16/12/2017
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[Encyclopédie] Encyclopédie volignonaise, Répertoire raisonné des Sciences, des Lettres, des Arts et des Métiers

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5951
Page de titre de l'Encyclopédie Volignonaise, où l'on peut voir un texte avec une qualité d'encrage et une police de style XIXe siècle et comprenant une gravure montrant des vachers adorant le sacré cœur du Christ. Il y est écrit les mots suivants : "Encyclopédie Volignonaise, Répertoire raisonné des Sciens, des Lettres, des Arts et des Métiers. Avec la biographie des hommes célébres depuis l'origine du monde jusqu'à nos jours et des gravures dans le texte formant la bibilothéque la plus universelle qui a été publiée jusqu'à ce jour, contenant la matière de plus de 500 volumes in°8, résumé de plus de 10 000 ouvrages, et comprenant, avec des traités particuliers sur chaque matière, Tout les dictionnaires spéciaux". Puis sous la gravure : "Ligue de défense des traditions" et en pied de page : "P. Barres, éditeur" et la date : "MMVI", c'est à dire, en chiffres arabes : 2007.

Avant propos en une page, une colonne, composé d'un titre et de paragraphes sans interlignes mais avec une légère tabulation, dans un style XIXe siècle

le texte en blocAvant Propos
L’Encyclopédie Volignonaise n’est pas une collection d’ouvrages comme les autres. Il s’agit très certainement de la plus vaste et de la plus savante compilation de textes que l’humanité ait jamais produite. Elle naît d’une double motivation : d’une part, la crainte d’un cataclysme prochain et destructeur susceptible d’entraîner la chute de la civilisation et de ses découvertes ; d’autre part, le devoir de veiller à ce que la foi volignonaise — seule foi authentique — ne disparaisse jamais, quelles que soient les vicissitudes d’un monde livré aux démons et à leurs serviteurs.
Bien entendu, la foi ne peut se transmettre comme une simple connaissance, puisqu’elle est d’abord une grâce ; mais pour en faciliter l’accès, il demeure utile, et même vital, de mettre à la disposition de tous ce qu’il convient de savoir afin de croire avec justesse et en vérité. C’est pourquoi ont été rassemblées, dans cette collection, les doctrines nécessaires au Salut, accompagnées d’un grand nombre d’entrées portant sur l’ensemble des réalités de la civilisation : sciences, arts, techniques, lieux, batailles, événements historiques, biographies d’auteurs, de saints, penseurs et artistes, qu’ils soient bons ou mauvais. Car s’il est indispensable de lire les auteurs sacrés et les saints, il est utile de connaître les bons auteurs profanes, et plus utile encore de connaître les mauvais, afin de ne pas risquer de les fréquenter dans l’ignorance. Pour cette raison, l’Encyclopédie fournit des notices sur explicatives sur tous, y compris sur ces derniers, en montrant clairement pourquoi il faut impérativement les fuir.
Ainsi, comme l’indique le titre de cette collection, le lecteur trouvera tout au long de ces nombreux volumes l'ensemble des connaissances qu’il lui faut posséder, tout du moins en première approche. Il y trouvera certes la doctrine, mais aussi l’hagiographie, qui offre des exemples salutaires à vénérer et à imiter, ainsi que des vies et des œuvres de savants, de personnages importants de l’histoire, et des présentations de lieux, de choses, d’idées, de pratiques et de méthodes. En somme, par cette collection, nous nourrissons l’ambition, certes audacieuse, de proposer l’ensemble des connaissances humaines, présentées de manière juste, authentique et, par conséquent, exempte d’erreur.
C’est ainsi, par exemple, que la soi-disant « théorie de l’évolution » est présentée comme ce qu’elle est réellement : une doctrine absurde, fausse et insultante, tant pour l’œuvre du Créateur que pour la dignité de sa créature. Nous expliquons donc, avec insistance, qu’il est faux et scandaleux d’affirmer que l’homme descend du singe ou de quelque mammifère que ce soit, et que nul animal ne peut engendrer une autre espèce. Nous rappelons aussi que chaque nature a été créée par Dieu dans son essence propre et que c'est cette essence que chacune de ses créature transmet à sa descdance, les monstres n'y changeant rigoureusement rien. Et ce que nous exposons pour les sciences naturelles, nous l’appliquons également aux idées politiques. C'est ains que nous démontrons, entre autres, toute l’absurdité du communisme et de ses prétentions aussi folles et ridicules, lesquelles reposent sur une anthropologie gravement erronée et une méconnaissance flagrante des lois du monde. Et il en va naturellement de même pour le libéralisme, dont nous montrons également l’inanité en révélant qu’il n’est que la version dégradée du nominalisme et de l’anomisme que nos ancêtres ont dû combattre.
Si L’Encyclopédie accorde une importance particulière à la défense de la Vérité en matière de Foi et de Sciences, elle ne néglige pas pour autant la géographie et présente à ses lecteurs le monde tel qu’il est, en incluant l’histoire des peuples et les planches cartographiques pour la comprendre. De même, elle tient naturellement à jour, dans un esprit de raciologie rigoureux, les données permettant de distinguer les différentes caractéristiques des principales races humaines. Elle précise évidemment que si aucune des cinq races n’est naturellement égale à une autre — car l’égalité n’existe pas dans la nature et n’est qu’une vue de l’esprit des socialistes —, toutes sont néanmoins des créatures de Dieu, appelées à être rachetées et à devenir enfants de Dieu et donc d'une égale dignité sur le plan spirituel.
Enfin, cette Encyclopédie ne méprise pas les besoins pratiques de ses lecteurs. Elle consacre un grand nombre d’articles à la bonne gestion d’une ferme ou d’un ranch, à l’agriculture et à l’élevage, ainsi qu’aux techniques de construction et d’entretien des bâtiments. Elle traite également, toujours à titre d'exemple, de l’installation, de l’entretien et de la réparation d’un groupe électrogène ou d’un système domestique d’assainissement de l’eau ou encore de gestion d’une fosse septique. En somme, tout ce qu’il faut savoir pour sauver son âme, préserver son corps, assurer la sécurité et la prospérité de sa famille ou de sa communauté religieuse se trouve dans ces tomes. Le tout est naturellement publié avec l’imprimatur de l’Archevêque de Sainte-Régine, qui préside actuellement par nécessité à la tête de la Sainte Église durant la vacance du Siège de Volignon, seul siège pontifical authentique et qui se relèvera.




