09/05/2018
12:03:27
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Chaires à l'Ecole des Sciences Sociales d'Amaria

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Ouverture des candidatures pour l'attribution de chaires à l'Ecole des Sciences Sociales d'Amaria


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Amaria est la capitale de Baskonia. Avec seulement 100 000 âmes, elle est bien loin des standards d'autres capitales en terme de population. Mais, elle abrite néanmoins l'une des universités parmi les plus réputées du monde, l'Ecole des Sciences Sociales d'Amaria ou Amariako Gizarte Zientzien Ikastola en baskon. Créée au XIVe siècle, l'AGZE (comme elle est parfois nommée) a dès ses débuts portée son ambition sur l'enregistrement et la catégorisation des différents peuples et cultures dans le monde de l'époque.

Elle a continuée cette mission pendant des siècles jusqu'au génocide youslève contre la population baskondar à la fin du XIXe siècle. Depuis, tout comme la société baskonne, a connue une période de replie qui a pris fin que très récemment. Aujourd'hui, l'Amariako Gizarte Zientzien Eskola est disponible a accueillir des étudiants et professeurs étrangers et à partager son savoir dans tous les compartiments des sciences-sociales.

C'est pourquoi elle lance cet appel d'offre afin de recueillir les candidatures de professeurs venant de tout horizon et disciplines des sciences sociales dans le but de conserver son excellence et de, à long terme si ce projet marche, mettre en place des partenariats plus importants avec certaines universités. Pour les professeur(e)s intéressé(e)s, nous mettons à disposition un formulaire.



[center][b][color=#14104E][size=1.4][title]NOM[/title][/size][/color][/b][/center]

[center][img=lien]photo[/img][/center]

[center][b][color=#14104E][size=1.2]NOM DE LA CHAIRE[/size][/color][/b][/center]

[b]Nationalité :[/b]

[b]Discipline :[/b]

[b]Thèmes de prédilection :[/b]

[b]Curriculum vitae :[/b]
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[b]Biographie :[/b]

[b]Langues parlées :[/b]

[b]Connaissance de la langue baskonne et facilité d'apprentissage d'autres langues[/b]

[b]Courte lettre de motivation :[/b] [i][size=0.8](Facultative)[/size][/i]
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Soeur Violette de Sainte Pascaline


Photographie d'identité de Soeur Violette
Photographie d'identité de Sœur Violette

Etude du Volignonisme

Nationalité : Makotane

Discipline : Théologie (spécialisation Volignonisme)

Thèmes de prédilection :
  • Le culte des reliques au Makota
  • Le martyrologe makotan
  • Le Cainitisme moderne

Curriculum vitae :
  • Cursus primaire et secondaire à l'établissement pour filles de Sainte-Pascaline, comté de la Sourcière, Makota [1998-2007]
  • Noviciat chez les sœurs réginistes, Sainte-Régine, Makota [2007-2010]
  • Licence, maitrise et doctorat à la faculté de théologie de Sainte-Régine, Makota [2010-2017]

Biographie :
Née en 1991 (27 ans), née Jeanne-Marie Veaux dans une famille de modestes maraichers de la vallée de la Sourcière, elle entre à 7 ans à l'internat de l'internat de l'Etablissement pour fille Sainte-Pascaline dans la municipalité du même nom. Elle demeurera 9 années dans cette maison et fera l'admiration de ses maitresses puis de ses professeurs et obtiendra d'excellents résultats dans l'ensemble de ses cycles primaires, secondaires et complémentaire. Au sortir de son cycle d'étude complémentaire, alors âgée de 16 ans, plutôt que de rejoindre ses parents à la ferme, elle décide d'embrasser la vie religieuse et entre au noviciat des sœurs réginistes où elle prononcera ses vœux trois ans plus tard. Toujours excellente, ses supérieurs l'envoient à l'université de Sainte-Régine, capitale du Makota, pour y étudier la théologie. Une fois encore, elle y brillera. Elle enchainera Licence, Master et Doctorat pour finalement sortir de l'université en 2017.
Langues parlées : Français (maternelle), Rhémien (courant), Grec (courant), italien (notions), espagnol (notions), portugais (notions), bascons (notions)

