Activités étrangères en Transblêmie
Posté le : 24 nov. 2021 à 23:03:31
408
Posté le : 26 nov. 2021 à 19:54:56
840
Destinataire : ministère des Affaires Étrangères du Jashuria
Vice secrétaire général des affaires du peuple
Ministre des affaires extérieures
Posté le : 26 nov. 2021 à 20:07:02
52
Posté le : 14 jan. 2022 à 18:04:36
1560
C’est aujourd’hui que le gouvernement Plantar a former un nouveau gouvernement. En effet quelques centaines de réfugiés transblemiens ont réussis à s’enfuir de la dictature. Ils ont été assurés par le gouvernement et ont appris à lire et à écrire. La plupart d’entre eux sont dans une ville secrète, sont toujours paysans et reçoivent une pension accordé par le gouvernement pour subvenir à leur besoin. Parmis tous ces paysans, Corneliu Craioveanu socialiste confirmé de 71 ans ayant fui la monarchie fasciste du terrible du Grand Duc Ion de Blême rêve de libérer l’état de la dictaure et de l’insoucience.
C’est pourquoi a t’il crée ce jour même La république Libre de Transblêmie, qui se veut être une république démocratique . Niveau, reconnaisance internationale, le gouvernement en exil fut recconu de suite par Plantar et en pour paler pour qu’on lui accorde une place à l’Alliance Socialiste. Ce gouvernement en exil est dirigé par Corneliu qui s’est autoproclamé président de la république, un autre transblemien anonyme s’est proclamé lui premier ministre. Le gouvernement à créer une assemblée qui est divisé en deux groupes : Le groupe libéral (26) et le groupe socialiste (32). Ils ont par ailleurs créer un nouveau drapeau. composé de deux triangles bleu (symbole de la liberté) et le jaune (symbole de la transblemie et du libéralisme) nous voyons une étoile rouge (symbole du socialisme). Le président a d’ailleurs fait un discours au grand duc.
« Cela fait depuis trop longtemps que le peuple vit dans une dictature nous devons le libérer et si il faut utiliser la force nous le ferons (applaudissements) ensuite nous y instaurons une démocratie ou tout le monde pourra voter, lire, écrire, manger et se cultiver sans avoir peur d’être exécuté. »
Posté le : 03 déc. 2022 à 10:03:40
1594
1er message crypté :
« C’est de loin la mission la plus délicate qu’il m’ait été donnée-STOP-
Ai eu beau avoir cette formation de 3 semaines, il ne faut pas loin de 3 minutes pour comprendre que je ne suis pas d’ici-STOP-
Même sans voir mon visage, je ne peux faire un pas sans que les têtes se tournent vers moi-STOP-
Mission compromise selon mon expertise -STOP-
J’attends retour via canal habituel -STOP- «
Dimitriev n’est pas le premier venu dans le renseignement extérieur. Il a en effet écumé les différents rouages de la direction générale du renseignement intérieure avant d’intégrer le renseignement extérieur. Devenu agent de terrain, il a pour habitude d’effectuer des missions courtes de prises de renseignements et d’informations en milieu plus ou moins hostile sur un sujet précis. Sa spécialité est de se fondre parmi la population locale et devenir un « invisible ».
2ème message
« seules des discussions courtes sont possibles avec la population locale -STOP-
Vais essayer dans des villages reculés mais sans grande conviction -STOP-
Recueil d’informations mince -STOP-«
3ème message
« je ne suis pas en mesure de répondre à votre première question -STOP-
Nécessite mission longue et couverture sérieuse loin d’être évidente -STOP-
Ai tenté de recruter sans résultat -STOP-
Peu d’emprise ou de possibilité de chantage -STOP-
Toute manipulation et retournement impossible sur mission courte -STOP-
Propose travail interne à l’Empire via le service de renseignement intérieur pour des résultats plus probants ou alors mission longue et périlleuse d’infiltration -STOP »
4ème message
« Compris -STOP-
Je pense être trop « présent » ici -STOP
J’écourte mission et rentre -STOP-
Je reviens par un autre parcours que prévu -STOP
Je reprends contact une fois sorti du territoire Transblême-STOP-«
« C’est de loin la mission la plus délicate qu’il m’ait été donnée-STOP-
Ai eu beau avoir cette formation de 3 semaines, il ne faut pas loin de 3 minutes pour comprendre que je ne suis pas d’ici-STOP-
Même sans voir mon visage, je ne peux faire un pas sans que les têtes se tournent vers moi-STOP-
Mission compromise selon mon expertise -STOP-
J’attends retour via canal habituel -STOP- «
Dimitriev n’est pas le premier venu dans le renseignement extérieur. Il a en effet écumé les différents rouages de la direction générale du renseignement intérieure avant d’intégrer le renseignement extérieur. Devenu agent de terrain, il a pour habitude d’effectuer des missions courtes de prises de renseignements et d’informations en milieu plus ou moins hostile sur un sujet précis. Sa spécialité est de se fondre parmi la population locale et devenir un « invisible ».
