Indications concernant les champs :
Nom officiel :
Royaume du Nia Shen
Nom courant :
Nia Shen
Gentilé :
Les Shen’nia
Inspirations culturelles :
Chinoise, mongole, coréenne, est-africaine
Situation géographique :
40 provinces situées à proximité du Shuharri et de l’Empire Xen, territoire qui s’étend jusqu’à la mer.
X : 55916. 18 ; Y : 18998. 59 - 1°22'N 120°26'E
Langue(s) officielle(s) :
Chinois, swahili, mongol, coréen
Autre(s) langue(s) reconnue(s) :
Français, anglais
Drapeau :
https://www.canva.com/design/DAG3IaZ4tds/YOm8gNOw0_3Eah7XZf283g/edit?utm_content=DAG3IaZ4tds&utm_campaign=designshare&utm_medium=link2&utm_source=sharebutton
Devise officielle :
« Dieu est au-dessus des montagnes »
Hymne officiel :
« Les larmes du champ de bataille »
https://youtu.be/7biYW_vy2iM
Monnaie nationale :
Nia
Capitale :
Tianjora
Population :
5 700 000 habitants. Phase de développement. Royaume tout juste fondé.
Présentation du pays :
Nia Shen (Royaume de la Volonté Divine)
Nia veut dire volonté, but, détermination en swahili, langue d’Afrique de l’Est. Shen vient du chinois et signifie divinité.
Nia Shen par traduction signifie Royaume de la Volonté Divine.
Pays majoritairement musulman. Situé à l’est. La population est un mélange entre populations asiatiques et africaines : chinoise, mongole, coréenne et est-africaine.
En raison des échanges commerciaux liés aux caravanes marchandes, ces populations se sont mélangées, ce qui a permis la fondation d’une nation.
Le territoire fut longtemps colonisé par une puissance occidentale qui exploita la population et ses ressources pour s’enrichir, au détriment du développement local.
Avec le temps, les Ludons furent forcés d’accorder leur indépendance aux habitants du Nia Shen, mais une indépendance contrôlée en plaçant à la tête de l’État des présidents fantoches pour maintenir l’exploitation des sols et bénéficier de partenariats publics-privés privilégiés, ne laissant rien à la population.
La grogne se fit ressentir, jusqu’à demander le départ des présidents corrompus et cupides.
Un jour, un homme ayant grandi en Occident, connaissant leur culture et animé d’un profond désir patriotique de libérer sa nation du joug colonial, décida de revenir dans son pays natal pour mener une lutte révolutionnaire armée contre le gouvernement corrompu et l’ancienne puissance coloniale.
Il parvint à remporter la lutte contre l’ancien régime et fut élu Roi par le peuple.
Cependant, l’ancienne puissance coloniale, forte de son influence mondiale et de ses soutiens, imposa des trains de sanctions économiques qui freinèrent drastiquement le développement et la croissance du royaume.
Toutefois, fort de son potentiel, le pays peut s’appuyer sur ses nombreuses ressources naturelles.
Mentalité de la population :
Population majoritairement entraînée aux arts martiaux, ayant connu la guerre.
Population instruite, la scolarisation débutant dès le plus jeune âge.
Ce qui définit la population :
- bravoure
- instruction intellectuelle
- patriotisme
- respect des codes de bienséance en société
La population aspire à inciter les nations voisines et cousines à rejoindre leur combat pour créer une coalition économique et militaire, en vue de s’autodéterminer et de se libérer des influences étrangères.
Place de la religion au sein de l’État :
Islam, religion d’État.
Institutions politiques :
Monarchie semi-constitutionnelle.
Ancien système politique féodal chinois basé sur le confucianisme avec nomination de ministres à différents postes, souvent émanant de familles influentes ou de chefs de clan.
Également nomination du Grand Ministre (équivalent Premier ministre), selon un système démocratique.
Place prépondérante des érudits dans les décisions du pays (guerre, économie, diplomatie).
Régime d’influence religieuse islamique et culturellement confucéenne.
À la tête de l’État, un Grand Savant Suprême religieux, souvent consulté par le souverain pour vérifier la conformité religieuse des décisions prises, faisant office de conseiller.
Deux factions existent au sein de la cour royale :
Aile gauche (progressiste mais attachée à la tradition)
Aile droite (conservatrice)
La dynastie instaura, sur le modèle chinois, un concours de recrutement de la fonction publique et une Académie nationale fut créée dans la capitale Tianjora pour préparer les candidats.
Trois épreuves étaient organisées, dont une consacrée à la lecture et à l’interprétation des classiques.
Puis un autre concours militaire portant sur les arts martiaux et L’Art de la Guerre.
La caste de fonctionnaires issue de ce concours se dévoue entièrement à l’État, qui assure en contrepartie une forte ascension sociale à des personnes d’origine modeste. Cette caste contribue également à diffuser la philosophie confucéenne et la vertu religieuse.
Principaux personnages :
Généraux ayant permis la fondation du royaume.
Pays doté de diplomates, de ministres, de vice-ministres, de secrétaires d’État…
Fondateur du royaume :
Wang Kani
Politique internationale :
Le territoire du Nia Shen est riche d’une diversité de panoramas pouvant attirer des investisseurs.
Dans une démarche de développement, le Nia Shen souhaite nouer des relations diplomatiques et économiques avec des pays fiables.
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Posté le : 29 oct. 2025 à 02:34:30
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Posté le : 29 oct. 2025 à 08:31:54
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Bonjour.
La carte ne s'affiche pas parce que tu n'as pas mis le bon code. Idem pour le drapeau. Concernant le reste, il faut plus développer ton histoire en mettant des dates, mais aussi les différentes parties comme la religion qui est trop peu développée. Pour information l'endroit où tu t'implantes est normalement la zone d'influence de l'Empire Xin. Ca peut avoir une influence sur ton histoire passée puisque tu aurais pu etre un vassal de cet Empire encore actif aujourd'hui, ou indépendant comme le Ninchi.
La carte ne s'affiche pas parce que tu n'as pas mis le bon code. Idem pour le drapeau. Concernant le reste, il faut plus développer ton histoire en mettant des dates, mais aussi les différentes parties comme la religion qui est trop peu développée. Pour information l'endroit où tu t'implantes est normalement la zone d'influence de l'Empire Xin. Ca peut avoir une influence sur ton histoire passée puisque tu aurais pu etre un vassal de cet Empire encore actif aujourd'hui, ou indépendant comme le Ninchi.
