31/03/2018
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MINISTÈRE DU TOURISME DE LA RÉPUBLIQUE DU TALARISTAN • ТАЛАРИСТАН РЕСПУБЛИКАСЫ ТУРИЗМ МИНИСТРЛЫГЫ


Bien loin dans l'Est du continent de Nazum, ce dessine un pays dans le golfe de Moritonie : le Talaristan, pays des talars orientaux, séduit les voyageurs en quête d’authenticité, de paysages grandioses et de traditions millénaires. Entre sommets enneigés, cités anciennes et vallées verdoyantes, cette nation puissante, saine et acceuillante offre un dépaysement total dès les premiers instants.

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De gauche à droite : femmes talars en tenue traditionnelle • La capitale, la ville nouvelle de Khydan • Le lac münüz, niché dans le massif des Monts Sikurzoï

Dans cette brochure édité par le Bureau pour le développement du Tourisme, rattaché au Ministère du Tourisme de la République du Talaristan, nous allons vous faire une brève présentation de notre beau pays, avec son histoire, ses traditions mais aussi la richesse de sa diversitée culturelle et ses lieux mémorables.

SOMMAIRE


I. Présentation générale
II. Régions et lieux incontournables
III. Culture et gastronomie
IV. Activités et expériences
V. Informations pratiques

Laissez-nous dès maintenant vous faire découvrir le pays des turcs blancs : le Talaristan !
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I. Présentation générale

Le Talaristan, pays des turcs blancs


Le Talaristan (en talar : Таларстан / Talarstan) ou Talarstan, ou dans sa forme longue et officielle la République du Talaristan (en talar : Таларстан Җөмһүрияте / Talarstan Cömhüriyäte) est un État indépendant et souverain située dans la partie orientale de l'hémisphère Nord du continent de Nazum. Ayant une façade maritime par le Golfe de Moritonie, le pays compte trois grandes villes : Buzkent - la ville la plus peuplé -, Alnur et Khydan, cette dernière étant la capitale. Le Talaristan fait partie des grandes nations turciques du Nazum du Nord, dans le Kyrkuzaï.
Le drapeau national et le sceau d'État (armoiries) de la République du Talaristan.
Le drapeau national et le sceau d'État (armoiries) de la République du Talaristan.


Le Talaristan, le pays des turcs blancs ? Le Talaristan doit son surnom de « Pays des Turcs blancs » non pas à une question de couleur de peau, mais à ses traditions : dans les anciennes légendes talars, le blanc revêt systématiquement une signification sacrée, symbolisant à la fois la pureté, l’honneur et la moralité, des valeurs essentielles pour le peuple talar. Au fil de l’histoire, la plupart des confédérations et khanats, et même aujourd’hui, ont utilisé le drapeau blanc, symbole vivant des traditions de notre peuple. Par métonymie, le Talaristan, terre turcique des Talars, est ainsi devenu le pays des Turcs blancs.
L’histoire du Talaristan en tant que nation unifiée est relativement récente. De tout temps, les vastes plaines, steppes et collines du territoire ont été habitées par des populations semi-nomades, organisées en tribus et parfois fédérées en clans. À partir du Moyen Âge, le développement culturel des habitants de la région engendre les premières différenciations entre les peuples, dont les Talars, qui fondent à plusieurs reprises des confédérations ou khanats éphémères, presque toujours sous l'autorité du Grand Khanganat moritan qui domine la région. L’apparition de la foi bogd, prêchée par un « éveillé » nommé Bogd, au XVe siècle, constitue un fait marquant du Talaristan pré-unitaire. Ce n’est qu’à la fin du XVIIe siècle que le Talaristan commence à s’unir sous la conduite d’Alp Nurhadi Khan et de son Empire talar, qui parvient à se maintenir difficilement jusqu’à la fin du XIXe siècle. La transition vers un gouvernement républicain s’est faite sans heurts majeurs, mais l’instabilité qui en découle entraîne des conflits locaux violents, qui perdureront jusqu’à l’éclatement de deux guerres civiles : l’une dans les années 1940 et la seconde dans les années 1970. Très violente, cette dernière guerre, qui dure plus de dix ans, voit l’implication d’acteurs internationaux et régionaux ainsi que la naissance de bandes armées écumant les campagnes. La création de la « Coalition nationale unie », menée par le colonel Mirza Arsam, conduit finalement à la défaite du « Front de salut national ». Par la suite, Mirza Arsam est élu président de la République par une large partie de la population et se maintient, encore aujourd’hui, à la tête du pays après plus de trente années de présidence marqué par la paix et l'unité.
Économiquement, la République du Talaristan a longtemps cherché sa voie entre le libéralisme et l’étatisme, et traverse actuellement une phase de transition de la seconde vers la première. En termes de secteurs d’activité, le pays est très actif dans les secteurs primaire et secondaire : il dispose d’importantes réserves naturelles de pétrole, de gaz et de minerais. Le secteur tertiaire, quasiment inexistant jusqu’au début des années 2000, est en plein essor, stimulé par des politiques gouvernementales visant à développer le tourisme. Sa monnaie nationale est le Manka (en talar : Mанка, code MK), qui a une valeur relativement faible malgré un produit intérieur brut de 535 milliards de dollars internationaux au début de l’année 2018.
Des jeunes filles des diverses ethnies turciques du Talaristan dans leur tenue traditionnelle, Marché au Tapis de Täräqçan.
Des jeunes filles de diverses ethnies turciques du Talaristan dans leur tenue traditionnelle, Marché au Tapis de Täräqçan.


