06/03/2018
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Ministère de la Dispersion - Resencement de vos communautés judéennes !

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Grand Recensement des dispersés

Ministère de la Dispersion




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Historique des diasporas judéennes a écrit :

Depuis l'époque des rois de Ptolémaie, avant celle de la conquête et l'occupation rhémienne, puis la période mouvementée des guerres saintes et des croisades, la terre de Juda n'a eu de cesse d'être ballotée par les grands empires, par les rois et les puissants se partageant la conquête de ces terres, et déchirant l'Isthme de Théodosine au fil des siècles. A ce titre, depuis les temps anciens, les habitants de la terre de Juda ont pour certains fui le pays, malgré la préservation du Temple par les rhémiens.

Cette diaspora n'est pas le fruit d'une migration unique, mais d'une très longue série de mouvements de population étalé sur une très longue période de près de deux millénaires. Naturellement, un tel mouvement, si complexe, et impliquant des populations ayant migré pour des raisons parfois très différentes, a donné lieu à la naissance d'une diaspora très éclectique, à des traditions confessionnelles et des meours fort différentes. Les diasporas les plus anciennes se sont depuis longtemps pour certaines intégrées à leurs patries d'élection, ont développé des systèmes linguistiques et des codes culturels propres, quand les diasporas plus récentes ont conservé la vieille langue hébraïque, que ce soit dans leurs foyers ou dans leurs textes sacrés. La communauté judéenne mondiale est donc fort divserse, au point où certains groupes ont cessé depuis longtemps de se référer au Temple d'Irushlim, quand d'autres s'y rendent toujours fidèlement, et suivent l'enseignement du Talmud d'Irushlim.

Dans ce cadre, le Ministère de la Dispersion a annoncé la tenue d'un grand recensement, dans l'optique de renouer le contact avec une part de la diaspora partie à l'étranger, et avec qui la nation de Juda partage une Histoire, des valeurs communes et une foi, bien que celle-ci connaisse aujourd'hui beaucoup de confessions.

Veuillez effectuer le recensement en remplissant le code ci-dessous. Selon votre pays de jeu, vous serez désormais hôte d'une communauté de tradition séfarade (Afarée du Nord et Eurysie du Sud), ashkénaze (Eurysie centrale et de l'est), romaniote (monde grec), éthiopienne (Afarée) ou tout simplement judéenne si c'est là une immigration récente, et dont les habitants suivent donc les coutumes et pratiques religieuses en vigueur à Juda (zélotes, juifs laïcs, esséniens, pharisiens ou sadducéens).