Posté le : 30 oct. 2025 à 16:41:23
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Le_souverain du continent
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Posté le : 29 oct. 2025 à 02:34:30
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Indications concernant les champs :
Nom officiel :
Royaume du Nia Shen
Nom courant :
Nia Shen
Gentilé :
Les Shen’nia
Inspirations culturelles :
Chinoise, mongole, coréenne, est-africaine
Situation géographique :
40 provinces situées entre l’Empire Zen (Ouest) et les territoires Shuharri (Est) ,territoire qui s’étend jusqu’à la mer.
X : 55916. 18 ; Y : 18998. 59 - 1°22'N 120°26'E
Montagnes riches en métaux rares
Ports ouverts sur les routes maritimes
Plaines cavalières stratégiques
Routes caravanières ancestrales
Langue(s) officielle(s) :
Chinois, swahili, mongol, coréen
Autre(s) langue(s) reconnue(s) :
Français, anglais
Drapeau :
[img=https://www.canva.com/design/DAG3IaZ4tds/YOm8gNOw0_3Eah7XZf283g/edit?utm_content=DAG3IaZ4tds&utm_campaign=designshare&utm_medium=link2&utm_source=sharebutton][/img]
Devise officielle :
« Dieu est au-dessus des montagnes »
Hymne officiel :
« Les larmes du champ de bataille »
Monnaie nationale :
Nia
Capitale :
Tianjora
Population :
5 700 000 habitants. Phase de développement. Royaume tout juste fondé.
Présentation du pays :
Le Royaume du Nia Shen tire son nom de deux cultures qui ont forgé son essence :
Nia signifie volonté, but, détermination en swahili, langue d’Afrique de l’Est, et Shen signifie divinité en chinois. Ensemble, ils donnent un sens unique à cette nation : le Royaume de la Volonté Divine.
Le territoire est situé entre la zone d’influence de l’Empire Zen et celle des Shuharri. La population est issue d’un mélange profond entre Asiatiques et Africains : Chinois, Mongols, Coréens et Est-Africains. Cette union est née des échanges commerciaux séculaires des routes caravanières et maritimes, permettant au peuple Shen’nia de se constituer et de se renforcer.
Les Shuharri, peuple cavalier d’origine mongole, arrivèrent les premiers. Ils transmirent leur culture martiale : cavalerie légère et lourde, tactiques nomades et prestige du clan. Ils enseignèrent que la force vient de l’union sur la selle.
L’Empire Zen, héritier des grandes dynasties chinoises, étendit ensuite son influence en apportant philosophie, écriture, commerce et administration. Les relations furent fraternelles, mais à plusieurs reprises, le Zen tenta d’intégrer le Nia Shen, le considérant comme culturellement proche. Pourtant, le royaume résista : jamais il n’accepta la vassalisation.
Par la mer, dès le XIIᵉ siècle, arrivèrent des Est-Africains, maîtres de la forgerie, de l’extraction des métaux rares (or, fer noir, cuivre) et de l’ingénierie minière. Ils contribuèrent à bâtir la richesse du territoire en créant les premières guildes métallurgiques du royaume. En plus de cela, ils apportèrent la musique du tambour Ngoma, devenue un symbole militaire, et l’Islam, qui se propagea dans tout le royaume jusqu’à devenir religion d’État.
Ainsi naquit le peuple Shen’nia : fusion unique de la volonté africaine, de la discipline mongole, de la sagesse chinoise et de la spiritualité du royaume des montagnes.
Pourtant, la paix ne fut jamais éternelle.
Le pays fut envahi par une puissance occidentale, les Ludons, lors de la Guerre de la Convoitise (1926-1941). Colonisation brutale, exploitation systématique des mines et de la population, dirigeants fantoches et misère volontairement organisée : le royaume fut étouffé dans son propre sol.
Mais la Volonté Divine ne pouvait être écrasée.
La résistance s’organisa. L’esprit Shen’nia se réveilla.
La révolte prit forme autour d’un homme né à Gyeong en 1991 : Wang Kani.
Envoyé en Occident pour étudier l’économie, la guerre, la politique et la diplomatie, il observa l’oppresseur de l’intérieur. Puis il rentra au pays pour accomplir sa destinée : libérer son peuple de la domination étrangère.
En 2021, la Grande Révolution de la Volonté Divine éclata.
Les batailles s’enchaînèrent :
2021 — Siège de Gyeong : première victoire populaire
2022 — Portes d’Ambessa : reprise des mines stratégiques
2023 — Offensive des Trois Vallées : effondrement du régime fantoche
2024 — Prise du Palais de l’Aube : libération totale du royaume
Le peuple acclama son libérateur comme Roi du Nia Shen.
« La Volonté est une arme. Je la manie comme une épée. »
Sa Majesté Wang Kani, Premier du Nom
Mais la lutte n’est pas terminée : les anciennes puissances coloniales imposent blocus et sanctions, tentant encore de freiner la renaissance du royaume.
Pourtant, fort de ses ressources naturelles, de son identité métissée, de son armée redoutable et de sa foi inébranlable, le Nia Shen se redresse, fier, souverain et invincible.
Un peuple forgé dans la guerre.
Une nation guidée par Dieu.
Un royaume qui ne ploiera jamais devant un autre trône que Celui du Très-Haut.
Composition ethnique
Groupe % Population Contribution historique
Shen’nia (métis afro-asiatiques) 52 % Identité nationale centrale
Shuharri (mongols) 21 % Cavalerie et stratégie militaire
Zeniens (chinois ) 17 % Administration & commerce
Coréens 7 % Artisanat armurier
Est-Africains 3 % Islam, mines, tambours Ngoma
Islam introduit au XIIᵉ siècle par voie maritime est-africaine
Métissage culturel qui a permis la fondement du royaume.
Chronologie historique du Royaume
VIIIᵉ siècle – Premiers clans Shuharri
Des tribus cavalières venues des steppes mongoles s’installent sur le territoire actuel. Elles introduisent la structure clanique et les traditions militaires qui formeront la base du futur royaume.
Xᵉ – XIIIᵉ siècles – Influence de l’Empire Zen
L’Empire Zen diffuse l’écriture, l’administration et la philosophie confucéenne. Les premières cités marchandes se développent autour des routes caravanières reliant les montagnes à la mer.
1124 – Bataille de la Montagne Dorée
Les clans Shen’nia repoussent une invasion étrangère. Cette victoire symbolise l’unité nationale et la naissance du concept de “Volonté Divine”.
1289 – Traité des Deux Aigles
Les grandes ligues tribales signent un accord d’unification, posant les bases du premier État centralisé du Nia Shen.
