25/02/2015
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Institutions du Duché

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806
Registre des Institutions du Duché


Ceci est un registre recensant les cadres des pouvoirs publics, il n'a pas pour vocation d'expliquer la raison d'être des institutions ou de détailler leur fonctionnement.

organigramme
Pour mieux comprendre : organigramme des institutions politiques

légitimité
Pour mieux comprendre : organigramme représentant la légitimité des pouvoirs publics

SOMMAIRE :

  • I - Symboles & Informations générales

  • II - Le Gouvernement Exécutif

  • III - L'Assemblée du Peuple

  • IV - L'Assemblée des Comtes

  • V - L'Arrët ohh Paje

  • VI - Cadres de l'Armée (en rédaction)

  • VII - Composition partisanne

  • NB : Ce topic est en désordre et contient des publications obsolètes. Merci donc de se référer au sommaire et uniquement à celui-ci.
    355
    Composition de l'Assemblée du Peuple
    Ve Législature



    Président : Monsieur Ëdon Ploutre (PSL)
    Vice-Président : Monsieur Gilliamme Trouby (PSL)
    Chef du gouvernement : Monsieur Michal Trëvenon (PSL)

    Note : Les dernières élections législatives remontent à 2010. Michal Trëvenon a été président du conseil des ministres sous la IIIe Législature, à partir de 2002 (Trëvenon I), puis sous toute la IVe (2005-2010).
    1091
    ARCHIVE : Le Gouvernement Exécutif de 2005 à 2010

    gouvernement Trëvenon II
    Coalition "sociale" PSL-PCG


    p
    Président du Conseil des Ministres : M.Michal Trëvenon

    roi
    Duc de Gallouèse : S.E.Bastien II dè Draune

    f
    Président du Conseil Exécutif : M.Majëul Farche (PRC, cohabitation)

    Conseil des Ministres :

    Ministre des Affaires étrangères : M.Vanwe Piotroff (PSL)

    Ministre des finances et de l'économie : Dernien Parzampach (PSL)
    ministre délégué aux finances publiques : (PSL)
    secrétaire d’Etat au commerce : (PSL)


    Ministre de l'éducation : M.Thémond Hallau-Mari (PCG)

    Ministre de l'Intérieur : Mme Alcole Dienat (PSL)

    Ministre des Infrastructures et des collectivités:M.Urvoit Nàsier (PSL)
    ministre délégué aux collectivités : (PSL)
    ministre délégué aux transports : (PSL)

    Ministre de la Santé Publique et des Questions sociales: Mme Mari-Tëllié Fervan (PCG)
    secrétaire d´État à l’Hôpital Public : (PCG)
    Ministre délégué aux solidarités : (PSL)
    Ministre délégué au travail : (PCG)


    Ministre des Armées : M.Baptiste Erquy (PSL)

    Ministre de l'énergie et de l'industrie : (PSL)

    Ministre de la mer : (PSL)

    Ministre de l'agriculture : (PSL)

    Ministre de la culture : M.Vincent Lemestre (PCG)

    Porte-Parole du Gouvernement : M.Drian Yvimpt (PSL)

    Pas de détail du reste...
    543
    Assemblée des comtes

    L'assemblée des comtes, présidée par le duc de Gallouèse, est composée de tous les comtes vivants. Ainsi, le nombre de siège varie, entre un minimum de 200 et un plafond de 384. Le nombre élevé de comtes actuel est dû au nombre important d'anoblissement des suites de la révolution du Vingt-Six Août.


    Président :S.E. Bastien II dè Draune, Duc de Gallouèse
    Vice président : Ërnestin Tronchard

    L'assemblée des comtes est composée essentiellement de la noblesse de robes. Les fonctionnaires et magistrats devant être annoblis sont sélectionnés en fonction de critères spécifiés par l'article V de la Constitution.
    1402
    L'Arrët ohh Paje


    h
    Salle Pierre Tombelier dè Bërouète, Palais de Cournante, Ligert

    "Arrët ohh Paje" signifie l'assemblée des "Paje" en vieux gallo
    C'est la plus vieille institution du pays, fondée en 1779, suite à la révolution des robes, puis suspendu entre 1954 et 1976. Il retrouve pleinement son rôle et son fonctionnement en 1990, et reste aujourd'hui juste et incorruptible.

    Cet organe est à la fois le barrage et le lien des coures de justice avec le pouvoir, garantissant ainsi l'Etat de droit (trop bafoué sous la dictature, mais aussi du temps de la monarchie). Il est composé des juges suprêmes, élus, après avoir fait carrière dans la magistrature, par un concile de magistrats "parmi les maîtres les plus loyaux et justes qu'il leur sera permis de choisir"(Constitution de 1990, article III).

    Les différents membre de cette assemblée sont des magistrats, élus membres au suffrage universel direct. Ils détiennent la principale charge de décision et d'autorité sur les magistrats et le fonctionnement des jugements, afin que "la Justice soit rendue en son nom propre" (au nom d'elle-même). Son principal rôle est celui de Conseil constitutionnel et de Haut Tribunal Administratif, elle est donc chargée de juger les institutions gouvernementales.

