11/05/2017
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Communications du Saint-Siège

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Les communications officielles du Saint-Siège seront publiées dans ce sujet
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Drapeau de la Catholagne


Communiqué du Saint-Siège
9 décembre 2006


    Sa Sainteté Christophe nie entièrement les honteuses calomnies rapportées à son encontre dans le documentaire Fumée grise diffusé lors du festival international du cinéma de 2006. Ce film laisse entendre que Sa Sainteté, officiant alors comme prêtre dans la paroisse de Saint-Christophe, en Izcalie, aurait collaboré avec le régime dictatorial d’Ollin Sacxoch durant les années 1980. Les accusations sont aussi graves qu’infondées. Si Sa Sainteté se joint à la peine des familles qui ont perdu un proche durant cette période, elle les invite à la lucidité et au discernement. Sa Sainteté n’a eu de cesse de combattre, dans la mesure du possible, le traitement inhumain réservé aux hommes et aux femmes, qu’ils soient frère ou sœur dans le Christ, ou non.

    Le Saint-Siège se réserve le droit d’engager des poursuites contre les colporteurs de fausses nouvelles, qui utilisent la peine et la douleur des familles pour servir des motivations malveillantes à l’égard de l’Eglise.

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Drapeau de la Catholagne


Communiqué du Saint-Siège
1 novembre 2010


    Le Secrétariat à l’Intérieur annonce la fermeture des archives ecclésiastiques nationales et internationales pour une durée Indéterminée. Suite à la détérioration involontaire de certains ouvrages par les croyants mais également par la lumière, il ne sera désormais plus possible d’entrer dans les archives sauf autorisation de Sa Sainteté le Pape Pie XVI et du Cardinal McDinar. Cette interdiction ne s’applique pas aux autres membres du gouvernement de l’Eglise catholique.

    Un site internet est en cours de création par les cabinets du Secrétariat afin de permettre la consultation des ouvrages sacrés de manière virtuelle facilitant ainsi leur préservation. Des copies pourront être fournies avec l’inscription : « EXEMPLAR LIBER SANCTUS » afin de les différencier des originaux. Nous savons que cette décision est des plus radicales et qu’elle risque de heurter certains croyants, mais il en va de la préservation de la parole divine et des textes inscrits par nos saint-patrons.

    Nous nous tenons à votre entière disposition pour toute requête.

    Nous vous remercions pour votre compréhension.

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Communication du Saint-Siège

5 novembre 2010


Au nom de la Sainte-Île de Catholagne et du Saint Père, la Congrégation pour le dialogue interreligieux réaffirme son intention de promouvoir la paix et le dialogue entre les religions. Elle vous adresse cette supplication : pour la paix de ce monde et l'amour de Dieu, nous vous conjurons de ne pas sombrer dans la violence ou dans la haine de l'autre. Ce qui différence l'Homme de l'animal est sa déférence envers son prochain, qui lui permet de vivre en paix et dans une société civilisée.
Ne sombrez pas dans l'obscurantisme de la vengeance, de la jalousie et de l'égoïsme. Malgré toutes nos différences culturelles, religieuses et politiques, respectons-nous et restons courtois.

Nous appelons aux damnés, perdus dans l'hérésie qu'est la violence, à prendre la main que la chrétienté toute entière leur tend pour retrouver la raison et le chemin de la rédemption.

Nous appelons aux malheureux qui, ne sachant plus comment faire de leur désespoir, appellent au schisme par égocentrisme, par ambition ou par inconscience. Le dialogue est la meilleure des armes pour combattre les conflits, et la meilleure défense pour ne pas sombrer dans la violence et la lutte de pouvoir.

Seul Dieu vous permet la paix et la tranquillité, remettez vos problèmes en lui et vivez plus libre et léger.

Prière pour la communauté chrétienne : a écrit :
Oramus ut caritas Christi habitat in cordibus nostris virtute Spiritus Sancti eius qui purificat et remittit. Det nobis super spiritu rixae et discordiae triumphans et nos adiuvet ad nosmetipsos ad pacem immolandum; pacem faciat nobis et cum aliis, ut pacifici simus secundum voluntatem Dei.


