Sayankov Zakharovich prends son téléphone et decide d'appeler le Le Camarade Ernst Schmid
Sayankov Zakharovich : Bonjour, mon cher, désolé de vous déranger. Je voulais vous proposer de vous escorter, mais, à ce que je vois, ma Anastasia m'a envoyé un bout de rapport assez intéressant où vous prenez un avion pour demain à Angron. Je voulais vous prévenir que je vais venir vous chercher avec mon escorte ; on ira dans mon bureau nouvellement rénové.
[rencontre diplomatique] Copaing ou pas Copaing (V2)
Posté le : 30 sep. 2025 à 14:50:25
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Posté le : 30 sep. 2025 à 17:26:08
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Le camarade Ernst Schmid était dans son avion privé. Il se livrait à une sorte de méditation intellectuelle afin de se préparer à revoir le "barbare" camarade Président du pays de Khorne. Il n’était pas ravi de la décision du gouvernement de l’envoyer dans un pays étranger, et qui plus est, chez l’homme qu’il avait déjà rencontré. Mais il ne rechignerait pas à faire cette rencontre : c’était plus qu’une corvée, c’était un devoir. Le devoir d’un haut diplomate, d’un camarade à la tête de l’État. Il devait montrer le visage de l’Altrecht, même dans un pays de sauvages khornois. Il répondit au téléphone lorsque le pilote annonça qu’ils venaient d’arriver à l’aéroport d’Angron.
Le camarade Ernst Schmid : Oui camarade ? Oui je viens d’arriver... Oui, escortez-moi jusqu’à notre lieu de rencontre. Allez... Faisons comme ça, oui... HummHumm... HummHumm... Oui, votre nouveau bureau rénové... Oui, super...
Le camarade était gêné par l’innocence de ce camarade Président. Évidemment qu’il devait l’escorter. Et bon Dieu ! Qu’est-ce qu’on s’en fiche de son bureau rénové ! Il croit qu’on est potes, ce type ! pensa-t-il. Pendant la conversation téléphonique, il lançait, avec son sourire gêné à son pilote, des signes de détresse, ce qui amusa ce dernier qui voyait la situation d’un œil très grotesque. C’est alors que le camarade haut diplomate descendit de l’avion pour se faire escorter jusqu’à la rencontre.
Posté le : 03 oct. 2025 à 09:21:42
Modifié le : 04 oct. 2025 à 11:27:34
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Une fois les deux personnes les plus importantes réunies, Sayankov Zakharovich conduisit le camarade à travers la capitale. Dans le chemin, on croise tous les BPEE et les églises immenses et magnifiques de l’ancienne Altrecht, modifiées avec une touche rougeâtre et des crânes, bien que réels, décoratifs aux aléas des églises. Des gens en train de se battre à mort "amicalement" sans les gants, les BPEE et les champs agricoles avec des abattoirs de cochons à foison, jusqu’à une place gigantesque faite de jardins avec des chrysanthèmes, d’iris et de coquelicots, suivant des plantations de salak. À son centre, on distingue un immense gratte-ciel vitré sur toute la longueur où l’on peut apercevoir des silhouettes agissant comme des puces à bouger dans tous les sens.

C’est alors que le président de Khorne fait signe au camarade de le suivre : il entra dans un ascenseur secret, caché dans un faux mur à l’arrière du bâtiment, qui monte directement dans un bureau presque invisible sans connaître l’emplacement, étant un trompe-l’œil très bien étudié de l’extérieur. C’est alors que le camarade voit son nouveau bureau, avec plein de boutons et un PC portable étrange dans sa forme comme dans sa couleur rose fuchsia.
Sayankov Zakharovich : Bon, cher camarade, parlons peu, parlons bien.
Sayankov Zakharovich s’avachit contre le bureau, mains entremêlées, coudes sur la table.

C’est alors que le président de Khorne fait signe au camarade de le suivre : il entra dans un ascenseur secret, caché dans un faux mur à l’arrière du bâtiment, qui monte directement dans un bureau presque invisible sans connaître l’emplacement, étant un trompe-l’œil très bien étudié de l’extérieur. C’est alors que le camarade voit son nouveau bureau, avec plein de boutons et un PC portable étrange dans sa forme comme dans sa couleur rose fuchsia.
Sayankov Zakharovich : Bon, cher camarade, parlons peu, parlons bien.
Sayankov Zakharovich s’avachit contre le bureau, mains entremêlées, coudes sur la table.
Posté le : 04 oct. 2025 à 08:38:06
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Le camarade Ernst Schmid : Je viens ici afin de discuter d'accords commerciaux. En effet, notre nation produit énormément de choses diverses et importe énormément de choses diverses. Nous voudrions ainsi établir une base économique forte entre nos deux États. Qu'avez-vous comme produits ou matériaux destinés à l'export ? Nous avons également apporté notre liste pour nous aussi vous faire part de nos surplus et de nos besoins.
Posté le : 04 oct. 2025 à 17:49:18
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Voyant le camarade Ernst Schmid un peu déboussolé et essayant de s’efforcer à garder son sang-froid, le président Sayankov Zakharovich était à la fois intrigué et inquiet
Sayankov Zakharovich : Mon camarade, désolé d’interrompre alors que moi-même j’ai dit « parlons peu, parlons bien », mais vous avez l’air contrarié ? Ou plutôt déstabilisé ? Puis-je en savoir la raison, s’il vous plaît ?
