Création de pays : Vozlavija
Généralités :
Nom officiel : Narvodna Republika Vozlavija (République Populaire de Voslavia)
Nom courant : Voslavia (Vozlavija/Вославија)
Gentilé : Voslaves (Vozlavi)
Inspirations culturelles : Berlin-Est, Pays slave, Paper Please (jeux) et Beholder (Jeux)
Situation géographique :
Langue(s) officielle(s) : Voslavien (Vozlavski/Возлавски)
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Kaulthe
Drapeau :

Devise officielle :« Slava narvodu, snaga otadžbine » (Gloire au peuple, force à la patrie)
Hymne officiel :
Monnaie nationale : Le Danz (₫Z)
1 Danz = 100 Kars (₭)
Capitale : Rovgrad
Population : 64 987 634 habitants
Aperçu du pays :
Présentation du pays :
Fondation de l’ethnie proto-Voslaves : Antiquité : -800 av.J.C à -15 av.J.C :
Les origines des Voslaves remontent à l’immigration vers le sud d’un peuple plus vieux encore, un peuple viking, de ce peuple, on connaît très peu de choses, mais on sait qu’ils cherchaient en s’aventurant loin dans les terres un présage divin, ils s’installèrent dans les futur terres Voslaves pour attendre ce pressage, ne voyant aucun intérêt à piller, ils cohabitèrent avec les Sytaliens (à l’est) et les Gaeldites (à l’Ouest), à eux ils se rajoutèrent, c’était les : Volsir. Ils continuèrent à pratiquer leur culte chamanique.

Au fils des ans les cultures celtes, sytaliennes et vikings se mélangèrent, malgré cela les territoires restaient désuni en clan proto-Voslaves, mais qui se soutenait entre eux quand ils ne se faisaient pas la guerre. En -52, la région Voslaves subit une baisse de température extrême, les chamans commencèrent à annoncer le Ragnarok, les clans proto-Voslaves en paix mutuelle depuis 7 ans commençaient à trembler, les proto-Voslaves attachés au culte vikings demandaient la guerre pour accéder au Valhalla, de l’instabilité surgis le jeune chef du clan Dravos : Haldir Pravdan dit « Le Juste », il se leva pour unir les proto-Voslaves contre la colère des dieux, la Confédération du Centre était née. Haldir fut acclamé Könzar Narvodski (Roi des clans) en -50, il déclare les chefs de clans, prince des principauté et héritier aux trône confédéral qui seront élue parmi eux.
En -47 les températures commencèrent à remonter, mais un an plus tard, les invasions germaines frappent la Confédération, les proto-Voslaves résistent à l’envahisseur par la puissance de la culture martial proto-Voslaves dut au métissage : métallurgies vikings, religion guerrière viking, cavalerie sytalienne, fortifications gaeldites). Les armées de la Confédération réussissent même à faire une percée dans l’armée germaine et à capturer plusieurs officiers, officiers qui serviront à obtenir la paix en -45. Étant donner que son peuple était rassasié de bataille et que les germains avaient conquis les territoires gaeldites non-proto-voslaves, Haldir s’allia avec les germains, les villes de la confédération devait ouvrir leurs portes au germain, par leurs vie paisible (à l’époque) la vie à la proto-Voslaves attira plusieurs germains à habiter la Confédération, la culture germaine (future culture Kaulthe) enrichie la culture proto-Voslaves.
Développement de la confédération : Antiquités et Bas-Moyenne-âge : -15 à 1008 :
Suite à la mort d’Haldir « Le juste » en -15, tous les rois de la Confédération furent élus par les princes et parmi eux, la Confédération connue un millénaire de tranquillité, la culture Voslaves s’enrichissait de génération en génération.
La paysannerie se développa tout comme la chevalerie, les princes ayant reçus plus de pouvoir, ils mettent en place un régime féodal pour mieux s’organiser. Les communautés s’agrandissent, autour des villes où était installés les clans et leurs populations, des villages se développent, les inégalités entre la population et le clan se creusent, autrefois les deux classes était proche, mais avec le développement des principauté et de la population deux classes se séparent.
