09/05/2018
12:05:54
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La quatrième guerre civile Retsvinienne - Affrontements en Veltava

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l'Histoire se répète



77 ans.


Cela faisait 77 ans que les tyrans dominaient ces terres, 77 ans que le malheur s'abattait sur ce peuple, 77 ans de désespoir.



Cela faisait bien longtemps que la Junte existait. Trop longtemps. Ce régime tyrannique qui se faisait appeler République opprimait son peuple dans un espoir vain d'assoir définitivement son pouvoir. Mais l'espoir n'avait pas disparu pour autant. L'espoir de voir un peuple libre en Retsvinie, l'espoir de ne plus être menti par des tyrans, l'espoir de vivre à nouveau.
Beaucoup se battirent pour cet espoir, mais beaucoup moururent. Cette calamité continuait d'exister confortablement, assis sur le peuple de Retsvinie. Il fallait se battre, tous les tuer, tous les dégager de leur trône fait d'os humains. Il fallait se venger pour tout les frères morts au combat, pour tout ceux qui finirent fusillés au nom d'un mensonge, mais que faisait les Retsviniens ? Se débarrassait t-ils de cet ogre mangeur d'homme ? Non, les Retsviniens allaient encore rejoindre l'armée Républicaine pour finir dans les boucheries des territoires insurgés qui, eux au moins, portaient encore l'espoir en eux.
Qui pouvait se battre contre le Régime militaire ? Qui pouvait les vaincre ? Qui pouvait leur enlever le pouvoir absolu qu'ils disposaient ?

La réponse est là : Personne.

Personne ne pouvait se battre contre eux, personne ne pouvait les vaincre, personne ne pouvait leur enlever leur pouvoir.















Sauf


Sauf le peuple Retsvinien qui un jour, uni dans la lutte pour la liberté, guidé par l'ultime espoir de vaincre enfin la tyrannie, pourra devenir un peuple libre.

Certains leur en empêchait, ces hommes, soldats du régime militaire avaient prêtés allégeance à un seul Homme, le Général-Président. Ce personnage qui représentait à lui seul toutes ces années de tyrannie.

Les insurgés qui luttaient pour la liberté étaient reclus dans leur montagnes. Pour le régime militaire, ils n'étaient qu'une épine dans le pied, la faute à leur machine de guerre qui pouvait déferler sur les rares villages libres de Retsvinie. Et cette armée ce mettait désormais en marche. Les moteurs s'allumaient, Les soldats marchaient, les cannons se mettaient en batterie. Le jour de la Quatrième Guerre civile était arrivé, tel une avalanche s’abattant sur toute la Retsvinie.





OPÉRATION AVALANCHE

La fin du Mouvement Indépendantiste de Veltava


ambiance

Invasion de la Veltava


Encore il y a quelques jours, Mouvement Indépendantiste de Veltava et Junte militaire Retsvinienne s'affrontaient lors de quelques escarmouches occasionnelles. Aujourd'hui, par un beau jour de fin d'année en Veltava, les armées de la junte militaire s'élancent sur les montagnes veltaviennes. L'opération Avalanche est le fruit de mois de tensions entre les deux mouvements et de planification stratégique. Mais aujourd'hui, c'était la goutte d'eau qui fit déborder le verre : Les Ouanais avaient, après avoir "perdu un avion" touché par la DCA retsvinienne alors qu'il survolait la Retsvinie, déclenchés une petite offensive sur le front Ouest, aisément mise en échec par l'armée professionnelle et bien équipée de la Retsvinie. Le régime de Silovki en profita pour mettre à exécution ses terribles desseins. Heureusement pour les ouainais, l'avion n'est que cloué au sol pour quelques heures, il n'a eu que quelques dégâts mineurs que ceux-ci s'empressent de réparer...


Quatrième guerre civile

Ligne de conduite Stratégique : La Junte militaire est la première puissance de Retsvinie. C'est vrai, mais ce fait risque de ne plus l'être d'ici quelques mois. En effet, l'opposition et les indépendantistes se renforcent de jour en jour, et la junte a tout intérêt de gagner dans une sorte de guerre éclaire. La première proie de la Retsvinie est logique : la Veltava. Le mouvement indépendantiste de Veltava est particulièrement bruillant et reçoit de nombreux soutiens de puissances voisines. L'éliminer, c'est ne plus courir le risque qu'il se fasse soutenir par les puissances voisines impérialistes et révolutionnaire. Mais en plus, la Veltava est isolée des autres mouvements et est idéologiquement opposée à la Junte. En réalité, pour la junte, l'élimination du Mouvement Indépendantiste de Veltava est une priorité absolue, après quoi le Régime militaire retournera son attention sur le front de l'est et de Slaviensk. Il faut absolument éviter le double front, car cela garantirai la défaite du régime militaire. L'opération avalanche est donc la première opération de la guerre et sera suivie de nombreuses autres qui auront pour but de sécuriser l'ensemble du territoire Retsvinien et d'enfin mettre un terme à l’étouffante insurrection.
Quatrième Guerre civile

But de l'opération : Pour la Junte militaire, l'objectif n'est autre que d'affaiblir suffisamment le Mouvement Indépendantiste de Veltava de sorte à ce qu'il soit rendu inoffensif pendant de bonnes années. La Junte estime que ce temps sera suffisant pour redresser le Régime et éventuellement permettre les autres opérations de la Quatrième Guerre civile. Cette opération est prévue comme un éclair s'abattant sur le front Veltavien, et ça tombe bien : La Veltava est bien défendue partout, sauf sur l'est. Les Ouainais défendent l'ouest et l'AFRE, fort de sa base sur le centre se concentre un peu partout, la Junte n'ayant pas pu observer précisément où était positionné ces satanés soldats de l'AFRE. L'affaiblissement du Mouvement passe d'abord par la neutralisation de son état-major que la Junte ne manquera pas d'harceler. Ensuite, il s'agit aussi de détruire les forces armées des insurgés, des Ouainais et de l'AFRE. Encore une fois, cela passera par une attaque éclair et une prise à revers des armées Veltaviennes, qui, encerclées, se rendront ou se battrons sans ravitaillement pour subsister. Et pour finir, toujours dans ce but, il faut détruire les capacités du mouvement à ce reconstituer. Pour cela, la Junte vise la prise de la ville d'Olê, à peu près l'unique réservoir démographique du Mouvement Indépendantiste de Veltava. Mais cela ne suffit pas : La Junte prévoit aussi de viser l'apport en armes étrangères en prenant l'unique aérodrome de fortune de l'insurrection (la Junte ne sachant pas encore qu'il existe un aérodrome Ouanais caché à quelques kilomètres d'Olê). Une fois le mouvement complètement atrophié, la Junte pourra poursuivre les opérations de "maintiens de l'ordre".
Infrastructures du mouvement communiste.

