Création de pays : République du Talaristan
Généralités :
Nom officiel : République du Talaristan (en talar : Таларстан Җөмһүрияте /
Talarstan Cömhüriyäte)
Nom courant : Talaristan (en talar : Таларстан /
Talarstan)
Gentilé : Talar/Talare
Inspirations culturelles : États turciques et turco-mongol.
Situation géographique :Le pays ferait donc
211 381 km².
Langue(s) officielle(s) : Talar (équivalent au Tatar irl)
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Divers langues des minorités nationales, à établir en fonction des nations autours
Drapeau national et armoiries:
Le drapeau national talar présente la particularité d'être majoritairement blanc, symbolisant la pureté moral et spirituel du peuple talar, avec les armoiries (ou sceau d'État, en talar : Дәүләт мөһере / Däwlät möhäre) dans le canton. Devise officielle : Халыкның көчe — берлектә (
Xalıknıñ köçe — « La force du peuple est dans l’unité »)
Hymne officiel : Il est possible qu'en fonction de l'évolution du lore, l'hymne sois ammené à évoluer.
Monnaie nationale : Manka (en talar : Mанка) (MK)
Capitale : Khydan
Population : Entre 5 et 6 millions d'habitants (recensement national à venir)
Aperçu du pays :
PRÉSENTATION GÉNÉRALELe Talaristan (en talar : Таларстан /Talarstan) ou Talarie, dans sa forme longue la République du Talaristan (en talar : Таларстан Җөмһүрияте / Talarstan Cömhüriyäte) est un État souverain et indépendant, située en Nazum. Sa capitale et plus grande ville est Khydan, ville nouvelle, bien que les activités économiques du port de Buzkent en font la capitale économique (et historique) du pays talar. Si l'on excepte ses quelques points d'attractions, le pays est majoritairement constitué de foret, de plaine, de collines (taïga) mais également de steppes.L'histoire du Talaristan en tant que nation unifié est récente. De tout temps, les vastes plaines, steppes et collines du Talaristan ont étés habitées par des populations semi-nomades, organisées en tribus et parfois fédéré en clan. A partir du moyen-âge, le développement culturels des habitants de la région font naitre les premières différenciations entre les peuples, dont les talars, qui fondent à plusieurs reprises des khanats ou confédération qui ne dure, pour la plupart, que quelques années. L'apparition de la foi bogd (prêché par un « éveillé » nommé Bogd) durant le XVème siècle est un fait marquant du Talaristan pré-unitaire. Ce n'est seulement qu'à la fin du XVIIe siècle que le Talaristan commence à s'unir sous la conduite d'Alp Nurhadi Khan et de son Empire talar, qui parvient à se maintenir difficillement jusqu'à la fin du XIXe siècle. Si la transition vers un gouvernement républicain c'est fait sans eur, l'instabilité qui en découle fait naitre de violent conflit locaux qui perdureront jusqu'à l'éclatement de deux guerres civiles, une durant les années 40 et la seconde durant les années 70. Très violent, ce second conflit qui dure plus de dix ans vois l'implication d'acteur internationaux et régionaux (à voir les intéressés) et la naissance de bandes armées qui écument les campagnes. La création de la « Coalition nationale unie » menée par le colonel Mirza Arsam vois finalement la défaite du « Front de salut national » et la purge d'une large partie de la société talar. Par la suite, Mirza Arsam est élu président de la République par une large partie de la population est se maintient, encore aujourd'hui, à la tête du pays, après plus de trente année de présidence.Pays multiethnique et pluriconffesionnel, le Talaristan à du surmonter bon nombre de conflit à caractère ethnique et religieux durant sont histoire (notament durant la première guerre civile). De nos jours, si certaines brimades et discriminations sont encore parfois signaler, le pays à imposer à la fin de la seconde guerre civile une forme de nationalisme civique, reconnaissant les minorités ethniques et assurant la protection de leur culture en échange d'une allégance envers l'État.Politiquement, le Talaristan est un régime constitutionnel républicain dôté d'un système semi-présidentiel. Le pouvoir exécutif est officiellement partagé par le président de la République et un premier ministre, qui est le chef du gouvernement. Une assemblée suprême dispose du pouvoir législatif tandis que la cour suprême est le plus haute sphère du pouvoir judiciaire. Si le Talaristan c'est toujours présenté comme une république démocratique et sociale, la politique parfois représsive et autoritaire du président Mirzan Arsam ainsi que sa propre personne ne font pas du Talaristan un « Grand exemple de démocratie », en dépit de ce qu'elle affirme.LES TALARSLes talars (en talar : Таләрләр / Talärlär) sont un peuple oriental steppique, parlant le talar, vivant au Talaristan dont ils constituent l'ethnie majoritaire. Il est également à noté que des talars, du fait de leurs nombreuses migrations à travers l'histoire, vivent en communauté dans d'autres pays du monde d'ou ils constituent des minorités ethniques. La majorité des talars sont bogd (ou bogdistes), mais il existe également des communautées affiliées à d'autres religions.Historiquement, les talars sont un peuple nomade, d'éleveur, de marchand et de commerçant, mais également de farouche guerrier vivant en petite communauté (le plus souvent deux à trois famille) réunis autour d'un chef de clan. La place de la femme revet très tôt une importante particulière : outre l'intendance des camps, elle peut succédez à la tête du clan si le besoin s'en fait sentir, et sa présence est parfaitement toléré lors des réunions des chefs de familles du clan. De nos jours, la plupart des talars se sont sédentarisés, que cela sois au Talaristan ou dans les autres pays. Dans le milieu rural, leurs talents d'éleveurs et de dompteurs de chevaux sont encore très appréciés.Les talars sont très attaché à leur culture, à leur mode de vie et à leurs traditions sociales et nationales, surtout au Talaristan. Le respect du père, des ancêtres (transmis par la foi bogd) ainsi que la protection de la famille joue un rôle central dans la manière de pensée des aînés. Si cela perdure encore aujourd'hui, les jeunes générations ont toutefois plus tendance à des envies de libertés et de nouveau, ce qui as entrainé plusieurs vagues de migration vers des pays moderne.LA RELIGION ET SA PLACE DANS LA SOCIÉTÉ TALARELa religion bogdiste, qui est la foi majoritaire (environ 80%) de la population, présente beaucoup de particularité avec les religions mongols et turciques anciennes, ainsi qu'avec le tengrisme. Elle accorde une place centrale à la nature et à la vie, dans lequel l'âme de chaque humain dois se laissez entrainée en trouvant sa place dans un flux naturel continue. Il met un point essentiel au respect des ancètres et des grandes divinités, qui se manifestent par les catastrophes naturelles ou par la météo (clémente ou non).La représentation graphique du bodgisme se fait via un symbole : l'Oktüm ("force vitale") qui est consituté d'une pyramide de trois points à l'envers (deux en haut, un en bas) et qui représente respectivement l'âme, la pureté et la moral de chaque individus.
