01/04/2018
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[Lionel NJ2 éligible en Decembre] Les terres dévastées du Dakora [en construction]

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Création de pays : Terres Dévastées du Dakora


Généralités :



Nom officiel : Terres dévastées du Dakora
Nom courant : Dakora ou Wasterland
Gentilé : On disait Dakoran / Dakoranne

Inspirations culturelles : Monde dévasté, Wasterland, société des abris enterrée profondément (corpo Parapluvie, des eugénistes et racistes) et société de l'extérieur (punks anarchistes dans une situation sécuritaire et sanitaires lamentables), terres irradiées et empoisonnées pour des siècles, désert et ruines de métropoles, bizarreries et hallucinations.
Situation géographique :

La Carte

Langue(s) officielle(s) : Français
Autre(s) langue(s) reconnue(s) :aucune
Drapeau de l’État (Désaffecté) :
Drapeau

Devise officielle : Une nouvelle terre pour de nouvelles opportunités (désuet)
Hymne officiel Hymne officieux, élément d'ambiance :
Monnaie nationale : aucune (ou bien des capsules et autres monnaies ad hoc)

https://imgur.com/J3WE6G7

Capitale : Dakoraville

Population : 500 000 habitants (50 000 dans les abris, et le reste ce sont les punks)


Aperçu du pays :



Présentation du pays :

Photographie, 90S, couleur, terne une ville dévastée, abandonnée et toxique. Grisaille, sec, triste. Sur un trottoir dans un coin il y a deux  squelettes au sol sur le ventre vetus avec   des restes de vêtements civils usés dont une robe, et il y a un vieux caddie chargées de choses poussiéreuses et une poupée au sol, et deux hommes en tenue asmat avec des fusils d'assaut et une jeep à l'arrêt.  dans un coin de la photographie il est écrit au feutre  : Etat de Dakora, aux abords du Camp Judith, 2017, 2e bataillon d'éclaireurs NRBC du Makota
Une scène classique dans la partie du Wasterland occupée par les forces armées makotanes : les soldats en tenu NRBC patrouillent dans des ruines toxiques pleines des cadavres de civils surpris par la mort.

Le Dakora n’a pas toujours été le cadavre desséché et toxique qu’il est à présent. Longtemps, il fut une terre verdoyante, un véritable pays de cocagne où il faisait bon vivre. Ses sols généreux, gras et noirs, saturés d’alluvions, faisaient de ce territoire un paradis agricole et naturel. Comme son nom l’indique, le Dakora fut longtemps le domaine de la tribu aleucienne du même nom. Cependant, comme pour les Makota, l’arrivée des colons eurysiens — et surtout de leurs germes — anéantit l’essentiel de la population native, ne laissant subsister que quelques groupements isolés que les querelles rurales, mêlées à l’alcool, ne tardèrent pas à faire disparaître tout à fait. Il est probable qu’il ne restait plus un seul Aleucien dakora avant même que le pays ne meure, le 5 mai 1990.

Durant des décennies, le Dakora fut considéré comme le petit frère du Makota, un asile pour les petits cultivateurs fuyant la rapacité insatiable des ranchers — ces grands éleveurs qui font la pluie et le beau temps au Makota. Migrer vers le Dakora offrait bien plus de garanties que de s’aventurer à débroussailler les jungles pauvres et hostiles de l’Icamie. D’ailleurs, le Dakora accueillait des colons chassés des hauts plateaux depuis le début du XIXᵉ siècle déjà, bien avant donc que l'Icamie ouvre ses portes dans les années 50.

Dans les deux cas, Makota comme Dakora, il s’agissait du même peuplement : des galouaisants marginaux, rejetés d’Eurysie, partis en quête d’une existence plus juste, plus saine et plus sainte. Mais, contrairement au Makota, le Dakora ne demeura pas fidèle à l’idéal des pères fondateurs. Un dakoran dirait plutot que sont pays ne demeura pas englué dans les superstitions des ancêtres. Sans doute parce que les Ligues et les ranchers n’y avaient pas acquis la même autorité, le pays s’ouvrit sans retenue à la modernité.

