15/06/2018
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[INSCRIPTION] Côte Albine (non achevée)

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Création de pays : Côte Albine


Généralités :



Nom officiel : Seconde République de Côte Albine / Second Republic of the Albine Coast
Nom courant : Côte Albine
Gentilé : albin, albine

Inspirations culturelles : Monde anglophone dans sa globalité
Situation géographique :
Carte de la Côte Albinecarte

Langues officielles : Anglais
Autres langues reconnues : Nohord et Allemand

Drapeau :
Drapeau
Le "2015", du nom de son année d'adoption définitive, dresse le portrait d'une nation se cherchant dans la beauté de son relief. De haut en bas : la bande bleue claire représente le ciel de la Côte Albine, en son centre on retrouve le symbole du pays qui est l'Aigle portant le soleil, faisant référence au poète et 1er président Christopher Fredrickson. Plus bas, la bande blanche représente les hautes falaises des côtes du pays, enneigées la moitié de l'année et véritable symbole national. La bande bleue foncée et les vagues d'écume blanche représentent l'océan agité responsable du climat humide et froid du pays.

Devise officielle : "The eagles are flying" "Les aigles volent"
Hymne officiel :
Sélectionnée en 2015 pour être l'hymne national, cette chanson d'un groupe albin représente alors selon le gouvernement provisoire de 2015 l'esprit général du pays, optimiste et cherchant à aller de l'avant. A un moment dans la chanson, on entend le prénom "Thom", qui est dans la culture albine un des noms les plus utilisés pour désigner le peuple, les Thoms (du fait que pendant deux siècles, ce prénom était le plus répandu, devant même sa forme original Thomas).
Monnaie nationale : la Stone (St)

Capitale : Castham (512 000 habitants)

Population : 7 239 900 habitants


Aperçu du pays :



Présentation du pays :
Depuis son indépendance vis-à-vis de l'Empire du Nord, la Côte Albine a alterné entre calme et crises intenses, et n'est honnêtement pas doué dans l'art de la mesure. Aujourd'hui, elle traverse une période de crise intense : depuis la Crise de 2001, une série de gouvernements se sont succédés sans vraiment durer, la Communale (Parlement) a été révoquée 6 fois et la Garde Nationale s'est hissée deux fois au pouvoir violemment, la première fois pour ne durer que deux mois au pouvoir, la seconde fois pour durer 3 ans, depuis 2015 en renversant le Second Gouvernement Provisoire.

Aujourd'hui, la mainmise du lieutenant général Pierson et de sa Junte Militaire sur le pouvoir vacille - et n'a d'ailleurs jamais été vraiment stable au cours de ces 3 dernières années. Le peuple porte sa colère dans la rue et on pourrait bien voir une quatrième révolte populaire renverser un gouvernement en place. Alexander Pierson mène un gouvernement de dictature militaire comptant imposer un pouvoir autoritaire et durer longtemps, bien qu'il prétende le contraire, affirmant que son gouvernement n'est que provisoire et n'a pour simple objectif que de stabiliser la situation du pays et paver la voie vers une démocratie durable. Pourtant, depuis ces 3 ans, aucune amélioration n'a été constatée. La constitution a été suspendue afin de permettre une politique de terreur, les libertés sont inexistantes et les conditions de vie de la population sont toujours plus mauvaises, ainsi que l'économie. Cette politique de terreur ne fonctionne même pas étant donné que la défiance envers le régime est toujours plus forte chaque jour que Dieu fait.