Légende
Région rouge = Contrôlé par les insurgés
Région noir = Contrôlé par le gouvernement Républicain

Rectangle jaune = aérodrome
Ligne grise = fortification
Hexagone gris = Secteur fortifié
cercle blanc = Secteur stratégique

Forme de l'Opération : L'Opération est vue comme un "coup de faux" partant de l'est (peu voir pas fortifié) et allant vers l'Ouest, prenant ainsi à revers les fortifications ouainaises, ainsi qu'à peu près toutes les défenses du Mouvement. L'attaque est une poussée continue jusqu'à la prise de l'état major insurgé et l'encerclement du saillant fortifié Veltavien. Après cette première poussé continue, la force d'assaut est remplacée par la seconde force d'assaut qui doit attaquer jusqu'à Olê et les fortifications Ouainaises. L'attaque, brutale et rapide doit handicaper le mouvement veltavien sur le long terme quelque soit le coût humain. En réalité, la Junte est tellement en supériorité numérique qu'elle n'a pas réellement à "économiser" ses hommes. L'opération s'articule sur des territoires accidentés difficiles d'accès, ce qui pourrait cependant retarder l'offensive.
Forces engagées :

La si réputée artillerie Retsvinienne

Régiment de combat Ouest ( 1 ère Brigade d'infanterie) -- Présent sur le front mais ne participant pas à l'opération


2000 soldats professionnels

2000 armes légères d'infanterie lv11

20 mitrailleuses lourdes lv10

5 cannons tractés lv7

20 camions de transport lv2

Régiment de combat Centre ( 1 ère Brigade d'infanterie) -- Présent sur le front mais ne participant pas à l'opération

5 000 soldats professionnels

5 000 armes légères d'infanterie lv11

20 mitrailleuses lourdes lv10

10 cannons tractés lv7

20 camions de transport lv2

Brigade de combat Est (2 nd Brigade d'infanterie) -- Présent sur le front et étant le groupe menant l'offensive


10 000 soldats professionnels

10 000 armes légères d'infanterie lv11

250 mitrailleuses lourdes lv10

15 cannons tractés lv7

50 camions de transport lv2

Compagnie aéroportée -- Unité de combat déployée sur le front


80 soldats professionnels

80 armes légères d'infanterie lv11

10 mitrailleuses lourdes lv10

20 hélicoptères léger polyvalent lv1

Régiment de réserve -- Unité de réserve absente du front, en réserve sur Taivaljärvi


3000 soldats professionnels

3000 armes légères d'infanterie lv11

3 cannons tractés lv7

10 camions de transport lv2

DCA retsvinienne -- En appui derrière le front

5 cannons antiaériens lv1 à Kuusikylä
20 soldats professionnels à Kuusikylä
20 armes légères d'infanterie lv11 à Kuusikylä

15 cannons antiaériens lv1 à l'est du MIV*
50 soldats professionnels à l'est du MIV
50 armes légères d'infanterie lv11 à l'est du MIV

Articulation des Forces : La Brigade d'infanterie positionnée à l'est est l'unique groupe servant l'offensive. Elle compte 10 000 hommes et doit enfoncer les lignes adverses là où elles ne sont pas défendues, c'est à dire sur le front est. Cette Brigade d'infanterie, renforcée par un appui d'artillerie sur tout le front, est également appuyée par un groupe de parachutistes venus déployés sur l'état major adverse dès le début de l'offensive, pour neutraliser le haut commandement adverse et perturber toute la chaine de commandement alors qu'elle est la plus cruciale : À l'instant où les armées de la Junte sont signalées par des observateurs insurgés, empêchant ainsi la réorganisation des armées séparatistes.

Les moyens d'artillerie quand à eux se concentrent dans la contre batterie et le bombardement des positions fortifiées de l'adversaire. Cependant, la Junte devra se passer d'aviation, entièrement consacrée au déploiement aéroporté, ainsi que de blindés, tristement absents du front. Mais, une DCA aide au moins à assurer la sûreté aérienne de la Retsvinie. Il est très probable que les adversaires de la République jouent sur leur avantage aérien pour gagner la partie.

L'articulation des forces

Séquençage : Au 22/12/2017 à 00:00, l'offensive débute. Les armées de la Junte pénètre le front le plus discrètement et le plus rapidement possible. La région est peu peuplée et peu défendue, c'est l'occasion de progresser sans être repérés.
Au 22/12/2017, au premiers accrochages avec des insurgés qui devraient arriver à 00:30, les cannons de la Junte ouvrent le feu sur les pièces d'artillerie ouainaises mises à contribution lors de l'escarmouche ayant lieu la veille ainsi que sur les zones fortifiées comme le saillant insurgé, la Junte connaissant ainsi la position approximative de certaines pièces. Les aéroportés sont alors déployés sur le Haut commandement adverse et doivent le nettoyer.
Après quelques combats, la Brigade du front ouest atteint l'état major insurgé et évacue les aéroportés infiltrés qui se rendent à Kuusikylä en vitesse pour de nouvelles opérations éventuelles. Les insurgés, surpris, se replieraient probablement sur les positions de l'AFRE estalien et des ouainais, qui devraient soit rejoindre le front attaqué (option 1) soit rester sur leur positions (option 2).

Dans l'option 1, la Retsvinie en profite pour s'élancer sur les fortifications ouainaises, et l'opération Avalanche devient non plus une tentative d'atrophier le MIV, mais tout simplement une tentative de le détruire dans son entièreté. Dans cette option, l'ensemble des moyens déployés sur le front mènent l'attaque, étouffant numériquement les insurgés.
Dans l'option 2, l'opération se déroule comme prévu initialement. Les ouainais ne convertissent pas leurs efforts à l'est pour contrer l'offensive et les deux armées se font face sans combattre pendant que la Brigade du Front de l'est continue sa poussée. Dans cette option, le mouvement survie même en cas de victoire de la Junte mais devient complètement atrophié, le saillant fortifié est encerclé et dévasté, les réserves démographiques sont perdues, les moyens logistiques pris par l'adversaire et le commandement finit sous les balles des aéroportés. Dans les deux réactions de l'Ouaine et de la C.S.N., la Junte y voit un moyen ou un autre de gagner.

Cependant, la Junte craint plus l'AFRE. Plus discret, plus professionnel, mieux équipé et ayant une meilleure marge de manœuvre. Disposant également de la FOB Ferhammer, l'AFRE est à peu près le seul capable de mettre en échec cette opération qui devrait durer seulement entre deux et trois jours.

Dans le cas où l'offensive serait mise en échec, la Retsvinie se tient "prête" à user de son arsenal chimique qui a déjà démontré de son efficacité durant les escarmouches de fin 2016.
L'offensive avant le choix ouainais.

Commandement : L'opération est commandée par le Haut commandement du Front du sud Retsvinien. Ce Haut commandement, dirigé par le plus fidèle Général de Silovki, Rokossovski, est le haut commandement possédant le plus de moyens de toute la Retsvinie. Même si cela semble être un très bon point pour la Junte, le Commandement de la Junte est en réalité grotesque : Il est mal organisé, tournant autour des membres les plus fidèles du gouvernement du Général-Président, et priorisant le contrôle plutôt que l'efficacité. Ainsi, la relation avec le Général-Président et la fidélité au régime y joue plus que la performance sur le front. Heureusement pour la Junte, le manque globalisé d'informations uniquement accessibles au plus proches du Général-Président est compensé par l'excellence stratégique des officiers retsviniens et de leur expérience tirée de 80 ans de guerre presque continue.
Soldats de la junte peu avant l'offensive

Contraintes dues à l'environnement : Malheureusement pour la Junte, le terrain est accidenté, formé de nombreuses montagnes de basses altitudes et plateaux facilitant la résistance des insurgés. Mais d'un autre côté, la Junte est très avantagée par la taille de l'espace contrôlé par les insurgés, un peu inférieur à 1000 km². Ainsi, la petite taille de la région où se déroule l'opération limite tout repli de l'adversaire qui est forcé de tenir un front et ne peut pas reculer faute d'espace.

Autre avantage pour les insurgés, les combats se déroulent peu avant la fin de l'année, alors que la neige est partout sur le territoire des insurgés. Ainsi, les séparatistes ne se doutent pas que l'attaque ait lieu si tôt, mais cela réduira à coup sûr la mobilité des forces retsviniennes. Le territoire, bourré de neige et de gel, sera difficile à prendre.

