21/02/2015
16:15:42
Index du forum Continents Paltoterra Alguarena

[ENCYCLOPEDIE] Encyclopédie Fédérale de l'Alguarena

Voir fiche pays Voir sur la carte
2831

I-PRESENTATION DE LA FEDERATION



A-INFORMATIONS GENERALES



Nom officiel : Iles fédérées de l’Arkencheen
Nom courant : Les IFA ou l’Arkencheen

L’Arkencheen est une fédération regroupant trois états insulaires de culture anglophone et précolombienne. La naissance de cette fédération se lie à différents états fédérés ayant longtemps été en proie à la guerre durant l’âge coloniale (situé entre le XVIIe et le XIXe siècle). Durant cette ère, les principales dynasties blanches et latines régionales ont multiplié les affrontements pour dominer les archipels aux limites des deux empires. En s’emparant des îles, les deux camps espéraient pouvoir créer et entretenir l’une des principales routes commerciales internationales, participant à la jonction des deux hémisphères.

Les aristocraties associées à ses deux empires ayant peu à peu perdu de leur panache, la paix et la coopération internationale s’est renforcée, laissant de côté les velléités coloniales. Les gouvernances des îles ayant fini par recouvrir leur indépendance, elles se sont rapprochées dans le but de reprendre en main l’activité économique régionale et de renoncer durablement à la guerre dans la région.

En instaurant une fédération autour de ces îles, les états régionaux entendent bien installer un maillage actif et souverain de l'espace régional, pour arbitrer l’activité commerciale sur place et se soustraire aux puissances extérieures qui les ont jadis opposées, privant cet archipel de tout son potentiel.

Les îles fédérées d'Arkencheen sont alors devenues une entité politique, née le 9 octobre 1833. Issue de l'unité de plusieurs états insulaires que sont: l'Arkoha, les Encolanas ainsi que le Heenylth, la Fédération d'Arkencheen vient pérenniser sur le long terme, un des espaces stratégiques favorables au développement du commerce international.

Etats fédérés d'ArkencheenCarte

Langue(s) officielle(s) : Anglais (en Heenylth et au niveau fédéral) puis espagnol au niveau local (Arkoha + les Encolanas)
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Portugais, langues chibchanes

Drapeau fédéral de l'Arkencheen
Il s'agit du drapeau fédéral, chacun des états fédérés dispose d'un drapeau lui étant propre.

Drapeau : Le bleu renvoie à la présence des mers et océans entourant les territoires de l’Arkencheen. Le jaune doré promet lui la prospérité attendue par les différents états fédérés de l’Arkencheen. L’étoile blanche à cinq branches sur le fond jaune incarnant la prospérité traduit le but à atteindre par la Fédération: la prospérité dans l’unité et la paix.

Devise de la fédération : Paix, Partage, Prospérité ("Cycle des 3P").
Hymne fédéral : "The journey home", écrit par Theophilus McFadden.


L'hymne fédéral relate le vol d'un oiseau et la recherche de quiétude faite par un homme en proie à ses tourments. L'hymne dresse un parallèle direct à la crise militaire des états insulaires de la fédération, identifiant la paix comme l'axe majeur du progrès et du développement socio-économique de l'espace régional. En plus d'un hymne fédéral, chacun des états fédérés possède le sien.

Monnaie : Arkam(s) [Ark]

Capitale fédérale : Aserjuco

Population totale au sein de la fédération : 42 millions d'habitants (2002)
Gentilé : Arkencan/arkencane
2396

I-PRESENTATION DE LA FEDERATION



B-TOPOGRAPHIE DE LA FEDERATION



Prises de vues des principales topographies de l'archipel d'Arkencheen.
Prises de vues des principales topographies de l'archipel d'Arkencheen.

La Fédération d’Arkencheen est une organisation politique qui regroupe trois états mais s’étale géographiquement sur pas moins de 34 îles. Ces multiples îles, hétéroclites, représentent un territoire fédéral de 1 441 241 km² de superficie.

La Fédération d’Arkencheen est pour ainsi dire, un grand archipel se faisant le quasi ensemble des îles situées en marge des deux continents d’extrême occident. Cette proximité des îles trouve une origine d’ordre géologique, entretenue par la présence de volcans.

Bien que les territoires soient physiquement désolidarisés, l’ensemble des îles fédérales marque une certaine cohésion, par la continuité des aménagements commerciaux et industriels, qui permet aujourd’hui d’en favoriser les échanges plusieurs fois par jour, que ce soit par voie maritime ou aérienne. Certaines îles, parmi les plus petites sont cependant restées vierges et dominées par la mangrove, elles comptabilisent alors moins d’une dizaine d’habitants au km². Il s’agit exclusivement de pêcheurs non résidents de l’île ou de de soldats fédéraux en charge de maintenir la souveraineté sur ces îles.

La Fédération est gouvernée depuis Aserjuco, sa capitale située au milieu-est de l’île de Malmana en Arkoha.

D’un point de vue topographique, le territoire fédéral est entièrement insulaire, avec un relief relativement faible. Des 34 îles qui composent la fédération, seulement quatre enregistrent effectivement des sommets égaux ou supérieurs à 1000 mètres. Si les faibles hauteurs sont généralement localisées au milieu des îles, c’est notamment par le frottement passé des plaques tectoniques.

carte iles fédérées noms d'îles
Topographie et appelation des (principales) îles Fédérées d'Arkencheen (IFA) - clic gauche pour agrandir

La présence de hauteurs au coeur des îles, bien faibles soient-elles, ne limite pas excessivement l’occupation de certains espaces territoriaux par les acteurs de l’urbanisme local. Néanmoins, la présence d'espaces tropicaux et d'îles vierges dominées par la mangrove oblige les populations à se concentrer autour de certains pôles des principales îles.

Bien que certains géographes s’attardent à dire qu’il existe plusieurs archipels au sein de la Fédération d’Arkencheen, la désignation d’un seul archipel par les autorités fédérales constitue une manoeuvre politique, de nature à renforcer la coopération entre les états fédérés et offrir une légitimité renforcée, au projet politique de la Fédération d'Arkencheen.
4192

II-POLITIQUES & GOUVERNANCES FEDERALES



A-INSTITUTIONS FEDERALES



Assemblée fédérale d'Arkencheen
L'assemblée fédérale d'Arkencheen.

Les institutions de la Fédération d’Arkencheen sont l’incarnation morale de l’entité politique qu’elles représentent. Elles viennent également coordonner l’action politique des différents états fédérés. Comptant parmi les organisations politiques internationales, la Fédération est dôtée d’un fonctionnement régi par plusieurs instances chargées de défendre les valeurs et les intérêts des états fédérés.

Édifiées sur la base du traité fondateur de la Fédération signé le 9 octobre 1833, ces institutions sont au nombre de 4 : l’assemblée fédérale, le conseil fédéral, la présidence fédérale et le conseil de la fédération.

Schéma des institutions fédéralesSchéma des institutions fédérales

L’assemblée fédérale

L’assemblée générale est composée de 82 députés fédéraux élus pour 8 ans et par les citoyens de la fédération (1). Le corps électoral de la Fédération n’imposait pas de critères spécifiques, autres que ceux nécessaires à l’inscription sur une liste électorale au sein d’un état fédéré.

Toutefois, soucieux de gonfler un corps électoral favorable, l’ancien président de la Heenylth Prosperity Nichol, avait abaissé en 1997 l’âge légal de ses citoyens pour leur octroyer le droit de vote aux élections fédérales. L’assemblée fédérale avait alors été obligé de légiférer pour convenir de critères autorisant le vote des citoyens de la Fédération. Depuis cette date, ne sont amenés à voter que les citoyens de la Fédération âgés de 20 ans ou plus et pouvant encore jouir de leurs droits civiques au sein de leur état d’appartenance.

Une fois élue, l’assemblée fédérale et ses 82 députés vont ensuite se faire les électeurs de l’élection pour la présidence fédérale (2).

La présidence fédérale

L’issue des scrutins a identifié un président fédéral qui se doit maintenant de désigner un vice-président pour le remplacer en cas d’incapacité à l’exercice du pouvoir. Outre le vice-président, le président fédéral va également nommer 5 conseillers fédéraux pour la prise en charge des différents portefeuilles régissant l’activité de la Fédération (3). Le président fédéral est comme l'assemblée, élu pour 8 ans.

La vice-présidence fédérale

La vice-présidence est une fonction fantoche destinée à designer un successeur direct au président fédéral si ce dernier venait à écourter précipitamment son mandat. Elle est une fonction "vide" en ce sens que dès lors que le président fédéral est en exercice, le vice-président n'a aucun prérogative.

Le conseil fédéral

Les 5 conseillers fédéraux qui composent maintenant le conseil fédéral vont se répartir 5 porte-feuilles:
  • le Département fédéral à l'environnement, aux transports, à l'énergie et à la communication,
  • le département fédéral de la justice, de la défense et de la protection de la population,
  • le département fédéral pour la recherche, le développement humain et les sports,
  • le département fédéral des affaires étrangères,
  • le département fédéral à la finance et à l’économie.
En cas de désaccord profond avec l’assemblée fédérale, cette dernière peut demander la dissolution du conseil fédéral (4) sous réserve d’un vote favorable à la majorité absolue.

Le conseil de la Fédération

Le conseil de la fédération se distingue du conseil fédéral car il est composé de chaque gouvernement en place au sein des états fédérés. Le conseil de la Fédération n’est donc pas une instance élue par celle-ci, mais constitue uniquement une instance de représentation pour chaque état fédéré. Après chaque scrutin pour la présidence fédérale, le conseil de la fédération doit également émettre un vote de confiance (5) qui permettra le début d’exercice de mandat pour l’équipe dirigeante.

Le pouvoir du conseil de la fédération n’est cependant pas absolu puisque l’un de ses membres (et donc avec lui, son état fédéré) peut être visé par des sanctions votées en assemblée fédérale (6). Défaut de cotisation, non respect de la réglementation fédérale, chaque état fédéré en défaut vis-à-vis de l’organisation doit alors entreprendre les mesures nécessaires à la levée des amendes et autres sanctions.
1297

II-POLITIQUES & GOUVERNANCES FEDERALES



B-HISTORIQUE DES GOUVERNANCES



Logo présidence fédérale d'arkencheen
Logo institutionnel de la Présidence Fédérale d'Alguarena, modifié en 2004 suite au référendum pour la restauration d'une identité culturelle.

Depuis que la fédération s’est créée le 9 octobre 1833, les conseils fédéraux se sont succédés à la tête de l'organisation en sortie d’un vote émis tous les 8 ans par l’assemblée fédérale.
Ici seront gravés dans le marbre, l’historique des différentes mandatures des conseils fédéraux.