Contre la Junte Militaire s'est formé un réel front. Les supports de Pierson, en 2015 si vocaux concernant leur support de la dictature, se font aujourd'hui extrêmement discrets, car en face tous les opposants à la Junte se sont unis dans ce qu'on appelle le Congrès de Candhart : une union de tous les bords et mouvements, républicains et en faveur de la démocratie. De la gauche révolutionnaire communiste du ARM (Albine Revolutionary Movement) jusqu'à la droite conservatrice du Nation Foremost en passant par les centristes des Radicals, ils ont tous jurés de mettre de côté leurs différents idéologiques et faire front commun pour le retour à la démocratie. Dirigés par le radical Thom Wilson, ils imposent un ultimatum à Pierson :
Charte du Congrès de Candhart a écrit :"Forts du soutien populaire, unis malgré nos dissensions, attachés à nos différences et confiants en une cause commune, nous parlons d'une seule voix. Nous, la démocratie. Nous, la République. Nous, le peuple. Nous, à Candhart, déclareront la guerre à la tyrannie du lieutenant général Alexander Pierson, et feront sécession du régime abject de la Junte Militaire si la Garde Nationale ne quitte pas le pouvoir d'ici les plus brefs délais. Si le Front Républicain ne voit pas ses exigences satisfaites, nous nous lèverons et, mieux armés que les rumeurs le prétendent, mettront fin au règne de sang et de terreur de Pierson qui ruine le pays depuis maintenant trois ans."
Histoire du pays :
Années 1000 - 1300 : NataliaDes tribus natives se sont brièvement installées sur le territoire vers ce qu'on estime le début du 2nd millénaire, celles qu'on appelle aujourd'hui les tribus occidentales. Cependant, sans que la cause soit trop connue, elles sont toutes reparties probablement avant la fin du XIIIe siècle. Elles ont laissées des traces : autour de Triersburgh, on trouve le Parc historique de Natalia, ou on a trouvé une dizaine de cimetières natifs, presque une cinquantaine de sites en tous genres de ces tribus qui nous ont même laissés des écrits qu'on ne peut malheureusement pas traduire, l'alphabet nous étant indéchiffrable. On a aussi trouvé des sites avec des squelettes et cadavres enfouis sous terre nous laissant suggérer des affrontements passés. On pourrait théoriser que les raisons de leur départ fut le climat trop peu hospitalier ou le manque d'animaux à chasser. La phase des tribus occidentales est le grand mystère de l'histoire albienne, qui attire encore aujourd'hui la curiosité des archéologues albiens.
Années 1630 - 1823 : Formation de la nation albineLa Côte Albine ne fut que très peu fréquentée après le XIVe siècle. Quelques fois explorée par des natifs ou par les Caratradiens nouvellement installés depuis le Tir Larthair, les premières colonisations remontent aux années 1630.

A partir des années 1630, Caratrad pousse une dizaine de milliers de colons à l'ouest de Festland pour coloniser les terres inhabitées des collines de Hoch. Ces colons poussés hors des terres de Tir Larthair sous prétexte d'expansion des terres de Sa majesté sont des indésirables : un mélange non orthodoxe de Kentois et de Scandinaves ayant - comble de l'horreur - commencé à ériger un culte chrétien basé sur des apparitions de la Vierge Marie dans les ruralités de Festland. Ces vagues se rejoignent la ou la ville de Candhart va être fondée en 1632 et, piqués dans leur dignité d'avoir été exclus de Festland, vont se forger très rapidement leur propre identité basée sur les valeurs suivantes dites pures : dignité, libre arbitre et fierté. Les générations se succèdent au Festland de Candhart et leur appartenance à Caratrad est de plus en plus vue comme une honte et questionnée. Entre 1650 et 1690, le 'Pamphlet de Hoch' circule moquant la loyauté des colonies Aleuciennes à la couronne, avançant le fait qu'il est ridicule qu'un pays si loin du continent Aleucien exerce sa volonté en Festland et qu'une nation propre à l'Aleucie se développerait automatiquement. Provoquant la polémique, il est interdit dès 1652, mais réimprimé et réédité plusieurs fois. Le pamphlet aura une importance capitale dans le développement de la culture albine. Le 'club des albins', formé en 1693 par des philosophes et hommes de lettres, dirigé par l'écrivain Thom Creed et ayant pour base idéologique le Pamphlet de Hoch, devient un avocat majeur de la 'Question', c'est-à-dire, la remise en question du statut des colonies Aleuciennes. Ce club, devenant célèbre en Festland, est à l'origine de multiple débats de Candhart jusqu'à Sicherkrik et deux camps se distinguent entre les albins (partisans de l'autonomie) et les loyalistes (partisans du statu quo). Ces débats aboutissent à la Grande controverse de Fitswill (1703-1705) et aboutissent à la conclusion que le Festland devrait être divisé en deux : la Terre Blanche avec pour siège Candhart qui disposerait d'une autonomie presque complète sur sa direction et le Tir Larthair avec pour siège Sicherkrik. Le club des albins porte donc ses positions auprès de Bryngaerdinas Pyl en 1807 et revient en 1809 avec la Séparation Aleucienne : la Terre Blanche est donc créée en tant que colonie autonome. Cependant, la faction radicale indépendantiste de Christopher Fredrickson prend le pouvoir dans le club dès 1711 et réussit à rependre le mécontentement sécessioniste en Terre Blanche contre la couronne. Une seconde mission est dirigée vers Bryngaerdinas Pyl en 1714 par Christopher Fredrickson et réussit deux ans plus tard à obtenir l'indépendance de la Terre Blanche lors du traité de 1716 sous conditions qu'aucune action militaire ne sera jamais menée contre Caratrad et surtout Festland et que des concessions économiques soient faites pour le Caratrad sur 150 ans.