Sayankov Zakharovich attend la réponse du camarade avec attention et un regard perçant
Puis, pour revenir à nos affaires, ce dont on peut exporter en grande quantité est tout ce qui touche le marché autour du sable, du béton, de la verrerie ou encore tout ce qui touche la viande, quelle qu’elle soit, que ce soit des biens matériels comme la viande elle-même ou de la main-d’œuvre en tant que cuisinier ou autre. Après, on a une entreprise minière si vous avez des demandes plus spécifiques au niveau ressources, matériaux, nucléaire ou autre.
Ce dont on a besoin, en termes de produits matériels, ce serait l’étouillage médical, des graines en quantité de certains légumes et plantes où l’on ne détient ni les connaissances ni la matière première. Et en termes de services, ce dont on a besoin, c’est de quelques formateurs pour ce qui touche à la médecine et à l’agriculture.
Le président du pays de Khorne ouvre la mallette rose fuchsia et en sort un dossier qu’il pose sur la table, puis prend une autre feuille toujours dans cette mallette et la tend au camarade Ernst Schmid
Sayankov Zakharovich : Voici le dernier rapport datant d’avant-hier de ce qu’on a en nombre exorbitant et prêt à être vendu à court comme à long terme.
Sayankov Zakharovich : Mon camarade, désolé d’interrompre alors que moi-même j’ai dit « parlons peu, parlons bien », mais vous avez l’air contrarié ? Ou plutôt déstabilisé ? Puis-je en savoir la raison, s’il vous plaît ?
Sayankov Zakharovich attend la réponse du camarade avec attention et un regard perçant
Puis, pour revenir à nos affaires, ce dont on peut exporter en grande quantité est tout ce qui touche le marché autour du sable, du béton, de la verrerie ou encore tout ce qui touche la viande, quelle qu’elle soit, que ce soit des biens matériels comme la viande elle-même ou de la main-d’œuvre en tant que cuisinier ou autre. Après, on a une entreprise minière si vous avez des demandes plus spécifiques au niveau ressources, matériaux, nucléaire ou autre.
Ce dont on a besoin, en termes de produits matériels, ce serait l’étouillage médical, des graines en quantité de certains légumes et plantes où l’on ne détient ni les connaissances ni la matière première. Et en termes de services, ce dont on a besoin, c’est de quelques formateurs pour ce qui touche à la médecine et à l’agriculture.
Le président du pays de Khorne ouvre la mallette rose fuchsia et en sort un dossier qu’il pose sur la table, puis prend une autre feuille toujours dans cette mallette et la tend au camarade Ernst Schmid
Sayankov Zakharovich : Voici le dernier rapport datant d’avant-hier de ce qu’on a en nombre exorbitant et prêt à être vendu à court comme à long terme.
Posté le : 07 oct. 2025 à 13:32:20
Modifié le : 07 oct. 2025 à 13:32:28
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Le camarade Ernst Schmid était concentré dans la conversation, c'était une sorte de protection envers sa mémoire, lui rappelant les églises de Khorne, celles où les gens se boxent pour montrer leur dévotion à Dieu. Le camarade président était vraiment le genre d'homme qui ne devrait pas être au pouvoir. C'était l'idée du camarade Ernst Schmid : il avait désormais une mission ! Débarrasser Khorne de son immonde dirigeant qui empoisonnait la société du pays. Mais avant ça, se dit-il, il partirait en congé maladie avant d'entamer son projet d'arrondissement des bords de la culture barbare khornoise. Mais passons : il était venu le temps de la négociation diplomatique.
Le camarade Ernst Schmid : Camarade, nous avons effectivement une proposition d'importation de vos ressources, voici une liste qui servira d'accord commercial :
Accord commercial Khorno-Altrechtois :
Le camarade Ernst Schmid : Nous souhaitons vous proposer d'acheter 9 477 mitrailleuses lourdes de dixième génération ainsi que 4 555 lance-roquettes de neuvième génération, le tout pour un total de 10 000 unités internationales. Pour le plus tôt possible, même avant les armes légères d'infanterie de onzième génération.
Ernst Schmid était très perplexe quant à la réaction du camarade président. Il comprenait que celui-ci faisait semblant de s'inquiéter pour lui. Mais le seul moyen de guérir ses maux, c'est bien en retournant en Altrecht et en évitant pour le reste de sa vie de voir cet homme.
Le camarade Ernst Schmid : Camarade, nous avons effectivement une proposition d'importation de vos ressources, voici une liste qui servira d'accord commercial :
- 220 000 tonnes de nickel par an.
- 2 500 tonnes de terres rares par an.
- 90 000 tonnes de verre industriel par an.
Le camarade Ernst Schmid : Nous souhaitons vous proposer d'acheter 9 477 mitrailleuses lourdes de dixième génération ainsi que 4 555 lance-roquettes de neuvième génération, le tout pour un total de 10 000 unités internationales. Pour le plus tôt possible, même avant les armes légères d'infanterie de onzième génération.
Ernst Schmid était très perplexe quant à la réaction du camarade président. Il comprenait que celui-ci faisait semblant de s'inquiéter pour lui. Mais le seul moyen de guérir ses maux, c'est bien en retournant en Altrecht et en évitant pour le reste de sa vie de voir cet homme.
Posté le : 13 oct. 2025 à 23:52:35
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Au fait, de la demande du cher camarade Ernst Schmid, Sayankov Zakharovich prit son téléphone et appela Roman Konstantinovich Petrov.
Roman Konstantinovich Petrov : Allô, camarade ! Honneur à vous.