Cette ouverture, pour ainsi dire sans limite, se manifesta principalement sous deux formes : d’une part, une concentration extrême de la population sur un territoire restreint — en l’occurrence la capitale, Dakoraville ; d’autre part, une confiance pour ainsi dire aveugle dans la technologie et la modernité, une sorte de foi en la technique doublée d’une ouverture inconsidérée aux corporations multinationales.

https://imgur.com/btYnJJ3
10% de la population, en bonne santé et profitant de la médecine améliorative la plus performante vie à l'intérieur de vastes abris souterrains appartenant à la Parapluvie Inc., une entreprise pharmaceutique transhumaniste et eugéniste ouvertement raciste.

Ainsi, dès le milieu du XIXᵉ siècle, le Dakora devint la proie des investisseurs et des consortiums. L’histoire exacte de cette période demeure mal connue : les archives ont été dispersées, et sont abandonnées dans de vaste et sordides bâtiments à présent éventrés et poussiéreux au milieux du Wasterland. On sait seulement que Parapluvie Inc. s’y implanta dès l’origine, et que les laboratoires Dalyoha de Carnavale y établirent eux aussi des installations.

Faute de données plus précises, on ne peut guère aller au-delà ; retenons seulement que le pays fut ravagé le 5 mai 1990 pour des raisons encore totalement inconnues. À partir de cette date, toute communication avec l’extérieur cessa. Les étrangers présents sur place ne donnèrent plus signe de vie, et le Wasterland apparut soudainement, totalement immergé dans un brouillard verdâtre et mortel qui, si il devait s'éclaircir avec le temps, ne devait plus disparaitre.

Durant les premières années, le Wasterland fut absolument invivable. Une tenue NRBC était indispensable pour franchir la frontière, et il était déjà héroïque de pénétrer de quelques kilomètres dans cet enfer chimique et radiologique qu’était devenu le Dakora. En vingt-sept ans, cependant, le désert toxique perdit de sa virulence ; il est désormais possible d’y survivre, pour peu que l’on évite les zones les plus contaminées et que l’on slalome entre les foyers les plus mortels, le tout sans exiger une espérance de vie normale...

https://imgur.com/fIUdEkd
La population punk, qui représente 90% de la population générale, vie dans les ruines des agglomérations. Ils survivent tant bien que mal dans le Wasterland, cette terre horrible et morte qui couvre l'ensemble de ce cadavre qu'est l'état du Dakora.

On ignore comment, mais certaines populations civiles parvinrent à subsister dans cet enfer. Sans doute exploitèrent-elles le vaste réseau d’égouts de la capitale et les infrastructures du métro, très développées, comprenant notamment des galeries marchandes et des installations publiques. Malgré tout la quasi totalité de la population disparue avec l'accident, les gaz toxiques et les incidents radiologiques. D'une population de plusieurs dizaines de millions d'habitant on passe à moins d'un demi-million, effectifs qui ne cessent de diminuer depuis car l'on meurt beaucoup plus que l'on nait dans le Wasterland.

Enfin, toujours est-il que ce sont ces survivants, dont la survie elle-même fut longtemps ignoré, qui donnèrent naissance aux clans « punks » que l’on connaît aujourd’hui et qui semblent tenir la capitale ainsi que les ruines environnantes. Enfin si tant est que quelqu'un tient quelque chose dans cet enfer car on ne tient pas une ville quand on se terre dans ses sous sols comme des rats, d'autant plus si l'on donne foi à ces témoignages curieux mais nombreux concernant les horribles créatures que l'on peut rencontrer à la surface si l'on y progresse pas discrètement et avec parcimonie.

