💠UML - Présentation, Convention générale et demandes d'adhésions

UNION MONDIALE LIBÉRALE
« Le libéralisme défend la primauté de la liberté individuelle, l’État de droit et l’économie de marché,
afin de garantir à chacun l’autonomie et les moyens de poursuivre ses propres choix de vie. »

PRÉSENTATION
L'Union mondiale libérale (ou UML) est une organisation internationale qui à pour objectif de regrouper l'ensemble des partis politiques se réclamant du libéralisme afin de les fédérés au sein d'une même association pour en assurez la représentation et la promotion des idées libérales.
L'Union mondiale libérale à pour objectif de promouvoir l’acceptation universelle des principes libéraux (liberté individuelle, responsabilité personnelle, démocratie, État de droit, égalité des genres et justice sociale), de défendre et faire progresser les droits de l’Homme, les libertés fondamentales (liberté d’opinion, de réunion, d’expression, de conscience, etc.), la dignité humaine, et garantir le respect des minorités, et enfin d'appuyer et soutenir les sociétés libres, ouvertes et indépendante.

CONVENTION GÉNÉRALE DE l'UNION MONDIALE LIBÉRALEVersion officielle, traduit pour l'usage internationale en date du 16 mars 2018

Afin d'assurez la conduite de ses objectifs, le rassemblement des partis libéraux et le bon fonctionnement de son organisation interne, l'Union mondiale libérale décrète la présente convention générale, qui dois être acceptez par tout parti souhaitant adhérez à l'Union mondiale libérale.
Article I.

Est éligible au statut de parti membre de l'Union mondiale libérale tout parti politique assurant la promotion du libéralisme et des idées libérales :

• la liberté individuelle ;
• l'État de droit ;
• la démocratie ;
• l'Économie de marché ;
• La tolérance et égalité des droits.

Est éligible au statut de parti observateur de l'Union mondiale libérale tout parti sympathisant de l'idéologie libérale ou de ses principes fondamentaux.
Article II.

Le statut de parti membre de l'Union mondiale libérale est définitif, sauf volonter explicite du parti concerné de se retirer de l'Union mondiale libérale.
Tout les partis membres de l'Union mondiale libérale participent au fonctionnement de ses institutions que sont le congrès général et le secrétariat général.
Tout les partis membres de l'Union mondiale libérale bénéficie tous d'un droit de vote qui ne peux leur être interdit sous d'autre condition que celle défini par la présente charte.
Article III.

Le statut de parti observateur de l'Union mondiale libérale est temporaire, défini par un mandat de 6 mois reconductibles sans limites.
Tout les partis observateurs de l'Union mondiale libérale dispose du droit de siéger à l'ensemble des réunions du congrès général et de participer aux sommets internationaux de l'Union mondiale libérale.
Tout les partis observateurs de l'Union mondiale libérale ne disposent pas du droit de vote.
Article IV.

Tout les partis membres de l'Union mondiale libérale sont égaux dans leur traitement et dispose pleinement de leur liberté individuelle dans leurs cadres nationales respectifs.
Article V.

Les institutions de l'Union mondiale libérale sont :

• Le secrétariat général, en charge de l'administration et de la représentation internationale de l'Union mondiale libérale ;
• Le congrès général, rassemblant les représentants élus ou choisis par l'ensemble des partis membres ou observateurs.

Article VI.

Le secrétariat général de l'Union mondiale libérale est présidé par un secrétaire général, élu par le congrès général pour un mandat d'un an reconductible sans limite de mandat.
Article VII.

Le congrès général dispose des prérogatives suivantes, en tant qu'organe législatif de l'Union mondiale libérale :

• Fixer les grandes orientations de politiques générales de l'organisation ;
• Adopter des résolutions de principe ;
• Accueillir ou rejeter l’affiliation de nouveaux membres ;
• Assurez l'organisation des sommets internationaux de l'organisation ;
• Modifier les articles et les statuts de la présente convention générale.

Le congrès général est présidé, lors de ses réunions, par le secrétaire général.
Article VIII.

Tout les partis membres de l'Union mondiale libérale dispose du droit d'organiser des sommets internationaux de l'Union mondiale libérale sur un thème défini, qui devra être validez par le congrès général de l'organisation.
Le parti hôte devra veillez au bonne acceuil de l'ensemble des délégations des partis politiques et à la bonne tenue du sommet.
Article IX.

