31/01/2018
21:08:24
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Charte

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Charte du Pacte afaréen de sécurité

1. Charte des valeurs afaréennes
1.1. Les valeurs afaréennes sont les valeurs qui unissent tous les peuples du continent afaréen, sans distinction d'ethnie, de religion ou d'idéologie politique. Est membre de droit de ce traité tout Etat dont le territoire souverain et la capitale politique, économique et militaire se trouve sur le continent afaréen, dont la langue officielle est une langue afaréenne, et qui a adopté le texte intégral de cette présente charte dans sa loi nationale.
1.2. Les valeurs afaréennes sont ; (1) l'esprit de l'unité des peuples du continent et de leur indépendance ; (2) le désir de coopération, de concorde et de paix entre les peuples afaréens ; (3) le respect des spécificités nationales et des croyances religieuses de chaque peuple afaréen représenté par son Etat ; (4) le respect du droit universel des peuples à la prospérité, à la tranquillité et à la justice, en Afarée comme ailleurs ; (5) la consécration du droit souverain et inaliénable des peuples à déterminer la forme de leur existence politique ; (6) le rejet de l'impérialisme et du colonialisme ; (7) la décolonisation pleine et entière et la préservation contre les ingérences extérieures de tout le continent afaréen.

2. Principe de non-agression
Les Etats signataires s'engagent à ne pas recourir à des actions militaires hostiles les uns contre les autres et à privilégier la voie du dialogue, de la négociation et du droit pour régler les différends qui existeraient entre eux sur toutes les questions possibles.

3. Principe de solidarité afaréenne en matière diplomatique et de sécurité
Les Etats signataires s'engagent à se porter diplomatiquement et si nécessaire matériellement assistance en cas d'agression par un Etat extérieur.

4. Conseil Afaréen de Sécurité
Les Etats signataires s'associent en une instance de discussion et de prise de décision au sein du Conseil Afaréen de Sécurité. Cette instance doit être le lieu de l'expression des points de vue pour coordonner l'action des Etats signataires, adopter des engagements communs et réviser, s'il y a lieu de le faire, le présent traité. Les coordinateurs du C.A.S. veillent au bon déroulement des débats et à leur concrétisation.
L'exclusion d'un Etat du C.A.S. doit être votée à l'unanimité des autres membres, et ne saurait être que temporaire et conditionnée à des dispositions facilement évaluables.


Signataires

Fédération Centrale et Démocratique d'Antérie
Royaume du Finejouri
Califat constitutionnel d'Azur
République Fédérale de Kéran
Confédération de Qadishapolis
Union des Corporations du Phéniskus
République d'Ouwanlinda
République Ngwèmyènè
République faravanienne
République anterienne côtière d'Ëdango
Île Démocratique d'Anna
République Libre et Démocratique du Gondo
Empire Islamique de Churaynn



[b]Pays :[/b]
[b]Chef de l'Etat :[/b]
[b]Déclaration pour l'Histoire :[/b] (phrase, discours... facultatif)
1855
Pays : Azur
Chef de l'Etat : Son Altesse Sémillante le Khalife, Kubilay al-Marwâni Ibn Sayyid
Déclaration pour l'Histoire :

