Posté le : 22 oct. 2025 à 17:05:06
Modifié le : 22 oct. 2025 à 17:05:22
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Pour l’histoire du SGIN : malgré l’éclatement du PUPG, les anciens membres du PUPG vont continuer à propager les idées de Danzig étant l’un des seuls penseur du peuple connu par les Garmflüßensteinois, au fil des années le socialisme Garmflüßensteinois va naturellement être rattaché à Garmflüßensteinois, la notion de socialisme renvoyant soit à une bourgeoisie favorable à de maigre avancer sociale (POS) et au Nardonisme. Les Nardoniste sont désunis en plusieurs petits partis socialistes qui des fois s’unissent, en 1840 au début de la colonisation : les partis socialistes organisent des manifestations ensemble contre la colonisation et pour la patrie populaire pour chaque peuples, Danzig qui n’a pas remis les pieds au Garmflüßenstein depuis 1836 publie un article en destination des socialistes Garmflüßensteinois, il y appellera les socialistes à s’unirent car : « Bon sang camarade, l’UNION, est le principe f-o-n-d-a-t-e-u-r du Nardonisme, du socialisme que je defends tout comme vous. » (Lettre aux nombreux PSG de Danzig, 1840), alors sous l’impulsion de Danzig La Coalition Nardoniste Garmflüßensteinois (la CNG porte un nom de coalition mais est organisée comme un parti) fut fonder et fut la première force d’opposition au parlement contre les projets de colonisation.
De l’hiver 1845 au printemps 1847 la CNG fut au pouvoir avec les partis de centre-gauche mais après avoir essayer de faire passer de nombreuses réformes sociales radicales et l’abolition totale de l’esclavage, la majorité des réformes qu’on pouvait surnommer de révolutionnaire ne furent pas adoptés à cause de l’extrême gauche, en 1847, bien que le CNG possédait encore une place importante dans l’hémicycle, le chef du gouvernement issue du CNG fustigea le centre-gauche de tout centre d’insulte et conclut par : « Eh bah m*rde ! Nous retournons dans les rues vous faire ch**r mais ne comptez par sur nous pour vous offrir nos siège » suite à sa le gouvernement déposa sa démission, les partis de centre-gauche perdirent une partie de leurs électorats et de grandes manifestations eurent lieu.
En 1852, le CNG reforme un coalition avec les partis de centre-gauche et forme un gouvernement, a plusieurs reprises le gouvernement invite Danzig à participer à des séances parlementaires se qu’il fera, les prises de parole de Danzig légitimera le CNG aux yeux de la gauche modérée, ce gouvernement est surnommé par l’opposition le « gouvernement des interdictions » car se gouvernement proposa et réussira à installer des lois réglementant le travail en faveur des ouvriers, Danzig défendra les interdictions par un discours qu’il prononcera en Kaulthe et qui restera graver dans l’histoire socialiste :
Discours«Ô représentant du peuple Garmflüßensteinois, je vois que vous avez suivi les conseils que j’ai donné à vos père ou à vous, vous avez formé une PATRIE ! [applaudissement des délégués du CNG] Mais vous vous êtes fait devancer par les bourgeois, j’ai manqué à mon devoir en vous abandonnant, pouvez vous me pardonner ? Moi, je ne me pardonnerais pas ! [rire de la gauche au centre] Vous vous êtes fait devancer par les bourgeois, dommage, oui ! Ils ont encore voler votre combat [râlement à droite] ! Mais le peuple existe encore, rien n’est toute a fait perdue camarade. La preuve, le peuple unie à ici fait fonder un gouvernement populaire dans une République… BOURGEOISE. Et grâce à elle je me présente aux fameux bourgeois pour leurs dire que oui, nous leurs imposons des interdictions ! Nous leurs interdisons de continuer leurs politiques économiques inhumaines [approbations des délégués du CNG] ! En quelques sortes nous les sauvons de l’enfer [Insulte des parlementaires à droite] ! Nous sommes bien gentil, nous sauvons le peuple par le peuple en améliorant r-a-d-i-c-a-l-e-m-e-n-t leurs vie et nous sauvons les bourgeois du jugement dernier en leurs interdisant leurs économies monstrueuses. […] Chère parlementaire, votre caste qui également celle de mon grand-père Gregor Danzig, grande révolutionnaire d’Ilmar en Voslavie, cette caste bourgeoise a interdit au peuple de vivre comme l’être humain devrait vivre donc nous vous interdisons de continuer cette pratique tout simplement INHUMAINE ! Vive le peuple ! A bas l’exploitation ! Voici le cri que poussait les Voslave au 18e et aujourd’hui je le transmets à votre peuple car il est légitime partout où la bourgeoisie existe ! [les parlementaires du CNG entonnent l’Internationale pendant que Danzig descend du perchoir] »
Quelques mois plus tard Danzig revient au parlement mais il est à l’entrée du parlement accueilli par des militants d’extrême-droite qui l’insulte à coup de xénophobie et d’anti-nardonisme, à la sortie du parlement il sera violenté pendant deux jours la capitale est frappée d’émeute entre anti-Nardoniste et Nardoniste. Alors, les parties de centre-gauche brisèrent la coalition et le gouvernement déposa sa démission. Danzig organisa un meeting du CNG et dit qu’il fallait unir tout le petit peuple pour faire la révolution et que conjointement à la révolution le parlement et le gouvernement doit être pourrit par le parti pour coordonner la révolution, il repartit après en Voslavie. Il continua à aider le CNG par des lettres mais ne revirent plus jamais sur le sol Garmflüßensteinois.
Le départ de Danzig fut accompagné de manifestations d’au revoir, manifestations qui se transformèrent en tentative de révolution, tentative de révolution qui malgré la taille du parti dégoûtera le gauche modéré de tenter toutes coalition.
En 1875 à l’automne 1876, le CNG repris le pouvoir en formant une coalition avec la droite anti-Kaulthe mais aucune réforme fut mise en place et le gouvernement reposant sur une coalition saugrenue d’anti-impérialiste patriote et de souverainiste se cassa la figure.
En 1884, la FIN (Fédération Internationale du Nardonisme) est fonder par Danzig (un an avant sa mort), la CNG toujours attaché à Danzig rejoint immédiatement l’organisation et se renomme SGIN (Section Garmflüßensteinois de l’Internationale Nardoniste). Danzig vieillissant leurs adressa une lettre : « Dire que j’avais failli vous oublier, mes enfants, vous qui constituèrent l’une des rares révolution que j’ai réussi mais aussi rater au profit des bourgeois. Qu’avez vous fait, vous et vos père depuis mon absence, depuis 1852 ? Rassurez-vous je remettrai un pied j’ai vous à la nouvelle année. » mais Danzig ne réalisera pas sa promesse, la mort l’emportera avant.
En 1909 à 1911, la SGIN reforma une coalition avec la droite mais cette fois la SGIN était en majorité face à la droite au seins du parlement et du gouvernement, elle commença donc à réformer l’armée et la police pour l’affaiblir et soutenir une possible révolution populaire. Cette affaiblissement des forces militaires permettront aux Kaulthe de monter le coup d’état. La résistance au coup d’état ne fut pas assez forte du fait de l’immigration de : l’abandon politique des certains Nardoniste du fait de la coalition avec la droite, la présence de plusieurs délégations du SGIN a l’étranger (siège du FIN ou dans le siège d’autres Section de la FIN) et la division interne au sein du SGIN sur la résistance ou pas (les anti-résistance diront que la revolution n’est pas prête). A partir de la le SGIN rentre en clandestinité et en résistance, au fil des années il grossira encore plus dans les milieux résistants.
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