Connaissance de la langue baskonne et facilité d'apprentissage d'autres langues : des notions, capable de soutenir une discussion simple à l'oral, de presque tout comprendre, maitrise courante de l'écrit, apprentissage facile des autres langues (polyglotte mais surtout à l'écrit)



Courte lettre de motivation : (Facultative) Rédigé en bascon et à la plume avec pleins et déliés comme au XIXe siècle

Religieuse professe de la Congrégation des Sœurs Réginistes et docteur en théologie volignonaise de l’Université de Sainte-Régine, je souhaite mettre mes compétences au service de votre institution en briguant la chaire de Volignonisme au sein de votre université. Mes travaux portent principalement sur le culte des reliques au Makota, sujet auquel j’ai consacré ma thèse de doctorat, ainsi que plusieurs communications et articles.

Ma démarche, tout en s'enracinant dans la spiritualité et la mystique volignoniennes, s’efforce également d’en dégager les implications anthropologiques, historiques et culturelles, afin d’en montrer la portée au-delà du seul cadre confessionnel. Attachée à une approche rigoureuse, ouverte au dialogue entre foi et raison, je crois pouvoir contribuer utilement à la reconnaissance universitaire d’une théologie makotane conçue comme un champ d’étude de la pensée, des pratiques et de l’art religieux.

Indépendamment de mes capacités, qui, je vous pris de le croire, sont réelles, ma candidature revêt un caractère singulier en ce que je serais, à ma connaissance, la première Makotane à enseigner en Baskonia et peut être même la première makotane à se rendre chez vous. J’en serais d’autant plus honorée que je parle, bien que modestement et de façon académique puisque sur la seule base d'un apprentissage écrit, votre magnifique langue, dont je suis sans doute la seule locutrice de tout mon pays. J’y vois donc une occasion rare d’échanges intellectuels et humains : la théologie volignonienne, en dialogue avec la pensée baskonne, pourrait devenir un pont entre nos cultures.

Je sais que ma candidature pourrait inquiéter certains car j'imagine assez facilement la réputation que le Makota doit avoir à l'étranger et notamment en Eurysie, mais rassurez-vous, les Makotans ne sont pas aussi intransigeants qu’on le prétend ; pour ma part, je me sais très traitable et ouverte à la discussion, pourvu qu’elle soit sincère et exigeante.
Je reste à votre disposition pour tout entretien ou pour la présentation de mes travaux. Je vous prie d’agréer, l’expression de ma très haute considération.

Sœur Violette de Sainte Pascaline
Docteur en théologie (spécialité Volignonisme)
Couvent universitaire des Sœur Réginistes,
Sainte-Régine, Makota
6780

Frederico Di Tomasso


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Chaire d'Histoire du monde celtique

Nationalité : velsnien

Discipline : Histoire (spécialisation, Histoire médievale du fait fortunéen et celtique)

Thèmes de prédilection :
  • Pratiques funéraires et religieuses achosiennes (Xème-XIIIème siècle)
  • Planification urbaine en Achosie velsnienne (XIIIème-XVIème siècle)
  • Histoire de l'Achosie velsnienne (XIIIème-XVIème siècle)
Curriculum vitae :
  • Diplôme de fin de second cycle, Lycée catholan San Ciro de Velsna.
  • Maîtrise et doctorat de l’École de Philosophie politique de Velsna.
  • Agrégation reconnue par la Société des Honnêtes archéologues velsniens (SHAV)

Biographie : Né le 7 décembre 1981 à Strombola, en Achosie du nord, Frederico Di Tomasso est le 5ème enfant d'une bonne famille de la notabilité locale, davantage proche du milieu du notariat que du milieu scientifique. Contrairement au reste de sa fratrie qui s'inscrit pleinement dans cette filiation, Di Tomasso développe très tôt un intérêt pour l'Histoire, mais surtout la littérature ancienne et médievale qui est le support d'une grande partie de l'historiographie velsnienne classique. C'est par le biais de cette passion pour la littérature ancienne, en particulier les écrits de Frederico Di Déria, ou encore Lazzanio di Canossa, que ce dernier se dirige déjà à son jeune âge, vers des salons de passionnés et des clubs de lecture, d'où il est dirigé vers une formation littéraire.