Mais un autre détail important entre en jeu : La population locale, déjà très nettement favorable aux insurgés avant les ingérences étrangères de 2016, est maintenant manipulée par une propagande intensive de la C.S.N. et de la Fédération des peuples Estaliens. La résistance à l'invasion, pendant et après celle-ci, n'en sera que renforcée.

Carte topographique Retsvinie.

*MIV = Mouvement Indépendantiste de Veltava




Toutes les armes déployées ici sont à retirer de l'Atlas retsvinien en cas de pertes.

Il y a eu quelques modifications mineures sur la forme du territoire insurgé, notamment pour le rendre (un peu) plus propre sur la carte. Et j'ai pris la liberté de placer Ferhammer sur la carte selon les descriptions de Brown (Estalie).
Ferhammer (II) :

Gardiens de la Liberté, armes à la main et prêts à mourir. Tel est le rôle d'un révolutionnaire en armes.




La Junte a décidé d'en finir. Ce 22 Décembre 2017, vers minuit, plusieurs rapports d'affrontements de haute intensité sont rapportés sur la portion orientale du front du MIV. Les forces veltaviennes sont en infériorité numérique écrasante et ne disposent que peu de moyens pour contenir ce qui ressemble bel et bien à une offensive de grande envergure visant à exterminer le MIV. Le temps presse et l'AFRE en est consciente mais elle doit faire face à un double problème. Le premier réside dans les moyens : que ce soit les moyens de l'AFRE, du MIV ou des renforts de la CSN, la Junte surpasse en puissance de feu l'ensemble des acteurs présents en Veltava, du moins au niveau terrestre, ce qui rend la situation extrêmement précaire si l'AFRE ne reçoit pas prochainement de nouveaux renforts pour égaliser le rapport de force avec les forces de la Junte. Deuxièmement, il faut reconnaître l'échec de la coopération entre l'AFRE et ses alliés locaux. Certes, le MIV reste globalement fidèle et étroitement lié à l'AFRE de part son importance stratégique vitale pour les insurgés mais il n'empêche que la coopération avec la CSN s'est révélée infructueuse, cette dernière s'étant contentée d'échanges d'informations entre le SRR et les services de renseignements barvyniens tandis que la politique agressive de l'Ouaine a fini par attirer toute l'attention de la Junte sur le MIV, lançant éperdument des opérations en territoire hostile alors que la force insurgée n'est pas prête à prendre le contrôle de toute la Veltava et combattre dans une bataille rangée les forces de la Junte. En bref, il ne faudra compter ni sur nos alliés, ni sur les insurgés mais sur nos propres forces, tout en réparant les pots cassés en sauvant le plus possible les forces insurgées afin de les préparer à la riposte et les réorganiser, cette fois-ci sous la direction étroite de l'AFRE.

Cependant, l'AFRE n'est pas sans défense et dispose d'une carte maîtresse que la Junte aura bien du mal à contrer : son ancrage extérieur. L'AFRE est une organisation supranationale, elle peut autant compter sur le soutien actif des Estaliens mais également sur ses propres forces qui ont pris le contrôle de la Kartvélie (de facto, il faut considérer que la Kartvélie et ses forces sont celles de l'AFRE elle-même). Ainsi, cet ancrage extérieur permet à l'AFRE de piocher dans les puits sans fonds des réserves matérielles de l'Armée Rouge et dans ses forces en réserve sur le sol kartvélien et surtout, elle peut compter sur le soutien aérien des Estaliens et de sa propre aviation. Le soutien aérien n'aura jamais été aussi primordial dans ce cas de figure puisque la supériorité aérienne sera ici la pierre angulaire de toute la stratégie de l'AFRE afin de ralentir l'offensive de la Junte, sans oublier l'attrition que l'AFRE compte bien faire subir aux forces de la Junte. L'opération de la Junte est un quitte ou double dans le fond : soit elle mettra fin à l'existence du MIV et permettra à la Junte de remporter une victoire décisive sur le mouvement séparatiste le plus dangereux dans la guerre civile retsvinienne (et permettra d'unifier davantage le pays face à une possible invasion de Slaviensk), soit elle mettra un coup fatal à la crédibilité du régime tout en affaiblissant considérablement ses forces militaires, rendant la Junte exposée aux tensions internes ainsi qu'aux contre-attaques opportunistes du MIV, de l'AFRE et des autres mouvements libéraux en insurrection dans le pays. En bref, la Junte triomphera ou disparaîtra dans cette offensive déterminante et bien entendu, l'AFRE vise la seconde option et pour cela, elle se donne deux objectifs : ralentir la progression ennemie afin de laisser le temps aux renforts d'être acheminés et réorganiser le dispositif insurgé, puis dans un second temps infliger le plus de pertes dans le processus aux forces de la Junte afin de rendre leur position stratégique encore plus vulnérable une fois les combats achevés dans la région.


Hommes en armes (partie terrestre) :

Tirer de jour, se déplacer la nuit.

Alors que l'offensive de la Junte débute dans les alentours de minuit, il faut bien situer que les combats à l'est se déroulent à un peu moins de trente kilomètres de la FOB Ferhammer. En plus de l'état-major insurgé, Ferhammer est donc avec le saillant en quasi-première ligne, bien que l'infrastructure ne soit pas attaquée dans l'immédiat et qu'elle dispose d'un peu de temps pour se préparer. Il faut compter non seulement la profondeur à laquelle se situe Ferhammer mais également les circonstances contextuelles de l'offensive : les insurgés veltaviens vont probablement résister et disposent d'un relief relativement favorable et d'une bonne connaissance du terrain pour leur permettre de se défendre dans des positions relativement avantageuses. Ordre est tout de même donné aux forces insurgées présentes en première ligne de ne pas s'épuiser dans un combat à mort. L'offensive de la Junte est particulièrement brutale, elle compte plusieurs milliers d'hommes et dépasse numériquement de loin les forces insurgées et de l'AFRE, il est illusoire d'espérer tenir jusqu'au bout. Or, l'AFRE a précisément besoin que les forces insurgées présentes conservent le plus possible leur matériel et leurs hommes au lieu de les gaspiller inutilement dans une défense jusqu'au-boutiste inutile. L'ordre est donc donné aux forces insurgées de mener une retraite progressive et échelonnée vers l'ouest. Dans l'immédiat, compte tenu de la distance qui sépare Ferhammer du front, ce sera à l'artillerie de l'AFRE de soutenir activement la défense puis la retraite échelonnée des forces insurgées. L'artillerie de l'AFRE pratiquera plusieurs tirs de barrage afin d'interdire d'accès aux troupes retsviniennes les points hauts les plus stratégiques essentiels à la défense locale et les retraites des insurgés sur place sera toujours appuyé par des tirs d'artillerie mêlant obus explosifs et fumigènes afin de dissuader pour quelques heures l'avancée ennemie d'une part et masquer le champ de vision des attaquants, ce qui permettra aux insurgés de se replier en toute sécurité sans subir de pertes.