TABLE DES MATIÈRES

- A -
SpoilerAnges (chute)
Aurore (Lycée Sainte-)

- B -
SpoilerBalle (Armurerie)
Balle (jeu de)
[color=##C70001]Ballet[/color]
Boxe

- C -
SpoilerCainitisme
Catholagnisme
Chasse

- F -
SpoilerFauconnerie
Fondation
Fondation (IIe concile de)
Force (Vertu de)

- G -
Spoiler Gallouésie
Gaudeline (Sainte)
Gymnase
Gymnastique
Gothmates

- I -
SpoilerInversion
- L -
SpoilerLutte
Limitanei

- O -
SpoilerOpéra
- P -
SpoilerPéché originel
Pornocratie

- R -
SpoilerRéfraction
- S -
Spoiler Salle (sports de la)
Scène
Sobriquet
Soc
Soccer
Sociabilité
Sociable
Social/le
Sociales (apiaires)
Soule

- T -
SpoilerTennis (de table)
- V -
Spoiler Vertus (les sept)
Volition
Volitionisme
Volignon
Volignonisme
Volignoniste
Volle
Volley
Volleyball
Volleyeur
Volleyeuse
Volontaire

Légende des couleurs :
Article incomplet (dépassant en début ou fin d'extrait)
Mot dérivé appelant une autre entrée
Article complet
Entrée Appelée
Entrée de Remplissage
4932
Page d'encyclopédie en deux colonnes et comprenant des entrées en VOL - VOL, paginé 234, incluant les entrées suivante : Volition (extrait de la fin), Volitionisme, Volignon, Volignonisme, Volignoniste (incomplet)

Texte en bloc Avant Propos
L’Encyclopédie Volignonaise n’est pas une collection d’ouvrages comme les autres. Il s’agit très certainement de la plus vaste et de la plus savante compilation de textes que l’humanité ait jamais produite. Elle naît d’une double motivation : d’une part, la crainte d’un cataclysme prochain et destructeur susceptible d’entraîner la chute de la civilisation et de ses découvertes ; d’autre part, le devoir de veiller à ce que la foi volignonaise — seule foi authentique — ne disparaisse jamais, quelles que soient les vicissitudes d’un monde livré aux démons et à leurs serviteurs.
Bien entendu, la foi ne peut se transmettre comme une simple connaissance, puisqu’elle est d’abord une grâce ; mais pour en faciliter l’accès, il demeure utile, et même vital, de mettre à la disposition de tous ce qu’il convient de savoir afin de croire avec justesse et en vérité. C’est pourquoi ont été rassemblées, dans cette collection, les doctrines nécessaires au Salut, accompagnées d’un grand nombre d’entrées portant sur l’ensemble des réalités de la civilisation : sciences, arts, techniques, lieux, batailles, événements historiques, biographies d’auteurs, de saints, penseurs et artistes, qu’ils soient bons ou mauvais. Car s’il est indispensable de lire les auteurs sacrés et les saints, il est utile de connaître les bons auteurs profanes, et plus utile encore de connaître les mauvais, afin de ne pas risquer de les fréquenter dans l’ignorance. Pour cette raison, l’Encyclopédie fournit des notices sur explicatives sur tous, y compris sur ces derniers, en montrant clairement pourquoi il faut impérativement les fuir.
Ainsi, comme l’indique le titre de cette collection, le lecteur trouvera tout au long de ces nombreux volumes l'ensemble des connaissances qu’il lui faut posséder, tout du moins en première approche. Il y trouvera certes la doctrine, mais aussi l’hagiographie, qui offre des exemples salutaires à vénérer et à imiter, ainsi que des vies et des œuvres de savants, de personnages importants de l’histoire, et des présentations de lieux, de choses, d’idées, de pratiques et de méthodes. En somme, par cette collection, nous nourrissons l’ambition, certes audacieuse, de proposer l’ensemble des connaissances humaines, présentées de manière juste, authentique et, par conséquent, exempte d’erreur.
C’est ainsi, par exemple, que la soi-disant « théorie de l’évolution » est présentée comme ce qu’elle est réellement : une doctrine absurde, fausse et insultante, tant pour l’œuvre du Créateur que pour la dignité de sa créature. Nous expliquons donc, avec insistance, qu’il est faux et scandaleux d’affirmer que l’homme descend du singe ou de quelque mammifère que ce soit, et que nul animal ne peut engendrer une autre espèce. Nous rappelons aussi que chaque nature a été créée par Dieu dans son essence propre et que c'est cette essence que chacune de ses créature transmet à sa descdance, les monstres n'y changeant rigoureusement rien. Et ce que nous exposons pour les sciences naturelles, nous l’appliquons également aux idées politiques. C'est ains que nous démontrons, entre autres, toute l’absurdité du communisme et de ses prétentions aussi folles et ridicules, lesquelles reposent sur une anthropologie gravement erronée et une méconnaissance flagrante des lois du monde. Et il en va naturellement de même pour le libéralisme, dont nous montrons également l’inanité en révélant qu’il n’est que la version dégradée du nominalisme et de l’anomisme que nos ancêtres ont dû combattre.
Si L’Encyclopédie accorde une importance particulière à la défense de la Vérité en matière de Foi et de Sciences, elle ne néglige pas pour autant la géographie et présente à ses lecteurs le monde tel qu’il est, en incluant l’histoire des peuples et les planches cartographiques pour la comprendre. De même, elle tient naturellement à jour, dans un esprit de raciologie rigoureux, les données permettant de distinguer les différentes caractéristiques des principales races humaines. Elle précise évidemment que si aucune des cinq races n’est naturellement égale à une autre — car l’égalité n’existe pas dans la nature et n’est qu’une vue de l’esprit des socialistes —, toutes sont néanmoins des créatures de Dieu, appelées à être rachetées et à devenir enfants de Dieu et donc d'une égale dignité sur le plan spirituel.
Enfin, cette Encyclopédie ne méprise pas les besoins pratiques de ses lecteurs. Elle consacre un grand nombre d’articles à la bonne gestion d’une ferme ou d’un ranch, à l’agriculture et à l’élevage, ainsi qu’aux techniques de construction et d’entretien des bâtiments. Elle traite également, toujours à titre d'exemple, de l’installation, de l’entretien et de la réparation d’un groupe électrogène ou d’un système domestique d’assainissement de l’eau ou encore de gestion d’une fosse septique. En somme, tout ce qu’il faut savoir pour sauver son âme, préserver son corps, assurer la sécurité et la prospérité de sa famille ou de sa communauté religieuse se trouve dans ces tomes. Le tout est naturellement publié avec l’imprimatur de l’Archevêque de Sainte-Régine, qui préside actuellement par nécessité à la tête de la Sainte Église durant la vacance du Siège de Volignon, seul siège pontifical authentique et qui se relèvera.

Commentaire des Entrées
Commentaire des Entrées
Attention, ce commentaire est généré automatiquement avec angle socdem et il n'est pas canon, il est seulement là pour vous épargner la lecture et, idéalement, vous donner envie de lire. Il commet fréquemment des erreurs et parfois énormes. Il peut également servir à montrer le décalage entre le Makota (et ici sa religion, le Volignonisme) avec le monde actuel puisque le commentaire est premier degrés.
Page d'encyclopédie en deux colonnes et comprenant des entrées en BAL - BAL, paginé 254, incluant les entrées suivante : Balle (armurerie) (extrait de la fin),Balle (jeu de  (incomplet)


Page d'encyclopédie en deux colonnes et comprenant des entrées en BAL - BAL, paginé 255, incluant les entrées suivante : Balle (jeu de  , Ballet (incomplet)

Texte en bloc Par conséquent, quand on tire un poisson dans l'eau, il ne faut viser ni au-dessus ni en dessous si le poisson est prés de la surface. On verra au mot REFRACTION qui le poisson est en dessous de la surface, la réfraction du rayon visuel le fait paraître au-dessus de la place où il est réellement, de sorte qu'en ce qu'a il faut tirer un peu en-dessous, d'autant plus qu'il est plus enfoncé. (V.REFRACTION)

BALLE (Jeux de) :
I. Présentation des jeux de balle
II. Les jeux de balle au Makota
III. Vertus et danger moraux de ces jeux

I. Présentation des jeux de balle
Les jeux de balle sont des activités physiques et ludiques — autrement dit sportives, pour reprendre ce terme moderne — qui se pratiquent le plus souvent au gymnase (V. GYMNASE), mais pas exclusivement. Ils se jouent généralement en équipe, bien que certains puissent se pratiquer en duo ou même en solitaire. Leur principe fondamental consiste toujours à affronter un adversaire — généralement dans une configuration symétrique, bien qu’il existe des cas asymétriques compensés par une rotation des positions. Le but reste toujours de marquer des points, mais les modalités de comptage et de réalisation de ces points varient grandement selon chaque discipline.

