21/02/2015
17:19:03
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Campagne électorale

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Retrouvez ici les meilleurs moments de la campagne électorale visant à renouveler en intégralité La Chambre Royale et Le Conseil des Territoires.

Pour ces élections, 483 sièges du Parlement Fédéral sont en jeu sur les 1.260 qu’il contient.

A La Chambre Royale, quatre modes différents de désignation des conseillers royaux existent. Il faut ici renouveler 150 sièges.

Le 1er qui concerne 100 sièges est une élection par scrutin proportionnel plurinominal par listes. Chaque parti présente une liste de 100 noms au niveau national et 1 point de % fait gagner 1 siège. Les sièges sont ensuite attribués selon un système de points, la place dans la liste attribue un nombre de points : 1er = 100 points, 2e = 99 … Cependant les électeurs peuvent panacher, pouvant ainsi enlever ou ajouter des points à un candidat, voir le rayer de la liste, lui enlevant alors 10 points, dans la limite de 10 rayures par liste. Ensuite si un parti remporte 18 sièges alors ce sont les 18 candidats avec le plus de points qui sont élus.

Le 2e mode est la nomination de 10 conseillers par les députés de l’Assemblée Fédérale, lors d’un vote en session extraordinaire, les 777 députés élisent 10 conseillers qui s'engagent à rester indépendants. Personne ne peut se porter candidat et aucune concertation préalable n’est officiellement autorisée, officieusement le groupe majoritaire établit une liste d’une trentaine de noms dans lesquels les députés majoritaires piochent. Traditionnellement les députés de l’opposition disposent d’une liberté totale, ce qui fait que parfois des centaines de personnes disposent d’une voix, souvent des membres de la famille de ces députés.

Le 3e mode est la nomination de 15 membres par les familles ducales. Le jour de l’élection, les 7 familles ducales se réunissent dans un palais et chacun approuvant les nominations de l’autre. Généralement chaque duc propose 2 noms qui sont unanimement acceptés par tous, la famille De Ckey en propose toujours 3. Les conseillers nommés par les familles ducales s'engagent à toujours rester indépendants et sont généralement des proches des ducs, comme leurs compagnons de chasse ou les précepteurs de leurs enfants.

Enfin le 4e mode est la nomination de 25 conseillers par le souverain, il les nomme seul et peut mettre la personne de son choix. Depuis Augustina II, le profil des conseillers royaux est très hétéroclite allant de membres de la société civile, en passant par un ancien chancelier, comme l’évêque de Minia ou encore un chef d’entreprise.


Au Conseil des Territoires, il existe également plusieurs membres de désignation des conseillers, différents selon les régions. Il faut ici renouveler 333 sièges.

Tout d’abord, chaque région apporte un nombre précis de conseillers suivant la répartition suivante : Pays de l’Erdrin : 65, Côte Ckey : 54, Baden : 47, Elsace : 45, Toipou : 40, Nord : 39, Dicarpie : 36, Frochine : 7


Le 1er concerne les Pays de l’Erdrin, la Côte Ckey, la Frochine et l’Elsace. Ici les régions sont divisées en circonscription, une circonscription du Conseil des Territoires regroupe 2 circonscriptions de l’Assemblée fédérale. Le scrutin prend la forme d’un scrutin uninominal majoritaire à 1 tour.

Le 2e mode concerne le Baden et la Dicarpie ou cela prend la forme d’un tirage au sort, toutes les personnes inscrites sur les listes électorales de la région peuvent être tirées au sort. Les personnes tirées au sort sont dans l’obligation de siéger, ce qui peut donc donner des nominations très originales comme un tueur en série en Dicarpie ou un SDF toujours en Dicarpie.

Le 3e mode concerne les Terres du Nord et le Toipou avec une désignation des conseillers directement par les membres de l'exécutif national. L’exécutif nommant toujours des gens proches du parti, ce mode de désignation est le plus décrié.
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Principaux partis en lice :

HRP : Ce post a pour but de présenter les différentes forces en présence pour faciliter l'ingérence des autres pays.

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Parti Uni, centriste, progressiste, social-libéralisme, techno libéralisme, fédéralisme, patriotisme, conservatisme constitutionnel emmené par la cofondatrice du parti et chancelière fédérale : Margrethe Olz, soutenue par : Maria Devec, présidente de la Frochine et de Territoire de Canta ; Sébastien Tachel, intendant aux finances ; Joella Nolland, ministre fédéral du cadre de vie ;

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Parti Cata, gauche, gauche radicale voir extrême gauche, protectionnisme, populisme, socialisme démocratique, antilibéralisme, antinata emmené par Michael Burke, soutenu par Ulrich Klein, chef des parlementaires Cata

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Les Verts, gauche radicale à droite radicale, écologie politique emmené par Kelya Mariani, aucun soutien de poids reconnu par le secrétariat à la citoyenneté

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Les Socialistes Cantais, extrême gauche à centre gauche, écologie politique, social démocratie, social écologie, social libéralisme, emmené par Henrick Mugler et soutenu par Marius Solberg, secrétaire d’Etat à l’attractivité et au commerce extérieur

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Parti Liberté, droite, libéralisme, conservatisme, emmené par Gustav Lykfot, soutenu par Benjamin Holzman, président du Baden,

