18/02/2018
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[ACTUALITÉS] Les Journaux à Péronas

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Différents journaux au sein de Péronas

La liberté de presse étant garantie au sein de Péronas, il existe un grand nombre de journaux à Péronas. Qu'ils soient quotidiens, hebdomadaires, mensuels ou autres, seulement quatre journaux possèdent une réputation à l'échelle nationale.

1. La Gazette de Rore, fondé en 1893

Pilier historique de la presse pérone, La Gazette de Rore couvre l’actualité nationale et internationale avec un ton rigoureux et factuel. Son équipe d’investigation est réputée pour ses dossiers sur la vie politique et les institutions. La Gazette revendique une ligne éditoriale centriste et pro-démocratique, ouverte au débat public et attachée à la transparence.

2. El Horizonte Libre, fondé en 1976

Véritable référence économique, El Horizonte Libre s’adresse aux entrepreneurs, investisseurs et cadres dynamiques. Sa ligne éditoriale libérale et tournée vers les marchés internationaux en fait un acteur influent dans les décisions économiques nationales. Analyses chiffrées, tribunes d’experts et décryptages financiers y tiennent une place centrale.

3. Nación Abierta, fondé en 2010

Hebdomadaire engagé, Nación Abierta donne la parole aux citoyens, aux associations et aux mouvements sociaux. Il est reconnu pour ses enquêtes environnementales, ses reportages sur les réalités rurales et son regard critique sur les grandes politiques nationales. Une voix progressiste, inclusive et constructive.

4. El Vigía Péron, fondé en 2012

Jeune mais redouté, El Vigía Péron s’est imposé comme le quotidien d’investigation de référence. Son équipe publie régulièrement des révélations sur la corruption, les abus de pouvoir et les dérives économiques. Fier de son indépendance, le journal fonctionne sur un modèle d’abonnement et de dons citoyens.
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El Horizonte Libre : Péronas creuse son déficit pour soutenir la croissance

Le ministère de l’Économie et des Finances a dévoilé hier les chiffres officiels du budget 2018 : 1 536 milliards de Francs Péronnais de dépenses pour 1 274 milliards de Francs Péronnais de recettes. Un écart de 262 milliards de Francs Péronnais, soit un déficit de 7 % du PIB, égal à l'année dernière, et ce malgré la hausse des dépenses de 3% et de celle des revenus de 3.5%.

Le gouvernement dirigé par le Premier Ministre Francisco Palomasti assume ce souhait de dépenser plus que le nécessaire. « Il est hors de question de freiner notre économie au moment où nous devons moderniser nos infrastructures, renforcer la sécurité sociale et soutenir nos entreprises », a déclaré le ministre répondant à la question d’un journaliste.

Une grande part des nouvelles dépenses concerne les transports et la modernisation du réseau ferroviaire, avec plus de 200 milliards de Francs Péronnais affectés à un projet de lignes classiques reliant Rore à la côte et aux pôles industriels à proximité. Une autre partie sera utilisée pour la maintenance du réseau actuel ainsi que la mise en conformité des nouveaux systèmes de sécurité visant à rendre le rail de plus en plus sûr. Parallèlement, le gouvernement prévoit 364 milliards de Francs Péronnais pour la santé et la protection sociale, et 246 milliards de Francs Péronnais pour l’éducation et la recherche, confirmant une stratégie de croissance par l’investissement public, en effet, cela constitue une hausse respective de 10 et 7 milliards de Francs Péronnais par rapport à l’année dernière.

Malgré un déficit élevé, le Trésor assure que la dette publique restera soutenable, passant de 55 % à environ 62 % du PIB. La Banque centrale de Péronas se veut rassurante : le pays conserve une monnaie stable avec un taux de change maintenu à 4,5 FP pour 1 USD, et dispose de réserves en devises solides. Cependant, cela se veut en contradiction avec le défi principal fixé par la présidente au cours de son programme de 2016, en effet, Cléa Léanna avait fixé pour objectif de ramener le déficit annuel à 3% du PIB avant l’année 2020. Le budget 2018 a maintenu un déficit égal à celui de l’année dernière, l’État devra se serrer la ceinture au cours des deux prochaines années s’il souhaite se conformer à l’objectif.

Les milieux économiques saluent une stratégie offensive mais s’inquiètent de la dérive possible, « C’est un pari audacieux. Si la croissance n’est pas au rendez-vous, la facture sera lourde pour les générations futures », avertit un influent économiste de Péronas, mais le gouvernement table sur une croissance économique de 5 % pour l’année 2018 grâce aux réformes prévues : simplification fiscale, soutien aux PME, incitations à l’innovation technologique et investissement massif dans les services publics.

