Présentation brève : SLAVIENSK
Généralités :
Nom officiel : Fédération des Communes Slavis
Nom courant : Slaviensk, Slaviansk ou terre des slaves du nord est
Gentilé : Slavis (politesse, aussi utilisé pour désigner les slavis dans leur ensemble) Slave (utilisé couramment)
Inspirations culturelles : Russie soviétique, Makhnovchtchina.
Situation géographique :
Langue(s) officielle(s) : Russe, Ukrainien
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Polonais, Lituanien, patois locaux des montagnes du sud
Drapeau :

Devise officielle : Paix, liberté, égalité.
Devise officieuse : Prolétaires de tout les pays, unissez-vous !
Hymne officiel :
Monnaie nationale : Novark Slavis (₦)
Le Novark slavis avait été précédé par le Rouble Slavis avant 1991. Depuis la dictature de l'Union, le pays s'est trouvé une nouvelle monnaie, le Novark, gardée toujours pendant les régimes successifs y compris celui de la Fédération qui est née en 2018. La valeur de cette monnaie approche celle de l'euro.
Capitale : Starovsk (dénommée Novyavik de 1991 à 2016) 3 200 000 habitants
Population : 14 000 000 d'habitants
Aperçu du pays :
Présentation du pays :

L'histoire de la nation slavis remonte à bien des siècles, des millénaires même...
Cette nation trouve ses racines dans deux peuples parents, les retsviniens et les slaves. Les retsviniens sont les membres d'un vaste empire étendu au nord ouest, les "civilisés" à en croire certains historiens de l'Empire slavis. Ces civilisés sont des finno-ougriens, ou du moins leur équivalent antique. Leur Empire s'est formé d'une Union de cités retsviniennes prospères qui s'étendait alors du sud ouest du Latrua à la Retsvinie actuelle, et leur puissance est crainte par tous les peuples de la région. Les autres parents quand à eux, sont des "barbares" organisés en cités états indépendantes les unes des autres. Ces derniers sont nés de la sédentarisation d'homo sapiens entre -5000 et -3500, qui forma les premiers villages de pêche. Ils trouvèrent alors les origines de leur premier alphabet dans une sorte de cyrillique auquel il manquait les fortes influences grecques vers -2400.
Tout s'améliora jusque là, le progrès venait dans les terres des deux nations, mais toute bonne chose a un fin...
En -1225 et -1175, c'est la fin de l'âge de bronze, et de nombreuses cités se retrouvent à être pillées ou détruites par un envahisseur encore jusque là mystérieux, les historiens eux même n’expliquant pas l'origine de ce peuple. L'affaiblissement généralisé de la région tue toute puissance dans la région pendant plusieurs siècles, à l'exception du solide empire retsvinien qui ne s'effondre pas dans la crise et parvient à contenir les pillages.
La région évolue dans le doute et la misère, jusqu'à la conquête des territoires riches en ressources telles que la fourrure, le miel ou les esclaves comme celles du peuple proto slavis par l'Empire retsvinien. Cette conquête apporte à la région d'importante richesses et permet les deux peuples de se métisser.
Après quelques décennies, des invasions nomades fragilisent l'Empire Retsvinien et les colonies, sous forme de cités états, déjà très autonome, font sécession. Après quelques années encore, vers -800, la colonie de Vyatengorod face à la rivalité des cités états voisines se lance à la conquête d'une partie de la Slaviensk actuelle. Son deuxième roi, Yaroslav II, descend donc avec son armée le fleuve Sanarva et fonde deux villes, celles de Starovsk et celle de Kasyrgrad. Ses conquêtes forment non plus une cité-état, mais un vrai royaume installé sur les berges de Sanarva. Ce premier royaume slavis se dénomma Slav' de Starovsk, ou Slaviensk de Starovsk (parfois appelé Slaviensk starovienne). Au fil des siècles, ce royaume conquiert l'ensemble de la région située entre les montagnes, et qui se trouve être approximativement les frontières de la Slaviensk actuelle.
Pendant encore un millénaire, ce royaume survit des invasions étrangères, mais échoue à garder sa prospérité, faute à un isolationnisme qui mis fin au commerce de masse sur les côtes de Slaviensk (notamment à cause de la fin de l'Empire retsvinien). Cependant, un puissant Empire, les Khezards, s'intéressent aux importantes ressources disponibles dans cette région affaiblie. Le Roi du moment, Mstislav I Varimirov le savait pertinemment et s'évertua tout le long de son règne à fortifier Slaviensk et à guetter le bon moment pour attaquer les Khezards, avant que ce ne soit le cas de Slaviensk. Ce roi profita donc en 264 d'une importante révolte en terre conquise par les Khezards pour ce jeter sur cet Empire.
