03/10/2017
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[ACTUALITÉS] Les Journaux à Péronas

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Différents journaux au sein de Péronas

La liberté de presse étant garantie au sein de Péronas, il existe un grand nombre de journaux à Péronas. Qu'ils soient quotidiens, hebdomadaires, mensuels ou autres, seulement quatre journaux possèdent une réputation à l'échelle nationale.

1. La Gazette de Rore, fondé en 1893

Pilier historique de la presse pérone, La Gazette de Rore couvre l’actualité nationale et internationale avec un ton rigoureux et factuel. Son équipe d’investigation est réputée pour ses dossiers sur la vie politique et les institutions. La Gazette revendique une ligne éditoriale centriste et pro-démocratique, ouverte au débat public et attachée à la transparence.

2. El Horizonte Libre, fondé en 1976

Véritable référence économique, El Horizonte Libre s’adresse aux entrepreneurs, investisseurs et cadres dynamiques. Sa ligne éditoriale libérale et tournée vers les marchés internationaux en fait un acteur influent dans les décisions économiques nationales. Analyses chiffrées, tribunes d’experts et décryptages financiers y tiennent une place centrale.

3. Nación Abierta, fondé en 2010

Hebdomadaire engagé, Nación Abierta donne la parole aux citoyens, aux associations et aux mouvements sociaux. Il est reconnu pour ses enquêtes environnementales, ses reportages sur les réalités rurales et son regard critique sur les grandes politiques nationales. Une voix progressiste, inclusive et constructive.

4. El Vigía Péron, fondé en 2012

Jeune mais redouté, El Vigía Péron s’est imposé comme le quotidien d’investigation de référence. Son équipe publie régulièrement des révélations sur la corruption, les abus de pouvoir et les dérives économiques. Fier de son indépendance, le journal fonctionne sur un modèle d’abonnement et de dons citoyens.
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El Horizonte Libre : Péronas creuse son déficit pour soutenir la croissance

Le ministère de l’Économie et des Finances a dévoilé hier les chiffres officiels du budget 2018 : 1 536 milliards de Francs Péronnais de dépenses pour 1 274 milliards de Francs Péronnais de recettes. Un écart de 262 milliards de Francs Péronnais, soit un déficit de 7 % du PIB, égal à l'année dernière, et ce malgré la hausse des dépenses de 3% et de celle des revenus de 3.5%.

Le gouvernement dirigé par le Premier Ministre Francisco Palomasti assume ce souhait de dépenser plus que le nécessaire. « Il est hors de question de freiner notre économie au moment où nous devons moderniser nos infrastructures, renforcer la sécurité sociale et soutenir nos entreprises », a déclaré le ministre répondant à la question d’un journaliste.

Une grande part des nouvelles dépenses concerne les transports et la modernisation du réseau ferroviaire, avec plus de 200 milliards de Francs Péronnais affectés à un projet de lignes classiques reliant Rore à la côte et aux pôles industriels à proximité. Une autre partie sera utilisée pour la maintenance du réseau actuel ainsi que la mise en conformité des nouveaux systèmes de sécurité visant à rendre le rail de plus en plus sûr. Parallèlement, le gouvernement prévoit 364 milliards de Francs Péronnais pour la santé et la protection sociale, et 246 milliards de Francs Péronnais pour l’éducation et la recherche, confirmant une stratégie de croissance par l’investissement public, en effet, cela constitue une hausse respective de 10 et 7 milliards de Francs Péronnais par rapport à l’année dernière.

Malgré un déficit élevé, le Trésor assure que la dette publique restera soutenable, passant de 55 % à environ 62 % du PIB. La Banque centrale de Péronas se veut rassurante : le pays conserve une monnaie stable avec un taux de change maintenu à 4,5 FP pour 1 USD, et dispose de réserves en devises solides. Cependant, cela se veut en contradiction avec le défi principal fixé par la présidente au cours de son programme de 2016, en effet, Cléa Léanna avait fixé pour objectif de ramener le déficit annuel à 3% du PIB avant l’année 2020. Le budget 2018 a maintenu un déficit égal à celui de l’année dernière, l’État devra se serrer la ceinture au cours des deux prochaines années s’il souhaite se conformer à l’objectif.

Les milieux économiques saluent une stratégie offensive mais s’inquiètent de la dérive possible, « C’est un pari audacieux. Si la croissance n’est pas au rendez-vous, la facture sera lourde pour les générations futures », avertit un influent économiste de Péronas, mais le gouvernement table sur une croissance économique de 5 % pour l’année 2018 grâce aux réformes prévues : simplification fiscale, soutien aux PME, incitations à l’innovation technologique et investissement massif dans les services publics.

Si le gouvernement assure que la dette restera soutenable, plusieurs experts soulignent que son augmentation continue pourrait limiter la capacité d’action future de l’État. Une dette avoisinant 62 % du PIB reste maîtrisable aujourd’hui, mais pourrait devenir plus coûteuse si les taux d’intérêt internationaux remontent ou si la croissance ralentit. À terme, une part trop importante du budget pourrait être consacrée au service de la dette, presque 12 % des dépenses cette année, au détriment d’autres politiques publiques.

Le 03/10/2017, par El Horizonte Libre
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