21/02/2015
19:02:27
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YUHANACA / ARCHIPEL JAUNE - Opération CleanWater

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Opération CleanWater
Un peu de contexte

Contexte Général :
La Province impériale de l'Archipel Jaune était constitué de deux grande partie : L'archipel Jaune en lui même, constitué des deux grandes iles Manorcta et Panorcta suivis d'une ribambelle d'ile et ilôts dont les plus petits ne faisait qu'a peine quelques centaines de mètre carrés, et, la partie continentale, la Samanac.

Contrairement aux îles, qui avait su profiter du tourisme apporter par leur climat et leurs eaux translucides, la Samanac n'avait pas su tirer son épingle du jeu avec la même réussite. Bien sûr, il y avait ici et la des hotels, des resorts et d'autres équipements touristiques, mais trop peu pour dynamiser l'ensemble de la région. L'exploitation des ressources naturelles, surtout minières, représentaient également une part importantes de l'économie. Toutefois, au début des années 2000, l’appauvrissement des gisements de minerais couplé à des lois environnementales plus contraignantes avait lancé le déclin de cette industrie minière. L'immigration de nombreux étranger voisin considérant le Yuhanaca comme un El-Dorado avait eu raison de l'économie précaire de la Samanac.

Rapidement, la région était devenue l'une des plus pauvres de l'empire. Et malgrè des plans d'investissement, rien n'avait vraiment pu redresser la barre. Ni les efforts en faveur du tourisme, ni les aménagements locaux aux lois environnementales. Le taux de chomage avait augmenté et la pauvreté s'était installé chez les plus précaires. Le fossé entre riche et pauvre s'était creusé.

Bien sur, la situation n'était pas non plus catastrophique. On ne parlait pas ici de territoire à l’abandon, de situation de pauvreté extrême ou de zone de non droit. Non, la Samanac était juste un territoire à l'économie fragile et l'inégalité importante. Plus récemment, en 2004, une tentative de dynamiser la région par les hautes technologies a était entreprise. En effet, l'installation d'un centre d'essai et de lancement aérospatiale dans le nord de la Samanac fut réaliser afin d'installer un pôle d'excellence dans la région. Malheureusement, les tentatives de lancements spatiaux se soldèrent par des échecs et seul une partie militaire des recherches aboutirent. Aujourd'hui, le site est toujours en activité et recherche activement à atteindre ses objectifs. Ils devraient se voir adjoindre sous peu un département de recherche aéronautique.

Carte de la région
Carte générale de la Samanac


Géographie et économie :
Géographiquement et économiquement, on peut distinguer trois zones : La péninsule du Ximkapulta, la Cote Est, et l'Intérieur.

La première partie comprend tout le littoral allant de Tenarafe a Manacta. Zone relativement peu dense et peu dynamique, elle est caractérisé à partir de San Juan par des reliefs très escarpé d'origine volcanique. La côte, composée principalement de falaise et de crique est relativement peu adapté aux ports de grande ampleur. Seuls trois ports en eaux profondes existent sur la côte : Tenarafe, à l'extreme ouest, Santa Lucia, au nord et Puerto Carmen, à l'est. En dehors de ses grands ports, principalement dévoués à la pêche hauturière, il existe une multitude de havres et d'estuaires, au cœur des criques, où s'abritent le plus souvent quelques embarcations sommaires de pêche côtière. On ne compte également qu'un seul aéroport, à Santa Lucia, disposant d'une piste de 1800 mètres de long. Cette région de la Péninsule de Ximkapulta est certainement la moins dynamique et la plus pauvre de la Samanac. Si, sur sa façade ouest, entre San Juan et Santa Lucia, quelques sites touristiques ont su apporter une clientèle plus que bienvenue, la façade connaît un important marasme économique. Vivant souvent d'une pêche ou d'une agriculture rudimentaire, les populations n'ont pas profiter des plans d'investissement gouvernementaux. C'est également dans cette péninsule que l'on retrouver de nombreux immigrés, venant s'ajouter à des populations déjà pauvres.

La Cote Est, s'étend pour sa part de Manacta à Puerto de la Cruz. Elle regroupe la plupart des grandes villes de la Province et possède un littoral relativement dense. Constituer principalement de plage, la côte a était relativement plus facile à aménager. Ainsi, elle possède trois grands ports : Azpoltec, Bellstec, et Puerto de la Cruz. Si eux aussi possèdent une activité de pêche hauturière, ils possèdent aussi, à la différence des ports de la péninsule, des activités marchandes. Ainsi, le premier port marchand de la région est celui d'Apoltec, suivis par Puerto de la Cruz et enfin, Bellstec. Si leur importance est à nuancé, compte tenu des volumes de transit relativement faible comparé à des ports majeurs mondiaux, leur apport pour l'économie de la Province est vital. Ainsi, les trois ports permettent l'exportation des minerais extraits dans l'arrière pays, des produits agroalimentaires de la péninsule, ou encore, d'une partie de pêche locale. En contre-partie, ils sont les interfaces nécessaires aux importations vitales à la vie de la Province, notamment les biens manufacturés et les produits médicaux. Dans une proportions relativement faibles, les trois ports permettent également des échanges avec les îles de Manorcta et Panorcta. L'ouverture de ligne régulière, y compris de passagers, à également permis à la région continentale de profiter un peu plus du tourisme insulaire. Cette dynamique a était amplifié par l'ouverture de ligne aérienne régulière avec les iles. La cote Est possède également la majorité des équipements touristique de la Samanac. Cette partie de la région concentre donc beaucoup de richesse et de population urbaine. C'est ici le cœur de la Province et la zone ou les institutions de l'Empire sont les plus importantes. Particulièrement surveillé, la zone laisse moins de possibilités aux entrants illégaux sur le territoire.

Enfin, l'Intérieur des Terres est principalement constitué de forêt dense, de zone agricole, et, sur le versant ouest des reliefs centraux sont situés la plupart des gisements miniers de la région. Souvent à ciel ouvert, ses sites concentrent autour d'eux une majorité de la population vivant à l'intérieur des terres. Samala est ainsi la plus grande ville de la région car c'est ici que ce concentre la majorité des entreprises minières. Moins surveillée que la côte Est, cette zone est bien plus propice, toute comme la péninsule, à la vie de population immigré sans papier. Certaines zones, quasiment désertiques en pleine forêt tropical sont propices aux activités illégales, notamment le trafic de drogue à destination des pays voisins, la plupart des psychotropes étant autorisés ou réglementés dans la Confédération Impériale.


Les Enjeux

Depuis plusieurs semaines, des signalements d'attaques pirates se multipliait dans la région. Un phénomène qui n'avait jamais était signalé auparavant. Des trafiquants de drogues, oui, de la contrebande, c'était possible, mais de la piraterie, non. De mémoire d'homme, jamais de tels forbans n'avaient était connu dans les mers de l'archipel jaune. Alors le gouvernement avait analyser, étudier et finalement, conclu. Ces attaques récentes et violentes ne pouvaient être l’œuvre que d'une tentative de déstabilisation étrangère. Les enjeux étaient alors d'une grande importance. Face à la menace de manipulation, l'empire ne pouvait perdre le contrôle de la région. Aussi, il avait était décidé de lancer l'opération CleanWater. Une opération d'envergure destiné à sécuriser les eaux, mais également, à mettre à jour tout réseau d’intelligence étranger présent dans la région.
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