21/04/2018
06:33:24
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[Généralités] Comprendre les territoires dévastés du Dakora en cinq minutes + fiches et formulaires

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Comprendre les territoires dévastés du Dakora en cinq minutes

Photagraphie dystopique montrant bien ce qu'est le Dakora avec, en décalage, une affiche montrant ce qu'il aurait pu être.



Le Dakora, autrefois un pays verdoyant et prospère, n’est aujourd’hui plus qu’un cadavre irradié, c'est à dire un Wasterland (terrain vague) toxique où survivent quelques centaines de milliers d’âmes. Avant sa destruction, le territoire était réputé en plus de son ouverture d'esprit et de son gout pour la liberté pour ses terres fertiles qui attirait de nombreux colons eurysiens venus s’affranchir de la domination des ranchers du Makota voisin. Mais cette ouverture totale — certaines diraient excessifs — à la modernité, aux technologies expérimentales et aux grandes corporations scella son destin. Enfin c'est ce que pense son voisin et frère, le Makota.

Parmi ces entreprises, on compte principalement Parapluvie Inc., firme pharmaceutique transhumaniste et eugéniste, que l'on trouve au Dakora dès le XIXᵉ siècle. Sans que l'on sache trop à partir de quand, elle se mit à construire des abris souterrains gigantesques, véritables cités techniques et aseptisées destinées à accueillir son personnel et ses expérimentations. Tout prend fin le 5 mai 1990 par un événement encore inexpliqué — accident technologique, attaque, expérience ayant mal tourné ? — anéantit le pays en quelques heures. Le Dakora fut alors noyé sous un brouillard verdâtre, chimique et radiologique, qui persiste encore aujourd’hui. La population, jadis comptée en dizaines de millions, s’effondra jusqu’à 500 000 survivants, réduits à trois grands groupes.

Le premier est celui des habitants des abris : environ 50 000 corporatistes de la Parapluvie Inc. confinés sous terre. Ils vivent selon des protocoles rigides, un hygiénisme obsessionnel et une culture eugéniste qui vise le perfectionnement humain. Ils sont instruits, froids, parfaitement propres, mais psychologiquement très éloignés de l’humanité ordinaire. Leur dirigeante, Mlle Antoinette Dispensier, se présente comme PDG et, de fait chef d'État bien la corporation ne contrôle en réalité que quelques bunkers isolés.

À la surface, dans les ruines de la mégalopole Dakoraville, survivent environ 450 000 punks : les descendants des civils qui se sont terrés dans les souterrains au moment du cataclysme. Ils ont développé une société clanique, violente, anarchique et territoriale. Sans espoir, mais farouchement attachés à leur liberté, ils survivent en pillant les ruines et s’empoisonnant lentement. Le clan le plus influent est celui des Cradocs, dirigé par l’imprévisible mais charismatique Zed, lequel est donc le chef des punks.

À la périphérie nord-ouest du Wasterland, le Makota tente d'occuper le territoire. Les miliciens makotans — des cowboys équipés pour la petite guerre mais terrifiés par cet environnement infernal qu'est celui du Dakora — peinent à progresser dans leur entreprise de conquête. Leur commandant, le général Jean Lye, dirige une force plus proche d’une coalition de volontaires (ou de mercenaires financés par des Ranchers et des Ligues) que d’une armée régulière. Leur occupation se limite à une centaine de kilomètres au-delà de la frontière, dans des postes fortifiés entourés de ruines.

Enfin, le Dakora est en grande partie dominé, si l'on peut dire, par le Wasterland lui-même : un territoire hostile, marqué par des phénomènes chimiques, radiologiques et peut-être même surnaturels (ou semblant tels). Des témoignages évoquent des créatures indescriptibles errant dans le smog, des anomalies physiques et des zones où la réalité semble altérée. Il s’agit d’une terra nullius, sans contrôle humain réel. Sur le plan politique, l’État dakoran n’existe plus : seules subsistent une multinationale retranchée, des clans tribaux désespérés et une puissance voisine qui tente d’annexer l’endroit sans comprendre qu’on ne tient pas le Dakora : on y survit. Aujourd’hui, le Dakora demeure un territoire mythique et terrifiant. On y cherche encore des secrets industriels, scientifiques et militaires hérités d’avant 1990. Nul ne sait ce qui gît dans les profondeurs des abris perdus ou sous les ruines recouvertes de smog.