Les sports de balle semblent exister depuis l’aube des temps. Si l’on en croit certains témoignages antiques, les Rhémiens et les helléniques pratiquaient déjà des jeux collectifs intégrés à des activités d’hygiène et d’entretien du corps. Plus tard, au Moyen Âge, apparaît la soule (V. SOULE), affrontement extrêmement violent entre deux équipes — souvent celles de deux villages voisins — cherchant à s’emparer de la balle et à la porter en un lieu défini. Il n’existait alors qu’une règle : l’interdiction d’employer une arme. Les blessures y étaient fréquentes, et l’on y mourait parfois, mais la partie ne pouvait jamais être interrompue avant sa conclusion. On estime que la majorité des jeux de balle actuels dérivent directement ou indirectement de la soule.

Quant à la balle elle-même, sa taille, sa forme et sa matière varient considérablement. Elle est souvent en cuir et de dimensions suffisantes pour être tenue dans les bras ou frappée du pied, mais il existe des modèles beaucoup plus petits, tels que la balle de tennis de table (V. TENNIS (de table)), creuse, en plastique, et de la taille approximative d’un œuf de poule. D’autres sont ovoïdes, comme au rugby ; certaines tiennent dans le creux de la main, comme celle du handball ; d’autres encore sont légèrement plus grosses, comme au basketball. Toutefois, la majorité des ballons adoptent une taille comparable à celle utilisée au soccer (V. SOCCER) ou bien encore au volleyball (V. VOLLEYBALL).

Outre les équipes et la balle, chaque sport dispose de son propre matériel spécifique. On joue en général sur un terrain tracé — à la craie dans la tradition mais aujourd'hui largement remplacée par de la peinture qui est beaucoup plus durable — dont les dimensions et la forme varient profondément selon la discipline. Ainsi, au tennis de table, le terrain se réduit à la table, autour de laquelle les joueurs se déplacent librement sans droit d’y toucher ; au soccer ou au rugby, on utilise un vaste terrain rectangulaire ; tandis que pour le volleyball, le basketball, le handball ou le badminton — tous sports de gymnase — les terrains sont nettement plus réduits.

On distingue par ailleurs deux grandes catégories de jeux de balle : les jeux de contact, dépourvus de filet (soccer, basketball, handball, rugby), et les jeux sans contact, qui recourent à un filet afin de séparer les adversaires. Les filets, bien que variant en hauteur, en tension et en maillage selon le sport, sont généralement constitués de cordage blanc tressé à la manière d’un filet de pêche neuf. Il convient toutefois de noter que la balle au prisonnier, réorganisée récemment sous la forme du dodgeball (jeu d’esquive), constitue une exception notable : bien que sans contact, elle ne comporte aucun filet.

II. Les jeux de balle au Makota
Le Makota connaît, dès l’arrivée de ses premiers colons, une hi-stoire fortement liée aux jeux de balle. Tout commen-ce en 1735, lorsque les premiers pères volignonistes, fuyant le Vieux Continent — principalement la Gallouésie et l’Antérinie (V. VOLIGNON) — s’installent en Aleucie et s’établir à Fondation (V.FONDATION). Ces colons apportent avec eux leur jeu traditionnel : la Soule (V. SOULE). On y joue alors sans retenue ni modération, les dimanches d’été, l’après-midi après la messe. Les villages se transforment en champs de bataille où les jeunes hommes affrontent ceux du village voisin pour ramener la balle (elle-même nommée soule) au centre de leur propre village. Toutes les techniques de lutte et de boxe sont admises, pourvu qu’aucune arme ne soit employée et que personne ne frappe ou n’attaque un individu qui ne possède pas la soule, ne tente pas de s’en emparer ou n’en défend pas le porteur. Ce jeu, d’une extrême violence, convenait certainement aux mœurs médiévales de l’ancienne Eurysie, mais il devint rapidement intolérable dans la société makotane naissante, où chaque rencontre causait régulièrement morts et blessés graves. C’est pourquoi, en 1756, un Concile tenu à Fondation promulgua des canons interdisant la pratique de la Soule sous peine d’excommunication (V. FONDATION, V. IIᵉ CON-CILE DE FONDATION, V. EXCOMMUNI-CATION).

L’interdiction de la Soule mit brutalement fin à la pratique populaire des jeux de balle. Les hommes se tournèrent alors vers les sports de la Salle (V. SALLE), et la Soule fut rapidement remplacée par l’aire de combat, principalement dédiée à la lutte (V. LUTTE) et, de manière plus marginale, à la boxe (V. BOXE). L’histoire des jeux de balle entra dès lors dans une longue période de sommeil, durant plus d’un siècle, avant de réapparaître sous une forme totalement nouvelle. Ce renouveau se fit par le biais des institutions d’enseignement pour filles, dans lesquelles se développa progressivement une véritable culture sportive. Jusqu’à la fin du XIXᵉ siècle, la gymnastique demeura le seul sport pratiqué par les jeunes filles. [Image de gymnastes féminines du 19e siècle] Cependant, elle fut de plus en plus jugée trop difficile d’accès, trop exigeante et trop dangereuse, le niveau minimal d’entrée étant élevé et les blessures fréquentes. Par ailleurs, son caractère fortement individualiste rappelait l’esprit des sports de Salle, considérés comme l’apanage des garçons et des hommes (V. SALLE). C’est dans ce contexte qu’en 1892, au prestigieux lycée de jeunes filles de Sainte-Aurore (V. SAINTE-AURORE (Lycée)), une reli-gieuse réginiste, Sœur Gaudeline — qui sera canonisée plus tard pour d’autres raisons (V. SAINTE GAUDELINE) — inventa le volleyball et en rédigea les règles dans un document intitulé Règlement. Le succès fut immédiat. Le volleyball fut rapidement adopté dans l’ensemble des établissements pour jeunes filles, parfois comme sport secondaire à côté de la gymnastique, mais dans la plupart des cas, c’est la gymnastique qui devint secondaire. Ainsi, les jeux de balle revinrent dans la société makotane comme une activité exclusivement féminine liée à la sociabilité, la grâce et la finesse, et donc totalement à rebours de la Soul et, par conséquent, ne relevant d'aucun des canons d'interdiction du IIe Concile de Fondation.