L'ensemble des partis politiques, membres ou observateurs, s'engagent à suivre les règlements internes de l'organisation et les articles de la présente convention générale.
Tout parti politique, membre ou observateur ne respectant par les principes généraux de l'organisation ou les closes de la présentes conventions, peut être exclu de l'Union mondiale libérale par un vote à la majorité simple.
Le parti exclu ne pourra plus déposer de dossier de candidature avant un délais de 3 mois.
Article X.

En conformité avec les précédents articles, toute modification de la présente onvention générale devra être faite par le congrès général de l'organisation, avec un vote devant receuillir le 3/4 des voix.

DOSSIER D'ADHÉSION

Formulaire d'adhésion à l'UML
[u][b]État :[/b][/u]
[u][b]Nom officiel du parti :[/b][/u]
[u][b]Autre nom du parti :[/b][/u] (Abréviation ?)
[u][b]Nom du responsable du parti :[/b][/u]
[u][b]Type d'adhésion :[/b][/u] (membre ou observateur ? à justifier.)
[u][b]Positionnement :[/b][/u] (Exemple : centre, centre-droite, droite, etc.)
[u][b]Idéologie :[/b][/u]
[list][*](Exemple : Libéralisme économique)
[*] (Exemple : Nationalisme)
[*] (Exemple : Conservatisme social)[/list]

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[u][b]Positionnement dans le paysage politique national :[/b][/u] (minoritaire ? majoritaire ? en coalition ? etc.)
[u][b]Autres informations :[/b][/u] (Histoire du parti ? Scandales ou affaires politiques ? etc.)
Si une page parle directement de votre parti, n'hésitez pas à le mettre en lien.

État : République Fédérale de Tanska
Nom officiel du parti : Parti Fédéral
Autre nom du parti : PF
Nom du responsable du parti : Jaka Lakkas (présidente du parti)
Type d'adhésion : Membre
Positionnement : centre-droit
Idéologie :

• Fédéralisme
• Libéralisme économique
• Social libéralisme
• Onédisme (favorable à l'OND)
• Promotion des droits humains

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Positionnement dans le paysage politique national : Le Parti Fédéral est à la tête de la coalition gouvernement du même nom. Le parti regroupe 138 sièges au Congrès Fédéral tanskien, la coalition en contient 211 sur 201 nécessaire. La présidente du parti, Jaka Lakkas, est la cheffe du gouvernement en tant que Première ministre de Tanska depuis 2010.
Autres informations : Le PF est le principal parti politique tanskien. Du fait du statut de fédération de Tanska, le pays comporte 4 chambres parlementaires provinciales ou régionales (Parlement central dans les régions centrales en Eurysie, Parlements provinciaux de Kyli, Etelamanner et Halvø dans les trois provinces fédérales). Usuellement, les partis sont avant tout représentés à l'échelle provinciale et régionale via les élections aux suffrages indirects des parlements provinciaux. Ces partis se représentent ensuite au Congrès Fédéral pour les élections au scrutin uninominal majoritaire à deux tours et forment ensuite des coalitions avec les autres partis d'autres provinces issus de courants politiques similaires. Il y a ainsi 18 partis politiques représentés au Congrès Fédéral majoritairement issus de 3 coalitions politiques. Le Parti Fédéral est le seul parti politique représenté sur tous les territoires tanskiens du fait de son idéologie englobante et fédéraliste. Sa coalition comporte plusieurs autres partis fédéralistes mais à des échelons locaux.

Le parti est régulièrement au pouvoir depuis 1945, cumulant au total 49 années de gouvernement, la plupart du temps en occupant au moins la moitié des postes de ministères dont les ministères régaliens. Le gouvernement Lakkas est le premier gouvernement a avoir entrepris l'entrée de Tanska dans une organisation internationale comprenant une clause de défense (OND). Ce gouvernement est aussi marqué par plusieurs conflits à l'étranger et interventions. Enfin, il a aussi élargit la citoyenneté tanskienne par l'ouverture facilitée à des citoyens de Nordlig-Kors. Sur les 5,2m de Korsiens, prêt de 760 000 sont aussi citoyens tanskiens en mars 2018, nombre en forte croissance annuelle.