Allâh le Très Haut a dit : « O Hommes ! Nous vous avons crées d’un mâle et d’une femelle et nous vous avons constitués en peuples et en tribus pour que vous vous connaissiez » (S. XIII, v. 49) ; et c'est de l'Afarée que l'espèce humaine s'est répandue sur la Terre. C'est du Mont Ayrarat que Noah et son Arche se sont dispersés sur le nouveau monde lavé par le Déluge, et sa race a prospéré ; ils ont peuplé toutes les contrées, toutes les îles, et donné à l'Humanité son visage multiple. C'est la volonté d'Allâh que les Hommes s'associent et partagent ; le Prophète, prière et salut d'Allâh soient sur lui, a dit : « la nourriture d’une personne suffit pour deux » ; la coopération n'est pas une idée, c'est un commandement divin. De ces enseignements, nous constatons avec affliction le détournement, à la faveur de l'égoïsme, de la poursuite des buts vains, de la persistance de la guerre, qui ont trouvé à la faveur de la modernité les outils et les méthodes de leur enracinement dans le coeur de l'Homme. Ces tares, impérialistes, colonialistes, et néo-colonialistes, ont ensanglanté entre tous notre continent commun, le berceau de l'Humanité, l'Afarée. La longue liste des victimes de la division de l'Humanité peut s'allonger encore s'ils ne se trouvent pas des Hommes déterminés à l'accourcir, par la patience, le travail, et la fidélité aux impératifs de la foi humaine. C'est cette tâche qu'il nous reste à accomplir. Qu'Allâh le Tout-Puissant supporte nos bras fragiles dans la réunion de nos frères afaréens, et la fondation du cercle de fraternité appelé à nous réunir pour subvenir aux souffrances des peuples. Que le Pacte afaréen de sécurité soit la première pierre d'un réveil spirituel et politique de l'Humanité, pour le rejet des transgressions, la réparation des injustices, et la reconstruction d'une harmonie entre les Hommes. Qu'il soit le coeur battant du plus vieux continent de l'Humanité, celui auquel revient la tâche de se réunir, se réconcilier et s'organiser. Que le Pacte afaréen de sécurité vive, et qu'il témoigne haut de nos objectifs, que nous ne négocierons, n'amenderont, n'écarterons jamais !
Pays : République Férérale de Kéran
Chef de l'Etat : Chancelière Samira QABRAL
Déclaration pour l'Histoire :

Afaréennes, Afaréens,

Imaginez… Imaginez, un jour où l’ensemble des peuples du monde vivront en paix, en harmonie, en prospérité et en égalité.
Aujourd’hui, le monde fragmenté tel que nous le connaissons en est loin. Il y a encore quelques mois, les missiles balistiques zébraient le ciel de nos continents et amenaient dans leur sillage mort et désespoir. De nombreux gouvernements, soi-disant démocratiques, pullulent aux quatre coins de cette planète, apportant de l’instabilité à l’instabilité.
La République Fédérale de Kéran, riche de plus de 2000 ans d'histoire, aspire à être un bastion de la stabilité globale en commençant par celle de son continent, l'Afarée.
Notre Grande Afarée, longtemps piétinée, délaissée, est aujourd’hui plus forte et plus développée qu’elle ne l’a jamais été.

Nous sommes à l’aube d’un jour nouveau.

Un monde où les peuples afaréens unis assureront leur sécurité, leur indépendance et auront une réelle influence sur le cours de l’Histoire moderne.
La ratification du Pacte Afaréen de Sécurité, le PAS, est la première pierre de ce noble édifice. Cette institution naissante se doit d'être le précurseur du monde de demain.

Afaréennes, Afaréens, Kéranaises, Kéranaises, ayez confiance en l’avenir. Le Pacte Afaréen nous accompagnera désormais dans le développement de notre continent et de nos objectifs communs, de la sécurité à l’environnement.

Que vive le Pacte !
1484
Pays : Royaume de Finejouri
Chef de l'Etat : Sa Majesté Louis II
Déclaration pour l'Histoire :

Dignitaires, alliés, frères et sœurs du Pacte Afaréen de Sécurité,

Aujourd’hui, je réaffirme l’attachement indéfectible du Royaume de Finejouri à cette grande alliance qui unit nos nations, nos forces et nos espérances.

Depuis sa fondation, le PAS s’est imposé comme un rempart face aux menaces qui ébranlent nos terres et comme une lumière d’espérance pour ceux qui aspirent à la stabilité, à la justice et à la paix durable. Finejouri, fidèle à ses valeurs héritées des civilisations anciennes et guidée par la mémoire de ses ancêtres, n’a jamais cessé de croire que l’unité des peuples est plus forte que la discorde des armes. Je proclame ici le réengagement ferme de notre Royaume au sein du PAS. Ce réengagement n’est pas une formalité, il est une promesse. Promesse de coopération, promesse de solidarité, promesse d’agir, lorsque la paix est menacée, avec sagesse mais aussi avec détermination.

À nos alliés, je dis, vous trouverez toujours en Finejouri un partenaire loyal, prêt à offrir son aide, que ce soit par la parole diplomatique, par l’appui logistique ou, lorsque la nécessité s’impose, par la puissance de ses forces armées.
À nos adversaires d’hier ou de demain, je dis, notre engagement ne vise pas à diviser ni à conquérir, mais à préserver l’équilibre, à protéger les peuples, et à empêcher que le feu des conflits ne consume nos nations.