L'objectif n'est pas, en somme, de tenir coûte que coûte mais de décomposer l'offensive ennemie en une série d'obstacles, d'embuscades et de ruptures successives en exploitant la géographie locale. Une fois les premiers combats lancés, l'AFRE engagera la totalité de ses forces en présence pour soutenir la défense insurgée, elle organisera sa défense en trois bandes successives afin de ralentir l'opération retsvinienne. Sur les dix premiers kilomètres de profondeur, l'AFRE organisera 200 hommes en une dizaine de compagnies légères et quelques détachements d'éclaireurs afin de canaliser et ralentir l'ennemi en se positionnant sur des crêtes secondaires et des points de passage obligés comme des cols, des tunnels, des ponts ou des routes encaissées. Ces compagnies n'ont pas pour ordre de tenir le terrain mais d'engager l'adversaire sans s'exposer à la riposte avant de décrocher au bout de quelques heures de combat en laissant derrière soi des pièges explosifs (IED) et en faisant exploser les routes et les points de passage à l'explosif. La seconde ligne va surtout s'organiser à partir de l'état-major insurgé où une soixantaine d'hommes sera posté en attente. Ces soixante hommes, organisés en sections autonomes avec des tireurs d'élite et des mortiers légers, devront rester dans des zones dissimulées et devront mener un harcèlement continu. Les tireurs d'élite ont pour ordre d'éliminer les officiers et les sous-officiers ainsi que le personnel logistique ainsi que les membres du génie de combat qui sont essentiels à la bonne mobilité des troupes en montagne. Le but de cette seconde ligne reste davantage d'épuiser et de désorganiser l'adversaire. Les 200 hommes postés en première ligne ont pour ordre, pendant ce temps, d'évacuer avec les forces insurgées restantes l'état-major pour qu'il soit replié directement à Ferhammer, il n'est absolument pas nécessaire de conserver coûte que coûte l'état-major en lui-même mais il sera vital de le replier en sûreté. Enfin, la troisième et dernière ligne sera située dans la dizaine de kilomètres qui entoure Ferhammer et qui englobe toute la ligne de front entre les fortifications ouanaises plus au nord et la frontière au sud. Toutes les forces restantes, dont plus de 700 hommes auront déjà étés postés à l'avance sur ces positions et auront eu le temps de fortifier les points-clés, devront fixer et bloquer les éléments ennemis avancés le plus longtemps possible jusqu'à l'arrivée des renforts en s'appuyant sur des positions fortifiées, l'artillerie de campagne de l'AFRE et en dominant les crêtes majeures qui dominent les axes de pénétration de la zone afin d'infliger le plus de pertes aux forces retsviniennes.

Bien entendu, l'AFRE exploite au maximum le terrain montagneux pour obtenir le plus d'avantages tactiques à sa disposition et pour freiner l'avancée de la Junte, tout en lui infligeant de lourdes pertes. Les troupes de l'AFRE occuperont les crêtes et les points d'observation avec des observateurs permanents et des postes de guet discrets pour repérer les mouvements ennemis à l'avancée et désigner les cibles plus aisément pour l'artillerie et l'aviation ; dans le même temps, l'AFRE va disséminer des postes d'alerte légers sous forme de patrouilles ou d'observateurs mobiles le long des axes d'approche afin d'améliorer la connaissance du terrain et éviter les attaques surprises ennemies. Les goulets deviennent en eux-mêmes des choke points, tous les mouvements de l'infanterie sont faits de sorte à attirer l'ennemi dans des cols, sur des points ou des tunnels pour réduire l'effet de leur supériorité numérique. De même, sur toutes les routes, l'AFRE va multiplier la mise en place d'obstacles passifs visibles comme des rochers, des troncs ou des barrières de fortune. En soit, ces obstacles ne sont pas difficiles à retirer en soit mais leur simple présence impose la prudence aux cadres ennemis et ralentit donc la progression, ce qui est l'objectif de la manoeuvre. Les fantassins devront tirer de plusieurs positions à la fois et varier rapidement les points de tir avec des feux courts pour rendre leur localisation difficile pour la reconnaissance ennemie, le but étant d'harceler les colonnes adverses en ponctuant la progression ennemie, tout en minant davantage le moral des soldats présents. Chaque poste doit disposer d'un plan de sortie clair, toutes les positions occupées doivent permettre aux troupes en présence de décrocher rapidement en cas de problème, le but est d'imposer à l'ennemi un cycle "engager, disparaître, réengager" en évitant le plus possible de subir des assauts frontaux prolongés où la supériorité numérique ennemie joue en sa faveur. Les équipes de l'AFRE devront être petites afin de faciliter la mobilité, la surprise et les actions courtes, les tireurs d'élite doivent utiliser leur supériorité d'altitude pour atteindre les officiers ainsi que les points de manoeuvre ennemis comme les conducteurs pour ralentir la logistique, le déplacement et la chaîne de commandement. Enfin, tout au long de l'opération, il faudra multiplier les fausses positions à base de campements factices, de feux simulés et de fausses radio-émetteurs afin d'attirer l'attention de l'ennemi afin de le ralentir sur des objectifs superflus ou pour l'attirer dans des embuscades. A noter que l'AFRE organisera les pelotons avec ses meilleurs hommes avec du matériel nocturne afin de mener des raids nocturnes sur les points sensibles ennemis afin de le fatiguer encore davantage et ralentir sa progression de jour : un ennemi épuisé, c'est un ennemi inefficace et démoralisé. C'est davantage vrai en montagne où le combat en montagne requiert aux soldats plus d'énergie pour des actions d'apparence simple comme se déplacer d'un point A à B. Contrairement au combat en plaine ou au combat urbain, disposer d'une force fatiguée en montagne signe généralement la fin des offensives, surtout dans une période hivernale comme celle-ci. Les fronts de tempête, événements atmosphériques généralisés, en hiver, provoquent des températures basses, des vents violents et des neiges aveuglantes ou des blizzards, souvent pendant plusieurs jours à haute altitude, ce qui rend toute offensive extrêmement risquée avec des hommes affaiblis et épuisés. Tout sera donc fait pour jouer sur le moral et la récupération au repos des soldats retsviniens, notamment les raids nocturnes ou les bombardements de nuit de l'artillerie et de l'aviation.


Le secours du Ciel (partie aérienne) :

Les Chevaliers du Ciel en approche !


Force d'Intervention Héraclès (Kartvélie-AFRE) :

  • 10 avions d'attaque (niveau 2).
  • 10 bombardiers stratégiques (niveau 1).
  • 5 drones de reconnaissance (niveau 1).
  • 10 avions de transport tactique (niveau 2 / pour la logistique en renforts qui suivra après).