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Le Grand Parti Capitaliste, centre droit à droite, mondialisme, néo libéralisme, fédéralisme, patriotisme, conservatisme constitutionnel emmené par Leonard Eperanto soutenu par Magnus Lorensen, vice chancelier et Rokke A. Hermansen, ministre de la Santé

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Le Parti Républicain, républicanisme, populisme, nationalisme, centralisme, emmené par Beathe Mordel

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Le Parti Rounnais, progressisme constitutionnel, populisme, démagogisme, nationalisme, centralisme, monarchisme, ultra conservatisme, emmené par Geoffray de Gengstach

Alliance des cantais, social libéralisme, multiculturalisme, conservatisme constitutionnel, fédéralisme

Les idéologies politiques :

Anti Nata : opposition à la culture Nata dominante, promotion de la culture Cata, dans les faits se traduit par une disparition de la langue allemande et d’une réécriture de l’Histoire

Conservatisme constitutionnel : rétablissement de la constitution original de 1817 avec notamment le rétablissement du mariage homosexuel, du divorce civil libre, de l’égalité totale des cultures Cata, Nata et Ets ou encore du rôle plus important des familles ducales

Progressisme constitutionnel : poursuite des réformes constitutionnelles de 1988 et 1992 tourné vers encore plus de conservatisme, avec notamment l’obligation de la religion catholique ou le renforcement du pouvoir du chancelier

Patriotisme : vision du Canta comme d'une grande puissance énergétique et d’un pays riche qui se doit d’être doté d’une grande puissance armée et diplomatique visant à son rayonnement et à sa renommée international
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Brève de campagne :

Les enjeux :

Margrethe Olz paraît la grande favorite de ces élections "intermédiaires" sorti renforcées par des régionales anticipées en Frochine largement gagnées par son allié Maria Devec et par de très bons sondages qui lui assurent une confortable majorité absolue dans ces 2 chambres. Cela devrait permettre à Olz de renforcer sa majorité relative et de resserrer sa coalition.

Les Capitalistes et les Libertaires sont au coude à coude dans les sondages et le défi de ces deux partis n’est plus de remporter ces élections mais de savoir qui sera le 2e parti et donc de s’accorder une belle place dans la future coalition d’Olz. Même si l’écart sera sans doute très faible entre le 2e et le 3e, il est clair que le 2e parti de ces élections pourra se permettre de demander de meilleurs postes dans le futur gouvernement Olz II alors que le 3e parti devra se contenter d’un simple rôle de soutien. Il ne faut pas oublier qu’une majorité de sympathisants de ces deux partis est favorable à une coalition avec Olz voire même un simple soutien et rejette un rôle de simple opposant de leur parti.

Pour la gauche, Cata, Verts et Socialistes, les grands spécialistes parlent désormais de survie des partis plutôt. L'objectif premier des Cata et aussi un peu des Verts va être de maintenir le navire à flot en conservant au moins un ou deux sièges dans chacune des deux chambres. Pour les Socialistes le défi est encore plus dur puisque les dirigeants du parti sont tiraillés entre l’envie de faire un beau score, en gros de sauver les meubles en conservant le même nombre d’élus mais de rester dans la coalition d’Olz et de l’autre l’envie d’opérer un crash industriel qui forcerait le pays à se reconstruire et à incarner la grande force d’opposition à Olz que dans de monde rêve.

Enfin pour les deux grands partis extrémistes la question ne se pose même plus et ils espèrent encore pouvoir récolter un petit pourcent pour avoir au moins 1 siège à la Chambre Royale et dans un certain nombre de circonscriptions territoriales des candidatures communes ont eu lieu pour espérer faire le maximum de voix et obtenir le plus d’argent puisqu’il faut au moins 5% des voix pour obtenir des financements fédéraux.

Cependant n’oublions le rôle que pourront avoir localement certains candidats indépendants, surtout en Frochine ou en Elsace, ou quelques candidatures non alignés pourraient se qualifier au 2nd tour.
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Brève de campagne :

La chancelière fédérale mène campagne tambour battant, dorénavant la chancelière est visible matin, midi et soir, 7 jours par semaine et dans toute la Fédération. Ainsi lundi matin elle tenait son traditionnel conseil des ministres, par visioconférence depuis La Roitier dans le Toipou ou elle avait tenu meeting la veille, dans une salle comble de 9.500 personnes. Elle s’est ensuite rendue au marché de Yanaro, une ville industrielle de la banlieue de La Roitier, ou elle a tracté pour le Parti Uni tout en rencontrant de nombreux habitants de la cité ouvrière. Ville historiquement de gauche, la chancelière a quand même pu s’offrir un joli bain de foule et apprécier sa grande popularité. L'après-midi, elle a visité un haut fourneau, toujours à Yanaro, puis elle a participé à une réunion publique à Merkmerberg, toujours dans le Toipou. Mardi, de retour de bon matin à Roune, elle a tenu séance au Parlement fédéral une bonne partie de la journée puis a donné une conférence le soir devant un parterre d’entrepreneurs et dirigeants d’entreprises cantais pour leur exposer sa politique économique. Le mercredi, elle a de nouveau quitté la capitale fédérale et c’est rendu en Dicarpie, à Minia ou elle a rencontré le président régional : Valéry Bergen et a tout au long de la journée visiter la région et surtout s’est rendu sur les lieux des grandes actions de l’état fédéral : ponts sur la rivière Quouaï, réhabilitation de centre ville, construction de 2 églises… Le soir, elle a également tenu un meeting à Minia, où plus de 15.000 personnes étaient réunies au Palais des sports de la ville. Le jeudi, elle a rencontré de nombreux militants dans la matinée puis a été reçue lors d’un dîner informel par la famille ducale dicarpienne, dans l’après midi elle est retournée à Rouen où se tenait en soirée une réunion stratégique du Parti Uni. Vendredi, elle a de nouveau tenu séance toute la journée au Parlement fédéral puis elle a passé toute la soirée en famille à la chancellerie fédérale. Samedi, elle a fait campagne toute la journée dans les rues de Roune, c’est sans doute la première fois dans l’histoire des chanceliers fédéraux, qu’il est possible d’en voir un se promener aussi librement et sereinement dans les rues de la capitale fédérale et allant tranquillement rencontrer ses citoyens / électeurs. Enfin ce dimanche, son agenda indique simplement une visite de 2 jours dans le Nord. Et la semaine qui vient sera encore plus chargée que les 3 précédentes.