État : République Retsvinienne.
Nom officiel du parti : Front Républicain Légaliste.
Autre nom du parti : FRL.
Nom du responsable du parti :
Mikhaïl Andreyevich Terenov
Type d'adhésion : Membre.
Positionnement : De Centre à droite, généralement centre droit.
Idéologie :

• Libéralisme
• Républicanisme

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Positionnement dans le paysage politique national : Minoritaire mais reste très important. En coalition avec les légitimistes (libéraux monarchistes) les républicains Slavis (nationalistes libéraux) et les sociales démocrates (socialistes libéraux).
Autres informations : Le parti du FRL n'est pas à proprement parler un parti. En réalité, c'est une faction à deux visages, le premier politique et le second militaire. Il est donc vrai que ce mouvement peut-être qualifié de terroriste en raison de sa lutte armée contre la dictature ultra nationaliste de la Junte. Il fut fondé dans les années 60, quand la Retsvinie subit contre Slaviensk la "guerre de libération de Kovgorie" où Slaviensk tente, entre autre, de récupérer les territoires Slavis occupés par la Retsvinie depuis la révolution de 1940. La guerre se déroule d'abord bien pour Slaviensk, mais la résistance Retsvinienne se fait ressentir. Face à l'usure, Slaviensk va se retirer et fonder à partir d'opposants et d'insurgés favorable à la démocratie le FRL, un mouvement fantoche, libéral, soutenu par Slaviensk et conçu pour prolonger la guerre contre le concurrent Retsvinien. Aujourd'hui le mouvement fait parti d'une alliance libérale plus large, l'opposition, qui se prépare à une éventuelle guerre contre la dictature de la Junte.

État : Grande République de Velsna
Nom officiel du parti : Union pour la République - Les fils de la liberté
Autre nom du parti : UPR
Nom du responsable du parti : Lucio Campora
Type d'adhésion : Membre
Positionnement : Centre/Centre-gauche
Idéologie :

• Libéralisme classique (historique).
• Solidarisme velsnien (courant majoritaire depuis 2014).
• Vinolisme (laisser-faire économique) (courant minoritaire).
• Libertarianisme (courant minoritaire).
• Républicanisme.
• Anti-monarchisme.
• Protection des droits des minorités (sauf des pauvres).

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Positionnement dans le paysage politique national : Soutien sans participation gouvernementale.
Autres informations : Si l'Histoire du libéralisme velsnien débute au début du XIXème siècle, à l'instar de nombreux pays eurysiens, les différents courants idéologiques du libéralisme ont mis un certain temps à se structurer en partis politiques, la faute au système politique velsnien qui interdisait les partis au profit d'un système de factions jusqu'il y a peu. Ces factions ont durant les XIXème et XXème siècle formé la plupart des groupes d'opposition parlementaire, jusqu'à la grande poussée électorale de formations plus à gauche dans les années 2010. Si l'UPR ne fait remonter sa fondation qu'à janvier 2014, il est l'héritier d'une multitude de factions qui se sont agglomérées dans cette formation: ainsi, l'UPR est davantage un caucus qu'un parti cohérent, regroupant chrétiens démocrates, libéraux classiques, sociaux-libéraux et même quelques libertariens.

En 2016, les libéraux font pour la première fois leur entrée dans la majorité parlementaire, avec un soutien sans participation au gouvernement communal en place, alors conservateur, et ce malgré un groupe parlementaire relativement réduit de 80 sénateurs.

Lien: Listes de l'élection sénatoriale velsnienne de 2018 (élection en cours)

AHP Aykhanlı Hürriyet Partisi(Parti de la Liberté Aykhanide)

État : Grand Beylicat Aykhanide
Nom officiel du parti : Aykhanlı Hürriyet Partisi (Parti de la Liberté Aykhanide)
Autre nom du parti : AHP
Nom du responsable du parti : Sebahaddin Erdal Bey (président du parti et Mebusan (député))
Type d'adhésion : Membre
Positionnement : Droite
Idéologie :

• Aykhanisme
• Progressisme social et politique
• Nationalisme civique
• Libéralisme
• Constitutionnalisme
• Anti-plurinationalisme

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Positionnement dans le paysage politique national : Lien vers l'assemblée des beys (nombre de sièges en bas du topic)
Autres informations : Lien vers le topic de l'AHP

YYP Yeni Yözidler Partisi
(Parti des Nouveaux Yözids)

État : Grand Beylicat Aykhanide
Nom officiel du parti : Yeni Yözidler Partisi (Parti des Nouveaux Yözids)
Autre nom du parti : YYP
Nom du responsable du parti : Elif Kadir Hanim (présidente du parti et Mebusan (députée))
Type d'adhésion : Membre
Positionnement : Centre droite à droite
Idéologie :

• Libéralisme démocratique
• Nationalisme yözid modéré
• Conservatisme culturel
• Progressisme
• Tendance eurysianiste
• Défenseur des droits des femmes
• Libéralisme économique modéré
• Sélimisme
• Pluralisme et respect des minorités culturelles