C'est à cette période qu'il candidate et est sélectionné à une bourse d'excellence du Lycée San Ciro de Velsna, un établissement secondaire réputé pour ses formations en sciences sociales, et en particulier la littérature classique velsniene. Cette période formatrice lui permet de s'intéresser à des thématiques plus spécifiques: il constate alors l'absence totale de considération et de prise en compte de sujets n'ayant pas attrait à l'Histoire proprement dite de l'Achosie dans les diverses revues scientifiques archéologiques et historiques, que ce soit avant ou après la conquête du pays par les velsniens. Ce dernier, dés cette époque, dénonce auprès des divers clubs de la capitale où il obtient une entrée, cette frustration de ne pas disposer à Velsna, de spécialistes sérieux sur les thématiques sociales, culturelles et religieuses de cet espace politique qui pourtant, fait partie, du moins partiellement du territoire velsnien.

Sa formation universitaire en Histoire, est à ce stade toute tracée dés l'obtention de son diplôme de San Ciro. Di Tomasso fait son entrée à l'Ecole de philosophie politique velsnienne, qui dispose alors du meilleur cursus dans ce domaine au sein de la cité. Ce dernier axe ainsi son étude vers son sujet de prédilection qu'il veut mettre en avant depuis des années. Son Mémoire de fin d'étude est révélateur de cet interêt, à savoir le développement urbain amorcé par la colonisation velsnienne de l'Achosie à partir de sa conquête, au XIIIème siècle, jusqu'à soin indépendance. Son travail de mémoire, puis sa thèse sur le même sujet, lui attire les éloges de ses enseignants, qui lui offrent de concourir à l'agrégation d'Histoire au sein de la Société des honnêtes archéologues velsniens, qu'il passe trois ans plus tard avec succès.

Di Tomasso devient par la suite un chercheur réputé de la SHAV, contribuant à l'enrichissement des conaissances sur la période de l'Achosie velsnienne. Par exemple, à partir de sources primaires telles que l'Agricola de Jiacomelli, celui ci rédige plusieurs articles sur l'organisation de la société agraire achosienne du XVème siècle, et le découpage des parcelles entre propriétaires velsniens. Sur le sujet religieux, il écrit l'ouvrage devenu référence, "Histoire des mentalités : l’église achosienne dans la province velsnienne d’Achosie du nord (du haut moyen-âge à nos jours)", qui lui attire une renommée dépassant le simple cadre scientifique national. Ce dernier aborde en effet, dans le cadre d'un thème jusqu'alors non traité, l'Histoire des relations entre le clergé achosien et les différents pouvoirs politiques de l'île. Plus récemment, il fournit un article de qualité à la SHAV, par la publication d'un article portant sur le système défensif de l'Achosie velsnienne à la frontière de Menkelt entre la conquête et le XVIème siècle.

Au delà de la qualité de ses travaux, qui est largement reconnue en pays velsnien, ce dernier a également eu à subir quelques critiques, jugées infondées par la majorité de la communauté scientifique. En effet, on lui prêterait des affiliations politiques considérées douteuses au sein de la formation locale ultra-conservatrice "Dehors les achosiens", mais dont il s'est toujours défendu, arguant que c'était là des rumeurs sans fondements émanant de "critiques ne sachant pas par quel autre angle attaquer son travail".


Langues parlées : velsnien (maternel), rhémien classique (pratiquant), achosien (notions), baskon (notions), raskenois (notions).

Connaissance de la langue baskonne et facilité d'apprentissage d'autres langues: Bien que maîtrisant suffisamment le baskon pour évoluer au sein de l'Ecole des sciences sociales d'Amaria, le professeur Di Tomasso conseille à ses élèves l'apprentissage de rudiments de velsnien pour la bonne compréhension d'une partie de ses cours.

