EDLF - Empire Listonien

Palais Impérial de Latios, 22 Décembre 2005

Clémence Première, Impératrice de Francisquie et des Francisquiens allait rencontrer pour la première fois un chef d'état de l'Empire Listonien : Le Premier Ministre.

Cette rencontre était très importante pour définir clairement si un avenir entre les deux pays était envisageable ou non et comme d'habitude sa majesté tenait à faire impression et c'est pourquoi aujourd'hui elle serait seule avec sa garde impériale et rien d'autre. Le Premier Ministre Listonien qui commençait déjà à illustrer son gouvernement pour ses actions au Jashuria devait comprendre qu'en Francisquie, la patronne c'est elle et surtout que si par malheur on l'a déçoit, les conséquences seront fatales.

L'Impératrice partait d'un bon présentiment, il faisait beau, le soleil faisait briller sa robe blanche et la garde impériale avait soigneusement prit le temps de se préparer afin d'être irréprochable devant leur cheffe mais voilà qu'un autre pointa le bout de son nez

Clémence Première : Napoléo? Que fais-tu ici?

Napoléo de Thase : Ma chère sœur figure-toi que je suis membre de la famille impériale.

Clémence Première : Je ne te le retire pas et je ne te reproche rien alors ne prend pas ce ton narquois avec moi je te prie. Que fais-tu ici?

Napoléo de Thase : Je me demandais si je pouvais assister à cette rencontre puisque j'ai appris récemment que l'Empire Listonien créer des vagues au Nazum et cela me déplait fortement.

Clémence Première : Laisse le Jashuria et l'Empire Listonien en dehors de nos affaires.

Napoléo de Thase : J'ai bien peur qu'ils n'y entrent tous les deux.

Clémence Première : Que veux tu dire?

Napoléo de Thase : Et bien puisque le gouvernement qu'à composé ton premier ministre a décidé d'étendre le commerce francisquien au Nazum certains se plaignent, passe-moi l'expression, du bordel que tout cela engendre.

Clémence Première : Napoléo! Un peu de retenu!

Napoléo de Thase : Tu sais que j'ai toujours été clair.

Clémence Première : Attends-moi dans le salon d'argent nous t'y rejoindrons.

Napoléo de Thase : As-tu honte de t'afficher en public aux côtés de ton frère?

Clémence Première : Qu'est-ce que tu es sot...Je veux montrer qui gouverne en Francisquie et pour ça je me dois d'être seule entourée de mes soldats.

Napoléo de Thase : Toujours dans le paraître mais puisque c'est ton souhait je t'attendrais là-bas.

Clémence Première : Allez plus vite que ça!

Arrivée, du premier ministre Martin Rodriguez à l'aéroport de latios. Après,, son arrivée, il se redit seul devant le palais.
Dans sa voiture;
Agent: Monsieur, êtes vous prêt?
Martin: Oui, je crois, il est difficile de définir ce pays, bon, c'est ma première visite à l'étranger donc...
Agent Samuel: Leur protocole est trop stricte, c'est quoi ce délire!
Martin: Surveillez vos mots, nous sommes arrivés.
Le premier ministre se dressa devant ce palais démesuré, mais, il n'était pas impressionné
Il pensa un instant dans sa tête " le palais de notre roi est plus grand"
Agent: vous allez parler du sujet avec le jashuria?
Martin: A mon avis, ils s'en foutent, mais bon, nous verrons.
La discussion devait enfin mettre au clair, notre relation avec un pays de réputation très mauvaise certes, mais 3-ème puissance mondiale.
Agent: je n'aime pas ce pays, chuchota t'il
Martin: garde ça pour toi, on est pas à Listonia
Agent: Mais vous connaissez, la réputation de ce pays et...
Martin: Samuel on risque de t'entendre donc, du calme pour ma part, je me ferais un avis, suite à cette rencontre.
Le premier ministre se dirigea devant la porte, et se mit à attendre sa majesté.

L'Impératrice ne pu s'empêcher de regarder le Premier Ministre de haut en bas et une pensée lui traversa l'esprit : "Qu'il est laid!"