1517–1520 – Guerre des Trois Routes
Conflit commercial contre l’Empire Zen pour le contrôle des voies maritimes et minières. La victoire Shen’nia stabilise les frontières occidentales.
XIIᵉ siècle – Arrivée des Est-Africains
Des navigateurs venus des côtes swahilies apportent la métallurgie, la forgerie, l’extraction des métaux rares et l’Islam. Leur influence culturelle et économique marque durablement le royaume.
1734 – Révolte des Tambours
Les provinces minières se soulèvent contre la corruption. Le mouvement, inspiré par les symboles africains, affirme le patriotisme Shen’nia.
1926–1941 – Guerre de la Convoitise
Les Ludons, puissance occidentale, envahissent le Nia Shen et instaurent un régime colonial, exploitant les mines et la population.
1941–1997 – Période du régime fantoche
Sous domination Ludonne, le pays subit appauvrissement, répression culturelle et perte de souveraineté. Les traditions spirituelles et l’enseignement sont interdits.
1997 – Soulèvement de Gyeong
Première insurrection moderne contre l’autorité coloniale. Réprimée dans le sang, elle relance la lutte nationale.
2021–2024 – Grande Révolution de la Volonté Divine
Sous la direction de Wang Kani, le peuple mène une série de victoires militaires (Gyeong, Ambessa, Trois Vallées, Palais de l’Aube) qui aboutissent à la chute du régime fantoche.
2024 – Couronnement de Wang Kani
Wang Kani est proclamé Roi du Nia Shen. La monarchie est restaurée, la souveraineté nationale retrouvée, et le pays entame une ère de reconstruction et de fierté retrouvée.
Fêtes nationales
14 février - Union des Clans - Métissage et fondation
3 mai - Montagne Dorée - Victoire de 1124
11 août- Tambours de la Nation - Révolte de 1734
1er décembre- Fête de la Révolution - Libération de 2024
Variable Aïd al-Fitr - Fin du Ramadan
Variable Aïd al - Adha- Foi & sacrifice
Dernier croissant - serment au-delà des montagnes renouvellement du destin national
Mentalité de la population :
Population majoritairement entraînée aux arts martiaux, ayant connu la guerre.
Population instruite, la scolarisation débutant dès le plus jeune âge.
Ce qui définit la population :
- bravoure
- instruction intellectuelle
- patriotisme
- respect des codes de bienséance en société
La population aspire à inciter les nations voisines et cousines à rejoindre leur combat pour créer une coalition économique et militaire, en vue de s’autodéterminer et de se libérer des influences étrangères.
Place de la religion au sein de l’État :
Islam, religion d’État.
Institutions politiques :
Monarchie semi-constitutionnelle.
Ancien système politique féodal chinois basé sur le confucianisme avec nomination de ministres à différents postes, souvent émanant de familles influentes ou de chefs de clan.
Également nomination du Grand Ministre (équivalent Premier ministre), selon un système démocratique.
Place prépondérante des érudits dans les décisions du pays (guerre, économie, diplomatie).
Régime d’influence religieuse islamique et culturellement confucéenne.
À la tête de l’État, un Grand Savant Suprême religieux, souvent consulté par le souverain pour vérifier la conformité religieuse des décisions prises, faisant office de conseiller.
Deux factions existent au sein de la cour royale :
Aile gauche (progressiste mais attachée à la tradition)
Aile droite (conservatrice)
La dynastie instaura, sur le modèle chinois, un concours de recrutement de la fonction publique et une Académie nationale fut créée dans la capitale Tianjora pour préparer les candidats.
Trois épreuves étaient organisées, dont une consacrée à la lecture et à l’interprétation des classiques.
Puis un autre concours militaire portant sur les arts martiaux et L’Art de la Guerre.
La caste de fonctionnaires issue de ce concours se dévoue entièrement à l’État, qui assure en contrepartie une forte ascension sociale à des personnes d’origine modeste. Cette caste contribue également à diffuser la philosophie confucéenne et la vertu religieuse.
Armée Impériale du Nia Shen
(Influence Mongole + Zenienne)
Doctrine militaire : mobilité rapide, discipline stricte, foi divine
Grades
Commandant Suprême "Terngi-Khan" Chef de toutes les armées
Seigneur de Cavalerie "Barun-Noyan" Commande une aile de cavalerie
Capitaine Élite "Arban-Dao" Chef de 100 cavaliers
Chef de Tumen "Tumen Baatar Che "de 10 000 soldats
Garde impériale" Keshig-Sardar"Protection du Roi
Soldat"Arav-Suu" Guerrier Shen’nia
Unités emblématiques :
Cavalerie des Montagnes
Légion du Croissant d’Or
Tambours Guerriers Ngoma
Principaux personnages :
Généraux ayant permis la fondation du royaume.
Pays doté de diplomates, de ministres, de vice-ministres, de secrétaires d’État…
Fondateur du royaume :
Wang Kani
Politique internationale :
Le territoire du Nia Shen est riche d’une diversité de panoramas pouvant attirer des investisseurs.
Dans une démarche de développement, le Nia Shen souhaite nouer des relations diplomatiques et économiques avec des pays fiables.
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Le_souverain du continent
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Posté le : 29 oct. 2025 à 02:34:30
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Nom officiel :
Royaume du Nia Shen
Nom courant :
Nia Shen
Gentilé :
Les Shen’nia
Inspirations culturelles :
Chinoise, mongole, coréenne, est-africaine
Situation géographique :
40 provinces situées entre l’Empire Zen (Ouest) et les territoires Shuharri (Est) ,territoire qui s’étend jusqu’à la mer.
X : 55916. 18 ; Y : 18998. 59 - 1°22'N 120°26'E
Montagnes riches en métaux rares
Ports ouverts sur les routes maritimes
Plaines cavalières stratégiques
Routes caravanières ancestrales
Langue(s) officielle(s) :
Chinois, swahili, mongol, coréen
Autre(s) langue(s) reconnue(s) :
Français, anglais
Drapeau :
[img=https://www.canva.com/design/DAG3IaZ4tds/YOm8gNOw0_3Eah7XZf283g/edit?utm_content=DAG3IaZ4tds&utm_campaign=designshare&utm_medium=link2&utm_source=sharebutton][/img]
Devise officielle :
« Dieu est au-dessus des montagnes »
Hymne officiel :
« Les larmes du champ de bataille »
Monnaie nationale :
Nia
Capitale :
Tianjora
Population :
5 700 000 habitants. Phase de développement. Royaume tout juste fondé.