Sayankov Zakharovich : Oui, je voulais t'appeler pour t'informer : prépare en priorité les dix mille armes d'infanterie de onzième génération pour nos soldats, puis mets par la suite en priorité neuf mille quatre cent soixante-dix-sept mitrailleuses lourdes de dixième génération ainsi que quatre mille cinq cent cinquante-cinq lance-roquettes de neuvième génération. Et je veux que, la semaine prochaine, vous officialisiez et envoyiez les ressources à l'exportation selon l'accord commercial "Khorno-Altrechtois" que je te transmettrai ce soir.
On entend Roman Konstantinovich Petrov taper frénétiquement sûrement sur une calculatrice puis réfléchir pendant environ dix secondes.
Roman Konstantinovich Petrov : À la vitesse actuelle des choses, on peut garantir de livrer les armes demandées, il retape frénétiquement dans sa calculette et murmure alors d'après nos avancées actuelles on aura les armes d'infanterie de onzième génération le seize novembre ; pour ce qui est des mitrailleuses lourdes de dixième génération, on les aura pour le vingt-neuf janvier deux mille dix-huit en mobilisant les cinq usines dessus, alors les armes seront prêtes pour le vingt-neuf janvier deux mille dix-huit ; et pour ce qui est des quatre mille cinq cent cinquante-cinq lance-roquettes de neuvième génération, réfléchit en marmonnant dans la barbe et tapant frénétiquement sur sa calculette, pour celles-ci, avec aussi cinq usines dessus, donc le douze janvier deux mille dix-huit.
Il reparle de vive voix. Si l'Altrecht veut recevoir toutes les armes en une fois et que notre situation d'usine militaire n'évolue pas entre-temps, on pourra tout leur livrer dès le vingt-neuf janvier deux mille dix-huit, mais certaines usines sont en construction, ce qui pourrait actuellement accélérer le processus, je pense au vingt janvier tout au plus. Pour quel prix veulent-ils les acheter ?
Sayankov Zakharovich : Ce sera pour dix mille unités internationales, camarade.
Roman Konstantinovich Petrov : Bon, propose-leur, vu que c'est en dessous du prix du marché général. Si possible, envoyez six mille unités qu'on investira, bien évidemment, dans des usines militaires pour essayer de rapprovisionner ces armes avant janvier et qu'ils nous payent le reste une fois la livraison garantie.
Sayankov Zakharovich : Merci, camarade. Je vous laisse, on en rediscute ce soir si vous le voulez bien. Sayankov Zakharovich raccrocha.
Alors, camarade Ernst Schmid, c'est avec plaisir qu'on peut conclure dans un premier temps l'accord commercial et il vous sera livré dans la semaine. Et pour ce qui est des armes, j'ai une proposition à vous faire : à l'heure actuelle, on pourra vous passer les armes le vingt janvier deux mille dix-huit, et mon chef des industries externes m'a proposé de vous demander, vu que ces armes sont vendues en dessous du prix du marché, de nous passer six mille unités internationales, dans lesquelles on fera un contrat stipulant que je suis dans l'obligation d'investir dans des usines militaires pour en prioriser la production pour vos armes ; ainsi on peut déjà prévoir de vous les envoyer avant janvier. Certains de mes projets actuels vont potentiellement bientôt me rapporter gros, donc je pourrais même avancer la livraison avant décembre dans l'optimisme.
Le président de Khorne se lève, met une main sur le cœur et l'autre sur le côté, stature droite et assurée, visage impassible. Je vous promets sur mon honneur et celui de mon pays qu'on vous livrera vos armes dès la fin de leur fabrication et qu'on les poussera à la priorité numéro un.
Roman Konstantinovich Petrov : Allô, camarade ! Honneur à vous.
Sayankov Zakharovich : Oui, je voulais t'appeler pour t'informer : prépare en priorité les dix mille armes d'infanterie de onzième génération pour nos soldats, puis mets par la suite en priorité neuf mille quatre cent soixante-dix-sept mitrailleuses lourdes de dixième génération ainsi que quatre mille cinq cent cinquante-cinq lance-roquettes de neuvième génération. Et je veux que, la semaine prochaine, vous officialisiez et envoyiez les ressources à l'exportation selon l'accord commercial "Khorno-Altrechtois" que je te transmettrai ce soir.
On entend Roman Konstantinovich Petrov taper frénétiquement sûrement sur une calculatrice puis réfléchir pendant environ dix secondes.
Roman Konstantinovich Petrov : À la vitesse actuelle des choses, on peut garantir de livrer les armes demandées, il retape frénétiquement dans sa calculette et murmure alors d'après nos avancées actuelles on aura les armes d'infanterie de onzième génération le seize novembre ; pour ce qui est des mitrailleuses lourdes de dixième génération, on les aura pour le vingt-neuf janvier deux mille dix-huit en mobilisant les cinq usines dessus, alors les armes seront prêtes pour le vingt-neuf janvier deux mille dix-huit ; et pour ce qui est des quatre mille cinq cent cinquante-cinq lance-roquettes de neuvième génération, réfléchit en marmonnant dans la barbe et tapant frénétiquement sur sa calculette, pour celles-ci, avec aussi cinq usines dessus, donc le douze janvier deux mille dix-huit.
Il reparle de vive voix. Si l'Altrecht veut recevoir toutes les armes en une fois et que notre situation d'usine militaire n'évolue pas entre-temps, on pourra tout leur livrer dès le vingt-neuf janvier deux mille dix-huit, mais certaines usines sont en construction, ce qui pourrait actuellement accélérer le processus, je pense au vingt janvier tout au plus. Pour quel prix veulent-ils les acheter ?