Les établissements d’enseignement, pour les deux sexes, encourageant et organisant des associations d’anciens élèves, il se forma rapidement, parmi les anciennes élèves des institutions féminines, des équipes locales sur le modèle de celles des sports de Salle masculins. Les premières équipes de volleyball non scolaires virent ainsi le jour, et le sport féminin cessa progressivement d’être seulement une pratique pédagogique et hygiénique pour devenir un spectacle de divertissement, à l’instar de la lutte, de la boxe et de la musculation chez les hommes. Cependant, à mesure que le volleyball gagnait en popularité et devenait un spectacle, il se mondanisa, et certaines volleyeuses adoptèrent des comportements jugés licencieux, proches de la courtisanerie. Les tenues se raccourcirent, le tablier disparut, la robe fut remplacée par une culotte (short), laquelle devint bientôt un minishort (culotte courte), et nombre de joueuses se firent entretenir par des ranchers ou des industriels, à la manière des courtisanes du demi-monde ou des danseuses. Cette dérive scandalisa naturellement les directrices et enseignantes, toutes religieuses.

C’est ainsi qu’en 1950, le soccer fut introduit au Makota, importé de Galouésie par le biais d’un manuel d’arbitrage. Ce sport, perçu comme une réaction morale face à la décadence du volleyball, fut d’abord pensé comme un moyen de ramener discipline et pudeur. Toutefois, lui aussi dut faire des concessions mondaines, notamment dans le domaine vesti-mentaire, les prescriptions de Sainte Gaudeline ne s’appliquèrent guère plus longtemps au soccer qu’elles ne l’avaient fait au volleyball et la robe et le tablier, jugées comme désuets et incompatibles avec les exigences de la Fédération Internationale de Football, furent rapidement abandonnées. Par la suite, d’autres jeux de balle se développèrent modestement dans le milieu scolaire féminin puis dans clubs toujours adossés aux établissements : tennis de table, tennis, badminton, handball, basketball et dodgeball. Aucun d’entre eux ne parvint toutefois à rivaliser avec les trois grands sports féminins nationaux — deux étant des jeux de balle : le volleyball, le soccer et la gymnastique. Notons enfin que, depuis quelques années, des équipes masculines, plus ou moins clandestines ou tolérées, se sont formées autour de certains de ces sports de balle, de même que certaines femmes cherchent à pratiquer les sports de la Salle. Toutefois, ces pratiques demeurent confidentielles, très sulfureuses et se situent à la limite extrême de la légalité morale.

III. Vertus et danger moraux de ces jeux
Outre les canons édictés par le IIe Concile de Fondation (V.FONDATION (IIe Concile de)), d'autres impératifs moraux sont venus s'imposer spécifique-ment aux jeux de balles. Pour le IIe Concile de Fondation, vous trouverez les canons détaillés en consultant l'article qui lui est détaillé, retenons seulement qu'il est interdit sous peine d'exco-minication de se livrer à un jeu de balle en dehors d'un terrain délimité et qu'il est par ailleurs interdit de se battre dans un autre cadre de celui du combat singulier et pour autre chose que de vaincre son adversaire (Boxe, Lutte). Cela dit, il en ressort que la pratique du Rugby est contraire à la foi et donc interdit de fait au Makota. Mais il faut aussi avoir conscience que les sports de balle, comme tout sport qui n'est pas de la Salle et à plus forte raison quand il s'agit de sport collectif, est tenu, pour la moralité publique makotane comme source d'éfféminisation, et est à ce titre rigoureusement contraire aux vertus viriles que doit soutenir le sport masculin. C'est pour cette raison que les sports de balle qui respectent le IIe Concile de Fondation sont immoraux bien que légaux. A l'inverse, ce qui est mauvais pour les vertus masculines se trouvent, ici, bénéfiques pour les vertus féminines et les autorités religieuses comme pédagogiques du Makota tombent absolument d'accord pour convenir que les sports collectifs de balle sont à encourager pour les jeunes filles et les femmes, pourvu cependant que l'on fasse attention à ne pas tomber dans la courtisanerie ou que les aspects mondains soient réduits au plus bas niveau possible.

BALLET :
Art se pratiquant sur la scène (V. SCÈNE, arts de la), consistant en des danses exécutées collectivement et destinées à représenter une histoire, qu’elle soit allégorique, tragique ou, par-fois, humoristique. Il est ordinairement accompagné de musique toutefois, à la différence de l’opéra (V. OPÉRA), un autre art de la Scéne, les artistes en représentation, qui sont des danseurs, ne chantent pas eux-mêmes, mais expriment exclusivement le sujet par

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Attention, ce commentaire est généré automatiquement avec angle socdem et il n'est pas canon, il est seulement là pour vous épargner la lecture et, idéalement, vous donner envie de lire. Il commet fréquemment des erreurs et parfois énormes. Il peut également servir à montrer le décalage entre le Makota (et ici sa religion, le Volignonisme) avec le monde actuel puisque le commentaire est premier degrés.
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Texte en bloc VOLLE
— Ancien terme de vénerie et de fauconnerie désignant l’élan d’un oiseau de proie fondant sur sa cible. Par analogie, mouvement rapide et impétueux. (V. FAUCONNERIE, CHASSE.)

VOLLEY
– familier, Diminutif de Volleyball, sport de gymnase (C. VOLLEYBALL)

VOLLEYBALL
I. Présentation et règles II. Histoire III. Vertus et dangers moraux et corporels

I. Présentation et règles
— Jeu de balle collectif (V. JEUX DE BALLE) consistant à se renvoyer, par-dessus un filet, une balle sphérique, à la main, sans qu’elle ne touche le sol de son propre camp. Il oppose deux équipes de six joueurs disposées sur un terrain rectangulaire de 18 mètres de long sur 9 mètres de large, partagé en son milieu par un filet tendu horizontalement. La hauteur de celui-ci est fixée 2 m 24 (et là où l'on tolère que jouent les hommes, alors on peut le fixer à 2 m 43).

Le jeu commence par le service : la joueuse, placée derrière la ligne de fond, lance la balle en l’air et la frappe de la main pour l’envoyer au-delà du filet dans le camp adverse. Chaque camp dispose d’au plus trois renvois pour retourner la balle ; une même joueuse ne peut la frapper deux fois de suite. Toute balle saisie ou portée constitue en faute. La balle peut être frappée de la main, du bras ou de toute autre partie du corps, mais doit conserver un contact bref. Une interception au filet, dite blocage, ne compte pas parmi les trois touches permises. Le point est remporté lorsque la balle touche le sol adverse, ou lorsqu’une faute est commise : balle hors des limites, quatrième touche, double contact, atteinte du filet, etc.