Finejouri s’est toujours tenue debout, et c’est en restant fidèle à ses alliances que nous demeurerons maîtres de notre destin. Puisse ce réengagement renforcer notre unité, et puisse le PAS rester à jamais le symbole de la solidarité des nations libres.

Vive le PAS, vive l’amitié des peuples, et vive l'Afarée LIBRE.
92
Pays : République démocratique d'Anterie
Chef de l'Etat : Jakamé idi Akim
Déclaration pour l'Histoire : Arrive...
3469
Pays : Confédération de Qadishapolis
Chef de l'Etat : Rachel Abitbol
Déclaration pour l'Histoire :


Mesdames, Messieurs,

Nous, les Qadishitriotes, avons une responsabilité face à l'Histoire. Pendant longtemps, la ville sainte de Qadishapolis a été le théâtre d'oppression et de déchirement entre les confessions. La Confédération est l'unique forme d’État ayant réussi à faire cohabiter Juifs, Musulmans et Chrétiens de toute confession et origine au sein d'un État indépendant, apportant enfin la paix dans la ville trois fois sainte.
Nous, les Qadishitriotes, avons une responsabilité face à l'Afarée. Nous avons en effet pour ambition de porter cette réussite à l'ensemble du continent qui a été bien trop souvent opprimé et asservi par des puissances impérialistes. Aujourd'hui, ces logiques impérialistes sont encore à l’œuvre alors que les conflits interreligieux sont toujours aussi récurrents sur notre continent. De plus, nous nous sommes trop souvent détournés de notre continent, cela ne doit plus durer.
Nous, les Qadishitriotes, avons enfin une responsabilité face à nous-mêmes. Il est moralement inacceptable de laisser un continent entier, notre continent, s'embourber dans des problèmes indignes de lui. Nous ne pouvons pas déroger aux rêves de nos parents et grands-parents qui, après avoir dépassé leurs différends, ont tiré avantage de la situation particulière de notre État en jurant de tout faire pour garantir la paix entre tous.

Face à ces responsabilités, nous ne pouvons que constater que le meilleur moyen d'assumer ces charges est de rejoindre le Pacte Afaréen de Sécurité. Nous ne pouvons qu'adhérer aux valeurs mises en avant dans la charte des valeurs afaréennes, elles sont identiques aux principes fondamentaux de la Confédération. Il nous est donc impossible de ne pas participer pleinement à la construction du PAS. Toutefois, en tant que fédération multiconfessionnelle protectrice de la ville trois fois sainte, nous avons comme principe premier de ne jamais nous engager matériellement dans quelque sorte de conflit qui ne met pas directement en péril l'existence même de notre Confédération. Ces vœux de non-ingérence sont à la fois vitaux pour notre jeune État mais servent aussi l'intérêt commun, en ne donnant aucune préférence à une confession, même de manière indirecte, permettant alors de préserver le fragile et complexe équilibre entre les fois abrahamiques. Cette neutralité est donc incompatible avec le troisième point portant sur le dit principe de solidarité afaréenne en matière diplomatique et de sécurité.
La Confédération, par mon intermédiaire, tient tout de même à participer à cette aventure qui, nous l'espérons, changera le destin de notre continent. C'est pourquoi j'ai l'honneur et l'émotion de communiquer la signature du Pacte Afaréen par la Confédération de Qadishapolis, en émettant toutefois une réserve inaltérable concernant l'article 3 de ce traité.

Nous proposons par ailleurs la ville d'Eliopolis comme siège du Conseil Afaréen de Sécurité. La ville de Qadishapolis étant interdite, de par son statut sacré, d'héberger des institutions politiques ne la concernant pas exclusivement, nous avons donc choisi la capitale économique et politique du pays pour cette candidature. Nous avons en effet à cœur d'accueillir la plus haute instance du PAS et notre rôle important pour les trois religions majoritaires en Afarée ainsi que notre neutralité doctrinale fait de la Confédération le meilleur hôte possible.

Nous espérons de tout cœur que ce traité ne soit pas un coup dans l'eau et que, bientôt, de nombreuses autres nations nous rejoignent afin de construire ensemble le futur de notre continent. Loin de tout oppresseur, loin de toute récupération impérialiste. Enfin, merci infiniment au Califat d'Azur, au Royaume de Finejouri et à la République démocratique d'Anterie pour cette initiative historique.