Le Talaristan est majoritairement peuplé par les Talars — qui ont donné leur nom au pays — une ethnie turcique qui domine la vie politique et culturelle du pays. Néanmoins, le Talaristan reste une nation multiethnique et pluriconfessionnelle : les minorités ethniques et religieuses, dont le statut est protégé par la Constitution, représentent environ 20 % de la population, soit 1 000 000 d’habitants. Différents par leurs origines, leurs histoires et leurs cultures, les peuples du Talaristan sont toutefois désormais rassemblés au sein d’une même nation, sous un même drapeau et autour d’une devise qui résume la pensée politique de l’État : Халыкның көче (Xalıknıñ köçe — « La force du peuple est dans l’unité »).
Le Bogdisme, ou Bogd, est la confession d’une grande majorité de la population (environ 80 %) et demeure encore aujourd’hui particulièrement liée à l’ethnie des Talars, au point d’être parfois présenté comme une religion ethnique. Cette religion, dont les dates d’apparition exacte ne sont pas connus mais qui se situe au alentour du XVe siècle, repose principalement sur une forme de chamanisme accordant une place centrale à la nature et à la vie, dans laquelle l’âme de chaque humain doit se laisser entraîner pour trouver sa place dans un flux naturel continu. Outre la foi bogd, le Talaristan compte plusieurs religions abrahamiques, telles que le christianisme, l’islam ou le judaïsme, ainsi que d’autres religions orientales. De nos jours, les tensions confessionnelles se sont considérablement apaisées grâce à la politique intérieure de l’État, et les courants extrémistes, bien qu’encore existants, constituent une minorité strictement surveillée par le gouvernement.
Avec une superficie de 373 881 km² pour environ 5 000 000 d’habitants (données démographiques au 1er janvier 2018), le pays a une densité d’environ 13,37 habitants par kilomètre carré (km²), ce qui en fait un pays relativement peu peuplé. La majorité de la population se situe dans les deux grands centres urbains de la côte du Golfe de Moritonie : Buzkent, le principal port du pays, et Alnur, la grande cité balnéaire.
Le palais présidentiel de Khydan, siège de la présidence de la République et du gouvernement du Talaristan.
Le palais présidentiel de Khydan, siège de la présidence de la République et du gouvernement du Talaristan (vue d'artiste) .