Sa majesté l'impératrice!

Clémence Première : Soldats, garde à vous! L'hymne Listonien pour notre invité!

Un ma-ssacre. L'hymne Listonien que jouais l'orchestre de la garde impériale était en fait dépassé de 200 ans et de plus extrêmement mal joué. Ne tenant pas compte de cela et faisant comme-ci tout était normal sa majesté s'avança auprès du Premier Ministre listonien

Clémence Première : Monsieur Rodriguez, je suis ravie de pouvoir vous rencontrer face à face et d'ailleurs il était temps. J'espère que votre voyage n'a pas été trop long?

La situation, ne pouvait être plus gênante, la majorité de la délégation, qui accompagne monsieur rodriguez, ne put s'empêcher de murmurer:" Quel manque de respect pour notre empire"," sérieux c'est quoi ça on se fiche de nous" la reine est très veille et plutôt moche en fait". Chut, leur murmura un agent.
Quant à monsieur Rodriguez, il força un sourire.
Martin Rodriguez: Bonjour votre majesté, oui mon voyage s'est très bien passé.

Clémence Première : Alors j'en suis enchantée. Monsieur le Premier Ministre il est temps que l'on s'entretiennent mais avant cela...Garde! Action!

À l'ordre de l'impératrice les régiments furent brisés et un long couloir vers l'entrée du Palais se forma depuis la délégation. Les gardes mirent la délégation en joug et força ceux qui la composait à partir un à un dont certains par la force tandis qu'encerclé par 4 autres gardes le Premier Ministre Listonien fut immobilisé. Une fois la délégation hors du Palais et l'entrée fermée l'impératrice déclara :

Clémence Première : Vous n'avez pas lu le protocole je crois, c'est fâcheux. Monsieur le Premier Ministre, bienvenue en Francisquie. Si vous voulez bien me suivre c'est par ici mais si vous ne voulez pas ces hommes peuvent vous y conduire.

Surpris par cet accueil, hors du commun, le premier ministre n'eut pas d'autre choix que, de suivre l'impératrice.

Monsieur Rodrigez: Heu... oui c'était mon agent qui avait maîtrisé le protocole, mais comme il est plus là, je risque de commettre quelques erreurs.

Clémence Première : Quel dommage. Bien, suivez-moi.

La tension semblait à son comble...L'impératrice venait ouvertement d'emprisonner le premier ministre listonien au sein du Palais Impérial en renvoyant sa délégation en dehors...

En traversant le couloir de cristal et escorter par 4 gardes impériaux, l'impératrice marchait droit et ne se retourna pas une seule fois vers son invité avant d'avoir atteint le salon de la Paix.

Clémence Première : Monsieur Rodrigez, bienvenue dans le salon de la Paix.


Le Salon de la Paix. Au contraire du Salon de la Guerre à l'autre bout du couloir les privilégiés qui ont eu accès à cet endroit en sont toujours ressorti parfois soulagé, parfois heureux, d'autres fois neutre mais dans chaque cas l'invité qui avait l'honneur d'y entrer savait que l'empire francisquien voulait obtenir quelque chose pour le bien. Au milieu de la pièce, une table massive aux pieds d'or se tenait avec une chaise l'une à côté de l'autre ainsi que trois grandes feuilles bien répartie sur l'espace de la table.

Clémence Première : Monsieur Rodrigez, asseyez-vous. Il est temps de discuter.

Toujours sous le choc, monsieur Rodriguez suivit son hôte qui la mena à une gigantesque pièce avec de gigantesques peintures sur les murs.
Ils l'appellent le salon de paix. Un endroit étonnant n'étant jamais venu dans ce pays, c'est la première fois qu'il vit un tel endroit.

Monsieur Rodriguez: Merci votre majesté, c'est un très belle endroit!

Après, que sa majesté l'ait permis il prit place en face d'elle toujours surpris par l'endroit dans lequel il se trouve.