Sayankov Zakharovich : Ce sera pour dix mille unités internationales, camarade.
Roman Konstantinovich Petrov : Bon, propose-leur, vu que c'est en dessous du prix du marché général. Si possible, envoyez six mille unités qu'on investira, bien évidemment, dans des usines militaires pour essayer de rapprovisionner ces armes avant janvier et qu'ils nous payent le reste une fois la livraison garantie.
Sayankov Zakharovich : Merci, camarade. Je vous laisse, on en rediscute ce soir si vous le voulez bien. Sayankov Zakharovich raccrocha.
Alors, camarade Ernst Schmid, c'est avec plaisir qu'on peut conclure dans un premier temps l'accord commercial et il vous sera livré dans la semaine. Et pour ce qui est des armes, j'ai une proposition à vous faire : à l'heure actuelle, on pourra vous passer les armes le vingt janvier deux mille dix-huit, et mon chef des industries externes m'a proposé de vous demander, vu que ces armes sont vendues en dessous du prix du marché, de nous passer six mille unités internationales, dans lesquelles on fera un contrat stipulant que je suis dans l'obligation d'investir dans des usines militaires pour en prioriser la production pour vos armes ; ainsi on peut déjà prévoir de vous les envoyer avant janvier. Certains de mes projets actuels vont potentiellement bientôt me rapporter gros, donc je pourrais même avancer la livraison avant décembre dans l'optimisme.
Le président de Khorne se lève, met une main sur le cœur et l'autre sur le côté, stature droite et assurée, visage impassible. Je vous promets sur mon honneur et celui de mon pays qu'on vous livrera vos armes dès la fin de leur fabrication et qu'on les poussera à la priorité numéro un.
Posté le : 15 oct. 2025 à 22:15:56
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Le camarade Ernst Schmid : Camarade, merci du temps auquel vous m’accordez. Je me dois de vous faire part d’un problème. En temps normal, nous aurions accepté de vous faire l’avance des unités internationales pour la commande, cependant la situation très tendue avec la Krestchénie et Teyla nous empêche de nous permettre de tels écarts budgétaires. Nous ne pourrons accéder à cette requête pour l’instant, mais en cas de gros revenu rapide, nous vous enverrons volontiers les 6 000 unités internationales. N’y voyez pas un manque de confiance, nous sommes attachés à ce que nos liens restent des liens de confiance, et si je puis dire maintenant… d’amitié…
Le camarade Ernst Schmid était lui-même estomaqué par les mots qu’il venait de prononcer : amitié…
Le camarade Ernst Schmid : Cependant, croyez bien que nous vous en remercions et que nous ferons de notre possible pour accéder à votre requête. Une missive vous sera envoyée si cette possibilité de vous transférer rapidement les unités internationales se présente.
Maintenant, concernant notre rencontre. J’aimerais que nous parlions d’un sujet quelque peu… intrusif. Nous avons pris connaissance que vous souhaitiez entrer dans l’organisation communiste et socialiste internationale ainsi que dans le LibéralInterne. Ce sont de beaux projets mais… impossibles à réaliser en l’état. Vous avez, sans vouloir vous brusquer ou vous vexer, des méthodes très poignantes et radicales envers votre population, ralentissant cette adhésion. Notamment sur le sujet des enfants par couple, du service militaire quelque peu poussé ou encore de vos prisons quelque peu… trop… strictes. Je ne suis pas ici pour m’imposer comme ancienne puissance ennemie. Je viens par la présente en ami…
Le camarade Ernst Schmid était au bord de l’évanouissement en prononçant encore ce mot : ami…
Le camarade Ernst Schmid : Mais me voilà. Petit par la taille, mais amicalement vertueux. Peut-être que des mesures… au moins de façade… pourraient être envisagées pour, si vous me permettez cette cocasse expression : mettre le cadavre sous le tapis…
Le camarade Ernst Schmid était quelque peu stressé à l’idée qu’il avait de la réaction de son extravagant homologue.
Le camarade Ernst Schmid était lui-même estomaqué par les mots qu’il venait de prononcer : amitié…
Le camarade Ernst Schmid : Cependant, croyez bien que nous vous en remercions et que nous ferons de notre possible pour accéder à votre requête. Une missive vous sera envoyée si cette possibilité de vous transférer rapidement les unités internationales se présente.
Maintenant, concernant notre rencontre. J’aimerais que nous parlions d’un sujet quelque peu… intrusif. Nous avons pris connaissance que vous souhaitiez entrer dans l’organisation communiste et socialiste internationale ainsi que dans le LibéralInterne. Ce sont de beaux projets mais… impossibles à réaliser en l’état. Vous avez, sans vouloir vous brusquer ou vous vexer, des méthodes très poignantes et radicales envers votre population, ralentissant cette adhésion. Notamment sur le sujet des enfants par couple, du service militaire quelque peu poussé ou encore de vos prisons quelque peu… trop… strictes. Je ne suis pas ici pour m’imposer comme ancienne puissance ennemie. Je viens par la présente en ami…
Le camarade Ernst Schmid était au bord de l’évanouissement en prononçant encore ce mot : ami…
Le camarade Ernst Schmid : Mais me voilà. Petit par la taille, mais amicalement vertueux. Peut-être que des mesures… au moins de façade… pourraient être envisagées pour, si vous me permettez cette cocasse expression : mettre le cadavre sous le tapis…
Le camarade Ernst Schmid était quelque peu stressé à l’idée qu’il avait de la réaction de son extravagant homologue.