    Elle est présidée par le Chancelier du Duché de Gallouèse, élu au suffrage universel direct depuis 1999. C’est le seul magistrat à être désigné par le peuple. Pour être candidat, il faut tout de même faire partie de la « noblesse de robe », c’est-à-dire être magistrat actif ou retraité.

    Chancelier : Pëtin Kouts
    Comprend actuellement 39 membres.
    1901
    Symboles &infos

    Le pouvoir dans le Duché de Gallouèse est organisé par la Constitution du 31 Août 1990.
    Il s’agit d’une monarchie parlementaire, dans les lesquels les pouvoirs exécutif direct, exécutif indirect, législatif et judiciaire sont séparés.


    Le Drapeau :
    Drapeau
    Le drapeau du Duché de Gallouèse, adopté en octobre 1988 et confirmé par la Constitution du 31 août 1990, est constitué de la croix de Ligad, frappée des armes des ducs de Gallouèse, et d'une couronne de laurier symbolisant la paix et l'unité des différents groupes culturels du pays. La croix de Ligad représente le pouvoir populaire. C'était en effet le symbole de ralliement des premières unités réalistes du pays, un mouvement parent du socialisme actuel.

    La Devise : Chapì chapö pallabot, Pachô Pachà pitipas !

    Les armes du Duc de Gallouèse (D’azur aux trois loutres d’argent de la seconde l’une sur l’autre. Le timbre se compose de la couronne ducale d’or, et le support placé en pointe est un étourneau de geule tourné à dextre) :
    b

    L'Hymne national :


    Mélodie de 1:50 à 3:44, Paroles en gallo dont voici la traduction française

    Le Renouveau Gallo

    Paix et Gloire à toi, Gallouèse,
    Le pays en cœur te chante aujourd'hui,
    "Toujours pour te servir,
    Nous te serons dévoués !
    Paix et Prospérité,
    Par nos mains nous en sommes les garants,
    Toujours pour te servir,
    Nous te serons dévoués !
    Et pour servir la couronne,
    Comme notre souverain !"

    Le pays a besoin de vous,
    Il a besoin de votre aide,
    Que toujours vous espériez en Dieu,
    Et que pour la liberté vous combattiez
    Mes amis, voyez là-haut,
    Qui surplombe les champs, illumine les mines,
    L'oriflamme du Duc
    Et du salut du Peuple,
    Vous chanter pour toujours
    L'appel au Renouveau

    Paix et Gloire à toi Gallouèse,
    Et longue vie au Duché !
    Ton règne est établi à jamais,
    Un seul régime, d'ordre et de calme,
    Qui sauve notre liberté,
    Notre prospérité et nos droit,
    Et pour le bien de l'humanité
    Garantit notre égalité ! (bis)



    Siège du Parlement : Palais des Plutirces, Ligert
    Siège du Conseil des Ministres : Hôtel de la Chancellerie, Ligert
    Siège de l'Arrët ohh Paje : Palais de Cournante, Ligert
    Résidence du Président du Conseil des Ministres : Palais des Capucins, Ligert
    Résidence du Duc : Château de Ligert
    Cabinet du Président du Conseil Exécutif : Manoir du Quai de Ligor, Ligert
    1766
    Composition Partisanne

    Le rôle primordial des partis politiques est défini par l'article VIII de la Constitution de 1990.
    L'existence des partis politiques est même à l'origine de la fin de la dictature en Gallouèse, avec le mouvement "Salut du Peuple" de Bastien dè Draune, et 9 autres partis politiques qui ont réussit à s'imposer au gouvernement unique du Général C.Hinz-Inäbnit et de A.Belventôle.
    Il existe plus de 50 partis politiques en Gallouèse, et aucun n'est interdit.

    Les principaux sont :


    On trouve aussi :
    • Le Mouvement Traditionnel : abrégé MoT, c'est ce qu'il reste des monarchistes d'avant 1950. Ce mouvement promeut la défense de valeur chrétiennes traditionnelles, la fin de l'immigration, et surtout la baisse drastique des fonctionnaires et des dépenses publiques que les gouvernements successifs n'ont fait qu'aggraver. Cette force politique a néanmoins une contradiction : le souverain légitime ne les soutient pas, ce qui les pousse à renier leurs origines et à tendre vers le républicanisme.

    • Le Parti Autonomiste Rhétairie-è-Diornes : abrégé PARD, ce parti politique défend le droit des paysans et les intérêts du comté de Réthairie-è-Diornes, face aux deux grandes métropoles de Valletèz et de Ligert. Il défend une économie rurale et quelques valeurs traditionnelles.

    • Le mouvement "Gallouèse Réveillez !" : abrégé GR!, ce mouvement se situe plutôt à l'extrême droite, mais surtout chez les partis populistes, dont il est le plus caricatural représentant. Il prétend défendre le peuple face à une élite gallèsante qui vole le pouvoir au peuple. Certains le taxent même de mouvement complotiste. Une autre partie de ce mouvement est quant à elle plus raisonnable, et se contente d'incarner une extrême droite dure.
    6536
    Le Parti Social pour la Liberté

    logo du parti social pour la liberté


    Le Parti Social pour la Liberté, abrégé PSL, parfois appelé « Parti de ‘90 », est le parti le plus important en Gallouèse. Parti de la majorité gouvernementale, il recueille près de 300 000 adhérents. Ce parti politique comprend de nombreux élus à travers le pays : le président des ministre, l'interrex, 193 députés du peuple, la majorité du gouvernement, 97 comtes, 47% des ernaotes, 53% des collèges municipaux, 61% des maires, etc.