Présentation du pays :
Le Royaume du Nia Shen tire son nom de deux cultures qui ont forgé son essence :
Nia signifie volonté, but, détermination en swahili, langue d’Afrique de l’Est, et Shen signifie divinité en chinois. Ensemble, ils donnent un sens unique à cette nation : le Royaume de la Volonté Divine.
Le territoire est situé entre la zone d’influence de l’Empire Zen et celle des Shuharri. La population est issue d’un mélange profond entre Asiatiques et Africains : Chinois, Mongols, Coréens et Est-Africains. Cette union est née des échanges commerciaux séculaires des routes caravanières et maritimes, permettant au peuple Shen’nia de se constituer et de se renforcer.
Les Shuharri, peuple cavalier d’origine mongole, arrivèrent les premiers. Ils transmirent leur culture martiale : cavalerie légère et lourde, tactiques nomades et prestige du clan. Ils enseignèrent que la force vient de l’union sur la selle.
L’Empire Zen, héritier des grandes dynasties chinoises, étendit ensuite son influence en apportant philosophie, écriture, commerce et administration. Les relations furent fraternelles, mais à plusieurs reprises, le Zen tenta d’intégrer le Nia Shen, le considérant comme culturellement proche. Pourtant, le royaume résista : jamais il n’accepta la vassalisation.
Par la mer, dès le XIIᵉ siècle, arrivèrent des Est-Africains, maîtres de la forgerie, de l’extraction des métaux rares (or, fer noir, cuivre) et de l’ingénierie minière. Ils contribuèrent à bâtir la richesse du territoire en créant les premières guildes métallurgiques du royaume. En plus de cela, ils apportèrent la musique du tambour Ngoma, devenue un symbole militaire, et l’Islam, qui se propagea dans tout le royaume jusqu’à devenir religion d’État.
Ainsi naquit le peuple Shen’nia : fusion unique de la volonté africaine, de la discipline mongole, de la sagesse chinoise et de la spiritualité du royaume des montagnes.
Pourtant, la paix ne fut jamais éternelle.
Le pays fut envahi par une puissance occidentale, les Ludons, lors de la Guerre de la Convoitise (1926-1941). Colonisation brutale, exploitation systématique des mines et de la population, dirigeants fantoches et misère volontairement organisée : le royaume fut étouffé dans son propre sol.
Mais la Volonté Divine ne pouvait être écrasée.
La résistance s’organisa. L’esprit Shen’nia se réveilla.
La révolte prit forme autour d’un homme né à Gyeong en 1991 : Wang Kani.
Envoyé en Occident pour étudier l’économie, la guerre, la politique et la diplomatie, il observa l’oppresseur de l’intérieur. Puis il rentra au pays pour accomplir sa destinée : libérer son peuple de la domination étrangère.
En 2021, la Grande Révolution de la Volonté Divine éclata.
Les batailles s’enchaînèrent :
2021 — Siège de Gyeong : première victoire populaire
2022 — Portes d’Ambessa : reprise des mines stratégiques
2023 — Offensive des Trois Vallées : effondrement du régime fantoche
2024 — Prise du Palais de l’Aube : libération totale du royaume
Le peuple acclama son libérateur comme Roi du Nia Shen.
« La Volonté est une arme. Je la manie comme une épée. »
Sa Majesté Wang Kani, Premier du Nom
Mais la lutte n’est pas terminée : les anciennes puissances coloniales imposent blocus et sanctions, tentant encore de freiner la renaissance du royaume.
Pourtant, fort de ses ressources naturelles, de son identité métissée, de son armée redoutable et de sa foi inébranlable, le Nia Shen se redresse, fier, souverain et invincible.
Un peuple forgé dans la guerre.
Une nation guidée par Dieu.
Un royaume qui ne ploiera jamais devant un autre trône que Celui du Très-Haut.
Composition ethnique
Groupe % Population Contribution historique
Shen’nia (métis afro-asiatiques) 52 % Identité nationale centrale
Shuharri (mongols) 21 % Cavalerie et stratégie militaire
Zeniens (chinois ) 17 % Administration & commerce
Coréens 7 % Artisanat armurier
Est-Africains 3 % Islam, mines, tambours Ngoma
Islam introduit au XIIᵉ siècle par voie maritime est-africaine
Métissage culturel qui a permis la fondement du royaume.
Chronologie historique du Royaume
VIIIᵉ siècle – Premiers clans Shuharri
Des tribus cavalières venues des steppes mongoles s’installent sur le territoire actuel. Elles introduisent la structure clanique et les traditions militaires qui formeront la base du futur royaume.
Xᵉ – XIIIᵉ siècles – Influence de l’Empire Zen
L’Empire Zen diffuse l’écriture, l’administration et la philosophie confucéenne. Les premières cités marchandes se développent autour des routes caravanières reliant les montagnes à la mer.
1124 – Bataille de la Montagne Dorée
Les clans Shen’nia repoussent une invasion étrangère. Cette victoire symbolise l’unité nationale et la naissance du concept de “Volonté Divine”.
1289 – Traité des Deux Aigles
Les grandes ligues tribales signent un accord d’unification, posant les bases du premier État centralisé du Nia Shen.
1517–1520 – Guerre des Trois Routes
Conflit commercial contre l’Empire Zen pour le contrôle des voies maritimes et minières. La victoire Shen’nia stabilise les frontières occidentales.
XIIᵉ siècle – Arrivée des Est-Africains
Des navigateurs venus des côtes swahilies apportent la métallurgie, la forgerie, l’extraction des métaux rares et l’Islam. Leur influence culturelle et économique marque durablement le royaume.
1734 – Révolte des Tambours
Les provinces minières se soulèvent contre la corruption. Le mouvement, inspiré par les symboles africains, affirme le patriotisme Shen’nia.
1926–1941 – Guerre de la Convoitise
Les Ludons, puissance occidentale, envahissent le Nia Shen et instaurent un régime colonial, exploitant les mines et la population.
1941–1997 – Période du régime fantoche
Sous domination Ludonne, le pays subit appauvrissement, répression culturelle et perte de souveraineté. Les traditions spirituelles et l’enseignement sont interdits.
1997 – Soulèvement de Gyeong
Première insurrection moderne contre l’autorité coloniale. Réprimée dans le sang, elle relance la lutte nationale.
2021–2024 – Grande Révolution de la Volonté Divine
Sous la direction de Wang Kani, le peuple mène une série de victoires militaires (Gyeong, Ambessa, Trois Vallées, Palais de l’Aube) qui aboutissent à la chute du régime fantoche.