Si le gouvernement assure que la dette restera soutenable, plusieurs experts soulignent que son augmentation continue pourrait limiter la capacité d’action future de l’État. Une dette avoisinant 62 % du PIB reste maîtrisable aujourd’hui, mais pourrait devenir plus coûteuse si les taux d’intérêt internationaux remontent ou si la croissance ralentit. À terme, une part trop importante du budget pourrait être consacrée au service de la dette, presque 12 % des dépenses cette année, au détriment d’autres politiques publiques.

Le 03/10/2017, par El Horizonte Libre
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La Gazette de Rore : Comment le système de santé de Péronas devient-il de plus en plus fiable ?

Depuis les années 1990, le système de santé de Péronas est devenu l’une des préoccupations principales des différents gouvernements pré-Sensei et post-Sensei. Historiquement et avant 1993, Péronas ne disposait d’aucune couverture universelle et la majorité du système de santé était cher, peu fiable, et seulement une faible quantité de la population disposait de couvertures privées pour avoir accès aux soins. Il était également très difficile pour les provinciaux de trouver un hôpital à proximité. Dans l’endroit le plus reculé de Péronas, l’hôpital le plus proche se situait à plus d'1h30 de route. Il était donc temps pour le gouvernement de prendre des mesures visant à améliorer cette question.

C’est donc pour cette raison, qu’en 1993, le gouvernement Sensei décida d’une hausse impôts assez importante afin de décréter la couverture universelle à Péronas ainsi que l’investissement massif dans les infrastructures hospitalières. De 1993 à 2003, d’immenses travaux voient le jour à Péronas pour construire pas moins de 50 hôpitaux à travers l’ensemble du pays. Enfin, l’idée d’une couverture universelle est, depuis 1993 acclamée par l’ensemble des citoyens qui peuvent bénéficier d’un remboursement intégral et immédiat de toute factures liées à la santé.

En 2008, après sa nomination, Montel Ricci décida de dépolitiser le système de santé de Péronas à travers la création d’un Institut National d’Étude sur la Santé à Péronas (INESP). L’INESP a été mis en place pour superviser la qualité des différents hôpitaux, évaluer la nécessité d’ouvertures de services et consolider le bon fonctionnement des hôpitaux à Péronas. Depuis sa création, l’INESP effectue une demande budgétaire qui doit être validée par l’État et depuis 2008, toutes les demandes de budgets ont été validées. Cette indépendance vise à renforcer son fonctionnement et à éviter toute tentative de corruption au sein de l’Institut. C’est également pour cela, que le budget de la Santé à Péronas ainsi que toutes les dépenses sont publiques à Péronas sur la plateforme de l’INESP afin de pouvoir suivre avec facilité l’usage de l’argent alloué à la Santé. En cas de crise sanitaire, l’INESP qui est en contact permanent avec le Ministère de la Santé peut proposer différentes mesures et plans d’urgences afin de traiter au mieux la situation. Depuis 2008, cela ne s’est jamais produit.

Le succès d’une médecine de pointe passe aussi par la formation et la qualité du personnel soignant. Péronas valorise dès le plus jeune âge l’importance de la Santé auprès des jeunes étudiants. Il est possible dès la phase de professionnalisation de se former au métier d’aide-soignant, et donc par la suite d’obtenir un poste à partir de 18 ans. Quant au métier d’infirmier, il requiert 2 années d’études au minimum et les plus courageux peuvent aller à 5 ans, leur offrant plus d’opportunités professionnelles. Enfin, pour les plus dévoués, le métier de médecin est accessible à partir de 7 années d’études pour les spécialités les moins sélectives, et peut aller jusqu’à 12 ans pour les spécialités de pointe.

Péronas ne dispose pas seulement d’un grand nombre d’hôpitaux, mais il dispose également de plusieurs Centre Hospitaliers Universitaires permettant aux élèves travaillant dans le domaine de la Santé d’étoffer leurs formations et de passer une grande partie du temps avec de la pratique plutôt qu’avec de la théorie. On en compte pas moins d’une dizaine installés à Péronas

Les conditions salariales à Péronas dans le public sont également très attirantes pour les étudiants, les aides-soignants commencent à 2900 Francs Péronais par mois, les Infirmiers sorti à 2 ans, commencent à 3700, ceux sortis à 5 ans commencent aux alentours de 5000 Francs Péronais par mois, enfin, pour les médecins sortis à 7 ans, cela commence aux alentours de 9500 Francs Péronais par mois, et plus de 20000 Francs Péronais par mois pour les plus courageux qui auront fait 12 ans d’études. Outre le salaire trsè avantageux, il y a également une forte sécurité de l’emploi du fait de la recherche constante de nouveaux profils, et c’est pour cette raison que les filières de médecines sont parmi les filières les plus sélectionnées par les étudiants après le diplôme terminal. Enfin, chaque personnel peut se voir offrir des perspectives d’évolution intéressantes, il n’est pas rare de voir des aides-soignants passer infirmier, ou même des infirmiers se voir offrir des missions de médecins.