Courte lettre de motivation : (Facultative)

Courte lettre de motivation : Rédigé en velsnien standard

Au secrétariat général de l'Ecole des Sciences Sociales d'Amaria,

Veuillez trouver ci-joint ma candidature portant sur l'obtention de la Chaire d'Histoire celtique de l'ESSA. En effet, Spécialiste des mondes celtiques anciens et médiévaux, et plus particulièrement sur l'Histoire des relations achoso-velsnienne en île celtique, je consacre depuis le début de mes recherches à l’étude des identités, des structures sociales et des phénomènes culturels au sein des sociétés celtiques insulaires. Comme vous avez peut-être pu le constater par la liste de mes publications, ma période de prédilection et d’intérêt correspond parfaitement à l'intitulé de la chaire visée, et ma période de prédilection et mon aire géographique de prédilection correspond aux territoires actuels d'Achosie du sud et du nord, sur un période s'étalant du XIème au XVème siècle.

Cette spécialisation s'accompagne d'une agrégation reconnue par la Société des honnêtes archéologues velsniens, dont je ne me doute pas que vous connaissez déjà certains travaux. Déjà contributeur de plusieurs publications quant au monde celtique medieval et ses dynamiques historiques, je pense disposer des compétences et des qualifications nécessaires à la fonction visée. De plus, en tant que maître de conférences au sein de la SHAV, j’ai eu à cœur de développer une pédagogie intégrant à la fois les sources archéologiques, les textes médiévaux et les outils numériques d’analyse historique récents. En effet, je ne conçois pas l'Histoire du monde celtique comme une science figée, et je suis personnellement fier d'avoir contribué à l'évolution de la perception historique de cet espace politique.

La Chaire d’Histoire celtique représente pour moi une occasion unique de fédérer les recherches existantes autour d’un programme pluridisciplinaire, croisant histoire, linguistique, archéologie et anthropologie. Mon projet vise à créer un laboratoire interne à l'ESSA sécifiquement consacré au monde celtique, destiné à promouvoir la recherche collaborative et à valoriser le patrimoine matériel et immatériel auprès du grand public.


Je serais honoré de pouvoir discuter plus en détail de ce projet une fois ma candidature retenue. Dans l’attente de votre réponse, je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.


Je reste à votre disposition pour tout entretien ou pour la présentation de mes travaux déjà publiés. Je vous prie d’agréer, l’expression de ma très haute considération.

Professeur Frederico Di Tomasso
Société des honnêtes archéologues velsniens,
Velsna.
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Pateros Bokigeres


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Faire nation : sur la création des identités nationales en Leucytalée (XVIIe-XIXe siècle)

Nationalité : Youslève

Discipline : Histoire

Thèmes de prédilection : Hellénisme, Leucytalée, périodes moderne et médiévale, histoire sociale etc...

Curriculum vitae :
  • Double diplôme supérieur-primaire (équivalent de la licence) d'histoire et et de sciences politiques à la Mega Akademia Yousleve de Sedjan
  • Diplôme supérieur-secondaire (équivalent du master) d'histoire moderne à la Mega Akademia Yousleve de Sedjan
  • Diplôme supérieur-secondaire (équivalent du master) d'histoire médiévale à la Mega Akademia Yousleve de Sedjan
  • Diplôme supérieur-tertiaire (équivalent du doctorat) d'histoire à la Mega Akademia Yousleve de Sedjan
  • Maître de conférence à la Mega Akademia Yousleve de Sedjan (1999-2017)
  • Titulaire d'une chaire en histoire moderne à la Mega Akademia Yousleve de Sedjan (2010-2017)
  • Directeur des recherches en histoire à la Mega Akademia Yousleve de Sedjan (2012-2014)

Biographie :
Né dans une famille de la bourgeoisie intellectuelle sedjanaise, le jeune Pateros Bokigeres est dès le plus jeune âge un élève brillant et passionné par l'histoire. Après avoir obtenu son diplôme de fin d'études intermédiaire (équivalent du baccalauréat) haut la main, il candidate pour rejoindre la très prestigieuse université de la Mega Akademia Yousleve de Sedjan. Accepté dans la plus prestigieuse académie du pays dans deux licences, il continue son parcours universitaire avec le même brio que lors de son passage sur les bancs de l'école pour passer les différentes étapes de son cursus universitaire en se faisant remarquer pour son intelligence et sa culture.
Aussitôt sa thèse terminée (elle portait sur l'évolution des mythes de création de la Youslévie de 1364 à la guerre du Brod Flor) il devient professeur dans la même université et gravit petit à petit les échelons au sein de l'école. Depuis quelques années, il devient par ailleurs une figure médiatique en animant une émission de vulgarisation historique sur une chaîne du service public mais aussi grâce à ses ouvrages où il remet en question les contres-discours du NPN d'Hemeraldo Vera à propos de l'histoire de la Youslévie. C'est d'ailleurs à cause du succès électoral sans appel des néo-nationalistes que Bokigeres choisit de changer d'air et de tenter une nouvelle aventure à l'Amariako Gizarte Zientzien Ikastola, malgré le fait qu'il ai été pressenti pour devenir directeur de la Mega Akademia.
A Amaria, il sera aussi en charge du département d'histoire.