Clémence Première : Bien. Monsieur Rodriguez je ne vais pas mâcher mes mots : Sur le plan diplomatique votre gouvernement est tout a fait catastrophique, comment est-ce possible? En 20 ans même l'empereur Louis Ier n'a pas fait pire et pourtant je suis presque de sa famille et connait le vrai du faux.

Monsieur Rodriguez, votre gouvernement sur le plan international et plus encore a l'air d'un cirque de plus, se mettre à dos la IIIe République du Jashuria, sincèrement, quelle fièvre a pu vous faire penser que ce fusse ne serait-ce qu'une seule seconde une bonne idée?

Le Pharois Syndikaali il est tout a fait concevable de se mettre ce pays à dos et puis il n'est pas vraiment appréciable quoi que tout n'est pas perdu mais je maintiens tout de même que tout ceci à l'air d'un spectacle à ciel ouvert alors que des pays du continent Aleucien et même Eurysien s'esclaffe un peu plus fort chaque jour en apprenant les dernières nouvelles.

Tout ceci ,monsieur Rodriguez, est tout a fait intolérable.

La fragilité des régimes impériaux dans le monde est déjà suffisamment grande comme cela mais Dieu merci la Francisquie est encore épargnée cependant le vôtre en supposant ce que pense votre peuple des décisions du gouvernement, je suspecte l'inverse.

Pour contrer cela monsieur Rodriguez, il est temps que nous en discutions et cela passe d'abord par un accord dans lequel vous reconnaissez noir sur blanc que l'Empire Francisquien soutient la Nation Listonienne ainsi que le peuple listonien.

Seriez-vous disposé à signer un tel accord?

Monsieur Rodriguez: Votre majesté, avec tout le respect que je vous dois, mon pays est victime de désinformation et accuser à tord de semer le trouble à l'international. Jashuria menace mes territoires dans la région. Ils ont déformé mes propos et utilise une politique agressive de menaces et de pressions diplomatiques à l'égard de mon pays. Ils se servent de mes territoires comme un moyen de pression et menace d'annexer ces derniers. Cela est intolérable!
Je suis venu chercher de l'aide auprès de l'empire Latin.
Oui je peux en effet signé un papier qui prouve que vous soutenez mon pays, mais pourquoi avoir besoin de ma signature? Je veux dire y a t'il d'autres conditions?

Clémence Première : Bien-sûr qu'il y a des conditions mais lisez par vous-même

L'impératrice tend l'accord au Premier Ministre

TRAITÉ D'ALLIANCE ENTRE LA NATION LISTONIENNE ET l'EMPIRE DÉMOCRATIQUE LATIN FRANCISQUIEN

Par ce texte, la nation listonienne incarnée par le Premier Ministre Listonien en la personne de RODRIGUEZ Martin et l'Empire Démocratique Latin Francisquien s'engage tous deux à s'unir par une alliance forte, durable et intangible.

ARTICLE PREMIER :

L'Empire Démocratique Latin Francisquien s'engage à défendre quoi qu'il en coûte, en tout temps et en tout lieu la nation listonienne si elle en demande explicitement le besoin. Inversement, la nation listonienne s'engage à soutenir l'Empire Démocratique Latin Francisquien dans ses actions.

ARTICLE II :

L'Empire Démocratique Latin Francisquien et la nation listonienne sont conviés par leurs représentants à entretenir le lien qui les lie. Par conséquent, au moins une fois par an, leurs représentants doivent se rencontrer en territoire francisquien ou listonien.

ARTICLE III :

Afin de créer un lien fort entre l'Empire Démocratique Latin Francisquien et la nation listonienne, les deux parties s'engagent communément si les cas définit par l'article IV les forcent, à défendre les intérêts des uns et des autres.

