
La Caratradian Space Agency est l’agence gouvernementale chargée des questions spatiales à Caratrad. C’est à la fois une agence menant des programmes, un centre d’études techniques et scientifiques et un opérateur de moyens spatiaux (fusées ; engins spatiaux). L’agence est un organisme d’État et fait donc partie du service public. Elle bénéficie toutefois de relations privilégiées avec les entreprises du secteur, qui font partie intégrante de ses programmes. L’agence sert aussi d’organisme de contrôle et de surveillance pour éviter des dérives du secteur spatial.
La Caratradian Space Agency entretient des relations privilégiées avec différents partenaires internationaux. Ceux-ci sont notamment le secteur spatial tanskien (public et privé), le Groupe Astronautique Sylvois, le Centre des Études Aérospatiales faravanien et les autres membres de l’OND par le biais de l’Agence Spatiale de l’Organisation.
Début 2018, la CSA a mené un certain nombre de partenariats à bien. L’Agence a permis l’ouverture d’un site de fabrication de fusées Altaïr V dans la banlieue de Sicherkrik, au Festland. Ce site est le premier extra-eurysien de l’entreprise en dehors des installations du Centre d’Akrak. L’Agence négocie aussi l’installation d’entreprises du New Space tanskien comme Njord au Carreg Deheubarth. La coopération spatiale avec Tanska est facilitée par les Accords de Norja, qui ont inauguré un rapprochement dans le domaine spatial et industriel. Deux fusées ont été fabriquées sous licence et vendues à des entreprises tanskiennes par CAE Space. La CSA représente Caratrad au sein de l’Agence spatiale onédienne depuis la fondation de cette dernière en 2014. Dans le cadre d’un récent rapprochement avec le Groupe Astronautique Sylvois, la CSA mène en coopération avec cette agence quatre missions prévues pour les années 2018 et 2020. La CSA est actuellement en discussions avec le CEA faravanien dans le adre du projet de Navigation Satellite System. L’adoption récente du Safeguard Act et du Total Deterrence Act fait craindre une militarisation accrue de l’Agence et une réorientation vers des buts militaires, voire d’une prise de contrôle par la branche militaire chargée de l’espace, le Commandement Spatial du Royaume-Uni (UKSC).