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Positionnement dans le paysage politique national : Lien vers l'assemblée des beys (nombre de sièges en bas du topic)
Autres informations : Lien vers le topic de la YPP

État : Bachmeyer
Nom officiel du parti : Bachmeyer Volks Partei
Autre nom du parti : BVP
Nom du responsable du parti : Gérald Stressman
Type d'adhésion : Membre
Positionnement : Centre-droite à droite
Idéologie :

• Libéralisme National
• Nationalisme Civique
• Libéralisme Conservateur
Républicanisme
Libéralisme Économique

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Positionnement dans le paysage politique national :
Le BVP est un parti minoritaire dans le Nationalrat (branche législative), avec 10.3% de sièges remportés lors des élections législatives de Décembre 2014. Il est en coalition avec ses homologues libéraux, catholans, et monarchistes depuis 2014. Sa base électorale se compose essentiellement des classes moyennes, et aussi de la paysannerie.

Autres informations : (Histoire du parti ? Scandales ou affaires politiques ? etc.)

Le BVP est un parti récent, né des cendres du National Liberale Partei en 2009 après la chute de la monarchie, afin de se donner une meilleure image, républicaine et non plus monarchiste, auprès des électeurs. Toutefois, les dirigeants du parti restent souvent des figures qui ont étés pour la monarchie a une époque. Après avoir eu un résultat de 3% en 2010, de 16% aux premières élections de 2014, puis de 10.3% aux deuxièmes élections de 2014, le BVP a maintenant passé presque 4 ans au pouvoir, et il baisse actuellement dans les sondages.

Durant le Krause Putsch de 2010, le BVP s’est taché sa réputation en refusant de condamner la tentative de prise de pouvoir par des milices nationalistes, se contentant de condamner la violence qui se déroulait. C’est seulement lorsque le BVP a réalisé que cette position était alors impopulaire avec ses électeurs qu’il a ensuite condamné le putsch.

État : Royaume de Teyla.

Nom officiel du parti : Les Royalistes.

Autre nom du parti : On peut retrouver d'autres noms à travers des surnoms : "La droite Royaliste", "La droite Libérale". Outre ces surnoms l'abréviation du parti couramment utilisée par les médias et le langage populaire est LR

Nom du responsable du parti : Jean-Louis Gaudion.

Jean-Louis Gaudion fut le ministre des Affaires Étrangères du Royaume de Teyla sous le Gouvernement d'Antoine Carbasier de 2011 à 2012. Son mandat de ministre est clairement dirigé vers la création et la fondation de l'Organisation des Nations Démocratique (OND), l'une des organisations internationales les plus proactives sur la scène internationale. Malgré l'arrivée de la gauche au pouvoir (Mouvement Royaliste et d'Union) sociale-libérale, le ministre reste au Gouvernement de Sa Majesté dans le Gouvernement d'Angel Rojas sous une étiquette neutre. Après une mission de deux ans, il est choisi par Angel Rojas pour devenir le prochain Secrétaire général de l'Organisation des Nations Démocratiques. Une mission qu'il exercera pendant une année, comme le disposent les traités fondateurs de l'Organisation des Nations Démocratiques.

Après ces années fortes en émotion et pour préparer les élections générales de deux mille dix-sept, il se présente à la présidence du parti politique qui est aussi sa famille politique, Les Royalistes. Il concourt face à Julia Roberta, qui représente l'aile dure du parti tandis que Jean-Louis Gaudion par son programme et son expérience passée de diplomate est perçu par les médias, à raison, comme l'aile modérée, notamment vis-à-vis de la Loduarie Communiste et du monde communiste en règle générale. "J'ai su parler à la Loduarie Communiste quand il le fallait et j'ai su me montrer ferme quand cela était nécessaire, je ne changerai pas ma doctrine en tant que Premier ministre". avait sorti le candidat à l'élection interne qu'il gagna. Julia Roberta reste une figure importante du parti, en tant que cheffe des députés à l'Assemblée nationale.

Type d'adhésion : Membre.

L'entrée du parti teylais Mouvement Royaliste et d'Union au sein de l'Alliance des Socials-démocrates donnent toutes les raisons pour entrée dans une organisation similaire et correspondant aux inspirations du parti. L'état-major du parti y voit une opportunité pour maintenir l'influence du parti sur la scène nationale et pouvoir avancer des arguments quant à la constitution d'un réseau avec des dirigeants étrangers à travers ladite organisation.

