31/03/2018
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L’État Suprême de Boryaska

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Création de pays : État Suprême de Boryaska


Généralités :



Nom officiel : État Suprême de Boryaska(Этат Сюпрэм де Боряска)
Nom courant : Boryaska (Боряска)
Gentilé : Boryaskan/Boryaskanne (Боряскан/Борясканнэ)

Inspirations culturelles : Russie et le jeux Beholder
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : Boryaskan(Français en cyrillique + mots russes. Elle est surnommée la langue d’Ulk, Gaëlle Ulk étant un grand auteur boryaskan.)
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Aucune

Drapeau :
Drapeau

Devise officielle : Gloire à notre État Suprême ! (Глуар а нотр Эта Сюпрем !)
Hymne officiel :
Monnaie nationale : Crédit Civique (Креди Сивик) : Ͼ

Capitale : Natsiyagrad (Нацийград)
Population : 21 368 976 habitants


Aperçu du pays :



Présentation du pays :
Les Origines :
Durant l’antiquité jusqu’au 10e siècle les terres montagneuses et forestières traversées par le fleuve nommé Borkya étaient peuplées de tribus semi-nomades à la foi animiste. Les nombreuses tribus se rassemblent tout les trois mois pour parlementer, autour de la colline d’Osvak (traversée par le Borya) qui deviendra rapidement une cité. Prenant compte de la richesse engendrée par la cité d’Osvak pour la tribu Okjavk, plusieurs tribus complexifièrent leurs camps jusqu’à en faire des cités. Le Conseil d’Osvak permit un bon développement de la région, mais les conflits politiques rendaient les tribus instables.

L’Unification :
Au Xe siècle face :
  • Aux pillages des tribus bandits, des tribus nomades non-représentées au Conseil d’Osvak et en profitant pour piller les cités, qui entraînent la chute de tribus isolées;
  • La centralisation économique et politique autour d'Osvak dont seuls les Okjavk profitent. Cela fait émerger un souhait de rejoindre le giron de la cité de la part de la population. Les tribus eux pensent que cela apporterait stabilité, protection, richesse, …;
  • Le prestige des chefs de tribus favorables à l’unification dont Kricha II chef des Okjavk;
  • Et le besoin d’une centralisation politique plus stable que le conseil;
Les tribus vont s’unir en l’entité du Grand-Duché d’Osvak, Grand pour s’affirmer, Duché et non Royaume pour ne pas donner trop de pouvoirs non plus au monarque et d’Osvak pour se rattacher à la cité. Les tribus signeront un traité, le traité d’Osvak pour mettre en place le Grand-Duché, certaines tribus plus à l’est ne signeront pas. Kircha II sera nommé Grand-Duc par le même traité et prendra le pouvoir en main.
L’unification fera abolir les tribus aux profit de la noblesse, le traité d’Osvak donne à chaque chef de tribus signataires la possession d’un territoire distribué selon les positions de son ex-tribus. Pour garantir la stabilité du traité et éviter des sorties, le traité fait en sorte que la noblesse ne paye pas d’impôts et qu’elle reçoit de l’argent de la part de la trésorerie du Grand-Duché en échange d’allégeance.

La Christianisation :
Le XIe siècle fut celui de la christianisation du Grand-Duché et cela se fit à l'origine par la personne d'un individu : Vladimir de Losk dit Saint-Vladimir (de Losk) pour les orthodoxes. Ce comte de la maison des Losk, possesseurs des terres du même nom, est un homme très érudit. Il fit plusieurs voyages aux seins de terres orthodoxes et en revenue avec de multiples textes sur l’orthodoxie comme la bible, des iconographies, des évangiles, des chroniques et des essais théologiques. Depuis bien longtemps le comte avait pour but de créer une Grande Bibliothèque à Myrk(capitale du Comté de Losk) pour tout le Grand-Duché et ses voyages avait pour but de trouver des textes pour son projet, mais il ne s’attendait pas à en revenir changer spirituellement.