  • Comme dit plus haut, l'AFRE dispose de l'avantage évident qui est le soutien aérien qui est déterminant dans toute la stratégie de l'AFRE car si les troupes de l'AFRE, expérimentées et professionnelles, tiendront le terrain pour l'espace de quelques jours contre les troupes de la Junte, la supériorité numérique et matérielle des forces que la Junte a aligné pour anéantir le MIV ne laisse que peu de perspectives de victoire à l'AFRE sans davantage de renforts et surtout d'un appui aérien conséquent. La Force Héraclès mise sur pied par l'AFRE depuis la Kartvélie devra donc assurer ce rôle et se décompose en quatre composantes avec chacun des rôles bien spécifiques. Tout d'abord, les avions d'attaque au sol sont pour la plupart des EAA-05 Berkut estaliens, de vieux coucous du début des années 2000 mais qui seront parfaits pour le rôle qui leur est assigné qui est d'appuyer directement les troupes au sol et d'éliminer les défenses antiaériennes adverses. Heureusement, la défense antiaérienne ennemie se compose d'une vingtaine de canons antiaériens qui font pâle figure mais qui pourraient s'avérer être une menace dans le cas où les Berkut survole le champ de bataille à basse altitude (le Berkut étant équipé d'un canon de 30mm, il est clair qu'il devra être en basse altitude pour employer le plus précisément possible sa puissance de feu). La première mission de la composante d'attaque résidera donc dans la destruction des canons antiaériens puis dans le soutien au sol des troupes engagées en première ligne. Le Berkut étant conçu pour être utilisé dans des environnements dégradés, il n'aura aucun mal à se ravitailler en carburant et munitions directement depuis Ferhammer avant de décoller de nouveau, ce qui permettra aux avions de l'AFRE de multiplier les sorties et enchaîner les frappes au sol, ce qui ne sera que plus bénéfique encore pour la défense locale. Ensuite, on retrouve la composante stratégique avec une dizaine de bombardiers stratégiques. Dotés en soute d'un mélange de bombes à fragmentation (qui couvrent une large zone d'impact tout en déstabilisant fortement les couches de neige, donc très adaptés au contexte hivernal ici), de bombes non-guidées de 900 kilos (dont l'onde de choc permet de fracturer la roche et de créer des cratères qui déstabilisent les pentes) et de bombes thermobariques (qui permet de déclencher des avalanches sur de grandes distances), les bombardiers stratégiques ont pour ordre de rester en stand-by avec leurs munitions en soute et de frapper au moment opportun sur les goulets d'étranglement sur ordre des observateurs au sol afin de provoquer le plus de victimes possibles tout en bloquant progressivement la progression de la Junte ; à noter que les bombardiers, s'ils ratent l'opportunité de frapper au bon moment, peuvent faire un passage après qu'une unité ennemie ait pu passer un goulet d'étranglement comme un col ou un tunnel pour le détruire derrière eux et ainsi isoler des unités entières que les troupes au sol n'auront plus qu'à encercler et anéantir. La troisième composante dispose de cinq drones de reconnaissance qui ne devront se déployer qu'après la destruction des canons antiaériens par la composante d'attaque. La composante de reconnaissance visera surtout à rendre compte de la situation globale en survolant la totalité du front afin que l'AFRE ait une idée des effectifs et du matériel ennemi en présence, que ce soit à l'est (là où l'offensive se projette) comme au centre et à l'ouest où la Junte dispose certainement de troupes en réserve. Une fois la reconnaissance des unités adjacentes effectuées, les drones devront appuyer la reconnaissance au sol afin de faciliter les frappes au sol des bombardiers et des Berkut. Enfin, la composante de transport qui a pour consigne d'acheminer ou de parachuter les renforts et le matériel en provenance d'Estalie et de Kartvélie.

    Pendant ce temps, l'AFRE se prépare de son côté à renforcer sévèrement son dispositif. Dès les premières heures de l'offensive de la Junte, l'AFRE, depuis la Kartvélie, organisera le transport de nouveaux renforts qui devront ainsi stabiliser le front dans son ensemble au fur à mesure des pertes ennemies et de l'épuisement de l'offensive de la Junte avant de se redéployer sur l'ensemble du front pour combattre les autres unités de la Junte encore fraîches au nord et à l'ouest ainsi que les possibles unités de réserve qui se porteraient au secours des unités à l'est en difficulté face à la défense de l'AFRE.


    Renforts de l'AFRE au cours de l'offensive ( Atlas Kartvélie-AFRE) :

  • 8000 soldats professionnels.
  • 8000 armes légères d'infanterie (niveau 11).
  • 500 mitrailleuses lourdes (niveau 10).
  • 100 mortiers légers (niveau 8).
  • 200 lance-roquettes (niveau 9).
  • 25 canons tractés (niveau 2).
  • 30 canons antiaériens mobiles (niveau 2).
  • 20 camions citernes (niveau 3).
  • 50 camions de transport (niveau 2).
  • 25 chars légers (niveau 1).
  • 7230

    Opération Kohcopobi


    Les lignes ouanaises sur le qui-vive suite à l'offensive retsvinienne en Vetlava

    ambiance musicale

    Cela fait maintenant six mois que les troupes ouanaises se sont véritablement installé au Vetlava dans le cadre des opération premier et deuxième domino. Si evidemment, les soldats savaient qu'ils n'y étaient pas envoyé pour faire de la figuration, ils ne s'imaginaient pas empêtrés dans un conflit direct. Mais hier, après les tirs de DCA et la riposte de l'artillerie ouano-morznique, l'état-major imaginait bien que la guerre pouvait bien se déclencher dans les prochains jours mais personne n'imaginait une offensive aussi rapide de la part de la Junte. C'est pour cela que, si les plans avaient été prévus depuis longtemps, l'état-major ouanais était totalement abasourdi quand aux alentours de 00:10, les lignes vetlaviennes situées à l'est leur apprirent affolées qu'elles étaient attaquées. Ce fut donc avec beaucoup d'appréhension que les responsables tactiques déclenchèrent l'état d'urgence et lancèrent l'Opération Kohcopobi.
    Cette opération a effet sur les troupes ouanaises mais aussi sur les troupes barvyniennes présentes en Vetlava


    But de l'opération

    Pour l'instant, l'objectif de l'opération est de réussir à temporiser pour éviter un effondrement complet des lignes de défense du Vetlava. L'objectif principal reste de tenir la zone ouanaise mais aussi d'aider les forces du Vetlava à ne pas craquer et à défendre leur état-major. Pour cela, l'état-major vise à garder ses propres positions inchangées et à limiter l'hémorragie à une ligne comprenant le saillant fortifié et l'état-major vetlavien
    Il sera aussi tenté de prévoir une ligne de replis commune avec l'AFRE afin d'avoir un moyen de ne pas se faire transpercer si la première ligne du Vetlava craque. Pour cela, l'état-major ouanais vise au repérage d'une future ligne de front plus à l'ouest de la ligne est du Vetlava et au possible renforcement de cette potentielle ligne
    De plus, l'opération comprendra le lancement d'une vaste opération de soutien visant à terme à ouvrir un deuxième front au nord et à apporter des renforts suffisants pour tenir.

    En résumé, il faudra limiter les dégats pour laisser le temps aux renforts d'arriver


    Plan pour l'opération sur le terrain vetlavien

    Carte des mouvements des troupes ouano-barvyniennes

    Légendes de la carte
      :
    • Bandes jaunes, lignes de fortifications ( voir schéma dessous)
    • Partie rouge: territoire tenu par l'armée ouanaise en soutien des Vetlaviens
    • Hexagone: GQG des forces ouanaises
    • Œil rouge: QG de l'opération "premier domino"
    • Cercle noir en pointillés: Aérodromes (celui ouanais est secret, les retsviniens ne savent pas qu'il existe pour le moment)
    • Route grise: Route permettant de se rendre de la base aérienne au GQG
    • Triangles oranges: Artillerie
    • Triangles oranges à bords noirs: DCA
    • Lignes oranges: Ligne de défense de l'AFRE
    • Carrés jaunes avec un chiffre: Bataillons ouanais en mouvement
    • Carrés oranges avec numéros: Forces barvyniennes
    • Flèches jaunes: Mouvements ouanais
    • Flèches oranges: Mouvements barvyniens
    • Cercles blancs: Ville d'Ole à l'ouest et GQG vetlavien à l'est
    • Hexagones gris: Places fortes
    L'opération se déroulera avec plusieurs mouvements simultanés:

