05/02/2018
04:23:39
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NJ2 biru (terminé)

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Création de pays :république du biru


Généralités :


Nom officiel :république du biru
Nom courant :biru
Gentilé :biruvien/biruvienne

Inspirations culturelles :Pérou (durant le Conflit armé péruvien), Chili et argentine dans les années 1970
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) :espagnole
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : [à remplir]

Drapeau :
Drapeau


Devise officielle :una, grande e independiente(une, grande et indépendante)
Hymne officiel :
Monnaie nationale :le sol

Capitale :Las Lolas

Population : 38 millions d'habitants


Aperçu du pays :



Présentation du pays :
La République du Biru, comme beaucoup de pays latino-paltoterraniens, est une nation issue de la colonisation. Découvert en l'an 1520 par le navigateur Guadamos, Diego Biru, le pays, qui alors était constitué de multiples confédérations indigènes, subit immédiatement les problèmes qu'implique la colonisation eurysienne.

Dans un premier temps, des comptoirs commerciaux sont créés où des chasseurs de baleines s'y installent. Initialement, ces comptoirs maintiennent de bonnes relations avec les natifs. Mais comme au Costa Sueñoleja, la situation se dégrade rapidement. Et quand des dépôts d'or et d'argent sont trouvés dans les terres intérieures, un effort de colonisation débute. Durant cette période, la majorité des tribus indigènes seront tout simplement anéanties.

Avec leur mission "civilisatrice" accomplie, le roi Guadamos décide de créer la Vice-royauté du Biru. Officiellement une colonie du Royaume de Guadaires avec peu d'autonomie, la distance avec la métropole permet au Biruvien de jouir d'un niveau considérable d'autonomie, mais la royauté ne bronche pas. En effet, le territoire pose deux problèmes au roi. Premièrement, la colonie devient une terre propice à tous ceux qui veulent s'opposer à la Couronne. La distance du territoire, ainsi que la mentalité indépendante des colons sur place qui se voient comme l'avant-garde de la civilisation et du progrès en Paltoterra, rendent les décrets d'arrêt difficiles à appliquer si ceux qui sont concernés se sont suffisamment intégrés à la communauté locale. Le deuxième problème est le problème d'évasion fiscale massive qui s'opère dans la colonie, car malgré la proclamation de taxes sur le minage et la vente de ressources naturelles, rares sont ceux qui paient les taxes.

Donc, pour remédier aux problèmes, la Couronne envoie Rodrigo Capitán pour restaurer l'ordre dans la colonie. Une fois sur place, il trouve une administration corrompue et déloyale, dont les moyens en vue de sa mission étaient complètement risibles. L'armée coloniale est désorganisée, démotivée, sous-payée et minée par des problèmes de discipline et de corruption. Le nombre d'administrateurs et de fonctionnaires est bien trop insuffisant, et la portée du gouvernement local ne s'étend que dans les quelques villes majeures de la côte. Et même là, bon nombre de villages et colonies échappent totalement au contrôle du gouvernement colonial.

Alors, il entreprend une série de mesures, faisant face initialement à une population hostile. Rodrigo doit faire appel à l'armée métropolitaine pour venir maintenir l'ordre et faire appliquer les décrets du roi. Mais la population coloniale voit d'un très mauvais œil l'occupation de la colonie par la métropole, et les tensions augmentent. Mais face à l'armée royale, les poches dispersées de résistance ne font pas long feu, ce qui permettra aux réformes dont le biru avait tant besoin de commencer. De nombreux fonctionnaires venus tout droit des Universités Royales sont embauchés, l'armée coloniale est réorganisée et une chasse anti-corruption est lancée contre les collecteurs d'impôts. La hausse d'argent qui parvient au gouvernement colonial permet la construction de routes et d'hôpitaux, financés directement par le gouvernement. La baisse du taux de crimes, le boom économique et le retrait des forces royales apporté par ces mesures valut à Rodrigo une popularité immense auprès du peuple.