Création de pays : Terres Dévastées du Dakora


Généralités :



Nom officiel : Terres dévastées du Dakora
Nom courant : Dakora ou Wasterland
Gentilé : On disait Dakoran / Dakoranne

Inspirations culturelles : Monde dévasté, Wasterland, société des abris enterrée profondément (corpo Parapluvie, des eugénistes et racistes) et société de l'extérieur (punks anarchistes dans une situation sécuritaire et sanitaires lamentables), terres irradiées et empoisonnées pour des siècles, désert et ruines de métropoles, bizarreries et hallucinations.
Situation géographique :

La Carte

Langue(s) officielle(s) : Français
Autre(s) langue(s) reconnue(s) :aucune
Drapeau de l’État (Désaffecté) :
Drapeau

Devise officielle : Une nouvelle terre pour de nouvelles opportunités (désuet)
Hymne officiel Hymne officieux, élément d'ambiance :
Monnaie nationale : aucune (ou bien des capsules et autres monnaies ad hoc)

https://imgur.com/J3WE6G7

Capitale : Dakoraville

Population : 500 000 habitants (50 000 dans les abris, et le reste ce sont les punks)


Aperçu du pays :



Présentation du pays :

Photographie, 90S, couleur, terne une ville dévastée, abandonnée et toxique. Grisaille, sec, triste. Sur un trottoir dans un coin il y a deux  squelettes au sol sur le ventre vetus avec   des restes de vêtements civils usés dont une robe, et il y a un vieux caddie chargées de choses poussiéreuses et une poupée au sol, et deux hommes en tenue asmat avec des fusils d'assaut et une jeep à l'arrêt.  dans un coin de la photographie il est écrit au feutre  : Etat de Dakora, aux abords du Camp Judith, 2017, 2e bataillon d'éclaireurs NRBC du Makota
Une scène classique dans la partie du Wasterland occupée par les forces armées makotanes : les soldats en tenu NRBC patrouillent dans des ruines toxiques pleines des cadavres de civils surpris par la mort.

Le Dakora n’a pas toujours été le cadavre desséché et toxique qu’il est à présent. Longtemps, il fut une terre verdoyante, un véritable pays de cocagne où il faisait bon vivre. Ses sols généreux, gras et noirs, saturés d’alluvions, faisaient de ce territoire un paradis agricole et naturel. Comme son nom l’indique, le Dakora fut longtemps le domaine de la tribu aleucienne du même nom. Cependant, comme pour les Makota, l’arrivée des colons eurysiens — et surtout de leurs germes — anéantit l’essentiel de la population native, ne laissant subsister que quelques groupements isolés que les querelles rurales, mêlées à l’alcool, ne tardèrent pas à faire disparaître tout à fait. Il est probable qu’il ne restait plus un seul Aleucien dakora avant même que le pays ne meure, le 5 mai 1990.

Durant des décennies, le Dakora fut considéré comme le petit frère du Makota, un asile pour les petits cultivateurs fuyant la rapacité insatiable des ranchers — ces grands éleveurs qui font la pluie et le beau temps au Makota. Migrer vers le Dakora offrait bien plus de garanties que de s’aventurer à débroussailler les jungles pauvres et hostiles de l’Icamie. D’ailleurs, le Dakora accueillait des colons chassés des hauts plateaux depuis le début du XIXᵉ siècle déjà, bien avant donc que l'Icamie ouvre ses portes dans les années 50.

Dans les deux cas, Makota comme Dakora, il s’agissait du même peuplement : des galouaisants marginaux, rejetés d’Eurysie, partis en quête d’une existence plus juste, plus saine et plus sainte. Mais, contrairement au Makota, le Dakora ne demeura pas fidèle à l’idéal des pères fondateurs. Un dakoran dirait plutot que sont pays ne demeura pas englué dans les superstitions des ancêtres. Sans doute parce que les Ligues et les ranchers n’y avaient pas acquis la même autorité, le pays s’ouvrit sans retenue à la modernité.

Cette ouverture, pour ainsi dire sans limite, se manifesta principalement sous deux formes : d’une part, une concentration extrême de la population sur un territoire restreint — en l’occurrence la capitale, Dakoraville ; d’autre part, une confiance pour ainsi dire aveugle dans la technologie et la modernité, une sorte de foi en la technique doublée d’une ouverture inconsidérée aux corporations multinationales.

https://imgur.com/btYnJJ3
10% de la population, en bonne santé et profitant de la médecine améliorative la plus performante vie à l'intérieur de vastes abris souterrains appartenant à la Parapluvie Inc., une entreprise pharmaceutique transhumaniste et eugéniste ouvertement raciste.

Ainsi, dès le milieu du XIXᵉ siècle, le Dakora devint la proie des investisseurs et des consortiums. L’histoire exacte de cette période demeure mal connue : les archives ont été dispersées, et sont abandonnées dans de vaste et sordides bâtiments à présent éventrés et poussiéreux au milieux du Wasterland. On sait seulement que Parapluvie Inc. s’y implanta dès l’origine, et que les laboratoires Dalyoha de Carnavale y établirent eux aussi des installations.