Il fit de son rêve une réalité et ouvrit sa bibliothèque où les ouvrages orthodoxes figuraient en pièces maîtresses. Bientôt, toute la noblesse s’arracha ces ouvrages, une grande partie de la noblesse ayant abandonné l’animiste, ils retrouvèrent la spiritualité dans le christianisme. La noblesse fit aussi dans le christianisme une voie d’union dans cette Osvak divisée de Basilev Ier.

Le comte fit de ses plus sages sujets des prêtres, il fit fonder une cathédrale à Myrk est y fit baptiser tout ceux qui le souhaitent. Il envoya ses prêtres prêcher partout dans le Grand-Duché et le peuple se convertit massivement en cette foi concentrée sur la figure preuse de Jésus. Une multitude d’Église furent construites, encore plus de Osvakan furent baptisés et le comte De Losk fut nommé Patriarche de l’Église Osvakanne.

Les nobles et le peuple vont ensuite demander la conversion du Grand-Duc mais il refusera à plusieurs reprises alors c’est une armée composée autant de nobles que de simples paysans qui va en pleine nuit venir forcer la conversion du monarque, mais les assaillants trouveront un monarque sans vie dans son lit, il avait avalé des plantes toxiques, un papier à côté expliquer : ne voulant pas trahir la nature, il la laissa le tuer. La descendance Basilev Ier fut écartée de la succession à cause de la lâcheté de leur père. Le fils adoptif De Losk : Liuslav de Losk fut donc nommé Grand-Duc. La dynastie dirigeante des Okjavk fut abolie au profit de celle des Losk.

La Conquête :
Liuslav Ier de Losk va pendant son règne mettre en place les paramètres qui permettront la conquête : il confirmera les privilèges de la noblesse religieusement actifs (le Grand-Duc est juge de l’investissement religieux), il interdira en homme preux le servage dans les fiefs où il existe, il donnera des pouvoirs institutionnels au patriarche de L’Église Osvakanne et il vassalisera des petites tribus isolés et convertis.

Mais la véritable conquête des terres de l’Est, de l’unification de toutes les terres du Borya ce déroulera plus tard.
    Au 13e siècle sous le règne de Muzhvok Ier de Losk :
  • Le Borya cœur du commerce interne est menacé par les tribus non-christianisées de l’Est;
  • La noblesse chrétienne et enrichie convoite de nouveaux territoires pour : agrandir le leur, affirmer leurs privilèges chrétiens et obtenir de l’influence à la cour ;
  • L’Église, elle veut convertir les tribus orientales païenne et « pacifier » les régions voisines. Les nobles partagent les envies des religieux ;
  • Et la dynastie des Losk, elle veut consolider sa légitimité par la guerre tout comme les états voisins.
Mais tout basculera quand l’Église publiera : « Manifeste pour les frères de l’Est », un texte présentant une enquête sur la vie extrêmement dure des tribus païenne de l’Est du fait de l’inhumanité de leurs dirigeants, ils sera découvert aux 20e siècle par des historiens que les arguments utilisés sont faux et que le Manifeste est un coup bas de l’Église, mais il existe tout de même des traces de souhait chez les populations de l’Est de rejoindre le Grand-Duché. Le texte provoquera des mouvements d’indignation du Grand-Duc au petit paysan à qui leur prêtre a fait la lecture du texte.

Des rumeurs circulent sur le fait que le Grand-Duc lève les armées, alors les garnisons des fiefs reçurent un grand nombre de paysans orthodoxes voulant rejoindre l’armée en quête de rédemptions orthodoxes et de nouvelles vies. Les nobles débordées décident de lever leurs armées gonflées par les volontaires, mais le monarque n’a en fait rien déclaré alors il décide de rendre officielles les conquêtes à l’Est, mais les repousse à trois mois pour entraîner les nouveaux soldats et planifier la conquête. Le monarque s’alliera avec les tribus de l’Est voulant rejoindre le Grand-Duché et la conquête démarra, toutes les armées du Grand-Duché traversèrent la frontière dirigée par le monarque et pendant 5 ans et demi : conquis l’Est.