L’une des forces du système Péron réside dans la relation équilibrée entre les professionnels de santé et l’État. La majorité des médecins et soignants exercent sous un statut semi-public : ils restent indépendants dans leurs choix médicaux et peuvent organiser librement leur pratique, tout en bénéficiant d’un financement garanti par les budgets publics. Ce modèle hybride sécurise leurs revenus, leur retraite et leurs moyens techniques tout en évitant la lourdeur d’une administration entièrement centralisée.

C’est pour ces raisons que le budget de la santé reste prédominant à Péronas, atteignant 25% des dépenses en 2017, et ce chiffre est en constante augmentation depuis plusieurs décennies. Ces dépenses proviennent principalement de cotisations sociales, d’impôts progressif sur le revenu ainsi que des taxes spécifiques telles que des taxes sur l’alcool ou le tabac. Ces dépenses aggravent clairement le déficit à Péronas, mais il est assumé par le gouvernement et l’INESP qui jugent que la santé reste l’élément où l’État doit le plus investir.

Ces dernières années, la majorité des investissements au sein de Péronas se sont fait dans un but de moderniser ce qui existe déjà et d’innover pour faciliter la prise en charge des patients. En 2013, le dossier médical unique numérique a été lancé afin de faciliter et de simplifier le suivi des patients. Ces données strictement confidentielles peuvent être consultées par n’importe quel personnel soignant durant ses heures de travail. Grâce à ce dossier, il peut retracer toutes les consultations, opérations ou autres effectuées par un patient. De plus, certaines zones encore éloignées, de 45 minutes à 1 heure de route, de médecins sont équipées de centre de téléconsultation grâce à une plateforme publique afin que les médecins puisse examiner un patient à distance et déterminer s’il doit effectuer une consultation en présentiel ou aller à l’hôpital. Ces dispositifs s’implantent également de plus en plus dans les grandes villes afin de désaturer au maximum les médecins et rendre les consultations et téléconsultations plus accessibles qu’autrefois.

Mais on peut se demander si tous ces investissements rapportent les résultats attendus ou si cet argent est jeté par les fenêtres. Des études effectuées depuis 1980 montrent que ces investissement portent leurs fruits, en effet :
  • L’espérance de vie est passée de 67 ans en 1980 à 79 ans en 2015
  • La mortalité infantile a chutée de 36 enfants pour 1000 en 1980 à 7 enfants pour 1000 en 2015
  • Le nombre de médecin pour 1000 habitant est passé de 1.4 en 1980 à 3.9 en 2015
  • Le pourcentage de population ayant accès à un hôpital à moins d’une heure de route est passé de 54% en 1980 à 100% en 2015
  • Le nombre de lit d’hôpital pour 1000 habitant est passé de 2.5 en 1980 à 5.9 en 2015
  • L'accès à la télémédecine est passé de 0% en 1980 à 63% en 2015.

Le 05/10/2017, la Gazette de Rore
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Nación Abierta : Le District de Galinca adopte la semaine de quatre jours

C’est une première historique à Péronas. L’Assemblée districtale de Galinca a voté hier soir, à une large majorité, une loi instituant la semaine de travail de quatre jours, sans baisse de salaire, mais avec une réorganisation des horaires sur ces quatre journées. Cette réforme, portée par les parties de gauche marque une rupture profonde dans un pays habitué à faire du travail l’un de ses piliers économiques.

Le texte prévoit de réduire la durée hebdomadaire de travail de 5 à 4 jours, tout en maintenant la durée légale totale à 38 heures par semaine. Concrètement, les employés travailleront environ 9 heures et 30 minutes par jour, réparties du lundi au jeudi, avec la possibilité d’adapter les horaires pour les secteurs essentiels.

Pour la députée à l’origine du projet : "Il ne s’agit pas d’un cadeau ou d’un caprice. Nous voulons que les Pérons vivent mieux, qu’ils aient du temps pour leur famille, pour eux-mêmes, sans perdre en pouvoir d’achat. Le travail ne doit pas être une punition, mais un équilibre.” Le district de Galinca deviendrait ainsi le premier district de Péronas à expérimenter officiellement une semaine de quatre jours payée cinq, une mesure souvent débattue mais rarement appliquée.