Faute de données plus précises, on ne peut guère aller au-delà ; retenons seulement que le pays fut ravagé le 5 mai 1990 pour des raisons encore totalement inconnues. À partir de cette date, toute communication avec l’extérieur cessa. Les étrangers présents sur place ne donnèrent plus signe de vie, et le Wasterland apparut soudainement, totalement immergé dans un brouillard verdâtre et mortel qui, si il devait s'éclaircir avec le temps, ne devait plus disparaitre.

Durant les premières années, le Wasterland fut absolument invivable. Une tenue NRBC était indispensable pour franchir la frontière, et il était déjà héroïque de pénétrer de quelques kilomètres dans cet enfer chimique et radiologique qu’était devenu le Dakora. En vingt-sept ans, cependant, le désert toxique perdit de sa virulence ; il est désormais possible d’y survivre, pour peu que l’on évite les zones les plus contaminées et que l’on slalome entre les foyers les plus mortels, le tout sans exiger une espérance de vie normale...

https://imgur.com/fIUdEkd
La population punk, qui représente 90% de la population générale, vie dans les ruines des agglomérations. Ils survivent tant bien que mal dans le Wasterland, cette terre horrible et morte qui couvre l'ensemble de ce cadavre qu'est l'état du Dakora.

On ignore comment, mais certaines populations civiles parvinrent à subsister dans cet enfer. Sans doute exploitèrent-elles le vaste réseau d’égouts de la capitale et les infrastructures du métro, très développées, comprenant notamment des galeries marchandes et des installations publiques. Malgré tout la quasi totalité de la population disparue avec l'accident, les gaz toxiques et les incidents radiologiques. D'une population de plusieurs dizaines de millions d'habitant on passe à moins d'un demi-million, effectifs qui ne cessent de diminuer depuis car l'on meurt beaucoup plus que l'on nait dans le Wasterland.

Enfin, toujours est-il que ce sont ces survivants, dont la survie elle-même fut longtemps ignoré, qui donnèrent naissance aux clans « punks » que l’on connaît aujourd’hui et qui semblent tenir la capitale ainsi que les ruines environnantes. Enfin si tant est que quelqu'un tient quelque chose dans cet enfer car on ne tient pas une ville quand on se terre dans ses sous sols comme des rats, d'autant plus si l'on donne foi à ces témoignages curieux mais nombreux concernant les horribles créatures que l'on peut rencontrer à la surface si l'on y progresse pas discrètement et avec parcimonie.

photographie. une énorme porte d'abris circulaire dans une masse de béton, dans un sous sol éclairé par des néons. et il y a des mitrailleuses gatling automatiques au mur orienté vers nous  et il y a sur la porte le logo de Parapluvie (en pièce jointe)  et il est écrit : ATTENTION, Accès réservé au personnel de la Parapluvie inc, danger de mort. et il y a des punks squelettiques mort allongés à plat  ventre  devant la porte et avec un flingue dans la main ou proche, et il y a des caméra au mur et des douilles au sol
Une entrée de bunker, fortement armée et dangereuse pour qui n'a pas les autorisations ou n'est pas bien organisé

Quant aux abris, ils demeurèrent inconnus pendant longtemps, et l’on pensa que Parapluvie Inc. avait disparu avec le pays où elle s’était implantée. Pourtant, la firme se fit de nouveau connaître au cours de l’année 2017, en manifestant notamment son intention d’investir dans Cramoisie Inc et en projetant de nombreux clips publicitaires et autres contenus de réclame. Parapluvie Inc. revendique par ailleurs l’administration civile et militaire du Dakora, revendication sans fondement réel : la société ne contrôle qu’une poignée de bunkers et ne dispose nullement des moyens de repousser ou d’éliminer les punks, lesquels sont d’ailleurs, culturellement, leurs ennemis jurés.

En conclusion, le Dakora n’est plus qu’un cadavre toxique où survivent malgré tout quelques centaines de milliers de punks dans les ruines, et quelques dizaines de milliers de corporatistes retranchés dans d’immenses abris. La plupart de ces abris ne répondent plus, beaucoup sont même inconnus et non répertoriés. En somme, d’innombrables zones d’ombre demeurent sur l’histoire et la situation présente de ce pays défunt. Tous les acteurs encore sur place travaillent d’arrache-pied à en découvrir les secrets, mus par une conviction partagée : les entrailles du Dakora recèleraient des choses merveilleuses, ou d’une importance capitale. On ne saurait dire si c’est vrai ; une chose, pourtant, est certaine : les secrets du Dakora existent, et ils sont, à n’en pas douter, terribles.

Notons, enfin, que le grand frère makotan tente d'occuper le pays mais ses pertes sont importantes et jusqu'à présent sa démarche est sans réussite : il n'est pas possible d'occuper le Dakora, on ne peut qu'y survivre. Mais le Makota ne désespère pas d'en prendre le contrôle un jour. C'est pourquoi il stationne des miliciens répartis dans des camps de miliciens, tous dans la centaine de kilomètre des territoires qui jouxtent le Makota.