MANDATURE PRESIDENCE FEDERALE 2000 - 2008




  • Président(e) fédéral(e): Mazeri Abrogara (ARKOHA - Movimiento Igualitario Unido)
  • Vice-président(e) fédéral(e): Valentina Curbelo (ARKOHA - Movimiento Igualitario Unido)
  • Conseiller(ère) fédéral(e) à l'environnement, aux transports, à l'énergie et à la communication: Alden Perking (HEENYLTH - Progressive Movement)
  • Conseiller(ère) fédéral(e) de la justice, de la défense et de la protection de la population: Mauricio Sáenz (ENCOLANAS - Partido de Emancipación Indiviso)
  • Conseiller(ère) fédéral(e) pour la recherche, le développement humain et les sports: Ajax Sinclair (HEENYLTH - United Islands)
  • Conseiller(ère) fédéral(e) aux affaires étrangères: Martha Fulton (HEENYLTH - United Islands)
  • Conseiller(ère) fédéral(e) à la finance et à l’économie: Bianca Barrios (ENCOLANAS - Partido de Emancipación Indiviso)
11192

II-POLITIQUES & GOUVERNANCES FEDERALES



C-CHARTE FONDATRICE DE LA FEDERATION D'ARKENCHEEN



Bannière de la Fédération - Geokratos
ÉTATS FEDERES

La Fédération d’Arkencheen est une organisation politique qui réunit plusieurs micronations insulaires afin qu’elles puissent entretenir leur indépendance et leur souveraineté au coeur d’un espace régional en prise avec les puissances internationales. Ce regroupement est en premier lieu de nature politique puisqu’il défend une ambition fondée sur 3 préceptes qui garantiront la stabilité régionale ainsi que la règle des trois “P” pour partage, prospérité et paix:
  • le partage entre les membres de la Fédération par la disparition des contraintes douanières et le renforcement de la coopération économique, scientifique ou militaire,
  • la prospérité découlant de la coopération renforcée entre chaque état fédéré, grâce à la création de véritables pôles industriels internationaux, qu’ils soient d’ordre économiques ou technologiques,
  • la paix, dans tout ce qu’elle a de plus bénéfique grâce à ce processus gagnant-gagnant et des interfaces nombreuses entre les différents états fédérés.
La Fédération d’Arkencheen est une organisation ouverte à l’adhésion de nouveaux membres. Son adhésion est soumise à la signature d’une Charte conditionnant les relations entre chacun des membres fédérés. Après signature de cette Charte, le parlement fédéral doit débattre et valider l’adhésion lors d’une assemblée intervenant au plus tard, 3 mois après la signature de la Charte par l’aspirant fédéraliste.

En l’absence de vote ou en cas de rejet de la demande d’adhésion débattue en assemblée, la signature de la Charte par l’état candidat est déclarée nulle et non avenue. Si le parlement fédéral se prononce favorablement à la nouvelle adhésion, le projet ratifié spécifiera une date effective d’entrée au sein de la Fédération, et différentes dates intermédiaires destinées à apprécier la bonne intégration du nouvel état fédéré.

La Charte fondatrice de la Fédération d’Arkencheen a été fondée le 9 octobre 1833 par les trois dirigeants souverains d’Arkoha, des Encolanas et du Heenylth à l’époque. Des amendements à celle-ci peuvent survenir mais sous la réserve d’une double validation, d’une part devant le parlement fédéral et d’autre part sa présidence. La Charte regroupe et décrit différentes modalités de fonctionnement, telles que les cotisations attendues auprès des états signataires, leurs droits et leurs engagements, le processus décisionnel et les conditions des différentes nominations de poste au sein de la Fédération.

Etats fédérés, le 9 octobre 1833 a écrit :

Charte fondatrice de la Fédération d’Arkencheen du 9 octobre 1833



Préambule
La globalisation économique et social du monde entraîne aujourd’hui des interfaces nombreuses et permanentes entre les différentes puissances internationales. Ces échanges font naître des intérêts stratégiques sur plusieurs points géographiques, dont l’un d’eux abrite aujourd’hui plusieurs états membres de la Fédération.

Cet intérêt autour de l’espace régional des membres de la Fédération a entraîné une série d’actes historiques de colonisation et de guerre de conquête, tantôt conduite par l’une ou l’autre des puissances impérialistes du XIXe siècle. C'est pourquoi la Fédération s’est créée pour permettre l’affranchissement des micronations présentes en Occident, et permettre leur existence sans impasse sur leur identité culturelle ou leur souveraineté territoriale.

L'organisation pourrait alors se résumer sous une maxime paradoxale :se fédérer, c’est s’affranchir.

La Charte d’Arkencheen, rédigée à Bergwood en Heenylth, acte l’engagement de ces états, dans un processus émancipateur qui favorise la coopération économique, scientifique et militaire, de tous les états membres de la Fédération, afin de permettre à chacun d’asseoir sa souveraineté et d’entretenir des intérêts identifiés dans la région, afin de maintenir le partage, la prospérité et la paix régionale.

Les signataires de la présente Charte s’engagent donc à l’adoption et à l’application de celle-ci, sous une forme exhaustive. Résolus à unir leurs efforts pour présenter un espace régional bonifié sur la scène internationale, les signataires consentent à soutenir le présent traité, par une adhésion au sein de la Fédération d’Arkencheen, sous ses aspects financiers, politiques et même militaires.

Article 1 - Concorde et pérennité de l’institution
Les parties signataires s'engagent à régler pacifiquement tout différend les opposant, de telle manière que la paix ainsi que la sécurité de ses membres demeurent assurées, tandis que le fonctionnement de l‘institution est lui maintenu.

Article 2 - Relations externes
Les parties signataires contribueront au développement de relations internationales pacifiques et prospères sur la scène internationale. Le projet de partage, de prospérité et de paix entretenu au sein de la Fédération, doit en effet trouver une résonance quotidienne, auprès des états étrangers à la Fédération.
Les états fédérés veilleront également, à ne pas engager les intérêts de la Fédération au sein de considérations nationales, sans qu’elles n’aient préalablement été échangées en son sein.

Article 3 - Relations internes
Outre l’absence totale de belligérance entre les états membres de la Fédération, ceux-ci devront s’accorder, conjointement et de manière effective, au développement des moyens ainsi que des actes d’assistance entre les états fédérés, qui permettraient une sauvegarde ou la restauration de la souveraineté d’un état membre.

Article 4 - Objectifs et enjeux de l’organisation
Développer une zone de partage privilégiée entre les différents états fédérés, afin que la Fédération dont chaque état membre peut en revendiquer l’assistance, puisse entretenir une position renforcée sur la scène internationale, profitable à chacun pour maintenir la stabilité et la souveraineté de son territoire.
Atteindre la prospérité grâce des relations préférentielles et complémentaires, entre les états fédérés.
Maintenir un état de paix permanent sur l’espace territorial de la Fédération ainsi que celui de sa sphère d’influence ou à défaut, entamer la pacification des théâtres défaillants.

Article 5 - Institutions fédérales
Au sein de la Fédération, il est reconnu différents titres et fonctions régisseurs de l’organisation fédérale.
Celles-ci sont:
Président fédéral,
Vice-Président fédéral,
conseiller fédéral
député fédéral
membre du conseil de la Fédération

Article 6 - Prérogatives des institutions fédérales
Président fédéral: La Fédération d’Arkencheen est sous l’autorité d’une présidence fédérale, dont le représentant est élu pour 8 ans par le parlement de la Fédération.
Le président de la Fédération a l’autorité nécessaire pour engager de son propre chef, l’armée fédérale au sein d’un conflit débuté par un état tiers au sein de l’espace fédéral.
En revanche une déclaration de guerre à l’égard d’un autre état, si elle peut être initiée pour des raisons impérieuses par la seule décision du président fédéral, devra être homologuée après un passage devant le parlement fédéral sous 48h.

De manière générale, le président fédéral définit les orientations stratégiques de la Fédération, propose les actions et les moyens alloués à son exécution.

Conseiller fédéral: Pour accompagner le président fédéral dans ses missions et considérant son manque de spécialisation sur les différents portefeuilles, il est reconnu que ce dernier pourra nommer 5 conseillers fédéraux, chacun d’eux se trouvant en charge d’un des 5 départements spécialisés.
Ces 5 conseillers forment ce qui est appelé le conseil fédéral, offrant à la présidence fédérale l’expertise suffisante pour arbitrer les décisions nécessaires à chaque domaine fédéral.
Vice-président fédéral: En sus des conseillers fédéraux, le président fédéral devra nommer un vice-président chargé de le remplacer si le président fédéral venait à souffrir d’une situation incapacitante, mettant fin à l’exercice en situation normale de ses fonctions.

Le vice-président occupe un poste remplaçant, il n’est en aucun titulaire des droits et prérogatives du président fédéral ou encore délégataire de ses missions.

Elu fédéral: Le parlement fédéral est lui aussi élu pour 8 ans, il incarne le pouvoir législatif de la fédération. Chaque état fédéré y présente des députés pour pourvoir un nombre défini de places. Le nombre de places à attribuer par état fédéré se veut proportionnel aux nombres d’habitants de chaque état. Cependant un seuil minimal de 5 députés par état est instauré depuis le 17 avril 1942.

Conseilelr fédéral: Et enfin, il est reconnu l’existence d’un conseil de la Fédération, où chacune des nations fédérées y est représentée et reçoit l’octroi d’une voix lors des réunions de consultation ou des réunions obligatoires comme il en est question dans le cadre d’une procédure de destitution de la présidence fédérale.

Article 7 - Fonctionnement de la Fédération
Tous les 8 ans:
  • Les députés fédéraux ont pour prérogative l’élection du président fédéral,
  • ce président fédéral nomine un vice-président ainsi que 5 conseillers fédéraux.
S’il est avéré que le président fédéral venait à faillir de sa mission, et que cette défaillance ne soit imputable à aucune inaptitude médicale, le parlement fédéral pourra émettre un vote de défiance, qui se devra d’être confirmé par un vote des membres du conseil de la Fédération (représentant chacun des états fédérés). Lorsque la preuve d’une défaillance médicale est apportée, mettant en lumièrel ‘incapacité du président fédéral à poursuivre son action à la tête de la Fédération, ce dernier est remplacé par la vice-présidence et de nouvelles élections sont convoquées pour le mois en cours.

Article 8 - Assistance militaire
Les parties signataires conviennent qu'une action hostile, portée contre un ou plusieurs membres, est constitutif d’un acte d’agression dirigé contre toutes les parties.

Sur ce principe, il est convenu que la Fédération, individuellement ou conjointement à ses parties signataires, entreprenne les actions nécessaires à la cessation des actes hostiles à son encontre ou celui de ses membres, y compris lorsqu’ils invitent à des actions armées de la Fédération.

Article 9 - Primauté des membres
Chacune des parties déclare qu'aucun des engagements internationaux actuellement en vigueur entre Etats et entités privés, n'est en contradiction avec les dispositions de la présente Charte et assume l'obligation de ne souscrire aucun engagement international en contradiction avec la Charte.

Article 10 - Adhésion des membres
Les parties peuvent, par accord unanime, inviter à accéder à la Charte, toute nation qui en ferait la demande.
Tout candidat ainsi invité peut devenir signataire de la Charte d’Arkencheen, et ensuite voir sa candidature soumise au vote du parlement fédéral.

Article 11 - Obligations de moyens et participation
La poursuite et l'atteinte des objectifs défendus par la Fédération peut engager une série de moyens que l'organisation ne saurait autofinancer. A ce titre, chaque partie signataire contribuera financièrement au fonctionnement de la Fédération, à hauteur d’un montant de x% de son PIB.

La contribution des états signataires sera fixée sur acceptation de l’assemblée parlementaire fédérale. Les fonds récoltés seront destinés à indemniser les hauts fonctionnaires appartenant à la présidence fédérale, les troupes fédérées détachées en mission auprès de la Fédération ainsi que les troupes fédérales elles-même. Des actions et dispositifs spécifiques pourront être créés et financés sur un fond fédéral, après la parution d'une décision favorable en provenance de l‘assemblée parlementaire.