    • Des troupes ouanaises réunies sous le nom de Ière armée vetlavienne resteront à leurs pour défendre les lignes de fortifications ouanaises. L'artillerie, elle, tirera en direction des zones ou les retsviniens attaquent
    • Un détachement de la Ière armée, nommé premier corps et représenté par le carré jaune avec un 1 sur la carte, foncera vers l'est pour prendre position à la limite entre les zones tenues par l'AFRE et celles tenues par le Vetlava afin de soulager la pression sur ce point
    • Un détachement de la Ière armée, nommé deuxième corps et représenté par le carré jaune avec un 2 sur la carte, foncera vers l'est pour prendre position en bas de la bande de terre menant au Saillant fortifié. avec le premier corps, ils auront pour mission d'empecher l'encerclement du saillant et de maintenir un passage entre celui-ci et l'arrière
    • Un détachement de la Ière armée, nommé troisième corps et représenté par le carré jaune avec un 3 sur la carte, foncera vers l'est pour prendre position au nord du GQG vetlavien afin de renforcer cette zone et d'éviter que les troupes retsviniennes ne viennent mener un mouvement d'encerclement su saillant par cette zone.
    • Un détachement de la Ière armée, nommé quatrième corps et représenté par le carré jaune avec un 4 sur la carte, foncera vers l'est pour prendre position au sud du GQG vetlavien et à l'est de l'aérodrome afin d'éviter l'encerclement par le sud et la prise de l'aérodrome
    • Le Premier corps barvynien, représenté sur la carte par un carré orange avec un 1, se repliera vers l'ouest en direction du GQG vetlavien et participera à se défense
    • Le Deuxième corps barvynien, représenté sur la carte par un carré orange avec un 2, opèrera un mouvement vers l'ouest puis vers le nord pour tenter de rejoindre le Saillant fortifié et d'aider à sa défense, si la route vers le saillant est bloquée, il se fondra dans les deuxième et troisièmes corps ouanais, se séparant en deux
    • Le Troisième corps barvynien, représenté sur la carte par un carré orange avec un 3, tiendra lui ses positions le long de la ligne de front pour défendre coute que coute la ligne et permettre aux troupes derrière de réagir et de s'organiser. Ils est probable qu'ils soient enfoncés mais ils devront, si ils doivent se replier, tout faire pour ralentir l'ennemi
    • Le Quatrième corps barvynien, représenté sur la carte par un carré orange avec un 4, comporte lui l'artillerie barvynienne et tirera, comme l'artillerie ouanaise pour tenter d'enrayer l'attaque

    Forces engagées

    Premier corps Ouanais (ne combat pas):
    • 188 soldats ouanais
    • 188 armes d'infanterie niveau 10
    • 22 mitrailleuses lourdes niveau 8
    • 3 lance-missiles antichar niveau 4

    Deuxième corps Ouanais:
    • 188 soldats ouanais
    • 188 armes d'infanterie niveau 10
    • 22 mitrailleuses lourdes niveau 8
    • 3 lance-missiles antichar niveau 4
    Troisième corps Ouanais:
    • 188 soldats ouanais
    • 188 armes d'infanterie niveau 10
    • 22 mitrailleuses lourdes niveau 8
    • 3 lance-missiles antichar niveau 4

    Quatrième corps Ouanais:
    • 188 soldats ouanais
    • 188 armes d'infanterie niveau 10
    • 22 mitrailleuses lourdes niveau 8
    • 3 lance-missiles antichar niveau 4

    Premiere armée Ouanaise:
    • 72 transports d'infanterie blindés niveau 1 TIB-1O (capacité totale de 240 hommes)
    • 1002 armes d'infanterie niveau 8 AI-8AR
    • 1002 soldats professionnels
    • 200 mitrailleuses lourdes niveau 8 ML-8AR
    • 32 lance-missiles antichar niveau 4 LM-4O
    • 1 véhicule radio niveau 1 VR-1O


    Premier corps Barvynien:
    • 200 soldats barvyniens
    • 150 armes d'infanterie niveau 6
    • 50 mitrailleuses lourdes 5
    • 20 mortiers légers niveau 3
    • 20 lance-missiles antichars niveau 4
    • 50 véhicules légers tout-terrain

    Deuxième corps Barvynien:
    • 200 soldats barvyniens
    • 200 armes d'infanterie niveau 6
    • 50 mitrailleuses lourdes 5
    • 20 mortiers légers niveau 3
    • 20 lance-missiles antichars niveau 4
    • 50 véhicules légers tout terrains

      Troisième corps Barvynien:
    • 400 soldats barvyniens
    • 200 armes d'infanterie niveau 1
    • 200 mitrailleuses lourdes niveau 5
    • 160 mortiers légers niveau 3
    • 160 lance-missiles antichars niveau 4
    • 350 mines antipersonnel niveau 2
    • 150 mines antichar niveau 2

      Artillerie ouano-morzno-barvynienne avec servants: (issue de la première armée ouanaise et du quatrième corps barvynien, n'est pas au front donc normalement intouchable)
    • 5 canons tractés niveau 2 barvinens
    • 2 lance-missiles antiaérien niveau 4 morzniques
    • 16 lance-roquettes multiples niveau 6 morzniques
    • 32 canons tractés niveau 1 ouanais
    • 8 canons antiaériens niveau 4 ouanais
    • 15 soldats barvyniens
    • 166 soldats ouanais
    • 166 armes d'infanteries niveau

    Autres détails à prendre en compte

    La population locale est très favorable aux vetlaviens et soldats du CSN ce qui leur permettra de compter sur la coopération des habitants pour rendre plus efficace la défense.
    Il est aussi à noter que dans le cadre de l'opération second domino (le lien si vérification nécessaire) les civils avaient été formés pour résister et s'organiser si les lignes étaient enfoncées, ce la ne s'est fait qu'en zone ouanaise mais ca peut toujours servir.
    L'ensemble des territoires sont assez montagneux ce qui facilite la défense du territoire



    Les matériels detruits sont à retirer pour l'aviation chez le Morzanov, pour le terrestre, chez l'Ouaine (à l'exception des forces barvyniennes qui sont elles à retirer dans l'atlas retsvinien et de la DCA morznique mais je pense c'est assez clair pour qui est à qui : )
    Propagande




    Les catins socialistes et anarchistes nous envahissent !


    Avion de transport abattu

    Peu importe, nous savons tirer les pigeons.



    Affiche de propagande placardée dans les rues de Taïvaljarvi et de Kuusikylä, revendiquant la destruction d'un avion étranger dans le ciel Veltavien grâce à la DCA retsvinienne positionnée en Veltava.*



    *information non vérifiée.


    En Retsvinie, la panique s'installe, la Junte de Retsvinie s'étant maintenu au pouvoir pendant 77 ans au gré des guerres et des opérations étrangères, est aujourd'hui plus menacée que jamais par des milliers de soldats entrainés et bien équipés, issus de la première puissance économique de la planète qu'est la Confédération Socialiste du Nazum et de la puissante organisation paramilitaire de l'AFRE, soutenue par le SRR, sans doute le meilleur service de renseignement de la région. Face à cette vaste opération des nations socialistes d'Eurysie de l'est et du Nazum du nord contre la Retsvinie et à la panique généralisée, le gouvernement républicain aurait entamé une campagne médiatique pour rassurer au mieux la population. La campagne médiatique bien qu'ayant une certaine efficacité, ne peut maintenir l'ordre comme espéré par la Junte, les médias du régime militaire ont perdus tout crédit auprès de la majorité de la population depuis bien longtemps.



    Craintes


    Armes chimiques


    Le Régime militaire craint pour son existence. Toutes les solutions sont maintenant bonnes pour tenter de retourner la situation à l'avantage du régime militaire, et c'est pourquoi celui-ci aurait débuté des activités dangereuses telles que l'apport en obus chimiques de l'artillerie présente sur le front. Personne ne sais encore si le régime militaire envisage de les utiliser, mais les populations des deux camps commencent à s'inquiéter sérieusement de l'éventualité d'une guerre chimique en Veltava. Ce qui est certains, c'est qu'une telle guerre causerai la mort de nombreuses personnes, civils comme militaires, sur ce territoire devenu le point chaud d'Eurysie de l'est.

