04/04/2018
06:18:57
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📜 : La Boryaska en gros

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CrĂ©ation de pays : État SuprĂȘme de Boryaska


Généralités :



Nom officiel : État SuprĂȘme de Boryaska(Этат ĐĄŃŽĐżŃ€ŃĐŒ ĐŽĐ” Đ‘ĐŸŃ€ŃŃĐșа)
Nom courant : Boryaska (Đ‘ĐŸŃ€ŃŃĐșа)
GentilĂ© : Boryaskan/Boryaskanne (Đ‘ĐŸŃ€ŃŃĐșĐ°Đœ/Đ‘ĐŸŃ€ŃŃĐșĐ°ĐœĐœŃ)

Inspirations culturelles : Russie et le jeux Beholder
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : Boryaskan(Français en cyrillique + mots russes. Elle est surnommĂ©e la langue d’Ulk, GaĂ«lle Ulk Ă©tant un grand auteur boryaskan.)
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Aucune

Drapeau :
Drapeau

Devise officielle : Gloire Ă  notre État SuprĂȘme ! (Đ“Đ»ŃƒĐ°Ń€ а ĐœĐŸŃ‚Ń€ Эта ĐĄŃŽĐżŃ€Đ”ĐŒ !)
Hymne officiel :
Monnaie nationale : CrĂ©dit Civique (КрДЎО ĐĄĐžĐČĐžĐș) : ÏŸ

Capitale : Natsiyagrad (НацоĐčграЮ)
Population : 21 368 976 habitants


Aperçu du pays :



Présentation du pays :
Les Origines :
Durant l’antiquitĂ© jusqu’au 10e siĂšcle les terres montagneuses et forestiĂšres traversĂ©es par le fleuve nommĂ© Borkya Ă©taient peuplĂ©es de tribus semi-nomades Ă  la foi animiste. Les nombreuses tribus se rassemblent tout les trois mois pour parlementer, autour de la colline d’Osvak (traversĂ©e par le Borya) qui deviendra rapidement une citĂ©. Prenant compte de la richesse engendrĂ©e par la citĂ© d’Osvak pour la tribu Okjavk, plusieurs tribus complexifiĂšrent leurs camps jusqu’à en faire des citĂ©s. Le Conseil d’Osvak permit un bon dĂ©veloppement de la rĂ©gion, mais les conflits politiques rendaient les tribus instables.

L’Unification :
Au Xe siĂšcle face :
  • Aux pillages des tribus bandits, des tribus nomades non-reprĂ©sentĂ©es au Conseil d’Osvak et en profitant pour piller les citĂ©s, qui entraĂźnent la chute de tribus isolĂ©es;
  • La centralisation Ă©conomique et politique autour d'Osvak dont seuls les Okjavk profitent. Cela fait Ă©merger un souhait de rejoindre le giron de la citĂ© de la part de la population. Les tribus eux pensent que cela apporterait stabilitĂ©, protection, richesse, 
;
  • Le prestige des chefs de tribus favorables Ă  l’unification dont Kricha II chef des Okjavk;
  • Et le besoin d’une centralisation politique plus stable que le conseil;
Les tribus vont s’unir en l’entitĂ© du Grand-DuchĂ© d’Osvak, Grand pour s’affirmer, DuchĂ© et non Royaume pour ne pas donner trop de pouvoirs non plus au monarque et d’Osvak pour se rattacher Ă  la citĂ©. Les tribus signeront un traitĂ©, le traitĂ© d’Osvak pour mettre en place le Grand-DuchĂ©, certaines tribus plus Ă  l’est ne signeront pas. Kircha II sera nommĂ© Grand-Duc par le mĂȘme traitĂ© et prendra le pouvoir en main.
L’unification fera abolir les tribus aux profit de la noblesse, le traitĂ© d’Osvak donne Ă  chaque chef de tribus signataires la possession d’un territoire distribuĂ© selon les positions de son ex-tribus. Pour garantir la stabilitĂ© du traitĂ© et Ă©viter des sorties, le traitĂ© fait en sorte que la noblesse ne paye pas d’impĂŽts et qu’elle reçoit de l’argent de la part de la trĂ©sorerie du Grand-DuchĂ© en Ă©change d’allĂ©geance.