La Terre Blanche, maintenant indépendante en 1716 et sous l'impulsion de son premier président Christopher Fredrickson (1716-1728) rédige très rapidement sa propre constitution (stipulant notamment que le Président, élu du peuple, termine son mandat sur la vote de la Communale) et constitue sa propre force armée. Économiquement, pour payer son indépendance vis-à-vis du Caratrad, il accorde aux sociétés d'exploitation forestières et minières Caratradiennes d'énormes concessions sur la région de la source de la rivière Potomonca (dans la carte, passant par Candhart). Ces concessions sur cette région juteuse forcent la Terre Blanche à s'étendre plus au sud le long de la rivière et plus à l'ouest le long du massif d'Hoch. Dans l'actuelle province d'Hoch's Hill s'est bâtie le prototype de l'industrie actuelle du bois tandis qu'en Cliffbroken, des cités portuaires ont étés construites et des grosses mines de fer et d'or ont été découvertes et exploitées par sociétés privées dont la prolifération a été favorisée par le président Lewis Caserton (1733-1749). Au fil des années, politiquement, des partis différents du club des albins se forment et les mandats se succèdent, le trésor grandit, comme pour la population avec près de 900 000 habitants vers les années 1780. Entre 1780 et 1820, les politiques de course expensionniste vers le sud continuent jusqu'à établir une frontière commune avec l'Empire du Nord dans les actuels Sunendshire et South Albine et la culture de la Terre Blanche s'exporte de plus en plus au Duché de Triersbourg dont nous allons parler en bas.

Au sud, des colons en provenance de l'ancienne Union des Territoires Aleuciens Libres (UTAL) nouvellement proclamée s'installent en South Albine dès les années 1780 pour s'épanouir dans leur recherche de nouvelles occupations, de nouveaux horizons - on sait aussi qu'il y a une volonté de repartir sur leurs propres bases après la guerre d'indépendance de l'UTAL, sur une nouvelle nation de langue Kentoise (ces colons aujourd'hui baptisés les Trierais ayant une forte affinité avec cette langue). Sur les terres colonisées ont été construites Christbourg et, un peu plus tard lors des expansions vers le Sunendshire, Triersbourg, mais une dizaine d'années plus tard en 1782, les forces armées de l'UTAL de Rowan McHarper marchent sur ces terres lors de la guerre de 1782 : suite à la bataille de Blackforest le 16 mai, ou des milices coloniales de 5 000 hommes attaquent l'armée de 7 000 hommes de l'UTAL commandée par l'implacable général Albert Tillard, les forces de Tillard, allant initialement droit sur Triersbourg, changent de cap et incendient Christbourg jusqu'à la ruine. Ainsi, arrivés devant la ville de Triersbourg, l'armée de Tillard entre sans rencontrer de résistance dans la ville et proclame au nom d'Estham le Duché de Triersbourg le 28 juin 1782. Entre 1782 et 1820, les gouverneurs se succèdent mais la destruction de Christbourg ne passe pas auprès des colons, traumatisés, qui se révoltent assez souvent. De plus en plus perméables à la culture albine, les colons rebâtissent Christburgh et l'anglicanisent sur un style architectural albin et renient de plus en plus l'UTAL comme modèle culturel et autorité. A partir de 1820, certains collectifs de résistance et leurs têtes pensantes telles que Thom Millard et Alexander Cottson, voyant le développement rapide de la Terre Blanche, commencent à revendiquer une identité très proche des albins de Terre Blanche et en appellent à l'aide auprès du président Richard Creeves (1816-1829). Fin septembre 1820 dans Christbourg éclatent de violentes émeutes (facilement déclenchés par ces collectifs) se répandant jusqu'à Triersbourg difficilement contenues par les garnisons sur place et de plus en plus de milices ouvertement indépendantistes se forment, affrontant directement les armées de l'UTAL. Richard Creeves, voyant l'opportunité de rallier un nouveau territoire au pays, répond discrètement à l'appel en permettant à sa population de se porter volontaire pour porter aide à ceux qu'il appelle les 'sud-albins', le seuil maximal de volontaires est de 8 000 hommes et femmes. Le plus célèbre des volontaires est le général Nicholas Spurton et ses 2 000 soldats formés dans les tactiques de harcèlement et la guérilla. Ce nouveau venu relativement peu connu de l'UTAL aide cependant les colons à gagner leur indépendance en 1822 avant que Triersbourg proclame officiellement son ralliement à la Terre Blanche en 1823