Le match se divise en sets. Un set est gagné par la première équipe qui atteint vingt-cinq points avec deux d’avance sur l’adversaire ; s’il y a égalité à vingt-quatre, le jeu se poursuit jusqu’à ce qu’un écart de deux points soit obtenu. La partie entière se joue au meilleur de cinq sets. Le cinquième, dit set décisif, se dispute à quinze points seulement. À chaque reprise du service par l’équipe adverse, les joueuses tournent d’une position dans le sens des aiguilles d’une montre, de sorte que chacun passe successivement par les zones avant et arrière du terrain. Les joueuses de la ligne avant peuvent seules attaquer ou bloquer près du filet ; celles de l’arrière doivent le faire depuis l’arrière de la ligne des trois mètres. Une joueuse spéciale, la libero, identifiable à son maillot distinct, assure la défense et la réception des services ; elle ne peut ni servir, ni bloquer, ni attaquer au-dessus du filet.

L’arbitrage, enfin, repose sur plusieurs arbitres. L'arbitre principal, placé sur une plate-forme élevée à proximité du filet, dirige le jeu, siffle le service, les fautes de touche, de filet ou de position, et détermine la validité des points. L’arbitre auxiliaire, posté au sol du côté opposé, surveille les fautes de position arrière, les pénétrations et seconde le premier arbitre dans le contrôle général du match. Les juges de lignes, placés aux angles du terrain, signalent à l’aide de fanions si la balle est rentrée ou sortie des limites. Le marqueur, enfin, consigne le score et les rotations des équipes. L’autorité de l’arbitre principal est souveraine pendant la durée de la rencontre, et ses décisions ne peuvent être contestées qu’après le match.

II. Histoire
— Le volleyball est le descendant indirect d’un ancien jeu de balle eurysien : la Soule (V. SOULE). Importée par les colons, celle-ci fut interdite en 1756, sous peine d’excommunication, par le IIᵉ Concile de Fondation, en raison de sa violence excessive, qui causait trop de blessures et, bien souvent, la mort de plusieurs participants (V. FONDATION (IIᵉ Concile de)). La pratique de la Soule disparut donc progressivement au cours de la seconde moitié du XVIIIᵉ siècle.

Un siècle plus tard, en 1892, une religieuse réginiste du nom de Sœur Gaudeline — depuis canonisée, et que nous appellerons donc Sainte Gaudeline (V. GAUDELINE (Sainte)) — composa les premières règles du volleyball. Enseignante de gymnastique au lycée Sainte-Aurore (V. SAINTE-AURORE (Lycée)), elle cherchait à proposer à ses élèves un substitut acceptable à la gymnastique, discipline jugée à la fois trop exigeante, trop périlleuse et inaccessible pour les jeunes filles les moins souples, les plus timides ou les plus fragiles. C’est dans ce but qu’elle rédigea un document destiné à ses consœurs enseignantes, intitulé Les Règlements. Ce texte constitue la première formalisation complète des règles du volleyball. On y trouve déjà la plupart des éléments fondamentaux du jeu, à l’exception de quelques ajouts postérieurs tels que la rotation au service, le set décisif raccourci ou encore la notion de libéro. Outre les règles de jeu, l’ouvrage contenait une description technique du matériel — notamment la manière de coudre le ballon à partir de cuir — et des instructions précises concernant la disposition du terrain et du filet.

Mais Les Règlements ne se limitaient pas à ces aspects techniques : Sainte Gaudeline y ajoutait des prescriptions morales et disciplinaires, aujourd’hui largement tombées en désuétude. Elle imposait, entre autres, le port de la robe longue jusqu’aux chevilles, du tablier réglementaire, et la chevelure soigneusement attachée en queue de cheval. Les rencontres devaient se tenir exclusivement dans le gymnase, lequel, à cette époque, se trouvait toujours à l’intérieur de la clôture conventuelle, c’est-à-dire sans la moindre présence masculine, ni pour l’arbitrage, ni pour le public.

Dès sa première édition, Les Règlements rencontrèrent un succès considérable. Le texte apportait aux professeures de gymnastique la solution qu’elles cherchaient depuis longtemps : un sport collectif, discipliné, hygiénique et accessible à toutes les élèves, y compris les moins aguerries et les moins aptes physiquement. Si, dans nombre d’établissements, il fallut attendre jusqu’au milieu des années 1930 pour que le volleyball supplantât définitivement la gymnastique comme sport principal, il n’en demeure pas moins que, dès la fin du XIXᵉ siècle, le volleyball était déjà partout : chaque institution possédait au moins une équipe, ou, à tout le moins, proposait un entraînement régulier à ce jeu.

Parallèlement à ce développement scolaire, les associations d’anciennes élèves, très encouragées par les établissements eux-mêmes, commencèrent à fonder leurs propres équipes. Ces équipes, d’abord amatrices, devinrent rapidement professionnelles à mesure que le volleyball sortait du cadre strictement religieux et que les gymnases, désormais ouverts au public, purent vendre des billets d’entrée. C’est ainsi qu’en 1907 fut fondée la Fédération de Volleyball du Makota, à Sainte-Régine. Son siège resta longtemps établi dans les locaux du lycée Sainte-Aurore, berceau historique du sport, avant d’être transféré en 1934 dans un bâtiment plus vaste, toujours administré par une maison réginiste.

C’est à cette même époque, les années 30, que tomba définitivement la clôture et que survinrent les premiers scandales de mœurs dans le monde du Volleyball. Certaines joueuses, désireuses d’améliorer leurs revenus ou leur train de vie, se mirent à accepter l’entretien d’hommes fortunés — ranchers ou industriels —, à la manière des danseuses, chanteuses ou comédiennes et autres artistes, sur le modèle de la courtisane du demi-monde. Si cette pratique n’avait rien d’inédit dans le milieu des arts, elle était en revanche totalement nouvelle, et donc scandaleuse, dans celui du sport. Ces dérives, qui choquèrent profondément les autorités religieuses et enseignantes, provoquèrent une réaction morale : l’introduction du soccer en 1950, importé de Galouésie (V. SOCCER), afin de proposer une alternative jugée plus vertueuse et plus conforme à l’esprit d’ordre et de pudeur des institutions pour jeunes filles.

En réaction aux excès de courtisanerie qui ne cessaient de s’accumuler dans le milieu du volleyball, et afin de ne pas laisser le soccer prendre une importance excessive sur la scène sportive nationale, la Fédération Makotane de Volleyball (FMV) adopta, au cours des années 1950, plusieurs règlements disciplinaires d’une rigueur nouvelle et qui, dans leur esprit, devaient rendre au Volleyball sa noblesse morale en en éloignant les joueuses du monde de la courtisanerie. Avec le soutien des autorités de l'Etat, il fut désormais interdit d’entretenir des volleyeuses lycéennes, pratique qui, jusqu’alors, existait bel et bien et avait conduit à de nombreux cas où la jeune fille se trouvait déshonorée et ne demeurait plus intacte. Par ailleurs, l’accès aux clubs, aux salles de théâtre et d’opéra fut prohibé pour les joueuses. Plus généra-lement, il ne fut plus permis à ces demoiselles de se comporter publiquement avec un homme comme si elles étaient entretenues par lui. Évidemment, comme on s’en doute, ces règlements ne furent — et ne sont toujours — qu’imparfaitement respectés, à l’exception notable de celui concernant l’honneur des lycéennes, demeuré en vigueur et appliqué plutôt sérieusement dans les établissements avec le concours des shérifs.