    -- Histoire

    Le Parti Social pour la Liberté voit le jour en tant qu’ « organisation à but non-lucratif » (seum statut permis alors pour un parti politique) le 13 juillet 1983. Le contexte est celui d’un tâtonnement du régime républicain, qui a accordé la liberté d’association en 1981 mais réprime toute forme d’expression. Le PSL est le fruit du travail de réunification de plusieurs partis démocrates de sensibilité de gauche : le Parti Libre des Gallèsants (fondé en 1976, interdit en 1978) et le Parti Démocrate et Socialiste (fondé et interdit en 1982). Le traité de fondation est signé par quelques grands noms de la lutte contre la dictature, principalement des sociaux-démocrates et des socialistes : Francien Léquerre (qui rentre juste d’exil), Henri Benfer, Jean-Carles Doubjut, Carles Schwarzwald. Certains seront arrêtés à plusieurs reprises, et lutterons en souterrain contre le régime, tandis que sa voie prend une importance de plus en plus grande. Il est dissous en 1987, alors que Léquerre, arrêté en 1986, le désavoue et fonde le Front Démocrate. Ce nom sera repris en 1987 pour l’alliance dirigée par Léquerre pour faire face à Belventôle aux élections de 1989, dont le PSL fera parti. En août 1988, les dirigeants du PSL prennent part à la semaine de révolte qui précède la Révolution à Ligert, au grand dam du FD. Lorsque De Draune prend le pouvoir le 26, la plupart des cadres dirigeants du parti sont convoqués dans le gouvernement provisoire, pourtant largement dominé par les dirigeants de Salut du Peuple. Doubjut et Schwarzwald finiront par démissionner en 1990 devant l’absence de considération du reste du gouvernement. Car le parti est arrivé second aux élections de 1989 pour l’assemblée Constituante, avec 22% des voix, en prenant des points au Parti Communiste (14%). Son large socle l’aide à fédérer : ne tranchant ni en faveur du socialisme, ni du réalisme, ni de la social-démocratie, mais étant profondément démocrate. Le PSL soutient avec le SdP et le FD la motion 3 de la Constitution, qui récoltera une large majorité avec l’appui du jeune PRC et deviendra la Constitution de 1990. Les élections organisées en novembre sont ensuite remportée par un PSL renforcé du soutient des anciens cadres du SdP, Dè Draune ayant quitté la vie politique. D’où sont surnom de « Parti de ‘90 ». Depuis, le parti a toujours été au pouvoir, avec de nombreux présidents du Conseil (Benfer, Ronclant, Schwarzwald, Trëvenon)

    -- Organisation

    photo de théotifan lebritton
    Théotifan Lebritton (maire de Vallètez, président de l'Agglomération de Vallètez), secrétaire général du PSL

    photo de Michal Trëvenon
    Michal Trëvenon (Président des ministres), Président du PSL

    L'image du parti est incarnée par le Président (ajd : Michal Trëvenon). Il n'a pas de responsabilité juridique ni de tâche particulière à effectuer pour l'administration, mais il détient une autorité tacite sur son parti en tant que chef de file, « leader ». Ce poste est généralement occupé par le chef du gouvernement ou le candidat à ce poste au sein de la minorité.

    L'administration du PSL est dirigée par le secrétaire général du Parti (ajd : Théotifan Lebritton), qui porte la responsabilité juridique de l'activité du Parti. Il est le chef de l'administration nationale et prend, en plus de la gestion juridique et financière de l'organisation, un certain nombre de décisions stratégiques avec un comité stratégique. Il ne peut en revanche pas trancher de questions idéologiques.

    Les questions idéologiques et la plupart des grandes questions stratégiques sont l'affaire l'assemblée générale, dont les membres sont élus lors des congrès. Sa présidence est tournante. Le congrès, lui, se compose de tous les adhérents du parti. Il est convoqué par le secrétaire général (en principe tous les deux ans) et présidé par un président du congrès élu en ouverture de session après désignation des candidats par l'assemblée général.

    Principaux courants :
    • Courant Trëveniste (majoritaire) : Michal Trëvenon, Dernien Parzampach, Vanwe Piotroff
    • FlashBaque : Yahnich Kard
    • Autres figures autonomes : Sophale Bardiou, Yan-Carles Doubjut

    Enfin, le PSL est un parti à l'encrage territorial fort qui s'appuie sur ses fédérations. La démocratie interne est de mise au sein des fédérations.

    -- Programme politique

    Politique régalienne
    Le PSL se caractérise par la volonté d'un État fort. Les temps de la république n'ont pas discrédité l'État, bien au contraire elles ont créé une forte demande d'État. Le Parti n'entend donc pas accorder au régalien une place qui éclipserait ses autres compétences. En tant que plutôt souverainiste, le PSL défend toutefois un contrôle solide de toutes les compétences régaliennes vis-à-vis d'acteurs exogènes, comme les pays étrangers ou le secteur privé.
    Le PSL est favorable à une armée autosuffisante, professionnelle et compétente, d'abord capable de sanctuariser le territoire national. Il n'est pour le moment pas favorable au service militaire ni à la conscription nationale.
    Le Parti de 90 est vu par la droite comme plutôt laxiste sur la question policière. Une police n'entre pas dans les priorités.
    Le PSL propose enfin une politique monétaire favorisant plutôt l'exportation. La question de la dette publique est un des problèmes majeurs pour la crédibilité du parti, favorisant la Banque Nationale de Gallouèse pour les emprunts.