Résultat : le territoire du Grand-Duché prit possession de toutes ses terres actuelles à l’exception du Sud-est, les terres conquises furent distribuées aux nobles participants à l’expédition, à quelques militaires (Karv Gorsk, Saint-Jarv, Hoelk Halb) s’étant grandement démarqué et aux chefs des tribus de l’Est s’étant allié avec le Grand-Duché.

Après le traité de Fask (ville renommée Jarv puis Saint-Jarv à la mort de celui-ci) qui officialise la défaite et qui rattache l’Est au Grand-Duché, l’armée rentre à l’Ouest, elle met 6 mois. Lors de la guerre, Muzhvok Ier était décédé son fils Valdivka Ier de Losk doit hériter du pouvoir à 22 ans. En rentrant à Osvak, il se fait couronner et sacrer. Lors de son couronnement, il fit baptiser les nouveaux nobles d’origine païenne mais il y a déclara aussi la formation de la : Grande-Principauté de Boryaska et se titra Grand-Prince.

Renforcement des pouvoirs :
Depuis le règne du fils de Valdivka Ier, les Boryaskan convoitent le sud-est de la Boryaska actuelle, cette zone avait échappé à la conquête grâce aux batailles qui ont éloigné les armées de l’ex-Grand-Duché. Malheureusement pour les ambitions conquérantes des Boryaskan, le peuple du Sud-est, se sont formée en État : L’Union du Sud peu après la Conquête. Mais en 1584, l’Union est instable : les tribus membres en désaccord se sont déclarés la guerre, la Grande-Principauté était dirigée à cette époque par le Grand-Prince Valdimik IIe avide de grandeur. Répondant à son avidité de conquête qu’il partage avec son peuple, il leva les armées et assiégea l’Union, elle fut conquise l’année suivante.

Mais le Grand-Prince avait une idée derrière la tête, la conquête devait lui servir à légitimer son règne pour récupérer plus de pouvoir. Il répéta ce que son ancêtre Valdivka Ier avait fait, mais avec de paramètres en plus. Il rentra à Osvak avec son armée en traînant les vaincues enchaîner, à la capitale, il entra dans la grande Cathédrale non pour ce faire sacrer, mais pour déclarer : la fondation du Tsarat de Boryaska.

Dans une cérémonie grandiose, il se nomma Tsar et changea radicalement le système du pays : un système centralisé est mis en place, la noblesse est soumise, la paysannerie écrasée d’impôt et le système militaire est revue pour leurs donner plus de pouvoirs.

Cette centralisation va permettre au régime de rester en place malgré : la guerre de succession, la révolte paysanne à Risanokv en 1659 contre la réintroduction du servage, la peste du Boryak en 1667, … jusqu’à l’industrialisation.

La Révolution :
Après des siècles de Tsarat le Boryaska à grandement changer. Au 18e siècle, les Tsar sont de plus en plus autoritaires, l’Église soumise aux Tsar, c’est écarté du peuple, la noblesse vit dans la richesse extrême quand les paysans et la classe ouvrière vivent dans l’extrême pauvreté et l’armée oppresse. L’industrialisation du pays est en retard et les tentatives de modernisation coûtent cher, mais c’est le peuple qui en paie le prix.

Le 7 septembre 1867, le Tsar Yvanevk IIIe ordonne la construction de plusieurs zones industrielles, des dizaines de milliers des paysans sont mobilisés dans tout le pays. Dans plusieurs régions, l’absence de paysans va amener à la famine. Rapidement : les mobilisés et les affamés font se soulever alors le Tsar va dans toutes les régions soulever lever l’armée et augmenter l’impôt pour payer les soldats. Les révoltés vont être battus, mais la lutte à amené : la non-construction des usines, le réveil du peuple, l’affaiblissement de l’économie et la famine subsiste.