photographie. une énorme porte d'abris circulaire dans une masse de béton, dans un sous sol éclairé par des néons. et il y a des mitrailleuses gatling automatiques au mur orienté vers nous  et il y a sur la porte le logo de Parapluvie (en pièce jointe)  et il est écrit : ATTENTION, Accès réservé au personnel de la Parapluvie inc, danger de mort. et il y a des punks squelettiques mort allongés à plat  ventre  devant la porte et avec un flingue dans la main ou proche, et il y a des caméra au mur et des douilles au sol
Une entrée de bunker, fortement armée et dangereuse pour qui n'a pas les autorisations ou n'est pas bien organisé

Quant aux abris, ils demeurèrent inconnus pendant longtemps, et l’on pensa que Parapluvie Inc. avait disparu avec le pays où elle s’était implantée. Pourtant, la firme se fit de nouveau connaître au cours de l’année 2017, en manifestant notamment son intention d’investir dans Cramoisie Inc et en projetant de nombreux clips publicitaires et autres contenus de réclame. Parapluvie Inc. revendique par ailleurs l’administration civile et militaire du Dakora, revendication sans fondement réel : la société ne contrôle qu’une poignée de bunkers et ne dispose nullement des moyens de repousser ou d’éliminer les punks, lesquels sont d’ailleurs, culturellement, leurs ennemis jurés.

En conclusion, le Dakora n’est plus qu’un cadavre toxique où survivent malgré tout quelques centaines de milliers de punks dans les ruines, et quelques dizaines de milliers de corporatistes retranchés dans d’immenses abris. La plupart de ces abris ne répondent plus, beaucoup sont même inconnus et non répertoriés. En somme, d’innombrables zones d’ombre demeurent sur l’histoire et la situation présente de ce pays défunt. Tous les acteurs encore sur place travaillent d’arrache-pied à en découvrir les secrets, mus par une conviction partagée : les entrailles du Dakora recèleraient des choses merveilleuses, ou d’une importance capitale. On ne saurait dire si c’est vrai ; une chose, pourtant, est certaine : les secrets du Dakora existent, et ils sont, à n’en pas douter, terribles.

Notons, enfin, que le grand frère makotan tente d'occuper le pays mais ses pertes sont importantes et jusqu'à présent sa démarche est sans réussite : il n'est pas possible d'occuper le Dakora, on ne peut qu'y survivre. Mais le Makota ne désespère pas d'en prendre le contrôle un jour. C'est pourquoi il stationne des miliciens répartis dans des camps de miliciens, tous dans la centaine de kilomètre des territoires qui jouxtent le Makota.

Mentalité de la population :
La mentalité de la population du Dakora n’a rien d’uniforme ; elle varie du tout au tout selon le groupe considéré. Si l’on met de côté ce qui demeure inconnu ou inqualifiable — et dont le Wasterland peut être l’auteur, car Dieu sait combien il peut se montrer inventif —, on distingue trois ensembles principaux : les habitants des abris, les punks, et les miliciens makotans.

Les habitants des abris sont, pour la plupart, des employés de Parapluvie Inc. Ce sont des corporatistes d’un conformisme absolu, soumis à un mode de vie régi par des règles et des standards innombrables. Leurs existences sont réglées jusque dans les moindres détails par des protocoles stricts, ce qui les rend à la fois léthargiques et paisibles. Leur niveau d’instruction est cependant très élevé, et beaucoup possèdent des facultés cognitives supérieures à la moyenne. En somme, il s’agit d’individus profondément inhibés mais intellectuellement raffinés. Comme tous les habitants du Dakora, ils ont perdu toute notion de décence commune et peuvent, si la logique les y conduit, commettre les pires atrocités avec un détachement glacé. Ils sont toujours impeccablement propres sur eux, jusqu’à l’obsession.