    Contre-mesure Veltavienne


    Hymne de Veltava

    Symbole révolutionnaire

    Forces engagées (Forces de l'AFRE déjà présentes en Veltava et forces insurgées Veltavienne, Atlas Retsvinien)


    Infanterie :

    500 soldats conscrits (Hors Atlas)

    1000 soldats professionnels de l'AFRE (Atlas)

    Armes d'infanterie :

    2000 armes légères d'infanterie 11 ème Génération (Atlas)

    3000 armes légères d'infanterie 5 ème Génération (Atlas)

    300 armes légères niveau 1/inférieur (Hors Atlas) distribué à la population

    60 mortiers légers 2 ème Génération (Atlas)

    500 lances roquettes 3 ème Génération (Atlas)

    50 lances-missiles antichars première Génération (Atlas)

    Blindés/Véhicules :

    15 Véhicules blindés légers première Génération (Atlas)

    100 véhicules tout terrains sixième Génération (Atlas)

    HRPExplications HRP : POUR LES JOUEURS, vous avez sûrement remarqués qu'il y a moins d'armes ici que dans Le topic conflit de la Retsvinie pour les forces du MIV. C'est normal, dans le topic sont comptées les forces barvyniennes, qui ici ont été utilisées par l'Ouaine dans un post plus haut.

    POUR LA MODERATION : ici, j'ai compté l'arsenal des forces insurgées combinées à celles de l'AFRE déjà présentes en Retsvinie qui sont à retirer de l'atlas retsvinien à l'inverse des forces en renfort. Pour les actions de l'AFRE, voir ce post plus haut. Le post ici présent renseignera les actions des Veltaviens, qui suivront les volontés de l'AFRE.


    La résistance s'organise

    Les insurgés veltaviens résistants tant bien que mal à l'offensive retsvinienne


    Il faut dire que le Mouvement Indépendantiste de Veltava a été surpris d'être attaqué à l'est de son territoire et à cette période. En effet, ce Mouvement Indépendantiste a longtemps combattu, dont durant la seconde guerre civile où le territoire fait de plateaux et de montagnes difficilement franchissables a permis aux Veltaviens de résister à l'offensive des retsviniens, faisant de cette région un vrai cimetières à blindés et annihilant les dernières réserves de véhicules de combat du régime. Quand à la période, il est clair que tout les insurgés ont été pris de courts : alors que le gèle et la neige recouvrent la Veltava, la Junte, complètement inhabituée à de tels environnements mène une offensive audacieuse, surpassant et de loin les effectifs de la coalition déjà présents sur le territoire insurgé.

    Les Veltaviens sont mal entrainés et s'habituent à peine aux équipements modernes fournis par la Barvynie et l'AFRE, malgré la formation des insurgés par les forces de la coalition de ces derniers mois. Ces insurgés, composés d'une mozaïque idéologique allant du communisme au libéralisme indépendantiste en passant par le communisme libertaire, peut cependant compter sur un moral extrêmement haut, d'une population qui leur est nettement favorable et sur des alliés solides. Ce qui est de cette population, le MIV comme l'Ouaine ont déjà entamés des campagnes d'entrainement de celle-ci aux armes légères, au cocktails molotov et à la protection contre les attaques chimiques. Le MIV place, et à raison, tout ses espoirs en la population locale qui serait très probablement capable d'expulser l'envahisseur en quelques combats si elle se révoltait dans son intégralité.

    C'est donc surprise et clairement certaine d'une défaite que l'insurrection prend les armes. Il s'agit de donner le temps nécessaires aux alliés de l'AFRE et de l'Ouaine de pouvoir se réorganiser pour une contre attaque et d'empêcher un effondrement complet de la Veltava. Les militaires Veltaviens, combattifs, sont prêts à donner leur vie pour permettre à leurs frères de Veltava de se dresser à leur tour contre l'envahisseur.

    Mesures d'urgences du MIV : Dans la surprise généralisée qui a entrainé une vaste désorganisation du côté des insurgés, ceux-ci ont répondus avec précipitation, engageant l'ensemble des forces insurgées sur le front est, abandonnant entièrement les front centre et Ouest. Le MIV ne s'inquiète absolument pas d'une invasion sur le reste du territoire, en raison de la présence des ouainais, devenue vitale pour dissuader le régime militaire de dépêcher la 1 ère brigade au combat. Toujours surpris, le Mouvement Indépendantiste de Veltava a entreprit la distribution de son vieil armement à la population (en surplus, à savoir les armes légères d'infanteries lv1 n'étant pas comprises dans l'atlas retsvinien) permettant une résistance et une attrition des plus fortes du régime militaire, ce qui donnera peut-être le temps à l'AFRE de s'organiser.

    Les premières lignes insurgées, complètement prises de cours, se contentent de lutter comme elles peuvent contre l'agression, mais celles dépêchées en renfort doivent combattre sur une nouvelle ligne de résistance en arrière de l'ancienne. Cette ligne de résistance devra être fortifiée en vitesse et protéger le saillant de la menace d'un encerclement ainsi que l'aérodrome de fortune de l'agression. L'état-major quand à lui, attaqué par les forces aéroportées de la Junte et trop proche du front pour espérer tenir contre l'invasion est abandonné et les officiers survivants sont dépêchés sur la ville d'Olê ou sur Ferhammer. Dans le cas où le Haut commandement insurgé est dévasté par les forces professionnelles de la Junte, les insurgés basculerons sous le commandement de l'AFRE, incapables de reconstituer leur chaine de commandement.

    Les "Lignes de résistances insurgées" : Ces lignes ont été conçues dans la précipitation, et ne sont pas réellement des lignes de fortifications : Pas de tranchées, pas de barbelé, pas de mines... Mais simplement des trous de combats individuels creusés dans l'urgence et bien camouflés, qui permettent aux insurgés de surprendre les soldats de la Junte et d'en abattre un ou deux avant d'être eux même descendus. Ces trous de combats sont alignés de façon aléatoire sur un secteur de 1 km de large et 30 km de long. L'on compte donc 300 trous individuels sur la ligne, accueillant chacun un soldat. Il est clair que ce n'est pas cette ligne de résistance qui permettra de tenir plusieurs semaines, mais au moins de ralentir l'offensive plusieurs heures.
    Le Saillant fortifié : Ce saillant fortifié est un saillant, c'est à dire qu'il est avancé plus loin en profondeur que le reste de la ligne de front, et donc qu'il risque un encerclement. Sa proximité avec les régions urbaines de Veltava ont poussé le mouvement à préserver ce saillant sous leur contrôle et de le fortifier, devenant maintenant un point truffé de tranchées, murs, fossés antichars, trous individuels et caches pour tireurs de précision. Aujourd'hui, le saillant a été rejoins par 200 insurgés, contre 100 avant l'invasion ainsi qu'environ 200 ouainais. Le point stratégique est devenu un vrai nid à insurgés, qu'il sera difficile pour la Junte de prendre. Il dispose de réserve de munitions, de citernes pour l'eau et d'une petite réserve de nourriture qui pourraient permettre aux soldats du saillant de tenir une semaine encerclés, laissant une certaine marge de manœuvre à la coalition pour résister.
    Redéploiement des forces insurgées

    Légende :

    Secteur rouge rayé de noir = Région probablement envahie par la Junte en quelques heures
    Lignes blanches = lignes de résistance insurgées
    Hexagone gris = Saillant fortifié
    Nombres blancs = effectifs des lignes de résistance
    Nombre gris = Effectifs du Saillant


    Cette ligne de résistance, en infériorité numérique complète sur la Junte, est prévue pour tenir au moins un jour et douze heures, un jour et demi pour permettre à l'AFRE et aux ouainais de se réorganiser, un jour et demi où 500 combattants devront tenir une ligne de prêt de 30km. Le saillant quand à lui devrait résister bien plus de temps.
    9
    supprimé
    Prise de parole du second de la milice Diavolyy, Vakhtang Korchak

    Ils arrivent...
    Communistes, socialistes et tout mous qui agissent illégalement en Retsvinie, la mort approche...