Posté le : 03 nov. 2025 à 10:48:52
2864
pendant que le camarade Ernst Schmid prononça son monologue, le président Sayankov Zakharovich remarqua, grâce à son expérience et son jugement corporel plus que sophistiqué et pointu comme une confusion, une hypocrisie et surtout des regrets dans les yeux et dans le cœur du camarade ; face à lui, le peu d'humanité qu'ils lui reste veut s'inquiéter, sauf que, tout comme le camarade face à lui doit le savoir, on est ici pas en tant qu'humain mais en représentant de nos pays. On ne doit ni s'inquiéter ni être dans la pitié par respect à notre amitié politique. Même si humainement et personnellement parlant le camarade Ernst Schmid doit être une excellente personne et Sayankov aimerait avoir une relation amicale dans le cadre privé avec cet être qui ressent tant de choses et qui sait tantôt rester proffesionel, cette réaction malgré d'être cachée pique la curiosité du président et son envie d'exploiter des futures réactions.
Sayankov Zakharovich : Écoutez, aussi étonnant que ça puisse paraître, j'envisage de changer quelque règle qui faisait des problèmes au niveau moral et démographique. Écoutez, je vous invite à me rejoindre au parlement jeudi où j'avais convoqué quatre cent vacancier Khornois, faisant de vous la première personne étrangère à y participer. Vous aurez votre droit de discours, de présentation, et ils voteront totalement démocratiquement. Si la majorité n'est pas de plus de soixante-neuf pour cent, alors on pratiquera le protocole "C-5" qui est simplement le fait de faire un référent d'homme pour trancher la décision. Sachez avant tout que j'ai quand même le dernier mot, mais de vous à moi je vous le confie sur mon honneur en tant qu'homme et en tant que président de ce pays qui m'est cher. Je suis pour le changement et certaines règle trop extrême comme l'execution des femmes ou homme qui n'ont pas eu cinq enfant avant quarante ans et encore d'autre lois et taux de mortalité trop haute pour leurs réalisations ; cela nous coûtera certes au début mais cela changera la manière dont mon pays sera perçu. Vous comme moi on y gagne.
Par contre j'aurait deux exigence pour cela : premièrement une recommandation de votre part envers l'alliance après tout le déroulé et une carte blanche où vous aurez la totalité des actions faites et à faire sur la zone de Drala. J'aimerais mener une opération Spécial avec mes agents et si possible avec votre appui, aucun flou, aucune zone d'ombre : vous saurez les mêmes informations que j'aurais et les mêmes plan que j'ai. Par contre, en parlant de ce sujet, j'aimerais vous dire de surveiller vos proches dans le milieu professionnelle je parle, car je soupçonne qu'une partie sois de mèche avec vos ex-pays nazi. Si vous avez besoin de mes hommes pour enquêter ou pour aller sur le terrain pour pas vous faire prendre ou autre, c'est avec plaisir que je vous prêterais mes hommes gratuitement tant que sa a un lien avec les nazi.
Si vous comptez repartir et revenir jeudi, dans ce cas on vous raccompagnera jusqu'à l'aéroport ; mais si vous voulez rester dans le pays, vous devez me le dire maintenant pour que je vous fasse un visa, ça prendra cinq minutes, et je vous prêterai une carte Respovit qui vous permettra de séjourner dans n'importe quel hôtel gratuitement pour le reste. Juste en sortant de la place, vous avez un vieil homme qui apprend à ses enfants le système de bourse actuel et qui fait le change à un taux presque nul, si vous le souhaitez.
Sayankov Zakharovich : Écoutez, aussi étonnant que ça puisse paraître, j'envisage de changer quelque règle qui faisait des problèmes au niveau moral et démographique. Écoutez, je vous invite à me rejoindre au parlement jeudi où j'avais convoqué quatre cent vacancier Khornois, faisant de vous la première personne étrangère à y participer. Vous aurez votre droit de discours, de présentation, et ils voteront totalement démocratiquement. Si la majorité n'est pas de plus de soixante-neuf pour cent, alors on pratiquera le protocole "C-5" qui est simplement le fait de faire un référent d'homme pour trancher la décision. Sachez avant tout que j'ai quand même le dernier mot, mais de vous à moi je vous le confie sur mon honneur en tant qu'homme et en tant que président de ce pays qui m'est cher. Je suis pour le changement et certaines règle trop extrême comme l'execution des femmes ou homme qui n'ont pas eu cinq enfant avant quarante ans et encore d'autre lois et taux de mortalité trop haute pour leurs réalisations ; cela nous coûtera certes au début mais cela changera la manière dont mon pays sera perçu. Vous comme moi on y gagne.
Par contre j'aurait deux exigence pour cela : premièrement une recommandation de votre part envers l'alliance après tout le déroulé et une carte blanche où vous aurez la totalité des actions faites et à faire sur la zone de Drala. J'aimerais mener une opération Spécial avec mes agents et si possible avec votre appui, aucun flou, aucune zone d'ombre : vous saurez les mêmes informations que j'aurais et les mêmes plan que j'ai. Par contre, en parlant de ce sujet, j'aimerais vous dire de surveiller vos proches dans le milieu professionnelle je parle, car je soupçonne qu'une partie sois de mèche avec vos ex-pays nazi. Si vous avez besoin de mes hommes pour enquêter ou pour aller sur le terrain pour pas vous faire prendre ou autre, c'est avec plaisir que je vous prêterais mes hommes gratuitement tant que sa a un lien avec les nazi.