2ème message
« seules des discussions courtes sont possibles avec la population locale -STOP-
Vais essayer dans des villages reculés mais sans grande conviction -STOP-
Recueil d’informations mince -STOP-«
3ème message
« je ne suis pas en mesure de répondre à votre première question -STOP-
Nécessite mission longue et couverture sérieuse loin d’être évidente -STOP-
Ai tenté de recruter sans résultat -STOP-
Peu d’emprise ou de possibilité de chantage -STOP-
Toute manipulation et retournement impossible sur mission courte -STOP-
Propose travail interne à l’Empire via le service de renseignement intérieur pour des résultats plus probants ou alors mission longue et périlleuse d’infiltration -STOP »
4ème message
« Compris -STOP-
Je pense être trop « présent » ici -STOP
J’écourte mission et rentre -STOP-
Je reviens par un autre parcours que prévu -STOP
Je reprends contact une fois sorti du territoire Transblême-STOP-«
Posté le : 23 déc. 2022 à 08:28:31
3556
Lorenzo était sur son ordinateur. Il avait quelques données à clarifier, et il aurait fini sa journée. À ceci près : il attendait quelqu'un. Enfin, plusieurs personnes.
Il éteint son ordinateur, s'affaisa sur sa chaise et contempla son verre vide. Il avait réussi à être sobre pendant 2 semaines déjà ! Un record depuis la fin de la guerre. Il tourna la tête vers la fenêtre de son bureau. De là, il pouvait voir toute la ville de Lyonnars. La nuit tombait, et comme à son habitude, il prononça :
Pour la Révolution !
Les lumières de la ville s'allumèrent d'un coup à la fin de sa phrase, comme par magie. Comme d'habitude, il avait tout chronométré.
À ce moment là, on frappa à la porte.
Entrez, camarade !
3 hommes rentrèrent. 2 militaires en armes, qui encadraient un homme menotté. Il avait la tête baissé, mais son visage laissait entrevoir de la stupéfaction entremêlé d'un air de défi intense.
Camarades soldats, laisser le ici. Nous allons discuter, Andreas et moi.
Les deux soldats firent un salut militaire à Lorenzo avant de sortir de son bureau.
Lorenzo se tourna vers le dénommé Andreas, et lui remplit un verre d'eau.
Andreas Martin ! Soyez le bienvenu dans mon bureau. Asseyez vous, voyons. Un peu d'eau ? Je suis sur que vous avez soif. La prison militaire ne doit pas être super, pour se désaltérer, n'est-ce pas ?
Andreas s'assit dans le fauteuil face au bureau du Secrétaire Général. Il avait abandonné son air d'hébahissement, mais avait gardé son air de défi.
Allons bon, gardez cet air de défiance pour plus tard. Nous devons discuter, vous et moi.
Andreas continua à regarder avec défiance le Secrétaire Général Loduarien.
Bien. Vous connaissez comme moi les raisons de votre présence ici. Vous avez été arrêté à Galaisie, pour la simple et bonne raison que vous êtes un foutu fasciste. Et visiblement, un fasciste de haut niveau ! Faire partie de la haute sphère et pouvoir conseiller votre chef suprême, ce n'est pas rien !
Incroyable. Je reçois les félicitations de l'homme avec le plus de pouvoir de toute la Loduarie ! Quel honneur !
Vous vous décidez enfin à parler, donc ?
Ai-je le choix ?
Bien sûr que vous avez le choix. Nous en sommes en Démocratie, après tout.
Andreas ricana.
Oui.... Une démocratie arrangé à votre sauce !
Ce sera toujours mieux que le fascisme Loduarien et sa volonté d'extermination de tout ce qui n'est pas Loduarien en territoire Loduarien.
La Loduarie est un territoire pur, et ceci depuis des millénaires ! Nous combattrons sans cesse le mal qui...