2024 – Couronnement de Wang Kani
Wang Kani est proclamé Roi du Nia Shen. La monarchie est restaurée, la souveraineté nationale retrouvée, et le pays entame une ère de reconstruction et de fierté retrouvée.
Fêtes nationales
14 février - Union des Clans - Métissage et fondation
3 mai - Montagne Dorée - Victoire de 1124
11 août- Tambours de la Nation - Révolte de 1734
1er décembre- Fête de la Révolution - Libération de 2024
Variable Aïd al-Fitr - Fin du Ramadan
Variable Aïd al - Adha- Foi & sacrifice
Dernier croissant - serment au-delà des montagnes renouvellement du destin national
Mentalité de la population :
Population majoritairement entraînée aux arts martiaux, ayant connu la guerre.
Population instruite, la scolarisation débutant dès le plus jeune âge.
Ce qui définit la population :
- bravoure
- instruction intellectuelle
- patriotisme
- respect des codes de bienséance en société
La population aspire à inciter les nations voisines et cousines à rejoindre leur combat pour créer une coalition économique et militaire, en vue de s’autodéterminer et de se libérer des influences étrangères.
Place de la religion au sein de l’État :
Islam, religion d’État.
Institutions politiques :
Monarchie semi-constitutionnelle.
Ancien système politique féodal chinois basé sur le confucianisme avec nomination de ministres à différents postes, souvent émanant de familles influentes ou de chefs de clan.
Également nomination du Grand Ministre (équivalent Premier ministre), selon un système démocratique.
Place prépondérante des érudits dans les décisions du pays (guerre, économie, diplomatie).
Régime d’influence religieuse islamique et culturellement confucéenne.
À la tête de l’État, un Grand Savant Suprême religieux, souvent consulté par le souverain pour vérifier la conformité religieuse des décisions prises, faisant office de conseiller.
Deux factions existent au sein de la cour royale :
Aile gauche (progressiste mais attachée à la tradition)
Aile droite (conservatrice)
La dynastie instaura, sur le modèle chinois, un concours de recrutement de la fonction publique et une Académie nationale fut créée dans la capitale Tianjora pour préparer les candidats.
Trois épreuves étaient organisées, dont une consacrée à la lecture et à l’interprétation des classiques.
Puis un autre concours militaire portant sur les arts martiaux et L’Art de la Guerre.
La caste de fonctionnaires issue de ce concours se dévoue entièrement à l’État, qui assure en contrepartie une forte ascension sociale à des personnes d’origine modeste. Cette caste contribue également à diffuser la philosophie confucéenne et la vertu religieuse.
Armée Impériale du Nia Shen
(Influence Mongole + Zenienne)
Doctrine militaire : mobilité rapide, discipline stricte, foi divine
Grades
Commandant Suprême "Terngi-Khan" Chef de toutes les armées
Seigneur de Cavalerie "Barun-Noyan" Commande une aile de cavalerie
Capitaine Élite "Arban-Dao" Chef de 100 cavaliers
Chef de Tumen "Tumen Baatar Che "de 10 000 soldats
Garde impériale" Keshig-Sardar"Protection du Roi
Soldat"Arav-Suu" Guerrier Shen’nia
Unités emblématiques :
Cavalerie des Montagnes
Légion du Croissant d’Or
Tambours Guerriers Ngoma
Principaux personnages :
Généraux ayant permis la fondation du royaume.
Pays doté de diplomates, de ministres, de vice-ministres, de secrétaires d’État…
Fondateur du royaume :
Wang Kani
Politique internationale :
Le territoire du Nia Shen est riche d’une diversité de panoramas pouvant attirer des investisseurs.
Dans une démarche de développement, le Nia Shen souhaite nouer des relations diplomatiques et économiques avec des pays fiables.
Posté le : 30 oct. 2025 à 16:48:50
0
Indications concernant les champs :
Nom officiel :
Royaume du Nia Shen
Nom courant :
Nia Shen
Gentilé :
Les Shen’nia
Inspirations culturelles :
Chinoise, mongole, coréenne, est-africaine
Situation géographique :
40 provinces situées entre l’Empire Zen (Ouest) et les territoires Shuharri (Est), territoire qui s’étend jusqu’à la mer.

Montagnes riches en métaux rares
Ports ouverts sur les routes maritimes
Plaines cavalières stratégiques
Routes caravanières ancestrales
Langue(s) officielle(s) :
Chinois, swahili, mongol, coréen
Autre(s) langue(s) reconnue(s) :
Français, anglais
Drapeau :

Devise officielle :
« Dieu est au-dessus des montagnes »
Hymne officiel :
« Les larmes du champ de bataille »
Monnaie nationale :
Nia
Capitale :
Tianjora
Population :
5 700 000 habitants. Phase de développement. Royaume tout juste fondé.
Présentation du pays :
Le Royaume du Nia Shen tire son nom de deux cultures qui ont forgé son essence :
Nia signifie volonté, but, détermination en swahili, langue d’Afrique de l’Est, et Shen signifie divinité en chinois. Ensemble, ils donnent un sens unique à cette nation : le Royaume de la Volonté Divine.
Le territoire est situé entre la zone d’influence de l’Empire Zen et celle des Shuharri. La population est issue d’un mélange profond entre Asiatiques et Africains : Chinois, Mongols, Coréens et Est-Africains. Cette union est née des échanges commerciaux séculaires des routes caravanières et maritimes, permettant au peuple Shen’nia de se constituer et de se renforcer.
Les Shuharri, peuple cavalier d’origine mongole, arrivèrent les premiers. Ils transmirent leur culture martiale : cavalerie légère et lourde, tactiques nomades et prestige du clan. Ils enseignèrent que la force vient de l’union sur la selle.
L’Empire Zen, héritier des grandes dynasties chinoises, étendit ensuite son influence en apportant philosophie, écriture, commerce et administration. Les relations furent fraternelles, mais à plusieurs reprises, le Zen tenta d’intégrer le Nia Shen, le considérant comme culturellement proche. Pourtant, le royaume résista : jamais il n’accepta la vassalisation.
Par la mer, dès le XIIᵉ siècle, arrivèrent des Est-Africains, maîtres de la forgerie, de l’extraction des métaux rares (or, fer noir, cuivre) et de l’ingénierie minière. Ils contribuèrent à bâtir la richesse du territoire en créant les premières guildes métallurgiques du royaume. En plus de cela, ils apportèrent la musique du tambour Ngoma, devenue un symbole militaire, et l’Islam, qui se propagea dans tout le royaume jusqu’à devenir religion d’État.
Ainsi naquit le peuple Shen’nia : fusion unique de la volonté africaine, de la discipline mongole, de la sagesse chinoise et de la spiritualité du royaume des montagnes.