Mentalité de la population :
La mentalité de la population du Dakora n’a rien d’uniforme ; elle varie du tout au tout selon le groupe considéré. Si l’on met de côté ce qui demeure inconnu ou inqualifiable — et dont le Wasterland peut être l’auteur, car Dieu sait combien il peut se montrer inventif —, on distingue trois ensembles principaux : les habitants des abris, les punks, et les miliciens makotans.

Les habitants des abris sont, pour la plupart, des employés de Parapluvie Inc. Ce sont des corporatistes d’un conformisme absolu, soumis à un mode de vie régi par des règles et des standards innombrables. Leurs existences sont réglées jusque dans les moindres détails par des protocoles stricts, ce qui les rend à la fois léthargiques et paisibles. Leur niveau d’instruction est cependant très élevé, et beaucoup possèdent des facultés cognitives supérieures à la moyenne. En somme, il s’agit d’individus profondément inhibés mais intellectuellement raffinés. Comme tous les habitants du Dakora, ils ont perdu toute notion de décence commune et peuvent, si la logique les y conduit, commettre les pires atrocités avec un détachement glacé. Ils sont toujours impeccablement propres sur eux, jusqu’à l’obsession.

Les punks, quant à eux, sont… des punks. Ils n’ont aucun espoir en l’avenir — et, à vrai dire, le Dakora ne leur donne guère tort. Sales, brutaux, cruels, territoriaux et voleurs, ils incarnent la survie à l’état brut. Pourtant, ils possèdent un goût indéniable pour la liberté et un sens réel des liens sociaux, car ils vivent le plus souvent en clans, autour desquels s’organise toute leur existence. Les punks vivent, ou plutôt survivent, en exploitant les ruines de la capitale. Quelques-uns, plus rares, errent seuls ou en très petits groupes ; on les appelle alors les desperados. Ceux-là sont les plus dangereux : ils subsistent en tuant les autres et en les dépouillant, n’hésitant pas, au besoin, à recourir au cannibalisme.

Enfin, il y a les miliciens du Makota. Ceux-là font figure de « pieds tendres » dans cet enfer. Ce sont pourtant des cowboys d’une rudesse extrême, parmi les hommes les plus endurcis du monde, mais eux aussi sont terrifiés et ne s’aventurent hors de leurs camps retranchés qu’à grand-peine. Ils n’ont jamais atteint la capitale et se contentent de maintenir des colonies éparses dans la première centaine de kilomètre du Wasterland. Ils y perdent beaucoup d’hommes et peinent à progresser dans un territoire qui semble se défendre lui-même. Si l’on en croit leurs récits, le Wasterland serait peuplé d’une infinité de créatures monstrueuses, presque mythiques. Civilisés et presque normaux en apparence, ils peuvent pourtant, lorsqu’ils cèdent à la panique, se révéler d’une brutalité terrifiante.

Place de la religion dans l'État et la société :
Seuls les miliciens makotans sont religieux, les autres n'ont pas de religion très marqué. A priori elle ne joue aucun role dans les clans punks, ni dans les abris de la Parapluvie Inc, mais qui sait ce qui peut se faire ça ou là dans le Wasterland ?


Politique et institutions :



Institutions politiques :

Situation politique
La plupart des territoires sont hors de contrôle, il ne faut pas trop se fier aux zones, elles ne sont pas contrôlées dans la profondeur. C'est indicatif.

En soi, c'est le chaos. Il n'y a pas d'état central. La principale puissance c'est la Parapluvie Inc. mais qui finalement ne tient que quelques abris pour une population totale contrôlée de 50 000 habitants, soit seulement 10% de la population. Mais elle est structurée et ordonnée. En revanche, pour les punks, il n'y a aucun pouvoir central, c'est une confédération de chefferies. Cela dit, la plupart du territoire n'est ni entre les mains de la Parapluvie ni sous le contrôle d'un clan punk. La plupart du territoire n'est pas peuplé (d'êtres humains) et n'a aucune institution. En ce qui concerne les miliciens makotans, ce sont des entreprises privées (de ranchers) supervisées vaguement par l'état du Makota. D'un point de vue général, il ne faut pas compter sur les institutions en Dakora. Sans compter que les quelques autorités qui existent sont souvent dangereuses ou tout du moins imprévisibles.
Principaux personnages :
Mlle Antoinette Dispensier
Président Directeur Général de la Parapluvie INC. : Mlle Antoinette Dispensier, dirigeante de l'abri de Dakoraville.
Théoriquement, il s'agit du chef de l'état du Dakora même si beaucoup d'abris sont de fait autocéphales et si les punks et le Wasterland n'appartiennent à personne (l'essentiel du territoire et des installations sont hors de contrôle). Mademoiselle Antoinette Dispensier est présente dans toutes les communications de la Parapluvie Inc, que ce soit les publicités ou les annonces plus officiels. Il s'agit, apparemment, de la fille du précédent PDG de la firme même si tout cela n'est pas très clair, comme tout ce qui touche à la corporation depuis ces trente dernières années. Il s'agit certainement de la figure la plus connue du Wasterland même si elle est assez largement détesté par ses habitants. Elle ne se déplace jamais qu'avec une puissante escorte, ce qui lui permet d'entrer et sortir sans danger des territoires punks, lesdits punks se faisant petits. L'abri natif de la jeune femme étant dans la capitale, en plein territoire des punks (bien que la plupart des installations connues ou opérationnelles de la firme se trouve concentrées au Nord-Est, dans une vallée que contrôle totalement Paarapluvie Inc.
https://imgur.com/xVROkFf
Zed, le chef des cradocs, l'un des principaux clans de punks de la capitale
Évidemment, il existe des centaines de clans de punks, mais les Cradocs et leur chef Zed sont certainement les plus respectés et craints de tout le Wasterland. Zed fait donc figure de coordinateur des punks. Enfin dans l'absolu c'est un fou servi par des désaxés, cela dit il fait souvent figure d'homme sympathique et traitable.