La Christianisation :
Le XIe siĂšcle fut celui de la christianisation du Grand-DuchĂ© et cela se fit Ă  l'origine par la personne d'un individu : Vladimir de Losk dit Saint-Vladimir (de Losk) pour les orthodoxes. Ce comte de la maison des Losk, possesseurs des terres du mĂȘme nom, est un homme trĂšs Ă©rudit. Il fit plusieurs voyages aux seins de terres orthodoxes et en revenue avec de multiples textes sur l’orthodoxie comme la bible, des iconographies, des Ă©vangiles, des chroniques et des essais thĂ©ologiques. Depuis bien longtemps le comte avait pour but de crĂ©er une Grande BibliothĂšque Ă  Myrk(capitale du ComtĂ© de Losk) pour tout le Grand-DuchĂ© et ses voyages avait pour but de trouver des textes pour son projet, mais il ne s’attendait pas Ă  en revenir changer spirituellement.

Il fit de son rĂȘve une rĂ©alitĂ© et ouvrit sa bibliothĂšque oĂč les ouvrages orthodoxes figuraient en piĂšces maĂźtresses. BientĂŽt, toute la noblesse s’arracha ces ouvrages, une grande partie de la noblesse ayant abandonnĂ© l’animiste, ils retrouvĂšrent la spiritualitĂ© dans le christianisme. La noblesse fit aussi dans le christianisme une voie d’union dans cette Osvak divisĂ©e de Basilev Ier.

Le comte fit de ses plus sages sujets des prĂȘtres, il fit fonder une cathĂ©drale Ă  Myrk est y fit baptiser tout ceux qui le souhaitent. Il envoya ses prĂȘtres prĂȘcher partout dans le Grand-DuchĂ© et le peuple se convertit massivement en cette foi concentrĂ©e sur la figure preuse de JĂ©sus. Une multitude d’Église furent construites, encore plus de Osvakan furent baptisĂ©s et le comte De Losk fut nommĂ© Patriarche de l’Église Osvakanne.

Les nobles et le peuple vont ensuite demander la conversion du Grand-Duc mais il refusera Ă  plusieurs reprises alors c’est une armĂ©e composĂ©e autant de nobles que de simples paysans qui va en pleine nuit venir forcer la conversion du monarque, mais les assaillants trouveront un monarque sans vie dans son lit, il avait avalĂ© des plantes toxiques, un papier Ă  cĂŽtĂ© expliquer : ne voulant pas trahir la nature, il la laissa le tuer. La descendance Basilev Ier fut Ă©cartĂ©e de la succession Ă  cause de la lĂąchetĂ© de leur pĂšre. Le fils adoptif De Losk : Liuslav de Losk fut donc nommĂ© Grand-Duc. La dynastie dirigeante des Okjavk fut abolie au profit de celle des Losk.

La ConquĂȘte :
Liuslav Ier de Losk va pendant son rĂšgne mettre en place les paramĂštres qui permettront la conquĂȘte : il confirmera les privilĂšges de la noblesse religieusement actifs (le Grand-Duc est juge de l’investissement religieux), il interdira en homme preux le servage dans les fiefs oĂč il existe, il donnera des pouvoirs institutionnels au patriarche de L’Église Osvakanne et il vassalisera des petites tribus isolĂ©s et convertis.

Mais la vĂ©ritable conquĂȘte des terres de l’Est, de l’unification de toutes les terres du Borya ce dĂ©roulera plus tard.
    Au 13e siĂšcle sous le rĂšgne de Muzhvok Ier de Losk :
  • Le Borya cƓur du commerce interne est menacĂ© par les tribus non-christianisĂ©es de l’Est;
  • La noblesse chrĂ©tienne et enrichie convoite de nouveaux territoires pour : agrandir le leur, affirmer leurs privilĂšges chrĂ©tiens et obtenir de l’influence Ă  la cour ;
  • L’Église, elle veut convertir les tribus orientales paĂŻenne et « pacifier » les rĂ©gions voisines. Les nobles partagent les envies des religieux ;
  • Et la dynastie des Losk, elle veut consolider sa lĂ©gitimitĂ© par la guerre tout comme les Ă©tats voisins.
Mais tout basculera quand l’Église publiera : « Manifeste pour les frĂšres de l’Est », un texte prĂ©sentant une enquĂȘte sur la vie extrĂȘmement dure des tribus paĂŻenne de l’Est du fait de l’inhumanitĂ© de leurs dirigeants, ils sera dĂ©couvert aux 20e siĂšcle par des historiens que les arguments utilisĂ©s sont faux et que le Manifeste est un coup bas de l’Église, mais il existe tout de mĂȘme des traces de souhait chez les populations de l’Est de rejoindre le Grand-DuchĂ©. Le texte provoquera des mouvements d’indignation du Grand-Duc au petit paysan Ă  qui leur prĂȘtre a fait la lecture du texte.