    Politique économique
    Le PSL se positionne sur une ligne assez peu favorable au business, malgré la présence de voix dissonantes comme celles de l'ancien président du Cabinet, Yahnich Kard. Le Parti est notamment célèbre pour des campagnes de nationalisation de grande ampleur dans les années 1990. La définition de « secteurs d'intérêt public » et d'un Système d'organisation nationale de la banque (SONB) en particulier verrouillent les possibilités des entreprises et des cercles financiers. Le PSL est très frileux vis-à-vis du libre-échange.

    Politique civile et sociale
    Le PSL défend une politique civile et sociale allant de la social-démocratie au socialisme. Le Parti défend plutôt les classes laborieuses sous Trëvenon, mais son prédécesseur a été plus ouverts au patronat. Les minima sociaux sont généreux et le service public est diversifié.
    Sur les avancées sociétales, le parti peu être vu comme encore timides, même si des avancées ont eu lieu sous la direction du PSL depuis 1988, principalement pour le droit des personnes homosexuelles et transgenres.

    Politique internationale
    Actuellement, le PSL promeut la doctrine trëveniste. Il est donc avant tout souverainiste, défend un investissement massif dans l’économie nationale par la planification comme vu ci-dessus, et donc lutte contre le libre-échange et les entreprises multinationales étrangères.
    Il soutient les pays démocratique, laisse faire les autres, et surveille l’OND qui contrecarre ses intérêts. Il reproche à l’ONC dont bellicisme. Il s’oppose à la plupart des eurycommunistes. Mais passées ces considérations, le PSL encourage une politique étrangère pragmatique qui s’attache aux intérêts nationaux et au cas-par-cas.

    6686
    Organisation de la Défense Nationale
    logotyope des forces armée du Duché de Gallouèse

    Toutes les forces militaires de la défense nationale en Gallouèse sont régies par la "Défense Nationale" et le Ministère des Armées. La Défense National est un organisme militaire dirigé par le Directeur Général de la Défense et le Généralissime de l'État-Major qui organisent la chaîne de commandement entre les différents corps armés. Le Ministère des Armées est quant à lui le lien politique entre le gouvernement et l'armée.
    Les armées gallèsantes sont contrôlées de différentes façon : elles dépendes d'un double aval du Conseil Exécutif et du Conseil des Ministres, elles n'ont pas le droit d'exprimer leur avis sur la vie civile excepté par le vote à bulletin secret, et enfin la police est dotée d'un organe militaire, la Division Civile de Sécurité (DCS) (tout comme l'armée est doté d'un corps policier, la police militaire).

    Commandeur en chef : Duc Bastien II
    Ministre des Armées : Baptiste Erquy
    Directeur Général de La Défense : Guénolé Tilleul
    Généralissime (GFAG) : Général d'armée Petrus Ventura

    La Défense Nationale est donc divisée en plusieurs "corps", eux-même divisés en "corps", et ainsi de suite, pour former une chaîne de commandement interarmées, divisée en deux branches de administratives et opérationnelles. L’administration de la Défense Nationale compte également un service coordonnant tous les corps appelé Direction Nationale Interarmes de la Défense (DNID). Ces corps sont :

    L'Armée de Terre

    Commandée par le Général de Corps Lewig-Ernest Flavier (CEMAT), l'Armée de Terre gallèsante est la composante terrestre de la Défense Nationale. Elle compte xxxx personnels, incluant les forces d'infanterie et de cavalerie (motorisée) mais aussi les forces de logistique, du génie, ou encore de parachutistes. Sa chaîne de commandement est dominée par la Direction de l’Armée de terre (DAT) et l’État-Major (EMAT), qui dirigent les commandements, eux-mêmes placés au-dessus des brigades, des régiments (≈1 000 personnels) et éventuellement des lances et des détachements (≈100 hommes), l’un au sein de son unité, l’autre momentanément détachée de son unité. Elle est subdivisées ainsi :

    Direction de l’Armée de terre (DAT)
    • 14 régiment d’infanterie de ligne (14e RIL) - unité administrative
    • À compléter
    • 57e régiment d’infanterie de ligne (57e RIL) - unité administrative
    • À compléter
    • Commandement des régions militaires terrestres (CRMT)
    • Commandement de la région militaire de l'Ouest-Océan (CRMO2)
    • Commandement de la région militaire du Sud-Centre-Lignons (CRMSCL)
    • Commandement de la région militaire du Nord-Soustëts (CRMNS)
    • Commandement de la région militaire du Sud-Plaine-Ligor (réthairie) (CRMSPL)
    • Direction du personnel militaire terrestre (ressources humaines) (DPMT)

