République Indépendante de Cortez
Nom courant :
Cortez ; Ile de Cortez
Gentilé :
Cortésien ; Cortésienne
Inspirations culturelles :
Corse
Situation géographique :
Langue(s) officielle(s) :
Français
Autre(s) langue(s) reconnue(s) :
Cortésien ; Italien
Drapeau :
Devise officielle :
Vive è mori per u paese (Vivre et mourir pour la patrie)
Hymne officiel :
Dio Vi Salvi Regina
Monnaie nationale :
Soldi
Capitale :
Cità Santa (signifie ville sainte en corse)
Population :
6 000 000 d’habitants
Présentation du pays :
Depuis la nuit des temps, l’île de Cortez a toujours représenté un endroit stratégique d’envergure pour de nombreuses nations. Située en plein milieu de la mer entre deux continents, Cortez et ses ports représentent de véritables opportunités commerciales et militaires. Colonisée à de nombreuses reprises par de nombreux peuples différents, Cortez fût le lieu d’un nombre de combats et de massacres incalculables. En 1783, Cortez est annexée par Novigrad. Pendant plus de 100 ans, une partie du peuple de Cortez sera déplacée à Novigrad et ne donnera plus jamais signe de vie.
C’est en 1950, après la seconde guerre mondiale que le peuple de Cortez commence à se révolter. De nombreuses réunions secrètes sont organisées dans des villas trop éloignées dans les montagnes de l’île pour être surveillées par la police de Novigrad.
Le 6 Juillet 1950, plusieurs bombes explosent dans le centre ville de Cità Santa. Les principales cibles sont notamment les commissariats et autres lieux fréquentés par les forces de Novigrad.
Le lendemain, les attentats sont revendiqués par la Main noire, groupe d’individus luttant pour l’indépendance.
Pendant plus de 30 ans, Novigrad et la Main Noire s’affronteront et causeront la mort de milliers de personnes.
La guerre d’indépendance prend fin le 5 Juin 1984 lorsque la bombe Libertad explosa en plein cœur de la capitale de Novigrad causant ainsi le retrait des troupes de Novigrad de Cortez.
Depuis, Cortez s’est reconstruit autour d’un régime politique innovant alliant les idées indépendantistes avec les envies de se développer dans le monde.
Même si le pays à souvent connu la guerre et a par conséquent du retard sur son développement, tous les signes sont alignés pour permettre à l’île de Cortez de devenir une grande nation.
Néanmoins, même presque 30 ans plus tard, la tension entre Cortez et Novigrad reste présente. Actuellement, le dialogue tient toujours mais peut se rompre à n’importe quel moment. Les victimes ont été nombreuses des deux côtés et la blessure reste ouverte.
En plus du contexte compliquée lié à la guerre d’indépendance, l’île est gangrenée par des groupes sociaux peu discrets peu à la langue tordue. Les indépendantistes extrêmes sont toujours présents et luttent contre un autre groupe d’extrême, les communistes.
En plein cœur d’une île qui semble calme, de nombreux règlements de compte ont lieu entre la main noire et la main rouge, autrefois alliées contre Novigrad. Les enjeux ? Ils sont nombreux et c’est pourquoi ces deux groupes sociaux sont véritablement devenus des mafias.
Drogues, armes, prostitution, tout est tenu par eux et le sang qui coule sur les beaux pavés de Cità Santa n’est malheureusement pas le leur.
L’enjeu pour le gouvernement est de tout faire pour éviter à l’île de couler. Une véritable politique internationale est mise en place afin de commercer avec le monde entier et de tirer des alliances, mais parfois, les fuites d’eau peuvent venir de l'intérieur du bateau…
Mentalité de la population :
Nationalistes, indépendants et fiers, les Cortésiens sont un peuple unis qui prônent l’égalité au sein de leur territoire. Ils sont pour la plupart élevés dans le respect de la tradition Cortésienne ainsi que dans l’amour de leur pays. Tous savent l’importance du patriotisme et aucun d’entre eux ne prend peur lorsqu’il faut défendre sa terre natale.
Tolérant, le Cortésien du nord accepte la mixité tandis que son voisin du sud, est un peu plus réfractaire. Le peuple dans sa globalité reste néanmoins accueillant vis-à-vis des immigrés.
Place de la religion au sein de l'État :
Bien que la laïcité et la tolérance soit un des principes fondamentaux de la République Indépendante de Cortez, le Christianisme Orthodoxe est néanmoins majoritaire à 80% sur l’île. De grandes fêtes sont organisées en l’honneur de la communion des religions une fois par année. C’est, après la fête nationale, l’évènement le plus important à Cortez.
Institutions politiques :
La politique à Cortez est établie de façon démocratique dirigée par un conseil démocratique lui-même présidée par un président. Nommé pour 6 ans avec la possibilité de se faire réélire deux fois, le président a donc la possibilité de siéger au pouvoir pendant 18 ans. Afin de ne pas asseoir un pouvoir suprême, un vote démocratique sous forme de référendum est effectué à la moitié de chaque mandat par le peuple afin de décider si le président est autorisé à rester au pouvoir jusqu'à la fin de son mandat actuel. En cas de “NON” majoritaire, le président aura alors 1 an pour effectuer une nouvelle élection dans laquelle il n’aura pas le droit de se représenter.
L’île de Cortez est régie par deux gouvernements différents. En effet, Cortez est divisé en deux régions distinctes, le Nord ainsi que le Sud. Chaque région possède son assemblée ainsi que ses lois. Il est donc possible que les taxes ne soient pas forcément les mêmes des deux côtés de l’île. Néanmoins, les deux gouvernements sont tout de même unis sous un seul et même dirigeant, le président. Le bord du parti politique du président en place importe donc peu. C’est une manière de faire diriger le pays par quelqu’un de neutre, faisant ainsi passer les intérêts de l’île avant les siens. En revanche, l'élection des deux gouvernements par le peuple est beaucoup plus politique puisque chaque parti peut postuler pour prendre la régence du gouvernement de la région. Un mandat gouvernemental régional dure 3 ans.
Pour faire bref, un président peut très bien être de gauche mais se retrouver avec deux gouvernement de droite et ce, pendant l’entièreté de son mandat si les votes en ont décidé ainsi.
Principaux personnages :
Emilio Santana (Chef Main Noire), Frederick Mota (Chef Main Rouge), Lisandru Mansini (Président)
Politique internationale :
Cortez souhaite asseoir une réputation de grande puissance mondiale dans les années à venir. Pour cela, le commerce international mais aussi le développement d’une armée puissante est indispensable. Cortez souhaite également s’étendre et prendre possession des territoires pas encore colonisés dans le Golfe afin de posséder plus de ressources.
La situation avec Novigrad est préoccupante mais ce ne sera uniquement qu'avec ce pays (Cortez n'ayant pas de passé avec d'autres pays en particulier).