Années 1823-1938, Côte Albine

Années 1938-1948, Occupation fasciste de l'Empire du Nord

Années 1948-Aujourd'hui, Seconde République de Côte Albine

Mentalité de la population :
Le peuple albin est une population qui a soif de paix et de stabilité. Après avoir passé plus d'une quinzaine d'années dans une crise profonde et qui ne semble pas vouloir s'achever, la transformation du peuple dans ses mœurs est radicale. C'est un peuple qui s'ancre définitivement dans une gauche réformiste et socialiste (dans certains pans de la société pencherait même vers une gauche marxiste et révolutionnaire) et qui rejette de plus en plus le conservatisme moral, l'austérité économique et l'ermitage diplomatique promu depuis des décennies par une droite et extrême droite brutale. A l'égard de sa propre culture, l'albin adopte un certain recul et est prêt à montrer de l'intérêt vers le monde et les autres cultures. Dans sa globalité réputé pour être dans l'expectative concernant le chemin que prend son pays, l'albin fait l'objet de nombreuses moqueries par ses propres humoristes, on pourrait presque parler d'une certaine forme de paresse, passivité et désintérêt politique, même si une nouvelle génération, marquée par les évènements post-2001, remplace la tendance du laisser-aller des anciennes générations par une impétuosité et une volonté d'assurer plus que jamais un avenir libre à la Côte Albine.

Place de la religion dans l'État et la société :
Bien que la constitution de 1974 indique clairement que la politique religieuse de la Côte Albine est laïque et séparée de l'église, la Junte Militaire, affichant clairement son dégoût de cette constitution qu'elle a suspendue, est en négociation avec l'Église Chrétienne Albine afin de réintégrer durablement ce clergé dans la gouvernance nationale. Ainsi, en 2015, le premier décret signé par la Junte est de proclamer le christianisme albin (clergé ayant fait sécession de l'autorité papale et se constituant comme église nationale à la structure catholique, avec son propre chef : le Cardinal) religion d'état et le second décret jette à la poubelle les divisions régionales et départementales pour les remplacer par les diocèses administrés par le clergé (sauf pour la Garde Nationale).
Cependant, dans la société, la foi n'est pas aussi populaire. Depuis le début ou le milieu du XXe, la part de croyants dans la population ne cesse de diminuer, passant de 82% en 1930 à 51% en 2010. Dans cette population croyante, 72% se déclarent albichrétiens, 16% catholiques et 8% juifs. Et selon les différents clergés, cette population ne fréquente que très peu ses lieux de cultes, donc on pense que moins de la moitié de cette population croyante est aussi pratiquante. Si cette dynamique d'abandon de foi s'accélérait depuis le passage à la 3ème République de 1974, la Crise de 2001 et sa continuation actuelle voit un ralentissement de cet abandon et dans certaines régions une augmentation des baptêmes chez les albichrétiens.


Politique et institutions :



Institutions politiques :
Ici sera listé les différentes institutions post-Junte. La Junte Militaire est administrativement vide, c'est juste une grossière dictature de l'armée qui fait exécuter tout ordre des chefs de la Garde Nationale, sans qu'aucun organe gouvernemental ne soit utilisé.

Exécutif
Le gouvernement - Le président, élu tous les 4 ans au suffrage universel pour un mandat renouvelable une fois, est le chef d'état de la Côte Albine, il est élu avec son vice-président. Il ordonne et signe les décrets présidentiels. Le vice-président est le directeur du cabinet et agis au nom du président, il va soumettre à la Communale le gouvernement voulu par le président et les lois voulues par le gouvernement, c'est le garant de la communication entre le législatif et l'exécutif.

Législatif
La Communale/the Commons Chamber - Seule et unique chambre législative à l'échelle nationale, avec 97 membres : un par commune (4 communes = une province, la province de Castham étant la capitale, elle est une commune unique représentée par un seul membre). Les représentants élus tous les 2 ans au suffrage universel votent les lois et la liste de cabinet soumise par le vice-président dès l'élection du président.