Fait à Bergwood, le 9 octobre 1833.

États signataires de la Charte fédérale d'Arkencheen:
- Président Benjamin Mueller, représentant de l'Etat fédéré de la Heenylth,
- Président Cristoval Mayonga-Fuentes, représentant de l'État fédéré des Encolanas,
- Président Errolán Díaz Zamora, représentant de l'Etat fédéral de l'Arkoha.
2937

III-ORGANISATION MILITAIRE DE LA FEDERATION



A-PRESENTATION GENERALE DE L'ARMEE FEDERALE D'ARKENCHEEN



Logo de l'Armée Fédérale d'Arkencheen
Arkencheen Federal Army - L’Armée Fédérale d’Arkencheen.

Présentation de l'armée fédérale



Tout comme les états fédérés qui la composent, la Fédération d’Arkencheen est dotée d’une armée de métier, en provenance de ses différents états membres.

L'armée fédérale est placée sous le commandement direct de la présidence fédérale. Cette armée professionnelle est employable sur l’ensemble des territoires fédérés mais aussi sur les théâtres des opération extérieures à la Fédération. C’est une des distinctions faites avec les armées des nations fédérées, qui prennent généralement la dénomination de forces d’autodéfense puisqu’elles n’ont pas vocation à être projetées sur un théâtre éloigné de la sphère d’influence d’un état fédéré.

Le contingent fédéral est interarmées, c’est-à-dire qu’il entretient des forces vives sur chacune des quatre armées que sont l’armée de terre, l’armée de l’air, la marine de guerre ou encore la police militaire et gendarmerie.

Les effectifs globaux de l’armée fédérale doivent tendre à terme à 210 000 soldats, une donnée correspondant à environ 0,5% de la population totale déclarée au sein de la fédération.


ARKENCHEEN FEDERAL ARMY

FEDERAL ARMY

  • Federal Navy of Arkencheen - Marine Fédérale
  • Federal Army - Armée Fédérale
  • Federal Air Force of Arkencheen - Forces Aériennes Fédérales d’Arkencheen
  • Arkencheen Federal Cooperation Force for People’s Cohesion - Force Fédérale de Coopération d’Arkencheen pour la Cohésion des peuples.

Financement



L’armée fédérale est financée sur contribution de ses états fédérés, cette contribution est estimée à un pourcentage “x”, variable puisqu’il est identifié en fonction de leur PIB.

Cependant et avec l’accord de l’état fédéré concerné, il est possible que des troupes nationales soient temporairement détachées dans les rangs de l’armée fédérale, notamment si les compétences ou l’équipement nécessaire faisaient défaut à l’armée fédérale.

Selon la nature des motifs qui encadrent ce détachement, le financement des contingents détachés par les armées nationales n’est pas une charge imputable au budget fédéral des armées. La prise en charge des frais d’entretiens de ces armées détachées peut donc faire l’objet de discussion, autrement dit de négociations, entre l’état fédéré qui détache ses forces et la Fédération qui les accueille, ceci afin de déterminer le niveau de prise en charge permis par les autorités fédérales et le reste à charge délégué à cet état fédéré.
28543

III-ORGANISATION MILITAIRE DE LA FEDERATION



B-FEDERAL ARMY / ARMEE DE TERRE FEDERALE



Logo armée de Terre/Federal army

La Federal Army (l’Armée Fédérale) est la branche terrestre de l’Armée Fédérale d'Alguarena. Elle est d’une part en charge de la défense des différents états fédérés qui composent la Fédération, et d’une autre part en charge des opérations militaires terrestres accomplies en dehors du territoire fédéral.

Sa devise institutionnelle est “Protéger & Servir” mais son écusson arbore désormais la devise fédérale qui est “Paix, Partage et Prospérité” après que la Fédération ait voulu marteler sa volonté de développer pacifiquement l’organisation.

L’armée fédérale est la première branche des armées créée après la succession des déclarations d’indépendance au sein de la Heenylth, de l’Arkoha et des Encolanas. Effectivement, les états fédérés étaient précedemment protégés par des milices partisanes dont certains chefs de guerre inspiraient parfois plus de crainte que de sentiments patriotiques. Cette situation a longtemps stagné jusqu’en 1833 où les 3 gouvernements qui composent aujourd’hui la Fédération, ont fait le choix de se réunir sous une même entité politique: la Fédération d’Arkencheen.

Chacune des nations fédérées entretenant à son niveau des milices omnipotentes et brutales, il a été décidé leur démantèlement progressif au profit d’une force commune et loyale qui accompagnerait ce désarmement. Ce projet impliquant des ressources humaines compétentes qui n’existaient pas encore, les premiers effectifs des armées fédérales étaient des volontaires détachés, en provenance des milices les moins virulentes. Mutualisé, le premier contingent de l’armée fédérale comportait 6 300 soldats en 1836, entièrement affectés à l’armée de terre fédérale. En effet, l’armée fédérale d’Arkencheen n’avait au départ ni les hommes, ni les équipements et encore moins les compétences, pour entretenir une flotte de guerre.

Jusqu’en 1844, l’armée fédérale était sans réels prétendants au commandement car elle était un rassemblement disparate de civils, parfois de cultures différentes, empêchant les compositions militaires organiques. Elle ne se va se professionnaliser qu’à partir de 1858 après la constitution d’un comité militaire en charge de réformer l’armée.

Outre la création des autres branches de l’armée, ce comité militaire proposera le déroulement d’une série de commissions pendant lesquelles des hauts fonctionnaires de la Fédération et des hauts gradés de l’armée fédérale statueront sur des propositions de salaires, une échelle de grade et les critères d’avancement ainsi que d’autres avantages sociaux tels qu’une mutuelle, prévoyance ou encore une première liste non exhaustive d’équipements à acquérir et à uniformiser sur l’ensemble des unités militaires. Cette initiative a permis de débuter un groupe de travail et d’amélioration continue au sein de l’armée fédérale et en lien permanent avec son commandement. Une démarche qui entraînera depuis plus d’un siècle, la spécialisation de l‘institution par la création de nouvelles armes telles que l’artillerie, le génie militaire, etc…

Depuis 2002, l'armée fédérale a vocation à entretenir 210 000 soldats (soit 0,5% des 42 millions de citoyens de la Fédération). Sur ce contingent, 100 000 hommes seront affectés à l'armée de Terre fédérale.

EQUIPEMENTS EN DOTATION (A COMPLÉTER)



Rifle de asalto automatico 80 (RAA-80)
RAA-80 (clic gauche pour agrandir)

Le RAA-80 est l'arme de dotation des troupes fédérales au sein de l'armée de Terre, c'est le dernier fusil semi-automatique encore en service au sein de l'institution après sa perception en 1978. De calibre 7,62 mm, équipé de chargeur à 20 coups et d'une masse de 4,75 kg, il est une arme relativement imposante, obligeant l'état-major fédéral à seconder son utilisation dans les unités opérationnelles, avec celle d'autres fusils d'assaut de taille et de masse réduite.

Le RAA-80 en dotation depuis 1978 était initialement en version semi-automatique et n'a presque plus rien à voir avec ses nouvelles versions disponibles au sein des unités opérationnelles. Il reste malgré tout en dotation auprès des unités en garnison et celles positionnées sur les cérémonies militaires. La version semi-automatique à part, de nombreuses armes de nouvelle génération sont effectivement venues palier et améliorer les lacunes de la version originelle. Une amélioration continue ayant par exemple donné naissance aux modèles de le RAA-70 dans sa version au canon court ou encore le RAA-80MG qui constitue un fusil mitrailleur d'appoint avec une capacité des chargeurs renforcée à 30 coups.

Divers accessoires pour l'aide au tir et à la visée sont disponibles sur ce modèle, le rendant encore malgré tout compétitif, comparativement au coût et au niveau de sophistication d'autres fusils d'assaut.

RAA-80 - Arme légère d'infanterie du niveau 1 à 5 inclus.
Statut: Disponible à l’achat
Type: Fusil d'assaut automatique individuel
Munitions: 7,62 x 51 mm
Portée pratique: 250 mètres (maximale théorique : 400 mètres)
Masse chargée/non chargée: 4,75 kg
Cadence de tir: 625 à 750 coups par minute


Rifle de asalto automatico superior 100 (RAAS-100)
RAAS-100 (clic gauche pour agrandir)

Le RAAS-100 est un fusil d’assaut présent en dotation pour les forces armées fédérales d’Alguarena. Conçu dans les années 2000 pour offrir aux groupes d’intervention armés et aux polices fédérales les moyens d’intervenir contre les réseaux criminels en plein essor dans l’archipel, à l’instar des mafias alguarenas, ou étrangères et des contrebandiers d’Eurysie du nord, le RAAS-100 s’est depuis forgé une bonne réputation auprès des forces armées elles-mêmes, qui n’hésitent plus à en autoriser la dotation au sein d’unités qui ne sont pourtant pas affiliées à l’intervention.

L’arme ayant été initialement commandée pour équiper les forces spéciales et unités de polices alguarenas, de nombreux accessoires sont disponibles, que ces accessoires soient tournés vers l‘aide au tir (poignée anti recul), à la visée (lunettes infrarouge et lunette de précision avec un grossissement x3) ou bien encore des accessoires pour l’augmentation de la puissance de feu de l’arme, tel qu’un fusil à pompe ou lance-grenade intégrés au fusil d’assaut.


RAAS-100 - Arme légère d'infanterie du niveau 6 à 11 inclus.
Statut: Disponible à l’achat
Type: Fusil d'assaut automatique individuel
Munitions: 5,56 x 45 mm (30 coups / 100 coups dans sa version RAAS-100+, avec un chargeur en tambour).
Portée pratique: 800 mètres (maximale théorique : 2 850 mètres)
Masse chargée/non chargée: 3,60 kg
Cadence de tir: 750 coups par minute


Mitrailleuse lourde HG-10
La mitrailleuse HG-10, ici montée sur tourelle circulaire (clic gauche pour agrandir)

La HG-10 est une mitrailleuse lourde de calibre 12,7 mm. Sa conception est heenylthaine et remonte aux années 1970. Remise au goût du jour dans des versions au poids allégé, d’autres facilitant le refroidissement du canon, l’arme est depuis intégrée à la plupart des véhicules de combat arkencans. La HG-10 est en effet la principale arme chambrant la plus puissante munition intégrée en dotation, la 12,7 mm. Adaptée à l’équipement de l’ensemble des véhicules de l’armée fédérale, celle-ci montre une longévité peu commune parmi les programmes d’armements nationaux, peu enclins à lui désigner un substitut valable.

D'une masse de 72 kg et placée sur trépied, la HG-10 vient offrir une puissance de feu à une équipe réduite d'opérateurs, pour lui faire égaler une capacité de nuisance semblable à une section.

HG-10 - Mitrailleuse lourde du niveau 1 à 10 inclus.
Statut: Disponible à l’achat
Type: Automatique / semi-automatique
Munitions: 12,7 x 99mm
Opérateurs: 1 à 2 servants
Portée pratique: 1 200 mètres
Masse chargée/non chargée: 38 kg / 72 kg
Cadence de tir: 500 coups par minute


RPG-29 / Le Lanzacohetes 5
Le Lanzacohetes 5 est un armement à vocation essentiellement antichar, qui accompagne facilement les unités partout où elles doivent l’emporter (clic gauche pour agrandir)

Le LS-5 est un lance-roquettes permettant le tir de charge tandem, c’est-à-dire que c’est un armement antichar à même de percer les blindages réactifs. La toute première version du Lanzacohetes 5 a été mise au point en 1954, consécutivement au débarquement albelais de Wilster, durant la guerre albelo-alguarena.