Pourtant, la paix ne fut jamais éternelle.
Le pays fut envahi par une puissance occidentale, les Ludons, lors de la Guerre de la Convoitise (1926-1941). Colonisation brutale, exploitation systématique des mines et de la population, dirigeants fantoches et misère volontairement organisée : le royaume fut étouffé dans son propre sol.
Mais la Volonté Divine ne pouvait être écrasée.
La résistance s’organisa. L’esprit Shen’nia se réveilla.
La révolte prit forme autour d’un homme né à Gyeong en 1991 : Wang Kani.
Envoyé en Occident pour étudier l’économie, la guerre, la politique et la diplomatie, il observa l’oppresseur de l’intérieur. Puis il rentra au pays pour accomplir sa destinée : libérer son peuple de la domination étrangère.
En 2021, la Grande Révolution de la Volonté Divine éclata.
Les batailles s’enchaînèrent :
2021 — Siège de Gyeong : première victoire populaire
2022 — Portes d’Ambessa : reprise des mines stratégiques
2023 — Offensive des Trois Vallées : effondrement du régime fantoche
2024 — Prise du Palais de l’Aube : libération totale du royaume
Le peuple acclama son libérateur comme Roi du Nia Shen.
« La Volonté est une arme. Je la manie comme une épée. »
Sa Majesté Wang Kani, Premier du Nom
Mais la lutte n’est pas terminée : les anciennes puissances coloniales imposent blocus et sanctions, tentant encore de freiner la renaissance du royaume.
Pourtant, fort de ses ressources naturelles, de son identité métissée, de son armée redoutable et de sa foi inébranlable, le Nia Shen se redresse, fier, souverain et invincible.
Un peuple forgé dans la guerre.
Une nation guidée par Dieu.
Un royaume qui ne ploiera jamais devant un autre trône que Celui du Très-Haut.
Composition ethnique
Groupe % Population Contribution historique
Shen’nia (métis afro-asiatiques) 52 % Identité nationale centrale
Shuharri (mongols) 21 % Cavalerie et stratégie militaire
Zeniens (chinois ) 17 % Administration & commerce
Coréens 7 % Artisanat armurier
Est-Africains 3 % Islam, mines, tambours Ngoma
Islam introduit au XIIᵉ siècle par voie maritime est-africaine
Métissage culturel qui a permis la fondement du royaume.
Chronologie historique du Royaume
VIIIᵉ siècle – Premiers clans Shuharri
Des tribus cavalières venues des steppes mongoles s’installent sur le territoire actuel. Elles introduisent la structure clanique et les traditions militaires qui formeront la base du futur royaume.
Xᵉ – XIIIᵉ siècles – Influence de l’Empire Zen
L’Empire Zen diffuse l’écriture, l’administration et la philosophie confucéenne. Les premières cités marchandes se développent autour des routes caravanières reliant les montagnes à la mer.
1124 – Bataille de la Montagne Dorée
Les clans Shen’nia repoussent une invasion étrangère. Cette victoire symbolise l’unité nationale et la naissance du concept de “Volonté Divine”.
1289 – Traité des Deux Aigles
Les grandes ligues tribales signent un accord d’unification, posant les bases du premier État centralisé du Nia Shen.
1517–1520 – Guerre des Trois Routes
Conflit commercial contre l’Empire Zen pour le contrôle des voies maritimes et minières. La victoire Shen’nia stabilise les frontières occidentales.
XIIᵉ siècle – Arrivée des Est-Africains
Des navigateurs venus des côtes swahilies apportent la métallurgie, la forgerie, l’extraction des métaux rares et l’Islam. Leur influence culturelle et économique marque durablement le royaume.
1734 – Révolte des Tambours
Les provinces minières se soulèvent contre la corruption. Le mouvement, inspiré par les symboles africains, affirme le patriotisme Shen’nia.
1926–1941 – Guerre de la Convoitise
Les Ludons, puissance occidentale, envahissent le Nia Shen et instaurent un régime colonial, exploitant les mines et la population.
1941–1997 – Période du régime fantoche
Sous domination Ludonne, le pays subit appauvrissement, répression culturelle et perte de souveraineté. Les traditions spirituelles et l’enseignement sont interdits.
1997 – Soulèvement de Gyeong
Première insurrection moderne contre l’autorité coloniale. Réprimée dans le sang, elle relance la lutte nationale.
2021–2024 – Grande Révolution de la Volonté Divine
Sous la direction de Wang Kani, le peuple mène une série de victoires militaires (Gyeong, Ambessa, Trois Vallées, Palais de l’Aube) qui aboutissent à la chute du régime fantoche.
2024 – Couronnement de Wang Kani
Wang Kani est proclamé Roi du Nia Shen. La monarchie est restaurée, la souveraineté nationale retrouvée, et le pays entame une ère de reconstruction et de fierté retrouvée.
Fêtes nationales
14 février - Union des Clans - Métissage et fondation
3 mai - Montagne Dorée - Victoire de 1124
11 août- Tambours de la Nation - Révolte de 1734
1er décembre- Fête de la Révolution - Libération de 2024
Variable Aïd al-Fitr - Fin du Ramadan
Variable Aïd al - Adha- Foi & sacrifice
Dernier croissant - serment au-delà des montagnes renouvellement du destin national
Mentalité de la population :
Population majoritairement entraînée aux arts martiaux, ayant connu la guerre.
Population instruite, la scolarisation débutant dès le plus jeune âge.
Ce qui définit la population :
- bravoure
- instruction intellectuelle
- patriotisme
- respect des codes de bienséance en société
La population aspire à inciter les nations voisines et cousines à rejoindre leur combat pour créer une coalition économique et militaire, en vue de s’autodéterminer et de se libérer des influences étrangères.
Place de la religion au sein de l’État :
Islam, religion d’État.
Institutions politiques :
Monarchie semi-constitutionnelle.
Ancien système politique féodal chinois basé sur le confucianisme avec nomination de ministres à différents postes, souvent émanant de familles influentes ou de chefs de clan.
Également nomination du Grand Ministre (équivalent Premier ministre), selon un système démocratique.
Place prépondérante des érudits dans les décisions du pays (guerre, économie, diplomatie).
Régime d’influence religieuse islamique et culturellement confucéenne.
À la tête de l’État, un Grand Savant Suprême religieux, souvent consulté par le souverain pour vérifier la conformité religieuse des décisions prises, faisant office de conseiller.