Judiciaire
Conseil constitutionnel/Constitutional council - Aussi appelé la 'Cour des Sages' pour leur réputée impartialité et pragmatisme, le conseil a pour rôle unique de veiller au respect de la constitution et peut : avertir le gouvernement d'un abus de pouvoir, invalider une action de l'exécutif ou même activer la Procédure 0 (déclenche une action en justice contre l'intégralité du gouvernement lorsque l'État de Droit est en danger clair pour le renverser et poursuivre en justice ses membres, dès fois, la mesure peut aller jusqu'au renvoi de la Communale et sa reconstitution, ou même à la refonte complète de tout le système étatique - c'est arrivé une seule fois dans toute l'histoire albine). Ils sont remplacés tous les 20 ans et élus par les juges de la Cour de Justice.
Cour de Justice/Justice Court - Gère et surveille la justice albine au nom de la constitution. La cour va toujours prioritiser les décisions du conseil constitutionnel, qui sont tout de même assez rares. Elle va administrer les barreaux, les tribunaux et leurs représentants sont les juges, rendant les décisions au nom de la Cour de Justice. La gestion de la Loi Pénale leur revient aussi, lorsque le ministre de la Justice passe un décret ou qu'une loi du domaine pénal est voté, ils vont la mettre en application.

Autres
Trésorerie Albine/Albine Treasury - Aussi appelés les 'lions d'or', l'institution prend en charge la monnaie albine et son cours (donc tout ce qui a attrait à ses taux d'intérêts, à sa valeur et à son imprimerie). Il est aussi en charge de la sécurité du Trésor national (ses réserves d'or et la propriété directe de l'état) et est la source officielle de toute statistique concernant l'économie du pays.
Garde Nationale Albine/Albine National Guard - Unique organe des forces de l'ordre, la Garde Nationale est née de la fusion des forces de police, de maréchaussée (gendarmerie) et de forces d'autodéfense (armée) dans l'objectif de simplifier sa gestion. Elle assure la sécurité de ses citoyens et la défense de son territoire.
Les régions - Gouvernées par des collégiales de 30 élus changeant au vote tous les 2 ans, elles ont un pouvoir absolu sur le trésor régional et peuvent prendre des décisions indépendamment sur tout ce qui concerne la région (sauf au niveau administratif) et disposent aussi d'un pouvoir d'appel à la Garde Nationale - pendant un maximum de six mois, la Garde Nationale est mobilisée au service de la région directement - en revanche, elles se trouvent directement sous la tutelle de Castham. Les provinces, subdivisions des régions, sont elles dirigées par les présidents de commune, qui sont élus tous les 4 ans et donc officiant par collégiales. Au sein des communes, le président de commune est maire de la ville siège de la commune.

Principaux personnages :
- Junte Militaire :
Alexander Pierson (81 ans), lieutenant général de la Garde Nationale Albine (GNA) et chef de la Junte
Richard Newman (50 ans), colonel préfet de la GNA, région de North Albine et porte-parole de la Junte
Thomas "Thom" Yorker (57 ans), colonel préfet de la GNA, région de Hoch's Hill et responsable à la culture
Edward "Ed" Newman (70 ans), colonel préfet de la GNA, région de Cliffbroken et responsable à la planification économique
Mike Leighbore (49 ans), colonel préfet de la GNA, région de Sunendshire et responsable à la recherche et à la santé
Lawrence Clyde (72 ans), colonel préfet de la GNA, région de South Albine et responsable au territoire et à la population
Theophilus Close (62 ans), Cardinal de l'église chrétienne albine

- Congrès de Candhart :
Thom Wilson (37 ans), président du Congrès de Candhart et du parti des Radicals
Lawrence Miles (25 ans), diplomate du Congrès de Candhart et secrétaire général du Parti Socialiste Albin
Lewis Coleson (31 ans), chef des Milices du Congrès et secrétaire général du ARM
Jon Wildheart (47 ans), trésorier du Congrès et président du Parti Libéral

Politique internationale :
La constitution de 1974 définit la politique internationale albine comme une politique "isolationniste" et "centrée sur la nation". Cette politique est maintenue et suivie par la Junte Militaire, si elle invoque le principe de "priorité à la Côte Albine", le Congrès de Candhart lui pointe du doigt une peur de rencontrer à l'internationale une illégitimité politique qui entrainerait des interventions et ingérences de ce que Thom Wilson appelle le "monde libre".
Le Congrès de Candhart justement appelle à une révision de la constitution et une abolition de cette "politique de l'ermite" qui condamne le pays à une austérité néfaste en tout point. Au contraire, le Congrès appelle même à une ouverture progressive de sa politique internationale : d'abord régionale, puis continentale et enfin internationale.
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