En dehors du Parti Uni, rien ne va plus au Parti Liberté, jamais le plus vieux parti cantais n’avait connu une telle crise, les scandales et les dissensions émergent au grand jour et la chute dans les sondages se poursuit. La direction fédérale du parti avait essayé il y a quelques jours d’imposer des codes électoraux communs : couleur, slogan, affiche, tracts, programme… à tous les candidats territoriaux mais il n’en sera rien. Ainsi en Frochine, des candidats de la banlieue de Totyves se sont filmés en train d’incendier le matériel envoyé par la direction fédérale et d’autres au contraire, comme en Elscace, ont fièrement défendu cette harmonisation. Il faut dire que le Parti Liberté c’était construit sur une grande souplesse vis à vis de ses dékégations régionales, ce qui lui a permit en adapatant son discours à chaque région, d’un libéralisme socialisant en Ckey à une droite presque nationaliste au Baden à avoir un fort encrage dans toutes les régions. Hors, depuis quelques années cette force s'est transformée en faiblesse et l'apparition du Parti Uni ! a détruit la frange la plus modérée du parti. Et la position du parti avec “le cul entre 2 chaises” qui refuse tantôt la collection Olzienne et tantôt l'opposition n’arrange pas les choses et les sections les plus favorables à Olz, comme le Ckey ou l’Erdrin, rentrent de plus en plus en conflit avec les régions qui lui sont le moins favorables, Baden en tête. De ce fait, on voit ainsi des candidats de Ckey afficher clairement leur soutien à la chancelière au pouvoir avec des slogans comme “Un conseiller au service du territoire dans un gouvernement coalisé” et dans le Nord “Pour une véritable opposition à Olz !”.

Pour les Capitalistes, l’heure est à la joie, les sondages sont bons et les candidats profitent pleinement du bilan d’Olz, en écartant certaines critiques récurrentes, comme la probable réforme constitutionnelle ou les importantes dépenses militaires. Cependant, le parti n’arrive pas à lancer sa campagne, le vice chancelier Lorensen, pourtant poids lourd du parti ne sort presque jamais des chambres parlementaires et ses seuls déplacements se font dans Roune et sa couronne, et la ministre de la Santé, Rokke A. Hermansen, est en première ligne d’une campagne qu’elle n’a pas envie de faire. Elle aurait dit en interne “je suis médecin, pas politicienne et je déteste parler en public alors arrêtez de me faire des meetings.” Par ailleurs, certains candidats n’ont toujours pas reçu leur investiture, la commission nationale ne cessant de repousser ses sessions, seul ⅓ des investitures prévues auraient été validés.

Chez les socialistes, le flou est complet sur le programme mais au moins les objectifs sont clairs : conserver tous les sièges dans les 2 chambres et ils espèrent surtout y parvenir grâce aux tirages au sort, des équipes spéciales sont en cours de formation pour s’approcher des vainqueurs des tirages au sort et les convaincre de rejoindre les socialistes. Par ailleurs, il serait même déjà acté qu’un certain nombre de provinces seraient perdues. En revanche, le parti est dans les clous et même en avance avec 100% des investitures effectués et un matériel électoral commun livrés à tous les candidats, qui feraient plutôt consensus. Du côté des militants, malgré une absence de programme, on est dans les starting block et les meetings "font le plein" dans des salles qui restent relativement petites. Ironiquement, c'est sans doute le grand parti le plus mal en point dans les sondages qui réussit le mieux sa campagne.
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En même temps que le renouvellement intégrale du Conseil des Territoires et de la Chambre Royale, d’autres élections seront organisées en même temps :

Au niveau fédéral :
3 questions référendaires sont prévus :

- 1ère question :
Approuvez-vous le traité de coopération militaire, commercial et amicale de voisinage Pharois Syndikaali / Canta, négocié par le gouvernement fédéral ?

- 2e question :
Approuvez-vous le projet de loi autorisant le vote par correspondance ?

- 3e question :
Approuvez-vous le projet de loi visant à la formation d’un comité constituant ?


Au niveau régional :
Deux élections ducales sont prévus dans 2 régions de poids : la Côte Ckey verra son Assemblée du Peuple de Ckey renouvelée en intégralité, tout comme le Baden qui devra intégralement renouveler son Assemblée ducale. La Dicarpie renouvelle également sa Chambre et son Assemblée parlementaire, c’est sans doute ici que les enjeux seront les plus forts. Dans les autres régions, plusieurs postes vacants des sénats devront être renouvelés, en proportion différente. Il ne faut pas oublier que le Sénat du Duché de Frochine est intégralement renouvelé, il s'agit en plus de la seule chambre haute élue dans 52 circonscriptions.