Deux factions existent au sein de la cour royale :
Aile gauche (progressiste mais attachée à la tradition)
Aile droite (conservatrice)
La dynastie instaura, sur le modèle chinois, un concours de recrutement de la fonction publique et une Académie nationale fut créée dans la capitale Tianjora pour préparer les candidats.
Trois épreuves étaient organisées, dont une consacrée à la lecture et à l’interprétation des classiques.
Puis un autre concours militaire portant sur les arts martiaux et L’Art de la Guerre.
La caste de fonctionnaires issue de ce concours se dévoue entièrement à l’État, qui assure en contrepartie une forte ascension sociale à des personnes d’origine modeste. Cette caste contribue également à diffuser la philosophie confucéenne et la vertu religieuse.
Armée Impériale du Nia Shen
(Influence Mongole + Zenienne)
Doctrine militaire : mobilité rapide, discipline stricte, foi divine
Grades
Commandant Suprême "Terngi-Khan" Chef de toutes les armées
Seigneur de Cavalerie "Barun-Noyan" Commande une aile de cavalerie
Capitaine Élite "Arban-Dao" Chef de 100 cavaliers
Chef de Tumen "Tumen Baatar Che "de 10 000 soldats
Garde impériale" Keshig-Sardar"Protection du Roi
Soldat"Arav-Suu" Guerrier Shen’nia
Unités emblématiques :
Cavalerie des Montagnes
Légion du Croissant d’Or
Tambours Guerriers Ngoma
Principaux personnages :
Généraux ayant permis la fondation du royaume.
Pays doté de diplomates, de ministres, de vice-ministres, de secrétaires d’État…
Fondateur du royaume :
Wang Kani
Politique internationale :
Le territoire du Nia Shen est riche d’une diversité de panoramas pouvant attirer des investisseurs.
Dans une démarche de développement, le Nia Shen souhaite nouer des relations diplomatiques et économiques avec des pays fiables.
Nom officiel :
Royaume du Nia Shen
Nom courant :
Nia Shen
Gentilé :
Les Shen’nia
Inspirations culturelles :
Chinoise, mongole, coréenne, est-africaine
Situation géographique :
40 provinces situées entre l’Empire Zen (Ouest) et les territoires Shuharri (Est), territoire qui s’étend jusqu’à la mer.
Montagnes riches en métaux rares
Ports ouverts sur les routes maritimes
Plaines cavalières stratégiques
Routes caravanières ancestrales
Langue(s) officielle(s) :
Chinois, swahili, mongol, coréen
Autre(s) langue(s) reconnue(s) :
Français, anglais
Drapeau :
Devise officielle :
« Dieu est au-dessus des montagnes »
Hymne officiel :
« Les larmes du champ de bataille »
Monnaie nationale :
Nia
Capitale :
Tianjora
Population :
5 700 000 habitants. Phase de développement. Royaume tout juste fondé.
Présentation du pays :
Le Royaume du Nia Shen tire son nom de deux cultures qui ont forgé son essence :
Nia signifie volonté, but, détermination en swahili, langue d’Afrique de l’Est, et Shen signifie divinité en chinois. Ensemble, ils donnent un sens unique à cette nation : le Royaume de la Volonté Divine.
Le territoire est situé entre la zone d’influence de l’Empire Zen et celle des Shuharri. La population est issue d’un mélange profond entre Asiatiques et Africains : Chinois, Mongols, Coréens et Est-Africains. Cette union est née des échanges commerciaux séculaires des routes caravanières et maritimes, permettant au peuple Shen’nia de se constituer et de se renforcer.
Les Shuharri, peuple cavalier d’origine mongole, arrivèrent les premiers. Ils transmirent leur culture martiale : cavalerie légère et lourde, tactiques nomades et prestige du clan. Ils enseignèrent que la force vient de l’union sur la selle.
L’Empire Zen, héritier des grandes dynasties chinoises, étendit ensuite son influence en apportant philosophie, écriture, commerce et administration. Les relations furent fraternelles, mais à plusieurs reprises, le Zen tenta d’intégrer le Nia Shen, le considérant comme culturellement proche. Pourtant, le royaume résista : jamais il n’accepta la vassalisation.
Par la mer, dès le XIIᵉ siècle, arrivèrent des Est-Africains, maîtres de la forgerie, de l’extraction des métaux rares (or, fer noir, cuivre) et de l’ingénierie minière. Ils contribuèrent à bâtir la richesse du territoire en créant les premières guildes métallurgiques du royaume. En plus de cela, ils apportèrent la musique du tambour Ngoma, devenue un symbole militaire, et l’Islam, qui se propagea dans tout le royaume jusqu’à devenir religion d’État.
Ainsi naquit le peuple Shen’nia : fusion unique de la volonté africaine, de la discipline mongole, de la sagesse chinoise et de la spiritualité du royaume des montagnes.
Pourtant, la paix ne fut jamais éternelle.
Le pays fut envahi par une puissance occidentale, les Ludons, lors de la Guerre de la Convoitise (1926-1941). Colonisation brutale, exploitation systématique des mines et de la population, dirigeants fantoches et misère volontairement organisée : le royaume fut étouffé dans son propre sol.
Mais la Volonté Divine ne pouvait être écrasée.
La résistance s’organisa. L’esprit Shen’nia se réveilla.
La révolte prit forme autour d’un homme né à Gyeong en 1991 : Wang Kani.
Envoyé en Occident pour étudier l’économie, la guerre, la politique et la diplomatie, il observa l’oppresseur de l’intérieur. Puis il rentra au pays pour accomplir sa destinée : libérer son peuple de la domination étrangère.
En 2021, la Grande Révolution de la Volonté Divine éclata.
Les batailles s’enchaînèrent :
2021 — Siège de Gyeong : première victoire populaire
2022 — Portes d’Ambessa : reprise des mines stratégiques
2023 — Offensive des Trois Vallées : effondrement du régime fantoche
2024 — Prise du Palais de l’Aube : libération totale du royaume
Le peuple acclama son libérateur comme Roi du Nia Shen.
« La Volonté est une arme. Je la manie comme une épée. »
Sa Majesté Wang Kani, Premier du Nom
Mais la lutte n’est pas terminée : les anciennes puissances coloniales imposent blocus et sanctions, tentant encore de freiner la renaissance du royaume.
Pourtant, fort de ses ressources naturelles, de son identité métissée, de son armée redoutable et de sa foi inébranlable, le Nia Shen se redresse, fier, souverain et invincible.
Un peuple forgé dans la guerre.
Une nation guidée par Dieu.
Un royaume qui ne ploiera jamais devant un autre trône que Celui du Très-Haut.