Mstislav Ier mis fin au joug Khezard après une succession d'affrontements légendaires, mais comme la nature a horreur du vide, l'anéantissement des Khezards permis à un peuple nomade de s'installer dans cette région et donna à nouveau à Slaviensk du fil à retordre.
En 325, les fils héritiers de Mstislav Ier sont des triplés qui se partagent le Grand Royaume en trois entités, appelées les Slaviensk qui ne sont autres que la Slav' de Rusalka, la Slav' de Daryinsk et la Slav' de Retsvinie. Ces trois entités vont rester stable et prospère jusqu'en 409 où un des frère, le roi de la Slav' de Retsvinie, souhaite légitimer son pouvoir en rétablissant l'antique royaume de Starovsk. La guerre commence et conduit à la défaite des deux autres Slaviensk. Mais alors que tout semble aller pour le mieux pour le Roi de Rusalka, qui se couronne Roi de Starovsk, le Roi exilé de Rusalka trouve dans la proto Morakhan une importante armée de mercenaires, qu'il engage avec sa fortune restante et les richesses qu'il promet avec la conquête de la Slav' de Starovsk. C'est ainsi que débute une campagne, où les armées Mor et les soldats Rusaliens progressent jusqu'à la prise de Rusalka, puis prennent Starovsk et l'actuelle Severopol. Face à cette victoire, le Roi de Rusalka, se proclame Roi de Starovsk. Le problème du moment étant devenu les incursions nomades, qui progressent dans l'Empire depuis le début de la guerre pour la couronne. Ce Roi lance une victorieuse campagne contre ces nomades, mais perd la vie dans ce conflit. Ses huit fils se partagent alors la Couronne, mais conscient qu'il ne fallait pas répéter l'erreur de leurs ancêtre, créèrent 8 Oblast dans lesquels les fils pourraient gouverner comme il l'entendent, mais avec un système de vassalité à l'encontre de leur ainé devenu Empereur de Slaviensk. C'est le début de "l'Empire millénaire".

La Période qui succède celle de l'antiquité est une large période de conflit avec les peuples au delà des montagnes, où Slaviensk conquiert de nombreuses fois les voisins avant de les perdre à nouveau. Slaviensk devient un puissant Empire largement détesté par ses voisins, ce qui le poussa à s'occidentaliser. En effet, quelques siècles après la fondation de l'Empire, celui-ci arrive dans une sorte de période dite "rhêmienne" puisque l'Empire, cherchant à quitter ses racines slaves, cherchera de l'inspiration ailleurs. C'est là que le cyrillique slavis acquiert ses nombreuses racines grecques, que plusieurs villes prennent des noms grecques (Severopol par exemple) et l'Empire se modifie pendant plusieurs siècles vers une administration et une organisation politique similaire à l'Empire Rhêmien. La période prend fin et se dissipe avec l'affaiblissement des Rhêmiens et la chute des dynasties slavis promouvant la Rhêmianisation de l'Empire. Cette fin survient progressivement du 8 ème au dixième siècle.
Autre fait notable, en 1556, à la suite d'un schisme entre une communauté de moines et l'église orthodoxe slavis, des moines de Slaviensk accompagnés de quelques militaires et fidèles quittent l'Empire pour fonder leur propre pays. Ils vagabondais alors à la recherche de terre, jusqu'à découvrir les terres gelées du Khardaz où ils y installèrent le premier royaume de Khardaz.
Encore plus tard, dans les alentours de 1650, un Empereur slavis, surnommé le tyran, centralisa le pouvoir à la suite d'une fronde, et massacrant les tsar des oblasts, s'autoproclama "Empereur de Slaviensk et Tsar de toutes les Slaviensk" ce titre devenant, même durant le Second Empire, le titre officiel des Empereurs slavis. Cet Empire centralisé prospéra, et sa nouvelle et efficace administration permis à l'Empire de s'étendre jusqu'en 1720 sur une grande partie de l'Eurysie de l'est, gagnant territoires après territoires et s'étendant alors de la Retsvinie au Themiasme. Cet Empire conquérant trouve malheureusement son apogée, et faute à la guerre de neuf-ans et aux invasions dans le sud-est, perdu en puissance avant de perdre, jusqu'à 1895, territoires après territoires.