    État-Major de l’Armée de terre (EMAT)
    • Commandement de l'infanterie (CI)
    • 1ère Division motorisée (1e DM)
    • 3ème Division à pieds (3e DP)
    • 2ème Division de volontaires d'Afarée (2e DVA)
    • Commandement de la cavalerie (C2)
    • 2ème Division blindée (2e DB)
    • 3ème Division blindée (3e DB)
    • Commandement de l'artillerie (CA)
    • 11ème division des artilleurs (11e DA)
    • Commandement du Soutient (CS)
    • 4ème Brigade du train (4e BTN)
    • 2e Brigade de transmission (2e BTS)
    • 5ème régiment des transmissions (5e RTS)
    • 9ème régiment des transmissions (9e RTS)
    • 1ère Brigade du génie militaire (1e BGM)
    • Commandement des forces terrestres de marine (CF2M)
    • 3ème Division d'infanterie de marine (3e BIM)
    • 7ème régiment d'infanterie de marine (7e RIM)
    • 5ème régiment d'infanterie de marine (5e RIM)
    • 3ème régiment d'artillerie de marine (3e RAM)
    • Commandement de l'aviation terrestre
    • 2ème régiment des chasseurs parachutistes (2e RCP)

    La Marine Ducale

    Commandée par l’Amiral de Flotte Erwan Le Goff (CEM2), la Marine Ducale est la composante navale de La Défense Nationale. Elle compte xxxx marins, incluants les les forces nautiques de surface, les forces sous-marines, aériennes et administratives. Sa chaîne de commandement, pensée avant tout vis-à-vis du matériel, est dominée par la Direction Ducale de la Marine (DDM) et l’État-Major (EM2), qui dirigent les commandements, eux-mêmes au-dessus des brigades et des flottes, qui commencent aux équipages divisés en postes, l’effectif de chaque unité étant très variable. Elle est subdivisée ainsi :

    Direction Ducale de la Marine (DDM)
    • 7ème Brigade des commissaires du port (7e BCP)
    • Commandement des régions maritime (CRM)
    • Commandement de la région maritime côtière du Golfe de Francie (CRMCGF)
    • Commandement de la région maritime océanique de l’Espérance (CRMOE)
    • Commandement de la région maritime Eurysie-Mer Blanche (CRMEMB)
    • Commandement de la force stratégique projetée (CFSP)
    • Direction du personnel militaire de la Marine (DPM2)

    Etat-Major de la Marine (EM2)
    • Commandement de la force navale opérationnelle (CFNO)
    • 1ère Brigade sous-marine (1e BSM)
    • Sous-marin classe Invisible RSE L'Invisible (SMA-2)
    • Sous-marin classe Terrifiant RSE Le terrifiant (SMLM-1)
    • Sous-marin classe Maudit RSE Le maudit (SMLE-1)
    • 1ère Flotte
    • destroyer classe Gallovan RSE Gallovan II (CT-11)
    • 3ème Flotte
    • Commandement de la force navale héliportée (CFNH)
    • Porte-hélicoptères classe Pégase RSE Pégase (PH-1)
    • Commandement du commando marin
    • Unité des fusilliers marins embarqués (UFE)

    L'Aviation Gallèsante

    L’Aviation Gallèsante, dirigée par le Général de Corps Jehan Alfebert (CEMAG), est la composante aéronautique de La Défense Nationale. Elle compte xxxx personnels, majoritairement des techniciens, attachés à des forces aériennes conventionnelles, mais aussi les forces du train aérien, balistiques, des drones et les aiguilleurs du ciel (soumis à l’armée en Gallouèse). Sa chaîne de commandement est dominée par la Direction de l’Aviation Gallesante (DAG) et l'État-Major (EMAG), qui dirigent les commandements, eux-mêmes au-dessus des escadres (≈1000 personnels) et des escadrilles (≈100 personnels). Elle est subdivisée ainsi :

    Direction de l’Aviation Gallèsante (DAG)
    • 33ème régiment d'infanterie de ligne (33e RIL) - unité administrative
    • a compléter
    • Direction générale des aiguilleurs du ciel (DGAC)
    • a compléter
    • Commandement des région aériennes (militaires & civiles) (CRA)
    • a compléter
    • Commandement du personnel militaire de l'aviation (CPMA)
    • a compléter


    Etat-Major de l’Aviation Gallèsante (EMAG)

    Direction du Magasin Militaire (DM2)

    La direction du magasin militaire gère les stocks de matériel militaire détenu par la Gallouèse. Elle inclus la production d’armement, la gestion des armes et munitions, du matériel non-armé, des cantines et des stocks opérationnels c’est à dire prêts à être mobilisés. Elle est la seule composante à sous-traiter une partie de son activité.

    Direction Ducale de l'Armement (DDA)

    Direction Ducale du Matériel Militaire (DDM2)

    Direction Ducale des Stocks Opérationnels Stratégiques (DDSOS)

    Direction Ducale de la Sécurité (DDS)

    La Direction Ducale de la Sécurité est la composante de la Défense Nationale qui œuvre quotidiennement en temps de paix pour assurer l’ordre et préparer de potentielles opérations. Elle inclus les services de renseignement, de renseignement militaire, d’intelligence étrangère et de police militaire. Ses effectifs sont tenus secrets.