Le dernier aspect rejoint bien évidemment l'ambition de Jean-Louis Gaudion, président du parti. Elle permettra, du moins l'espère-t-il, à Jean-Louis Gaudion et à l'état-major du parti de nouer des contacts privilégiés avec des figures politiques étrangères influentes, dans des régions où l'influence du Royaume de Teyla n'est pas importante et pourquoi pas, commencer à bâtir un droit international sur des sujets fondamentaux comme la guerre où toutes les horreurs sont permises.

Positionnement : Droite.

Le parti "Les Royalistes" est considéré comme un parti de droite, selon le champ politique teylais. Il est surement l'un des partis de droite les plus progressistes en Eurysie, notamment si on compare à l'Eurysie de l'Est et Centrale.

Idéologie :

• Libéralisme économique,
• ONDPhilie,
• CaraPhilie,
• Conservatisme sociétal relatif.

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Positionnement dans le paysage politique national : Actuellement minoritaire, mais opposant principale au Gouvernement de Sa Majesté.

Le Royaume de Teyla fonctionne depuis mille neuf cent quarante-huit (1948) et l'adoption de sa constitution toujours en vigueur dans un système bipartisme. Bien qu'ils ne portaient pas ces noms à l'époque, les partis dominants (et leurs ancêtres donc) sur la scène nationale sont pour la gauche le Mouvement Royaliste et d'Union et pour la droite Les Royalistes. Actuellement Les Royalistes est bel et bien minoritaire, car étant dans l'opposition et l'effet de drapeau de la guerre contre la Principauté de Carnavale, après le génocide de deux millions de Nordiens (Empire du Nord) a précipité le Mouvement Royaliste et d'Union, qui est au pouvoir, en haut des sondages et tous les sondages sont d'accord sur cela.

Toutefois, alors que le Gouvernement devrait prochainement mettre fin aux divers états d'exceptions en vigueur (et convoquer des élections générales estimant que la menace chimique est écartée) l'écart entre les deux partis se resserre et revient petit à petit à la situation d'avant la guerre contre la Principauté de Carnavale. C'est-à-dire des partis à égalité dans les sondages. Toutefois, avec l'émergence de l'extrême-droite, suite successivement aux tensions contre la Loduarie Communiste et bien entendu le massacre d'Estham, les chances pour que Les Royalistes obtiennent une majorité absolue sont minces. Toutefois, une majorité relative, comme pour Antoine Carbasier, reste de l'ordre du plausible dans le contexte actuel.

Autres informations :

Le Parti, du moins sous un ancien nom, est celui qui a façonné en grande partie la constitution du Royaume de Teyla adoptée en mille neuf cent quarante-huit. Il est à l'origine de nombreuses réformes dans les années quatre-vingt et de la libéralisation à marche forcée de l'économie teylaise. C'est un parti qui a réussi à convertir la gauche au libéralisme indirectement. Cette dernière pensant qu'elle devait introduire dans son programme un libéralisme social pour reprendre le pouvoir, après environ dix ans de règne de Pierre Lacombe, Premier ministre de Sa Majesté élu la première fois en mille neuf cent quatre-vingt.

Cette conversion de la gauche, si elle n'était pas totale et s'opérait sous l'étiquette d'un "libéralisme social" tempéré par des mesures de redistribution, a eu pour effet d'ancrer profondément les principes de l'économie de marché dans le paysage politique teylais. Aujourd'hui encore, le Mouvement Royaliste et d'Union incorpore un logiciel de "libéralisme-social" bien que ce dernier est de plus en plus remis en cause par le parti en interne.

Le Parti, après plusieurs années de gauche au pouvoir, retrouve les marches de la Résidence Faure en deux mille onze mais avec une majorité relative. Toutefois, suite au mode de scrutin locaux, la proportionnelle intégrale, les deux principaux partis du pays arrivent à coopérer pendant plusieurs mois sur tous les sujets. Toutefois Gary Hubert, ministre de la Défense et membre très influent pour le parti, remet en cause de multiples fois le leadership du Premier ministre, Antoine Carbasier. Une guerre interne, qui était décrite jour à jour par les médias, commence. Pour muscler son jeu en interne et garder la main sur le parti qu'il dirige (la tradition veut que le chef du parti au pouvoir et aussi le Premier ministre au Royaume de Teyla) Antoine Carbasier propose un discours plus dur concernant la sécurité et l'immigration. Face à un ministre de la Défense, il se dit qu'il fallait répondre sur le régalien et de manière forte.