Photographie couleur, de nos jours, dans un camp militaire genre cowboys avec tentes et chevaux et feux de camp et palissades de bois mais des années cinquante, un homme en uniforme américain des années cinquante de général et la moustache et un stetson sur la tête et un cigare en bouche discute avec d'autres militaires en uniforme et avec en stetson et pardessus de cuir genre cowboy, ambiance post apo, au loin on voit des ruines d'une ville. Tout le monde à un révolver à la ceinture dans un holster de cuir, tout le monde porte des bottes de cuir
Le général ** Jean Lye est le commandant des forces d'occupation du Makota en Dakora.
C'est un homme au fort sens pratique et qui est doté d'un solide sens pratique, ce qui est indispensable pour diriger cette armée de volontaires et de colons on ne peut plus indisciplinés et anarchiques, pour ce faire c'est un cowboy qui comprend l'esprit cowboy. Il vient de la cavalerie, l'armée de métier du Makota, mais il ne doit ses étoiles qu'au fait qu'il ai accepté de prendre la direction de cette armée disparate d'agents semis privés et largement civils.

Politique internationale :
Le Dakora est un état mort, c'est un cadavre. Il n'a donc aucune diplomatie et n'a plus aucune volonté. Cependant, il demeure un sujet passif des politiques d'autres pays. Principalement du Makota qui travaille, sans succès, à l'annexer et qui, pour se faire, s'obstine à l'occuper bien qu'encore très superficiellement et au prix de pertes considérables du fait d'une attrition vertigineuse qu'il est difficile de bien comprendre.

Cependant, dans cette amas de débris toxiques, il demeure une entité internationale et économique, seule survivante de l'ancien monde à encore habiter dans ces terres dévastées (ou plutot sous ces terres dévastés, dans de vastes abris) : la Parapluvie Inc. Et cette multinationale, qui vient à peine de redonner signe de vie après presque trente ans de silence compte bien investir massivement en Cramoisie et en faveur de la BNE (elle croit beaucoup en l'avenir des populations blanches en tant que Race, pour elle le monde fonctionnerait beaucoup mieux si il n'était peuplé que de grands dolichocéphales blonds ).

Pour ce qui est des punks, il va de soi qu'ils ne font pas de diplomatie. Techniquement, si un pays étranger s'invite en Dakora, militairement ou par des services d'intelligence, personne ne peut rien dire car le Dakora est en soi une terra nullia. Implicitement, elle est revendiquée par le Makota (et le Makota, si il n'est pas menaçant en terme de Grande Guerre peut devenir cauchemardesque dans le cadre de la petite guerre, du fait de son expertise en terme d'équipement d'infanterie et de son sens de l'initiative privée ou familiale).

[En bonus]Clip vidéo de recrutement de la Parapluvie inc. :


Les Quatre factions à créer
Le pays est morcelé de base, non pas parce qu'il ne forme pas un tout : le Dakota est une entité géographique cohérente, mais parce qu'il est soumis à des autorités et des principes de vies profondément incompatibles. Les quatre factions se retrouvent naturellement dans la fiche ci-dessus. Il n'y a plus de faction gouvernementale depuis les années 90 et de toutes les corporations qui se partageait le pays, seule la Parapluvie semble avoir survécu, au Nord-Ouest les Makotans tentent de leur mieux mais sans grand succès de conquérir le pays mais ils peinent à conserver les territoires qu'ils tiennent déjà, au centre les punks survivent comme ils peuvent dans le ventre de la Mégalopole qu'était Dakoraville, et Parapluvie contrôle les alentours des quelques installations avec lesquelles elle n'a pas perdue le contact, la plupart des territoires, enfin, sont entre les mains du Dakora dévasté ou Wasterland, terre déserte et couverte en permanence d'un smog aux propriétés inconnues et surprenantes.
[DAKORA] Dakora sous administration Makotane
Drapeau :
https://imgur.com/C7ZBNey
Population : 60 000 (les colons makotans, indistinctement soldats et pionniers)
Armée : 0 professionnel (je ferais un flux militaire du Makota a validation)
Points bonus tech et armées : 0 (est une émanation du Makota)
Province : 7959;7761;7762;7763;7958;7566;7369;
Concept : La partie occupée par les volontaires du Makota.