Si vous comptez repartir et revenir jeudi, dans ce cas on vous raccompagnera jusqu'à l'aéroport ; mais si vous voulez rester dans le pays, vous devez me le dire maintenant pour que je vous fasse un visa, ça prendra cinq minutes, et je vous prêterai une carte Respovit qui vous permettra de séjourner dans n'importe quel hôtel gratuitement pour le reste. Juste en sortant de la place, vous avez un vieil homme qui apprend à ses enfants le système de bourse actuel et qui fait le change à un taux presque nul, si vous le souhaitez.
Posté le : 04 nov. 2025 à 08:27:28
2026
Le camarade Ernst Schmid écoutait attentivement le "Président" khornois, démontrant une fois de plus que son pays "totalement démocratique" n'était en fait qu'un faux-semblant, une vulgaire vitrine de magasin où la démocratie était entre ses mains. Mais que faire ? se dit-il. L'invitation au parlement de ce pays pour tenter de changer les choses était une très bonne initiative, un geste pour améliorer les conditions d'une population qui ne se rend plus compte qu'elle est enchaînée. En tant que communaliste et fervent défenseur de la méthode altrechtoise de la révolution par la diplomatie et le pacifisme, il devait saisir cette occasion en or, où la crédibilité de la méthode révolutionnaire de tout l'Altrecht serait ébranlée à l'international. Alors, il accepta...
Le camarade Ernst Schmid : Je vous comprends, cher camarade président. Qui ne souhaiterait pas du changement pour améliorer le bien‑être de sa population ?
Sur un ton légèrement sarcastique.
Le camarade Ernst Schmid : Pour l'opération à Drala, si vous faites une opération, nous ne pouvons simplement que vous regarder, au risque d'envoyer une image de pays affaibli et peureux, de vulgaires fascistes. Nous interviendrons également de notre côté. Ensemble. L'objectif étant de pouvoir contrôler la ville ou, à minima, d'en chasser les fascistes de l'ancien régime altrechtois. Nous sommes donc tout à fait d'accord avec votre proposition. Et pour votre demande de recommandation, nous n'épargnerons pas les moyens afin de pousser à votre pleine intégration dans l'alliance.
Concernant votre proposition d'intervention au sein de votre parlement, nous y voyons une bonne occasion de pouvoir promouvoir "démocratiquement" les idées politiquement acceptables, si vous me permettez ce terme, de la vie citoyenne. Pour ce faire, je vais en effet rester dans votre magnifique capitale et m'y rendre jeudi. Pour la suite des procédures de visas et de votre carte Respovit, je vous laisse m'orienter afin de pouvoir légalement rester sur votre territoire.
Le camarade Ernst Schmid avait envie de vomir en disant qu'il allait rester plusieurs jours de plus dans cette ville et en présence non loin du dictateur président khornois. Alors il suivit simplement la procédure de visa, affichant un grand sourire diplomatique, tout en prévenant de l'avancée de la rencontre sa délégation et aux services diplomatiques altrechtois.
Le camarade Ernst Schmid : Je vous comprends, cher camarade président. Qui ne souhaiterait pas du changement pour améliorer le bien‑être de sa population ?
Sur un ton légèrement sarcastique.
Le camarade Ernst Schmid : Pour l'opération à Drala, si vous faites une opération, nous ne pouvons simplement que vous regarder, au risque d'envoyer une image de pays affaibli et peureux, de vulgaires fascistes. Nous interviendrons également de notre côté. Ensemble. L'objectif étant de pouvoir contrôler la ville ou, à minima, d'en chasser les fascistes de l'ancien régime altrechtois. Nous sommes donc tout à fait d'accord avec votre proposition. Et pour votre demande de recommandation, nous n'épargnerons pas les moyens afin de pousser à votre pleine intégration dans l'alliance.
Concernant votre proposition d'intervention au sein de votre parlement, nous y voyons une bonne occasion de pouvoir promouvoir "démocratiquement" les idées politiquement acceptables, si vous me permettez ce terme, de la vie citoyenne. Pour ce faire, je vais en effet rester dans votre magnifique capitale et m'y rendre jeudi. Pour la suite des procédures de visas et de votre carte Respovit, je vous laisse m'orienter afin de pouvoir légalement rester sur votre territoire.
Le camarade Ernst Schmid avait envie de vomir en disant qu'il allait rester plusieurs jours de plus dans cette ville et en présence non loin du dictateur président khornois. Alors il suivit simplement la procédure de visa, affichant un grand sourire diplomatique, tout en prévenant de l'avancée de la rencontre sa délégation et aux services diplomatiques altrechtois.
Posté le : 06 nov. 2025 à 10:37:41
2055
Sayankov Zakharovich : Bon, si vous souhaitez rester, on vous fait tout ce dont vous avez besoin.
Le président prend son téléphone et appelle la directrice des services internes et externes.
Sayankov Zakharovich : Bonjour ma chère, j’ai besoin que tu me fasses d’urgence un visa et une carte Respovit. Dans cinq minutes, je veux vous voir devant le bâtiment. On vous y attendra, et je vous laisserai accompagner mon invité d’honneur au meilleur hôtel que nous avons. Au revoir et merci.
