13/02/2018
07:47:06
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🏛-Chambre des Prolétaires

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174
Chambres des Prolétaires


Drapeau




C'est ici que les 140 Prolétaires votent les lois. Après avoir déposé une proposition de loi, le prolétaire à l'origine de la démarche s'adresse aux autres prolétaires. 
2024
Discours d'investiture sur la conduite politique du Premier Prolétaire


À Pravlia l'ambiance était tendue. On attendait avec impatience et avec inquiétude le discours de Dovli Pouvok, le nouveau Premier Prolétaire. Il avait été élu il y a quatre jours. Il avait une majorité absolue et il pouvait s'en servir pour faire le bien comme pour faire le mal.

Il resta dans sa loge, relisant son discours qu'il savait être historique. Le stress ne parcourait pas son visage. Seule la détermination était visible. Il se leva et traversa la loge. Il entra dans la Chambre des Prolétaires sous un tonnerre d'applaudissements. 

Il posa ses fiches sur le bureau central, prit une grande inspiration et commença :


"Camarades, Prolétaires, l'heure est venue. Demain, la CSN et le Namarov apporteront un nouveau souffle sur le monde et le socialisme. Le chemin sera long et semé d'embûches, mais nous devons réussir et nous allons réussir. Nous aurons besoin d'un guide que je vous propose d'être, nous aurons besoin d'un plan et d'une carte que je vais vous montrer. 

Tout d'abord, nous devrons repenser nos fondations, celle de la CSN. Nous devons repenser notre défense avec nos frères. Il faut que nos armées s'unissent. C'est pourquoi je propose à vous et aux autres membres de la CSN de créer un commandement suprême qui assurera la défense de nos territoires. Cela serait un premier pas vers une armée communes.

Ensuite, débarrasser le Nazum du Nord des impérialistes corrompus sera notre objectif. Certains ont même l'audace de nous demander des comptes alors qu'ils nous ont opprimés par le passer. Pour cela nous améliorons notre production militaire et civile pour montrer au monde qu'il n'y a qu'une voix qui mène au paradis, le socialisme. Le Nazum du Nord est notre terre, nous n'avons pas à la partager.

Sur le plan national, nous alllons évoluer. Notre économie va se moderniser. Nous continueront assurer la sécurité totale et la liberté des individus, de tous les individus. Tous cela, nous le devons. Au nom des opprimés, des oubliés. De tous ceux que le capitalisme a ignorés. Le monde a assez connu de déboires pour recommencer.

Je vous remercie."



Le calme revint, les tonnerres d'applaudissements s'estompirent. Un des adjoint du Premier Prolétaire debuta le vote, voici les résultats. Cinq minutes plus tard, les résultats furent dévoilés :

OUI : 113 voix (80,7 %)
NON : 27 voix (19,3 %)

Résultat : OUI

La chambre à donc validé cette orientation politique.
1567
Reconnaissance du Parti Légionnaire Khardazien en tant qu'organisation terroriste


Lien vers le RP concerné : ici

La moitié de la journée s'était déjà écoulée quand les prolétaires arrivèrent à la chambre. Les uns après les autres, ils rejoignirent leur siège. Un prolétaire de l'Union des Prolétaires Solidaires, Voul Barsko attendait patiemment au bureau principal. Il regarda rapidement ces notes et regarda les derniers prolétaires s'installer. Le silence se fit. Voul se racla la gorge, attendit quelques instants et commença :

Il y a quelques jours, dans la chaine de montagnes du Saïanvki au Khardaz, Aleksandr Tito chef du Parti Légionnaire Khardazien, a prononcé un discours. Lors de celui-ci, la crapule a osé insulter le Premier Prolétaire et a affirmé vouloir recréer le Grand Khardaz. Cela est intolérable. Alors que nous voulons la paix sous le communisme et la liberté, celui-ci propage la haine. Nous devons endiguer ce mal. Et pour cela, je vous propose plusieurs mesures.

Tout d'abord, et cela est une évidence, il faut reconnaître le parti comme organisation terroriste, car il n'est que cela. Donc, toutes les personnes rentrant en contact de près ou de loin avec cette organisation sont complices et doivent être immédiatement arrêtées. En effet, ces terroristes sont capables de tout et du pire, et pour la sécurité de nos citoyens, nous devons les en empêcher par tous les moyens. Aussi, j'invite personnellement le Tsar du Khardaz à arrêter les personnes membres de ce parti fasciste et à interdire cette organisation qui, en plus de vouloir le renverser, décrédibilise l'image de son pays. 

Je vous remercie



Le calme revint, les tonnerres d'applaudissements s'estompèrent. Un prolétaire procéda au vote. Cinq minutes plus tard, les résultats furent dévoilés :

OUI : 137 voix (97,9 %)
NON : 3 voix (2,1 %)

Résultat : OUI

La chambre à donc validé cette décision.
3120
Démission du Premier Prolétaire et discours d'investiture sur l'orientation politique du nouveau


Le premier prolétaire s'avança vers le bureau central, ces notes entre les mains. La Chambre retint son souffle. Les rumeurs les plus folles circulaient car personne ne savait la nature du discours du Premier Prolétaire. Déclaration de guerre, démission, voir dissolution… le flou était total. Puis Dovli Poukov posa ses feuilles sur le bureau. Il n'eut pas besoin d'attendre le silence, celui-ci était déjà là. Il commença :

"Chers prolétaires,

Si je suis devant vous aujourd'hui, c'est pour prendre une décision historique mais nécessaire. Cela fait quatre mois maintenant que je pense ne plus avoir les capacités de continuer à diriger le pays. En effet, pour le bien de la nation, il est nécessaire que je sois remplacé. Je pensais être à la hauteur de ma tâche, mais celle-ci m'a finalement montré que je n'ai pas les compétences requises.