Mais en métropole, son opposition à la présence des troupes royales après les réformes, ainsi que son refus de retourner en métropole pour plusieurs événements importants, laissent des doutes quant à sa loyauté. C'est alors que des documents falsifiés verront le jour, ces documents prétendument écrits par Rodrigo et plusieurs de ses assistants le dépeignant comme un traître, un homosexuel et un sataniste (évident pour les gens de l'époque, vu le manque de foi démontré par Rodrigo durant sa carrière). Alarmé par ces découvertes, le roi envoie une force de deux mille hommes et de sept navires pour évincer Rodrigo du pouvoir.

Sachant que la conquête de la colonie serait difficile en raison de l'armée coloniale qui était loyale à Rodrigo, Gabriel Ferrón, chef de l'expédition, tentera de diviser pour mieux régner. Il enverra donc une lettre au responsable de la garnison de Las Lolas, Antonio Peris, pour essayer de le soudoyer et de trahir Rodrigo. Mais étant loyal à celui-ci, il décide d'alerter ce dernier qui, en apprenant la nouvelle de la flotte arrivant pour le déposer, réunira tous ses conseillers et amis pour leur annoncer la nouvelle de sa démission et du sort qui l'attend.

Après une recommandation de fuite par un de ses conseillers qu'il refusera assez rapidement, Antonio proposa de résister. Malgré les hésitations de Rodrigo, l'approbation massive dont elle jouit dans son cabinet, ainsi que le lobbying de sa femme, Rodrigo accepte. L'infériorité technologique de la marine coloniale, conçue pour combattre les pirates venus de l'Océan Carmin,rend impossible un affrontement direct avec les forces de Gabriel. Alors le groupe décide d'utiliser la ruse. Antonio enverra un message à Gabriel pour lui dire qu'il accepte, mais que la présence de troupes royales risque d'agiter la population. Alors Antonio propose que Gabriel positionne les navires près de la côte biruvienne pour à la fois intimider Rodrigo et bombarder toute insurrection contre les troupes royales qui débarqueront plus tard. Gabriel accepta, ne se doutant pas de la ruse.

Dès la nuit tombée, Antonio organise une opération d'arraisonnement pour infiltrer les navires. Antonio enverra un groupe de prostituées biruviennes avec de l'alcool et de la nourriture droguée pour distraire les troupes. Une fois que les gardes de six sur les sept navires seront soit assommés, soit morts du fait du mélange, plusieurs groupes seront envoyés prendre le contrôle de la flottille, tuant tous ceux se trouvant à bord, soit par asphyxie, soit par égorgement. Ayant perdu le contrôle de la quasi-totalité de sa flotte, Gabriel décide de déposer les armes face aux révolutionnaires. Ainsi, lui et ses sept mille hommes débarquent à Las Lolas, non pas comme gagnants triomphaux, mais comme prisonniers de guerre.

Les révolutionnaires, dans l'élan forcent Gabriel à signer, au nom du roi, un traité qui reconnaît le Biru comme un État indépendant. Ainsi, le 30 mai 1768, la République du Biru déclare son indépendance. La monarchie ne répondra pas à ce traité du fait de la guerre civile entre monarchistes et républicains qui éclata en 67. Pour les 7 000 prisonniers de guerre, la plupart choisiront de rentrer auprès de leur famille, mais une petite partie restera au Biru et participera aux expansions territoriales de la Première République.

L'indépendance fut assez bien accueillie par la population coloniale, car même si le drapeau guadamos était utilisé pour représenter la colonie, les colons méprisaient la monarchie et la métropole (un sentiment partagé par la monarchie et la métropole). Le fait que l'indépendance fut acquise en moins de deux jours sans pertes majeures du côté des colons et les nouvelles de la guerre civile ayant éclaté permirent à la société coloniale d'accepter l'indépendance sans conflit. La transition du point de vue étatique fut aussi étonnamment pacifique : les conseillers et les diverses positions de pouvoir furent renommés en ministères. Une loi basique proclamant les droits des citoyens et définissant d'autres périmètres comme le drapeau et son utilisation officielle, l'hymne nationale, le fonctionnement des divers ministères, ainsi que leur responsabilité et comment le Président de la République serait élu, a été publiée, et la République se dota d'un Ministère des Affaires Étrangères. Rodrigo, quant à lui, restera Président de la République pour le restant de sa vie. Sa mort est toujours commémorée aujourd'hui tous les 25 juin.