17 ans plus tard, deux factions révolutionnaires, se sont bien développé :
  • La Société Secrète du Peuple : organisation clandestine de paysans et ouvriers instruits, de prêtres progressistes et de bourgeois populaires. Ils dominent les milieux industriels et les territoires affamés. La Société veut : la fin du servage, le retour à un régime décentralisé au pire ou l’instauration démocratique au mieux, l’abolition des privilèges de la noblesse, la sûreté des rémunérations,… Elle est menée par des leaders comme : Fabrevk Grelk : paysans, Homerv Farv : ouvrier, Saint-Torivk : prêtre et Jeanovk Halbk. Elle est notamment soutenue par le grand auteur boryaskan : Gaëlle Ulk (1862-1936).
  • Le Grand Cercle des Officiers Modernistes : organisation officielle composée de militaires fascinées par les idées occidentale, mais également de bourgeois et de noble eux aussi éclairés. Ils dominent les milieux intellectuels. On nomme leurs membres : les Officiers chacun d’eux sont classées dans la hiérarchie interne par un titre militaire. Les buts du Grand Cercle sont : la limitation des pouvoirs du Tsar, l’écriture d’une constitution, la mise en place d’un ou plusieurs parlements et la nomination d’un nouveau Tsar. Mais plusieurs mouvements existent en son sein, dont un républicain qui va influencer la SSP. Les écrits populaires d'Ulk(Ulk est un ancien du Grand Cercle.) influencent beaucoup le Grand Cercle, dont les républicains.

  • Toujours en 1884, Gaëlle Ulk publie « Ode à la République », un essai dont le but est de présenter le concept républicain, le livre fera un carton, les idées républicaines se propageront à la Société et au Grand-Cerle. Les idées républicaines deviendront majoritaires. En janvier 1885, le Tsar commence la construction d’un nouveau palais et pour le financer, il augmente les impôts, la colère gronde, les membres de la SSP font grève et manifeste, ce qui illégal, les soldats ouvriront le feu. Le SSP, appel donc à un mouvement de désobéissance généralisée, les villages et les villes sont mis à feu. Le Grand-Cercle maintenant majoritairement républicain soutient le SSP, les garnisons composées des officiers du Grand-Cerle rejoignent la révolte. La guerre civile durera deux ans et le 24 décembre 1887 en plein hiver boryaskan, le Tsar abdique. La République de Boryaska est mise en place.

La République :
Suite à l’abdication du Tsar, un organe collégial est mis au pouvoir : le Comité Dirigeant de la République. Une Assemblée Constituante est fondée. Résultat en mai 1888 : la constitution met en place : le Comité Dirigeant de la République pour l’exécutif national, des Assemblée sont mise en place pour la législative, la justice de chaque district et pour chaque district il y a une Chambre d’Application des préfecture, mais avec des responsables élues.

La République : abolira le servage, sépara l’Église et l’État, réformera l’armée, industrialisera le pays, … Mais tout au long de son histoire, la République est instable : les oppositions entre les idéologies entre républicain modéré, radical et militariste rend les prises de décision impossible, la corruption était devenue omniprésente au Comité : le pouvoir devient oligarchique et une crise économique éclate.
La population est frustrée, elle regrette un régime plus autoritaire et stable.

Le coup d’état :
Cette république instable et corrompue au Conseil paralysé, dans laquelle le peuple se sent trahi et en colère, les militaires humiliés et les élites instables, est fracturé.

L’armée voit une nouvelle génération d’officiers née, issus des classe populaires elle n’est pas moins attachée aux idées totalitaires, qui humiliés par la faiblesse de la république, naissent en marge des idées fade des républicain et des vielles idées monarchistes. Cette génération militaire va être à l’origine d’un mouvement : la Ligue Nationale, leur seul mot d’ordre : « Sauver la Boryaska par l’ordre ». La Ligue est menée par le Général Mickolv Tornav. Le mouvement deviendra au fils des ans important au sein de l’armée tout comme chez les civils.