Merci à tous pour votre attention, longue vie à la Confédération, ab aeterno usque in aeternum.
Longue vie à l'Afarée, longue vie au Pacte Afaréen de Sécurité. Maneat in secula.
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Pays : Union des Corporations du Phéniskus
Chef de l'Etat : Grand Corporatiste Asten Lethos
Déclaration pour l'Histoire : L'Union des Corporations du Phésikus souhaite depuis l'instauration du Plan de la Grande Ouverture participer aux affaires du monde. Hors, dans les valeurs du Phéniskus, il y a la paix, la prospérité, la justice et l'égalité. Toutes ces valeurs sont défendues par le Pacte afaréen de sécurité.

L'Afarée, un continent dépouillé, humilié par les colons. L'Afarée, une terre vide, pauvre, exclue des organisations internationales et du commerce mondiale. C'est l'Afarée que voit le reste du monde. Mais tous ici savent que ce n'est pas le cas, que ce continent sous-estimé peut s'unir et peser à l'étranger pour montrer au reste du monde ce que valent nos pays.

Une Afarée forte, unie, puissante et prospère. C'est ce dont nous rêvons aujourd'hui. Et ce rêve est loin d'être irréalisable. Le continent à l'origine de l'humanité est près à reprendre sa place en tant que centre du monde.

L'Union des Corporations du Phéniskus est prête à contribuer corps et âme dans le Pacte. Le pays, riche en ressource naturelle est prêt mettre sa richesse au service de la paix et de la prospérité des peuples afaréens.

Pour le pacte, pour l'Afarée et pour la paix !
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République d'Ouwanlinda


Drapeau



Peuple ouwanlindais, levez vous pour la prise de parole de l'Amiral-Président !



Citoyens des quatre ethnies de notre grande nation,

Beaucoup de choses se sont passées, depuis ma dernière prise de parole de la sorte. Et encore une fois, je vous invite à me percevoir comme votre frère davantage que votre chef. Un frère, qui vous encourage, et vous pousse, vous, le peuple ouwanlindais, dans la bonne direction. Des fois je l'admets, ces poussettes sont plus rudes que d'habitude, mais ce n'est pas là une affaire de choix, mais de nécessité.

Ces nécessités, elles se sont multipliées durant ces dernières années. Les impérialistes, ceux que l'on croyaient pour certains hors d'Afarée, les démons blancs, eux oui...Ils sont de retour. Qu'on le veuille ou non. Permettez moi donc de vous détailler la liste de leurs méfaits, car ce sont là une liste exhaustive des défis que l'Afarée devra surmontée, et que l'Ouwanlinda ne pourra pas affronter seul.

Loin d'être achevé, le processus de décolonisation de notre continent n'a jamais pris fin. Hélas, regardez vous même sur la carte de notre monde, et vous pourrez voir la liste des ignominies être toujours plus longue:

J'évoquerais ne premier lieu les colonies des puissances eurysiennes et aleuciennes: Velsna, Caratrad, Empire du Nord, Fortuna... Les reliquats d'une période sombre dont la seule existence nous rappelle au festival des horreurs que ces puissances ont par le passé perpétrées, elles qui s'imaginent garantes du bon droit et de la justice. Quelle blague...vous ne pensez pas comme moi ?

Je parlerai ensuite des nouveaux impérialistes, les monstres qui sont apparus sous une nouvelle forme ces dernières années. Ils agissent différemment, parfois dans l'ombre, comme les fans de zouk sylvois, qui achètent des concessions commerciales, et parasitent les nations. Il y a également le retour, en parallèle, de l'impérialisme sanguinaire, qui a pour but de nous terrifier: les carnavalais et leur soi disant principauté de Cramoisie, bâtie sur des piles de cadavres, des centaines de milliers de morts ! Et pour finir, les tyrans du BNE: Menkelt et Rimaurie, les pires raclures fascistes qui viennent écumer nos côtes, pour aider un allié désespéré qui ne veut point perdre sa dernière colonie. Le G-land !

Tous ces défis, mes frères et mes sœurs, nous ne pourrons les mener seuls. Le repli de la Clovanie, si il est une grande victoire, en partie de notre fait, n'était que le début d'un combat immense, qui nécessitera que l'on y mette nos forces, des forces communes ! A cette fin, il était temps que je vous fasse part de cette annonce.