Les présidences après Rodrigo sont largement considérées comme banales, à part de celles de Francisco Alvarado, Juan Andrés San Martín, Ramón Quesada, Alan Graciani, José Luis Castillero, Abenzio Tarro et Salvador Cortés. Leur présidence est souvent considérée comme centrale dans l'histoire du Biru au 19ᵉ et au début du 20ᵉ siècle

Pour commencer : Francisco Alvarado : Président de la République entre 1812 et 1819, il agrandit considérablement le territoire national, capturant l'Île Sarkel au sud, dans un effort de combat contre la piraterie, et organise une expédition militaire au nord du pays dans le but de trouver des ressources minières. C'est notamment sous sa présidence que le servage à l'encontre des autochtones fut remplacé par une expulsion vers Maximus, leur terre saisie au profit d'immigrants eurysiens venus pour se construire une nouvelle vie.
Juan Andrés San Martín : Président de la République entre 1826 et 1833. Il construit sur le travail d'Alvarado, et sous sa présidence la République obtient ses frontières actuelles. Il établit des relations diplomatiques avec plusieurs pays hispanophones, notamment avec le San Youté qui venait de gagner son indépendance sous une monarchie, mais les politiques anti-autochtones refroidissent les relations diplomatiques. L'événement le plus notable de sa présidence a été la ratification de la nouvelle constitution par le Parlement, créant la Deuxième République (ce nom est d'ailleurs en débat parmi la communauté des historiens, car la nouvelle constitution est en réalité la même que la loi basique, à part le fait qu'elle adopte la séparation entre l'Église et l'État).

Ramón Quesada : La présidence de Ramón Quesada (entre 1861 et 1868) est célèbre pour son instabilité. Sous son égide, huit gouvernements et sept ministres se sont succédé. Il est adoré pour avoir été le Président qui a aidé à l'abolition du vote censitaire. Il essaya de passer plusieurs mesures sociales comme l'abolition du travail des enfants et l'ouverture d'écoles publiques, qui se firent continuellement bloquées par un Parlement largement conservateur.

Alan Graciani : La présidence de Graciani est la plus courte d'entre toutes. Arrivé au pouvoir en décembre 1882, il tente sans succès d'instaurer une monarchie sur le modèle san youtien. Mais face à l'opposition ardente du Parlement, il tente un auto-coup d'État et manque de causer une guerre civile si ce n'est pour l'intervention du public qui manifeste pour la paix et parvient à convaincre l'armée d'abandonner Graciani en janvier 1883.

José Luis Castillero : (Présidence de 1910 à 1920) ayant obtenu le pouvoir grace d'une élection anticipé contre le Président impopulaire Raul Pinto. Castillero est aujourd'hui vénéré par une partie de la population, particulièrement parmi les populations rurales, pour son rôle dans la modernisation du pays, de l'armée et de l'économie (qui inclut l'instauration de l'école publique, l'abolition du travail des enfants et la création d'un Ministère dédié à la lutte contre la corruption). Il instaure aussi la conscription pour trouver des hommes à déployer dans le Nord pour lutter contre la guérilla autochtone qui attaque les colons de la région. Il démissionnera en 1920 pour des raisons de santé.

Abenzio Tarro : Tarro (de 1937 à 1941) Sous sa présidence, un traité de paix fut signé avec les Autochtones qui établirent des zones autonomes dans le nord du pays. Même si la ségrégation reste toujours, il parvient à changer l'hymne nationale et modernise le système routier. Ce qui le rend le plus célèbre cependant, c'est son utilisation de la caméra. Il est estimé que plus de quatre films qui ont tous été dédiés à sa personne ont été réalisés par lui-même. Il sera assassiné lors d'une visite dans une base militaire.