Cet armement a fait l’objet d’un déploiement massif au Varanya, notamment lors de l’équipement des troupes révolutionnaires varanyennes, ce qui contribua activement à leur renommée considérant l'avantage tactique qu’ils ont offert sur les blindés loyalistes au Shah. Pour faciliter sa prise en charge par un servant, une épaulière vient aider au bon positionnement de l’arme lors de l'exécution d’un tir par l’épaule, non guidé.

LS5 - Lance-roquettes du niveau 1 à 9 inclus.
Statut: Disponible à l’achat
Type: Type à chargement par la culasse
Munitions: La cartouche antipersonnel thermobarique ou la cartouche anti-char / anti-bunker a une ogive “High Explosive Anti-Tank” (HEAT)
Opérateurs: 1 servant
Portée pratique: 450 mètres
Masse chargée/non chargée: 19 kg / 12 kg


Mortero 81 mm / Mo 81 mm
Le Mo 81mm (diminutif Mo-81) est un mortier léger en dotation dans les armées fédérales d’Alguarena, simple d’utilisation et facile à transporter, il constitue le premier échelon des unités d’artilleurs (clic gauche pour agrandir).


Manipulé par un binôme de servants, le Mo 81 est une arme permettant un appui rapide voire immédiat, aux forces d’infanterie engagées sur la ligne de front. Sa légèreté le rend facilement déployable sur le champ de bataille, lui permettant d’accompagner les différents régiments de l’armée fédérale, qu’ils soient aéroportés ou non. Il est vrai qu'en l'absence de moyens de projection lourds pour permettre le déploiement d'une artillerie automoteur ou de lance-roquettes multiples, la présence de ces petites pièces, facilement intégrées au sein de chaque unité combattante, représente une puissance de feu notable, appréciable.


Mortier de 81 mm - Mortier léger du niveau 1 à 8 inclus
Statut: Disponible à l’achat
Munitions: obus de 81 mm
Opérateurs: 2 servants
Portée pratique: 3 100 mètres, jusqu’à 5 600 mètres selon la spécificité des obus utilisés
Masse: 45 kg
Cadence de tir: 15 coups par minute


Le lanzador de missiles 3-Tora / LM-3 Tora, dans son utilisation à l'épaule ou sur trépieds.
Le “lanzador de misiles 3-Tora” (diminutif “LM 3-Tora”) est une arme antichar alguarena redoutable entre les mains d’une infanterie professionnelle.


Le LM 3-Tora est l’arme antichar de dotation au sein des forces armées fédérales d’Alguarena. Bénéficiant d’une portée de tir de 600 mètres, le LM 3-Tora a également à son avantage les récentes améliorations autour des projectiles guidés qu’il peut prendre en charge. Des missiles dotés d’une très grande précision et susceptibles de détruire des petits véhicules au blindé léger du premier coup.

Sa portée associée à son pouvoir de détruire, ainsi qu’à sa tenue polyvalente (tir à l’épaule et/ou au sol) en font finalement une arme de soutien à l’infanterie très appréciable, pour les théâtres urbains ou champêtres. Dans certains cas de figure, l’engin est également équipé sur le toit de véhicules blindés de reconnaissance, permettant ainsi à ces unités de première ligne d'affronter la majeure partie des dangers rencontrés et ce, avec une certaine autonomie. D’un poids de douze kilos à peine, le rendant facilement transportable sur le terrain, le LM 3-Tora est une arme intégrée à l’ensemble des unités d’infanterie.

Lanzador de misiles 3-Tora - Lance-missiles antichar du niveau 1 à 10 inclus
Statut: Disponible à l’achat
Munitions: Missiles antichar, avec ou sans charge à uranium appauvri, filoguidés.
Opérateurs: 2 servants
Portée pratique: 600 mètres
Masse: 12 kg



Mitrailleuse lourde HG-10
Le mortier M2 MIRCAO 120mm est un mortier tracté de l’armée fédérale d’Arkencheen qui traverse les âges (clic gauche pour agrandir).


Les Forces Encolanaltèques Autonomes se trouvent à l’origine de sa conception puisque ce mortier devait leur permettre d’entretenir à moindre frais, un semblant d’artillerie pouvant allier la mobilité et la rapidité de déploiement. En plus de tous ces avantages, le MIRCAO entretient une spécificité à travers sa capacité à entretenir un champ de tir à 360° et cela sans qu’il soit nécessaire d’en déplacer sa base.
D’une masse de 700 kg seulement et d’une longueur de 3 mètres, cette pièce d’artillerie est le poids plume de sa catégorie d'équipements. Transportable par voies terrestres ou aériennes, le M2 MIRCAO constitue le premier élément des forces relevant de l’artillerie.
Dans ses versions les plus modernes, ce mortier bénéficie d’un panneau de commande informatisé pour paramétrer les tirs. Tracté par des véhicules blindés légers tels que le VATT, le M2 MIRCAO peut amener environ 70 obus avec lui, au plus près du front.

M2 MIRCAO 120 mm - Mortier tracté du niveau 1 à 10 inclus
Statut: Disponible à l’achat
Munitions: 120 mm
Opérateurs: 3 servants
Portée pratique: 13 000 mètres
Masse: 700 kg
Cadence de tir: 18 coups par minute


Plateforme de lancement de missiles sol-air CAE-3M
Le CAE-3M est un lance-missiles antiaériens statique, qui marque l’apogée des canons antiaériens fixes jusqu’ici déployés en dotation dans les unités de l’armée fédérale (clic gauche pour agrandir)

Le CAE-3M pour “cañón antiaéreo estático tre misil”, est une rampe de lancement pour missiles sol-air, exclusivement tractés ou statiques. D’abord engagés pour lutter contre les aéronefs, ces appareils ont vu leurs missions peu à peu se réajuster compte tenu des menaces grandissantes, notamment celles liées à l’usage de missiles de croisière ou missiles balistiques. Ainsi et compte tenu de sa portée modeste, avec seulement 50km, le CAE-3M est depuis davantage positionné sur des mission d’interception de missiles hostiles, ce qui lui vaut une seconde vie sur bon nombre de bâtiments de la marine fédérale alguarena.

CAE-3M - rampe statique pour missiles sol-air / canon antiaérien fixe du niveau 8 à 10 inclus.
Statut: Disponible à l’achat
Munitions: missiles sol-air
Vitesse des missiles : 2 900 km/h
Précision : entre 55 et 85%
Opérateurs: 2 servants
Portée pratique: entre 40 000 et 50 000 mètres
Masse: 630 kg
Guidage : autodirecteur semi-actif, fusée de proximité


Des CAM-2P sous différentes phases de déploiement.
Le CAM-2P est un char léger “agrémenté” d’un canon antiaérien doublé, ce qui le classe définitivement parmi les DCA disponibles au sein de la Fédération d’Alguarena.(clic gauche pour agrandir)

Bien que le CAM-2P, pour “cañón antiaéreo móvil 2 pistolas” soit à proprement parler un char, sa vocation première au combat est bien dirigée vers le support antiaérien. Ayant son chassis calqué sur le modèle de certains chars légers, le CAM-2P est par conséquent rapide de production et à moindre coût, ce qui en fait une unité de prédilection pour assurer une large couverture du territoire fédéral, par la maîtrise efficace des dépenses liées à la production et l’entretien de ces engins.

Le CAM-2P a bénéficié de différentes actions de modernisation, ce qui permet, selon les budgets et les utilisations concrètes faites par chacun des États acheteurs, un équipement adaptable et maîtrisé. Parmi ces actions de modernisation, il y a notamment l’enlèvement des canons doublés pour l’emport de missiles antichars (version CAM-4M).

CAM-2P - Canon antiaérien mobile du niveau 1 à 10 inclus / CAM-4M - véhicule de combat d’infanterie du niveau 1 à 5 inclus.
Statut: Disponible à l’achat
Armement principal: Canon bitubes ou missiles antichars.
Armement secondaire: une mitrailleuse de 7,62 mm, coaxiale.
Munitions: du calibre 75, 90 à 105mm (selon les modèles) / missiles sol-air
Vitesse des missiles : 2 900 km/h
Précision : entre 55 et 85%
Équipage: 2 servants (version DCA) / 4 servants (version véhicule de combat d‘infanterie)
Vitesse maximale: 60 km/h
Portée pratique: 3 500 mètres (canons doublés) / 3 000 mètres (missiles antichars)
Masse: 14 800 kg
Guidage : filoguidé
Autonomie : 300 km


Différentes versions du VATT
VATT, dans ses versions transport, ATGM ou blindée (clic gauche pour agrandir)

Le véhicule d’appui tout-terrain VATT (litt. vehiculo de apoyo todo terreno) est si l’on devait l’illustrer ainsi, “la petite bête de somme” de l’armée fédérale”. Ce véhicule, basé sur la série de l’Alejata, est produit depuis 1994 sous des licences destinées au marché militaire.

En effet et selon ses déclinaisons, le VATT est à même de remplir un grand nombre de fonctions militaires, comme celui de transport léger ou blindé de troupes, de treuils fixés sur calandre, voire même d’intégrer des équipements ATGM (anti-tank guided missile).

Le VATT est donc depuis 1993 un modèle évolutif, présenté sous différentes générations avec des caractéristiques techniques améliorées, ainsi que différents modèles spécialisés et destinés à allonger sa durée de vie au sein des armées.

VATT - Véhicule léger tout-terrain / Véhicule blindé léger du niveau 1 à 5 inclus.
Statut: Disponible à l’achat
Armement principal: 1 mitrailleuse de toit à commande manuelle et de calibres divers, ou 1 canon sans recul de 105 mm à vocation antichar selon les modèles.
Armement secondaire: 1 mitrailleuse d’appoint (7,62 mm ou 5,56 mm) fixée sur portière ou capot avant côté passager.
Equipage: 2 à 6 personnes assises
Vitesse maximale: 125 km/h
Masse: 1,7 tonne - 3 tonnes si blindé
Autonomie: 550 km pour une vitesse à 90 km/h
Motorisation : moteur diesel 6 cylindres en ligne 3 983 cm3 (242 ci)


L’EM-4 sous différentes versions
L’EM-4 est un véhicule tactique principalement dédié aux forces spéciales alguarenas, il en existe donc différentes versions avec un maximum d’équipements embarqués pour rendre son équipage autonome en mission.(clic gauche pour agrandir)

L’EM-4 (pour “Escurridizo y Mortal”, soit insaisissable et mortel) est un véhicule léger tout-terrain, idéalisé par les forces spéciales alguarenas, par sa très grande mobilité, sur route et hors route, mais aussi pour l’importance de son armement embarqué, permettant à son équipage de se mesurer avec assez d’aisance, à de petits blindés ennemis. Un véhicule rapide et destiné à l’attaque, existant aussi avec un premier niveau de blindage sur sa tourelle, selon les versions.

La topographie de l’Alguarena et les multiples opérations militaires à l’étranger, au Varanya notamment, ont convaincu l’état-major laguareno de son utilité, permettant ainsi de multiplier sa présence au sein des unités de reconnaissance et des forces spéciales alguarenas.