Au tournant des années 2000, malgré les jugements des autorités et aux frontières de la légalité morale, les premières équipes masculines de volleyball firent leur apparition, dans la clandestinité et sans reconnaissance officielle. Pour exister en quelque sorte institu-tionnellement, ces clubs adoptèrent la même stratégie que les clubs féminins de sports de la Salle (musculation, sports de combat, athlétisme, etc. – V. SALLE (sports de la)), c'est à dire qu'ils s’affilièrent unilatéralement à des clubs de l’autre sexe, sans qu’aucun lien formel n’existe entre eux. C’est ainsi que fut créée, en 2001, l’équipe masculine de volleyball de Sainte-Aurore, juridiquement indépendante mais symboliquement liée au prestigieux club féminin du même nom. C'est ainsi qu'en 2007, on recensait déjà une dizaine d’équipes masculines actives, et tout indique que leur nombre ira croissant dans les années à venir, si la tendance n'est pas arrêtée par une interdiction de ces pratiques.

III. Vertus et dangers moraux et corporels
— Les vertus et les dangers moraux du volleyball se déduisent en grande partie de ce qui a déjà été exposé dans les précédentes sections. Du côté des vertus, elles résident avant tout dans la cause même qui a fait de ce sport le sport national du Makota. Le volleyball est, par essence, un jeu collectif hautement bénéfique à la formation morale de la jeune fille : il lui apprend à fonctionner dans un groupe social, à agir de concert avec d’autres, à s’intégrer harmonieusement dans une communauté féminine — autant d’aptitudes qui lui seront indispensables lorsqu’adulte, elle devra évoluer dans le monde des femmes.

Par ailleurs, le volleyball s’est historiquement construit en réaction à la gymnastique, jugée trop exigeante, trop dangereuse et, en un sens, trop élitiste. Le volleyball, lui, est un sport accessible à toutes, quelles que soient les forces physiques ou les dispositions naturelles. Au pire, une élève médiocre ne compromet que sa propre performance et l’équipe compense aisément son insuffisance, tandis qu’en gymnastique, la moindre faiblesse rend nombre de figures et d’agrès tout simplement inaccessibles. Le volleyball se présente donc comme un sport d’éducation morale et physique sûr, collectif et adapté à la faiblesse féminine.

Cependant, cette accessibilité et cette élégance sont aussi la source de ses périls. Car la grâce, qui est la qualité première du volleyball, peut aisément se muer en vice. Qui dit grâce dit beauté, et qui dit beauté dit désir. Les volleyeuses, par leur allure, leur maintien, leur aisance et leurs mouvements gracieux, sont naturellement des objets de désir. C’est de cette conjonction entre popularité et attrait esthétique qu’est née la plupart des scandales de mœurs associés à la discipline. Les volleyeuses ne seraient pas aimées si elles n’étaient pas aimables, mais cette aimabilité même est un danger moral, inévitable sans doute, mais qu’il convient de canaliser par une discipline rigoureuse et des règlements précis, tels que ceux édictés par la Fédération dans les années 1950.

Enfin, un péril plus récent s’ajoute à ces risques anciens : la création d’équipes masculines dans un sport qui, par son esprit et son origine, est essentiellement féminin. De telles initiatives exposent à de graves dérives : elles risquent d’engendrer des cas d’effémination, affaiblissant la virilité des hommes et, partant, leur utilité sociale. L’habitude de fréquenter un univers de femmes, de partager leur mode d’expression physique et leur grâce propre, peut, si l’on n’y prend garde, induire l’inversion sociale et sexuelle, et donc les désordres contre-nature (V. INVERSION).

Ainsi, le volleyball demeure un sport vertueux et formateur, mais dont la pratique réclame une vigilance constante, tant sur le plan moral que sur le plan corporel, afin qu’il continue de servir la santé, la discipline et la pudeur des jeunes filles makotanes sans trahir l’esprit de Sainte Gaudeline.

VOLLEYEUR
Subs. Masc, Homme souvent efféminé qui pratique le Volleyball de manière presque clandestine et à la limite de l'illégalité morale. Dans de nombreux comté, la pratique du volleyball pour un homme peut justifier l'ouverture d'un dossier d'information au bureau de la police des mœurs du Comté, comme pour la pratique de tout sport de l'autre sexe. (V. INVERSION)

VOLLEYEUSE
Subs. fem. Se dit d'une femme ou d'une jeune fille jouant au Volleyball (V. VOLLEYBALL).

VOLONTAIRE
Adj. et subst. Se dit de ce qui procède d’un acte libre et réfléchie de la volonté, par opposition à ce qui est contraint, instinctif ou accidentel. Au sens général, volontaire qualifie l’action librement décidée par une personne consciente de ses actes et les assumant pleinement devant Dieu et devant les hommes. Ce mot s’applique aussi bien aux actions morales qu’aux actions pratiques, mais suppose toujours un acte intérieur de discernement et de décision. Ainsi, un acte est dit volontaire lorsqu’il résulte d’un choix délibéré, et non d’une impulsion, d’une passion ou d’une contrainte extérieure.

On distingue parfois les actes volontaires directs, accomplis avec pleine connaissance et intention, des actes volontaires indirects, accomplis par suite ou par conséquence d’un choix antérieur, sans que la volonté se porte formellement sur l’effet produit (par exemple, un dommage prévisible mais non recherché).

Au sens moral, la volonté est la faculté rationnelle par laquelle l’homme choisit le bien qu’il connaît et s’y attache ; le volontaire, en ce sens, est ce qui relève de la responsabilité morale, car ce qui n’est pas voulu n’est pas imputable. L’Église enseigne donc que le péché ne peut être qu’un acte volontaire, c’est-à-dire accompli en connaissance de cause et avec consentement.

Dans l’ordre civil et politique, on qualifie aussi de volontaire celui qui s’engage librement au service d’une cause ou d’une institution : soldat volontaire, volontaire de mission, volontaire des Ligues. Cet usage, noble et patriotique, marque le dévouement librement consenti à un devoir supérieur, distinct du simple devoir imposé.

Plus précisément, dans le sens militaire, le mot désigne celui qui, hors de toute obligation légale ou conscription, s’engage de son plein gré dans les forces armées, mû par le patriotisme, la foi ou le goût de l’honneur. Le volontaire s’oppose au conscrit en ce qu'il n’obéit pas d'abord à une loi mais à un sentiment de devoir moral ou religieux. Il représente le modèle du soldat libre, qui ne combat pas parce qu’il y est tenu, mais parce qu’il le veut. Le volontaire makotan, en particulier, est tenu pour un homme de mérite, car il met sa liberté au service du bien commun et offre son courage comme un acte de foi et de fidélité à la Patrie, notamment dans le cadre de la lutte contre le socialisme et le communisme internationaux.