[DAKORA] Les Clans Punks
Drapeau :
https://imgur.com/C7ZBNey
Population : 500 000 (les derniers survivants de la Mégalopole)
Armée : 5 000 professionnels
Points bonus tech et armées : 0 (des barbares)
Province : 7765;7764;
Concept : Les survivants civils qui depuis le 5 mai 1990 vivent dans les entrailles de la mégalopole qu'était Dakotaville. Les derniers des dizaines de millions d'hommes et de femmes qui vivaient là. Maintenant ce sont des punks, luttant pour survivre, cherchant perpétuellement de la nourriture, des drogues et de la bière. C'est une société clanique et violente. Les Kradocs entre les mains de Zed tiennent plus ou moins le rôle de chefs, si tant est que ce soit possible.

[DAKORA] Parapluvie Inc.
Drapeau :
Drapeau
Population : 50 000 (Les habitants des abris qui répondent encore)
Armée : 5 000 professionnels
Points bonus tech et armées : 100%, si il est possible c'est eux qui peuvent avoir les points bonus
Province : 7960;7961;
Concept : Les habitants des abris. Ils n'ont pas connu l'Apocalypse mais ils ont connu l'enferment sous terre, les protocoles pour toutes action, la promiscuité totale et les recherches plus ou moins éthiques que la Parapluvie Inc., corporation qui ne nie pas qu'elle travaille à l’avènement du surhomme (qui est une sorte de scandinave culturiste fan sciences et de culture). Paradoxalement, si sur le plan physique ils sont impeccables, ce sont certainement les plus anthropologiquement éloignés de l'humanité normale hors Dakora.

[DAKORA] Le Wasterland
Drapeau (pas un drapeau) :
Drapeau
Population : 1 (Le minimum possible, de fait 0)
Armée : 0 professionnels (c'est dévasté et sans population permanente)
Points bonus tech et armées : 0, il n'y a pas de groupes humains
Province : 8354;8157;8156;8552;8355;8158;7962;7172;7370;7567;7568;7371;7569;7963;7766;7964;7767;7570;7373;
Concept : Les terres dévastées du Dakora. Un désert toxique et radiologique où plus rien ne semble pouvoir vivre. Des ruines pleines de cadavres et où plane en permanence un curieux brouillard sordide et toxiques aux propriétés méconnues. Il s'agit certainement de l'endroit le plus dangereux sur terre car il s'agit d'un enfer fabriqué spécialement par l'homme et pour l'homme. Si l'on en croit les quelques fous qui l'explorent ou le traversent, il s'y trouverait des choses tellement horribles que l'esprit humain ne pourrait pas en supporter la vision...
Informations Générales
Nom de votre NJ : Les terres dévastés du Dakora (et les pays qu'on y trouve)

Continent : Aleucie

Type de Régime : Variable : L'Administration est une autocratie militaire, la Parapluvie une société étatique, les Punk un despotat, et le Wasterland est désert (il semblerait)

Considérations religieuses générales
Religion du régime : ( Si il s'agit d'une religion profane ou matérialiste indiquez le en précisant qu'il s'agit d'athéisme, de positivisme, de communisme, de philosophisme ou d'illuminisme, etc.) Volignonisme pour l'Administration du Dakora, vague illuminisme pour la Parapluvie, et trop chaotique pour les Punks. Evidemment c'est sans objet pour le Wasterland.

Statut de la religion du régime : (Quel statut concret et légal a cette religion ? Est-ce également la religion du peuple ? Qu'est-ce que cela implique concrètement pour les autres religions en général et l'Eglise volignonaise en particulier ?) Religion d'état organique pour l'Administration et la Parapluvie, et rien pour les punks et le Wasterland.