Cette période va voir aussi, dans la monarchie élective qu’est la confédération, émerger d'un mouvement voulant l’installation d’une monarchie héréditaire centralisée en la famille des Pravand, le mouvement rassembler plusieurs clans qui étaient particulièrement fidèles à Haldir « Le juste » pendant son règne. Les héréditariste (ou Pravandiste) menait des guerres internes entre vassaux, mais jamais de grande guerre civile. En 1007, Ildan Ier mourra, les princes favorables à l’élection royale convoquèrent le Conclave Princiers, les héréditariste assiégèrent la ville où se tenait le conclave : Varnik (ville portant le nom du seconde souverain après Haldir), c’est : le siège de Varnik, qui ne dura pas plus de 24 heures, les princes électiviste avaient prévu la tentative de siège des Pravandiste, alors ils avaient placé leurs troupes dans les villages approximité de Varnik, à peine le siège était déclenchait que les troupes princières étaient en route, le siège fut étouffée, les armée héreditariste se dispersèrent. Ce fut le début de la guerre de succession.
Assimilation à l’Empire Kaulthe des territoires de l’Ouest : Moyenne Age Central : 1008 à 1012 :
La guerre civile pour la couronne des principauté de la Confédération demandant la continuité du système de -50 (qui consistait à la nomination du Roi par les prince et pour un prince) contre le clan Pravdan et ses partisans, héritiers de sang du premier roi ils exigent qu’on re-donne a leur famille la souveraineté sur la Confédération, cette guerre civile coupler à la fondation de l’Empire Kaulthe unissant le peuple Kaulthe va amener les Voslaves, dont la culture régionale est Vozlavski-kaulthique, de faire sécession, le 3 juin 1009 les clan Vozlavski-Kaulthique vont se réunir pour écrire et signer : le Traité de Nordholm, qui déclare la création de la Grande Principauté Kaulthe de Vozlavija dirigée par le conseil des princes, tous vassaux de l’Empereur Kaulthe.
Aucune réaction de la Confédération, le trône est vide. En 1010, l’hiver frappe les princes de ses maladies, tous succombent sauf un : Ildan II, il prend le trône devant les enfants des princes décédés, ses premières mesures : la centralisation de la Confédération Royale Vozlavi pour ré-stabiliser la situation devant la famine déclenchée par la guerre civile, il lève les armée puis attaque la Grande Principauté Kaulthe de Vozlavija mais l’armée Kaulthe arrive à la défense de ses vassaux, la Vozlavija est écrasée.
Pendant deux ans la Vozlajiva est occupée par l’Empire Kaulthe mais devant la brutalité de l’occupation les Vozlavi se soulèvent, l’armée Kaulthe est envoyée écrasé la révolte, l’armée de la Grande Principauté arrête les Kaulthe, les princes négocient avec l’Empereur pour libérer ceux qui étaient leurs frères, le 4 juin 1012 la Confédération Royale de Vozlavi reprend son indépendance, Wilhelm Von Harnov Ier devient Roi, officieusement la Confédération est devenue un état centralisé et satellite de l’Empire. Cette état décadent et fantoche va pendant des siècle causer la perde de Vozlavija jusqu’au 15e siècles. C’est cette condition de fantoche à l’Empire Kaulthe qui va faire germer le christianisme au Vozlavija.
Décadence de la monarchie et réveil de la bourgeoisie : Haut-Moyenne age : 1013 à 1387 :
Pendant 4 siècles, la Vozlavija si fier d’une histoire héroïque, connue une époque de soumission au Kaulthes, une soumission honteuse comparable à une vassalisation, les privilèges en moins… Tous les rois de cette époque se soumettaient à la demande de l’Empereur Kaulthe, selon les yeux de tous la tradition de l’élection du roi par les princes avait résisté, mais c’étaient dorénavant les Kaulthes qui tranchaient. Aucun roi ne pouvait être couronné sans la validation de l’Empereur Kaulthe (« L’Unique et Suprême allié de la Confédération » selon les textes officiels de l’époque). L’Empire Kaulthe soumettait la Confédération avec beaucoup plus de faits : tous les nobles Voslaves devaient jurer allégeance à l’alliance entre l’Empire et la Confédération (Dans les faits cela était plus tôt un serment d’allégeance à la Couronne Kaulthe), les princes Voslaves devaient donner à l’alliance Vozlavi-Kaulthique les deux tiers de leurs collectes agricoles, le roi Voslaves ne pouvait pas lever plus de 10 000 soldats et un envoyé Kaulthe surveillera les affaires confédérales pour la bonne tenue de l’alliance.