Des rumeurs circulent sur le fait que le Grand-Duc lĂšve les armĂ©es, alors les garnisons des fiefs reçurent un grand nombre de paysans orthodoxes voulant rejoindre l’armĂ©e en quĂȘte de rĂ©demptions orthodoxes et de nouvelles vies. Les nobles dĂ©bordĂ©es dĂ©cident de lever leurs armĂ©es gonflĂ©es par les volontaires, mais le monarque n’a en fait rien dĂ©clarĂ© alors il dĂ©cide de rendre officielles les conquĂȘtes Ă  l’Est, mais les repousse Ă  trois mois pour entraĂźner les nouveaux soldats et planifier la conquĂȘte. Le monarque s’alliera avec les tribus de l’Est voulant rejoindre le Grand-DuchĂ© et la conquĂȘte dĂ©marra, toutes les armĂ©es du Grand-DuchĂ© traversĂšrent la frontiĂšre dirigĂ©e par le monarque et pendant 5 ans et demi : conquis l’Est.

RĂ©sultat : le territoire du Grand-DuchĂ© prit possession de toutes ses terres actuelles Ă  l’exception du Sud-est, les terres conquises furent distribuĂ©es aux nobles participants Ă  l’expĂ©dition, Ă  quelques militaires (Karv Gorsk, Saint-Jarv, Hoelk Halb) s’étant grandement dĂ©marquĂ© et aux chefs des tribus de l’Est s’étant alliĂ© avec le Grand-DuchĂ©.

AprĂšs le traitĂ© de Fask (ville renommĂ©e Jarv puis Saint-Jarv Ă  la mort de celui-ci) qui officialise la dĂ©faite et qui rattache l’Est au Grand-DuchĂ©, l’armĂ©e rentre Ă  l’Ouest, elle met 6 mois. Lors de la guerre, Muzhvok Ier Ă©tait dĂ©cĂ©dĂ© son fils Valdivka Ier de Losk doit hĂ©riter du pouvoir Ă  22 ans. En rentrant Ă  Osvak, il se fait couronner et sacrer. Lors de son couronnement, il fit baptiser les nouveaux nobles d’origine paĂŻenne mais il y a dĂ©clara aussi la formation de la : Grande-PrincipautĂ© de Boryaska et se titra Grand-Prince.

Renforcement des pouvoirs :
Depuis le rĂšgne du fils de Valdivka Ier, les Boryaskan convoitent le sud-est de la Boryaska actuelle, cette zone avait Ă©chappĂ© Ă  la conquĂȘte grĂące aux batailles qui ont Ă©loignĂ© les armĂ©es de l’ex-Grand-DuchĂ©. Malheureusement pour les ambitions conquĂ©rantes des Boryaskan, le peuple du Sud-est, se sont formĂ©e en État : L’Union du Sud peu aprĂšs la ConquĂȘte. Mais en 1584, l’Union est instable : les tribus membres en dĂ©saccord se sont dĂ©clarĂ©s la guerre, la Grande-PrincipautĂ© Ă©tait dirigĂ©e Ă  cette Ă©poque par le Grand-Prince Valdimik IIe avide de grandeur. RĂ©pondant Ă  son aviditĂ© de conquĂȘte qu’il partage avec son peuple, il leva les armĂ©es et assiĂ©gea l’Union, elle fut conquise l’annĂ©e suivante.

Mais le Grand-Prince avait une idĂ©e derriĂšre la tĂȘte, la conquĂȘte devait lui servir Ă  lĂ©gitimer son rĂšgne pour rĂ©cupĂ©rer plus de pouvoir. Il rĂ©pĂ©ta ce que son ancĂȘtre Valdivka Ier avait fait, mais avec de paramĂštres en plus. Il rentra Ă  Osvak avec son armĂ©e en traĂźnant les vaincues enchaĂźner, Ă  la capitale, il entra dans la grande CathĂ©drale non pour ce faire sacrer, mais pour dĂ©clarer : la fondation du Tsarat de Boryaska.