[u]Nom du pays de résidence:[/u]
[u]Nombre de pratiquants/membres de la communauté:[/u]
[u]Pourcentage par rapport à la population totale du pays:[/u]
[u]Immigration récente/ancienne (détermine le type de diaspora présente):[/u]
[u]Type de diaspora (si ancienne choisir entre les traditions listées plus haut en souligné, si récente choisir entre les traditions présentes actuellement en terre de Juda, voir le lien):[/u]
[u]Histoire et signes distinctifs (facultatif):[/u] (Vous pouvez ici préciser la période exacte de migration de votre communauté et les évènements qui y sont liés, ainsi que des particularismes culturels et religieux)
  • Nom du pays de résidence: Fédération des Peuples Estaliens
  • Nombre de pratiquants/membres de la communauté: Environ 220 000 personnes.
  • Pourcentage par rapport à la population totale du pays: Environ 0,05% de la population estalienne.
  • Immigration récente/ancienne : Dès le VIIIe siècle, l'Estalie comptera en son sein une importante communauté juive qui continuera de croître démographiquement jusqu'au XIXe siècle avant de subir un recul dramatique au milieu du XIXe siècle entre 1858 et 1861.
  • Type de diaspora : Population de tradition ashkénaze.
  • Histoire et signes distinctifs (facultatif): Dès la fondation du Royaume d'Estalie au VIIIe siècle, on constate déjà un accroissement de la communauté juive dans la région. Contrairement aux régions alentours de l'Horistia (terre de fondation du Royaume d'Estalie), la région comptait déjà des communautés chrétiennes et paganistes slaves qui avaient l'habitude de cohabiter, ce qui rendait l'assimilation de la diaspora juive plus aisée. De plus, lorsque l'Estalie se christianise définitivement au début du Xe siècle, les Juifs deviennent historiquement la seule communauté en capacité de pratiquer les activités financières et commerciales. Cet état de fait change au milieu du XIe siècle lorsque le Roi Spoliosky Ier proclame le Remux Augustus qui établit un statut de protégé à certaines catégories, dont les Juifs, dans certains lieux tels que les villages et les églises ; il limitera également la pratique de l'usure à la seule communauté juive, ce qui donnera de facto le monopole du prêt usurier aux Juifs en Estalie. Bien que le Remux Augustus ne soit qu'une parenthèse dans l'histoire législative estalienne (son application sera oubliée dès la fin du XIIe siècle), elle montre toutefois une certaine tolérance des Estaliens envers la communauté juive. Bien que la communauté juive fut sujette à l'antisémitisme, comme dans la plupart des sociétés chrétiennes tout au long de l'Histoire, peu de cas démontrent une implication institutionnelle dans le sentiment antisémite en Estalie, la plupart des actes antisémites étant souvent de nature individuelle et agissent rarement comme des persécutions systématiques à l'échelle de tout le Royaume. Cependant, en 1858, lorsque le Roi Guardakov V est assassiné dans son salon et que son valet, d'origine ashkénaze, est dénoncé comme coupable par Guardakov VI, le fils du défunt roi (et qui était connu comme particulièrement antisémite), ce dernier publia un communiqué royal donnant un "droit à battre les Juifs", ce qui mena au premier pogrom de l'histoire estalienne à Mistohir. En 1861, un second pogrom eut lieu à l'échelle nationale, sous prétexte de méthodes déloyales de rachat de la part des petits propriétaires terriens d'origine juive, qui finit de faire fuir la plus grande partie de la communauté juive d'Estalie. Cette communauté ne va jamais complètement disparaître, elle aura un regain d'activité tout au long du XXe siècle mais elle ne regagnera jamais la taille et la prospérité qu'elle avait acquise avant les pogroms du XIXe siècle. Le 14 Mars 2015, le nouveau régime de la Fédération des Peuples Estaliens a officiellement voté à l'unanimité pour la mise en place de journées de commémoration des deux pogroms ainsi qu'une indemnisation des descendants victimes de ces massacres. Les Juifs estaliens n'ont pas de signe distinctifs spécifiques. Il est à noter, cependant, que les Juifs estaliens ont une longue tradition judaïque libérale/réformée, compte tenu de leur longue présence dans le pays et leur coopération avec les autorités durant la majeure partie de l'Histoire du pays.
  • Nom du pays de résidence: Second Empire Constitutionnel de Slaviensk
    Nombre de pratiquants/membres de la communauté: 14 000
    Pourcentage par rapport à la population totale du pays: 0,1%
    Immigration récente/ancienne : relativement ancienne (1700-1750)
    Type de diaspora : Juifs Ashkénazes
    Histoire et signes distinctifs : Durant les périodes de 1700 à 1750, l'empire Slavis connait une période de grande expansion, qui lui permet notamment grace aux nouveaux territoires soumis allant de la Retsvinie au Themiasme en passant par les terres du Navgrokra-Sovonograd et du Belkrav, une période d'enrichissement rapide, aux antipodes de la décadence qu'il avait connu par le passé. L'empire du moment, en plus de sa richesse et de sa puissance, reste relativement tolérant envers les communautés juives. C'est donc une communauté d'environ 20 000 juifs qui se dispersent en territoire Impérial, surtout une population aisée, qui participera notamment à l'administration des oblasts impériaux.