Politiquement, le Talaristan est une république multipartite à régime semi-présidentiel, dont le fonctionnement est défini par sa Constitution. Le président de la République, chef de l’État, partage une partie du pouvoir exécutif avec le Premier ministre et son cabinet. Le pouvoir législatif est exercé par l’Assemblée suprême, tandis que les juridictions de l’ordre judiciaire sont réparties entre la Cour constitutionnelle et la Cour suprême, cette dernière représentant le sommet de la hiérarchie des cours judiciaires talars.
Si la situation du Talaristan était encore précaire il y a quelques années, elle est aujourd’hui très favorable au tourisme et à l’investissement. La politique de cohésion nationale et d’apaisement social menée par notre président, Mirza Arsam, a été un franc succès, et le peuple talar — rassemblant toutes les ethnies et confessions — vit une période de paix, de stabilité et de prospérité sans égale dans son histoire.

Certains en savent trop...En dépit de son apparence démocratique, avec un fonctionnement assez régulier de ses institutions et la présence de parti d'opposition, le Talaristan n'en reste pas moins un régime autoritaire, ou le président de la République Mirza Arsam est une figure presque incontestable. L'opposition est muselé et la plupart des journaux et médias, privés ou publiques, sont aux ordres de l'État.
La libéralisation économique entreprise par le pouvoir politique ne s’est pas accompagnée d’une libéralisation sociale : le pays demeure très conservateur et replié sur ses principes, ainsi que sur la mise en valeur constante de ses traditions et de son histoire. De plus, la libéralisation du pays a entraîné une augmentation exponentielle de la corruption à presque tous les échelons.
Sa politique de « cohésion nationale et de paix sociale », mis en place dès la fin de la seconde guerre civile, est plus une imposition qu'un réel choix : ses divers forces de sécurité (police, forces armées ou agents du MiM) veille à ce que les forces politiques et religieuses restent strictement dans le cadre légal minimum que leur impose l'État. En interne, les tensions religieuses et intercommunautaires restent très vivaces, mais ne sont pas exposées au grand jour par peur des représailles des agents d'Arsam. La paix ainsi mis en place est plus une « cohésion de façace » qu'une réelle harmonie entre les peuples du Talaristan.
Le pays tient toutefois à conserver sa façade républicaine et démocratique : les élections ont lieu régulièrement et, si les plus hautes sphères du pouvoir sont inaccessibles, un certain degré de liberté politique existe dans les campagnes. Le gouvernement a également mis en place plusieurs programmes d’aides sociales ainsi que des dispositifs d’accès à l’éducation et à la culture. L’État veille aussi au respect de la culture des peuples qui composent l’ensemble national et interdit toute forme de discrimination raciale ou confessionnelle. Outre cela, certains droits élémentaires sont également correctement observés, du moins tant que personne ne crit « Dehors Arsam ! »...

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II. Régions et lieux incontournables

Le Talaristan, terre de désert, de steppe et de montagne


Le Talaristan s’étend dans l’Orient d’un vaste territoire continental dominé par de larges steppes, des massifs montagneux et des zones désertiques ou semi-désertiques. Le Nazum du Nord, que les peuples turciques et steppiques nomment Kyrkuzaï, a toujours été une importante zone de migration humaine et animale, façonnée à la fois par sa géographie et par les cultures centre-nauméennes. En raison de sa situation stratégique, le territoire talar constitue un espace de transition entre les populations turciques et steppiques du Nord et celles d’Asie du Centre-Nazum, ce qui a contribué à forger une grande diversité culturelle parmi les habitants du Talaristan.

Le pays des Talars orientaux bénéficie de plusieurs frontières naturelles, qui ont toujours influencé l’aménagement de son territoire et son développement. Au Sud, le massif montagneux des monts Sikurzoï sépare le Talaristan des pays du centre-Nazum. Au Nord, la chaîne des Qajran forme une barrière naturelle, tandis qu’à l’Est, le golfe de Moritonie constitue son unique accès à la mer. Traversé par de nombreux fleuves et rivières — dont les deux principaux sont l’Aldari et l’Urzhan —, le pays reste cependant relativement sec. Les zones semi-arides dominent à l’Ouest et au Nord, tandis que la steppe et des plaines fertiles s’étendent au Sud et à l’Est.
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Une yourte typique commune à plusieurs peuples du Talaristan, photographie prise dans le Chulgar en 2012.