Une réponse qui ne plaisait pas au Mouvement Royaliste et d'Union qui enclencha la censure du Gouvernement de Sa Majesté, ce qui provoquera à terme la convocation d'une élection générale anticipée. Gary Hubert était l'une des personnes les plus corrompues, décrit comme le plus grand mafieux du Royaume de Teyla. Actuellement en prison, il garde une influence sur le parti mais celle-ci reste très minoritaire.

État :San Youté -Paltoterra
Nom officiel du parti : Parti Libéral du San Youté
Autre nom du parti :P.L.S
Nom du responsable du parti :Le chef du parti est Simon Ravier
Type d'adhésion :L'adhésion au parti se fait via le statut de membre, il y a actuellement 91 600 membres.
Positionnement :Le P.L.S est un parti du centre-droit
Idéologie :

• Libéralisme économique
• Libéralisme politique
• Nationalisme
• Démocrates
• Anticléricalisme
• Fédéralisme

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Positionnement dans le paysage politique national :Le P.L.S est un parti qui est intégré à l'Union Nationale depuis 2015.
Autres informations :Le P.L.S est fondée en 1942 par un groupe de chef d'entreprise pour promouvoir l'ultralibéralisme au San Youté.
Le parti séduit une parti de la population est réussi a acquérir 52 siège à l'Assemblée Nationale.
Le parti est dissous lors de l'ère socialistes en 1974 puis il est refondé en 2009.Lors de sa refondation, le P.L.S ne connais pas le même succès auprès des électeurs, pour retrouver en prestige et en pouvoir, il décide d'intégrer l'U.N en 2015 mais conserve une autonomie plus grande que les autres composantes de l'U.N.

État : République de Messalie
Nom officiel du parti : Parti réformateur
Autre nom du parti :
Nom du responsable du parti : Léandre Garras de Tomarels (depuis 2015 et jusqu'en 2018 au moins)
Type d'adhésion : membre
Positionnement : centre libéral
Idéologie :

• Néolibéralisme
• Multiculturalisme
• Progressisme sociétal
• Capitalisme

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Positionnement dans le paysage politique national : majoritaire, au gouvernement en 2018
Autres informations : Fondé en 2014, arrivé au pouvoir en 2015, gouverne entre 2015 et 2018 ; organise des réformes anticorruption, de privatisations et de libéralisation de l'économie nationale durant cette période. Plus d'informations sur la page du parti.

État : República Federal de Costa Sueñoleja
Nom officiel du parti : Partido Socialdemócrata (Parti Social-Démocrate)
Autre nom du parti : PSD
Nom du responsable du parti : Javier Eeyore (actuel Président de la République depuis 2012)
Type d'adhésion : Membre
Positionnement : Centre-droit
Idéologie :

• Libéralisme économique
• Républicanisme
• Fédéralisme
• Nationalisme
• Conservatisme social
• Démocratie chrétienne
• Anarcho-capitalisme (de facto)

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Positionnement dans le paysage politique national : Créé à l'initiative du Général Luciano da Francesca au lendemain du Coup d'État de Juillet 1974 qui voit la chute du régime communiste et le rétablissement d'une république fédérale d'apparence démocratique, le Partido Socialdemócrata (qui n'a de socio-démocrate que le nom, choisi à l'origine pour adoucir le ressentiment des partisans de l'ancien régime et faciliter la transition du socialisme au libéralisme économique) a depuis lors invariablement dominé le paysage politique de la Secunda República Federal de Costa Sueñoleja.
Tous les Présidents de la République et la majorité des gouvernements en sont en effet issus et il est, avec la coalition qu'il dirige (formée du Partido Liberalista Radical et du Partido Católico Nacional), le parti dominant des deux chambres parlementaires, le Sénat Fédérale et l'Assemblée Républicaine, et de la plupart des parlements des États Fédérés. Il mène très largement la politique du pays sans rencontrer d'opposition particulièrement forte et est a priori très populaire auprès d'une importante partie de la population, notamment les patriotes et les entrepreneurs.
Autres informations : Le Partido Socialdemócrata ne s'est pas maintenu continuellement au pouvoir pendant plus de quarante ans par hasard, sa réussite reposant essentiellement sur le détournement des institutions démocratiques, en premier lieu des bureaux de votes, contrôlés et administrés par l'armée, officiellement comme symbole de son rôle primordial de défenseure de la démocratie (celle-ci ayant été rétablie par l'armée en 1974), officieusement car Luciano da Francesca (puis son successeur Manolo Solera) s'est assuré de placer aux postes clés de la hiérarchie militaire des officiers fidèles à lui-même et au PSD.
Outre ces méthodes électorales relativement malhonnêtes, le Partido Socialdemócrata est également réputé pour la corruption presque systémique de ses membres, souvent payés (comme la majorité des institutions du pays) par les grandes entreprises ou les cartels pour fermer les yeux sur certaines de leurs activités peu glorieuses ou aligner leur politique sur leurs seuls intérêts et non pas ceux du pays ou de la population dans son ensemble.