Cette malheureuse période fut succédé par une autre, peut-être encore plus malheureuse. Cette période encore plus malheureuse pour les slavis était pourtant porteuse d'espoir au départ. En effet, le nouvel Empereur, Alexeï Ier, promettait aux slavis de refaire de Slaviensk une grande puissance. Il promettra cela, avec une propagande intensive pour l'accompagner. Au départ, son règne est une réussite : La révolution industrielle touche Slaviensk, l'armée se renforce à toute vitesse et le pays se stabilise. Mais bien entendu, cet Empereur ultranationaliste rêvait de conquête. C'est ainsi qu'il engagea Slaviensk dans une guerre contre les voisins du sud, le Navgrokra-sovonograd, qui conduit à la victoire éclatante des slavis en 1904 et l'occupation d'une partie du territoire de l'adversaire. Mais, toujours plus ambitieux, il conquiert le voisin Retsvinien, qu'il annexa en 1908. L'Empereur mourus mystérieusement par la suite et ce fus sont fils, surnommé "le fou" qui lui succéda. Alexeï II s'engagea dans toujours plus de conquête, à l'encontre de la République du Recdock. Mais impulsif et incompétent, son règne attisa les tensions avec le Navgrokra-sovonograd qui rêvait de vengeance, et les indépendantistes souvent anarchistes du Recdock. La révolte éclata, puis la guerre. La famine causée par la perte du grenier à blé qu'était le Recdock créa une disette en Slaviensk, qui conduit en 1940 à la révolution Slavis. Durant cette révolution, le pouvoir Impérial fut renversé, mais une armée fidèle tenu la Retsvinie pendant encore plusieurs décennies et la famille de l'Empereur s'exila en Karty pour trouver refuge chez une monarchie amie. L'Empereur en personne quand à lui, fut humilié et exécuté devant la foule en liesse de Slaviensk. Ce fut le début de la Première République.

La République commença plutôt bien : Cette démocratie libérale prospérait, la croissance était bonne, les libertés nouvellement acquises firent de Slaviensk le poumon démocratique dans l'Eurysie de l'est, région qui manquait tant de ces libertés. Le chômage était bas, la croissance était forte, et les mandats de président se succédèrent, président généralement libéraux, conservateurs ou socialiste. Les troubles commencèrent avec la première guerre civile Retsvinienne en 1960, où Slaviensk soutenu l'opposition, jusqu'à que Slaviensk prenne directement les territoires encore occupés par l'armée impériale dans la "guerre de libération de Kovgorie". Cette guerre est la seule guerre moderne et terrestre engagée par Slaviensk jusqu'à aujourd'hui (2018). Suivirent plusieurs conflits en Retsvinie, dans lesquels Slaviensk était souvent impliquée. Les efforts pour soutenir les retsviniens devenaient des priorités derrière la corruption, le chômage et des oligarques qui devenaient politiquement toujours plus puissants. La situation continua jusqu'en 1985 où le Président socialiste Borris Zaresky mena une politique de nationalisation et de lutte contre les oligarques qui manipulaient le pouvoir républicain. Alors, Novokrat, la principale entreprise du pays, s'arma en engageant des mercenaires pour la défense de la firme. La situation financière se détériora en 1990, où la politique de l'état providence et celle du soutien de l'opposition retsvinienne ouvra un gouffre financier qui obligea le Président du moment a augmenter les taxes sur les entreprises. Ce moment marqua le coup d'état de Novokrat, qui, mécontent, pris le pouvoir.
Suivi l'instauration de l'anarcapie de Slaviensk, un régime anarcapiste qui dura quelques mois. Ce régime fut marqué par une politique pro-firme et anarchiste, mais les négociations sur le partage du pays entre les firmes lésa Novokrat qui envahit les différents territoires de Slaviensk. lançant ainsi la guerre des firmes, qui dura quatre mois et s'acheva en 1991 sur une éclatante victoire de Novokrat. Se lance ainsi un régime dictatorial, inégalitaire et productiviste qui exécute ses opposants, et dont le dirigeant fut le Président Directeur Général de Novokrat, Nikolay Lavrov. Le nouveau régime modifia les noms du pays, qui devint Novyavik, mais aussi celui de la capitale et le changement de monnaie dans l'objectif d'effacer la mémoire des anciens régimes.