Par ses traités, la Vozlavija va s’affaiblir, les princes perdants leurs identités guerrières au profit d’une identité d’administrateur féodales vont quand même réussir à garder leurs privilèges en prenant personnellement une grosse part des taxes (après l’import royal et Kaulthes); l’alliance avec les Kaulthes va, par le sur-taxement de la paysannerie et l’ouverture de voie économique entres les deux entités, privilégier le développement d’une bourgeoisie marchande.
Le développement de la bourgeoisie marchande va commencer au 12e siècle, des artisans, commerçants, changeurs, … Vont commencer à s’installer dans des bourgs entre la frontière de la Grande Principauté (vassal de l’Empire Kaulthe) et la frontière de l’est, on appellera cette ligne commerciale : la Ligne Jaune. Les marchands passaient leurs années à faire des allers-retours entre la Kaulthie et la Ligne Jaunes pour acheter et revendre, le nombre de paysans passa de 90% de la population à 80% pendant que la bourgeoisie monta à 14% de la population. Au 13e siècle des princes ruinés par l’alliance offrirent des chartes d’autonomie aux bourgades marchandes contre des taxes directes, ces cités dévirent donc libres de toute responsabilité féodale à l’exception de l’autorité royale, mais encore les conseils bourgeois vont bientôt rivaliser avec les intendants royaux et l’administration confédéral.
Libres de gérer comme bon leur semble leurs cités surnommées « Les Cités-Libres » les bourgeois vont fonder des guildes et des corporation, et pendant que la noblesse se divise entre souverainistes et pro-Kaulthes, les bourgeois eux développe le nationalisme, qui apparaît comme seule force stable face à la noblesse déchirée. Les bourgeois payent des milices privées partout dans la Confédération pour se défendre les taxes arbitraires et les seigneurs ruraux. Cette bourgeoisie va envoyer leurs descendances étudier dans les universités Kaulthes, cette jeunesse va revenir avec les connaissances des Kaulthes, mais le dégoût du culte Impérial, des Universités Voslaves font donc être fondé est propagé les idées de raison, laïcité, d’ordre, de travail et de mérite dont rêve la bourgeoisie Voslaves.
En 1387, le roi Théodore III meurt, les princes élisent Haldir V comme roi, les Kaulthes lui demandent de remettre de l’ordre et de la hiérarchie dans la Confédération, dès le début, il annonça son hostilité au bourgeois et aux « Cités-Libres », ses actions suivront sa parole, la bourgeoisie bouillonna.
Révolution Bourgeois et réveil du peule : Renaissances : 1387 à 1768 :
Suite au couronnement de Haldir V et le début de la répression des « Cités-Libre », les Lumières, les philosophes bourgeois des « Cités-Libres » qui sont pour la plupart issus des universités Voslaves et prônant la prise de pouvoir de la classe de la raison (bourgeoisie) pour le bien commun, vont s’unir en Ligue des Cités Libres, bien que leurs idées soient différentes d’un individu à un autre, ils réussissent par l’impulsion prendre le pouvoir par une révolution : la Révolution Bourgeoise Voslaves (1387-1399).