<-- Lien vers les institutions politiques et la composition du Parlement.
<-- Lien vers la fiche du Partido Socialdemócrata.

État : République d'Hotsaline (Confédération de Kresetchnie)
Nom officiel du parti : Front de la Liberté
Autre nom du parti : Parfois abrégé en FL, ou dénommé selon son ancien nom de Parti de la République
Nom du responsable du parti : Elena Vasylenko
Type d'adhésion : Membre. Le Front de la Liberté cherche ainsi, en plus de s'attirer de potentiels soutiens extérieurs à se donner une légitimité supplémentaire en se conférant cette nouvelle dimension internationale, en vue des probables élections législatives qui pourraient suivre l'abolition de l'État de Réclamation Nationale.
Positionnement : Centre-droit à droite. Le Parti République constitue le grand parti de droite historique de l'Hotsaline. Suite à l'accession d'Elena Vasylenko à sa présidence en 2013, qui a vu sa refonte et son renommage en Front de la Liberté, le mouvement a connu un léger revirement de sa ligne pour se recentrer sur les questions de démocratie, de libertés individuelles et de lutte contre la corruption, en pleine période de remise en cause du régime d'état d'urgence kravchukien. Les éléments les plus conservateurs sont demeurés au sein du parti, mais ont été mis en minorité par l'entourage plus jeune et plus libéral d'Elena Vasylenko
Idéologie :

• Libéral-conservatisme
• Parlementarisme
• Anti-corruption

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Positionnement dans le paysage politique national : Le Front de la Liberté est le premier parti en nombre de sièges à la Rada, et de ce fait un acteur majeur de la coalition majoritaire au Conseil de Réclamation Nationale. Sa présidente Elena Vasylenko, qui présida le Conseil au cours de l'année 2014, occupe le ministère de la Transition Démocratique et de l'Intégration Continentale, tandis que d'autres cadres du parti contrôlent également d'autres ministères régaliens de première importance, comme le ministère des Affaires Intérieures ou encore le ministère de la Justice.
Autres informations : Voir la section Front de la Liberté dans l'Encyclopédie de la République d'Hotsaline

État : Republiche Federâl di Visonza.

Nom officiel du parti : Partît Republican.

Autre nom du parti : Les Républicains — P.R.

Nom du responsable du parti : Son Excellence Chancelier¹ Alessandra Vittoria Serena DA CALIARA en est l'actuelle Présidente.
Alessandra est à la tête de la sous-faction dite des Aigles aussi appelée l'aile droite ou la Jeune Garde du Parti Républicain : partisans du statuquo et de la cohabitation avec les Sociaux-Démocrates qui raflent la majorité des sièges du Sénat depuis l'année dix-neuf cent trente-et-un. Elle est élue Sénatrice de la circonscription d'Alezara pour la législature 2016-2021 puis élue en interne au Sénat Chancelier soit Premier Ministre en tant que Présidente du second parti à avoir le plus de sièges au Sénat.

Type d'adhésion : Membre.
Alors que le Parti Social-Démocrate : parti majoritaire dirigeant la coalition gouvernementale au Sénat, a rejoint l'Alliance des Sociaux-Démocrates aux côtés du Mouvement Royaliste et d'Union Teylor et du Parti Social pour la Liberté Gallèsant et que le Parti Communiste Visonzan : troisième membre de la coalition gouvernementale, a candidaté à l'Union Internationale du Communisme et du Socialisme, le Parti Républicain et tout particulièrement sa Jeune Garde souhaite à son tour s'unir à d'autres partis idéologiquement compatibles dans le but de posséder des soutiens à l'international avant que n'arrivent les élections de deux-mille-vingt-et-un ; ce au nez et à la barbe de la Vieille Garde nationaliste.