EM-4 - Véhicule léger tout-terrain du niveau 6 à 11 inclus.
Statut: Disponible à l’achat
Armement principal: 1 mitrailleuse de toit et de calibre 12,7 mm, 1 lance-roquettes ou exclusivement un lance-missiles antichars.
Armement secondaire: 1 mitrailleuse d’appoint (7,62 mm ou 5,56 mm) fixée sur capot et une seconde mitrailleuse (7,62 mm ou 5,56 mm) à l’arrière du véhicule.
Equipage: 2 à 3 personnes assises
Vitesse maximale: 100 km/h (130 km/h sur route)
Masse: 680 kilogrammes
Autonomie: 338 km mais une vessie à carburant pour porter cette autonomie à 1 600 km.
Motorisation : 4 cylindres à-plat d’une puissance de 200 ch


Différentes versions du VDBL-2
VDBL, présenté sous des armements divers, allant de la mitrailleuse en 7,62 mm, à l’intégration d’un canon de 76 mm. (clic gauche pour agrandir)

Le vehículo delantero blindado ligero (VDBL-2 / véhcule de l’avant blindé léger) est un véhicule de combat développé par les sociétés Benca depuis les années 70, sujet à diverses améliorations, notamment tournées vers l’armement principal et le blindage des unités, ce produit trentenaire perdure au sein des armées fédérales, grâce à sa capacité à mixer différents types d’armement, lui conférant par conséquent une utilisation diverse et variée. Modèle évolutif, le VDBL-2 entretient dans ses versions les plus récentes, une capacité de nuisance née de sa puissance de feu, égale à celle d’un char.

VDBL - Véhicule blindé léger du niveau 4 à 10 inclus.
Statut: Disponible à l’achat
Armement principal: 1ère version : Une mitrailleuse de 12,7 mm.
2e version : un canon de 76 mm.
Armement secondaire: 1ère et 2e versions : une mitrailleuse de 7,62 mm, coaxiale sur la version 2, intégrant un canon de 76 mm.
Certaines versions intégrent également des système de protection NBC et d'air conditionné, ou encore des système de vision nocturne
Equipage: 3 à 4 personnes assises
Vitesse maximale: 100 km/h
Masse: 10,5 tonnes
Autonomie: 600 km pour une vitesse à 90 km/h
Motorisation : moteur diesel 6 cylindres Détroit diesel, 6 cylindres en V, 284 cv (209 kW)


TAM VCTP - TAL VTCP
Le TAL VTCP est un véhicule dédié à la projection des troupes en environnement de combat (clic gauche pour agrandir)

Le Tanque Alguareno Ligero Vehículo de Combate y Transporte de Personal (TAL VTCP) est comme son nom l’indique une des versions en service, du char léger TAL-10 mais reconditionné pour le transport et le déploiement de troupes en situation de combat. Il est donc, comme la branche familiale dont il est issu, produit en Alguarena.

Facilement modifiable au gré des besoins, le TAL VTCP est à même de fournir une force de frappe conséquente, par ses équipements polyvalents embarqués mais aussi ceux des troupes transportées, qui peuvent en faire l’usage directement depuis le compartiment arrière du véhicule. Le véhicule peut transporter pas moins d’une dizaine de fantassins, celle-ci étant débarquée sur le front depuis la rampe arrière amovible.

TAL VTCP - Véhicule de combat d'infanterie/Transport de troupes blindé de niveau 1 à 10 inclus.
Statut: Disponible à l’achat
Armement principal: 1 canon de 20 mm.
Armement secondaire: 1 mitrailleuse de toit et de calibre 7.62 mm.
Equipage: 2 personnes assises + 10 équipages.
Vitesse maximale: 80 km/h sur route
Masse: jusqu’à 27,5 tonnes selon équipement.
Autonomie: 900 km
Motorisation : Moteur diesel de 720 ch (540 kW) à 2 400 tr/min


 VBTT víbora
Le VBTT/VBR s'inscrit comme un fer de lance des offensives terrestres, s'agissant d'un véhicule aéromobile et amphibie (clic gauche pour agrandir)

Le Vehículos blindados de transporte de tropas (VBTT) ou vehículo blindado de ruedas (VBR) víbora selon les versions, a été nommé ainsi en référence à la mobilité de la vipère, qui peut tantôt se mouvoir sur terre et dans l'eau. Porteur d'un clin d'oeil à sa capacité amphibie, le VBR/VBTT víbora est également une pièce offensive appréciée des opérations aéroportées depuis que les dernières versions développées, ont misé sur la réduction de sa masse totale, pour en faciliter l'aérolargage. Produits sur un châssis qui lui est propre et non partagé avec un quelconque véhicule opérationnel, comme le sont par exemple le TAL-10 (dans sa version char léger) et le TAL VTCP (pour la version Transport de troupes blindé), les VBR/VBTT víbora forment leur propre marque iconique des catalogues de production de la société Benca, leader mondial pour l'industrie de l'armement. Porteurs de plusieurs armements aux calibres disparates, ces engins sont fréquemment employés comme l'ombre du fantassin en situation de combat, offrant une variété d'options à l'appui-feu.

Son armement, entièrement commandé depuis la capsule de l'équipage, fait de ce véhicule un armement fiable et efficace, pour gager de la sécurité des opérateurs à bord.

VBR/VBTT - Véhicule de combat d'infanterie/Transport de troupes blindé de niveau 1 à 10 inclus.
Statut: Disponible à l’achat
Armement principal: mitrailleuses télécommandées de 30 mm (autrement dit possiblement anti-matériel) ou lance-grenades automatique de 40 mm avec mitrailleuse coaxiale de 12.7 mm.
Armement secondaire: lance-missiles antichars automatique + 1 mitrailleuse coaxiale de 7.62 ou 12.7 mm + pots lance-grenades fumigènes.
Equipage: 8 à 10 personnes assises + 4 équipages.
Vitesse maximale: 110 km/h sur route / 10km/h dans l'eau
Masse: jusqu’à 16 tonnes selon équipement.
Autonomie: 600 km
Motorisation : Moteur diesel 6 cylindres de 385 ch (286 kW) à 2.000 tr/min


EE-9 Cascavel Vehículo de Reconocimiento Blindado Ligero (VRBL) “Bandito”
Photographies d'un VRBL "Bandito" lors de manœuvres ou d'opérations de maintien de l'ordre en zone urbaine. (clic gauche pour agrandir)

Le Vehículo de Reconocimiento Blindado Ligero (VRBL) “Bandito” fait débat auprès des experts dont certains le classent tantôt parmi les véhicules de combat blindés, tantôt parmi les chars légers. Considérant sa puissance de feu concédée par un canon de 90mm et de ses armements secondaires, l’état-major alguareno prend le parti de le classer parmi les chars légers à roues.

Évolutif et personnalisable, cet engin est apprécié pour son autonomie au champ de bataille (900 km) et sa capacité à opérer un franchissement de terrain inégalé par les principaux véhicules de combat alguarenos. Son équipement varié lui permet également d’accomplir un certain nombre de missions et d’engager autant des blindés ennemis que son infanterie.

VRBL “Bandito” version 1 et supérieure - Char léger du niveau 1 à 9 inclus.
Statut: Disponible à l’achat
Armement principal: 1 canon de 90 mm.
Armement secondaire: 1 mitrailleuse coaxiale de 7.62 mm et 1 mitrailleuse de 12,7 mm en superstructure ainsi que 2 x 3 lance-pots fumigènes.
Equipage: 3 personnes assises
Vitesse maximale: 100 km/h sur route
Masse: 14 tonnes tout équipé
Autonomie: 900 km
Motorisation : Moteur diesel 212 ch (158 kW)


Tanque Argentino Mediano
Le TAL-10, est un char léger apprécié des autorités alguarenas. (clic gauche pour agrandir)

Fort d’un savoir-faire notable dans le domaine de l’ingénierie militaire, l’Alguarena a conçu plusieurs modèles de chars dont le TAL 10 reste le plus en vogue. Le tanque alguareno ligero 10 (TAL-10) est effectivement le char de combat principal de l’état-major fédéral. Toujours en service, il offre un compromis acceptable entre les défauts du char d’assaut tels que sa masse, et les atouts d’un char léger tournés vers la mobilité et une silhouette basse sans véritablement rogner sur la puissance de feu d’un char d’assaut.

Plusieurs versions existent autour de ce produit, permettant ainsi aux scientifiques alguarenos de développer de nouveaux modèles tout en profitant des bases que le TAL-10 procure. Parmi les versions déclinées, on trouve notamment le canon automoteur TALAC-10 pour artillería de campo (artillerie de campagne). Il faut dire qu'un peu boudé, depuis la production des chars légers à roues, le TAL-10 est un char léger à chenilles qui cherche à se réinventer en dehors de sa catégorie où la concurrence est très rude. Moins pratique et mobile que les chars légers à roues de type VRBL “Bandito”, moins puissant que les chars d'assaut de modèle TAP-10, le TAL-10 se cherche encore, désireux de participer au développement de l'entièreté des catégories qui font aujourd'hui la grandeur du parc logistique militaire.

TAL-10 - Char léger du niveau 1 à 9 inclus.
Statut: Disponible à l’achat
Armement principal: 1 canon de 105 mm.
Armement secondaire: 2 mitrailleuses de calibre 7,62 mm fixées, une en tourelle et une coaxiale.
Equipage: 4 personnes assises
Vitesse maximale: 75 km/h sur route, 45 km/h en dehors
Masse: 30,5 tonnes
Autonomie: 600 km, 950 km si réservoirs supplémentaires
Motorisation : Moteur diesel de 720 ch (540 kW) à 2 400 tr/min


Tanque Alguareno Pesado EE-T1 Osório
Prises de vue d’un TAP en manoeuvre. (clic gauche pour agrandir)

Le Tanque Alguareno Pesado TAP-10 (litt. le Char lourd alguareno) est un modèle des chars d'assaut présents dans les effectifs de l’armée fédérale. Made in Alguarena, ce blindé lourd a forgé sa réputation lors du TPA 1999 (“Torneo Previo a la Adquisición) une compétition inscrite dans le cadre d’un appel d'offres de l’état-major fédéral et qui oppose de nombreux constructeurs d’équipements militaires.

Vainqueur face à différents modèles alguarenos mais aussi étrangers, ce char et ses créateurs ont pu bénéficier des fonds publics nécessaires à l’industrialisation de ce produit. Faisant aujourd’hui l’objet d’une production de masse, son exportation sur les autres continents s’est considérablement accrue, faisant des chars d’assaut alguarenos l’un des modèles les plus répandus dans les armées du monde entier.

TAP-10 - Char d’assaut du niveau 1 à 8 inclus.
Statut: Disponible à l’achat
Armement principal: 1 canon de 105 mm.
Armement secondaire: 1 mitrailleuse de calibre 7,62 mm fixée en jumelage avec le canon et 1 autre mitrailleuse de calibre 5,56 sur le toit.
Equipage: 4 personnes assises
Vitesse maximale: 70 km/h sur route, 50 km/h en dehors
Masse: 40 tonnes
Autonomie: 550 km
Motorisation : Moteur diesel 1014 ch (745 kW) à 2 300 tr/min


helicóptero de ataque Ceniza HA-2
Le HA-2 "Ceniza", est un appareil de premier plan dans le soutien aux troupes terrestres, bien plus précis que les frappes au sol effectuées avec des équipements ou technologies avioniques (clic gauche pour agrandir).