    Direction Ducale de la Sécurité à l'Extérieur (DDSE)

    Direction Ducale de la Sécurité opérationnelle (-)

    Direction Ducale du Renseignement militaire (DDRM)

    Commandement National de la Police militaire (CNPM)
    • Commandement de la PM pour le comté de Coustej
    • et ainsi de suite...
    1283
    Le Gouvernement Exécutif

    Actuellement : gouvernement Trëvenon III
    Coalition "sociale" PSL-PCG


    p
    Président du Conseil des Ministres : M.Michal Trëvenon

    roi
    Duc de Gallouèse : S.E.Bastien II dè Draune

    f
    Président du Conseil Exécutif : M.Majëul Farche (PRC, cohabitation)

    Conseil des Ministres :

    Ministre des Affaires étrangères : M.Gwetran de l'Hairdre de Kergouël (PSL)

    Ministre des finances et de l'économie : Dernien Parzampach (PSL)
    ministre délégué aux finances publiques : Mme Victorine Puydebas (PSL)
    secrétaire d’Etat au commerce : M.Henri Gimbert (PSL)
    ministre délégué à l'industrie : M.Salomon Lestretre (PSL)


    Ministre de l'éducation et de la culture : M.Edgar Thudualde (PCG)
    ministre délégué à la culture : M.Vincent Lemestre (PCG)

    Ministre de l'Intérieur : Mme Sophale Bardiou (PSL)

    Ministre des Infrastructures, des collectivités et de la cohésion territoriale : M.Urvoit Nàsier (PSL)
    ministre délégué aux collectivités : (PSL)
    ministre délégué aux transports : (PSL)

    Ministre de la Santé Publique et des affaires sociales: M.Vanwe Piotroff (PSL)
    Ministre délégué aux solidarités : Mme Mari-Tëllié Fervan (PCG)
    Ministre délégué au travail : M.Thémond Hallau-Mari (PCG)


    Ministre des Armées : M.Baptiste Erquy (PSL)

    Ministre de l'énergie et du développement durable : M.Yahnick Kard (PSL)

    Ministre de la mer : M.Erwin le Graëc (PSL)

    Ministre de l'agriculture et de l'indépendance alimentaire : M.Drian Yvimpt (PSL)

    Porte-Parole du Gouvernement : Mme Alcole Dienat (PSL)
    1275
    Le Gouvernement Exécutif

    Actuellement : gouvernement Trëvenon III
    Coalition "sociale" PSL-PCG


    p
    Président du Conseil des Ministres : M.Michal Trëvenon

    roi
    Duc de Gallouèse : S.E.Bastien II dè Draune

    f
    Président du Conseil Exécutif : Mme Sophale Bardiou

    Conseil des Ministres :

    Ministre des Affaires étrangères : M.Gwetran de l'Hairdre de Kergouël (PSL)

    Ministre des finances et de l'économie : Dernien Parzampach (PSL)
    ministre délégué aux finances publiques : Mme Victorine Puydebas (PSL)
    secrétaire d’Etat au commerce : M.Henri Gimbert (PSL)
    ministre délégué à l'industrie, à l'énergie et au développement durable : M.Salomon Lestretre (PSL)


    Ministre de l'éducation et de la culture : M.Edgar Thudualde (PCG)
    ministre délégué à la culture : M.Vincent Lemestre (PCG)

    Ministre de l'Intérieur : M.Yahnick Kard (PSL)

    Ministre des Infrastructures, des collectivités et de la cohésion territoriale : M.Urvoit Nàsier (PSL)
    ministre délégué aux collectivités : (PSL)
    ministre délégué aux transports : (PSL)

    Ministre de la Santé Publique et des affaires sociales: M.Vanwe Piotroff (PSL)
    Ministre délégué aux solidarités : Mme Mari-Tëllié Fervan (PCG)
    Ministre délégué au travail : M.Thémond Hallau-Mari (PCG)


    Ministre des Armées : M.Baptiste Erquy (PSL)

    Ministre de la mer : M.Erwin le Graëc (PSL)

    Ministre de l'agriculture et de l'indépendance alimentaire : M.Drian Yvimpt (PSL)

    Ministre de la jeunesse et des sports : (PSL)

    Porte-Parole du Gouvernement : Mme Alcole Dienat (PSL)
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    Le Parti Radical-Chrétien

    logo du Parti Radical-Chrétien


    Le Parti Radical-Chrétien, abrégé PRC, parfois appelé simplement Parti radical, est aujourd’hui le principal parti d’opposition en Gallouèse. Il se situe au centre-droit, en cela qu’il défend une politique sociale d’état-providence tout en promouvant les traditions, l’intervention d’acteurs civils plutôt que nationaux dans l’économie, et un régalien fort. On lui attribue le dicton « la défense des petits contre les gros ». Sur le plan économique, il est plus libre-échangiste que le PSL, même s’il reste distant du néo-libéralisme, apanage des républicains. Fort de 160 000 adhérents, il est en alliance électorale totale avec les autres partis de la droite (en pleine reconstruction en Gallouèse depuis 1990) si bien que leurs camps sont souvent confondus. Ils comptent ensemble le deuxième groupe à l’Assemblée du peuple, des comtes, de nombreux ernans de l’Est, des communes sur tout le territoire.