Enfin, par extension psychologique, on dit d’une personne qu’elle est volontaire lorsqu’elle manifeste une force d’âme, une fermeté et une persévérance dans la poursuite du bien, ce qui distingue la vertu véritable de la simple impulsion sentimentale. Ainsi, être volontaire, c’est agir librement selon le bien, et non subir passivement les déterminismes de la nature ou de la société, les deux étant, comme le reste, affectées par les conséquences du Péché Originel et de la Chute des Anges. A ce sujet voir la Force dans les Sept Vertus Catholagnaises (V. FORCE (vertu de ), VERTUS (les sept), PECHE ORIGINEL, ANGES (chute)).


texte de remplissage (ignoré)VOLT
s. m. (symbole : V). Unité de mesure de la tension électrique ou différence de potentiel, ainsi nommée en l’honneur du savant italien Alessandro Volta (1745-1827), inventeur de la pile électrique. Le volt exprime la force motrice de l’électricité, c’est-à-dire la pression avec laquelle le courant tend à se déplacer d’un point à un autre dans un conducteur.

Par définition rigoureuse, un volt est la différence de potentiel existant entre deux points d’un circuit parcouru par un courant d’un ampère, lorsque la puissance dissipée entre ces deux points est d’un watt. Cette grandeur appartient au Système international d’unités et se trouve intimement liée aux notions de courant (mesuré en ampères) et de résistance (mesurée en ohms), selon la loi d’Ohm : V = R × I, c’est-à-dire que la tension (V) est égale au produit de la résistance (R) par l’intensité du courant (I).

Le volt est donc la mesure du potentiel électrique, comparable, par analogie, à la hauteur d’un réservoir d’eau dont dépend la force avec laquelle s’écoule le liquide. Plus la tension est élevée, plus le courant tend à se déplacer avec vigueur à travers les circuits.

Dans le langage courant, on parle d’un appareil « sous tension de 220 volts » pour désigner les installations domestiques ordinaires. Les faibles tensions (quelques volts) caractérisent les systèmes de signalisation, de mesure ou de télécommunication, tandis que les hautes tensions (plusieurs milliers de volts) sont réservées à la production et au transport de l’énergie électrique.

Commentaire des Entrées
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Texte en bloc
SOCCER : I. Description et Règles II.Histoire du Soccer au Makota III. Vertus et Vices de ce jeu.
I. Description et Règles –- Le Soccer, qu'en dehors du Makota l'on appelle plutôt football, est un jeu de balle (V. JEUX DE BALLE) se pratiquant en plein air, sur un terrain rectangulaire d’herbe rase, où deux équipes de onze joueuses s’efforcent, à l’aide du pied, de faire pénétrer le ballon dans le but adverse. Le ballon, de forme sphérique, est en cuir ou en matière souple, et ne peut être touché ni saisi des mains, sauf par la gardienne de but dans les limites de sa surface. Les joueuses emploient donc le pied pour la conduite et la frappe, la tête pour le renvoi, et, plus rarement, la poitrine ou les cuisses pour amortir la balle.
Le terrain, d’une longueur d’environ cent mètres et d’une largeur de cinquante à soixante, est divisé en deux moitiés par une ligne médiane. À chaque extrémité se trouve un but, formé de deux poteaux verticaux et d’une barre horizontale, entre lesquels la balle doit passer pour qu’un point, appelé but, soit compté. Le jeu débute au coup de sifflet de l’arbitre par un coup d’envoi donné au centre du terrain. La partie se compose de deux périodes de quarante-cinq minutes chacune, séparées par un court repos. À la fin du temps réglementaire, l’équipe ayant marqué le plus grand nombre de buts est déclarée victorieuse. En cas d’égalité, certaines compétitions prévoient une prolongation ou un tir décisif.
L’arbitre, assisté de deux juges de touche, veille à l’application des règles et à la continuité du jeu. Il signale les fautes, ordonne les coups francs et, au besoin, prononce l’exclusion temporaire d’une joueuse. Parmi les infractions les plus fréquentes figurent le tacle irrégulier, le jeu de main, et le hors-jeu, situation où une joueuse se trouve en position trop avancée au moment où la balle lui est adressée.
II.Histoire au Makota –- Le Soccer, tel qu’il se pratique aujourd’hui dans nos établissements de jeunes filles et dans nos stades, ne s’est pas imposé d’un seul mouvement, mais par une suite d’étapes où considérations morales, nécessités pédagogiques et réminiscence culturelle s'entrecroisent. On en trouve, dès le milieu du XIXᵉ siècle, des mentions incertaines sous le nom de « jeu de balle au pied », apporté probablement par des familles gallouésiennes ; toutefois, ces essais demeurèrent locaux et mal codifiés, mêlant des usages dont les chroniqueurs rapportent des « transformations » et « pénalités » d’allure étrangère (V. BALLE (Jeux de), V. GALLOUÉSIE).
Cependant, la véritable histoire du Soccer commen-
ce plus tard, lorsque le Makota, sorti de la torpeur où l’avait plongé l’interdit canonique de la Soule (1756) (V.FONDATION, (IIe Concile de), V.SOULE). , voit s’épanouir, durant la seconde moitié du XIXᵉ siècle, une culture sportive féminine d’abord dominée par la gymnastique, puis renouvelée par l’invention du Volleyball (1892) due à Sainte Gaudeline au lycée Sainte-Aurore (V. VOLLEYBALL ; V. GAU-DELINE (Sainte) ; V. SAINTE-AURORE (Lycée)).
Au milieu du XXᵉ siècle, tandis que le volleyball, sorti de la clôture, s’était mondanisé et souvent compromis dans des pratiques frivoles voir licencieuses contraires à l’esprit prude et austère de ses origines, plusieurs maisons religieuses recherchèrent un contre-poison moral et pédagogique. C’est alors, en 1950, qu’un manuel d’arbitrage importé de Galouésie fournit l’occasion d’introduire officiellement le Soccer dans nos pensionnats, avec la volonté d’en faire un exercice de plein air, discipliné, sobrement vêtu et strictement réglé. La Fédération de Soccer Makotane, fondée en 1952, adopta d’emblée les lois internationales du jeu et prohiba tout mécénat individuel, afin d’éviter les compromissions déjà déplorées ailleurs. Concrétement, il n'était pas question pour les joueuses de Soccer qu'elles pussent se faire entretenir nominativement par un bienfaiteur, contrairement à ce qui se faisait beaucoup au Volleyball. Le code vestimentaire, primitivement rêvé sur le modèle de Sainte Gaudeline (robe et tablier), fut bientôt remplacé, sous l’effet des nécessités du jeu et des usages internationaux, par une culotte longue et ample avec chandail bouffant, qui demeure l’habit usuel des équipes scolaires et équipes seniors.
Dans les années 1950–1970, la progression fut lente mais ferme : d’abord accueilli par les maisons réputées les plus prudes, le Soccer s’implanta « par obédiences » — chaque institution fixant pour ainsi dire son esprit local, si bien que telle ville devint terre de volleyball, telle autre terre de Soccer, la gymnastique conservant un rang d’honneur (V. GYMNASTIQUE) sur les deux autres bien qu'elle perdue l'essentiel de ses places comme premier sport (elle est cependant seconde partout sur le territoire et incarne l'excellence du sport féminin). L’essor fut aidé par l’argument hygiéniste : jeu d’air et de soleil, recommandé jadis par la Ligue Anti-Phtisie, le Soccer passa pour salutaire à la poitrine, surtout quand les gymnases, l’hiver, restaient froids et humides. L’argument médical décroîtra avec la disparition de la phtisie à la toute fin du XXᵉ siècle et au début du XXIᵉ, quand le Makota commencera à importer des antibiotiques et qu'il pourra, dès lors, éliminer l'essentiel des infections respiratoires.
Au plan des mœurs et des institutions, l’organisation prit le schéma éprouvé des sports féminins du pays : équipes juniors dans les établissements, équipes seniors issues des meilleures élèves et adossées aux mêmes maisons, la municipalité soutenant le rayonnement du club local. De décennie en décennie,l’audience se consolida : si, vers 1960, l’on comptait encore 95 % d’établissements scolaires féminins essentiellement « volleyeurs », la proportion descendit aux environs de 80 % dans les années récentes, le reliquat s’étant porté sur le Soccer, avec une tendance lente mais continue à la hausse.
Se forma ainsi une opposition de styles : un Soccer plus rustique, moraliste et rural, magnifiant droiture, mesure et effort en plein air ; face a un Volleyball plus urbain, mondain, raffiné — et, partant, souvent discuté. Les débats s’enflèrent et ne se sont pas interrompus jusqu'à nos jours : les unes soutenant que le Soccer, par sa tenue et sa règle, préserve mieux la pudeur et la vertu des joueuses et de leur public ; les autres rétorquant que le volleyball, correctement encadré, demeure plus formateur par la précision de ses gestes et la délicatesse de son jeu. Quoi qu’il en soit, l’essor du Soccer est désormais un fait historique : fédération stable (1952), maillage scolaire étendu, retransmissions régulières, et une place reconnue au rang des trois grands sports féminins du pays, aux côtés du volleyball et de la gymnastique. De nos jours, sans avoir détrôné son aîné, le Soccer occupe fermement la deuxième place des sports nationaux féminins ; des études d’audience et d’équipement laissent entendre qu’il pourrait, à terme, égaler le volleyball, encore qu’une partie des observateurs juge cette perspective hasardeuse et parie plutôt sur un équilibre entre les deux disciplines.
III. Vertus et Vices de ce jeu. Comme nous l'avons déjà indiqué et malgré l’avènement des antibiotiques qui en atténue l'importance, le Soccer, par sa pratique au plein air présente un réel intérêt hygiéniques. Par ailleurs, outre cet aspect médical, l’esprit d’équipe y est fortement sollicité ; la joueuse apprend l’altruisme par la passe, la patience par l’attente, la modestie par le repli défensif, et, plus encore, la menée d’une œuvre commune, qui prévient l’exagération ingénue de l’individualisme qui, il s'agit d'une chose à valoriser dans l'éducation des garçons, ne convient assurément pas à l'instruction morale des jeunes filles. Par ailleurs, le Soccer accoutume la jeune fille à la fermeté de caractère, à la constance dans l’effort, à la tempérance des humeurs après la défaite comme à la modestie dans la victoire comme dans la vêture.
Cependant, les vices qui guettent ce jeu ne sont pas à négliger. La rudesse – inhérente à la lutte pour la balle – incline, si l’on n’y prend garde, au culte de la force et à la brusquerie des manières : tacles intempestifs, heurts, invectives, dureté de la parole et du regard, toutes choses qui, si elles échappent à l’arbitre et à la direction morale, contrarient la grâce coutumière des pensionnats. L’excès d’entraînement (séances trop fréquentes, terrains détrempés, froid vif) expose, de plus, aux contusions, entorses et affections respiratoires ; en quoi il appartient aux directrices et au médecin d’établir des limites prudentes. Par ailleurs l’insistance du Soccer sur la vigueur, la rudesse du contact et le peu d’apparat risque de diffuser, dans les
usages et les silhouettes, des manières hommasses qui risquent, si l'on y prend garde , de conduire à dévelo-pper un tempérament inverti et virago absolument contraire aux vertus recherchés par le Soccer.
À l’inverse du Volleyball – où l’on a pu voir, lorsque le monde s’en mêla, l’attrait de la plupart des joueuses pour les douceurs de le courtisanerie – le Soccer pèche moins par la séduction indiscrète que par la sécheresse des manières : gestes abrupts, triomphes tapageurs, familiarités de terrain. Aussi la règle d’or, proposée par les éducatrices les plus avisées, peut-elle se dire ainsi : conserver au Soccer sa netteté, sa sobriété et sa droiture, mais l’orner de douceur ; que la vigueur du jeu s’allie à la décence de l’attitude, et que la fermeté des caractères se tempère par la civilité. Dans cette mesure, le Soccer demeure un exercice éminemment utile aux pensionnats, pourvu qu’il soit entouré d’une direction ferme, d’un arbitrage attentif et d’un encadrement moral constant pour éviter les débordement et que l'on passe de la courtisane volleyeuse à la tribade soccereuse, ce qui, on en conviendra, ne présenterait absolument pas une avancée morale mais plutôt une régression.