Le HA-2 "Ceniza" est à l’origine, un projet démarré dans les années 90 pour favoriser des unités de l'aviation légère, capables de soutenir les différents théâtres d'opérations au sein d'un archipel. En effet, le territoire archipélagique de la Fédération d'Alguarena complique les transferts rapides de renforts militaires vers une zone séparée par la mer. C'est pourquoi, et bien qu'une force d'hélicoptères existait bien avant cette date, la Fédération d'Alguarena a souhaité développer de nouveaux éléments de l'aviation légère, capable d'effectuer des vols stationnaires et de soutenir, par le recours à une puissance de feu notable, des unités terrestres en difficulté sur une île de la Fédération.

Depuis, considérant l'externalisation des conflits, le HA-2 "Ceniza" s'est vu reconditionné pour l'accomplissement de missions de plus longue durée et sur des théâtres d'opérations extérieures. Des investissements conséquents, qui se font les gages d'une employabilité durable au sein des armées de la Fédération d'Alguarena, pour les dix ou peut-être quinze prochaines années à venir.

HA-2 "Ceniza" - Hélicoptère d'attaque de niveau 1 à 8
Statut: Disponible à l’achat
Armement principal: 4 missiles antichars ou deux paniers de roquettes.
Armement secondaire: 1 canon de 20 mm
Équipage: 2 personnes
Vitesse maximale: 280 km/h
Masse: 5,7 tonnes (à vide)
Autonomie: 2h30 hors réservoirs supplémentaires
Plafond : 6 100 m
Guidage : selon armement (principalement du guidage par infrarouge)


Helicóptero logístico y transporte intermedio "Alpaga"
Le HLT-I "Alpaga" se veut la colonne vertébrale de la logistique aérienne et particulièrement celle héliportée(clic gauche pour agrandir).

Bien que n'apparaissant pas parmi les transports héliportés les plus imposants, l'hélicoptère de logistique et de transport intermédiaire a la faculté de se rendre disponible en grand nombre au sein des armées de l'air fédérale d'Alguarena, ce qui permet par conséquent une surmobilisation dès que l'occasion se présente et qu'il y a nécessité d'accompagner des manoeuvres de vol aérienne.

Même si la dimension logistique de l'appareil est très marquée, ne serait-ce que dans sa simple dénomination, il convient de mentionner l'implication grandissante du HLT-I "Alpaga" dans la conduite d'opérations et de manœuvres d'assaut héliportées, faisant de ce dernier un appareil connu et reconnu des lignes de front sur les théâtres de guerre. Sans cesse engagé dans un processus d'amélioration continue, le HLT-I est toujours en 2010, l'unique hélicoptère de sa catégorie (intermédiaire), tant les récentes améliorations le concernant ont sur donner satisfaction aux besoins exprimés par les utilisateurs et les opérationnels.

Sa réussite au sein de l'armée de l'air fédérale, lui a bien évidemment valu quelques versions pour le marché de l'aviation légère civile. Considérant son coût relativement limité et sa capacité de transports de personnes, avec ou sans brancard, les services de secours du pays en sont également très friands, le préférant à des modèles d'hélicoptères plus imposants, difficiles à manoeuvrer sur des terrains accidentés où le déploiement des secours passe inévitablement par l'emploi de ces appareils.

HLT-I "Alpaga" - Hélicoptère de transport moyen de niveau 1 à 10
Statut: Disponible à l’achat
Armement principal: Aucun armement fixe.
Armement secondaire: Possibilité d'emporter une mitrailleuse lourde sur les ouvertures latérales, en vue d'offrir un appui-feu aux troupes d'infanterie.
Équipage: 2 personnes
Vitesse maximale: 310 km/h
Masse: 5,1 tonnes (à vide)
Autonomie: 3h30 hors réservoirs supplémentaires
Plafond : 5 100 m
Guidage : Non concerné mais des caméras à vision infrarouge peuvent être embarquées pour les vols et opérations nocturnes.
13515

III-ORGANISATION MILITAIRE DE LA FEDERATION



C-MARINA FEDERAL / MARINE FEDERALE



Logo MARINA FEDERAL

La Federal Navy (ou Marine Fédérale) est la branche navale des forces armées fédérales de l’Arkencheen. Elle accompagne les décisions militaires dans le déploiement de contingents sur des théâtres extérieurs, la défense des eaux territoriales fédérales ou celles appartenant directement aux états fédérés, mais elle intervient aussi dans des opérations de lutte contre la piraterie, un fléau permis depuis la reprise des flux commerciaux transitant par l’archipel d’Arkencheen. La Federal Navy est la seule armée de mer présente dans l’Arkencheen, aucun état fédéré n’entretient donc de flottes qui ne soient pas rattachées à la Fédération.

Ceci pour deux raisons:

  • l'entretien d’une flotte militaire est trop coûteux pour être supporté au niveau national. Si des états tels que l’Heenylth et l’Arkoha pourrait se permettre l’entretien d’une petite flotte de combat, elle les prive de fonds publics conséquents et ne serait pas opérationnelle face à l’ennemi sans la présence des navires de guerre identifiables en champs de bataille (sous-marins, frégates, croiseurs ou encore porte-aéronefs…). Le panachage des navires de guerre composant une flotte serait compliqué si les micronations que sont l’Arkoha, la Heenylth et les Encolonas devait financer sur son fonds propres des croiseurs et porte-aéronefs dernier cri.

  • la conception et l'amélioration continue des navires. Les micronations ont une autre tare notable, c’est l’absence d’une force scientifique d’importance dans le développement des produits militaires. Avant la production de navire, il y a la phase de conception qui appelle à réunir plusieurs inventions technologiques majeures autour du design des coques, des systèmes électroniques embarqués ou encore de la motorisation nécessaire pour faire avancer des bâtiments de plus de 10 000 tonnes. Le développement de telles technologies mobilisent des compétences humaines et des fonds financiers qui ne seraient pas supportable pour l’un des états fédérés d’Arkencheen. C’est aussi pour cette raison que la présence d’une force navale n’est possible que sous une affectation au niveau fédéral.

Les effectifs nécessaires à la Federal Navy sont de 70 000 hommes et femmes. Bien qu’ils constituent la seule force navale de la Fédération d’Arkencheen, ils peuvent recevoir le concours de gardes côtes des états fédérés. Les gardes côtes apparaissant très vite limitées en moyens, ces coopérations ne sont permises que sur des missions de lutte contre la piraterie et de surveillance en mer.

Si la marine de guerre moderne se trouve être la composante essentielle de la Federal Navy, il existe en son sein plusieurs voiliers désarmés.
Ces navires se positionnent essentiellement comme navire-école lorsqu’ils n’interviennent pas ponctuellement sur les lieux de manifestations nautiques, dans le but de promouvoir la marine fédérale. On en dénombre actuellement 8 au sein de la Federal Navy.

EQUIPEMENTS EN DOTATION (A COMPLÉTER)



Vedette de combat et transport de troupes MEMPHIS
Vedette de combat et de transport léger de troupes MEMPHIS (clic gauche pour agrandir)

La vedette de classe Memphis est le premier élément opérationnel de la marine fédérale. D’une longueur n’excédant pas 20 mètres pour une vitesse plafonnée à 74 km/h, elle peut se positionner sur différentes missions de soutien à la plongée en mer, de transport léger d’une troupe, d'arraisonnement de navires faiblement armés, de patrouilles le long des côtes etc…

Composée de différents éléments modulaires en aluminium et autres matériaux composites, il lui est effectivement possible d’accueillir une large gamme d’équipements grâce la présence d’une station pour une arme télécommandée et d’un autre socle pour une arme à commande manuelle cette fois-ci.

Le navire est particulièrement conçu pour les théâtres archipélagiques et côtiers, intégrant un système de chauffage et climatisation permettant un condition au sein de différents lieux d’engagement. La vedette Memphis est également présente dans la dotation des forces d'autodéfenses de plusieurs états fédérés, c'est une unité de référence puisqu'elle constitue l'un des rares navires fluviaux de combat disponible pour les patrouilles à l'intérieur des terres.

Vedette de classe Memphis du niveau 1 à 10 inclus.
Statut: Disponible à l’achat
Longueur : 19,90 mètres
Largeur : 4,30 mètres
Tirant d’eau: 1,10 mètres
Armement principal: Mortier de 120 mm (si module combat)
Armement secondaire: 1 mitrailleuse lourde de 12,7 mm, 1 lance-grenade de 40 mm ou 1 mitrailleuse de 7,62 mm
Equipage: 3 à 6 hommes nécessaires selon armement + 24 hommes sur un module transport
Vitesse maximale: 35 noeuds soit 74 km/h
Autonomie: 500 miles soit 926 kilomètres


Patrouilleur militaire de classe SAMIV
Patrouilleur de la classe SAMIV, pour Surface and Maritime Intercept Vessel / Navire de surface et d’interception maritime (clic gauche pour agrandir)

Le patrouilleur de la classe SAMIV est le premier des patrouilleurs de conception arkencane. Destiné à compléter l‘action des vedettes MEMPHIS, le SAMIV vient offrir les outils nécessaires à la surveillance des eaux territoriales fédérales en hautes mers.

Outre ses fonctions dans la surveillance en haute mer, le patrouilleur SAMIV entretient aussi sa singularité par son armement embarqué lui permettant l’engagement de navires de guerre grâce à l’emploi d’un canon d'artillerie navale de moyen calibre (76 mm) mais aussi et surtout, grâce à l’emploi de 2 rampes lance missiles antinavires situées à la poupe du navire. Sans entretenir abondamment des bâtiments de guerre d’ampleur tels que les croiseurs, les destroyers et autres grands bâtiments, le SAMIV parvient finalement à opposer une force de dissuasion en hautes mers, et ce pour la plupart des éléments navals hostiles qui viendraient y pénétrer.

Patrouilleur de classe SAMIV du niveau 1 à 5 inclus.
Statut: Disponible à l’achat
Longueur : 50,10 mètres
Largeur : 8,40 mètres
Tirant d’eau: 1,70 mètres
Armement principal: 1 canon de 76mm et 2 rampes de missiles antinavires.
Armement secondaire: 2 mitrailleuses lourdes manuelles de 12,7 mm ou 1 lance-grenade de 40 mm si une seule mitrailleuse lourde est embarquée à bord.
Equipage: 20 hommes nécessaires
Vitesse maximale: 46 nœuds (soit 85 km/h)
Autonomie: 30 jours sans nécessiter de ravitaillement.


Sous-marin d'attaque
L'arkencan submarine de classe Basilico est un sous-marin de reconnaissance parmi les plus petits bâtiments de la marine fédérale.(clic gauche pour agrandir)

L'arkencan submarine (AS) de classe Basilico est, à l’instar de l’Abysso, un autre sous-marin d’attaque et de reconnaissance de la marine fédérale. Sa particularité réside alors dans son gabarit qui en fait le plus petit bâtiment de la flotte arkencane. Un atypisme qui porte son action sur des opérations d'infiltration ou d’exfiltration de commandos et nageurs de combat. Furtif et maléable, le classe Basilico entretient également des opérations de minage, en surface ou sous-marine.