    -- Histoire

    Le Parti Radical-Chrétien est créé le 3 avril 1989, moins d’un an après la fin de la République. Il naît en remplacement du Parti Chrétien et Démocrate, lui-même issu des restes du Parti Démocrate de Rémien Louvois (mis au ban de la République en 1971), constitué quant à lui sur les bases du Parti Radical né au début du XXe siècle. Cette filiation n’est pas anodine : Rémien Louvois, quoique écarté du pouvoir par le dictateur en 1968, avait contribué au régime républicain depuis les débuts, et était membre du CCL (club du commerce libéral, groupe d’influence sous l’Ancien Régime) au même titre que des grands noms de la République (Belventôle, Déméa, Dumolin…). Toutefois, ce passé est loin en 1989 quand Joseph Cizière signe la Charte du Parti avec seize autre militants, aucun n’ayant connu les sombres débuts républicains, et rejetant l’héritage du PCD. Certains d’entre eux, dont Cizière, n’avaient soutenu Louvois qu’à partir de 1971 et jusqu’à sa mort suspecte en 1977, et avaient en outre participé aux événements de 1988 La mention « chrétien » au lieu de « catholique », ajoutée à la refondation du parti démocrate en 1981, est due à une volonté de promotion d’une droite sociale par opposition au catholicisme fanatique du Parti de l’Ordre républicain et à celui, réactionnaire, du MoT. Mais le PRC acte un nouveau départ après un PCD qui ne leur convient plus (et tombera dans l’oubli), en comptant sur de jeunes cadres comme Majeül Farche. Il se lance à cœur perdu dans les élections constitutives de 1990 en tant que nouveau parti, de parti neuf, et fait un score incroyable de 10%, le classant 4e force de l’Assemblée Constituante derrière le SdP, le PSL et le PCG. Il vote avec PSL, FD et SdP la motion 3 qui deviendra la Constitution de 1990. Puis il s’installe dans l’opposition, bénéficiant d’un report de voix non-négligeable de la part de Salut du Peuple. Joseph Cizière, conforté dans sa place de numéro un échoue au premier tour des exécutives de 1992, mais parvient en revanche à se faire élire député à la tête du second groupe de l’Assemblée. Suite à la démission du gouvernement Ronclant et à l’incapacité pour le PSL de former un gouvernement, Joseph Cizière est porté à la tête du gouvernement le 30 juillet 1994. Il dirige cette majorité relative d’union jusqu’au 20 novembre 1995, quand il subit une motion de censure et voit le PSL se réconcilier avec le FD. Ce sera le seul gouvernement non socialiste de l’histoire. Par la suite, le PRC s’impose comme première force d’opposition, sous la houlette de Rémien Lergé, puis sous l’influence grandissante de Majeül Farche, incontournable aujourd’hui.

    -- Organisation



    -- Programme politique

    Politique régalienne
    Politique économique
    Politique civile et sociale
    Politique internationale
    Le PRC dénonce la doctrine trëveniste, et souhaite voir la Gallouèse prendre ses responsabilités dans la géopolitique mondiale, notamment dans la lutte contre la piraterie et les dictatures. Il demande plus de fermeté face à la Loduarie Communiste et aux régimes communistes en général. Il est pour un rapprochement avec l’OND duquel il partage de nombreuses valeurs, et pourquoi pas une intégration à terme.
    Sur le plan économique, le PRC est beaucoup moins protectionniste, souhaite voir le commerce fleurir avec des états comme Teyla, entend redonner ses lettres de noblesse à la CGTM, et favoriser la coopération régionale y compris militaire.


    EN RÉDACTION
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    Le Parti Communiste Gallèsant

    logo du Parti Communiste Gallèsant


    Le Parti Communiste Gallèsant, abrégé PCG ou PC, le plus souvent appelé simplement Parti communiste, est le principal parti d’extrême-gauche de Gallouèse, minoritairement au pouvoir depuis 2005. Il siège au Parlement avec les communalistes favorables au Liberalintern, bien qu’il hérite du marxisme traditionnel et soit notoirement proche de certains régimes eurycommunistes. Il compte de nombreux élus à travers le pays, en particulier à l’Ouest, et reste malgré des résultats décevant la 4e force du Parlement. Le Parti communiste progresse dans les villes mais régresse rapidement dans les territoires miniers de l’Est face à l’extrême-droite.