C’est le 22 février 1931 que tout bascule : la Ligue par l’armée coupe les lignes de communication, désarme la garde républicaine, arrête le Comités Dirigeants en séance nocturne, arrête les membres de partis et institutions républicaines puis prend le pouvoir. Il déclare au peuple la chute de la république, la prise de relais de l’armée et la formation d’un gouvernement provisoire.

L’État Suprême :
Le gouvernement provisoire dura

Mentalité de la population :
Les Boryaskan est un peuple avec une mentalité que l’on peut nommer comme étrange. Voici ce qu’il faut comprendre :
  • Une majorité de la population montre une attitude loyal à l’État en respectant la loi, en obéissant aux fonctionnaires, en participant aux cérémonies,… certains le font par survies et d’autres par véritable loyauté. Les tout jeunes apprennent que « celui qui se démarque disparaît ». Malgres cela les jeunes adultes voit émerger un souhait d’émancipation, de libertés, de voyage et de justice (ces désirs révolutionnaires existent depuis bien longtemps).

  • Depuis la révolution et l’instauration des observateurs civiles, les Boryaskan développent une culture de la paranoïa, on ne parle jamais librement, dans certaines familles on surveille aussi ces mots, les amitiés véritables sont rares et souvent clandestines.

  • Les Boryaskan endurent la difficulté comme culture, les loyalistes pensent que le regime est méritocrate donc endurent, les citoyens neutres prenant compte des instabilités passées pensent que « le pouvoir change, les problèmes restent »M Un contraste évolue, les non-loyaliste banale craignent le régime, méprisé les abus mais le considèrent comme inévitable. Cette culture de non-protestations ce retrouve aussi chez les révolutionnaire qui oui protestent mais ne ce plaignent pas : ils combattent. Dans la culture populaire Boryaska il existe une citation populaire plus vieille que la révolution : « Ici on survit, mais la vie reste, c’est notre Boryaska. »

  • Malgré le régime et la paranoïa, dans les villages, les habitants, même sans être rebelles, s’entraident loin des observateurs. Les tradition restent.

  • Chez la population, même révolutionnaire, un amour de la Boryaska subsiste. La population fait la différence entre : la Boryaska Éternelle celle de la culture, celle du territoire et celle de la langue; et l’État Suprême le régime qui oppresse. Officiellement c’est la même chose, officieusement : non.

  • La clandestinité devient un peu une partie de la culture : écriture clandestine, réunion secrètes, humoriste anonyme et petite résistances quotidiennes(mensonges, cacher un livre, aider un voisin,…). Tout une culture qui nourrit les B.R.U.M.E.

  • La mentalité d’un Boryaskan commun est donc : endurant, travailleur, fidèle à ses idées,…(A noté, les Boryaskan ne s’attachent pas à une idéologie mais à un concept qu’il pensent idéal. Pourquoi ? Principalement à cause de l’incapacité des ideologiste républicain)


Place de la religion dans l'État et la société :
L’État dit officiellement adhérer à la religion des Boryaskan, rien d’autres n’est préciser, officieusement, c’est le culte de la nation. La majorité (51%) du peuple adhère à ce culte athée et 19% sont athée croire adhérer au culte national. Il existe tout de même une minorité orthodoxe (28%) héritée des temps monarchistes, cette minorité n’est pas interdite ni oppressée par le régime mais cela ne serait tarder…


Politique et institutions :



Institutions politiques :
Directeur Suprême (Дирэктёр Сюпрэм) : Chef absolu même total de l’état, il concentre tout les pouvoirs. Il a sous sa supervision personnelle l’Inspection Suprême, une police politique suprême. Le Directeur Suprême est nommé par son prédécesseur.