Langues parlées :
Yousleve (langue maternelle), fortunéen, westalien et hispanique (courant) ainsi qu'arabe, rémien et vasque (solide).

Connaissance de la langue baskonne et facilité d'apprentissage d'autres langues
Pateros Bokigeres a une bonne connaissance du langage vasque, une des variantes du baskon parlé par les autochtones vasques en Youslévie. Le Vasque, bien qu'ayant eu une influence plus marqué des langues hellènes et hispaniques est assez semblable au baskon standard. Bokigeres n'aura donc aucun mal à parfaire sa connaissance de la langue.

Courte lettre de motivation : (Facultative)
Pas besoin car l'accord pour l'adhésion de Bokigeres à l'Ecole des Sciences Sociales d'Amaria s'est faite en parallèle de cet appel d'offre avec une chaire sur-mesure et l'obtention de la direction du département d'histoire.
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Cahya Gunawan



Chaire d'Economie Ubraine et Portuaire

Nationalité : Stranéenne

Discipline : Economie géographique, économie urbaine, économie politique, microéconomie spatiale

Thèmes de prédilection : Economie générale des villes portuaires, développement économique des littoraux, études comparatives, aménagement urbain

Curriculum vitae :
  • Diplôme National des Universités de Premier Cycle - Mention Géographie (équivalent de la licence) à l'Université de Manalotaug (1999).
  • Diplôme National des Universités de Deuxième Cycle - Mention Géographie Economique (équivalent du master) à l'Université de Kotarakyat (2001).
  • Diplôme National des Universités de Troisième Cycle - Mention Economie (équivalent du doctorat) à l'Université de Pradipta. Thèse : "Trois régions, trois villes, trois ports. Une étude comparative des économies urbaines de Pradipta, Manalotaug et Perdijona" (2007).
  • Agrégation Universitaire - Mention Economie attribuée par le Conseil Universitaire National. (2008)
  • Professeure à l'Université de Manalotaug (2008 - 2012).
  • Professeure à la Grande Ecole des Sciences Economiques et Juridiques de Pradipta, composante de l'Université de Pradipta (2012 - 2017).

Biographie : Né en 1978 dans une famille de couturiers, Cahya Gunawan a grandi dans la ville portuaire de Manalotaug. Alors qu'elle est destinée à perdurer l'héritage familiale dans la couture, ses excellentes notes à l'Ecole Fondamentale (équivalent du secondaire et du collège) et Complémentaire (équivalent du lycée) lui permettent de prétendre facilement à un diplôme universitaire. Cela est notamment permis par l'accompagnement particulier de son professeur de Sciences de l'Humanité qui réussit à convaincre la famille de Cahya de l'opportunité de l'Université.

Le parcours universitaire de Cahya Gunawan débute à l'Université de Manalotaug en mention Géographie pour son Premier Cycle. Obtenant son diplôme haut la main, l'étudiante profite de l'opportunité pour effectuer une demande de transfert à l'Université de Kotarakyat, dont le département de Géographie est le plus réputé du pays, qu'elle obtient avec une aide à la mobilité. Dans la capitale, Cahya se spécialise en géographie économique et commence à s'intéresser particulièrement aux dynamiques économiques urbaines, réalisant son mémoire de recherche sur les économies d'agglomérations de la ville de Kotarakyat et de Pradipta. Dans le cadre de ce travail de recherche, Cahya Gunawana découvre Pradipta et sa Grande Ecole des Sciences Economiques et Juridiques qu'elle adore. Elle y noue plusieurs contacts dont elle se sert pour trouver y son directeur de thèse. Pour son Troisième Cycle universitaire, l'étudiante change donc encore de ville pour son plus grand plaisir.