Samuel Head, Préfet de la Congrégation pour le Dialogue Interreligieux
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Blason Pape Augustin
Blason du Pape Augustin


Encyclique Papale
« Veritas per Intellectum »



DU SOUVERAIN PONTIFE
AUGUSTIN
AUX ÉVÊQUES
AUX PRÊTRES ET AUX DIACRES
À TOUTES LES PERSONNES CONSACRÉES
À TOUS LES FIDÈLES
SUR LA VÉRITÉ ET LE DIALOGUE



1. Dans notre monde tumultueux, compliqué et fracturé, notre Église se trouve être un phare de stabilité et de protection, notamment pour ceux; les plus fragiles, les opprimés, les oubliés; qui sont les plus grandes victimes de cette perte du sens morale de ceux qui ont à cœur de diriger notre humanité. Ce rôle ne peut être accompli que par un respect intégral de la doctrine religieuse et de notre grande mission : la préservation, la proclamation et la diffusion de la vérité révélée par Notre Seigneur. Rien ne peut justifier un écart à cette si belle entreprise que nous entreprenons depuis près de deux millénaires. Aucun relativisme et aucunes stratégie ou cause ne pourraient nous amener à nous éloigner du chemin missionnaire de Saint Pierre et de la doctrine de Notre Seigneur.

2. En partant de ce principe, inviolable et dont il est nécessaire de rappeler la vérité absolue; certains de nos Frères, au travers des âges, des époques et des contextes, se sont perdus dans une lecture et dans une application autoritaire, déconnectée et violente de notre Foi. Reléguant la compréhension, le dialogue et l'ouverture en réalité secondaires et sombrant dans les mêmes écueils et violences que ceux portés par un nombre sidérant d'idéalistes, de révolutionnaires et de chefs, usant de toutes les violences et tombant dans tous les vices, se pensant pourtant portés, eux aussi, par la recherche et la défense du bien-commun.

3. L'affirmation de la doctrine de la Foi et de sa vérité, ne doit pas se faire dans l'opposition sèche, et encore moins dans la violence, mais dans une approche profondément ouverte au dialogue, à la compréhension mutuelle, et à la rencontre avec l'Homme moderne. Il n'y a que de cette façon que nous pourrons être efficace et prêt à la compréhension et aux soins des questionnements, des douleurs, des blessures et des espoirs de notre époque. Cette encyclique a pour but de rappeler que la compréhension et le dialogue ne relativisent pas la vérité, mais qu’ils en sont des voix d’accès nécessaires dans la fidélité à l’enseignement de Notre Seigneur.

I - Vérité et Compréhension

4. Il convient de rappeler, nous ne le faisons jamais assez, que l’Église doit toujours et irrémédiablement chercher à transmettre les cadres et vérités essentielles de la Foi. La missions d'évangélisation, si elle est également un élément fondamental et on ne peut plus central de notre foi, ne justifie pas le mensonge, la dissimulation ou le travestissement des idées canoniques et des piliers de la religion. Aucunes idées, causes ou considérations laïques, aussi semblables soient-elles avec notre dogme, ne sauraient supplanter ou même modifier la façon dont est exposée au monde les fondements de la Vérité Divine. La Révélation est une vérité franche, qui ne doit pas être maquillée au risque d'en camoufler la nature exacte, et qui doit être réaffirmé dans son unicité, son absolue, et sa grandeur, car elle est, par nature, la seule à amener vers Dieu.

5. Ce constat ne revient pas à dire que notre compréhension de la Révélation ne peut pas évoluer. Il serait une erreur absolue et horrible de considérer la doctrine de l’Église comme des règles externes dont aucunes interprétations autres que celle de nos ancêtres ne sauraient trouver un sens dans le cœur des croyants. Que serait la théologie sans son cortège sublime d'hommes et de femmes qui ont sût brillamment articuler la vérité révélatrice avec des axes de compréhensions, de dialogues et de questionnements propres à leurs époques, et aux réalités différentes de leurs contemporains ? Analyser et interpréter ne signifie pas maquiller et encore moins remettre en question. La vérité christique est immuable, les analyses et clés de compréhensions, elles, comme toutes idées, sont soumises à des externalités contextuelles ou historiques et donc ne doivent être utilisés qu'en tant d'arguments, soumis à la confrontation et qui doivent pouvoir être discuter dans une approche calme et respectueuse, que ce soit collégialement dans notre institution ou au sein de la société civile et médiatique.

6. Désormais, il convient de comprendre comment cette réalité ne signifie pas et ne prescrit aucunement un relativisme général sur les interprétations doctrinales et dogmatiques. Il n'est pas question de permettre la propagation au sein de l’Église, d'opinion illicites, dangereuses et anti-doctrinales, sous prétextes d'interprétations. L'infaillibilité pontificale ex-cathedra doit servir de juge suprême entre les analyses qui sont le fruit du processus naturel d’interprétation et d'évolution de la compréhension biblique, ce qui est donc possible d'être discuté, et celles qui doivent être considérés comme des manquements aux textes, des erreurs d’interprétations graves ou du blasphème, et qui doivent donc être soumises à reproches, rejet doctrinal, jusqu'à la sanction dans les cas les plus graves. De ce fait, le Pape doit comprendre son rôle de juge comme celui d'un berger guidant une masse fabuleuse de croyants, il définit un chemin global en s'aidant des textes fondamentaux, il empêche son troupeau d'emprunter les mauvaises routes, les soutiens en cas d'imprévus et se positionne comme un patriarche dévoué. Son infaillibilité, sa légitimité pastorale, tient au fait qu'il agit en tant que juge d'exception dont la gravité de la prise décision agit elle-même comme rappel de l'importance de la décision prise. La multitude de ses fonctions lui permet de pouvoir donner ses interprétation sans invoquer l'infaillibilité. Cette dernière ne doit pas être conçue comme la décision d'un Pape, mais de tous les Papes, passés, présent et futurs, au nom de la Foi et de la Vérité elles-mêmes. Il va sans dire qu'elle doit être utilisée avec parcimonie, et ne doit pas refléter des opinions mais des faits.