Dans une cĂ©rĂ©monie grandiose, il se nomma Tsar et changea radicalement le systĂšme du pays : un systĂšme centralisĂ© est mis en place, la noblesse est soumise, la paysannerie Ă©crasĂ©e d’impĂŽt et le systĂšme militaire est revue pour leurs donner plus de pouvoirs.

Cette centralisation va permettre au rĂ©gime de rester en place malgrĂ© : la guerre de succession, la rĂ©volte paysanne Ă  Risanokv en 1659 contre la rĂ©introduction du servage, la peste du Boryak en 1667, 
 jusqu’à l’industrialisation.

La Révolution :
AprĂšs des siĂšcles de Tsarat le Boryaska Ă  grandement changer. Au 18e siĂšcle, les Tsar sont de plus en plus autoritaires, l’Église soumise aux Tsar, c’est Ă©cartĂ© du peuple, la noblesse vit dans la richesse extrĂȘme quand les paysans et la classe ouvriĂšre vivent dans l’extrĂȘme pauvretĂ© et l’armĂ©e oppresse. L’industrialisation du pays est en retard et les tentatives de modernisation coĂ»tent cher, mais c’est le peuple qui en paie le prix.

Le 7 septembre 1867, le Tsar Yvanevk IIIe ordonne la construction de plusieurs zones industrielles, des dizaines de milliers des paysans sont mobilisĂ©s dans tout le pays. Dans plusieurs rĂ©gions, l’absence de paysans va amener Ă  la famine. Rapidement : les mobilisĂ©s et les affamĂ©s font se soulever alors le Tsar va dans toutes les rĂ©gions soulever lever l’armĂ©e et augmenter l’impĂŽt pour payer les soldats. Les rĂ©voltĂ©s vont ĂȘtre battus, mais la lutte Ă  amenĂ© : la non-construction des usines, le rĂ©veil du peuple, l’affaiblissement de l’économie et la famine subsiste.

17 ans plus tard, deux factions révolutionnaires, se sont bien développé :
  • La SociĂ©tĂ© SecrĂšte du Peuple : organisation clandestine de paysans et ouvriers instruits, de prĂȘtres progressistes et de bourgeois populaires. Ils dominent les milieux industriels et les territoires affamĂ©s. La SociĂ©tĂ© veut : la fin du servage, le retour Ă  un rĂ©gime dĂ©centralisĂ© au pire ou l’instauration dĂ©mocratique au mieux, l’abolition des privilĂšges de la noblesse, la sĂ»retĂ© des rĂ©munĂ©rations,
 Elle est menĂ©e par des leaders comme : Fabrevk Grelk : paysans, Homerv Farv : ouvrier, Saint-Torivk : prĂȘtre et Jeanovk Halbk. Elle est notamment soutenue par le grand auteur boryaskan : GaĂ«lle Ulk (1862-1936).
  • Le Grand Cercle des Officiers Modernistes : organisation officielle composĂ©e de militaires fascinĂ©es par les idĂ©es occidentale, mais Ă©galement de bourgeois et de noble eux aussi Ă©clairĂ©s. Ils dominent les milieux intellectuels. On nomme leurs membres : les Officiers chacun d’eux sont classĂ©es dans la hiĂ©rarchie interne par un titre militaire. Les buts du Grand Cercle sont : la limitation des pouvoirs du Tsar, l’écriture d’une constitution, la mise en place d’un ou plusieurs parlements et la nomination d’un nouveau Tsar. Mais plusieurs mouvements existent en son sein, dont un rĂ©publicain qui va influencer la SSP. Les Ă©crits populaires d'Ulk(Ulk est un ancien du Grand Cercle.) influencent beaucoup le Grand Cercle, dont les rĂ©publicains.