Cette année, chaque duché aura droit à un ou plusieurs référendums locaux :

Erdrin :
- Approuvez-vous la loi visant a lever l'interdiction d'exploitation des casinos et salles de jeu ?

Ckey :
- Approuvez-vous le relèvement des quota d'extraction de pétrole ?

- Approuvez-vous la réforme du Parlement de Ckey ?

- Approuvez-vous la loi sur la vitesse illimitée sur autoroute ?

Baden :
- Approuvez-vous la loi sur la vitesse limitée sur autoroute ?

Elsace :
- Approuvez-la réforme fiscale ?

Toipou :
- Approuvez-vous la création de 3 parcs naturels régionaux ?

Terres du Nord :
- Approuvez-vous l'organisation d'une journée sans voitures par moi ?

Dicarpie :
- Approuvez-vous la gratuité des transports publics régionaux ?

Frochine :
- Approuvez-vous l'abaissement du taux de TVA sur les produits de luxe de 33 à 20 % ?

Au niveau local :
Bien évidemment, comme à chaque élection “mi législative”, l'intégralité des 40 chambres provinciales sont renouvelées.

Mais plusieurs élections municipales et / ou intercommunales auront lieu, parmi eux il y a bien évidemment la capitale fédérale, Roune mais également les capitales régionales Le Roto, StrassByen et Totyves, sans oublier la “municipalité éjectable” de MutteVil, ou jamais un maire n’a réussi à se faire réélire.
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SONDAGES EXCLUSIFS - ROUNE!

Das Kleine Nagetier vous propose à 15 jours des élections générales une compilation inédite des sondages rounnais afin de cerner aux mieux la dernière ligne droite de la campagne rounnaise, avec une projection sur le conseil des sénéchals.



Pour l'instant, seul un sondage sur les sénéchaux est paru et montre une situation assez confuse. Pour CantOpinion, le nouveau mouvement "ensemble la gauche" est en passe de remporter 4 arrondissements, les deux de Roune Social et Roune Ecologiste (2 et 3) et réaliserait l'exploit de gagner 2 arrondissements actuellement détenu par la droite (12 et 13). Fiers de Roune garderait ses 7 arrondissements et pourrait gagner le 7e. Roune au Coeur perdrait ainsi 3 arrondissements mais gagnerait le 20e, actuellement "en noir" et il y aurait ainsi une égalité parfaite entre les 2 grands groupes du conseil des sénéchaux. En effet, il ne faut pas oublier que "Ensemble la gauche" a affirmé ne pas vouloir s'affilier à "Fiers de Roune" mais serait ouvert à "Roune Ensemble". De ce fait, une "majorité mouvante" pourrait émerger avec les 4 sénéchaux "ensemble la gauche", celui de "Roune Ensemble" qui conserve le 5e arrondissement, et qui pourrait faire de belles percées dans d'autres arrondissements et enfin la princesse marie Wanon - de Ckey, qui est bien partie pour devenir la sénéchale du 10e arrondissement.

Du côté des 3 autres instituts, des tendances similaires se dessinent : égalité entre les blocs "Fiers de Roune" et "Roune au coeur", mais avec un plus petit score "ensemble la gauche" entre 1 et 2 arrondissements au profit de Roune SOCIAL et Roune écologiste. Par ailleurs, undersøkelse prédit un maintien de "Roune en noir" quand Umfrage et kysely prévoit un deuxième arrondissement sans étiquette.

Idéologies politiques et filiations fédérales des groupes rounnais :
Roune Insoumise (Parti Cata) : écosocialisme, communisme, populisme, républicanisme
Roune écologiste et solidaire (Les Verts) : écologie politique, socialisme, républicanisme limitée
Ensemble la gauche : social démocratie, monarchie limitée, fédéralisme, progressisme
Roune SOCIAL (Les Socialistes) : social libéralisme, social écologisme, monarchie limitée
Fiers de Roune (Les Socialistes, Parti Uni) : attrape tout, monarchisme, social démocratie
Roune ENSEMBLE (Parti Uni) : attrape tout, progressisme, fédéralisme limité, monarchisme
Roune au Coeur (Liberté, Capitaliste) : conservatisme, fédéralisme limité, monarchisme, démocratie chrétienne, ultra libéralisme
Roune en noir (Rpublicain, Rounais) : républicanisme, monarchisme étendue, unitarisme, ultra conservatisme, nationalisme
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SONDAGES EXCLUSIFS - REGIONALES !

Das Kleine Nagetier vous propose à 14 jours des élections générales une compilation inédite des sondages régionaux en Ckey, Baden et Dicarpie afin de cerner aux mieux la dernière ligne droite des campagnes régionales, avec des projections en sièges.