    "Résistant de Retsvinie, vous qui vivez l'horreur dans la peur constante que la mort vous frappe, nous comprenons vos peines. Nous avons vécu les mêmes et par les mêmes types de personnes : les communistes ! Les odieux rouges égorgent sans pitié enfants et innocents pour une seule raison, leur maladie mentale ! Nous n'avons cessé de le répéter, le communisme est une maladie, une maladie à éradiquer ! Pour cela, le seul chemin possible est la mort, je dirais même, la mort violente. Nous avons effectué cette méthode lors de notre guerre civile et le résultat a été simple et rapide, l'immonde confédération socialiste du Nazum a immédiatement cessé son impérialisme. Ces communistes nous craignent comme la peste.

    Alors, communistes, socialistes et tout mous qui agissent illégalement en Retsvinie, la mort approche. Nous annonçons aujourd'hui, en ce jour du 5 février 2018, que nous interviendrons pour sauver votre belle nation. Nous interviendrons pour rétablir l'ordre et la paix en Retsvinie. Nations impérialistes et belliqueuses, fuyez tant que vous le pouvez ou vos corps périront sous nos chars !

    Khayl Veyder !
    Effectue un salut rhêmiens.
    4073
    https://i.imgur.com/4VNvanF.png

    EUROIL CONSOLIDATED – DIVISION SÉCURITÉ & INTERVENTION
    BUREAU DE PLANIFICATION STRATÉGIQUE


    EXPÉDITEUR : Commandement Opérationnel (Cmdt. Joyce / Cpt. Niho)
    DESTINATAIRE : Direction Générale (Col. Conrad / QM. Abascus)

    OBJET : ACQUISITION HOSTILE DE SEVEROPOL

    SYNTHÈSE DE LA SITUATION

    L'effondrement de la Junte Militaire est imminent. Le régime de Silovki est exposé. Parallèlement, la montée en puissance du Bloc Communiste et leur domination aérienne totale menacent de faire évoluer le conflit vers une annihilation pure et simple de l'infrastructure étatique.

    Si nous n'agissons pas immédiatement, d'autres acteurs pourraient saisir l'opportunité et nous priver des évolutions profitables qui se présentent à nous.

    OBJECTIF : Mener une frappe de décapitation simultanée pour :

    • Neutraliser la capacité de riposte stratégique de la Junte.
    • Saisir les centres de pouvoir de la capitale avant l'arrivée ou le bombardement des oppositions.
    • Opérer une transition de gestion pour imposer la Commune Libre comme seule autorité viable sur le territoire.

    ÉTAT DES FORCES ENGAGÉES

    Nous engageons l'intégralité de nos actifs haute technologie pour cette opération. La supériorité qualitative est de 10 contre 1.

    • Effectifs : 1 200 Opérateurs (Soldats Professionnels).
    • Composante Blindée Lourde : 20 Chars d'Assaut (Niv. 8) et 52 VCI (Niv. 10).
    • Artillerie Mobile : 10 LRM (Niv. 10) et 6 Canons Automoteurs (Niv. 9).
    • Défense Aérienne (DCA) : 12 Lance-Missiles Mobiles (Niv. 10) et 25 Canons AA (Niv. 4).
    • Groupe Aérien : 12 Chasseurs (Niv. 8), 1 Ravitailleur (Niv. 9), 6 Hélicos d'Attaque (Niv. 8).

    DÉROULEMENT OPÉRATIONNEL
    PHASE 0 : "NÉMÉSIS" – SUPÉRIORITÉ AÉRIENNE LOCALE (H-2)

    Objectif : Sanctuariser le ciel au-dessus de l'axe d'attaque.
    Action : Déploiement de l'escadrille de chasse en patrouille de combat entre Merlivsk et Severopol.
    Règles d'Engagement : Tir à vue sur tout vecteur aérien entrant dans la zone d'opération.

    Soutien Sol : Les 12 Lance-missiles mobiles accompagnent la colonne principale pour créer une bulle d'interdiction impénétrable.

    PHASE 1 : "COUPE-CIRCUIT" – NEUTRALISATION DES SILOS (H-1)

    Objectif : Empêcher le tir des 3 missiles balistiques de la Junte.
    Vecteur : Raid héliporté sur l'Enclave Orientale.
    Unités : 2 Hélicoptères de transport (Niv. 10) avec commandos d'élite + Escorte de 2 Hélicoptères d'Attaque (Niv. 8).
    Tactique : Insertion directement sur le site de lancement.

    Équipe Alpha : Élimination des officiers de tir dans le bunker de commande.
    Équipe Bravo : Sabotage physique des mécanismes d'ouverture des silos (charges creuses).

    Priorité : Le site doit être froid avant que Silovki ne réalise que la capitale est attaquée.

    PHASE 2 : "THUNDER RUN" – PERCÉE BLINDÉE (H-0)

    Objectif : Atteindre le centre de Severopol en moins de 4 heures.
    Axe d'attaque : Autoroute Nord -> Centre-ville.
    Avant-garde : Les 20 Chars d'Assaut et les 40 VCI percent les lignes de la Junte. Vitesse maximale. Pas d'arrêt pour traiter les poches de résistance.
    Appui-feu : Les 4 Hélicoptères d'Attaque restants volent en avant de la colonne pour détruire préventivement l'artillerie tractée de la Junte.
    Saturation : En cas de résistance forte, frappe immédiate des 10 LRM pour nettoyer le passage.

    PHASE 3 : DÉCAPITATION (H+4)

    Objectif : Prise de contrôle des symboles de l'État.

    La Task Force se divise en trois groupements tactiques une fois dans Severopol :

    Groupe "Praxis" (Gros des blindés) : Encerclement du Bunker du Général-Président. Siège hermétique. Coupure des flux vitaux. Tir direct de char si nécessaire pour forcer la reddition.

    Groupe "Méthode" (Infanterie mécanisée) : Prise d'assaut de la Commission Centrale de Transparence et du Haut Conseil de Souveraineté. Arrestation de tous les officiels.

    Groupe "Rhétorique" (Techniciens + VCI) : Saisie de la tour de radiodiffusion nationale. Interruption des programmes. Diffusion du message de prise de contrôle par la Commune Libre.

    GESTION DES RISQUES

    Risque A : Intervention massive de l'aviation Communiste.
    Réponse : La densité de notre DCA et nos Chasseurs doivent tenir le choc. Si le toit cède, l'opération échoue.

    Risque B : Tir de missile balistique précoce.
    Réponse : L'opération "Coupe-Circuit" doit être un succès. Dans le cas contraire, tentative d'interception par nos systèmes SAM.

    Risque C : Enlisement urbain.
    Réponse : ROE stricte : pas de combat maison par maison. Usage massif de la puissance de feu pour détruire les points de résistance. Dommages collatéraux acceptés.

    REMARQUE

    Nous disposons de la fenêtre de tir idéale : la Junte est enlisée et ne s'attend pas à une action de notre part. L'opposition est immobile et les Communistes sont encore bloqué au sud. Avec une force techniquement supérieure concentrée sur un seul point de rupture, aucune force conventionnelle en Retsvinie ne peut arrêter cette colonne.

    EN ATTENTE DE VALIDATION FINALE
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