Les punks, quant à eux, sont… des punks. Ils n’ont aucun espoir en l’avenir — et, à vrai dire, le Dakora ne leur donne guère tort. Sales, brutaux, cruels, territoriaux et voleurs, ils incarnent la survie à l’état brut. Pourtant, ils possèdent un goût indéniable pour la liberté et un sens réel des liens sociaux, car ils vivent le plus souvent en clans, autour desquels s’organise toute leur existence. Les punks vivent, ou plutôt survivent, en exploitant les ruines de la capitale. Quelques-uns, plus rares, errent seuls ou en très petits groupes ; on les appelle alors les desperados. Ceux-là sont les plus dangereux : ils subsistent en tuant les autres et en les dépouillant, n’hésitant pas, au besoin, à recourir au cannibalisme.

Enfin, il y a les miliciens du Makota. Ceux-là font figure de « pieds tendres » dans cet enfer. Ce sont pourtant des cowboys d’une rudesse extrême, parmi les hommes les plus endurcis du monde, mais eux aussi sont terrifiés et ne s’aventurent hors de leurs camps retranchés qu’à grand-peine. Ils n’ont jamais atteint la capitale et se contentent de maintenir des colonies éparses dans la première centaine de kilomètre du Wasterland. Ils y perdent beaucoup d’hommes et peinent à progresser dans un territoire qui semble se défendre lui-même. Si l’on en croit leurs récits, le Wasterland serait peuplé d’une infinité de créatures monstrueuses, presque mythiques. Civilisés et presque normaux en apparence, ils peuvent pourtant, lorsqu’ils cèdent à la panique, se révéler d’une brutalité terrifiante.

Place de la religion dans l'État et la société :
Seuls les miliciens makotans sont religieux, les autres n'ont pas de religion très marqué. A priori elle ne joue aucun role dans les clans punks, ni dans les abris de la Parapluvie Inc, mais qui sait ce qui peut se faire ça ou là dans le Wasterland ?


Politique et institutions :



Institutions politiques :

Situation politique
La plupart des territoires sont hors de contrôle, il ne faut pas trop se fier aux zones, elles ne sont pas contrôlées dans la profondeur. C'est indicatif.

En soi, c'est le chaos. Il n'y a pas d'état central. La principale puissance c'est la Parapluvie Inc. mais qui finalement ne tient que quelques abris pour une population totale contrôlée de 50 000 habitants, soit seulement 10% de la population. Mais elle est structurée et ordonnée. En revanche, pour les punks, il n'y a aucun pouvoir central, c'est une confédération de chefferies. Cela dit, la plupart du territoire n'est ni entre les mains de la Parapluvie ni sous le contrôle d'un clan punk. La plupart du territoire n'est pas peuplé (d'êtres humains) et n'a aucune institution. En ce qui concerne les miliciens makotans, ce sont des entreprises privées (de ranchers) supervisées vaguement par l'état du Makota. D'un point de vue général, il ne faut pas compter sur les institutions en Dakora. Sans compter que les quelques autorités qui existent sont souvent dangereuses ou tout du moins imprévisibles.
Principaux personnages :
Mlle Antoinette Dispensier
Président Directeur Général de la Parapluvie INC. : Mlle Antoinette Dispensier, dirigeante de l'abri de Dakoraville.
Théoriquement, il s'agit du chef de l'état du Dakora même si beaucoup d'abris sont de fait autocéphales et si les punks et le Wasterland n'appartiennent à personne (l'essentiel du territoire et des installations sont hors de contrôle). Mademoiselle Antoinette Dispensier est présente dans toutes les communications de la Parapluvie Inc, que ce soit les publicités ou les annonces plus officiels. Il s'agit, apparemment, de la fille du précédent PDG de la firme même si tout cela n'est pas très clair, comme tout ce qui touche à la corporation depuis ces trente dernières années. Il s'agit certainement de la figure la plus connue du Wasterland même si elle est assez largement détesté par ses habitants. Elle ne se déplace jamais qu'avec une puissante escorte, ce qui lui permet d'entrer et sortir sans danger des territoires punks, lesdits punks se faisant petits. L'abri natif de la jeune femme étant dans la capitale, en plein territoire des punks (bien que la plupart des installations connues ou opérationnelles de la firme se trouve concentrées au Nord-Est, dans une vallée que contrôle totalement Paarapluvie Inc.
https://imgur.com/xVROkFf
Zed, le chef des cradocs, l'un des principaux clans de punks de la capitale
Évidemment, il existe des centaines de clans de punks, mais les Cradocs et leur chef Zed sont certainement les plus respectés et craints de tout le Wasterland. Zed fait donc figure de coordinateur des punks. Enfin dans l'absolu c'est un fou servi par des désaxés, cela dit il fait souvent figure d'homme sympathique et traitable.