II - Doctrine et Miséricorde

7. Notre Église s'est perdue trop souvent et à de trop nombreuses époques à entretenir un débat stérile et contre-productif sur la tension, voir même l'opposition, entre la nécessité de propager, et de faire respecter, la vérité doctrinale et le devoir impératif de miséricorde envers autrui. Très souvent cela s'est matérialisé par une sévérité trop appuyée sur cette première partie et un abandon quasi complet de la deuxième frange, et ce malgré l'importance donné à ce thème dans les Évangiles. Pourtant, Jésus prononce clairement à la femme adultère que les Pharisiens voulaient lapider : « Va, et ne pèche plus » (Jean - 8:11). Nous devons évidemment comprendre dans ce passage qu'il est non seulement possible mais surtout nécessaire d'allier des rappels doctrinaux, dépourvus de concessions, destinés à faire corriger les péchés et mauvaises conduites, et le pardon et la compréhension nécessaires à la dite entreprise.

8. Nous ne pouvons corriger sans aimer. Si nous ne disposons pas de l'amour nécessaire pour notre prochain, nous ne saurons jamais être en capacité de devenir des guides efficaces vers notre foi. Notre but dans l'évangélisation n'est pas de juger les individus dans l'erreur, mais de les ramener à la vérité, à la compréhension claire du message de Notre Seigneur. Celui qui se plait dans la méprise et dans la haine de l'individu perdu fait infiniment plus de mal à sa cause et à son Église que le croyant honnête avec les limitations humaines, y compris les siennes, et qui fait preuve d'un amour et d'un respect clair pour son prochain. « Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. » (Jean - 3:17). L’Église doit être un phare, une lumière pour les êtres perdus et ceux qui sont apeurés. Un guide ou un phare qui passerait le plus clair de son temps à juger, détester et défier les personnes qu'il souhaite avoir sous sa charge, non seulement ne remplirait pas sa tâche mais inspirerait aussi un rejet, une défiance voir même une haine envers lui-même. Guidez votre prochain comme vous aimeriez être guidé et accompagné.

9. Aimer son prochain signifie également lui dire la vérité, le guider sans lui mentir sur sa condition de pécheur. Avoir de l'amour, du respect et du pardon pour la personne que l'on souhaite guider au sein de la foi ne doit sous aucun cas mener à déclarer des actes, des positions ou des paroles illicites, licites. Un bon chrétien guide avec la conviction qu'un pécheur qui a connaissance de ses péchés, qui les confesse et qui s'améliore suit indubitablement le chemin de Notre Seigneur. Cependant un pécheur qui revendique ses erreurs comme des actes permis, ou même des fiertés, s'éloigne de la grâce de Son Créateur. Mentir à un pécheur sur la teneur de ses actes est une erreur grave, d'autant plus si cette dernière est assurée et commise par un individu disposant d'une charge ecclésiastique.

III - La pédagogie de la vérité

10. Le meilleur moyen d'être en capacité de combiner recherche de la vérité et compréhension d'autrui est la mise en place d'une véritable pédagogie théorisée de l'écoute, du dialogue et de la vérité. Il ne s'agit pas d'effacer ou d'interdire les particularismes locaux, mais de mettre en place une doctrine commune, un socle objectif sur lequel doit se bâtir toute nos missions de dialogues et d'évangélisation. Il est nécessaire que les moyens mis en place par notre Église correspondent avec les valeurs que nos textes transmettent, car ces derniers représentent un idéal qui doit être transmis à tous ceux qui se rapprochent de notre foi, et ce dès les premières discussions d'évangélisations jusqu'à la confirmation et l'intégration complète et totale au sein de notre Église.

11. La mise en place de la pédagogie de la vérité repose aussi bien sur les épaules des membres les plus importants de la Curie que sur celles des fidèles laïcs. L'évangélisation n'est pas que le fait des missionnaires ou des évangélisateurs, c'est une mission qui incombe à chaque fidèle. Bien sûr, chacun dispose des moyens qui sont les siens et il ne faut pas imaginer que tout le monde puisse devenir un missionnaire de l’Église à temps plein. Cependant, cette mission a en réalité lieu chaque jour dans la vie d'un croyant. Un fidèle irréprochable, agissant envers son prochain avec respect, amour, compréhension et pédagogie dans son quotidien représente un véritable missionnaire de tous les jours dont l'action sociale ne peut être que bénéfique pour la propagation du message de Notre Seigneur.