Ckey



Tous les instituts de sondages sont d'accord, le raz de marée orange continue en Ckey. Les projections les plus pessimistes donnent une très large majorité au bloc "Uni pour la Ckey" (Parti Uni ; techolibéralisme, fédéralisme, monarchisme, patriotisme), entre 400 et 420 sièges, contre 378 sièges actuellement, les ckeyois sont visiblement très satisfait de la politique "de grandeur régionale" menée par Olga von Kloack, disciple de Margrethe Olz. Tout cela a de quoi conforter ce puissant bastion d'Uni et augure de bons scores pour les municipales et les législatives, qui auront lieu également dans 2 semaines. Notons également l'effondrement continu de l'opposition avec des scores très résiduels de "La GAUCHE tous ENSEMBLE" (Cata, Socialistes, Verts ; antilibéralisme, écologie politique, écoféminisme) 5 à 20 sièges, “ENSEMBLE LA DROITE” (Capitalistes, Liberté ; monarchisme, ultra libéralisme, pétrolisme) 5 à 15 sièges et “NOUS NE SOMMES PAS EXTRÊMES" (Rounnais , Républicain ; monarchisme, nationalisme, unitarisme, républicanisme, ultra conservatisme) 0 à 5 sièges qui montre bien la paralysie de l'opposition ckeyoise face aux excellents résultats de l'exécutif fédéral et régional.

Baden



Les 4 sondages sont une douche froide pour l'opposition badenoise, l'objectif de faire vaciller la région la plus conservatrice de la fédération est très mal parti. Il faut dire que le mode d'élections très particulier favorise le grand bloc majoritaire "Notre BADEN Capitalistes" (Le Grand Parti Capitaliste ; monarchisme, fédéralisme, ultralibéralisme, conservatisme) et "Tradition et authenticité " (Rounnais, Républicain ; républicanisme, monarchisme, unitarisme, ultra conservatisme, nationalisme, libéralisme). En effet, la majorité garderait entre 250 et 280 sièges sur 480, de quoi garder une majorité absolue sur la région, toutefois très légèrement diminuée.
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L'opposition badenoise en ordre de marche !

Tous les sondages montrent que le Baden restera conservateur et fortement majoritaire, les 4 mouvements d'opposition se sont récemment rencontrés en prévision de candidatures communes

D'après les 4 grands instituts de sondages : CantOpinion, Umfrage, undersøkelse et kysely, les deux partis de la majorité nationale conservatrice du Baden garderont la 3e région de la Fédération sans problème. Les ultralibéraux de "Notre BADEN Capitaliste" s'offriraient une confortable majorité relative de 200 sièges, complétée par les 65 sièges des ultranationalistes de Tradition & Authenticité.

Les 2 leaders de la région, Mike de Koenigsbourg, 1er vice duc du Baden et président du Sénat et Philipp Werner, président de l'Assemblée Ducale se sont tous les deux réjouis de ces sondages ont affirmés, dans une déclaration commune, que "les badenois sont conscients des réalités du Baden. Ils voient que notre politique juste porte ces fruits. Dans le domaine fiscal, tous les badenois, même les plus précaires, payent dorénavant des impôts, en contrepartie, par égalité, les impôts des 10% les plus riches ont baissé de 40%. Les prestations sociales ont baissé de 67%, la quasi totalité des écoles fédérées ont fermé... Dans quelques années, le Baden sera la région la plus prospère de toute la Fédération et les LGBT, bobo, communiste qui n'accepte pas ça n'auront qu'à changer de région, la Frochine est justement vide."

Ce communiqué a été jugé "offensant" par la chancelière fédérale Margrethe Olz voire même "tout simplement inadmissible" pour la présidente du Duché de Frochine, et de Territoire de Canta, Maria Devec. Bien évidemment, les membres de l'opposition badenoise ont tous dénoncés ce communiqué, qui serait mal passé même dans les soutiens de Koenigsbourg et Werner.

Après cela, les 4 leaders de l'opposition ont, à la surprise générale, décidés de se retrouver dans un bar de WeissBorer, en terrain neutre, pour convenir d'une possible "union" des 4 mouvements. Pour rappel, il existe actuellement 4 mouvements d'opposition au Parlement du Baden, souvent animé par des petits partis régionaux :

- “Pour le Baden Libre, PBL”, mené par le Mouvement des Chasseurs - Pêcheurs du Sud, représenté par Thomas Abendroth qui compte actuellement 49 sièges, presque exclusivement dans 22 circonscriptions rurales et 5 sièges proportionelle. Ce mouvement se réclame d'une "droite rurale de libéralisme social". Ainsi Abendroth, jeune agriculteur de l'Est du Baden propose : le retour à l'ancienne grille fiscale, le retour dans le domaine public fédéré des écoles élémentaires et des hôpitaux locaux. Le PBL veut également augmenter les subventions dans le domaine agricole, notamment pour moderniser les plus anciennes exploitations et propose depuis récemment de subventionner les études universitaires des jeunes les plus pauvres. Sans oublier leur mesure phare sur la suppression des quotas de pêche et de chasse. Ils obtiendraient entre 30 et 50 sièges, presque intégralement en circonscriptions.

- “Uni dans le Baden, UB”, mené par le Syndicat Réformateur du Sud, Parti Radical Sudiste et le Parti Modéré du Baden, représenté par Steffen Fisher qui compte actuellement 26 sièges, presque exclusivement sur la liste proportionnelle, 22 sièges contre seulement 2 circonscriptions. Ce mouvement davantage centriste prospère dans les mêmes milieux que le PBL, un peu dans l'Est agricole mais surtout dans le Nord industriel, là où les syndicats sont fortement implantés. Certaines de leurs propositions se rapprochent du PBL : retour à l'ancienne grille fiscale, écoles élémentaires publiques... Mais ils vont également plus loin en promettant des négociations salariales annuelles et obligatoires ainsi qu'une hausse généralisée des minimas sociaux fédérés. Ils obtiendraient aux alentours de 50 sièges, presque tous sur la liste proportionnelle.