Nous avons suivi depuis de long mois la gestation du projet du Pacte afaréen de sécurité. Nous savons reconnaître la bonne volonté, nous savons déceler le potentiel. Je sais jauger tout cela, car je l'ai vu dans un rêve, le rêve d'une Afarée unie !

*acclamations*

Mes frères et mes sœurs. Tout n'est pas rose dans cette charte, il est vrai. A titre personnel, je la trouve bien trop peu ambitieuse pour les défis auxquels nous faisons face: le fait qu'il n'y ait pas de volet d'accord militaire à cette charte est une faute grave, car c'est aujourd'hui que nous sommes vulnérables ! C'est aujourd'hui que nous sommes en danger de mort ! C'est aujourd'hui que le BNE, les clovaniens, l'OND, l'ONC et Cramoisie sont sur nos plages ! Et pillent nos ressources, tuent nos enfants et nos frères ! Ce ne sont pas de simples paroles qui les arrêteront, mais des actes. Mais...j'ai décidé de passer outre cette faiblesse de cette charte, et y faire adhérer notre nation, car il faut bien commencer quelque part. Et que c'est mieux de faire un seul pas que de n'en faire aucun, même si nous avons toute la longueur d'un stade à faire. Je vais donc demander à Barnabas de m'amener le docuement devant nous, et je le signerai avec vous, avec votre acclamation ! Barnabas !

*Barnabas surgit de derrière le pupitre avec un document dans les mains, qu'il met à plat devant Ateh Olinga, qui lui prend un stylo des mains.*


"Signez ici, Amiral-Président, la petite case en bas à gauche..."

*Une fois le document signé, Ateh le brandit à la foule en délire*

C'est fait ! Maintenant, allons montrer à ces chiens du BNE, au Grammatika, de quelle façon nous pouvons nous unir, et la force de notre détermination !

Vive l'Ouwanlinda, vive les ouwanlindais et vive l'Afarée libre ! Vive la charte et le Pacte afaréen !



Votre Amiral-Président et votre frère, Ateh Olinga. Président honoraire de l'Alguarena, Triumvir des triumvirs de la Grande République de Velsna, Soleil éternel de la nation, Roi consort de Teyla, Podestat de Léandre, l'Aigle d'Ouwanlinda qui voit au travers des nuages, défenseur des musulmans et des chrétiens d'Afarée, camarade de la victoire afaréenne, vainqueur des clovaniens, président d'Incama-chan, citoyen honoraire de la Sérénissime République d'Achos, Légat honoraire de Rhême.

Drapeau
1488
Armoiries de l'Ipèsīnóngó nguèmiènè (République ngwèmyènè)

Pays : Nguèmiènè
Chef de l'Etat : R'Ali Bóngo Ćamba (ABC)
Déclaration pour l'Histoire : Devant l'Obué, R'Ali Bóngo Ćamba (ou ABC), Oga de Fang-Mvula (et des Fangs) et Omiéningulu (Président) d'Ipèsīnóngó Nguèmiènè (République Ngwèmyènè), va faire son discours devant son peuple et devant tous les pays afaréens, à l'occasion de son entrée dans le PAS (il ne sait pas ce qu'il n’y a PAS, mais bon). Il commence alors à discourir :