Composition ethnique
Groupe % Population Contribution historique
Shen’nia (métis afro-asiatiques) 52 % Identité nationale centrale
Shuharri (mongols) 21 % Cavalerie et stratégie militaire
Zeniens (chinois ) 17 % Administration & commerce
Coréens 7 % Artisanat armurier
Est-Africains 3 % Islam, mines, tambours Ngoma
Islam introduit au XIIᵉ siècle par voie maritime est-africaine
Métissage culturel qui a permis la fondement du royaume.
Chronologie historique du Royaume
VIIIᵉ siècle – Premiers clans Shuharri
Des tribus cavalières venues des steppes mongoles s’installent sur le territoire actuel. Elles introduisent la structure clanique et les traditions militaires qui formeront la base du futur royaume.
Xᵉ – XIIIᵉ siècles – Influence de l’Empire Zen
L’Empire Zen diffuse l’écriture, l’administration et la philosophie confucéenne. Les premières cités marchandes se développent autour des routes caravanières reliant les montagnes à la mer.
1124 – Bataille de la Montagne Dorée
Les clans Shen’nia repoussent une invasion étrangère. Cette victoire symbolise l’unité nationale et la naissance du concept de “Volonté Divine”.
1289 – Traité des Deux Aigles
Les grandes ligues tribales signent un accord d’unification, posant les bases du premier État centralisé du Nia Shen.
1517–1520 – Guerre des Trois Routes
Conflit commercial contre l’Empire Zen pour le contrôle des voies maritimes et minières. La victoire Shen’nia stabilise les frontières occidentales.
XIIᵉ siècle – Arrivée des Est-Africains
Des navigateurs venus des côtes swahilies apportent la métallurgie, la forgerie, l’extraction des métaux rares et l’Islam. Leur influence culturelle et économique marque durablement le royaume.
1734 – Révolte des Tambours
Les provinces minières se soulèvent contre la corruption. Le mouvement, inspiré par les symboles africains, affirme le patriotisme Shen’nia.
1926–1941 – Guerre de la Convoitise
Les Ludons, puissance occidentale, envahissent le Nia Shen et instaurent un régime colonial, exploitant les mines et la population.
1941–1997 – Période du régime fantoche
Sous domination Ludonne, le pays subit appauvrissement, répression culturelle et perte de souveraineté. Les traditions spirituelles et l’enseignement sont interdits.
1997 – Soulèvement de Gyeong
Première insurrection moderne contre l’autorité coloniale. Réprimée dans le sang, elle relance la lutte nationale.
2021–2024 – Grande Révolution de la Volonté Divine
Sous la direction de Wang Kani, le peuple mène une série de victoires militaires (Gyeong, Ambessa, Trois Vallées, Palais de l’Aube) qui aboutissent à la chute du régime fantoche.
2024 – Couronnement de Wang Kani
Wang Kani est proclamé Roi du Nia Shen. La monarchie est restaurée, la souveraineté nationale retrouvée, et le pays entame une ère de reconstruction et de fierté retrouvée.
Fêtes nationales
14 février - Union des Clans - Métissage et fondation
3 mai - Montagne Dorée - Victoire de 1124
11 août- Tambours de la Nation - Révolte de 1734
1er décembre- Fête de la Révolution - Libération de 2024
Variable Aïd al-Fitr - Fin du Ramadan
Variable Aïd al - Adha- Foi & sacrifice
Dernier croissant - serment au-delà des montagnes renouvellement du destin national
Mentalité de la population :
Population majoritairement entraînée aux arts martiaux, ayant connu la guerre.
Population instruite, la scolarisation débutant dès le plus jeune âge.
Ce qui définit la population :
- bravoure
- instruction intellectuelle
- patriotisme
- respect des codes de bienséance en société
La population aspire à inciter les nations voisines et cousines à rejoindre leur combat pour créer une coalition économique et militaire, en vue de s’autodéterminer et de se libérer des influences étrangères.
Place de la religion au sein de l’État :
Islam, religion d’État.
Institutions politiques :
Monarchie semi-constitutionnelle.
Ancien système politique féodal chinois basé sur le confucianisme avec nomination de ministres à différents postes, souvent émanant de familles influentes ou de chefs de clan.
Également nomination du Grand Ministre (équivalent Premier ministre), selon un système démocratique.
Place prépondérante des érudits dans les décisions du pays (guerre, économie, diplomatie).
Régime d’influence religieuse islamique et culturellement confucéenne.
À la tête de l’État, un Grand Savant Suprême religieux, souvent consulté par le souverain pour vérifier la conformité religieuse des décisions prises, faisant office de conseiller.
Deux factions existent au sein de la cour royale :
Aile gauche (progressiste mais attachée à la tradition)
Aile droite (conservatrice)
La dynastie instaura, sur le modèle chinois, un concours de recrutement de la fonction publique et une Académie nationale fut créée dans la capitale Tianjora pour préparer les candidats.
Trois épreuves étaient organisées, dont une consacrée à la lecture et à l’interprétation des classiques.
Puis un autre concours militaire portant sur les arts martiaux et L’Art de la Guerre.
La caste de fonctionnaires issue de ce concours se dévoue entièrement à l’État, qui assure en contrepartie une forte ascension sociale à des personnes d’origine modeste. Cette caste contribue également à diffuser la philosophie confucéenne et la vertu religieuse.
Armée Impériale du Nia Shen
(Influence Mongole + Zenienne)
Doctrine militaire : mobilité rapide, discipline stricte, foi divine
Grades
Commandant Suprême "Terngi-Khan" Chef de toutes les armées
Seigneur de Cavalerie "Barun-Noyan" Commande une aile de cavalerie
Capitaine Élite "Arban-Dao" Chef de 100 cavaliers
Chef de Tumen "Tumen Baatar Che "de 10 000 soldats
Garde impériale" Keshig-Sardar"Protection du Roi
Soldat"Arav-Suu" Guerrier Shen’nia
Unités emblématiques :
Cavalerie des Montagnes
Légion du Croissant d’Or
Tambours Guerriers Ngoma
Principaux personnages :
Généraux ayant permis la fondation du royaume.
Pays doté de diplomates, de ministres, de vice-ministres, de secrétaires d’État…
Fondateur du royaume :
Wang Kani
Politique internationale :
Le territoire du Nia Shen est riche d’une diversité de panoramas pouvant attirer des investisseurs.
Dans une démarche de développement, le Nia Shen souhaite nouer des relations diplomatiques et économiques avec des pays fiables.
Posté le : 30 oct. 2025 à 16:53:12
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