Photographie couleur, de nos jours, dans un camp militaire genre cowboys avec tentes et chevaux et feux de camp et palissades de bois mais des années cinquante, un homme en uniforme américain des années cinquante de général et la moustache et un stetson sur la tête et un cigare en bouche discute avec d'autres militaires en uniforme et avec en stetson et pardessus de cuir genre cowboy, ambiance post apo, au loin on voit des ruines d'une ville. Tout le monde à un révolver à la ceinture dans un holster de cuir, tout le monde porte des bottes de cuir
Le général ** Jean Lye est le commandant des forces d'occupation du Makota en Dakora.
C'est un homme au fort sens pratique et qui est doté d'un solide sens pratique, ce qui est indispensable pour diriger cette armée de volontaires et de colons on ne peut plus indisciplinés et anarchiques, pour ce faire c'est un cowboy qui comprend l'esprit cowboy. Il vient de la cavalerie, l'armée de métier du Makota, mais il ne doit ses étoiles qu'au fait qu'il ai accepté de prendre la direction de cette armée disparate d'agents semis privés et largement civils.

Politique internationale :
Le Dakora est un état mort, c'est un cadavre. Il n'a donc aucune diplomatie et n'a plus aucune volonté. Cependant, il demeure un sujet passif des politiques d'autres pays. Principalement du Makota qui travaille, sans succès, à l'annexer et qui, pour se faire, s'obstine à l'occuper bien qu'encore très superficiellement et au prix de pertes considérables du fait d'une attrition vertigineuse qu'il est difficile de bien comprendre.

Cependant, dans cette amas de débris toxiques, il demeure une entité internationale et économique, seule survivante de l'ancien monde à encore habiter dans ces terres dévastées (ou plutot sous ces terres dévastés, dans de vastes abris) : la Parapluvie Inc. Et cette multinationale, qui vient à peine de redonner signe de vie après presque trente ans de silence compte bien investir massivement en Cramoisie et en faveur de la BNE (elle croit beaucoup en l'avenir des populations blanches en tant que Race, pour elle le monde fonctionnerait beaucoup mieux si il n'était peuplé que de grands dolichocéphales blonds ).

Pour ce qui est des punks, il va de soi qu'ils ne font pas de diplomatie. Techniquement, si un pays étranger s'invite en Dakora, militairement ou par des services d'intelligence, personne ne peut rien dire car le Dakora est en soi une terra nullia. Implicitement, elle est revendiquée par le Makota (et le Makota, si il n'est pas menaçant en terme de Grande Guerre peut devenir cauchemardesque dans le cadre de la petite guerre, du fait de son expertise en terme d'équipement d'infanterie et de son sens de l'initiative privée ou familiale).