    À la fin du siècle, l'empire recommence à décliner après sa période d'âge d'or : Il peine à s'industrialiser, le Lotus d'or prend son indépendance suivi du Themiasme et le Navgrokra-Sovonograd s'agite. Dans la crise profonde qui touche l'empire, les tensions religieuses s'accroissent et la faute est rejetée en partie sur les riches administrateurs locaux juifs. Plusieurs massacres ont alors lieu au cours du siècle sans pour autant être organisés par le gouvernement, en tout cas pas officiellement. La communauté juive en Slaviensk sera alors considérablement réduite : La faute aux nombreux massacres qui tuent une partie de la communauté, une autre partie qui s'enfuit et l'essentiel qui est abandonnée dans les territoires perdus, créant un éclatement des communautés juives de Slaviensk un peu partout en territoire est-eurysien. Le déclin continuera après la perte de l'oblast du Belkrav (alors Rekdock), des territoires Retsviniens et du Navgrokra-Sovonograd.

    À la fin du dix-neuvième siècle, Slaviensk connais enfin l'industrialisation tant attendue, et sa vitesse rapide, trop rapide, (car fortement encouragée par l'empereur) permet un accroissement démographique forte et donc la croissance de la communauté juive, qui se développe surtout dans la capitale Starovsk et à Navosavodsk. Slaviensk dépend en raison de l'accroissement démographique des importations alimentaires et d'autres matières premières inaccessible ou pas encore découvertes en Slaviensk, ce qui pousse l'empereur entre autres motivations idéologique à envahir la région industrielle et minière du Groskakov en Navgrokra-Sovonograd en 1904, puis la Retsvinie en 1908 et le Belkrav dans les années 20. L'empire finir, faute au revanchisme des fascistes du Navgrokra-Sovonograd et des nationalismes en Retsvinie et au Belkrav à subir une insurrection sur le territoire Belkravien. Le Belkrav, principal grenier à blé de l'empire, causera la grande famine elle même principale cause de la révolution de 1940 qui mettra fin à l'empire.

    À la fin de l'empire, la Première République de Slaviensk marque une ère de tolérance religieuse et notamment de la communauté juive qui se développe à nouveau, à l'écart des persécutions. Mais la République finit elle aussi par s'effondrer en 1990, laissant place à l'Union Technocratique de Slaviensk jusqu'à 1991, et de 1991 à 2015 à l'Union de Novyavik. La dictature entrepreneuriale sera une période d'homogénéisation religieuse forcée et de persécution pour les minorités religieuses. ( Les trois religions tolérées étant technisme, le culte fondé par le régime, l'orthodoxie, religion historique ainsi que l'athéisme.) Mais l'Union s'effondre en 2015, laissant place à deux régimes de tolérance à l'égard de la communauté juive que sont la Seconde République de Novyavik et le Second Empire Constitutionnel de Slaviensk. Actuellement, la communauté juive est surtout implantée dans la capitale et les juifs n'ont plus à pratiquer en secret, les lieu de culte réapparaissent et l'empire progresse timidement mais sûrement dans sa transition démocratique.
    Nom du pays de résidence:San Youté
    Nombre de pratiquants/membres de la communauté:Il y a 39 000 pratiquants
    Pourcentage par rapport à la population totale du pays:Cela représente 0,09% de la population du San Youté
    Immigration récente/ancienne :La diaspora est ancienne
    Type de diaspora :C'est une diaspora romaniote
    Histoire et signes distinctifs :
    Histoire de la diaspora :
    La diaspora débute autour de 1683, plus précisément le premier voyage à lieu le 28 décembre, c'est une estimation car les historiens n'ont pas trouvé de source assez complète, elle part de Youslevie et fait partie des populations à colonisé le territoire à la recherche d'opportunités, la diaspora s'achève autour de 1793, en effet a cette date, pour des raisons encore inconnue, les mouvements de population s'arrête.Entre 1683 et 1793, donc, on estime que 10 000 personnes ont quitté la Youslevie pour le San Youté.
    Après son implantation au San Youté, la communauté se développe normalement jusqu'à l'indépendance du pays et la monarchie qui entame des persécution contre les juifs au profit du christianisme, après la guerre civile, le San Youté voit un pique de l'antisémitisme, on accuse les juifs d'avoir soutenu la monarchie alors que ces derniers été persécuté, l'antesimitisme s'atténue réellement après la dictature socialiste, en effet de nombreux membres de la communauté ont participé à la chute du régime communiste, c'est donc après cette période que le judaïsme et la communauté ont été accepté.
    Coutume de la diaspora :
    Le communauté a développé au fur et mesure des siècles et de l'agrandissement de la population a adopté plusieurs coutumes propres à elle.
    Tout d'abord les lieux de cultes sont des Dogpa, la première date de 1681 est se situe à Nuvos, des temples spécifiques au style architectural Romanioque, d'ailleurs on ne retrouve ce style que sur les Dogpa.
    Ceci est une Dogpa
    Ensuite la communauté a développé deux fêtes spécifiquelent lié à leur histoire :
    -D'abord le 4 août qui célèbre l'arrivée de la communauté au San Youté et le 28 septeysii célèbre la naissance du premier enfants de la communauté.
    Enfin la diaspora pratique évidemment l'ensemble des pratiques romaniote
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    Nom du pays de résidence: Drovolski
    Nombre de pratiquants/membres de la communauté: 35 000
    Pourcentage par rapport à la population totale du pays: 0.15%
    Immigration récente/ancienne (détermine le type de diaspora présente): Ancienne, juif hellénique
    Type de diaspora (si ancienne choisir entre les traditions listées plus haut en souligné, si récente choisir entre les traditions présentes actuellement en terre de Juda, voir le lien): Romaniote
    Histoire et signes distinctifs (facultatif): Le Drovolski a toujours eu une politique très permissive sur le plan des déplacements de population et de l’entrée sur le territoire, justifiant cela par une capacité d’accueil suffisamment puissante pour subvenir à bien plus que ce qui lui est attribué par le sort. De fait, dans un passé lointain, celui dont aucun livre ne parle avec bonne forme et dûe raison, un fragment d’une diaspora inconnue demanda son asile à l’Outre-Mur de Mesolvarde. Grand et puissant, l’Outre-Mur prit acte de l’accueil de ces gens bien plus instruits qu’eux.

