoyen de l'Association des Comités et Conseils de Ravendrecht et qu'il était en train de parcourir le monde pour présenter le mouvement anarchiste au autres pays. Cette idéologie ne fut pas bien accueillie au nord très ouvrier et acquit à l'Empire parlementaire car il les faisait vivre. Cependant, lorsqu'il ariva au sud, il découvrit un monde agricole très différent du sien mais également beaucoup plus républicain et insatisfait que le nord. Très rapidement, au sud du pays se forma un parti communiste libertaire ustien (PCLU) qui obtint un fort soutien dans le millieu agricole. En 1933, au nord, eu lieu l'accident de Garyuz. Garyuz, était une entreprise tenue par des bourgeois de Vortst et qui fabriquaient des armes, par malheur, un jour une caisse d'arme explosa et toute l'usine avec. Il y eut dans tous le pays de grandes commémorations en mémoire des ouvriers tués, pourtant, le peu de compassion des propriétaires de l'usine mit en rage le PCLU mais aussi un autre homme, Sergei Oulianov, qui voulait une révolution, tout comme le PCLU, la fin de la direction des moyens de production par les nobles et les bourgeois, comme le PCLU, et l'instauration d'une dictature du prolétariat, par opposition au PCLU qui voulait l'instauration d'une démocratie horizontale. Très rapidement, le parti impérial quitta le Parlement par manque de soutien et y laissa le parti communiste autoritaire ustien (PCAU) d'Oulianov et le PCLU. Comme les deux partis n'arrivaient pas à une entente sur la forme que devrait prendre le régime qu'ils devaient mettre en place. Ils décidèrent, en 1935, de diviser le pays en deux. Au sud, le PCUL était maître et au nord, c'est le PCAU qui commande. En 1975, le PCAU fut renversé par la population qui ne voulait pas subir un régime autoritaire et Ustia fut réunni en un seul pays, la RFCLU.
Mentalité de la population :
La population est très heureuse des nombreuses libertés qui lui sont accordées. Ustia a par exemple légalisé le mariage pour tous, reconnut la communauté LGBT+, la liberté d'expression est presque totale (presque, car l'apologie du racisme et de la haine sont interdites) et le pluralisme politique. Le droit de grève est assuré par la Constitution. L'immigration est assez importante, car la RFCLU est très accueillante et que les valeurs communistes libertaires plaisent. Ces valeurs sont la socialisation des moyens de production, l'autogestion et la démocratie directe, une économie basée sur les besoins, l'abolition de l’État et des institutions coercitives, la solidarité et l'entraide et l'émancipation individuelle et collective.
Place de la religion dans l'État et la société :
La RFCLU ne reconnaît aucune religion, mais chacun est libre de croire en qui il veut du moment que ça n'entache pas la laïcité.
Politique et institutions :
Institutions politiques :
La RFCLU, comme son nom l'indique est une fédération décentralisée divisée en 60 provinces qui possèdent chacun 1000 représentants au Makhno Soviet, l'Assemblée de la RFCLU. Cette assemblée est chargée de la rédaction et du vote des lois, mais elle n'est pas seule dans ce cas. En effet, le Référendum d'initiative citoyenne (RIC) est en vigueur en Ustia. Cela signifie qu'un texte législatif signé et accepté par 600 personnes est immédiatement soumis à un référendum. En plus de l'Assemblée, il existe un conseil plus restreint et élu par le peuple, mais sous autorité de ce dernier et de l'Assemblée, ce conseil s'appelle le Conseil représentatif d'Ustia. Il a pour charge de représenter Ustia sur la scène extérieure et c'est tout. C'est un peu un gouvernement décoratif. Si le peuple considère que le gouvernement ne le représente plus, il peut le renverser par un vote populaire. Cette mesure est là pour éviter que le Conseil n'ait l'envie d'outrepasser ses fonctions.
En plus du PCLU, il existe d'autres partis :
- le Parti communiste autoritaire ustien (PCAU)
- le Parti communiste démocrate ustien (PCDU)
- le Parti libéral réactionnaire (PLR). Ce parti est libéral dans le sens économique du terme et réactionnaire, car il souhaite revenir sur la socialisation des moyens de production.
- le Parti impérialiste ustien (PIU)
Le PCLU et le PCDU ont formés un coalition qui est actuellemnt majoritaire à l'Assemblée et qui propose une liste commune pour le Conseil
Principaux personnages :
Viktor Vsevolodovich
Co-président du Conseil et membre du PCLU
Madgalina Valerievna
Co-présidente du Conseil, membre du PCDU
Lev Nikitovitch
Membre du Conseil chargé des relations avec le Makhno Soviet, membre du PCDU
Mara Georgievna
Membre du Conseil chargée de l'Education et de la Jeunesse, membre du PCLU
Petr Maximovitch
Membre du Conseil chargé des Finances, membre du PCLU
Madgalina Romanovna
Membre du Conseil chargée de la Défense, membre du PCDU
Lubomir Sergeyevich
Membre du Conseil chargé des Affaires Etrangères, membre du PCDU
Tanya Yevgenievna
Membre du Conseil chargée de la Transition Ecologique, membre du PCLU
Politique internationale :
La RFCLU n'écarte pas la possibilité d'une entente avec la Confédération Socialiste du Nazum, car nous possédons des idées assez proches. Cependant, nous restons idéologiquement plus proches des Quatre Vallées donc nous privilégierons plutôt la création d'une Internationale Communiste Libertaire avec Les Quatre Vallées et la Confédération Socialiste du Nazum.
Nos relations avec Khardaz sont assez froides, car nous partageons une vision du pouvoir très différente, mais nous ne possédons aucune raison d'être en conflit avec eux.