[En bonus]Clip vidéo de recrutement de la Parapluvie inc. :


Les Quatre factions à créer
Le pays est morcelé de base, non pas parce qu'il ne forme pas un tout : le Dakota est une entité géographique cohérente, mais parce qu'il est soumis à des autorités et des principes de vies profondément incompatibles. Les quatre factions se retrouvent naturellement dans la fiche ci-dessus. Il n'y a plus de faction gouvernementale depuis les années 90 et de toutes les corporations qui se partageait le pays, seule la Parapluvie semble avoir survécu, au Nord-Ouest les Makotans tentent de leur mieux mais sans grand succès de conquérir le pays mais ils peinent à conserver les territoires qu'ils tiennent déjà, au centre les punks survivent comme ils peuvent dans le ventre de la Mégalopole qu'était Dakoraville, et Parapluvie contrôle les alentours des quelques installations avec lesquelles elle n'a pas perdue le contact, la plupart des territoires, enfin, sont entre les mains du Dakora dévasté ou Wasterland, terre déserte et couverte en permanence d'un smog aux propriétés inconnues et surprenantes.
[DAKORA] Dakora sous administration Makotane
Drapeau :
https://imgur.com/C7ZBNey
Population : 60 000 (les colons makotans, indistinctement soldats et pionniers)
Armée : 0 professionnel (je ferais un flux militaire du Makota a validation)
Points bonus tech et armées : 0 (est une émanation du Makota)
Province : 7959;7761;7762;7763;7958;7566;7369;
Concept : La partie occupée par les volontaires du Makota.

[DAKORA] Les Clans Punks
Drapeau :
https://imgur.com/C7ZBNey
Population : 500 000 (les derniers survivants de la Mégalopole)
Armée : 5 000 professionnels
Points bonus tech et armées : 0 (des barbares)
Province : 7765;7764;
Concept : Les survivants civils qui depuis le 5 mai 1990 vivent dans les entrailles de la mégalopole qu'était Dakotaville. Les derniers des dizaines de millions d'hommes et de femmes qui vivaient là. Maintenant ce sont des punks, luttant pour survivre, cherchant perpétuellement de la nourriture, des drogues et de la bière. C'est une société clanique et violente. Les Kradocs entre les mains de Zed tiennent plus ou moins le rôle de chefs, si tant est que ce soit possible.

[DAKORA] Parapluvie Inc.
Drapeau :
Drapeau
Population : 50 000 (Les habitants des abris qui répondent encore)
Armée : 5 000 professionnels
Points bonus tech et armées : 100%, si il est possible c'est eux qui peuvent avoir les points bonus
Province : 7960;7961;
Concept : Les habitants des abris. Ils n'ont pas connu l'Apocalypse mais ils ont connu l'enferment sous terre, les protocoles pour toutes action, la promiscuité totale et les recherches plus ou moins éthiques que la Parapluvie Inc., corporation qui ne nie pas qu'elle travaille à l’avènement du surhomme (qui est une sorte de scandinave culturiste fan sciences et de culture). Paradoxalement, si sur le plan physique ils sont impeccables, ce sont certainement les plus anthropologiquement éloignés de l'humanité normale hors Dakora.

[DAKORA] Le Wasterland
Drapeau (pas un drapeau) :
Drapeau
Population : 1 (Le minimum possible, de fait 0)
Armée : 0 professionnels (c'est dévasté et sans population permanente)
Points bonus tech et armées : 0, il n'y a pas de groupes humains
Province : 8354;8157;8156;8552;8355;8158;7962;7172;7370;7567;7568;7371;7569;7963;7766;7964;7767;7570;7373;
Concept : Les terres dévastées du Dakora. Un désert toxique et radiologique où plus rien ne semble pouvoir vivre. Des ruines pleines de cadavres et où plane en permanence un curieux brouillard sordide et toxiques aux propriétés méconnues. Il s'agit certainement de l'endroit le plus dangereux sur terre car il s'agit d'un enfer fabriqué spécialement par l'homme et pour l'homme. Si l'on en croit les quelques fous qui l'explorent ou le traversent, il s'y trouverait des choses tellement horribles que l'esprit humain ne pourrait pas en supporter la vision...
J'ai fini la croissance de ma NJ1 (j'en reste à 1 000 usines pour la Makota, ça me semble le max logique), je suis donc tout disponible pour travailler mon Projet de NJ2 qui sera éligible à la validation le 9 décembre. Si vous avez des observations à faire, je suis preneur.
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