Positionnement : Gauche conservatrice voir réactionnaire à centre-gauche.
Nota Bene : Le positionnement politique de la Visonza est en miroir du système français ; la droite française est donc la gauche Visonzane et inversement. Cela vaut aussi pour les extrêmes.
Le Parti Républicain est loin d'être homogène. Si l'aile gauche et l'aile droite ont pour dénominateurs communs le républicanisme, le respect de la liberté économique et de la propriété privée — grande ou petite — et l'anticléricalisme, la Jeune Garde : les Aigles, est démocrate et internationaliste et a le même alignement que les partis de droite concernant les évolutions sociétales ; pourtant déjà très importantes au sein de la Visonza et seulement opposées par les ultra catholans, tandis que la Vieille Garde : les Vautours, est patriote, Latinophile et Hellénophile, Germanophobe et souhaite revenir au système électoral censitaire mixte de la Première République de la Visonza. Cependant, son anticléricalisme, parfois extrême, fait de l'aile gauche républicaine une fervente défenseuse des avancées sociétales et de la liberté individuelle.

Idéologie :

• Commercialisme aussi appelé Mercantilisme Kentois ou Caratradais.
• Défense de la propriété privé, grande comme petite.
• Méritocratie.
• Oligarchie.
• Patriotisme.
• Fédéralisme.
• Minarchisme.
• Leucytalisme.
• Germanophobie.
• Slavophobie.

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Positionnement dans le paysage politique national : Membre de la coalition gouvernementale.
Le Parti Républicain est, depuis la proclamation de la Seconde République de la Visonza en dix-neuf-cent-trente-et-un, le second parti a obtenir le plus de siège au Sénat car représentant toujours, en partie, les aspirations citoyennes Visonzanes mais, cependant, reste tenu pour responsable de l'entrée en guerre suivie de la défaite de dix-neuf-cent-trente-et-un ce qui lui a coûté la majorité au Sénat que le Parti avait depuis l'indépendance et la proclamation de la République en dix-huit-cent-soixante-dix. Aussi, depuis cette année [1931], le Parti a donné à la Seconde République tous ses Chanceliers et a toujours participé aux coalition gouvernementale du Parti Social-Démocrate aux côtés, aussi, du Parti Communiste Visonzan permettant à la République de rester stable politiquement pendant une longue période de trouble, d'inflation et de payement de réparations de guerre allant de la même année de dix-neuf-cent-trente-et-un à l'année de dix-neuf-cent-quatre-vingt-dix-sept.

Autres informations : (Histoire du parti ? Scandales ou affaires politiques ?, etc.)
Géant parmi les géants au Sénat jusqu'en dix-neuf-cent-trente-et-un et plus ancien parti à ce jour. Ce parti a été créé sous l'occupation Kaulthe en opposition à la Couronne Impériale et aux gens qui trouvaient leur compte dans l'occupation Germanique. Le Parti Républicain est la représentation la plus pure de la mentalité Visonzane de base : républicaine au possible et sur le spectre de la laïcité ; sois allant de la simple tolérance envers les croyants à l'anticléricalisme absolu. Sinon, le parti n'est pas idéologiquement homogène puisqu'il est partagé entre un conservatisme néolibéral dans son aile gauche et une sociale-démocratie dans son aile droite. Ainsi, si les libertés fondamentales et individuelles font partie de leur credo, l'aile gauche sera beaucoup plus conservatrice sur les sujets de société que l'aile droite comme la construction du genre et de la sexualité entre autres choses. Sur les questions économiques, le Parti Républicain prône la doctrine du commercialisme, aussi appelé mercantilisme Kentois ou Caratradais, et le retour à un système électoral censitaire mixte. Sur le plan International, le P.R. est pour la souveraineté de la République de la Visonza et des politiques protectionnistes, sur les plans diplomatiques, militaires et commerciaux avec cependant un rapprochement vers les autres États Latin et en particulier Italophones. Une partie de son aile gauche un peu plus internationaliste est pour l'intégration de la République dans la Ligue de Velcal et aile droite pour une intégration à l'Organisation des Nations Commerçantes.

Le Parti connait quelques difficultés avec la Justice notamment dans des affaires de corruption dans lesquelles trempes certains de ses cadres locaux. Autrement, le Parti fait en sorte de rester bien sous tous rapports en se purgeant de lui-même de ses éléments indésirables et corrompus particulièrement depuis l'avènement d'Alessandra Vittoria Serena DA CALIARA comme Présidente du Parti et la Jeune Garde et fait régulièrement la joie de la presse Visonzane lors des saillies Germanophobes et Slavophobes récurrentes de ses cadres les plus polémiques ; généralement issus de la Vieille Garde.