Toujours en 1991, Novyavik s'engage, par ressentiment anticommuniste et désir de vengeance contre les soutiens de l'adversaire de la guerre des firmes, dans un nouveau conflit, celui de la guerre Barvyno-novaise. Cette guerre sera une guerre navale meurtrière qui conduira à la destruction des deux flottes, deux flottes qui commenceront leur reconstruction que des années plus tard. Novyavik s'engagera, toujours dans une optique de lutte contre le communisme, dans le soutien des insurgés monarchistes au Khardaz pour contrer le gouvernement communiste de Yashosie.
Des décennies de dictature et d'isolationnisme extrême continuerons en Novyavik, et le dictateur Nikolay Lavrov décèdera d’empoisonnement le 16 Novembre 2012, son fils Yuri Lavrov le remplacera avec une volonté de sortie partielle de l'isolationnisme et de démocratisation timide du régime. La politique de changement débutera réellement en Avril 2015, mais conduira sur un grand échec diplomatique et sur une crise du régime à la suite de la découverte d'affaires de travaux forcés des communistes. En été 2015, durant le "cas Novyavik", le régime de l'Union s'effondra sous la pression internationale. S'ensuivit la Second République de Novyavik. Cette seconde République était rongée par la corruption, et les affaires de corruption du Président Directeur Général conduiront à l'emprisonnement de celui-ci et à la démission du président de la république. C'est alors que le candidat Monarchiste Alexeï IV prendra le pouvoir à la suite de l'élection.
Toujours dans son instabilité infinie, Slaviensk perdra à nouveau ce régime en 2017, renversé par un coup d'état mené par le premier ministre de l'Empereur. Qui lui même sera renversé par la révolution des œillets en 2018, révolution durant deux jours et ne faisant que peu de morts. S'instaure alors un régime de transition révolutionnaire qui laissera place à la suite de la transition à la Fédération des Communes Slavis.
L'essentiel de l'économie se tourne vers deux secteurs principaux : L'industrie et l'exploitation de ressources naturelles non-agricoles. Ainsi, le pays est un "pays-usine" depuis quelques années, et possède de fortes exportations automobile, électroniques, métallurgiques et une belle production d'engrais azotés, sans oublier l'industrie militaire qui représente pas moins de 55 milliards de Novark et des milliers d'emplois, bien que ce secteur n'exporte que très peu et est surtout destiné à l'armée slavis. En accompagnement à ce colosse industriel se trouve de belles exploitations de matières premières telles que les métaux ferreux et non-ferreux, le pétrole, le gaz et l'uranium. Slaviensk est donc un pays avant tout secondaire avec une belle économie primaire, le tout renforcé avec quelques secteurs tierciaires fort ou en pleine croissance comme l’innovation, forte par le passé mais dont la croissance est presque à l'arrêt ainsi que l'éducation, en pleine explosion du secteur.
Le système économique quand à lui est semi libre : La propriété privée existe, ainsi que la libre création d'entreprise, le droit de concurrence et le droit d'investissement, d'embauche, de commerce international... Mais elle reste très régulée par le système libertaire, en effet, les secteurs stratégiques (énergie, armement, administration, éducation, santé, transport) sont entièrement nationalisés. De plus, l'état met en place un salaire minimum et le pilotage de l'économie se fait à échelle communale. Ensuite, pour limiter le chômage, il existe un troisième mode de fonctionnement de l'économie, en plus des secteurs nationalisés ou libres, il existe des "secteurs coopératifs" qui sont des exploitations souvent primaires ou secondaire collectivisées. Elles visent au partage des richesses et à éviter que l'économie devienne incontrôlable. Ces secteurs coopératifs bénéficient d'impôts préférentiels pour qu'ils soient capable de concurrencer le secteur privé.
Mentalité de la population :
Slaviensk, depuis la très brève et peu meurtrière révolution des œillets du 15 au 16 janvier 2018, est dans une sorte d'hallucination collective pro-révolutionnaire. La jeune fédération et plus précisément le peuple slavis est dans une sorte d'élan révolutionnaire et patriotique gigantesque. Le désir de liberté accumulé depuis 1990 s'est accumulé jusqu'à 2018 pour éclater au grand jour, et la population en est venue à une fierté patriotique et une volonté révolutionnaire exacerbée. Cependant, attention à ne pas prendre cet élan patriotique comme un accord systématique avec le pouvoir en place. En effet, les slavis disposent d'une forte opposition conservatrice et monarchiste qui risque de mettre des bâtons dans les roues de la politique interne libertaire...