    Sur le fondement du grand recensement de l’Outre-Mur, Mesolvarde fit acte de recevoir les juifs du monde sous l’autorisation d’un décret marquisal et à l’obligation de renoncer à leurs patriarches. Refusant l’intégration de leur culte à la doxa de Mesolvarde, les juifs s’organisèrent dans l’Outre-Mur pendant sa puissante croissance. Doués d’une meilleure instruction et d’un syndicalisme aux ordres de la religion, les juifs de l’Outre-Mur commencèrent à devenir, pour certains, des organes économiques de certains pouvoirs politiques de l’Outre-Mur. En particulier, une élite organisatrice des travaux pastoraux, l’essentiel de l’Outre-Mur, la famille maintenant connue sous le nom Ackerman, littéralement « les faucheurs des blés ». À l’intégration de l’Outre-Mur dans Mesolvarde par les Drovolski, l’élite judiciaire, qui voulait affaiblir les nobles, prit à son soutien l’élite juive pour contenir la révolution de l’organisation du marquisat. La diaspora, alors très minoritaire, se voyait le cortège de l’élite du pays ou alors réduite à la condition du rejet, à celle de simples citoyens.

    C’est à cette période que la diaspora fait scission : l’élite, qui par sa position maintient son culte et ses façons, rejette et minore celle du bas, qui gratte la terre pour survivre. Ce rejet est appuyé par l’État, qui entend briser l’État parallèle que les religions monothéistes produisent naturellement. Si bien que l’essentiel des cultes est réduit au néant en dehors des élites politiques. La diaspora est décimée par la suite des invasions slaves, qui induisent un profond antisémitisme dans les institutions et déconstruisent en partie les acquis à la fois des Drovolski et des juifs. La population juive s’effondre alors et se resserre sur la grande bourgeoisie périphérique, qui tente par ses liens de rassembler l’essentiel des actifs juifs face aux Slaves venus envahir le pays.

    Au départ, le pays prend comme fief le Kansen-shō et subit un boom économique monstrueux grâce aux techniques laissées par les Slaves et aux actifs préservés par les juifs. On voit naître les grands groupes Ackerman, GKD, BID, CMD et SCM. En réparation de l’antisémitisme des institutions et de l’extermination des Slaves, le Kansen-shō est cédé à la communauté, qui obtient le droit de l’administrer selon ses principes. Cette apparente empathie des Drovolski est en fait une simple obligation de forme : le pouvoir de Mesolvarde n’arrive pas à se reconstruire, et les villes périphériques obtiennent toutes de grandes concessions en matière de gouvernance, toujours maintenues de nos jours. Benodïle et Benobâle ont leur propre électorat, et le Kansen-shō est toujours indépendant en politique.