Révolution se déroula comme ceci : le 5 avril 1387, toutes les Lumières les plus influentes se rassemblèrent à Rovgrad, c’est le salon de Skarzven, Johann Skarven est un bourgeois-forgeron (premier fabricant d’armes à feu Voslaves) à la tête d’une grande chaîne de forge, il est également une lumière prônant un Empire méritocrate et moderne, c'est lui qui rassembla les lumières pour cette réunion qui permit aux philosophes de mettre en place la Révolution ; le 2 juin 1387, les bourgeois par impulsion des lumières arrêtent de payer les princes, de ce fait les armées princières rafles les Cités-Libres les milices bourgeoise contre-attaque : la révolution commence ; au cours des années de conflit, les révolutionnaires se constituent en armée ; après 9 ans de lutte, les bourgeois en ont marre de la guerre et de l’instabilité, ils vont donc re-réunir le salon de Skarzven dit dorénavant le Congrès Éclairés, ils vont tous se mettre d’accord sur le régime à installer après la Révolution : un Empire méritocrate, une régime stable qui a comme but d’installer une noblesse par le mérite dans les idées des lumières coupler à un Congrès élue par le peuple pour assister les méritant, des idées ressemblant à celle de Skarzven, Skarzven, c’est lui qui inventa et défendu le concept, c’est également lui qui fut acclamé futur empereur par les lumières et par les soldats éclairés ; le 4 mars 1399 tout le pays fut conquis par les forces éclairées ; pendant un an, le Congrès met en place le régime qu’est l’Empire Méritocratique Vozlavi et le 1 janvier 1400 Johann Skarven est couronné Empereur, la bourgeoisie crie : « Vive l’Empereur ! Vive la Vozlavija ! Vive la nation impériale ! ». À noter que 27% du petit peuple, c’était rallier aux bourgeois, 19 % aux princes et 64% n’ont rien suivis ou rien penser. Malgré leurs 27% de soutien, les lumières omirent le peuple sur base de mérite, de production et de propriété.
- Au cours de cette période la Vozlavija va connaître plusieurs régime :
- L’Empire Méritocratique Vozlavi de 1399 a 1530, (l’Empereur est élue à la mort du précédent par le Congrès Éclairé)
- La Confédération restaurée de 1530 à 1551, restaurée après un coup d’état des bourgeois nostalgique de la confédération pendant toute son existence la Confédération restaurée fut instable.
- Empire des Provinces de 1551 à 1620, reprise de pouvoir légitime des lumières qui remettent un régime toujours aussi méritocrate mais avec des dimensions régionaliste pour contenter le peuple,
- Confrérie Chevaleresque de 1620 à 1624, les princes de la Grande Principauté (Vozlavija-Ouest) envoient leurs guerriers remettent leurs frère sur la voix confédéral de Haldir « Le Justes », le régime échoue et développe le nationalisme bourgeois.
- Empire des Provinces Voslaves de 1624 à 1926, les lumières reprennent le pouvoir en mettant en place un empire cette fois centralisé, héréditaire (le trône reviens à la famille Skarzven devenu une grande famille militaire), l’Empereur mets en place une fois pour toute une noblesse méritante (Militaire, patron,…), au fils des années la noblesse fonder par les empereur précédent prirent les devants sur l’Empereur qui ne deviens plus que le chef de l’armée et un symbole, le Congrés contrôlait par les grandes familles (Danzig, Melden, Varkov) s’occuper du reste
Cette période est également celle de l’éveil des masses, les masses Voslaves connurent jusqu’à la ce chemin : au origine le petit peuple était proche de leurs clan souverain, après la soumission au Kaulthes les puissants se séparèrent du peuples, les bourgeois les utilisent comme des armes ou des produits, les idées nationaliste vont exclure le petit peuple.