Cessez. Je ne vous ai pas convoqué pour un énième débat. Vous savez, que de nous deux, je prends le dessus. Car le communisme sera toujours plus fort que le fascisme.
Andreas se tut.
Vous connaissez les faits. Vous avez été retrouvé et à Galaisie. En tant que fasciste en Loduarie, vous savez quel sort vous est réservé : la mort.
Mais, car il y a un mais, je vous offre un moyen de vous en sortir.
À condition que ? Car c'est évident, il y a sûrement une condition.
À condition que vous contactiez les Transblêmes.
QUOI ?
Vous m'avez parfaitement entendu. Vous devez contacter les Transblêmes.
Mais.... Pourquoi ?
Les Transblêmes possèdent quelque chose que nous ne possédons plus : de l'armement de haut niveau. Il nous faut cet armement.
Voici comment vous allez procéder. Vous allez tenter de faire des Transblêmes vos alliés. Vous leur demanderez de l'armement pour la réussite de votre guerre contre la "pestilence socialiste", et vous nous livrerez ces armes.
Je refuse.
Je m'attendais à cette réaction de votre part. Mais voyez vous, j'ai la solution à ce petit problème.
Plusieurs militaires rentrèrent dans la pièce, escortant une femme et deux enfants, probablement les siens. Les 3 semblaient apeurés et se tenaient ensembles.
Ils étaient tenus en joue par les militaires.
Andreas les vit, et s'écria.
Ma famille...
VOUS N'AVEZ PAS LE DROIT, ESPÈCE DE CONNARD DE COMMUNISTE !
Oh que si. Vois tu, mon cher Andreas, si tu refuse ma proposition, non seulement tu mourras, mais tu aura également l'occasion de voir ta famille mourir sous tes yeux. Qu'en dit tu ?
Andreas regarda sa femme et ses deux incroyables filles. Par le regard, elles le suppliait d'accepter.
Il se retourna vers le Secrétaire Général qui s'était improvisé en arbitre suprême, comme toujours.
J'accepte.
Vous faites le bon choix, camarade.
Il éteint son ordinateur, s'affaisa sur sa chaise et contempla son verre vide. Il avait réussi à être sobre pendant 2 semaines déjà ! Un record depuis la fin de la guerre. Il tourna la tête vers la fenêtre de son bureau. De là, il pouvait voir toute la ville de Lyonnars. La nuit tombait, et comme à son habitude, il prononça :
Pour la Révolution !
Les lumières de la ville s'allumèrent d'un coup à la fin de sa phrase, comme par magie. Comme d'habitude, il avait tout chronométré.
À ce moment là, on frappa à la porte.
Entrez, camarade !
3 hommes rentrèrent. 2 militaires en armes, qui encadraient un homme menotté. Il avait la tête baissé, mais son visage laissait entrevoir de la stupéfaction entremêlé d'un air de défi intense.
Camarades soldats, laisser le ici. Nous allons discuter, Andreas et moi.
Les deux soldats firent un salut militaire à Lorenzo avant de sortir de son bureau.
Lorenzo se tourna vers le dénommé Andreas, et lui remplit un verre d'eau.
Andreas Martin ! Soyez le bienvenu dans mon bureau. Asseyez vous, voyons. Un peu d'eau ? Je suis sur que vous avez soif. La prison militaire ne doit pas être super, pour se désaltérer, n'est-ce pas ?
Andreas s'assit dans le fauteuil face au bureau du Secrétaire Général. Il avait abandonné son air d'hébahissement, mais avait gardé son air de défi.
Allons bon, gardez cet air de défiance pour plus tard. Nous devons discuter, vous et moi.
Andreas continua à regarder avec défiance le Secrétaire Général Loduarien.
Bien. Vous connaissez comme moi les raisons de votre présence ici. Vous avez été arrêté à Galaisie, pour la simple et bonne raison que vous êtes un foutu fasciste. Et visiblement, un fasciste de haut niveau ! Faire partie de la haute sphère et pouvoir conseiller votre chef suprême, ce n'est pas rien !
Incroyable. Je reçois les félicitations de l'homme avec le plus de pouvoir de toute la Loduarie ! Quel honneur !
Vous vous décidez enfin à parler, donc ?
Ai-je le choix ?
Bien sûr que vous avez le choix. Nous en sommes en Démocratie, après tout.
Andreas ricana.
Oui.... Une démocratie arrangé à votre sauce !
Ce sera toujours mieux que le fascisme Loduarien et sa volonté d'extermination de tout ce qui n'est pas Loduarien en territoire Loduarien.