Observateurs Suprêmes (Обсерватёр Сюпрем) : Les 11 membre du Conseil des Observateurs Suprême sont les yeux et les mains du Directeur Suprême, ces lui même qui les nomme. Au quotidien se sont eux qui gèrent le pays aux quotidiens. Ils supervisent toutes les grandes sphères, peuvent arrêter n’importe qui qu’importe son rang, inspecter sans prévenir une institution, donner des ordres exécutoires, faire appliquer les décrets du directeur, dissoudre toute une administration,… En plus de la police politique de base, ils dirigent la police politique dit Garde d’État avec le ministère de l’Ordre.

Les Ministères : Nommés par le directeur, ils sont le cœur de l’administratif. Les ministres sont tous à la têtes d’un ministère avec des centres de pouvoirs différents. Les ministères dirigent tout les fonctionnaires et sont en pleins centre de la vie de chaque Boryaskan. C’est en leurs seins que les Boryaskan évolue dans la hiérarchie sociale ou pas.

L’Inspection Suprême (Л‘Инспексьон Сюпрем) : L’Inspection Suprême est la police politique personnelle du Directeur, la présence d’un Inspecteur fait trembler n’importe quelle Boryaskan, Observateur Suprême et ministre compris. L’Inspection peut juger, condamner, arrêter, exécuter,… n’importe qui avec la délégation du Directeur.

La Garde d’État (Ла Гард д’Эта) : La Garde d’État est la police politique du Boryaska, elle est dirigée par les Observateurs Suprême et le ministère de l’Ordre. Contrairement à l’Inspection, elle doit attendre des ordre pour juger, condamner, arrêter, exécuter,… Ils gèrent toutes les affaires non-civile comme l’arrestation de fonctionnaires, le contrôle, la torture,…

Corps de Sécurité Civile (Кор де Секюрите Сивиль) : La CSC ou KCC est la police civile de l’État, c’est elle qui a proximité de la population s’occupe des affaires civiles et appelle la Garde si besoin, c’est elle qui est envoyé faire du repérage pour la Garde (fouille, interrogatoire,…).

Observateurs (Обзерватёр) : Les observateurs sont des civile rémunérés activement par l’état pour surveiller leurs voisinage, connaissances,…

Parlement de justice (Парлеман де жюстис) : Les Parlements de justice sont l’institution permettant le jugement d’un individu quand ce jugement n’a pas été appliqué par un Inspecteur, un Ministre ou tout autres hauts fonctionnaires. Chaque district (région) dispose d’un parlement. Chaque parlement est composé : d’un Président du Parlement chargé de diriger le procès, de trois Commisaires de Procès qui représentent l’état et tiennent le rôle de procureur, deux à sept Juges du parlement qui interrogent les accusés et témoins pour ensuite prononcer la sentence et de 15 à 50 jurés chargés de trancher lors d’un désaccord. A noter que chaque membre du parlement, du président au jurés, sont nommés par les hauts fonctionnaires.

Principaux personnages :
Sasha Ofdrovk (Саша Офдровк) : Ofdrovk est le Directeur Suprême depuis 1989.

Yvan Yelenov (Иван Еленов) : Inspecteur de l’Inspection Suprême(<-secret) et Ministre en second du ministère de l’Ordre.

Pavel Lebedevk (Павел Лебедевк) : Ministre de l’Ordre Extérieur (affaires étrangères).

Karl Farkovn (Карл Фарковн) : Karl Farkovn n’est pas un personnage important au seins de la Boryaska mais ce fonctionnaire sera utilisé dans les rp pour présenter la vie des banales citoyens boryaskan.

Les Skalv (Скалв) : Les Skalv sont une famille modeste boryaskan dont les traces remontent à l’antiquité. Leurs différents membres seront utilisés pour les rp historiques servent à retracer la vie d’un banal boryaskan lors d’une période/événement différents.

Politique internationale :
La politique internationale de l’État Suprême est limitée mais le Directeur Suprême a décrété, il y a peu, la réouverture des voies commerciales (seulement pour l’État, les citoyens n’ont toujours pas le droit de posséder d’objets étrangers) et diplomatiques.

Les B.R.U.M.E eux par contre comptent beaucoup sur l’extérieur pour survivre et résister.
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