Sous-marin d'attaque du niveau 1 à 4 inclus.
Statut: Disponible à l’achat
Longueur : 56m
Largeur : 6,1m
Tirant d’eau: 5,10 mètres
Armement principal: 4 tubes lance-torpilles d’une capacité de stockage de 20 torpilles.
Armement secondaire: mines sous-marines et/ou de surface, 2 radars, 1 sonar de coque, 2 sondeurs, 2 périscopes + 1 mât optronique
Equipage: 130 hommes + un commando de 15 nageurs de combat
Vitesse maximale: 40 km/h en plongée, 20 km/h en surface
Masse: 3 980 t en surface, 4 700 t en plongée
Autonomie: 5 jours en plongée, 20 000km à 20 km/h
Profondeur: Plongeon sécurisé jusqu’à 500 m


Sous-marin d'attaque
L'arkencan submarine de classe Abysso est un sous-marin d'attaque et de reconnaissance.(clic gauche pour agrandir)

L'arkencan submarine (AS) de classe Abysso est un sous-marin d’attaque et de reconnaissance. Équipé exclusivement de torpilles, ce dernier peut entamer des actions de défense et d’attaque des forces hostiles en surface ou sous-marine, sans toutefois s’investir dans des frappes stratégiques. Sa capacité à infiltrer les eaux ennemies le positionne également sur des mission de mouillage de mines en complément d’opérations de défense des flottes stratégiques de la marine fédérale arkencane.

Sous-marin d'attaque du niveau 5 à 10 inclus.
Statut: Disponible à l’achat
Longueur : 99,5 m
Largeur : 8,8 m
Tirant d’eau: 6,40 mètres
Armement principal: 6 tubes lance-torpilles d’une capacité de stockage de 30 torpilles.
Armement secondaire: mines sous-marines et/ou de surface, 2 radars, 1 sonar de coque, 2 sondeurs, 2 périscopes + 1 mât optronique
Equipage: 125 à 175 hommes
Vitesse maximale: 46 km/h en plongée, 26 km/h en surface
Masse: 4 650 t en surface, 5 300 t en plongée
Autonomie: 70 jours de vivres
Profondeur: Plongeon sécurisé jusqu’à 1000 m


Sous-marin lanceur d'engins de classe Leviatán
Le sous-marin lanceur d'engins de classe Leviatán, est l'un des sous-marins les plus imposants de la flotte alguarena, ce qui lui vaut le surnom d'une créature mythique (clic gauche pour agrandir)

Les sous-marins Leviatán sont une classe de sous-marins lanceurs d'engins actuellement en dotation dans la marine fédérale d'Alguarena. C'est à ce jour (2009) l'unique modèle de sous-marins lanceurs d'engins présents au sein de la Fédération. Mais bien qu'il existe un unique modèle de navires, celui-ci peut connaître quelques variations entre ses premières versions, construites dans les années 1990-2000 et celles actuellement en version dans les armées fédérales. Ces variations sont notamment perceptibles à travers le nombre de tubes dédiés au lancement des missiles.

Sous-marin lanceur d'engins du niveau 1 à 8 inclus.
Statut: Disponible à l’achat
Longueur : 170 mètres
Largeur : 13 mètres
Tirant d’eau: 10,8 mètres
Armement principal: 4 tubes lance-torpilles d’une capacité de stockage de 30 torpilles + 24 silos à missiles balistiques (18 silos seulement dans ses premières versions) avec une capacité d'emport d'un seul missile balistique par silo.
Armement secondaire: 1 sonar de proue, 1 sonar de navigation, 1 sonar actif et 1 sonar déployable par câble.
Equipage: 150 à 180 hommes
Vitesse maximale: 40 km/h en plongée, 25 km/h en surface
Masse: 16 950 t en surface, 18 750 t en plongée
Autonomie: 70 jours de vivres
Profondeur: Plongeon à 240 m


Sous-marin d'attaque
Le porte-avions "El Triunfante" de la classe Estándar, est le premier représentant de sa catégorie parmi le parc logistique militaire alguareno (clic gauche pour agrandir).

Les porte-avions de classe Estándar étaient initialement voués à être des porte-hélicoptères compte tenu de leur petitesse et donc de leur incapacité à pouvoir maintenir sur le pont un nombre important d'avions, prêt à décoller. Cependant, les prouesses de la technologie militaire alguarena ont permis de moderniser les aéronefs actuellement mobilisés sur les opérations aéronavales, ce qui leur permet de décoller sur des pistes beaucoup plus réduites, lorsqu'ils ne décollent pas tout simplement à la verticale.

Porte-avions du niveau 1 à 3 inclus.
Statut: Disponible à l’achat
Longueur : 257,25 mètres
Largeur : 32,31 mètres
Tirant d’eau: 7,92 mètres
Armement principal: 2 lanceurs de missiles surface-air, 2 lanceurs de missiles surface-air anti-aéronefs et anti-missiles à courte portée, 2 systèmes de mitrailleuses de défense anti-missiles.
Armement secondaire: 2 systèmes de leurres, 7 mitrailleuses lourdes amovibles de calibre 12,7 mm.
Equipage: 1 500 à 1 800 hommes, 20 aéronefs, 4 hélicoptères.
Vitesse maximale: 37 km/h
Autonomie: 60 jours de vivres


Sous-marin d'attaque
Le porte-avions "San Salvador" de la classe Apoteosis, est le représentant de dernière génération pour la catégorie des porte-aéronefs, une modernité qui paie et impressionne à l'international, notamment par la capacité de projection par ce seul bâtiment, de près de quatre-vingt-dix appareils en situation de combat (clic gauche pour agrandir).

Les bâtiments de la classe Apoteosis (pour Apothéose en français) portent bien leur nom puisqu'ils sont le "must have" des marines nationales et des groupements aéronavals. D'une taille particulièrement impressionnante, les porte-avions de la classe Apoteosis se distinguent également (et surtout) par le réagencement de leur pont supérieur, qui leur permettent d'entretenir pas moins de trois catapultes et donc autant de pistes d'envol. Le décollage (ou atterrissage) simultané de trois avions est un détail de taille lorsqu'il vient à l'esprit d'un expert militaire, d'évoquer le cas de ce bâtiment, si ce n'est hors norme, au moins à très forte valeur ajoutée.

Capacitaire d'environ quatre-vingt-dix aéronefs embarqués à bord, le porte-avions de classe Apoteosis est en mesure de transporter "une ville" pour reprendre les termes élogieux de la presse fédérale, lancés à l'occasion d'un article journalistique à son sujet. Les capacités de transport et de charge des navires de cette classe, ont fait l'effet d'un électrochoc pour les officiers généraux de l'armée de l'air, qui ont compris que ce seul bâtiment, pouvait transporter bien plus que les effectifs totaux d'escadrilles d'avions militaires, en cntrepartie du tonnage le plus important de toute la flotte alguarena, avec une masse de 112 000 tonnes.

Une innovation salvatrice, qui a depuis largement motivé la relance des fabrications d'aéronefs de combat, pour simultanément satisfaire les besoins de l'armée de l'air fédérale, installée sur les bases terrestres du pays archipélagique et ceux de l'aéronavale, tournés vers la projection en théâtre extérieur.

Porte-avions du niveau 4 à 5 inclus.
Statut: Disponible à l’achat
Longueur : 332,8 mètres
Largeur : 78 mètres
Tirant d’eau: 11,9 mètres
Armement principal: 2 lanceurs de missiles surface-air, 2 lanceurs de missiles surface-air anti-aéronefs et anti-missiles à courte portée, 3 systèmes de mitrailleuses de défense anti-missiles.
Armement secondaire: 2 systèmes de leurres avec torpilles anti-torpilles, 7 mitrailleuses lourdes amovibles de calibre 12,7 mm.
Equipage: 1 800 à 4 300 hommes, 90 aéronefs (soit les avions et les hélicoptères).
Vitesse maximale: 55,6 km/h
Autonomie: 80 jours de vivres


portador de barcazas de classe Tenerio
Le portador de barcazas de classe Tenerio, est le pont flottant nécessaire à toutes forces navales expéditionnaires qui se respectent.(clic gauche pour agrandir).

Le transporteur de chalands de la classe Tenerio équipe l’infanterie de marine de l’armée fédérale d’Alguarena. Engagé sur l’ensemble des opérations amphibies, il reste encore en exemplaires limités au sein de la marine fédérale qui projette le maintien opérationnel de trois bâtiments de cette catégorie. Petite ville flottante, ce bâtiment appartenant à la marine auxiliaire est le train logistique de toute opération militaire durable et d’envergure en territoire étranger.

De taille relativement modeste, les autorités alguarenas ont depuis maquetté d'autres modèles, de meilleures capacités, le destinant davantage aux liaisons maritimes et à l'exportation, plutôt qu'à un emploi opérationnel en zone de conflit ouvert.

Transporteur de chalands du niveau 1 à 4 inclus.
Statut: Disponible à l’achat
Longueur : 123 mètres
Largeur : 21,80 mètres
Tirant d’eau: 6 mètres
Armement principal: 1 canon de 76 mm et 2 x 1 canon de 25 mm.
Armement secondaire: 8x1 mitrailleuses de 12,7 mm.
Equipage: 200 à 220 hommes (+ 450 fantassins embarqués), 4 chalands de débarquement/vedettes, 2 hélicoptères ainsi qu'une centaine de véhicules de combat.
Vitesse maximale: 30 km/h
Autonomie: 35 jours de vivres
11441

III-ORGANISATION MILITAIRE DE LA FEDERATION



D-FUERZA AERA FEDERAL/ FORCE AERIENNE FEDERALE



Logo Federal Air Force

La Federal Air Force désigne l’ensemble des forces aériennes opérantes au sein des troupes de l’Arkencheen. Selon la réforme militaire de 2002, la Federal Air Force a vocation à entretenir 30 000 hommes partagés entre les pilotes, la maintenance des appareils, les troupes parachutistes ou encore les forces spéciales. Sa direction est confiée au Général 5 étoiles de la Force Aérienne, lui-même placé sous le commandement direct du conseiller fédéral de la justice, de la défense et de la protection de la population et après lui du Président de la Fédération. Les missions de la Federal Air Force vont de la surveillance de l’espace aérien fédéral, à la conduite d’actions offensives et de frappes stratégiques sur des théâtres extérieurs.

Contrairement à la flotte militaire qui est entièrement fédéralisée, les forces aériennes fédérales bénéficient de quelques relais auprès des patrouilles aériennes des forces d’autodéfense présentes au sein des états fédérés, obligeant à des actions de coopération lors de manoeuvres au sein même de l’espace aérien fédéral.

Cependant, il est clairement indiqué que la puissance de frappe aérienne de l’Arkencheen repose très largement sur la Federal Air Force puisque les états fédérés n’ont pas individuellement, les moyens financiers et humains pour entretenir une escadrille performante opérationnelle. Ces moyens en défaut, tant sur un plan qualitatif que quantitatif, doivent alors faire l’objet d’une mutualisation auprès de la Fédération.

Outre la partie combat, les effectifs de la Federal Air Force comprennent plusieurs patrouilles acrobatiques, destinées à accompagner les actions de communication entreprises par la Présidence Fédérale. Une spécificité qui justifie le maintien en dotation de plusieurs modèles d’avions à hélices.

Federal Space Force / Force Spatiale Fédérale



Une autre cellule est présente au sein de la Federal Air Force, il s’agit de la Federal Space Force. Chargée de conduire des opérations dans (et depuis) l’espace, celle-ci reste encore aujourd’hui trop marginale pour constitue une branche spécifique des armées fédérales.