La mesure rencontre un fort soutien populaire dans le district. Selon un sondage réalisé après le vote, près de 68 % des Galinciennes et Galinciens approuvent la réforme voyant en elle une réponse concrète à la fatigue et au stress croissants dans le monde du travail. Mais du côté des entreprises, le ton est bien différent. Une association patronale du district parle d'une loi improvisée et risquée : “Nous comprenons la volonté d’améliorer le bien-être, mais la compétitivité ne s’arrête pas quatre jours sur sept,” déclare son président. “Augmenter la charge quotidienne et réduire les jours de production, c’est déséquilibrer nos chaînes logistiques et faire fuir les investisseurs.”, assure un autre membre.

À Rore, la nouvelle a immédiatement animé les débats politiques. Le gouvernement a par ailleurs publié un communiqué pour réagir à cette mesure :

Ministère du Travail a écrit :Le Gouvernement prend acte du vote de l’Assemblée districtale de Galinca instaurant, à titre expérimental, la semaine de quatre jours sans baisse de rémunération.

S’il salue l’esprit d’innovation sociale à l’origine de cette initiative, le Gouvernement rappelle que toute réforme du temps de travail doit préserver la compétitivité nationale et la stabilité économique.

Le ministère du Travail assurera un suivi attentif des effets de cette expérimentation, dont les résultats seront évalués avant toute extension ou interruption éventuelle.

Les partis de gauche modérée applaudissent une avancée humaine et sociale majeure, tandis que la droite libérale dénonce une dérive populiste irresponsable. Certains économistes voient eux, dans cette initiative un test politique déguisé, destiné à évaluer la réaction de l’opinion avant d’envisager un débat national sur la réduction du temps de travail.

La loi entrera en vigueur à partir du 1er janvier 2018, pour une période d’essai de 18 mois. Durant cette période, les entreprises du district devront transmettre chaque trimestre leurs indicateurs de productivité, d’absentéisme et de bien-être au travail à un Comité d’Évaluation Sociale nouvellement créé. Si les résultats sont jugés positifs, la mesure pourrait être reconduite, voire élargie à d’autres districts ou même prise à l'échelle nationale.
Les partisans du texte assurent que les bénéfices dépasseront les risques mais pour ses détracteurs, cette réforme reste un pari risqué dans un pays qui se bat encore pour réduire son déficit et attirer les capitaux étrangers. La semaine de quatre jours pourrait devenir un symbole d’audace sociale ou le rappel brutal que, dans une économie compétitive, les bonnes intentions ont parfois un prix.
Nación Abierta,
le 17 octobre 2017
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Édition du 19 novembre 2017

La Gazette de Rore : Incident mineur dans le métro de Rore : trafic interrompu une heure

Une panne d’alimentation survenue hier matin sur la ligne 3 du métro de Rore a provoqué l’immobilisation de plusieurs rames en pleine heure de pointe. Aucun blessé n’est à déplorer, mais près de 60 000 voyageurs ont été impactés. Selon l'entreprise, “l’incident est lié à un dysfonctionnement de caténaire” et la remise en service complète du réseau a eu lieu à 09h45. Une enquête interne est en cours pour déterminer les causes exactes.

El Vigía Péron : Des milliers de logements publics vides à Rore : un paradoxe social en plein cœur de la capitale

Une enquête menée par El Vigía Péron révèle que plus de 8 000 logements publics construits entre 2010 et 2016 dans la capitale sont toujours inoccupés, faute de procédures administratives achevées. Certains immeubles, flambant neufs, n’ont jamais été raccordés aux réseaux d’eau ou d’électricité. Pendant ce temps, la municipalité dénombre près de 12 000 demandes urgentes de logement social.

Nación Abierta : Manifestation dans le districts Galinca contre un projet de mine de lithium

Près de 1 200 personnes ont défilé hier dans les rues du district de Galinca pour protester contre l’ouverture d’un nouveau site d’extraction de lithium près du village de Torrena. Les habitants craignent une pollution des nappes phréatiques et dénoncent un manque de concertation. L’entreprise promet “une exploitation propre et contrôlée”, mais les associations locales demandent la suspension du projet en attendant une étude d’impact indépendante.

El Horizonte Libre : Hausse inattendue des exportations agricoles : +3,8 % sur un an

Le ministère de l’Économie a publié mardi des chiffres supérieurs aux prévisions, indiquant une reprise des exportations agricoles péronaises, portée par le maïs et le café de la région d’Abruste. Les analystes y voient un signe de stabilisation après deux trimestres de recul.
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