Mais la Renaissance Voslaves va les voir se réveiller par :
- L’alphabétisation des la population par les prêtés dissidents et les bourgeois attaché au peuple donc la peuple va commencer à lire des idées qui leurs était inaccessible (la bourgeoisie écarte le peuple des livres des lumières pour éviter une nouvelle explosion sociale);
- L’unification des dialectes Voslaves en une unique par le Codex Linguistique écrit par un bourgeois populaire;
- Entre 1492 et 1493 l’Empire connut son premier soulèvement populaire dans la région montagneuse d’Aslensk du fait de la centralisation excessif et des taxes abusives les mineurs se révoltèrent accompagnés de la bourgeoisie et déclarèrent l’Union Républicaine d’Aslensk, ils furent massacré par l’Empire, le peuple horrifié ne tentera plus de révolte pendant un petite bout de temps, mais leurs confiance envers l’Empire chuta drastiquement, les socialistes nommèrent les révoltés massacrés : les Martyrs d’Aslensk;
- Dans les villages de campagne des nouveau personnages apparaissent, appartir du 16e, les Conteurs itinérants : des ex-bourgeois devenue misérable ou des misérables devenu petit bourgeois parcourent le pays en recherche de défis, mais tout les soirs ils s’installent au milieu des places et content l’histoire Voslaves au peuple, peuple qui développa un patriotisme populaire attaché au héros du peuple comme Haldir I, les Lumières humanistes, Ildan II, les Martyrs d’Aslensk,… mais aussi les penseurs socialiste qui émergent aux fils des siècle;
- Le 18e et 19e siècle furent ceux de l’émergence de l’industrialisation et l’Empire toujours en recherche de modernité envoya en masses le petits-peuple travailler dans les usines asservi au patrons,
- Se sont les penseurs qui apparaissent au 17/18e siècle avec l’industrialisation accompagnée de l’aggravation de l’asservissement populaire qui vont surtout réveiller le peuple dorénavant en capacité de lire : ils s’appellent :
Jörj Darmen (1647-1660), Née d’une famille anciennement serf affranchie en 1400, il observa que même si la servitude était aboli la bourgeoisie avait abandonné le travail pour la propriété, il partit habiter à Aslensk où il devient mineur, il organisa des guilde ouvrière clandestine sans patron et avec une distribution équitable des ressources, il appelais aussi a une justice commune, refusant le travail des mineurs pour les forges militaire impériale il sera capturé et pendue en 1660. Sa citation la plus célèbre est : « Tant que la terre aura des entrailles, l’homme libre y creusera sa liberté. » Texte qu’on retrouve gravé dans plusieurs vieux bâtiments et mines d’Aslensk et également dans plusieurs cellules de la prison historique de Rovgrad. Jose Nakska (1699-1754), Fils de paysans, cet instituteur va monter rapidement les rangs de l’éducation de professeur de campagne à principale à Rovgrad, il rencontra les grands noms de la bourgeoisie de l’époque et fit plein de constats affligeant, s'il a pu monter si haut, c’est, car il a caché ses idées politiques pendant longtemps jusqu’en 1729 où a trente ans, il publia : Le Livre des Pauvres, où il dénonce la corruption du Congrés Éclairé, l’emprise des familles bourgeoises dites méritantes, mais en fait faussement méritante sur une « démocratie » qui n’a rien de démocratique et l'oppression de l'argent sur le travail, c'est le premier livre politique non-bourgeois imprimé en Vozlavija (il à déjà eu des livres socialistes imprimés, mais jamais écris par quelqu'un issue du peuple.), à partir de la Nakska se sépare totalement de la société bourgeoise dont il n’a jamais réellement fait partie, il commence à organiser des Cercles du Peuple, des réunions clandestines d’ouvriers et d’artisans pour débattre de politique et apprendre à lire pour certains. Nakska va vite devenir la figure du peuple du fait du flou qu’il laisse sur le régime à mettre en place et de son combat pour la liberté populaire, alors tout le monde se réclame de ce dénonciateur audacieux qui se fera arrêter une multitude de foi sans jamais faire couler une goutte de sang et toujours, presque toujours, en s'échappant. En 1754, il fut arrêté en train de faire un discours au balcon du palais impérial profitant d’un voyage impérial pour critiquer, avec un verbe provocant forçant l'admiration, l’impérialisme