Proportion des religions dans la population générale :
(inutile de descendre sous le pourcent)
  • Pas de religion revendiquée 80%
  • Volignonisme 10%
  • Illuminisme10%
Recensement de l'Eglise Volignoniste

Nombre de Volignonistes (fidèles et clergé) : 50 000

Dont un clergé composé de :
  • 1 évêques (en général il y a un évêque pour 100 000 fidèles)
  • 50 prêtres (en général il y a un prêtre pour 1 000 fidèles)
  • 5 religieux (en général il y a un religieux pour 10 000 fidèles)
  • 100 religieuses (en général il y a une religieuse pour 500 fidèles)

Décrivez cette communauté en quelques lignes Seule l'Administration Militaire du Dakora dispose de son clergé, la religion a peu ou proue disparue ailleurs. Les autres nations du Dakora ne disposent plus d'un clergé structurel et orthodoxe, bien que l'on trouve des choses étranges chez les punks (des missions seraient en préparation). Il n'y a plus rien dans les térritoires de la Parapluvie qui, en bonne entreprise capitaliste, est matérialiste et tient donc une laîcité forcenée sous fond d'illuminisme modéré

Quelles sont les limitations légales/vexations/persécutions que votre régime impose à votre communauté volignoniste ? (quels sont les traitements injustes ou inhabituels qu'ils subissent et quelles sont leurs revendications, légitime ou non. Cela permet de donner des aces d'intrigues au besoin)
Il n'y a aucune vexation d'un point de vue général, seule la Parapluvie ne veut pas voir de précheurs dans ses abris mais tolère le reste. Les punks sont intrigués par la religion et ne seraient pas hostile à entendre des précheurs. Pour l'Administration, c'est simple, l'Etat et l'Eglise ne sont pas séparées.


Listez les RPs concernant de près ou de loin cette religion : (Facultatif)
Aucun RP sur le sujet pour l'heure (ça viendra en son temps)
QUESTIONNAIRE SUR LES SYSTÈMES MÉTRIQUE ET IMPÉRIAL ET LEUR ADOPTION NATIONALE
Université de Manticore - Département histoire.
Statut : Terminé


SECTION I : CONTEXTE GLOBAL

  • Nom du pays :
  • Dakora (toutes ses composantes).

  • Quel est le nombre d'habitants de votre nation ?
  • 500 000 habitants.

  • Quel est le régime politique votre nation ?
  • Pour l'Administration Militaire : junte ou autocratie militaire / Pour les Punks : despotat / Pour la Parapluvie : entreprise étatisée / Pour le Wasterland : N/A

SECTION II : SYSTÈME EN PLACE ET HISTOIRE

  • Quel(s) est(sont) le(s) système(s)s de poids et mesures en place au sein de votre nation ? Si besoin, décrivez votre système de poids et mesures. En cas d'adoption officielle, veuillez inclure la date.
  • ⁣ Dans tout les cas, il s'agit du systême métrique et de l'ensemble de ses composantes : mètre, gramme, litre.

  • Quels sont les phénomènes sociaux, économiques et internationaux qui ont amené à l'adoption officielle ou officieuse du système actuellement utilisé ?
  • ⁣⁣ Aucun, comme pour le Makota, les colons sont venus avec (et l'on conservé)

  • Quels sont les phénomènes sociaux, économiques et internationaux qui ont amené au rejet des autres systèmes ?
  • ⁣ Aucun

  • Quelles sont les actions par les autorités politiques, les acteurs économiques, sociaux, etc afin de favoriser l'implantation du système adopté ?
  • ⁣⁣ Aucune

  • Comment la transition d'un proto-système à un système (ou d'un système à un autre système) fut vécue par les différentes couches de votre société ? Décrivez la réaction des secteurs d'activités (industries, commerces, et de la population) ?
  • Aucune réaction⁣

SECTION III : PROTO-SYSTEME

  • Quels étaient les moyens de mesure avant l'instauration d'un système "codé" ? Vous êtes invités, bien que ça soit facultatif, à décrire les différents moyens durant les différentes périodes historiques "classiques".
  • Il n'y avait pas de proto-systême⁣

  • Comment ces "proto-systèmes" étaient-ils normalisés/uniformisés au sein des territoires ? Existaient-ils des autorités (religieuses, politiques, scientifiques, économiques) qui codifiaient lesdits proto-systèmes ?
  • /⁣


SECTION IV : DE NOS JOURS

  • Depuis le début de ce siècle, y a-t-il eu une remise en cause du système actuel par l'ensemble de la société ou un pan de cette dernière (industriels, commerces, population, etc.) ? En cas de remise en cause, veuillez développer les causes de cette remise en cause.
  • ⁣ Non

  • Existe-une volonté politique de réformer le système de poids et de mesures ? Volonté d'uniformisation, création d'un comité scientifique, référendum sont des exemples.
  • ⁣ Non
Généralité :

Nom du pays : Les Terres dévastées du Dakora et l'ensemble des pays qu'on y trouve
Participation à la première course spatiale : NON
Participation à la deuxième course spatiale : NON
Je souhaite faire arbitrer mes lancements et missions : NON (Pour que les lancements compte dans la seconde course à l'espace, seul les lancements en lien avec la course à l'espace sont obligé d'être arbitré pour compté dans la course, vous pouvez aussi demander à ce que d'autre lancement soit arbitrer mais cela est complètement optionnel.)
Pourquoi votre pays investit dans l'espace si il le fait et sinon pourquoi : [Réponse libre] De son vivant, le Dakora investissait dans l'espace mais il n'a pas eu le temps d'en voir les fruits. Aujourd'hui les sites de lancement, car ils existaient vraisemblablement, sont perdus.