Salvador Cortés : De 1969 à 1976, Salvador Cortés est un Président intrigant. D'un côté, il continue sur la voie de Tarro et abolit la ségrégation anti-autochtone. Il donne le droit de vote aux femmes en 1974 et crée une Garde Civile pour remplacer l'armée lors d'émeutes et d'autres troubles civils. Mais d'un autre, il rétablit la conscription abolie en 1954, légalise les écoles privées et religieuses interdites durant la présidence de Castillero. Il est aussi unique par le fait qu'il fut le premier Président indépendant à arriver au pouvoir et a pu passer toutes ces mesures sans l'appui d'un parti politique qui lui est propre.

En plus de leur statut d'importants leaders, il faut savoir qu'ils sont parmi les derniers Présidents non-controversés avec qui le Biru aura. Cette lignée commence par Juan Manuel Gallo, Président de 1976 à 1980. Il fait fureur parmi les partis conservateurs de la population urbaine. Il tente d'abolir la séparation entre l'Église et l'État et menace plusieurs fois ses opposants politiques, ce qui cause sa destitution. Le prochain est Diego Alejandro Alcocer. Entre 1980 et 1986, il tente de donner plus d'autonomie aux populations indigènes, ce qui cause une mutinerie qui menace de se transformer en coup d'État (il démissionnera au milieu d'un scandale de corruption). Le troisième est Juan Andrés Pinto, qui, entre 1986 et 1993, durcit sa politique contre les autochtones, autorisant la Garde Civile à intervenir dans les zones autonomes et à violenter les autochtones. Le quatrième, de 1993 à 2000, est Hugo Moruga. Sous son mandat, une insurrection indigène éclate, qui sera violemment réprimée par l'armée, ce qui causa tellement de condamnations de la part de l'étranger que son successeur devra retirer l'armée des zones autonomes. Ce même successeur devra démissionner du fait d'un scandale de corruption. Et enfin la cinquième, Selena Zorita. Elle devient Présidente suite à la démission du successeur et a été élue sur une plateforme anti-corruption, mais a été accusée de multiples fois de complicité avec le crime organisé, de corruption et d'absentéisme pour des raisons inexpliquées. Malgré ces accusations, elle a été réélue en 2014.

Avec l'histoire des différents Présidents, de ce qui est arrivé durant leur mandat et de leurs politiques intérieures, le récit est conclu. Il est temps d'attaquer l'éléphant dans la pièce. Vous aurez remarqué qu'à part la Presidente, je n'explique presque rien sur les dynamiques du Biru moderne, de la situation économique, de la géographie ou de ses mouvements insurrectionnels. Donc, au lieu de vous expliquer tout ça dans dix paragraphes, je vais le faire en un (ou deux, on ne sait jamais).

Le Biru est un pays conservateur, particulièrement sur le sujet des autochtones. Ainsi, leur traitement ressemble plus à ce qu'on pourrait voir au début du siècle dernier qu'à autre chose. L'armée grince des dents, enragée par une scène politique qu'elle perçoit comme remplie de politiciens plus corrompus et incapables les uns que les autres. C'est une scène qui, malgré le service loyal de l'armée, refuse de lui donner les ressources nécessaires dans sa mission de protéger la patrie contre les forces noires du communisme. L'économie se porte mal, radicalisant les officiers favorables à une junte et poussant la population dans les mains de partis extrémistes qui utilisent la violence dans ce qui semble être l'impunité la plus totale. Les autochtones, quant à eux, font face à des discriminations et des violences, non seulement de la part de l'État, mais aussi de la population eurydescendante. Ils se voient forcés de rejoindre divers groupes criminels ou insurrectionnels comme le mouvement révolutionnaire armé, groupe d'inspiration communiste qui commet nombre d'attaques terroristes sur les membres de la garde Civil et du gouvernement.. Les élites craignent une montée du communisme et sont opposées à la coalition fragile qui soutient la Présidente. Le Parlement, miné par des accusations de corruption, est incapable de coopérer sur quoi que ce soit, alors même que bon nombre de gens, qu'ils soient des champions de l'extrême droite, des militaires en uniforme ou des admirateurs du Grand Kah, souhaitent renverser la démocratie libérale qui règne en biru.