autocratique et bourgeois, il mourra de cause inconnue, une semaine après avoir été enfermé. Il avait écrit révolté dans le Livres des Pauvres : « L’ignorance est le joug le plus lourd que l’on puisse imposer au peuple. » Témoignant que le plus grand de son combat n’était pas pour une idéologie, mais pour que tout le monde puisse trouver et choisir sa voie dans la liberté, un combat qui le rendit autant populaire couplé à son éloquence provocatrice. Nikola Trezvan (1708–1745), Ouvrier typographe, il est un grand partisan de Nakska, il fondra en 1732 le premier journal ouvrier : La Voix du Marteau. En 1744, les locaux du journal sont victimes d’une descente de police, les ouvriers sont enfermés 5 ans, les rédacteurs et les organisateurs sont enfermés à vie, Trezvan et Nakska seront attrapés. Un an après Trezvan meurt torturé, Nakska réussira à s’enfuir un jour après la mort du célèbre journaliste et imprimeur. On retient de lui plusieurs articles qui ont fait bouillir le tout Rovgrad et qui ont su approfondir le socialisme Voslave par des idées d’égalité et d’autogestion qu’il répandu dans les quartiers ouvrier de Rovgrad. L’annonce de sa mort divulgué par la voix de Nakska provoqua des manifestations qui devint des émeutes dut à la répression policière des manifestations pacifiques, Nakska se rendit aux autorités contre l’arrêt de la répression, bien sûr Nakska fuit encore une fois après la stabilisation de la situation. On retient surtout de Trezvan, une phrase qui orne tout les journaux révolutionnaires et anti-autoritaire Voslaves : « Chaque mot imprimé est un clou dans le cercueil des tyrans. » Ilvar Prazdanov (1718–1755), Ancien soldat impérial blessé devenu écrivain, il dénonce les abus du patronat grandissant, il rappelle le devoir du peuple Voslaves de ne pas se laisser faire, appelle l'armée à se mutiner quand on l'enverra frapper du « roturier » et il défend le concept d'un État gouverné par le peuple comme régime rêvée et définitif, il écrira dans son chef-d’œuvre : Le Chant des Forgerons : « L’État est forgé par les mains de ceux qui travaillent, non par ceux qui possèdent », la fin de son œuvre comporte le texte suivant qui marqua des générations de révolutionnaire « Oh peuple, ne te sert plus que toi même… Si tu dois servir une armée elle doit être tienne, si tu doit servir un pays il doit être tien, si tu dois servir une révolution elle doit être tienne et seulement tienne ». Grand fumeur d’opium, il mourra d’un cancer des poumons en 1755 après quelques tentatives ratées d’assassinat de la part de l’empire. Bien, qu’il ne participa à aucune action militante et qu’il resta la majorité de sa vie littéraire cloîtrée chez lui ses textes ont grandement toucher les révolutionnaire Voslave qui était libre de disposer de ses idées de révolutionnaire assumée au contraire de Nakska. Anja Rovska (1719–1762), Fileuse, poète autodidacte et également militante, Anja Rovska est née à Rovgrad d’une famille de mendiants, elle perdit ses parents à l’âge de quatre ans et fut recueilli par des ouvrières tisseuses qui lui apprirent le métier. À l’âge de 21 ans, en 1740, Anja commence à participer au Cercles du peuple de Nakska jusqu’à sa mort, elle rencontrera Nakska à plusieurs reprises lors des Cercles et retient de lui un grand personnage inoubliable, il traitait le peuples et la bourgeoisie de la même façon avec provocation et humour, la camaraderie en moins pour les seconds, maiss elle se rappelle l’avoir déjà vu purement révolter sans humour, une expérience glaçante. À force de côtoyer les Cercle et à écrire des poèmes, elle va être repérée par Trezvan et commencer à publier dans La Voix du Marteau, ses poèmes vont émouvoir et faire bouillir la colère du peuple. Rovska va devenir la première femme à diriger un mouvement populaire organisé en fondant en 1753 : la Société des Mains Rouges, un réseau d’entraide pour les veuves, ouvrière, orpheline, orphelins et handicapés. En 1754, elle glisse par terre et se casse une côte, elle passera l’année à l’hôpital, ce qui lui permettra d’éviter les descentes de police aux locaux de Trezvan. Elle écrira en 1758, un recueil de poèmes célébrant le travail, le mérite du petit peuple et la dignité des pauvres : Les Chants du Métier où elle écrira : « Nos doigts tissent le monde, mais c’est