  • Toujours en 1884, GaĂ«lle Ulk publie « Ode Ă  la RĂ©publique », un essai dont le but est de prĂ©senter le concept rĂ©publicain, le livre fera un carton, les idĂ©es rĂ©publicaines se propageront Ă  la SociĂ©tĂ© et au Grand-Cerle. Les idĂ©es rĂ©publicaines deviendront majoritaires. En janvier 1885, le Tsar commence la construction d’un nouveau palais et pour le financer, il augmente les impĂŽts, la colĂšre gronde, les membres de la SSP font grĂšve et manifeste, ce qui illĂ©gal, les soldats ouvriront le feu. Le SSP, appel donc Ă  un mouvement de dĂ©sobĂ©issance gĂ©nĂ©ralisĂ©e, les villages et les villes sont mis Ă  feu. Le Grand-Cercle maintenant majoritairement rĂ©publicain soutient le SSP, les garnisons composĂ©es des officiers du Grand-Cerle rejoignent la rĂ©volte. La guerre civile durera deux ans et le 24 dĂ©cembre 1887 en plein hiver boryaskan, le Tsar abdique. La RĂ©publique de Boryaska est mise en place.

La République :
Suite Ă  l’abdication du Tsar, un organe collĂ©gial est mis au pouvoir : le ComitĂ© Dirigeant de la RĂ©publique. Une AssemblĂ©e Constituante est fondĂ©e. RĂ©sultat en mai 1888 : la constitution met en place : le ComitĂ© Dirigeant de la RĂ©publique pour l’exĂ©cutif national, des AssemblĂ©e sont mise en place pour la lĂ©gislative, la justice de chaque district et pour chaque district il y a une Chambre d’Application des prĂ©fecture, mais avec des responsables Ă©lues.

La RĂ©publique : abolira le servage, sĂ©para l’Église et l’État, rĂ©formera l’armĂ©e, industrialisera le pays, 
 Mais tout au long de son histoire, la RĂ©publique est instable : les oppositions entre les idĂ©ologies entre rĂ©publicain modĂ©rĂ©, radical et militariste rend les prises de dĂ©cision impossible, la corruption Ă©tait devenue omniprĂ©sente au ComitĂ© : le pouvoir devient oligarchique et une crise Ă©conomique Ă©clate.
La population est frustrée, elle regrette un régime plus autoritaire et stable.

Le coup d’état :
Cette république instable et corrompue au Conseil paralysé, dans laquelle le peuple se sent trahi et en colÚre, les militaires humiliés et les élites instables, est fracturé.

L’armĂ©e voit une nouvelle gĂ©nĂ©ration d’officiers nĂ©e, issus des classe populaires elle n’est pas moins attachĂ©e aux idĂ©es totalitaires, qui humiliĂ©s par la faiblesse de la rĂ©publique, naissent en marge des idĂ©es fade des rĂ©publicain et des vielles idĂ©es monarchistes. Cette gĂ©nĂ©ration militaire va ĂȘtre Ă  l’origine d’un mouvement : la Ligue Nationale, leur seul mot d’ordre : « Sauver la Boryaska par l’ordre ». La Ligue est menĂ©e par le GĂ©nĂ©ral Mickolv Tornav. Le mouvement deviendra au fils des ans important au sein de l’armĂ©e tout comme chez les civils.

C’est le 22 fĂ©vrier 1931 que tout bascule : la Ligue par l’armĂ©e coupe les lignes de communication, dĂ©sarme la garde rĂ©publicaine, arrĂȘte le ComitĂ©s Dirigeants en sĂ©ance nocturne, arrĂȘte les membres de partis et institutions rĂ©publicaines puis prend le pouvoir. Il dĂ©clare au peuple la chute de la rĂ©publique, la prise de relais de l’armĂ©e et la formation d’un gouvernement provisoire.

L’État SuprĂȘme :
Le gouvernement provisoire dura trois ans : le temps des grandes purges (GaĂ«lle Ulk y survivra cacher dans la montagne) et de la mise en place du rĂ©gime totalitaire de surveillance. À la fin du gouvernement provisoire, le GĂ©nĂ©ral Tornav dĂ©clare la fondation de l’État SuprĂȘme du Boryaska devant une foule de loyalistes car oui pendant les 3 premiĂšres annĂ©es le rĂ©gime rĂ©ussi Ă  grandir la classe moyenne au dĂ©pens de la pauvretĂ© pendant que les rĂ©publicains rampent dans les mines, il se nomme Directeur SuprĂȘme.

La société actuelle se met en place petit à petit.