Géographiquement, le Biru est une terre plate propice à l'agriculture, à l'exception du nord du pays et de l'Île Sarkel, qui sont, à cause de leur sol rocheux et de leur forêt dense, incapables de supporter de larges populations sans aides extérieures.

Mentalité de la population :
Le Biru, comme mentionné précédemment, est un pays profondément conservateur et raciste. L'Église catholane possède une certaine influence sur la population locale, ce qui pousse beaucoup à voter pour des partis conservateurs. Le racisme anti-autochtone est profondément ancré dans l'État et la société, ils sont violentés par la garde Civil et font face à des discriminations sur le marché de l'emploi et du logement, ils sont plus souvent kidnappés et tués, et leurs plaintes sont plus souvent ignorées par la police, ce qui pousse beaucoup d'entre eux dans la voie de la délinquance ou de l'insurrection, voyant l'indépendance d'une confédération autochtone comme le seul moyen d'améliorer leur vie.

Place de la religion dans l'État et la société :
Comme dit précédemment, la majorité des biruvien sont des catholiques pratiquants, y compris la majorité des autochtones, mais avec la montée d'un mouvement indépendantiste, beaucoup optent pour des religions autochtones éteintes ou tout simplement l'athéisme. L'État, quant à elle, est laïque.

Politique et institutions :



Institutions politiques :
Le Biru est une république semi-présidentielle et comme toute république digne de ce nom, elle possède un:
Parlement bicaméral où, pour la chambre basse, un candidat doit obtenir cinq pourcent du vote dans au moins un des neuf districts électoraux pour obtenir un siège. Pour la Chambre haute, un candidat devra obtenir au moins 20 pourcent du vote dans au moins un district électoral.

La Chambre basse de ce parlement détient un contrôle total sur les lois monétaires, y compris sur le budget, et peut valider ou destituer le Premier ministre, mais peut être dissoute par le président. La Chambre haute quant à elle peut destituer le président, ratifier des traités et peut valider ou rejeter les amendements à la Constitution. Ils sont tous les deux élus pour des mandats de quatre ans.

La Cour suprême Biruvienne fonctionne comme toute arme judiciaire de tout gouvernement démocratique fonctionnant (si on peut appeler le Biru une démocratie fonctionnante).

L'exécutif du Biru est normal, les présidents sont élus pour des mandats de sept ans, ils sont en charge d'appliquer la loi et de signer les traités internationaux, et peuvent dissoudre la chambre basse du Parlement s'ils le trouvent nécessaire.

Principaux personnages :
Raúl Zoido

Jorge Rafael Videla
Raúl Zoido, Chef d'état-major de l'armée de la république
Selena Zorita
Dina Boluarter
Selena Zorita, Présidente de la république et du mouvement constitutionnel du peuple

Rafael Japón
Alberto Fujimori
Rafael Japón, Directeur d'Oyster, la plus grande entreprise du pays

Luca Aparicio
Tu sais déjà qui c'est
Luca Aparicio chef du mouvement révolutionaire armé
Óscar Manzanedo
Sergio Mattarella
Óscar Manzanedo, Premier ministre et chef du Parti démocrate-chrétien

Politique internationale :
La politique internationale du Birou est commune à toutes les démocraties libérales : elle désire établir des relations commerciales avec ses voisins et s'impliquer pleinement sur la scène internationale en mettant l'accent sur la neutralité du fait de la présence du grand Kah.


autre détaille:
J'ai probablement pas besoin de le dire, mais les noms de parti dans la chambre haute sont des abrévations
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