Outre la fierté nationale, la population reste globalement individualiste, et cela à cause de l'héritage de la corporation oligarchique de l'Union, qui encourageait à un individualisme extrême. Cet individualisme toujours fort est cependant allégé depuis la fin de l'Union, grâce à une société moins radicalisée.
Place de la religion dans l'État et la société :
L'état est laïque, ce qui implique que la religion n'est pas impliquée dans l'état slavis. Cela signifie que religion et état sont complètement séparés, et que toutes formes de religions sont tolérées par l'état. Cependant, il faut rappeler que dans la population, les trois croyances principales sont dans l'ordre : Le christianisme orthodoxe, l’athéisme et le technisme. Ce dernier étant l'héritage de la propagande de l'Union novaise. La population reste donc globalement très croyante, mais ces croyances sont séparées entre deux communautés majoritaires.
Politique et institutions :
Institutions politiques :
TEMPORAIRE, IL Y AURA PEUT-ÊTRE DES MODIFICATIONS A L'AVENIR.
Slaviensk est une fédération de communes, c'est à dire que Slaviensk, divisé en 7 communes, elles même divisées en départements sont unies avec un gouvernement central qui reste relativement fort. Les trois pouvoirs sont donc détenus par plusieurs institutions principales : L’exécutif est détenu par le Comité de Volonté Publique (CVP), qui peut avec la majorité des voix poser un veto contre les lois ou les modifications constitutionnelles votées par le législatif et se chargent de diriger l'armée, la police et de désigner un gouvernement. Les membres du Comité de Volonté Publique peuvent tous soumettre des décisions et disposent d'un droit de vote au comité, ces membres sont au nombre de 8. Le CVP est formé par les Délégués (aussi appelés Gromadniki au pluriel, Gromadnik au singulier), au nombre de 7 et eux même représentants chacun une Commune et étant tous élus par le peuple par les citoyens majeurs (plus de 18 ans) dans leurs communes respective et ce tout les 5 ans. Ce Comité de volonté Publique est lui même présidé par un Président de la Fédération, dont le vote au Comité de Volonté Publique compte double et qui représente la Fédération à l'international. Ce président dirige donc la diplomatie et peut signer des accords quelconques (bien que ces accords doivent être ratifiés par l'assemblée nationale), mais ne peut pas déclarer la guerre (ce droit est réservé au vote du Comité de Volonté Publique). Le Président de la Fédération est élu par les citoyens majeurs tout les 5 ans. Le Comité de Volonté Publique désigne un gouvernement qui lui-même gère les affaires courantes et Le Comité de Volonté Publique peut aussi accorder des grâces, à condition que l'accusé reconnaisse sont crime et peut consulter la population par référendum.
Ensuite, sur le plan législatif le pays fonctionne sur un système bicaméral, à l'inverse des anciens régimes. La première chambre, la chambre haute, est l'assemblée nationale. Celle-ci peut proposer des lois, les débattre puis les voter, ainsi que voter les lois proposées par le gouvernement. Ensuite, les lois votées par l'assemblée nationale sont débattues au sénat qui vote une seconde fois. En cas d'échec du vote, des négociations pour modifier le texte débutent, puis le vote recommence à l'assemblée nationale puis au sénat. En cas de second échec, c'est le peuple, par référendum qui tranche. L'assemblée nationale est une assemblée composée de 900 membres élus tout les 5 ans dans les différents départements. Les départements au nombre de 40 valent chacun un nombre différent de députés selon le nombre d'habitants de ce département. Le sénat quand à lui est voté par les collectivités territoriales tout les 7 ans qui elles même sont votées tout les 7 ans par le peuple. En plus des pouvoirs précédemment citées, elle peut proposer des amendements correctifs. L'assemblée nationale, avec accord des deux tiers, peut également lancer une procédure de défiance contre le gouvernement pour tenter son renversement.
Sur le plan constitutionnel, un conseil constitutionnel existe et compte 8 membres élus par le sénat tout les 8 ans, renouvelant la moitié des membres tout les 4 ans (ainsi, 4 des anciens membre ayant atteint leur échéance sont remplacés, gardant encore 4 des 8 anciens membres). Ces 8 membres se chargent de vérifier la constitutionnalité des lois votées à l'assemblée nationale et au sénat. C'est l'arbitre des institutions et l'institution garante de la constitution et de la liberté. La constitution quand à elle a été votée le 10/02/2018 par l'assemblée nationale et le 13/02/2018 par référendum. Cette constitution établi les différentes institutions et les différentes libertés fondamentales. Elle peut être modifiée à l'initiative du Comité de Volonté Publique, du sénat ou de l'assemblée nationale, puis doit être voté à majorité par toute ces institutions, puis être voté à majorité par référendum.
