10/06/2018
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AGENCE SPATIALE DU GRAND LING
Great Ling Space Agency - 灵宇航署
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Centre d'étude et de recherche aéronautique et spatiale, consacré à l'exploration
et à la compréhension de notre planète, de notre système solaire et de notre univers.
Pour que le génie humain progresse et éclaire les origines de la vie.

Pour toute l'Humanité.


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PROGRAMME DRAGONFLY
Lanceur léger classe GL-1.
Capacité : 400 kg LEO - 180 kg SSO.


Contexte initial.

Pour mener à bien sa mission scientifique, exploratrice et assurer sa future présence permanente dans l'espace, la Great Ling Space Agency (GLSA) s'est très tôt penchée sur le développement d'un lanceur léger intégralement pensé et assemblé au Grand Ling pour se libérer de sa dépendance aux technologies teylaises, sylvoises ou tanskiennes. L'expérimentation est l'unique objectif de ce lanceur à sa construction en 1977, l'agence lance donc le programme Dragonfly avec comme nom de code pour ce premier engin GL-1, rapidement supplanté par le nom du programme lui-même dans la presse et le milieu professionnel, en raison de ce nom plus emblématique qui sied à la silhouette fine et la capacité à effectuer de nombreux vols, relativement peu coûteux du lanceur.
Le Dragonfly reprend l'architecture éprouvée de plusieurs missiles balistiques lingois, tant par facilité que par pragmatisme : la GLSA étant alors en manque cruel de moyens, mais possédant un savoir-faire éprouvé en propulsion et en fuselages à tolérances serrées. Le Dragonfly est donc un hybride issu de cette double origine : c'est un lanceur civil mais construit à partir d'une application militaire, intégralement repensé pour des opérations orbitales.

Haut de vingt-deux mètres, le GL-1 se décline en deux versions principales que sont la configuration bi-étage, optimisée pour la mise en orbite basse et la configuration tri-étage, pour la mise en orbite héliosynchrone grâce à la propulsion solide du troisième étage.
Ces deux configurations permettent au GL-1 de placer 400 kilogrammes en orbite basse circulaire ou 180 kilogrammes en orbite héliosynchrone.
Ces performances, quoique modestes, font du GL-1 Dragonfly un excellent candidat pour l'expérimentation scientifique, mais n'offre aucune possibilité de rivaliser avec les mastodontes étrangers comme Sylva et ses lanceurs aéroportés ou Teyla, encore que le micro-lanceur Constellation teylais soit en concurrence directe avec Dragonfly sur le lancement de petits satellites.
Malgré tout, la mission principale du lanceur est avant tout l'expérimentation : C'est un banc d'essai volant pour GLSA qui en fait son fer de lance pour valider de nouveaux systèmes de Guidage, Navigation et Contrôle (GN&C). Il sert également à tester des matériaux et des alliages, emporter des calibrations instrumentales ou faire voler des microsatellites, CubeSats, charges universitaires ou prototypes étatiques.

Au fil des vols, Dragonfly devient la « cigale » de la fable, surnommé à cet effet Chanr (蝉儿 - litt. cigale) par les ouvriers du programme spatial qui reprennent le terme de leurs enfants. Le lanceur a la réputation d'être fiable, peu cher, rustique dans son approche industrielle mais terriblement indispensable pour accumuler les compétences qui prépareront les programmes Longtian et TACATABRO (Trans-Aero Combined Advanced Thrust And ■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■ - classifié).

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Dragonfly GL-1 lors d'un lancement, Wujiang.

Variantes du lanceur Dragonfly.

Depuis son premier vol en 1977, le lanceur léger GL-1 Dragonfly constitute le socle technologique du programme spatial lingois. Il a progressivement évolué au fil des décennies, donnant naissance à plusieurs variantes adaptées aux besoins de la GLSA. En 2018 quatre variantes au lanceur léger GL-1 Dragonfly ont existé et une nouvelle génération est actuellement en développement suite aux décisions politiques prisent en marge de l'État de l'Union par l'État fédéral.