Capacité spatiale actuelle :

Nombre de site de lancement : (Exemple : quatre, mais un est sur le point de fermer car il est trop loin de l'équateur et les coûts sont trop elevé par rapport au nouvelles aires) 0
Nombre de pas de tir en tout : (Exemple en continuant comme celui d'avant : neuf, mais deux vont fermé à cause de la fermeture du site) 0
Nombre de lanceur actuel : (C'est les fusées construite et soit pas utilisée [soit encore utilisable : déblocable avec la technologie de lanceur réutilisable, pour l'instant personne à part l'Everia la rp]) 0
Site de contrôle au sol pour les satellites : (nombre) 0
Carte de l'ensemble des infrastructure cité au dessus avec légende (optionnel) : Non

Satellite : Vous donnerez si dessous le nombre de chaque satellite que vous possédez pour chaque type et ceux en cours, soyez mesuré s'il vous plait. (Voici la forme : quatre et deux en cours d'ajouts)

  • Satellite de communication (relais télécom, TV, Internet) : 0
  • Satellite de navigation (positionnement et géolocalisation) : 0
  • Satellite d’observation de la Terre (télédétection) : 0
  • Satellite météorologique (suivi du climat et du temps) : 0
  • Satellite scientifique (recherche fondamentale et spatiale) : 0
  • Satellite d’exploration spatiale (étude d’autres corps célestes) : 0
  • Satellite militaire (communications et opérations stratégiques) : 0
  • Satellite de reconnaissance (imagerie militaire haute résolution, satellite espion) : 0
  • Satellite de géodésie (étude de la forme et gravité terrestre) : 0
  • Satellite de recherche technologique (test de nouvelles technologies) : 0
  • Satellite de surveillance maritime (trafic naval et pollution) : 0
  • Satellite de surveillance forestière (incendies et déforestation) : 0
  • Satellite de surveillance des glaces (fonte et dynamique polaire) : 0
  • Satellite de cartographie (production de cartes précises) : 0
  • Satellite de télédétection minière (prospection de ressources) : 0
  • Satellite de gestion des catastrophes (alerte et suivi de crises) : 0
  • Satellite de surveillance volcanique (activité éruptive) : 0
  • Satellite de qualité de l’air (pollution atmosphérique) : 0
  • Satellite océanographique (étude des mers et courants) : 0
  • Satellite agricole (suivi des cultures et rendements) : 0
  • Satellite urbain (planification et expansion des villes) : 0
  • Satellite de détection des incendies (repérage rapide des foyers) : 0
  • Satellite écologique (suivi des écosystèmes et biodiversité) : 0
  • Satellite de calibration (vérification d’autres instruments orbitaux) : 0
Nom du pays : Les Terres dévastées du Dakora et les états qu'on y trouve (c'est à dire l'Administration Militaire, les Punks et la Parapluvie)

1-De 0 à 10, à combien notez vous la culture générale des habitants de votre pays ? 3,6
Note : Ils viennent d'une civilisation très avancée mais depuis l'effondrement, plus personne ne va à l'école, donc on passe de 8 à 2 chez les punks, on reste à dix chez Parapluvie, et quelque chose comme 6 dans l'Administration, ça fait une moyenne pondérée de
Justification (falcultatif) : /

2-Est ce que, oui ou non, l'entrée au bâtiments culturels et payante ? Le prix est-t-il réduit pour les étudiants ?
Réponse Les entrées sont gratuites puisque l'ensemble des endroits culturels ou presque sont abandonnées.
Justification (facultatif) : /

3-Quel pourcentage de la population va à la salle de sport au moins une fois par mois ?
Réponse :20%, les gens de la Parapluvie sont tenus d'y aller plusieurs fois par semaine dans le cadre du programe d'entretient physique de la société, l'Administration Militaire le préconise, les punks ont d'autres préoccupation ...
Justification (facultatif): /

4-Quel est le PIB par habitant ?
Réponse : 66K mais en constante augmentation à vitesse grand V (mais entre les états les différences sont abyssales)

5-Quel est le PIB total de votre Pays ?
Réponse 33 milliards

6-Quel pourcentage de la population à accès à l'eau ?
Réponse : 20 %

7-Votre pays est il en guerre civile ou en situation de crise ?
Réponse : Oui, il a connu l'Apocalypse (il en est mort d'ailleurs)

8-Quel est le pourcentage de la population habitant en ville ?
Réponse 100 % de la population vie en ville ou dans des endroits retranchés, l'extérieur est trop dangereux.

Votre pays contient-il un désert médical ?
Réponse : C'est un désert tout court ...

Quel est le pourcentage de la population pouvant subvenir à leur besoins alimentaires ?
Réponse : 20%
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