12. Lorsqu’un chrétien, un prêtre, un catéchiste ou un théologien présente une doctrine de l’Église, et ce particulièrement à un non-croyant, il est indispensable qu'il fasse preuve de modestie et d'humilité dans son exposition. L'évangélisateur, ou le théoricien, n'est jamais qu'un messager, un transporteur de la Vérité divine, il ne doit jamais prétendre disposer des vérités complètes, d'une compréhension infinie ou d'une perception inaltérable. Le meilleur théologien qu'il soit est celui qui est parfaitement au courant de sa nature de pêcheur, et qui la prend en compte dans ses écrits et ses dialogues. Prétendre que vous disposez, en tant qu'Homme, de la clé de la compréhension complète des Révélation, est, en plus d'être un péché, le meilleur moyen de vous aliéner l'interlocuteur sceptique. Faites preuves d'humilité, ne vous présentez jamais que comme un disciple de la Foi, ne vous placez jamais au dessus de cette dernière.

13. Lorsqu’un chrétien, un prêtre, un catéchiste ou un théologien s'avance dans une mission d'enseignement il doit être en capacité de répondre aux problématiques, aux blessures et aux interrogations de l'époque moderne. Nous ne devons pas être effrayés par les thèmes contemporains, ni manifester quelconques formes de mépris, de détachements ou de rejet de ces derniers. Notre époque regorge de questionnements sur des préoccupations aussi diverses que la sexualité, la justice sociale, les droits individuels ou le pluralisme religieux. Une religion qui a peur d'affronter les réalités de son époque est destinée à l'instabilité, au vieillissement et à la muséification. L’Église n'est pas un musée, elle est une institution vivante capable de prendre à bras le corps ces thèmes, de développer des textes, des outils et des axes de compréhensions qui répondent aux angoisses existentielles de notre époque. Ne fuyez jamais le débat, recherchez le, si vous avez la foi le dialogue ne vous fera jamais peur et ne sera jamais votre ennemi. Derrière la critique la plus franche ou le blasphème le plus blessant se cachera toujours un message auquel vous devrez avoir la réponse. Le développement de votre argumentation religieuse et théologique doit être au centre de votre progression individuelle et de vos efforts spirituels.

14. Lorsqu’un chrétien, un prêtre, un catéchiste ou un théologien cherche à répondre par la doctrine aux questionnements modernes il ne doit jamais tomber dans l’écueil de l’altération de la vérité doctrinale, ni dans celui de la dureté envers son prochain. Répondre aux problématiques modernes ne signifie pas plier devant les considérations de cette dite époque. Nous devons toujours considérer que la vérité des dogmes et des doctrines doit primer face au confort du rangement derrière l'idéologie historique dominante. Mais cela ne signifie aucunement que nous devons rentrer dans une conflictualité ouverte avec les individus se reconnaissant dans ces idées modernes. Rejeter un péché ne signifie jamais rejeter le pécheur. Nous ne devons ni blesser, ni s'enfermer, mais accompagner en vertu des valeurs de miséricorde et de pardon. Nous pourrions résumer l'approche nécessaire par : fermeté dans les fondements, souplesse dans l’approche.

15. Lorsqu’un chrétien, un prêtre, un catéchiste ou un théologien se trouve au contacte de l'autre il ne doit jamais oublier qu'il fait face à des individus marqués par des réalités, des événements, des contextes et des blessures réelles et concrètes. Comprenez et acceptez qu'évangéliser signifie souvent converser avec des individus issus de groupes sociaux souvent défavorisés, opprimés et souffrant de maux systémiques. Gardez en tête que ce que vous pouvez considérer comme réalité nécessaire de l'idéal chrétien est dans une bonne partie du monde un privilège. Des valeurs centrales comme la famille n'ont pas le même sens dans un pays stable disposant des conditions sociales au développement de structures sociales cohérentes et sûres, que dans un pays subissant l'horreur de la guerre ou de l'oppression et où l'orphelinage est rependu. Nous devons aussi comprendre que nombres d'actions de nos prédécesseurs historiques ont pu avoir des conséquences négatives, voir souvent catastrophiques, sur des groupes sociaux ou communautés. Nous devons être capable d'aborder ces réalités difficiles et faire amende honorable.

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Donné à Sancte, près de Saint-Pierre, le 18 mars 2017, de la première année de mon pontificat.
Pontifex Maximus Augustinus
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