GL-1A — La variante originale du lanceur.

Période d'activité : 1977 - 1984.
Utilisation : Banc d'essais technologiques, premières mises en orbite basse.
Nombre de lancements (échecs) : Quatorze (six).
Configuration : Deux étages solides.
Configuration :
    Premier étage : moteur solide LS-21 (AP - PBAN - Al à 18 %).
    Deuxième étage : moteur solide LS-09 (AP - PBAN à 5 %).
Capacités d'injection : 250 kilogrammes LEO (orbite basse).

Version embryonnaire du programme Dragonfly, marquée par un taux d'échec critique. Les nombreux incidents lors de sa conception étaient attendus compte tenu de la difficile tâche de sortir de la dépendance sylvoise, tanskienne et teylaise. La moitié des vols servaient en réalité de campagne d'expérimentation tout autant que de propagande patriotique.


GL-1B — La variante opérationnelle.

Période d'activité : 1984 - 1990.
Utilisation : Mise en orbite de microsatellites technologiques et militaires.
Nombre de lancements (échecs) : Vingt-sept (cinq).
Configuration : Deux étages liquides et un troisième solide en option.
Configuration :
    Premier étage : moteur liquide LL-20 (RP-1 - LOX).
    Deuxième étage : moteur liquide LL-04V (RP-1 - LOX).
    Troisième étage optionnel : moteur kick-stage solide LS-21A (AP - PBAN - Al à 5 %)
Capacités d'injection : 350 kilogrammes LEO (orbite basse) et 120 kilogrammes SSO (orbite héliosynchrone).

Première version exploitable de manière régulière, elle conserva un haut taux d'échec — quoiqu'inférieur au GL-1A — en raison de l'ajout du troisième étage optionnel. Cette intégration optionnelle fut cependant fiabilisée peu de temps après les premiers échecs.


GL-1C — La variante tri-étage dédiée à l'orbite héliosynchrone.

Période d'activité : 1990 - 2010.
Utilisation : Observation planétaire, météorologique ou surveillance militaire.
Nombre de lancements (échecs) : Quarante-deux (trois).
Configuration : trois étages liquides.
Configuration :
    Premier étage : moteur liquide LL-32 (RP-1 - LOX).
    Deuxième étage : moteur liquide LL-09 (RP-1 - LOX).
    Troisième étage : moteur kick-stage liquide LL-09H (UDMH - N2O4)
Capacités d'injection : 250 kilogrammes SSO (orbite héliosynchrone).

Conçu pour permettre au Grand Ling de disposer d'une autonomie totale en matière d'orbites polaires, la variante GL-1C accueille un troisième étage spécialisé qui, grâce à une propulsion liquide, se trouve être hautement précis et stable en combustion. C'est l'outil principal pour la mise en orbite de satellites d'observation et le pivot de la filière SSO lingoise.


GL-1D — La variante modernisée.

Période d'activité : 2010- 2018.
Utilisation : Observation planétaire, météorologique ou surveillance militaire.
Nombre de lancements (échecs) : dix-neuf (un).
Configuration : deux étages solides et un troisième étage liquide.
Configuration :
    Premier étage : moteur solide LS-30 (AP - HTPB - Al à 18 %)
    Deuxième étage : moteur solide LS-16 (HTPB optimisé)
    Troisième étage : moteur kick-stage liquide LL-09H (UDMH - N2O4)
Capacités d'injection : 1 tonne LEO (orbite basse) et 500 kilogrammes SSO (orbite héliosynchrone).

Version modernisée et intégralement fiabilisée de la variante GL-1B et de la variante GL-1C, le lanceur léger GL-1D reprend le meilleur de ses précédentes itérations tout en bénéficiant d'avancées technologiques majeures développées à partir de 2010 et tout le long de sa carrière. Le choix de GLSA de combiner des étages solides pour la poussée principale avec un étage liquide garantissant la précision nécessaire aux orbites polaires, s'explique par la volonté d'améliorer la fiabilité et réduire les coûts sur les lancements réguliers.