Sur le plan judiciaire, le pouvoir est organisé en trois niveaux chacun se référençant à un niveau territorial différent.
Les tribunaux départementaux, jugeant les infractions et étant administrés par le département. Les juges sont votés à échelle locale tout les 6 ans.
Les cours communales sont quand à elles gérées à échelle des communes et gèrent les délits, ses représentants sont élus aux deux tiers par des citoyens tirés au sort tout les 5 ans, le tiers restant par des professionnels.
Les cours Fédérales gèrent les crimes et sont administrées par la Fédération dans son ensemble. Il s'agit de l'institution jugeant les crimes, et donc les actes illégaux les plus grave. Il est composé de 12 magistrats, par moitié désignés par l'assemblée nationale et par moitié par le sénat, et ce tout les 9 ans. En Slaviensk, la peine de mort existe, mais est réservée au actes de terrorisme, d'espionnage ou de désertion en temps de guerre.
Enfin, les pouvoirs politique des citoyens sont nombreux. Ils ont le droit de grève, le droit de manifestation, d'association, d'entreprendre, d'expression de culte, de vote, de propriété, d'héritage et bien d'autres droits. Le pouvoir est libertaire, c'est à dire qu'il encourage la liberté politique la plus forte possible pour tout les citoyens. Ainsi, les citoyens ont droit de soumettre des propositions de lois aux collectivités territoriales qui elles même les transmettent ou non aux députés, et ceux-ci se chargent d'en faire ou non un projet de loi cohérent.
Le budget est géré indépendamment dans chaque commune, et ces communes sont autogérées, c'est à dire qu'elles sont administrées par elles même et non par l'état, mais reste soumise à la loi fédérale. Bien sûr les communes peuvent promulguer des décrets grâce à l'assemblée populaire, tant que ces décrets restent soumis aux lois fédérales. Les assemblées populaires fonctionne avec un système d'assemblée populaire centrale et secondaires : Chaque village ou ville possède son assemblée populaire qui se tiennent le dimanche entre 14 et 16 heures, tout citoyen peut y participer s'il le souhaite ou non, y faire des propositions qui sont soumises à un vote local, cette proposition est ensuite transmise à l'assemblée populaire communale, composée de membres désignés par les députés de la commune (chaque député dont le département est situé dans la commune concernée désigne une personne pour le représenter). Ils peuvent voter les décrets issus des assemblées populaires mais ne peuvent pas en proposer. Ce décret est ensuite soumise au veto du conseil constitutionnel qui doit définir si cette loi rentre dans le cadre de la constitution et des lois de l'assemblée nationale.
Principaux personnages :

Yeleshev Romenko, Premier député de transkovgorie de 2015 à 2018.

Alexeï Alexeïevitch Rurikov, ancien Empereur de Slaviensk et chef de file de l'action Impériale.

Politique internationale :
S'il est clair que Slaviensk est une nation libertaire internationaliste, il est peu probable d'y voir une nation belliqueuse ou renfermée au dialogue qu'à des nations d'extrême gauche, Slaviensk et ce malgré son internationalisme libertaire, privilégie le dialogue et la coopération avec les nations de tout bord, à l'exception des nations fascistes agressives que Slaviensk ne manquera pas d'éliminer.
Slaviensk est donc favorable à la liberté de circulation dans le détroit gris, souhaite agir pour la stabilité régionale, s'aligne contre les nations fascisantes et pour les nations de gauche, gardant un certains pragmatisme diplomatique et servant avant tout ses intérêts propres bien que restant fraternel envers les autres nations libertaire, communistes ou communalistes.
Slaviensk, à l'exception de la Barvynie et du Namarov, se considère comme hostile à la Confédération Socialiste du Nazum, bien que Slaviensk reste pacifique à leur égard, elle voit ces nations d'extrême gauche comme des nations antidémocratiques agressives et ne favorisant en rien la stabilité régionale, à l'inverse de ce que devrait être une nation pacifiste et démocratique de gauche.
La Fédération exprime aussi son souhait d'intégrer ou de se rapprocher à terme de l'International Libertaire et de se rapprocher de nations comme le Grand Kah ou l'Estalie. Ce rapprochement voir adhésion à l'international libertaire dépend de la volonté des différentes factions politiques.