ARTICLE IV :

L'Empire Démocratique Latin Francisquien se portant conformément à l'article I garant de la protection de la nation listonienne, les deux partis s'engagent à :

-Ne pas se déclarer la guerre pour 10 ans
-Ne pas porter aux intérêts militaires, civiles et économiques de l'autre partie
-Veiller à garder une relation amicale et toujours ouverte
-Contribuer ensemble à la découverte culturelle de chacune des parties
-Accueillir si nécessaire en vertu des valeurs chrétiennes l'autre partie dans le cas de crise majeure

ARTICLE V :

La nation listonienne quelque soit ses représentants ne peut et ne devra pas rompre ce traité puisque l'Empire Démocratique Latin Francisquien s'engage lui aussi à ne pas le rompre.

ARTICLE VI :

Le présent traité ne pourra être que modifié par la main de sa majesté impériale l'Impératrice Augustus Caius Princeps Clémence Première et par la main de sa majesté Philipe Ongro III.

Monsieur Rodriguez: Je suis ravi de signer un tel traité. Grâce à cela mon pays, n'aura plus de soucis à se faire concernant certaines nations qui tentent de déstabiliser et de décréditer notre gouvernement.
C'est une excellente nouvelle! En tout cas, si je me base sur ce qui est écrit sur ce papier.
Je peux vous assurez que nous respecterons ce contrat!
Il reprit son calme après avoir exprimé sa joie.

Clémence Première : Vous ne croyez pas si bien dire car l'Empire Francisquien s'intéresse à votre cas et particulièrement celui du Détroit.

Nous savons que vous disputez ce territoire avec le Pharois Syndikaali et ce Détroit est à la cause de nombreux problèmes en mer du nord. Si cela ne tenait qu'à moi, je prierais chaque jour pour qu'il n'est jamais existé mais passons.

Votre petite bataille à ce sujet risque sérieusement de contrarier toute l'Eurysie du Nord et l'Empire Francisquien ne peut se le permettre monsieur Rodriguez alors je vais être claire :

L'Empire Francisquien était déjà fortement contrarié à l'idée que le Pharois Syndikaali il y a peu ai pu couler un de nos sous-marin sans aucune légitimité mais lorsque nous avons en plus appris que le Détroit était désormais disputé entre vous et le Pharois Syndikaali, nous sommes devenus furieux.

Actuellement, le Walsserreich aussi commence à hausser le ton face au Pharois Syndikaali et nous y réfléchissons sérieusement aussi et c'est pourquoi je voudrais vous en parler dès aujourd'hui.

Si jamais nous devions intervenir, nous n'attendons aucune réaction de la part de l'Empire Listonien et si vraiment il souhaite réagir alors nous l'inviterons cordialement à nous rejoindre. Dans le cas contraire, nous pulvériserons chaque navire qui serait tenté de nous barrer la route.

Me suis-je bien faite comprendre monsieur RODRIGUEZ?

Monsieur rodriguez: Je comprend tout à fait, le pharois se croit maitre de la région, Il menace tout le monde avec son détroit. Nous sommes nous même victimes de son impérialisme. Faute de moyens financiers nous sommes malheureusement obligés de nous soumettre à ces revendications. Mais mon pays aussi en a marre!
Votre majesté je vous propose un accord mon pays a de vastes espaces maritimes menacés par de multiples puissances étrangères ce que je vous propose c'est une base militaire à EVORA en échange je voudrais que vous fournissiez à mon pays une corvette pour assurer à notre peuple le minimum de sécurité et permettre à mon pays de se défendre.

Clémence Première : C'est d'accord. Après tout la nation listonienne et les habitants d'Evora sont menacés chaque jour par une possible invasion pharoise alors une base militaire francisquienne là-bas ne pourra que les rassurer.

En échange, nous vous offrirons une corvette mais avant toute chose je veux que vous transmettiez une information :

Puisqu'Evora est menacée je voudrais envoyer la Francisquia Militia là-bas dès maintenant avant même que la base militaire francisquienne ne soit opérationnel. Si vous me proposez une offre aussi généreuse c'est que la situation est critique me tromperais-je?

Si la Francisquia Militia peut dors-et-déjà intervenir là-bas alors je pense que la sécurisation du territoire nous permettra communément d'assurer sa souveraineté.

Êtes-vous disposez à en informer dès maintenant votre état-major?