    Avec le temps, les Bonvasar ont pris la main sur le Kansen-shō par une doctrine conservatrice et religieuse. Si bien que l’essentiel de la diaspora s’est plié à des idées qui prônent la différenciation avec le reste du peuple du Drovolski. Ils parlent une langue différente et pratiquent une forme d’entrisme politique très particulière, considérant que les peuples non juifs ne sont que des animaux bons à être dominés (ce qui induit la politique du Bonsecours). Cette doctrine transforma le Kansen-shō en Bonsecours, le nom qu’on lui connaît de nos jours, avec toujours, depuis plus de trois siècles, les Bonvasar au pouvoir suprême. Sur le plan culturel et humain, les juifs du Drovolski sont une élite politique très puissante qui s’accommode du servage qu’institue l’État pour des raisons politiques mais surtout religieuses. En effet, la position des Mesolvardiens, en quasi-servage par des institutions politiques qui, culturellement, s’en différencient, confirme aux yeux des juifs du pays que le peuple autre que juif n’est bon qu’à être exploité, s’autorisant l’exception des Drovolski, maison régnante. Reste que depuis la loi l’impérial de 1780, la pratique du culte est interdite hors du Kansen-shō, poussant alors les juifs à s’y accumuler.

    Les familles notables sont les Bonvasar, dirigeants héréditaires du Kansen-shō puis du Bonsecours, et les Ackerman, dirigeants des grands groupes industriels du pays et de sa banque. Seuls TomaTo et le LHV font exception. On parle le plus souvent des « frères Ackerman » pour faire référence à ce concept de gouvernance, car dans les faits, la réalité familiale occupe plus de trois cents administrateurs d’État qui cultivent l’entre-soi pour maintenir leur domination. L’État s’emploie à maintenir une bonne image des administrateurs juifs, car sans leur concours, les institutions ont profondément peur que la situation de servitude soit remise en cause. De fait, les juifs ont une bonne image, voire spécialement privilégiée, car aucun culte n’est autorisé, mais le Kansen-shō, en tant que zone administrative spéciale, y fait exception : c’est, pour ainsi dire, le dernier culte pratiqué au Drovolski.

    Il est recommandé de lire les familles Ackerman et Bonvasar ici : familles notables
    Nom du pays de résidence: République Démocratique Populaire de Ouaine
    Nombre de pratiquants/membres de la communauté: 13 000 (je parle ici de la comu, il y en a bien moins qui sont pratiquants)
    Pourcentage par rapport à la population totale du pays: 0,6%
    Immigration récente/ancienne (détermine le type de diaspora présente): Ancienne
    Type de diaspora (si ancienne choisir entre les traditions listées plus haut en souligné, si récente choisir entre les traditions présentes actuellement en terre de Juda, voir le lien): Juifs laïcs
    Histoire et signes distinctifs (facultatif): (Vous pouvez ici préciser la période exacte de migration de votre communauté et les évènements qui y sont liés, ainsi que des particularismes culturels et religieux) Premières traces au VIeme siècle mais la majorité au XVIIeme
    Nom du pays de résidence: Azzymérie
    Nombre de pratiquants/membres de la communauté: Environ 200 000 personnes, jusqu'à 280 000 selon les estimations les plus larges.
    Pourcentage par rapport à la population totale du pays: Environ 1% de la population.
    Immigration récente/ancienne (détermine le type de diaspora présente): Ancienne, dès l'Antiquité.
    Type de diaspora (si ancienne choisir entre les traditions listées plus haut en souligné, si récente choisir entre les traditions présentes actuellement en terre de Juda, voir le lien): Populations juives de tradition majoritairement séfarade.
    Histoire et signes distinctifs (facultatif): La communauté juive en Azzymérie est très ancienne et remonte à l'Antiquité, le pays étant, du fait de sa relative proximité avec les royaumes juifs de Juda (sur l'l'Isthme de Théodosine) et de Netzarel (actuelle Qadishapolis), parmi les premières zones d'expansion naturelle du judaïsme d'autant plus que les Azzymériens antiques étaient connus comme un peuple de marchands et de marins ayant beaucoup échangé commercialement mais aussi culturellement avec la plupart des populations Leucytaliennes antiques.