- "Union Démocratique Badenoise, UDB” issue du mouvement citoyen éponyme, représenté par le capitaine Kuusti, ancien contrebandier pharois à la retraite, en remplacement de Benjamin Waechter, qui compte actuellement 11 sièges. Le célèbre mouvement citoyen est surtout fort dans les villes côtières où il y a remporté 5 circonscriptions, en plus d'un siège proportionnel. Le mouvement citoyen propose une politique "résolument socialiste" : baisse massive des impôts pour les classes populaires et hausse des impôts sur les plus riches, écoles élémentaires publics et récupération de la compétence "collège" auprès des provinces en vu d'une gratuité totale des études fédérées (il ne faut pas oublier que le Baden est la seule région a avoir décentralisée totalement ses écoles et collèges) mais également un ambitieux programme de transports collectifs, avec notamment un doublement du réseau de train régional. Ils obtiendraient entre 50 et 70 sièges, soient une des plus grandes avancées de l'opposition.

- “Baden Socialistes, Écologistes et Inclusif, BSEI” conglomérat de dizaines de petits partis, syndicats, associations et mouvements de gauche représenté par Doreen Friedmann, qui compte actuellement 7 sièges, tous sur la liste proportionnelle avec un fort attrait auprès des jeunes de tout le duché. C'est sans aucun doute le mouvement le plus à gauche des 4 avec des propositions sociales tout azimutes : gratuité totale des écoles, collèges et hôpitaux fédérés mais également du réseau de transport régional avec un attrait plus sociétale : autorisation à changer la constitution fédérale pour réintroduire le mariage homosexuel, entre autres. Ils obtiendraient 20 sièges.

Les 4 leaders ont discutés de longues heures dans le bar "La bière qui goutte" dans le centre de WeissBorer et ont collectivement convenus de se revoir au plus vite, d'après certaines sources, des arrangements pourraient avoir lieu dans certaines circonscriptions pour éviter le dispersement des voix.
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Elections locales dans le Duché de CKEY

RAZ DE MAREE POUR UNI

L'Assemblée du Peuple Ckeyois a été renouvelé en intégralité ce week-end et c'est soldé par une victoire écrasante de la coalition Uni pour la CKEY, mené par le Parti Uni de la chancelière Olz. Le mode de renouvellement de l'Assemblée est unique, à savoir un scrutin majoritaire à 2 tours dans 430 circonscriptions régionales, comme les 430 sièges des députés du peuple de Ckey.

Pour rappel, lors des dernières élections, “La GAUCHE tous ENSEMBLE” (Cata, Socialistes et Verts) conduite par Jonas Kleber possédaient 28 sièges, “ENSEMBLE LA DROITE” (Capitalistes, Liberté) conduite par Monika Freeh comptaient 21 députés, et “NOUS NE SOMMES PAS EXTRÊMES" (Rounnais et républicain) conduite par Klaudia Kalb seulement 3 petits sièges et enfin “Uni pour la Ckey !” (Parti Uni) conduite par Margrethe Olz et Olga von Kloack détenaient une écrasante majorité de 378 sièges.

Après une campagne très plate et des sondages plus que favorable au Parti Uni dans le 2e duché de la fédération, le verdict des urnes a surpris plus d'un observateur par le véritable plébiscite que le peuple de Ckey a offert au Parti Uni. Sur les 430 circonscriptions que compte le duché, 398 circonscriptions n'ont pas eu besoin de 2nd tour, dont 395 pour le Parti Uni. Ensuite pour les 32 circonscriptions ayant eu besoin d'un 2nd tour, la plupart dans la province de l'Otmo, dans et autour de MutteVil.

Au final, Uni remporte 422 circonscriptions et ne laisse plus que des miettes à La GAUCHE tous ENSEMBLE qui récupère 4 sièges en banlieue du Roto et ENSEMBLE LA DROITE conserve ses 4 députés élus autour de la source de l'Otmo.



Par ailleurs, les 6 Bourgmestres des 6 capitales provinciales ont tous été réélus dès le 1er tour, Bernard Cazane du Roto avec 86% des voix, Kathrin Baumgaertner de Richtenhausen avec 77% des voix, Leonie Goldschmidt de Vermundigen avec 74%, Eemil Rosendahl de Kilcrana avec 51% des voix, Theodore Nordström d'Aarsiedeln avec 68% des voix. Ces 5 réélections ne sont pas du tout une surprise pour ces 5 élus du Parti Uni mais l'élection la plus inattendue vient sans aucun doute de MutteVil ou la bourgmestre sortante, Eulalie Boivin a réussi le véritable exploit de se faire réélire dans la capitale de l'Otmo, avec un score tout à fait honorable de 50,3% dès le premier tour, il faut rappeler que MutteVil a la réputation de ne jamais avoir réélu un maire sortant, décidément, le Parti Uni réussit plus d'un exploit. Toutefois, le Parti Uni ne réussit à récupérer que le conseil municipal de MutteVil, les conseils d'Aarsiedeln et de Richtenhausen, restant des conseils de coalition Parti Uni / Divers / Divers Droite.
Nombre de sièges par Conseil Municipal :
Le Roto : 510 sièges
Richtenhausen : 76 sièges
Vermundigen : 76 sièges
Kilcrana : 69 sièges
Aarsiedeln : 64 sièges
MutteVil : 53 sièges



Enfin, rien de très intéressant dans les Conseils de Province qui restent tous très largement aux mains du Parti Uni, la seule attention devra être portée sur les Commissaires de la Reine des provinces de Mossnes et de Carden qui ont dépassé l'âge coutumier et qui pourrait probablement démissionné.

