Le Parti Social pour la LibertéLe Parti Social pour la Liberté, abrégé PSL, parfois appelé « Parti de ‘90 », est le parti le plus important en Gallouèse. Parti de la majorité gouvernementale, il recueille près de 300 000 adhérents. Ce parti politique comprend de nombreux élus à travers le pays : le président des ministre, l'interrex, 193 députés du peuple, la majorité du gouvernement, 97 comtes, 47% des ernaotes, 53% des collèges municipaux, 61% des maires, etc.
-- HistoireLe Parti Social pour la Liberté voit le jour en tant qu’ « organisation à but non-lucratif » (seum statut permis alors pour un parti politique) le 13 juillet 1983. Le contexte est celui d’un tâtonnement du régime républicain, qui a accordé la liberté d’association en 1981 mais réprime toute forme d’expression. Le PSL est le fruit du travail de réunification de plusieurs partis démocrates de sensibilité de gauche : le Parti Libre des Gallèsants (fondé en 1976, interdit en 1978) et le Parti Démocrate et Socialiste (fondé et interdit en 1982). Le traité de fondation est signé par quelques grands noms de la lutte contre la dictature, principalement des sociaux-démocrates et des socialistes : Francien Léquerre (qui rentre juste d’exil), Henri Benfer, Jean-Carles Doubjut, Carles Schwarzwald. Certains seront arrêtés à plusieurs reprises, et lutterons en souterrain contre le régime, tandis que sa voie prend une importance de plus en plus grande. Il est dissous en 1987, alors que Léquerre, arrêté en 1986, le désavoue et fonde le Front Démocrate. Ce nom sera repris en 1987 pour l’alliance dirigée par Léquerre pour faire face à Belventôle aux élections de 1989, dont le PSL fera parti. En août 1988, les dirigeants du PSL prennent part à la semaine de révolte qui précède la Révolution à Ligert, au grand dam du FD. Lorsque De Draune prend le pouvoir le 26, la plupart des cadres dirigeants du parti sont convoqués dans le gouvernement provisoire, pourtant largement dominé par les dirigeants de Salut du Peuple. Doubjut et Schwarzwald finiront par démissionner en 1990 devant l’absence de considération du reste du gouvernement. Car le parti est arrivé second aux élections de 1989 pour l’assemblée Constituante, avec 22% des voix, en prenant des points au Parti Communiste (14%). Son large socle l’aide à fédérer : ne tranchant ni en faveur du socialisme, ni du réalisme, ni de la social-démocratie, mais étant profondément démocrate. Le PSL soutient avec le SdP et le FD la motion 3 de la Constitution, qui récoltera une large majorité avec l’appui du jeune PRC et deviendra la Constitution de 1990. Les élections organisées en novembre sont ensuite remportée par un PSL renforcé du soutient des anciens cadres du SdP, Dè Draune ayant quitté la vie politique. D’où sont surnom de « Parti de ‘90 ». Depuis, le parti a toujours été au pouvoir, avec de nombreux présidents du Conseil (Benfer, Ronclant, Schwarzwald, Trëvenon)
-- Organisation
Théotifan Lebritton (maire de Vallètez, président de l'Agglomération de Vallètez), secrétaire général du PSL
Michal Trëvenon (Président des ministres), Président du PSLL'image du parti est incarnée par le
Président (ajd : Michal Trëvenon). Il n'a pas de responsabilité juridique ni de tâche particulière à effectuer pour l'administration, mais il détient une autorité tacite sur son parti en tant que chef de file, « leader ». Ce poste est généralement occupé par le chef du gouvernement ou le candidat à ce poste au sein de la minorité.
L'administration du PSL est dirigée par le
secrétaire général du Parti (ajd : Théotifan Lebritton), qui porte la responsabilité juridique de l'activité du Parti. Il est le chef de l'
administration nationale et prend, en plus de la gestion juridique et financière de l'organisation, un certain nombre de décisions stratégiques avec un
comité stratégique. Il ne peut en revanche pas trancher de questions idéologiques.
Les questions idéologiques et la plupart des grandes questions stratégiques sont l'affaire l'
assemblée générale, dont les membres sont élus lors des
congrès. Sa présidence est tournante. Le congrès, lui, se compose de tous les adhérents du parti. Il est convoqué par le secrétaire général (en principe tous les deux ans) et présidé par un
président du congrès élu en ouverture de session après désignation des candidats par l'assemblée général.
Principaux courants :- Courant Trëveniste (majoritaire) : Michal Trëvenon, Dernien Parzampach, Vanwe Piotroff
- FlashBaque : Yahnich Kard
- Autres figures autonomes : Sophale Bardiou, Yan-Carles Doubjut
Enfin, le PSL est un parti à l'encrage territorial fort qui s'appuie sur ses
fédérations. La démocratie interne est de mise au sein des fédérations.
-- Programme politiquePolitique régalienneLe PSL se caractérise par la volonté d'un État fort. Les temps de la république n'ont pas discrédité l'État, bien au contraire elles ont créé une forte demande d'État. Le Parti n'entend donc pas accorder au régalien une place qui éclipserait ses autres compétences. En tant que plutôt souverainiste, le PSL défend toutefois un contrôle solide de toutes les compétences régaliennes vis-à-vis d'acteurs exogènes, comme les pays étrangers ou le secteur privé.
Le PSL est favorable à une armée autosuffisante, professionnelle et compétente, d'abord capable de sanctuariser le territoire national. Il n'est pour le moment pas favorable au service militaire ni à la conscription nationale.
Le Parti de 90 est vu par la droite comme plutôt laxiste sur la question policière. Une police n'entre pas dans les priorités.
Le PSL propose enfin une politique monétaire favorisant plutôt l'exportation. La question de la dette publique est un des problèmes majeurs pour la crédibilité du parti, favorisant la Banque Nationale de Gallouèse pour les emprunts.
Politique économiqueLe PSL se positionne sur une ligne assez peu favorable au business, malgré la présence de voix dissonantes comme celles de l'ancien président du Cabinet, Yahnich Kard. Le Parti est notamment célèbre pour des campagnes de nationalisation de grande ampleur dans les années 1990. La définition de « secteurs d'intérêt public » et d'un Système d'organisation nationale de la banque (SONB) en particulier verrouillent les possibilités des entreprises et des cercles financiers. Le PSL est très frileux vis-à-vis du libre-échange.
Politique civile et socialeLe PSL défend une politique civile et sociale allant de la social-démocratie au socialisme. Le Parti défend plutôt les classes laborieuses sous Trëvenon, mais son prédécesseur a été plus ouverts au patronat. Les minima sociaux sont généreux et le service public est diversifié.
Sur les avancées sociétales, le parti peu être vu comme encore timides, même si des avancées ont eu lieu sous la direction du PSL depuis 1988, principalement pour le droit des personnes homosexuelles et transgenres.
Politique internationaleActuellement, le PSL promeut la doctrine trëveniste. Il est donc avant tout souverainiste, défend un investissement massif dans l’économie nationale par la planification comme vu ci-dessus, et donc lutte contre le libre-échange et les entreprises multinationales étrangères.
Il soutient les pays démocratique, laisse faire les autres, et surveille l’OND qui contrecarre ses intérêts. Il reproche à l’ONC dont bellicisme. Il s’oppose à la plupart des eurycommunistes. Mais passées ces considérations, le PSL encourage une politique étrangère pragmatique qui s’attache aux intérêts nationaux et au cas-par-cas.