d’autres qui en portent les gants. ». En 1755, elle aide Nakska à s’évader de prison puis une deuxième fois après qu’il s'est rendue pour arrêter la répression. En 1762, l’Empereur met en place une taxe conséquente pour les entreprises non financées par des bourgeois, la Société des Mains Rouge manifeste (la Société des Mains Rouges est connue pour ses nombreuses manifestations), Anja se fait arrêter et exécuter par strangulation. Elle est depuis sa mort appeler la Mère du peuple. Vasil Brenov (1735–1768), La naissance de Vasil Brenov à Rovgrad cache un lourd secret, il est le résultat de l’amour de jeunesse d’Anva Rovska à 16 ans, Vasil fut abandonné par sa mère pour lui éviter la répression impériale et le danger révolutionnaire, Anva s’en voudra au plus haut point pendant toute sa vie. Brenov fut recueilli par un syndicat d’ouvriers de chantier, il grandira en lisant Nakska, Trezvan, Prazdanov et Rovska sans jamais connaître leurs liens biologiques. Brenov devient ouvrier de chantier, après la mort du syndicat qui l'élevait par des policiers, Brenov parti à Ilmar, la seconde plus grosse ville industrialisée de l’Empire, il y fondera la Ligue des Travailleurs d’Ilmar en 1761, ligue de syndicats qu’il représentera en défendant : la liberté, l’autogestion, la justice sociale et l’émancipation populaire des Voslaves. À Ilmar, les taxes impériales sont augmentées, les salaires et conditions de travail ne sont plus surveillées et la répression des mouvements populaires est sévère. En 1761, il retourne un Rovgrad pour soutenir les émeutes qui ont éclaté après la mort de Rovska, il espère une révolution, mais il devra rentrer à Ilmar suite aux répressions policières. Sentant que le peuple était démuni de grand penseur socialiste à l’échelle nationale depuis la mort de Rovska, il commença à entretenir une correspondance avec le leader des Cercle du Peuple hérité de Nakska : Gregor Danzig. En 1767, Danzig publie son chef-d’œuvre : [/i]Le Manifeste de la Colère[/i], Brenov fait circuler le manifeste à Ilmar, il observe la réaction positive du peuple qui semble ouvert à la révolte. Il appelle Danzig à quitter Rovgrad pour Ilmar et le 6 juillet 1768, s’inspirant des textes de Praznadanov et Trezvan, débute l’Insurrection d’Ilmar, les ouvriers, artisans et soldats mutinés se soulève contre l’Empire. Avec Danzig, Brenov dirigera l’Insurrection en mettant en place les idées de Danzig avec l’aval du peuple, Danzig déclara la République des Travailleurs d’Ilmar, Brenov appliqua la République. Pendant toute son existence, la RTI fut en conflit avec l’Empire qui de sa grande armée essayer d’envahir la ville, mais Ilmar était devenu un paradis démocratique des travailleurs. Malgré cela le 23 décembre 1768, l’armée impériale reprend Ilmar, les insurgés sont exécutés en masse au cours de procès expéditif sans réel jugement, au poteau, il hurla au côté de Danzig avant de se faire fusiller : « Nous avons attendu trois siècles pour parler ; qu’ils essayent de nous faire taire encore ! ». Il restera dans la mémoire des survivants : le bras du peuple. Gregor Danzig (1742–1768) Gregor Danzig est issue de la grande famille bourgeoise Danzig mais son père Trésorier Imperial sera exclu de la bourgeoisie après avoir dénoncer la corruption au seins de la bourgeoisie, sa mère femme de lettre et de justice l’envoya à l’Université de Rovgrad où il découvrit clandestinement les Livres des pauvres de Nakska, le Chants des Forgerons de Praznadanov,… Rapidement, sa famille ruiner, il se rapprocha du peuple, et la condition des Voslaves le rendit particulièrement en colère et il suivit la voie de ses modèles, il commença a écrire des texte qui trouveront l’approbation du peuple comme : Sur la Dignité du Travail (1757), repérer par ses écrits, Danzig fut approché des Cercles du peuple, il devint rapidement le leader d’un réseau de Cercles du Peuple. Il écrira plusieurs autre livres qui auront un grand succès. En 1761, Rovska meurt, des émeutes explosent, dans ses émeutes Danzig rencontra le leader de la Ligue des Travailleurs d’Ilmar : Vasil Brenov avec qui il commença à correspondre. En 1767, Danzig publie son chef-d’œuvre : [/i]Le Manifeste de la Colère[/i]


Leader et créateur du Nardonisme (1811-1885)
Leader de la révolution populaire Voslaves (1868-1935)