« Bon ! Mes frères, mes sœurs, j'ai quelque chose d'important à vous annoncer. En fait, c'est ceci : Ipèsīnóngó Nguèmiènè annonce officiellement son entrée dans le PAS, aux côtés de nombreux pays afaréens. Je suis sûr, mon cher peuple, que vous vous dites au-dedans de vous : c'est quoi ? Y’a qui, qui et qui dedans ? Pourquoi on rentre dans le néant, où il n'y a pas PAS, papa ? Mais rassurez-vous, votre Y'ABC gère tout. Faites-moi confiance, tout va bien se passer. Alors, pour répondre à ces questions, le PAS n'est pas “pas”, mais un Pacte Afaréen de Sécurité. Derrière ces grands mots se cache en vérité une sorte d'organisation régionale qui a pour but de préserver la paix sur le continent, et de préserver une paix par les Afaréens pour les Afaréens ; elle se veut un lieu de rassemblement et de négociation. Il s'y trouve, bien évidemment, Ipèsīnóngó Nguèmiènè, l'Antérie, l'Azur, le Finejouri, l'Empire islamique du Churaynn, la République faravanienne, la République d'Ouwanlinda, l'Île démocratique d'Anna, la République antérienne côtière d'Ëdango, l'Union des Corporations du Phéniskus, la République fédérale de Kéran et la Cité de Qadisha. Et, comme je l'ai dit plus tôt, PAS n'est pas “pas” ni “papa”, mais PAS est un pacte pas peu intéressant, mais plutôt particulièrement pacifiste. Merci. »
727
Pays : République faravanienne
Chef de l'Etat : Monsieur le président de la République Arash Farajpour
Déclaration pour l'Histoire :
Mes chers camarades afaréens, je serais bref.
Par cette signature je souhaite vous faire part d'un vœu. Le vœu qu'enfin que nos valeurs, représentées par l'ordre, la paix et la prospérité soient érigés en modèle sur ce beau continent qu'est l'Afarée. Il a trop souffert et encore aujourd'hui il continue de souffrir des mêmes maux qui l'ont toujours rongé. Guerres fratricides, colonisation brutale et oppression d'autrui. Tout cela n'a que trop duré. Mon vœu est que tout cela cesse, que la communauté afaréenne puisse enfin prospérer comme elle le mérite. Ensemble nous pouvons y arriver, nous avons le pouvoir de faire changer les choses. J'espère du fond de mon cœur qu'on y arrivera, car c'est là notre avenir qui se joue.
Je vous remercie.
96
Pays : République anterienne côtière d'Ëdango
Chef de l'Etat : Lucien Bongou
Déclaration pour l'Histoire : Arrive...
104
Pays : L'Île Démocratique d'Anna (IDA)
Chef de l'Etat :Présidente Eva
Déclaration pour l'Histoire : Bla-bla-bla, où dois je signer?
3233
Pays : République démocratique et libre du Gondo
Chef de l'Etat : président de la République Désiré Flavier-Bolwou
Déclaration pour l'Histoire :

« Chers amis afaréens,

Le Gondo a toujours été engagé pour la liberté et l'unité des peuples afaréens. C'est dans ses gènes même, dès son soulèvement contre les colons eurysiens. Aujourd'hui, nous sommes fiers de ratifier la charte du Pacte afaréen de sécurité, pour contribuer, à vos côté, à donner un cadre légal à l'Afarée. Ce cadre est nécessaire, il est urgent, il est primordial. Pour mettre de l'ordre dans nos relations, entre nous, entre peuples qui partageons tant et avons tant à construire. Pour trouver des solutions de paix. La guerre qui dure, au moins théoriquement, entre le Gondo et l'Ouwanlinda, n'est plus acceptable. Il est grand temps de faire la paix. Aujourd'hui, je tends la main à Ateh Olinga, un grand dirigeant que je sais engagé pour la liberté des peuples. Nous pouvons nous entendre pour la paix. Nous le devons sans plus tarder.

En effet, aujourd'hui la menace est extérieure. La barbarie des Obéron et autres Printempérie l'a montré. Ce qu'ils ont fait au Kabaliens et à la Kabalie doit être dénoncé, et puni. Le monde doit se doter d'un cadre légal pour s'assurer la défense des plus vulnérables face aux marchands de terreur. Et c'est l'Afarée, sous le patronage visionnaire de l'Azur, du Finejouri et de l'Anterie, qui va poser la première pierre ! Oui, vraiment, l'Afarée est la figure de proue du monde. Le Gondo est prêt à s'engager pour que le projet de solidarité continentale continue de se consolider.

Ces dernières années, le PAS et tant d'autres États afaréens ont regardé vers ma pauvre Nation et le drame qui la déchire. Vous nous avez appelé à la paix, et cet appel, nous l'avons entendu. Comme nous avons entendu votre cri pour la fraternité. Je reconnais aujourd'hui des erreurs, dans la célérité de mes réactions en faveur de cette paix. Mais je m'y suis toujours engagé, et j'ai même obtenu un cessez-le-feu, rompu par ceux qui décidément ne veulent pas la paix. Désormais, je me range à votre avis ; la guerre doit prendre fin immédiatement. Je prends aujourd'hui deux engagement solennels devant vous. Le premier : Nous mettrons fin à la guerre civile gondolaise. Le second : je suis prêt à m'asseoir dès aujourd'hui à la table des négociations avec les rebelles qui ne sont pas soumis à la tutelle étrangère.