    La communauté juive restera malgré tout assez réduite jusqu'à la chute ou la conquête des deux royaumes juifs de Netzarel et Juda, respectivement aux VIème et IIIème siècles avant Jésus Christ. Une communauté juive, vraisemblablement chassée de Qadisha, s'installe alors dans une vallée des Monts Damen, dans ce qui est aujourd'hui le sud de l'Azzymérie, avec l'objectif, selon les légendes, d'y former un nouveau royaume juif indépendant, et y fonde plusieurs communautés dont la plus grande deviendra plus tard la ville de Madinat Almalik Sulayman (ou simplement Sulyaman, nommée d'après le Roi Salomon dont l'un des principaux chefs de l'exode disait être un descendant), toujours majoritairement juive de nos jours. La longévité de cette communauté peut s'expliquer par la protection qu'offre les hautes montagnes du Damen, ayant permis aux divers populations qui y résidaient de résister pendant plusieurs siècles aux conquêtes Rhêmiennes puis islamiques tout en les isolant du monde extérieur, limitant ainsi à la fois la répression du judaïsme et l'influence d'autres pratiques religieuses.
    Nom du pays de résidence: Empire Républicain d'Artyom
    Nombre de pratiquants/membres de la communauté: Environ 300 000.
    Pourcentage par rapport à la population totale du pays: 2%
    Immigration récente/ancienne (détermine le type de diaspora présente): Ancienne
    Type de diaspora (si ancienne choisir entre les traditions listées plus haut en souligné, si récente choisir entre les traditions présentes actuellement en terre de Juda, voir le lien): Ashkénaze
    Histoire et signes distinctifs (facultatif): On ne retrouve des traces de juifs à Elsvenwald qu'à partir du XVIème siècles lors des massacres de Velvetie où ils sont qualifiés "d'adorateurs de Juda" par les inquisiteurs, ils sont d'ailleurs, comme les protestants, traqués et exécutés. Mais les première traces concrètes de juifs remontent au début du XVIIIème siècle où ils sont cette fois-ci bien mieux accueilli, cette migration se fera en continue jusque vers 1840.
    Nom du pays de résidence: Union des Fédérations de Communes de Kaulthie
    Nombre de pratiquants/membres de la communauté: environ 600 000 personnes
    Pourcentage par rapport à la population totale du pays: environ 1% de la population
    Immigration récente/ancienne : Dès le XIIIe siècle, avec la création de l'Etat Libre Juif qui a amené de nombreux juifs à s'installer dans ce territoire
    Type de diaspora : Population de tradition askhénaze
    Histoire et signes distinctifs (facultatif):
    Vers le XIIIe siècle, Einrich von Vaderham accède au trône du Comté de Maneim. Cousin juif du précédant Comte de Maneim, mort sans enfant, il hérite donc du pouvoir. Il a réformé le territoire, passant d'un système féodal en une république juive. Lorsque celle-ci fut fondée vers le milieu du XIIIe siècle, on appela le territoire comme "l'Etat Libre Juif". Il perdura jusqu'au XVIe siècle, date à laquelle l'état se trouvera morcelé par ses voisins. Aujourd'hui, les karythes (non de la population juive de kaulthie) existent encore et sont majoritairement présents dans les Fédérations de Communes du Hermen, de Warenburg, de Porania et de Tisbruch.
    Récemment, les karythes ont proposé la création d'une Fédération de Communes de Karythie, afin de permettre la représentation des Juifs en Kaulthie.

    HRP : Le détail de l'histoire de l'Etat Libre Juif reste à développer. Je l'approfondirais lorsque j'aurais plus de connaissance sur le Judaisme et lorsque j'aurai développé l'histoire kaulthe de manière générale
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