    -- Histoire

    Le 6 janvier 1841, le gallèsant d'origine francienne Maurice Janlieu fonde le Parti réaliste, premier parti politique de l'Histoire de la Gallouèse. Aujourd'hui, le PCG s'en réclame largement. La vérité est un peu plus complexe. Le Réalisme est un courant de pensé né au début du XIXème siècle en Gallouèse après l'arrivée des théories socialistes partout dans le Monde vers la fin du XVIIIème siècle. Ce mouvement n'est à l'origine pas marxiste, mais entend simplement interroger la moralité humaine, le cloisonnement des classes, les mythes historiques, bref : « Questionnons tous ce qui crée cette douce illusion de notre temps, interrogeons notre rapport au réel » (Théophile Rougeon, Plaidoyer pour une pensée réaliste, 1822), et bien sûr, répondre à la Question Sociale. Mais à mesure que le parti s'installe dans le paysage public, et qu'ailleurs les partis marxistes gagnent du terrain, avec la naissance des premiers régimes commun(al)istes, la question se pose : le Parti réaliste doit-il intégrer cet idéal internationaliste, et adhérer à la Révolution Rouge ? Le Parti réaliste, moyennement révolutionnaire et non-marxiste avait jusque-là accueillis tous les courants socialisants du pays, mais assez vite, il apparaît que les deux lignes ne sont plus tenables. Au congrès de Nonques de 1898, les députés marxistes Mathieu Flouchet et Henri Bergsbenat proposent la scission : le Parti communiste gallèsant est né. Seul parti marxiste, il contient durant toute son existence les courants réformistes (il n'y a donc jamais eu de parti socialiste en Gallouèse). En 1914, il est interdit par ordonnance du Duc. Malgré cela, son activité ne cesse pas : la décision a pour seul conséquence de démultiplier les actions armée des communiste. Lors de la « libéralisation forcenée » des années 1950, le Parti est ré-autorisé, et des élus municipaux sont à nouveau admis. Mais assez vite, les leaders républicains le font interdire à nouveau : les communistes ne sont pas admis à la constituante de 1952, qui donne les pleins pouvoirs à Aurvoit Belventôle, capitaliste notoire et catholique traditionaliste. Voilà qui présageait un siècle de calvaire pour les communistes gallèsants : pendant les 36 ans que durent la dictature, ils vivent dans la clandestinité, multiplient les maquis, au sein d'une branche armée appelée « Armée Rouge » ; tandis que la branche politique du parti poursuis les manifestations, grèves violentes et opérations de désobéissance civile. En 1981, le Premier Ministre Micion Déméa évoque l'idée d'une autorisation du Parti, refusée en bloc par le Père Unique. Loin d'être absent de cette décennie, les communistes participent à l'émulation politique des années 80. Finalement, c'est lors des évènements d'août 1988 que les « rouges » peuvent reprendre du service ; malheureusement l'Armée Rouge, après s'être illustré lors des soulèvements de Ligert et de Vallètez, s'oppose à Bastien dè Draune. Cela lui vaudra un vif rejet chez les vainqueurs de la révolution, et en conséquence, d'être reniée par le premier congrès du PCG réunifié (officiellement 31ème Congrès du PCG) qui voit la recréation du parti avec quelques hommes forts comme Michal Thalenbert, Edgar Thudualde ou le jeune Loïc Trémeneur. Après un score de 14% à l'élection de l'Assemblée Constituante, et après s'être abstenu de voter pour une motion (par protestation contre le retour à la monarchie), le PCG s'installe dans l'opposition. Il entre au gouvernement pour la première fois de son histoire sous l'initiative du Président social-libéral Michal Trëvenon en 2005, après des législatives anticipée et un score respectable de 12% (54 sièges, 3èmes). Il y est encore aujourd'hui.

    -- Organisation



    -- Programme politique

    Politique régalienne
    Politique économique
    Politique civile et sociale
    Politique internationale
    Le PC de Loïc Trémeneur est extrêmement vindicatif vis-à-vis de l’ONC et de l’OND. Il a néanmoins approuvé l’entrée dans l’UNIL pour des raisons de stratégie politique. Il soutient surtout les pays les régimes communistes libéralisants, mais aussi les membres de l’UNCS, et promet de collaborer étroitement avec eux. Toutefois, il a déjà renié des États trop ouvertement militaristes : le Kronos de Calabraise et le Prodnov de Belleski (ancien Prodnov). Dans ce contexte, son soutient de la Communaterra et ses accointances avec le regime Geraertien de la Loduarie sont de plus en plus difficiles à justifier. S’il est historiquement pour l’Internationale marxiste dans la plus pure tradition et l’avènement de la société sans classe, le PCG n’appelle aujourd’hui plus officiellement à la Révolution en Gallouèse. Il ne manque pas de saluer les soulèvements ailleurs sur la Planète.


    EN RÉDACTION
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    Le Conseil Exécutif - cabinet de crise
    Exerce l'exclusivité du pouvoir exécutif à partir du xx/xx/2013


    PRÉSIDENTE

    Yaël Braun-Pivet
    Mme Sophale Bardiou, Parti Social pour la Liberté


    Officier chargé de la diplomatie : M.Gwetran de l'Hairdre, élu du Parti Social pour la Liberté

    Officier chargé de la sécurité du territoire : M.Martin van Breentz, collaborateur sans-étiquette

    Officier chargé de la pollution nucléaire : M.Lewig Rent-Letappe, spécialiste sans-étiquette

    Officier chargé de la préservation de l'économie et de l'agriculture : M.Urvoit Nàsier, élu Parti Social pour la Liberté

    Officier chargé de la logistique et du confinement : M.Julien Dècousteil, haut-fonctionnaire sans-étiquette

    Officier chargé du budget et de la continuité gouvernementale : M.Yahnick Kard, élu Parti Social pour la Liberté

    Directeur ducal de la défense nationale : M.Guénolé Tilleul, haut-fonctionnaire sans-étiquette

    Porte-parole du cabinet de crise : Mme Delphine Greppez, collaboratrice du Parti Social pour la Liberté
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