Enfin, la participation c'est établi à 97,3% pour le Parlement Régional, 2e meilleur score, 0,7 point derrière le record de 1995 qui porta Margrethe Olz au pouvoir. Les Conseils de Province, traditionnellement moins mobilisateur ont établi un record fédéral avec 92,1%, battant le précédent record de 2005 de 1,2 point. Enfin, pour la première fois les municipales auront davantage mobilisés que les régionales avec une participation magnifique de 98,1% battant de près de 5 points le record régional. Malgré une participation particulièrement remarquable, aucun problème de saturation des bureaux de vote ou de manque de bulletins ou d'enveloppe n'ont été remontés par les Commissariats de la Reine, responsable des élections, montrant encore une fois l'extraordinaire capacité de nos administrations à organiser en toute sécurité des élections.

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Elections provinciales de la Meur


Aujourd’hui et dimanche dernier, se sont tenues les très importantes élections provinciales de la province de la Meur, 4e province de la Fédération. Si la Meur est loin d’être la plus connue et la plus importante des provinces cantaises, notamment du fait qu’elle n’accueille pas de capitales régionales et qu’elle compte parmi les plus grandes “cité dortoir” du pays, en lien avec Roune.

Pour resituer un peu l’élection dans son cadre, la province de la Meur compte 474.000 habitants, répartis sur 1.006km2, soit une densité de 471h/km2, ce qui en fait une “province urbaine”. Sa capitale provinciale, Donestal, mais également la deuxième ville de la province, Ambourvil accueille à elle seule plus de 300.000 habitants, dont plus de la moitié vont travailler chaque jour dans la capitale régionale. Sur le plan économique, la Meur est une région assez diversifiée : tourisme de luxe et loisirs dans les grandes villes, industrie lourde dans les villes moyennes et agriculture laitière dans les plus petites villes.

Sur le plan politique, la province de la Meur est assez ambivalente, ainsi aux dernières élections législatives de 2011, les meurois ont massivement envoyé des députés “Uni” à l’Assemblée Fédérale, 22 sur 35 mais également 8 Capitalistes, un Liberté, un Verts, un Rounnais et un Cata. Elle est ainsi devenue, tardivement, un important bastion d’Uni tout en conservant des poches Vertes, Cata et Verts. Il en est de même aux élections locales avec de bons scores des “petits” partis les Verts et les Rounais qui arrivent à tous conserver des sièges à l’Assemblée provinciale. Même si la province est dirigée par une coalition réunissant 33 conseillers Uni et 40 élus de la réunion Liberté & Capital.

Sur les élections en elle-même, il s’agit des deuxièmes élections avec le mode de scrutin approuvé par référendum local en 2008 remplaçant les listes fermées par des circonscriptions uninominales.

Le scrutin, organisé pour la première fois par la mandataire provinciale Uni, Apolline Vernadeau en remplacement du défunt et regretté Alain Demers s’est déroulé sans problème. Il faut toutefois noter des temps d’attente assez “conséquent” à Donestal avec parfois plus de 25 minutes d’attente entre la sortie de l’isoloir et le passage devant l’urne, selon des reporters spéciaux du Canard de Donestal, malgré un nombre suffisant d’agents électoraux travaillant activement. Lors de sa conférence de presse de fin de scrutin, madame Vernadeau a affirmé vouloir ouvrir davantage de bureaux dans la capitale provinciale, en essayant de trouver de nouveaux lieux. Elle a également noté une hausse “conséquente” du nombre d'assesseurs bénévoles, plus de 370 volontaires supplémentaires par rapport au dernier scrutin.



Dans le détail, la participation est en hausse, s’établissant à 89,3% soit 5,2 points de plus qu’il y a 4 ans, malgré un départ un peu lent, les électeurs n’ont cessé de revenir plus nombreux, pouvant causer quelques files d’attente. Comme toujours, la participation communiquée au 2nd tour mélange les circonscriptions dont le conseiller est élu au 1er tour avec les circonscriptions devant organiser un second tour. Il faut remarquer que les élections provinciales sont historiquement les élections les moins mobilisatrices, avec une participation moyenne comprise entre 80 et 83%, loin des près de 95% des élections fédérales dans le territoire royal.

Du côté des résultats par circonscription, Uni est le grand gagnant incontestable de ce scrutin, remportant 61 sièges sur 120, lui assurant une petite majorité absolue, ce qui est très rare dans les assemblées provinciales. Tous les autres partis sont en recul, Cata, Liberté & Capital et Rounnais perdent chacun un siège, les Socialistes s’enfoncent dans la crise en perdant 9 sièges, soit près des ⅔ de leur groupe et enfin les Verts perdent 16 sièges.