Effectivement, la technologie en est encore à ses balbutiements et développer de façon expérimentale, il est donc peu envisageable que des moyens trop importants soient immobilisés auprès d’une branche inopérante encore à ce jour. Par conséquent, la Federal Space Force reste attachée à l'armée de l'air Fédérale dans l'attente de progrès significatifs.

EQUIPEMENTS EN DOTATION (A COMPLÉTER)



Fighter 1000 arkencan en dotation pour la Federal Air Force
Fighter 1000 en phase d'atterissage sur la base aérienne de Balleo (ARKOHA) (clic gauche pour agrandir)

Si le Fighter 1000 connaît plusieurs variantes lui permettant d'intégrer des missions de l'aéronaval ou encore de guerre électronique, il fut initialement conçu en 1975 en qualité de chasseur-intercepteur. Sa bonne maniabilité a obligé les autorités fédérales à investir dans différents modèles destinés à la défense de la souveraineté aérienne arkencane mais pas que, avec une présence marquée au sein d'opérations extérieures.

Vols d'entraînement, surveillance aérienne ou encore guerre électronique, rien est épargné au doyen de l'aviation militaire arkencane actuellement en service. Toujours en service, il constitue la principale force de couverture aérienne sur le territoire.

  • Le F-1000A (avion chasseur-intercepteur)
  • le F-1000B (avion chasseur intercepteur dédié à l'aéronaval)
  • le F-1000C (avion de reconnaissance et d'entrainement)
  • le F-1000D (avion d'appui tactique)
  • le F-1000E (avion d'appui tactique/ chasseur-bombardier).

F-1000 - avion de chasse de niveau 1 à 5 - hors version spécialisée
Statut: Disponible à l’achat
Type: Avion de chasse
Armement principal: 1 canon de 20 mm
Armement secondaire: 7 260 kg de charges diverses (bombes, missiles, réservoirs…)
Équipage: 1 personne
Vitesse maximale: 2 305 km/h
Masse: 13,7 tonnes
Autonomie: 2h30 hors réservoirs supplémentaires
Plafond : 18 050 m
Guidage : selon armement


Fighter X1000 alguareno en dotation pour la Federal Air Force
Fighter X1000 en position stationnaire et de vol (clic gauche pour agrandir)

Le F-X1000 est un chasseur-intercepteur de conception alguarena. Successeur direct du F-1000, il est à ce jour l'un des aéronefs les plus performants des années 2000, ne se connaissant aucun égal parmi les parcs militaires étrangers. Symbole de son ingénierie, le F-X1000 dispose d'une forme atypique, par la présence d'ailes en delta doublé. Une forme qui outre l'esthétisme de l'appareil, participe directement à augmenter sa prise de vitesse, pour aller trouver le mach 2.0 qui n'est toujours pas l'adage de chaque aéronef de combat présent à l'international.

Exclusivement dédié au combat aérien, le F-X1000 se distingue donc par sa capacité à monter très haut dans les airs, jusqu'à atteindre le plafond inégalé par un autre appareil de l'armée de l'air fédérale : 20 000 mètres.

F-X1000 - avion de chasse de niveau 6 à 10 - hors version spécialisée
Statut: Disponible à l’achat
Type: Avion de chasse
Armement principal: 2 canons de 30 mm
Armement secondaire: 2 900 kg de charges externes (missiles et/ou réservoirs…)
Équipage: 1 personne
Vitesse maximale: 2 125 km/h
Masse: 7,8 tonnes à vide / 11 tonnes à charges maximales.
Autonomie: 1h30 hors réservoirs supplémentaires
Plafond : 20 000 m
Guidage : selon armement (missiles air-air par guidage radar)


Calamity-Bird en dotation de l'armée de l'air fédérale arkencane
Deux Calamity-Bird 100 de la base aérienne fédérale d’Adamapulco stationnaire et en vol.

Le Calamity-Bird 100 est un avion biplace à la fois positionné sur des missions d’entraînement et de frappe au sol. Elégant et maniable, il reste un appareil prisé des pilotes expérimentés et novices, face à d’autres aéronefs de sa catégorie (l’appui tactique) plus imposants et engagés sur des bombardements intensifs et soutenus. Limité dans sa capacité de charge en bombes et missiles, le C-B100 assure néanmoins des actions d’appui des troupes au sol lors de petites opérations clandestines ou bien lors d’un conflit très localisé sur un secteur géographique donné.

Produit par le groupe Sueñalado, une entreprise forte de cinquante d’expérience dans l'aéronautique et qui a d’ailleurs introduit , l’appareil se décline en plusieurs versions évolutives mais relativement centrées sur les frappes au sol. Dépourvu d’armements intégrés, notamment de canons mitrailleurs, le C-B100 reste comme tout avion d’attaque au sol, relativement vulnérable face aux chasseurs et intercepteurs des aviations ennemies.

  • Le C-B100D (avion d'appui tactique)
  • Le C-B100E (avion d'appui tactique/ chasseur-bombardier)
  • Le C-B100F (avion d'appui tactique dans sa version aéronavale)
  • Le C-B110 (chasseur-bombardier)
C-B100 - Avion d'attaque au sol de niveau 1 à 10 - hors version spécialisée
Statut: Disponible à l’achat
Armement principal: 6 points d’emport pour la dotation de missiles (air-sol, air-air ou air-mer).
Armement secondaire: un peu moins de 2 000 kg de charges diverses (bombes, réservoirs…)
Équipage: 1 personne
Vitesse maximale: 800 km/h
Masse: 3,5 tonnes (à vide)
Autonomie: 2h30 hors réservoirs supplémentaires
Plafond : 13 750 m
Guidage : selon armement


F-2000 UG "Cometa"
Le F-2000 UG "Cometa", pour última generación, est devenu depuis la bataille aérienne de février 2007 l'opposant au Grand Kah, la boite à outils indispensable des forces aériennes alguarenas (clic gauche pour agrandir).

Le Fighter 2000.UG "Cometa" est l'avion multirôle par excellence des forces aériennes alguarenas. De conception local, il est en mesure d'accomplir à lui seul l'ensemble des opérations attendues des appareils de combat : escorte aérienne, frappe air-sol de précision, bombardement intensif ou encore le combat aérien. Le spectre des affrontements avec l'aviation kah-tanaise en février 2007 demeurant ancré dans les esprits des populations et des politiques alguarenos, la classe dirigeante est jusqu'ici peu enclin à priver les forces aériennes des meilleurs armements. C'est pourquoi, bien qu'il puisse revenir moins cher d'entretien et de coûts à l'achat, de produire quelques avions de chasse d'élite avec quelques avions d'attaque au sol, le gouvernement alguareno a toujours mis un point d'honneur à considérer le F-2000.UG cometa comme le futur avion de combat principal de sa force aérienne.

Un choix qui trouve un certain écho à l'international, conduisant des pays alliés à la Fédération à l'instar de la République Fédérale du Novigrad, à commander différents appareils de ce type, sous des versions moins modernisées à l'époque mais qui contribue malgré tout à positionner l'appareil sur le marché des exportations.

F-2000.UG - Chasseur-bombardier de niveau 1 à 8 - hors version spécialisée
Statut: Disponible à l’achat
Armement principal: 1 canon de 27 mm et 2 rails de missiles en bout d'aile (soit 6 missiles).
Armement secondaire: 5 200 kg de charge répartis sur 8 pylônes pour l'emport de charges diverses (bombes, réservoirs…)
Équipage: 1 à 2 personnes
Vitesse maximale: 2 125 km/h
Masse: 6,6 tonnes (à vide)
Autonomie: 1h30 hors réservoirs supplémentaires
Plafond : 15 000 m
Guidage : selon armement (principalement du guidage par infrarouge)


Aviones de Reconocimiento y Espionaje 17 ou ARE-17 "aquila grís"
L'ARE-17, pour Aviones de Reconocimiento y Espionaje et "17" pour désigner le classement des lettres AG (pour aquila grís) au sein de l'alphabet, est un avion léger de reconnaissance et d'espionnage en dotation au sein de l'armée fédérale d'Alguarena (clic gauche pour agrandir).

Le programme pour l'Aviones de Reconocimiento y Espionaje (sigle : ARE-17) a été mené à terme dans les années 2007, au lendemain de la crise internationale autour du Pontarbello et sur laquelle ont dû s'investir Grand Kah et Alguarena, y compris en confrontation directe. Sa forme atypique, lui est notamment venu par sa "parenté" auprès d'un avion de ligne de type transporteur moyen. Totalement réaménagé pour embarquer de l'électronique à bord et non plus des passagers, l'appareil est aujourd'hui en mesure de conduire des actions de brouillage sur les transmissions et les fréquences ennemies, tout en opérant des prises de vue aériennes.

N'ayant pas de vocation offensive hormis celle précitée, les autorités fédérales d'Alguarena lui ont volontiers laissé beaucoup de son architecture d'aéronef civil, pour limiter l'ingénierie aéronautique militaire à son propos et permettre un coût de production nettement inférieur à celui de modèles plus récents. Ces facilités de production et de financement, en ont fait un avion stratégique low-cost pour conduire des opérations clandestines à l'étranger, sous une discrétion largement renforcée grâce à sa carlingue d'avions de ligne usuels et en service au sein de la flotte aérienne civil.

ARE-17 "Aquila grís" - Avion de guerre électronique de niveau 1 à 4 -
Statut: Disponible à l’achat
Capacité de charge: exclusivement dédié à l'emport de systèmes de surveillance.
Équipage: 5 personnes
Vitesse maximale: jusqu'à 580 km/h
Masse: 16 tonnes
Autonomie: 1h15 de vol, ou 2 800 kilomètres
Plafond : 10 500 m


Drone de surveillance et reconnaissance DVR-I "Búho"
Le dron de vigilancia y reconocimiento DVR-1 "Búho" est le premier avion sans pilote du genre déployé au sein des armées fédérales, il est à ce jour exclusivement destiné aux opérations de surveillance et de reconnaissance, comme son nom l'indique (clic gauche pour agrandir).

Le DVR-I "Búho" qui signifie hibou en espagnol, est le résultat visible de dizaines d'années de recherche et de développement dédiées au secteur de l'aéronautique. Une innovation qui vient marquer le pas de l'autonomie en matière d'aéronefs, pour se faire la porte d'entrée des actions de reconnaissance en toute sécurité et sans faire courir un risque quelconque de létalité pour ses opérateurs. D'abord utilisé à des fins militaires, ce drone bon marché est aujourd'hui en voie de popularisation auprès de la société civile, qui l'utilise depuis les années 2008, à des fins de gestion et de contrôle des cultures et autres surfaces agricoles.

Les autres institutions fédérales, attenantes aux armées, telles que les services de prévention du risque incendie et la sécurité civile encolanaltèque, ont également intégré ces moyens de nouvelle génération, dans leur politique et dispositifs de lutte contre les incendies, ou bien des opérations de recensement et de conservation de la faune et de la flore installées au sein du territoire archipélagique d'Alguarena.

DVR-1 "Búho" - Drone de reconnaissance de niveau 1 à 4 - hors version spécialisée
Statut: Disponible à l’achat
Capacité de charge: 4 à 8 kilogrammes de charge utiles, généralement dédiées à l'emport de systèmes de surveillance.
Équipage: 0 personne / 1 opérateur au sol
Vitesse maximale: jusqu'à 120 km/h
Masse: 38 kilogrammes (à vide)
Autonomie: 3h00 de vol
Plafond : 15 000 m[/justify]
Haut de page