Talaristan… Terre de désert ? Pas tout à fait ! Bien que notre brochure s’intitule « Le Talaristan, terre de désert […] », les zones véritablement désertiques ne couvrent en réalité qu’une petite partie du territoire national. Les déserts de Talgash et de Burak-Çölü dans le Chulgar comptent parmi les plus grands du pays, mais ils restent modestes à l’échelle continentale et très localisés. En revanche, les zones semi-désertiques sont souvent appelées — à tort — « déserts ». Elles couvrent une partie importante de l’Ouest, du Centre et du Nord du Talaristan. En bordure de ces régions semi-désertiques (ou semi-arides), on trouve des steppes et des plaines, mieux adaptées à l’élevage et, dans une moindre mesure, à l’agriculture.[/justify]
Le mode de vie pastoral et nomade, encore présent chez certaines minorités ethniques, fait qu’en dépit de sa faible population, le Talaristan ne possède pas de territoire totalement inhabité. Même les zones désertiques sont parcourues par des routes et empruntées, du moins en périphérie, par certaines populations. Depuis la création de la garde nationale au sein des forces auxiliaires, les vastes régions autrefois sauvages du Talaristan disposent toutes d’au moins un poste d’agents de l’État chargé de veiller au maintien de la paix. Voyagez donc l’esprit tranquille : le gouvernement veille sur vous.
De par son passé civilisationnel, le territoire talar dispose d’un riche héritage historique et archéologique. La cité fortifiée d’Akşor fut, durant plusieurs siècles, une prospère cité commerçante située dans les terres de l’Ülmara. Centre du pouvoir politique de divers clans et khanats qui se succédèrent au fil de l’histoire talar, elle fut progressivement abandonnée dès la fin du XVIIᵉ siècle au profit des villes côtières, dont la future grande ville balnéaire d’Alnur. À l’écart des nombreux conflits qui ont marqué notre histoire, la cité d’Akşor brille encore aujourd’hui par son architecture typique de la région, offrant une trace inoubliable d’un passé préservé. D’autres lieux culturels méritent également d’être visités, comme les monastères orthodoxes en ruines des monts Sikurzoï ou les nombreux villages traditionnels du Chulgar, qui offrent à leurs visiteurs une expérience immersive et authentique.

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Le Talaristan regorge également de trésors naturels. Outre le célèbre lac Münüz, situé dans le massif des Monts Sikurzoï à la frontière Sud, réputé pour la beauté de ses hauteurs et les paysages majestueux qui coiffent ses impressionnantes montagnes, on peut également citer les célèbres oasis du désert de Burak-Çölü, des sources chaudes entourées de plantes endémiques de la région. En explorant la vaste steppe qui couvre une grande partie du pays, l’herboriste pourra apercevoir des Yıldızgül, fleurs rares qui n’éclosent qu’une fois tous les sept ans et utilisées dans des rituels traditionnels. Pour les amateurs de mythes et de légendes, il faut se rendre sur les bords du fleuve Aldari, où les textes anciens parlent de mystérieux poissons aux écailles d’or, attirant des voyageurs venus du monde entier depuis des siècles.
D'un point de vue plus administratif, le Talaristan est découpé en quatre provinces, qui sont nommés par les talars Ulus. Chaque Ulus est à son tour découpée en Sürgälär (au singulier : Sürgä) et qui sont l'équivalent des districts. Les municipalités, formée par une ville ou plusieurs villages constituent l'échellon le plus petit des subdivisions territoriales. Bien que fortement centralisé, chaque partie du système administratif à son rôle, son administration et ses institutions. Depuis plusieurs années, le gouvernement cherche notament à renforcer le rôle des conseils de Sürgä, notament dans leurs missions d'arbitrages de litige à caractère coutumier.
Des zones semi-désertiques et désertiques du Chulgar aux rives prisées des touristes des côtes d'Ülmara et de Sarnuqar, en passant par les zones montagneuses de l'Aşmuraq, le Talaristan présente une géographique varié qui offre aux aventuriers un large choix de découverte de lieux et de paysage mémorables.

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III. Culture et gastronomie

Le Talaristan, culture vivante et saveurs authentiques


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Un jeune enfant talar en tenue traditionnelle, avec le telpek hivernal.

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IV. Activités et expériences

Le Talaristan, entre nature et émotions


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V. Informations pratiques

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