GL-1E — La variante expérimentale pour les programmes Longtian et Tacabro.

Période d'activité : Depuis 2018.
Utilisation : Validation technologique (moteurs liquides de nouvelle génération, GN&C, architecture).
Nombre de lancements (échecs) : quatre (un).
Configuration : un étage solide et un étage liquide expérimental.
Configuration :
    Premier étage : moteur solide LS-28X (HTPB - Al à 15 %)
    Deuxième étage : moteur liquide LL-05 (■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■ - classifié)
Capacités d'injection : ■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■ - classifié.

Véritable banc d'essai pour l'expérimentation pour la GLSA, le GL-1E n'a aucune vocation à être commercialisé. Il sert à valider les moteurs liquides de nouvelle génération et continuer d'acquérir des connaissances critiques pour les futurs programmes Longtian et TACATABRO sans interrompre les opérations du lanceur GL-1D.
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PROGRAMME FENGHUANG
Plateforme modulaire de satellites artificiels.


Contexte initial.

La conquête spatiale nécessite de déployer des fonds substantiels pour s'assurer de conserver une bonne place face aux pays concurrents que sont Tanska, Sylva ou Teyla. Ces fonds sont en général accordés chaque année dans le projet de loi de finance qui doit définir le budget de la GLSA pour l'année. Cette dernière se charge ensuite de distribuer son budget parmi ses instances et ses programmes en cours ou pour divers projets plus ou moins importants/lucratifs. La GLSA, par exemple, alloue 47 % de son budget annuel sur les seuls projets de lanceurs.
Pour réduire les coûts sans mettre en péril la sécurité ou la qualité de ses projets, GLSA doit trouver des moyens de réduire radicalement ses coûts. Pour ce faire, il existe deux moyens développés par l'Agence :
  • Le programme TACATABRO : Mené conjointement avec l'agence spatiale talar, TACA, il s'agit d'un lanceur ████████████ - classifié, qui se décline en deux itérations. La première est une ████████████████████████████████████████████████████████████ - classifié, réservoir externe lui permettant de disposer d'une poussée bien plus longue. Sa forme lui permet ███████████████████████████████████████████████████████████████████████████████████████████████ - classifié, tout à fait standard.
  • La seconde consiste à faire en sorte que les deux ███████████████████████████████████ - classifié, le réservoir externe de la ███████ - classifié, puissent être █████████ - classifié, soit parce qu'ils ██████████████████████████████████████████████████████████████████████████ - classifié, soit par l'intermédiaire d'un système de ███████████ - classifié.
  • La plateforme modulaire commune pour engins spatiaux - PMCES (Modular Common Spacecraft Bus - MCSB) : Plus polyvalente, plus économique et plus rapide à développer, la plateforme modulaire commune pour engins spatiaux réduit les coûts, la complexité et les délais grâce à sa composition intégralement modulaire qui permet de personnaliser efficacement chaque engin spatial. La technologie du MCSB pourrait servir au futur module lunaire que prévoit d'envoyer GLSA dans le cadre de sa mission d'exploration de l'atmosphère et de la surface lunaire.

  • Le MCSB est la technologie privilégiée ici et celle au cœur du programme Fenghuang depuis son lancement en 1998. L'idée parti du postulat que la conception de satellite coûtait extrêmement cher et se faisait jusqu'ici en concevant un nouveau satellite pour chaque mission avec les coûts de R&D que cela engendre. Le MCSB offrit comme alternative une plateforme commune entièrement modulaire, capable d'accueillir n'importe quel ensemble de charges utiles, de systèmes de propulsion (souvent RCS), d'instruments scientifiques ou d'équipements militaires.

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