C'est pourquoi, moi Dovli Poukov Premier Prolétaire du Namarov, engage l'article 30 de la Constitution qui me permet de nommer mon successeur en nommant le Premier ministre Tacksenko Vojone à ce poste. En effet je suis certain qu'il est l'homme parfait pour mener à bien le pays à travers ces eaux troubles. Je vais donc lui laisser la parole dans le cadre de son discours d'investiture."


Ce dernier se présenta sur l'estrade, tous les regards braqués sur lui. Il savait ce qu'il avait à faire et il était prêt. Il prit la place derrière les bureaux et prit la parole :

"Merci.
Chers camarades, oui, ce changement n'est pas anodin et vous étonne peut-être, mais il est clair que cela est justifié et nécessaire. Laissez-moi donc vous présenter mon orientation politique. Ainsi, selon vos votes, je prendrai mes fonctions si celle-ci est acceptée. 

Camarades, comme vous le savez, le Nazum du Nord traverse une période trouble. Et selon moi, l'approche de Dovli Pouvok était certes motivée par de bonnes intentions, mais elle était trop hostile. Nous ne devons pas faire ce que nous combattons, attiser la haine. Dans ce dédale qu'est actuellement le Nazum du Nord, je vous propose une approche plus pacifique. En effet, nous ne devons pas chercher à écraser les impérialistes au risque de le devenir, mais nous devons les faire revenir à la raison dans la paix et le respect.

C'est pourquoi je tiendrai sur le plan international une conduite pacifique basée sur la souveraineté et la solidarité. Pour apaiser les tensions et ramener la paix, il ne faut pas tirer en l'air. Cependant il est évident que les menaces envers les deux principes évoqués ne seront pas tolérées. Je privilégierai la discussion à l'affrontement mais je n'hésiterai pas à assurer la protection de notre pays et ce par tous les moyens. Aussi j'invite l'ensemble des pays du monde à faire de même. 

Vis-à-vis de la CSN et de la nation, je reprends l'idée de Dovli Pouvok. Il faut que nous nous réunissions comme avant. Le projet de commandement suprême est toujours d'actualité. Les récents événements au Morzanov ont montré les failles de notre système et nous nous devons de les réparer, ensemble.

Pour finir et cela est une évidence, sur le plan national, nous devrons continuer à évoluer. Notre économie se modernisera et nous continuerons d'assurer une sécurité totale et la liberté et les droits de tous les citoyens.

Je vous remercie."


Un tonnerre d'applaudissements s'éleva.


Le calme revint, les applaudissements s'estompirent. Un des adjoints du Premier Prolétaire débuta le vote, voici les résultats. Cinq minutes plus tard, les résultats furent dévoilés :

OUI : 110 voix (78,6 %)
NON : 30 voix (21,4 %)

Résultat : OUI

La chambre à donc validé cette orientation politique. Tacksenko Vojone est donc désormais le nouveau Premier Prolétaire.
1525
Participation a la Quatrième guerre civile au Veltava


Le prolétaire Igor Stravinski s'était levé tôt ce matin. En effet, cette nuit, la quatrième guerre civile au Veltava avait commencé : la junte fasciste au pouvoir avait attaqué le pays communiste ainsi que les forces ouanaises et barvyniennes présentes là-bas. La CSN voulait déclarer la guerre, mais le Namarov était très réticent et décida de soumettre l'idée au vote. Mais revenons à Igor. Il s'était fait réveiller à quatre heures du matin par un appel de Tacksenko Vojone, qui lui demandait de préparer le vote sur l'implication ou non du pays dans la guerre. Le prolétaire accepta et se mit au travail. Six heures plus tard, il entra dans la Chambre et s'avança derrière le bureau central, prêt à commencer la présentation. C'est ce qu'il fit :

Camarades Prolétaires,

Aujourd'hui, vous avez été convoqués en urgence pour qu'une décision démocratique qur la potentielle participation a la Quatrième guerre civile au Veltava. Je ne vais pas vous redire le contexe, si vous avez fait votre travail correctement vous le savez.


Cela sera donc un vote spécial. Vous voterez sois oui, sois non comme a chaque fois en fait.
Si vous votez oui, alors vous voulez déclarer la guerre a la junte militaire en soutien au Veltava et aidez militairement les forces de la CSN dans leur offensive.
Si vous votez non, alors vous voulez qu'aucune déclaration de guerre sous exprimer et qu'aucune aide militaire sois déployé.

A vous de choisir, vous avez cinq minutes.



Le calme revint, les applaudissements s'estompirent. Un des adjoints du Premier Prolétaire débuta le vote, voici les résultats. Cinq minutes plus tard, les résultats furent dévoilés :

OUI : 47 voix (33,6 %)
NON : 93 voix (66,4%)

Résultat : Non

La chambre à donc refusé l'implication du pays dans la guerre, le Premier Prolétaire a gagné.
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