Une fois sa thèse terminée, elle retourne à Manalotaug où elle postule avec succès au près de son Université formatrice. Parallèlement, elle conseille le maire de Manalotaug sur le développement économique urbain et est auditionnée plusieurs fois par l'Assemblée Populaire Régionale sur le même sujet. Au bout de 4 ans, elle obtient une mutation à l'Université de Pradipta au sein de sa préstigieuse Grande Ecole des Sciences Economiques et Juridiques de Pradipta. Ce changement marque un tournant dans sa carrière en tant que professeure mais surtout en tant que chercheuse : les orientations de l'Université en matière de recherche sont tournées vers l'internationale. Alors que les sujets d'étude de Cahya Gunawan portaient sur le Negara Strana, son arrivée à Pradipta lui permet de s'orienter vers d'autres aires géographiques. Dans son cas, elle décide de s'orienter sur l'analyse des mondes latins. Ainsi, elle s'intéresse d'abord à Fortuna et son économie portuaire dans le cadre d'un travail de recherche réalisé avec des sociologues fortunéens ayant aboutit à l'ouvrage collaboratif : La Sérénissime ou la République des Ports. Etude sociologique et économique des villes portuaires fortunéennes. Satisfaite de cette expérience, elle souhaite approfondir sa connaissance de l'aire latine eurysienne et apporter son savoir en disposant d'une chaire à l'Ecole des Sciences Sociales d'Amaria.

Langues parlées : Stranéen (maternelle), pesisirin (maternelle), fujiwan (courant), italien (courant), portugais (notions), baskon (notions)

Connaissance de la langue baskonne et facilité d'apprentissage d'autres langues : Ayant appris l'italien (et dans une moindre mesure le portugais) dans le cadre de son étude sur Fortuna, Cahya Gunawan a commencé l'apprentissage du baskon pour étendre ses connaissances linguistiques sur l'aire latine eurysienne. Pour l'instant, elle demeure nettement plus à l'aise en italien.

Courte lettre de motivation : (Facultative)

Courte lettre de motivation Rédigée en italien

A l'attention du bureau international de la Amariako Gizarte Zientzien Eskola,

Economiste stranéenne, je suis professeure et chercheuse à la Grande Ecole des Sciences Economiques et Juridiques de Pradipta, composante de l'Université de Pradipta. Agrégée par le Conseil Universitaire National du Negara Strana, mon domaine de spécialisation est l'économie urbaine des villes portuaires au Negara Strana et en Eurysie latine. Etant formée par la géographie, mes travaux ont une vocation pluridisciplinaire et internationale.

En ces qualités, je candidate à la Chaire d'Economie Urbaine et Portuaire de l'Ecole des Sciences Sociales d'Amaria. Après avoir étudié les phénomènes économiques au Negara Strana et à Fortuna, je souhaite enseigner ma science mais aussi les redécouvrir à l'aune du cas baskon. Ainsi, j'envisage cette chaire à la fois comme une opportunité de recherche et d'enseignement. Cette opportunité n'est pas que la mienne, elle est aussi la votre : Elle est celle de bénéficier d'une universitaire nazumie reconnue par ses paires dont la vision pourrait renouveler l'analyse croisée et innovante de l'ESSA.

Fort de mon expérience à Fortuna, je connais l'Eurysie latine, ses cultures et ses langues. Si le baskon ne m'est pas encore parfaitement connue, ma bonne connaissance de l'italien ne fait aucun doute et je suis en compétence de m'adapter rapidement à la Baskonia.

Je reste à votre disposition pour discuter de ma candidature pour laquelle je suis enchantée.

Madame, monsieur, je vous prie d'agréer à mes salutations les plus sincères.


Professeure Cahya Gunawan,
Docteure en Economie Portuaire Comparée.

Grande Ecole des Sciences Economiques et Juridiques de Pradipta (Université de Pradipta),
Pradipta, Negara Strana.
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