Mais en 1947, le Directeur SuprĂȘme Tornav est assassinĂ© par un mouvement de rĂ©sistance, l’assassin est : Mickolv Jorkad un mafieux boryaskan. Le rĂ©gime est durci (Ulk sera tuĂ© par l’Inspection SuprĂȘme.). 3 Directeur succĂ©deront Ă  Tornav, mais aucun n’avait l'Ăąme d’un leader seulement des bureaucrates froids.

Régime actuel :
En 1989, le pays est frappĂ© par une Ă©pidĂ©mie qui emportera notamment le Directeur SuprĂȘme au pouvoir. L’épidĂ©mie a Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©e par l’Inspection SuprĂȘme avec un but mettre leur chef : Sasha Ofdrovk au pouvoir. Ofdrovk fera dĂ©velopper un remĂšde pour gagner la confiance de la population et son plan marchera. Il s’auto-nommera Directeur SuprĂȘme, obtiendra le pouvoir et la loyautĂ© de la population.

Depuis 1989, le pays est gouvernĂ© par le Directeur SuprĂȘme Ofdrovk qui apparaĂźt de moins en moins publiquement, il donne des ordres dans l’ombre quand la propagande le glorifie dans la lumiĂšre.

Il mettra notamment en place les réformes du logement qui contraint tout les citoyens sauf les grands cadres à habiter dans des logements communs pour mieux les surveiller par les observateurs.

Face Ă  la rĂ©sistance, la surveillance s’intensifie.

La résistance :
Les B.R.U.M.E. : Bataillons RĂ©volutionnaires de l’Union des Mouvements pour l’Émancipation, ils luttent contre le rĂ©gime depuis bien plus longtemps que leurs unions.

ComposĂ© des punk, mafieux, ideologiste et majoritairement des rĂ©voltĂ©s dĂ©veloppent des idĂ©es libertaires/libĂ©rale sans le savoir, ils luttent, ils sabotent, libĂšrent, tuent et extraient : ils rĂ©sistent. Ils n’ont pas de rĂ©publicains idĂ©ologiques ou assumĂ©s dans leurs rangs, car cette idĂ©ologie est mal vue.

Avant la crĂ©ation du mouvement en 1945, ils existaient quand mĂȘme : dĂ©jĂ  rĂ©voltĂ©s. C’est en mai 1945 que les mafieux et les rĂ©voltĂ©s se rĂ©unissent pour mettre Ă  bas le rĂ©gime en assassinant le Directeur SuprĂȘme, il mourra, mais le rĂ©gime subsista alors le mouvement continue jusqu’à aujourd’hui pour la libĂ©ration populaire !

Mentalité de la population :
Les Boryaskan est un peuple avec une mentalitĂ© que l’on peut nommer comme Ă©trange. Voici ce qu’il faut comprendre :
  • Une majoritĂ© de la population montre une attitude loyal Ă  l’État en respectant la loi, en obĂ©issant aux fonctionnaires, en participant aux cĂ©rĂ©monies,
 certains le font par survies et d’autres par vĂ©ritable loyautĂ©. Les tout jeunes apprennent que « celui qui se dĂ©marque disparaĂźt ». Malgres cela les jeunes adultes voit Ă©merger un souhait d’émancipation, de libertĂ©s, de voyage et de justice (ces dĂ©sirs rĂ©volutionnaires existent depuis bien longtemps).

  • Depuis la rĂ©volution et l’instauration des observateurs civiles, les Boryaskan dĂ©veloppent une culture de la paranoĂŻa, on ne parle jamais librement, dans certaines familles on surveille aussi ces mots, les amitiĂ©s vĂ©ritables sont rares et souvent clandestines.

  • Les Boryaskan endurent la difficultĂ© comme culture, les loyalistes pensent que le regime est mĂ©ritocrate donc endurent, les citoyens neutres prenant compte des instabilitĂ©s passĂ©es pensent que « le pouvoir change, les problĂšmes restent »M Un contraste Ă©volue, les non-loyaliste banale craignent le rĂ©gime, mĂ©prisĂ© les abus mais le considĂšrent comme inĂ©vitable. Cette culture de non-protestations ce retrouve aussi chez les rĂ©volutionnaire qui oui protestent mais ne ce plaignent pas : ils combattent. Dans la culture populaire Boryaska il existe une citation populaire plus vieille que la rĂ©volution : « Ici on survit, mais la vie reste, c’est notre Boryaska. »

  • MalgrĂ© le rĂ©gime et la paranoĂŻa, dans les villages, les habitants, mĂȘme sans ĂȘtre rebelles, s’entraident loin des observateurs. Les tradition restent.