Le président raccroche sans laisser le temps d’une réponse, pour faire comprendre qu’il faut faire le visa et le Respovit assez rapidement, puis se lève et se dirige vers la porte, tournant à droite et faisant une combinaison assez suspecte, suivie d’une vérification oculaire qui ouvre une « armoire » contenant quelques armes de tout type et une dizaine de montres luxueuses et originales, jamais vues, pour le camarade Ernst Schmid. Le président s’en prend une nouvelle et repose celle qu’il avait au poignet initialement. Il se retourne ensuite vers le camarade et lui propose, d’une voix d’un coup bien plus sèche et sérieuse :
Sayankov Zakharovich : Vous venez ? La voix redevient « normale ». On va descendre et attendre ma camarade. Après, malheureusement, je vais devoir vous laisser avec elle, qui vous accompagnera jusqu’à l’hôtel ou dans d’autres lieux si vous souhaitez visiter ou encore « inspecter » certains endroits, quels qu’ils soient, je vous prie. Vous êtes libre et, de ce fait, vous faites ce que vous voulez.
Les deux personnes descendirent l’ascenseur, où l’armoire se referme en même temps que l’ascenseur. Une fois en bas, une attente de deux minutes est de mise pour voir Anastasia Vladimirovna Sokolova, que le président embrasse tendrement et à qui il dit :
Sayankov Zakharovich : Bon, je vous laisse escorter le monsieur derrière moi.
Le président se décale et remarque les yeux confus d’Anastasia Vladimirovna Sokolova, de son ancien nom connu uniquement par le prédécesseur du président actuel et par son ex… le camarade.
Je dois aller en vitesse à notre base militaire, il y a une urgence intérieure que je dois régler, et j’en profiterai pour faire un peu d’exercice.
Le président se tourne et salue le camarade de retour avec son air lugubre et sec, en partant au loin prendre une voiture suivie de deux autres.
Anastasia Vladimirovna Sokolova : Alors… je ne pensais pas que c’était toi… Ça fait combien de temps ? Trois mois ? Désolée de t’avoir laissé sans aucune nouvelle, aucun indice, quoi que ce soit…
Le président prend son téléphone et appelle la directrice des services internes et externes.
Sayankov Zakharovich : Bonjour ma chère, j’ai besoin que tu me fasses d’urgence un visa et une carte Respovit. Dans cinq minutes, je veux vous voir devant le bâtiment. On vous y attendra, et je vous laisserai accompagner mon invité d’honneur au meilleur hôtel que nous avons. Au revoir et merci.
Le président raccroche sans laisser le temps d’une réponse, pour faire comprendre qu’il faut faire le visa et le Respovit assez rapidement, puis se lève et se dirige vers la porte, tournant à droite et faisant une combinaison assez suspecte, suivie d’une vérification oculaire qui ouvre une « armoire » contenant quelques armes de tout type et une dizaine de montres luxueuses et originales, jamais vues, pour le camarade Ernst Schmid. Le président s’en prend une nouvelle et repose celle qu’il avait au poignet initialement. Il se retourne ensuite vers le camarade et lui propose, d’une voix d’un coup bien plus sèche et sérieuse :
Sayankov Zakharovich : Vous venez ? La voix redevient « normale ». On va descendre et attendre ma camarade. Après, malheureusement, je vais devoir vous laisser avec elle, qui vous accompagnera jusqu’à l’hôtel ou dans d’autres lieux si vous souhaitez visiter ou encore « inspecter » certains endroits, quels qu’ils soient, je vous prie. Vous êtes libre et, de ce fait, vous faites ce que vous voulez.
Les deux personnes descendirent l’ascenseur, où l’armoire se referme en même temps que l’ascenseur. Une fois en bas, une attente de deux minutes est de mise pour voir Anastasia Vladimirovna Sokolova, que le président embrasse tendrement et à qui il dit :
Sayankov Zakharovich : Bon, je vous laisse escorter le monsieur derrière moi.
Le président se décale et remarque les yeux confus d’Anastasia Vladimirovna Sokolova, de son ancien nom connu uniquement par le prédécesseur du président actuel et par son ex… le camarade.
Je dois aller en vitesse à notre base militaire, il y a une urgence intérieure que je dois régler, et j’en profiterai pour faire un peu d’exercice.
Le président se tourne et salue le camarade de retour avec son air lugubre et sec, en partant au loin prendre une voiture suivie de deux autres.
Anastasia Vladimirovna Sokolova : Alors… je ne pensais pas que c’était toi… Ça fait combien de temps ? Trois mois ? Désolée de t’avoir laissé sans aucune nouvelle, aucun indice, quoi que ce soit…
Posté le : 06 nov. 2025 à 14:46:23
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Le camarade Ernst Schmid suivait donc le camarade président de Khorne, voyant enfin une lueur d'espoir dans cette rencontre plus que redoutée par le camarade Ernst Schmid, il commençait déjà à s'imaginer dans un hôtel luxueux, plongé dans une baignoire bien chaude avec un fond de musique altrechtoise, ne pensant déjà plus à cette rencontre. Pendant l'attente dans l'ascenseur, le camarade Ernst Schmid réfléchissait déjà aux phrases poétiques qu'il mettrait dans sa lettre de démission, mais tout à coup, son visage se vida d'émotion positive en voyant la femme que l'enflure de camarade président de Khorne venait d'embrasser. Il était clair qu'il n'aimait pas le camarade président, mais en voyant ceci, il le détestait.
Le camarade Ernst Schmid : Natalia… C'est toi ?! Bon Dieu, qu'est-ce que tu fais ici ?! Et t'es avec ce porc de dictateur ?!
Disant cette phrase après le départ du camarade président.
Le camarade Ernst Schmid : Va falloir m'expliquer, Natalia. Enfin, plutôt Anastasia si j'ai bien compris ? Tu disparais du jour au lendemain et je te retrouve plusieurs mois après dans cette prison à ciel ouvert, dans les bras du pire dictateur d'Eurysie centrale ?! Putain, cette journée de merde…
Laissant un énorme blanc entre les deux personnes.