La Loduarie est un territoire pur, et ceci depuis des millénaires ! Nous combattrons sans cesse le mal qui...
Cessez. Je ne vous ai pas convoqué pour un énième débat. Vous savez, que de nous deux, je prends le dessus. Car le communisme sera toujours plus fort que le fascisme.
Andreas se tut.
Vous connaissez les faits. Vous avez été retrouvé et à Galaisie. En tant que fasciste en Loduarie, vous savez quel sort vous est réservé : la mort.
Mais, car il y a un mais, je vous offre un moyen de vous en sortir.
À condition que ? Car c'est évident, il y a sûrement une condition.
À condition que vous contactiez les Transblêmes.
QUOI ?
Vous m'avez parfaitement entendu. Vous devez contacter les Transblêmes.
Mais.... Pourquoi ?
Les Transblêmes possèdent quelque chose que nous ne possédons plus : de l'armement de haut niveau. Il nous faut cet armement.
Voici comment vous allez procéder. Vous allez tenter de faire des Transblêmes vos alliés. Vous leur demanderez de l'armement pour la réussite de votre guerre contre la "pestilence socialiste", et vous nous livrerez ces armes.
Je refuse.
Je m'attendais à cette réaction de votre part. Mais voyez vous, j'ai la solution à ce petit problème.
Plusieurs militaires rentrèrent dans la pièce, escortant une femme et deux enfants, probablement les siens. Les 3 semblaient apeurés et se tenaient ensembles.
Ils étaient tenus en joue par les militaires.
Andreas les vit, et s'écria.
Ma famille...
VOUS N'AVEZ PAS LE DROIT, ESPÈCE DE CONNARD DE COMMUNISTE !
Oh que si. Vois tu, mon cher Andreas, si tu refuse ma proposition, non seulement tu mourras, mais tu aura également l'occasion de voir ta famille mourir sous tes yeux. Qu'en dit tu ?
Andreas regarda sa femme et ses deux incroyables filles. Par le regard, elles le suppliait d'accepter.
Il se retourna vers le Secrétaire Général qui s'était improvisé en arbitre suprême, comme toujours.
J'accepte.
Vous faites le bon choix, camarade.
Posté le : 21 nov. 2024 à 19:59:32
2506
- Confidentiel Icamie -
A l'aube, ils étaient là.
Quelqu'un a du les prévenir.
J'ai fui par une fenêtre. J'ai détalé comme j'ai pu. Je me suis caché dans la forêt, à nouveau. Je les aient vu, deux douzaine de cavaliers noirs emmenés par une forme sombre. Ils ont emmené la famille qui m'avait hébergé sur la place. Ils savaient. J'avais fait attention, j'avais préparé mon histoire, je n'avais éveillé aucun soupçon ...
Ils savaient.
Je les aient vu les attacher à un poteau, sur la place du village. Et ils ont brandis leurs armes. La famille a brûlé vive. Quelle bande de fous peut bien faire ça ?
J'entends encore leur cri. Je sens encore leur chair, à des centaines de mètres de là.
Et tout ça pour quoi ? Oui, il y a suspicion. Les locaux du village ; on me l'avait indiqué ... Les locaux du village lui ressemblaient, en effet. La famille - paix à son âme - ... Le père racontait qu'un village avait été dévasté, il y avait des années. Les cavaliers étaient passés et n'aurait laissé qu'une seule personne en vie.
Une fille, il disait. Ou bien un garçon. Il n'était pas sûr. Le grand-père, lui, s'est levé. Il a fait taire son fils. Il m'a dit que c'était un ordre du Grand Duc. Que quelque chose, là-bas, avait attiré le regard de Levanști. Je lui ai demandé si 46 61 61 6a pouvait être lié à ça. Il a rigolé. Il m'a regardé.
Il savait
Oui, il a vu que j'étais étranger. Il m'a regardé, et puis il est allé cherché une boîte. Il m'a montré une photo.
Ce pays. Ce pays. Il est complètement fou. Mais les soupçons étaient fondés. Il y a quelque chose ici. Quelque chose de bizarre. De puant. Les réactions que j'ai pu avoir en évoquant la question 46 61 61 6ane mentent pas.
Quelque chose s'est passé ici.
Ils savent.
Je retourne me cacher. Je trouverais la réponse.
Peut-être qu'il n'est pas trop tard pour mettre à jour ce qu'ils préparent.
Je le saurais.