  • Chez la population, mĂȘme rĂ©volutionnaire, un amour de la Boryaska subsiste. La population fait la diffĂ©rence entre : la Boryaska Éternelle celle de la culture, celle du territoire et celle de la langue; et l’État SuprĂȘme le rĂ©gime qui oppresse. Officiellement c’est la mĂȘme chose, officieusement : non.

  • La clandestinitĂ© devient un peu une partie de la culture : Ă©criture clandestine, rĂ©union secrĂštes, humoriste anonyme et petite rĂ©sistances quotidiennes(mensonges, cacher un livre, aider un voisin,
). Tout une culture qui nourrit les B.R.U.M.E.

  • La mentalitĂ© d’un Boryaskan commun est donc : endurant, travailleur, fidĂšle Ă  ses idĂ©es,
(A notĂ©, les Boryaskan ne s’attachent pas Ă  une idĂ©ologie mais Ă  un concept qu’il pensent idĂ©al. Pourquoi ? Principalement Ă  cause de l’incapacitĂ© des ideologiste rĂ©publicain)


Place de la religion dans l'État et la sociĂ©tĂ© :
L’État dit officiellement adhĂ©rer Ă  la religion des Boryaskan, rien d’autres n’est prĂ©ciser, officieusement, c’est le culte de la nation. La majoritĂ© (51%) du peuple adhĂšre Ă  ce culte athĂ©e et 19% sont athĂ©e croire adhĂ©rer au culte national. Il existe tout de mĂȘme une minoritĂ© orthodoxe (28%) hĂ©ritĂ©e des temps monarchistes, cette minoritĂ© n’est pas interdite ni oppressĂ©e par le rĂ©gime mais cela ne serait tarder



Politique et institutions :



Institutions politiques :
Directeur SuprĂȘme (ДорэĐșтёр ĐĄŃŽĐżŃ€ŃĐŒ) : Chef absolu mĂȘme total de l’état, il concentre tout les pouvoirs. Il a sous sa supervision personnelle l’Inspection SuprĂȘme, une police politique suprĂȘme. Le Directeur SuprĂȘme est nommĂ© par son prĂ©dĂ©cesseur.

Observateurs SuprĂȘmes (ОбсДрĐČатёр ĐĄŃŽĐżŃ€Đ”ĐŒ) : Les 11 membre du Conseil des Observateurs SuprĂȘme sont les yeux et les mains du Directeur SuprĂȘme, ces lui mĂȘme qui les nomme. Au quotidien se sont eux qui gĂšrent le pays aux quotidiens. Ils supervisent toutes les grandes sphĂšres, peuvent arrĂȘter n’importe qui qu’importe son rang, inspecter sans prĂ©venir une institution, donner des ordres exĂ©cutoires, faire appliquer les dĂ©crets du directeur, dissoudre toute une administration,
 En plus de la police politique de base, ils dirigent la police politique dit Garde d’État avec le ministĂšre de l’Ordre.

Les MinistĂšres : NommĂ©s par le directeur, ils sont le cƓur de l’administratif. Les ministres sont tous Ă  la tĂȘtes d’un ministĂšre avec des centres de pouvoirs diffĂ©rents. Les ministĂšres dirigent tout les fonctionnaires et sont en pleins centre de la vie de chaque Boryaskan. C’est en leurs seins que les Boryaskan Ă©volue dans la hiĂ©rarchie sociale ou pas.

L’Inspection SuprĂȘme (Đ›â€˜Đ˜ĐœŃĐżĐ”ĐșŃŃŒĐŸĐœ ĐĄŃŽĐżŃ€Đ”ĐŒ) : L’Inspection SuprĂȘme est la police politique personnelle du Directeur, la prĂ©sence d’un Inspecteur fait trembler n’importe quelle Boryaskan, Observateur SuprĂȘme et ministre compris. L’Inspection peut juger, condamner, arrĂȘter, exĂ©cuter,
 n’importe qui avec la dĂ©lĂ©gation du Directeur.