Il ne dispose pas d'un clergé organisé et codifié : chaque prêtre vie un « éveil spirituel » différent, qui prend racine dans sa vie et ses vécus. Ils est par la suite reconnu par ses pères et commence à transmettre ses enseignements dans les communautées essentiellement de manière oral (Le bogdisme n'a pas de receuil saint. Ses enseignements sont oraux, bien que plusieurs experts du monde religieux est commencé à le transmettre par écrit à partir du XIXe siècle, en dépit des protestations des prêtres).De nos jours, le bogdisme, bien qu'encore très respecté pour ses enseignements sages (le symbole bogd apparaissant par ailleurs sur le drapeau national talar) n'est plus vu comme central dans la vie sociale des talars. Certains se déclarant bogd mais étant plus proche de l'athéisme que de la croyance réelle. Il existe encore des foyers fondamentalistes ou très pratiquants, mais qui ne représentent plus qu'environ 15% des adeptes de cette religion.
Par ailleurs, il existe également d'autres courants religieux au Talaristan (environ 20%). Cela reste à déterminer en fonction des fois existantes actuellement dans le RP général des pays voisins.Politique et institutions :
INSTITUTIONS POLITIQUES
La politique nationale s'articule principalement autours de deux institutions : le gouvernerment et l'assemblée suprême. Si le gouvernement assure le pouvoir exécutif, le conseil suprême assure, de son côté, le pouvoir législatif.Le gouvernement est dirigé par le premier ministre, chef du gouvernement, nommé par le président de la République. Bien qu'aucune règle ne le précise, il est traditionnellement nommée parmis les membres de la coalition qui sortent majoritaire lors des élections législatives. Le gouvernement assure la conduite de la politique nationale décidé par le président de la République. Il regroupe l'ensemble des ministères pour la conduite des affaires nationales et dispose de l'administration et de la force armée.L'assemblée suprême est composé de députés élus dans les circonscriptions électorales équivalentes à un regroupement de plusieurs raïons (provinces) du Talaristan. Il est chargé de voter la loi, de gérer le budget de l'État, et de contrôler l'action du pouvoir exécutif et judiciaire (bien que cette dernière partie sois légèrement plus nuancé, car le rôle prédominant du président de la République au Talaristan n'accorde que peu de pouvoir au contrôle législatif).PERSONNAGE PRINCIPALLa figure la plus marquante et la plus reconnaissable du Talaristan aujourd'hui est sans contexte Mirza Arsam. Grand vainqueur de la seconde guerre civile, il est le premier président de la République élu au suffrage universel et est considéré comme le « père du Talaristan moderne ». Artisan du développement économique et du renouveau social du pays, sa politique de cohésion nationale lui vaut le soutient d'une partie importante de la population encore aujourd'hui. Cependant, après plus de trente années de présidence continue, le « Grand Arsam » ou « Père Arsam » est toutefois critiqué, notament par les jeunes générations et les associations internationales pour l'absence de « transition démocratique » et certaines violations des droits humains, notament lors des manifestations d'août 2016 à Khydan.
Outre le président Arsam, il y'aura évidement plusieurs personnages plus secondaires, comme le premier ministre ou les membres du gouvernements. Mais également des acteurs de la scène de vie sociale, économique ou politique talar, comme les chefs des partis d'oppositions (car oui ! en dépit de son caractère assez autoritaire, le pays n'en reste pas moi une
démocratie multipartiste). Ces différents personnages seront progressivement développer au fil des annonces du Talaristan.
AFFAIRES ÉTRANGERESLe Talaristan n'aura pas d'ambition d'expention territoriale vis-à-vis de ses voisins, du moins, tant que Mirza Arsam reste au pouvoir (c'est sa politique). Si le Talaristan n'est pas destiné à être une puissance impérialiste, ses affaires étrangères seront traités avec soin et il est dans l'intérêt de la nation des talars que le pays entretiennent de bonne relation avec ses voisins, mais qu'il sois aussi capable de répondre avec force et mesure avec ses opposants.