Si je précise cela, c'est que l'ingérence est à l'œuvre encore aujourd'hui en Afarée, et constitue une forme de néocolonialisme. Nous, Gondolais, retenons les leçons de l'Histoire. Celle de la trahison clovanienne, qui a tenté de faire main basse sur nos ressources et notre secteurs touristique en soudoyant de petits fonctionnaires - que nous jugerons pour leurs crimes de lèse-Afarée. Aussi, attentifs à vos appels de départ des troupes clovaniennes, nous avons renvoyé ces contingents d'où ils venaient, et avons temporairement confisqué les actifs clovaniens au Gondo, le temps de trouver un accord avec ce pays.

Ne nous aveuglons pas. Au Gondo encore, une autre ingérence est à l'œuvre. Ne faisons pas semblant de ne pas la voir. La révolution rouge est financée, soutenue, portée à bout de bras par le Grand Kah. Elle était marginale, voilà qu'elle menace presque de priver les Gondolais de leur droit à l'indépendance, pour qu'ils soient englobés dans une nouvelle Commune, comme ce qui est en train de se passer à Carnavale. Je en parle pas que de capitaux ; le Kah fait la guerre contre nous. C'est un sujet dont le PAS devra se saisir très vite. J'en appelle à votre sens de la responsabilité.

Dès lors que ce groupe précis de rebelles ne seront plus sous le joug d'une puissance étrangère, nous serons prêts à négocier avec eux également. Je redis mon profond attachement à la paix. Nous voulons une paix juste, et nous la voulons maintenant. L'Afarée ainsi pourra aller de l'avant.

Je vous remercie.
»
98
Pays : Empire Islamique de Churaynn
Chef de l'Etat : Sa Majesté, Salahuddin Sayyid
Déclaration pour l'Histoire : [en cours..]
521
Pays : République Actionnariale de CRAMOISIE©
Chef de l'Etat : Son Excellence Monseigneur Bartholoméon de Petipont
Déclaration pour l'Histoire :

La terre appartient aux hommes et les hommes l'occuperont, la transformeront, y vivront en paix et en prospérité. Le continent Afarée, s'il s'en donne les moyens, peut être le bastion de l'harmonie et de la justice pour l'humanité. La RAC© souscrit à toutes les valeurs du PAS et salue l'initiative azuréenne. Portés sur les ailes mécaniques, nous triompherons du passé et de notre condition.

Son Excellence Monseigneur Bartholoméon de Petipont ; quel champion !

Ce qu'en dit la presse :

Une grande avancée pour notre pays et pour le continent afaréen, qui se dote de deux atouts déterminants pour sa souveraineté : l'unité et la technologie. Son Excellence Monseigneur Bartholoméon de Petipont l'a dit : l'un n'est rien sans l'autre et l'autre n'est rien sans l'un. Unité car comme le stipule la charte du PAS signée par CRAMOISIE©, les valeurs afaréennes sont les valeurs qui unissent tous les peuples du continent afaréen, sans distinction d'ethnie, de religion ou d'idéologie politique. Ainsi le PAS correspond-il aux valeurs lucifériennes portées par la RAC© car nous non plus ne reconnaissons ni ethnie, ni religion, ni idéologie politique. L'humain d'abord et avant tout, plénipotentiaire de son existence, communauté de destin avant d'être une communauté de sang, héritera des serres verdoyantes du désert rouge quiconque partagera aux côté de ses habitants l'ardent désir de vivre libre, dans toute sa potentialité.

La RAC© s'engage également contre les ingérences étrangères et tous ceux qui, par viles desseins, tenteraient d'apporter la guerre au sein du continent. La paix n'est pas qu'affaire de bonnes intentions : les Carnavalais le savent, elle se construit dans un appareillage de dissuasion militaire suffisant pour préserver la sécurité de tous. Ainsi la RAC© met elle sur la table la technologie et la science carnavalaise, triomphante et surclassant toutes les autres, pour offrir aux afaréens la sécurité qu'ils méritent. Le parapluie balistique reste toujours d'actualité et la RAC© s'engage à la mettre à disposition des nations signataires du PAS qui en feraient la demande. Le désert rouge devient dès lors le cœur du sanctuaire balistique afaréen, l'épée de Damoclès brandie contre ses ennemis.
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