La Garde d’État (Ла ГарЮ Ю’Эта) : La Garde d’État est la police politique du Boryaska, elle est dirigĂ©e par les Observateurs SuprĂȘme et le ministĂšre de l’Ordre. Contrairement Ă  l’Inspection, elle doit attendre des ordre pour juger, condamner, arrĂȘter, exĂ©cuter,
 Ils gĂšrent toutes les affaires non-civile comme l’arrestation de fonctionnaires, le contrĂŽle, la torture,


Corps de SĂ©curitĂ© Civile (ĐšĐŸŃ€ ĐŽĐ” ĐĄĐ”ĐșюрОтД ĐĄĐžĐČĐžĐ»ŃŒ) : La CSC ou KCC est la police civile de l’État, c’est elle qui a proximitĂ© de la population s’occupe des affaires civiles et appelle la Garde si besoin, c’est elle qui est envoyĂ© faire du repĂ©rage pour la Garde (fouille, interrogatoire,
).

Observateurs (ОбзДрĐČатёр) : Les observateurs sont des civile rĂ©munĂ©rĂ©s activement par l’état pour surveiller leurs voisinage, connaissances,


Parlement de justice (ĐŸĐ°Ń€Đ»Đ”ĐŒĐ°Đœ ĐŽĐ” жюстОс) : Les Parlements de justice sont l’institution permettant le jugement d’un individu quand ce jugement n’a pas Ă©tĂ© appliquĂ© par un Inspecteur, un Ministre ou tout autres hauts fonctionnaires. Chaque district (rĂ©gion) dispose d’un parlement. Chaque parlement est composĂ© : d’un PrĂ©sident du Parlement chargĂ© de diriger le procĂšs, de trois Commisaires de ProcĂšs qui reprĂ©sentent l’état et tiennent le rĂŽle de procureur, deux Ă  sept Juges du parlement qui interrogent les accusĂ©s et tĂ©moins pour ensuite prononcer la sentence et de 15 Ă  50 jurĂ©s chargĂ©s de trancher lors d’un dĂ©saccord. A noter que chaque membre du parlement, du prĂ©sident au jurĂ©s, sont nommĂ©s par les hauts fonctionnaires.

Principaux personnages :
Sasha Ofdrovk (Хаша ĐžŃ„ĐŽŃ€ĐŸĐČĐș) : Ofdrovk est le Directeur SuprĂȘme depuis 1989.

Yvan Yelenov (ИĐČĐ°Đœ Đ•Đ»Đ”ĐœĐŸĐČ) : Inspecteur de l’Inspection SuprĂȘme(<-secret) et Ministre en second du ministĂšre de l’Ordre.

Jork Fark (Đ™ĐŸŃ€Đș ЀарĐș) : AĂźnĂ©e de la famille mafieuse : Fark. ReprĂ©sente la branche mafieuse des B.R.U.M.E.

Pavel Lebedevk (ПаĐČДл ЛДбДЎДĐČĐș) : Ministre de l’Ordre ExtĂ©rieur (affaires Ă©trangĂšres).

Karl Farkovn (Карл ЀарĐșĐŸĐČĐœ) : Karl Farkovn n’est pas un personnage important au sein de la Boryaska mais ce fonctionnaire sera utilisĂ© dans les rp pour prĂ©senter la vie des banales citoyens boryaskan.

Lark Vornk (ЛарĐș Đ’ĐŸŃ€ĐœĐș) : Agent chargĂ© de la radio communication des B.R.U.M.E interne vers l’extĂ©rieur.

Pavel GrĂŠvk (ПаĐČДл ГрэĐČэрĐș) : ReprĂ©sentant des B.R.U.M.E.

Les Skalv (ĐĄĐșалĐČ) : Les Skalv sont une famille modeste boryaskan dont les traces remontent Ă  l’antiquitĂ©. Leurs diffĂ©rents membres seront utilisĂ©s pour les rp historiques servent Ă  retracer la vie d’un banal boryaskan lors d’une pĂ©riode/Ă©vĂ©nement diffĂ©rents.

Politique internationale :
La politique internationale de l’État SuprĂȘme est limitĂ©e mais le Directeur SuprĂȘme a dĂ©crĂ©tĂ©, il y a peu, la rĂ©ouverture des voies commerciales (seulement pour l’État, les citoyens n’ont toujours pas le droit de possĂ©der d’objets Ă©trangers) et diplomatiques.

Les B.R.U.M.E eux par contre comptent beaucoup sur l’extĂ©rieur pour survivre et rĂ©sister.
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