texte de remplissage (ignoré) SOBRIQUET : s. m. Sorte de surnom, qui le plus souvent se donne à une personne par dérision, et qui est fondé sur quelque défaut de corps ou d'esprit, ou sur quelque singularité. 11 y a des sobriquets qui sont devenus les surnoms de certaines familles illustres.
SOC : s. m. Instrument de fer qui fait partie d'une charrue,et qui sert à fendre et à renverser la terre d'un champ qu'on laboure.
SOCIABILITÉ : s. f. Aptitude à vivre en société. La sociabilité est une disposition naturelle à l'espèce humaine. On remarque dans certaines espèces d'animaux une sorte de sociabilité.
SOCIABLE : adjectif. Qui est naturellement porté à chercher la société qui est propre à vivre en société il y a des nations, comme des individus,plus sociables les unes que les autres. Il signifie aussi avec qui il est aisé de vivre, qui est d'un bon et facile commerce c'est un bourru, un fantasque, il n'y a pas d'homme moins sociable.
SOCIAL,ALE : adjectif. Qui concerne la société., s'emploie aussi en parlant des sociétés de commerce; c'est en ce sens que l'on dit la raison sociale d'une maison de commerce.
SOCIALES (Apiaires) : 'Division delà famille des mellifères dans l'ordre des insectes hyménoptères. Le genre abeille (apis), qui est le plus important de cette famille, a donné son nom à la division entière. Béaucoup d'autres genres très remarquables par leurs mœurs viennent s'y ranger. On lui assigna pour caractères d avoir les mâchoires, la lèvre et les palpes très allongés, coudés, et formant une trompe appliquée, dans le repos, le long de la poitrine; la division moyenne de la languette est aussi longue au moins que le menton et la gaine réunis, et en forme de soie les deux premiers articles des palpes labiaux sont comprimes et embrassent la languette, les deux suivants sont très petits enfin le premier article des tarses postérieurs est grand, comprimé, très velu mais variant pour la forme, suivant les différents genres. La forme générale des insectes de cette division ne diffère guère de celle des autres hyménoptères porte-aiguillons leur tète est triangulaire, avec les yeux entiers, et sur le vertex trois yeux lisses; les antennes de treize articles dans les mâles ne sont que de douze

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