Le camarade Ernst Schmid : Natalia… C'est toi ?! Bon Dieu, qu'est-ce que tu fais ici ?! Et t'es avec ce porc de dictateur ?!
Disant cette phrase après le départ du camarade président.
Le camarade Ernst Schmid : Va falloir m'expliquer, Natalia. Enfin, plutôt Anastasia si j'ai bien compris ? Tu disparais du jour au lendemain et je te retrouve plusieurs mois après dans cette prison à ciel ouvert, dans les bras du pire dictateur d'Eurysie centrale ?! Putain, cette journée de merde…
Laissant un énorme blanc entre les deux personnes.
Posté le : 14 nov. 2025 à 08:30:37
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Anastasia Vladimirovna Sokolova : Écoute, comme tu peux le savoir, on s’est mis ensemble il y a trois ans, mais la vérité, c’est que je te connaissais déjà un peu… Viens dans la voiture, on va en parler sans que personne puisse nous entendre.
Anastasia Vladimirovna Sokolova se retourne, fait un salut aux hommes armés derrière elle, puis se dirige vers la voiture en compagnie du camarade Ernst Schmid.
Anastasia Vladimirovna Sokolova : Alors, je vais t’expliquer. Dans un premier temps, sache que je suis désolée pour cette disparition, mais surtout pour tous ces mensonges. Mais je me devais de le faire, et je ne regrette absolument rien de tout ça, car ton pays comme le mien ont changé pour le mieux depuis mes actes. Ma mission, donnée par Ervaskov Itrezav, l’ancien président de ce pays, était d’intégrer ton pays, m’habituer à leur système de vie, faire une famille — de préférence sans enfant —, faire des rapports réguliers de ce qui se passait et surtout de trouver un homme assez fort mentalement et assez déterminé pour faire une révolte…
Et je t’ai trouvé, toi. Un jour où j’allais au bar pour me détendre, tu as commencé à me séduire, et j’ai appris à te connaître. Par la suite, je t’ai incité à changer tout ça, tout ce régime, toi qui étais un député un minimum important et qui voyait la haine de ce pays. Mon objectif était de soulager la crainte de mon ancien président : la peur que l’ancien régime soit assez puissant et nous envahisse, ne serait-ce que par pure haine et racisme.
Puis, au moment du vol des informations de la Reichbank, ça a donné un déclic à de nombreuses personnes, dont toi, et je t’ai aidé. Je suis même allée au « front » avec toi. Suite à ça, ma mission était finie, et là, j’avais une décision : soit rester avec toi, quelqu’un de charmant avec qui j’aurais très bien pu finir ma vie, soit retourner rendre service de nouveau à mon pays. Et mon amour pour mon pays était bien au-dessus de celui que j’avais pour toi, et de loin. Je ne pouvais ni t’en parler, ni t’en faire ne serait-ce qu’une illusion de tout cet acte.
Mais sache que je n’avais pour but de te nuire. J’aime ce pays autant que tu aimes le tien.
Arrivant à l’hôtel, Anastasia se gare dans le parking privé de l’hôtel et s’arrête pour voir si le camarade voulait y placer quelques mots avant d’aller à l’intérieur.
Anastasia Vladimirovna Sokolova se retourne, fait un salut aux hommes armés derrière elle, puis se dirige vers la voiture en compagnie du camarade Ernst Schmid.
Anastasia Vladimirovna Sokolova : Alors, je vais t’expliquer. Dans un premier temps, sache que je suis désolée pour cette disparition, mais surtout pour tous ces mensonges. Mais je me devais de le faire, et je ne regrette absolument rien de tout ça, car ton pays comme le mien ont changé pour le mieux depuis mes actes. Ma mission, donnée par Ervaskov Itrezav, l’ancien président de ce pays, était d’intégrer ton pays, m’habituer à leur système de vie, faire une famille — de préférence sans enfant —, faire des rapports réguliers de ce qui se passait et surtout de trouver un homme assez fort mentalement et assez déterminé pour faire une révolte…
Et je t’ai trouvé, toi. Un jour où j’allais au bar pour me détendre, tu as commencé à me séduire, et j’ai appris à te connaître. Par la suite, je t’ai incité à changer tout ça, tout ce régime, toi qui étais un député un minimum important et qui voyait la haine de ce pays. Mon objectif était de soulager la crainte de mon ancien président : la peur que l’ancien régime soit assez puissant et nous envahisse, ne serait-ce que par pure haine et racisme.
Puis, au moment du vol des informations de la Reichbank, ça a donné un déclic à de nombreuses personnes, dont toi, et je t’ai aidé. Je suis même allée au « front » avec toi. Suite à ça, ma mission était finie, et là, j’avais une décision : soit rester avec toi, quelqu’un de charmant avec qui j’aurais très bien pu finir ma vie, soit retourner rendre service de nouveau à mon pays. Et mon amour pour mon pays était bien au-dessus de celui que j’avais pour toi, et de loin. Je ne pouvais ni t’en parler, ni t’en faire ne serait-ce qu’une illusion de tout cet acte.
Mais sache que je n’avais pour but de te nuire. J’aime ce pays autant que tu aimes le tien.
Arrivant à l’hôtel, Anastasia se gare dans le parking privé de l’hôtel et s’arrête pour voir si le camarade voulait y placer quelques mots avant d’aller à l’intérieur.