Dans le détail, voici les sièges gagnés par commune :

- Donestal : 21 conseillers Liberté sortants, 19 conseillers Uni (6 sortants), 2 conseillers Cata (un éliminé) , 4 conseillers Verts (5 éliminés), 1 conseiller Socialistes (6 éliminés), 1 Rounnais éliminé
- Annevil : 12 conseillers Uni (7 sortants), 6 conseillers Liberté (un éliminé), 4 conseillers Cata sortants, 2 conseillers Verts (4 éliminés), 3 conseillers Socialistes, 1 conseiller Rounnais
- Ambourvil : 10 conseillers Uni (7 sortants), 4 conseillers Liberté sortants, 3 Socialistes éliminés
- Bervil : 8 conseillers Uni (5 sortants), 4 conseillers Liberté sortants, 3 Verts éliminés
- St-Pierre-de-Man : 5 conseillers Uni (2 sortants), 2 conseillers Liberté sortants, un conseiller Socialistes sortant, un conseiller Cata sortant, 3 Verts éliminé
- St-Pierre-de-Varen : 2 conseillers Uni sortant, 2 conseillers Liberté sortants, un conseiller Verts sortant
- Ste-Marguerite : 2 conseillers Uni (un sortant), un Verts éliminé
- Hautot-sur-Meur : 2 conseillers Uni, sortants
- Moulin-sur-Meur : un conseiller Uni, sortant

Sortant signifie que le conseiller élu est du même parti que le précédent. Eliminé veut dire qu’un conseiller sortant n’a pas été réélu



Pour apporter plus de précision, la percée historique d’Uni est surtout visible dans les deux grandes villes et surtout au détriment des Verts. En effet, le parti “fédéral” remporte un siège à Ste Marguerite au profit des Verts et 6 autres sièges à St Pierre de Man et Bervil, 3 sièges chacun, toujours au profit des Verts. A Ambourvil, Uni remporte également 3 sièges, cette fois-ci au profit des Socialistes qui perd ce bastion historique de la gauche. A Annevil, Liberté perd un siège au profit d’Uni, qui récupère également 4 autres sièges aux Verts. Enfin, à Donestal, Uni remporte 13 sièges supplémentaires, soit près de la moitié de ses gains, au détriment de 5 conseillers Verts, un élu Cata, 6 Socialistes et un rounnais.

Par ailleurs, il faut noter que la plupart des élus Uni ont été élus au premier tour, 55 sur 61 et que la plupart des élus non Uni ont été élus au second tour dans une forme de dernier salut des électeurs de l'opposition pour limiter la majorité d’Uni.

Le soir même de l’annonce des résultats, tous les partis “perdants” ont annoncé siéger dans l’opposition, Uni et ses 61 élus se retrouve donc seul à gouverner. Olivier Brisebois, le leader du Parti Uni meurois a “pris acte de l'attitude peu constructive des perdants de la soirée et confirme la volonté d’Uni de vouloir diriger seul la province”. Il a également précisé, que “dans l'immédiat” la démission du commissaire de la reine n'allait pas être demandée, mais “sans se fermer aucune porte”.

La province de la Meur rejoint ce soir le club, de plus en plus important, des provinces dirigées uniquement par le Parti Uni.
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Répartition partisane des députés fédéraux de chaque province



Les provinces sont ici classées en fonction de leur nombre de circonscriptions fédérales, allant de 97 députés pour la province de l'Escrot (Pays de l'Erdrin) à un demi siège pour les provinces de St Saens, St Ivelin, Ste Honorine et Ste Madine (Frochine).
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Pays de l’Erdrin :

Le territoire royal des Pays de l’Erdrin, région autrefois fortement contrastée sur le plan politique entre une capitale royale, souvent bien à droite, en forte contradiction avec une banlieue plus populaire et de gauche. Toutefois, depuis 2002 et la montée en puissance électorale d’UNI, le paysage politique régional est chamboulé, voyant une quasi disparition de la gauche au profit d’UNI, qui n’arrive pas encore à chahuter le droite dans ses plus gros bastions.

Lors des dernières élections, les habitants du territoire royal ont largement consacré le parti sortant, par ailleurs très influent dans les assemblées locales en lui accordant 110 députés sur 152, soit plus 72% des sièges en jeu. Si UNI opère une véritable razzia dans Roune intra-muros, ne laissant que des miettes aux Capitalistes, ils ont également fait des avancées impressionnantes dans les banlieues, en particulier dans les “cités jardins” de la Rate et les villes industrielles de la Meur.

La gauche, qui arrivait parfois à obtenir plus de 40% des sièges du delta, est reléguée sous les 10% avec un contingent total de 9 députés. Les Verts maintiennent leurs gains de 2006 dans les cités dortoirs mais les Socialistes et le Cata ne conservent qu'un modeste reliquat de leurs glorieux bastions ouvriers du siècle dernier.

Le Parti Liberté disparaît pratiquement de la région et ne conserve que 4 députés, uniquement grâce à la bienveillance d’UNI qui n’a placé aucun adversaire face à 4 députés sortants, jugés suffisamment compatibles avec le gouvernement en place par la direction régionale du parti majoritaire.

Il est de même pour les Capitalistes qui ne représentent plus que 15% des sièges de la région, avec 22 députés élus surtout grâce au soutien de leur principal partenaire de coalition : UNI. La direction régionale du parti ayant décidé de s’allier dès le 1er tour avec les sortants les mieux placés, notamment dans la province de la Meur afin de montrer qu’UNI souhaite prolonger la coalition au pouvoir, malgré des sondages pouvant prédire d’une majorité absolue pour ce dernier.

Enfin, les partis d’extrême droite ne conservent que 4 sièges dans leurs historiques bastions des quartiers bourgeois de Roune. 3 députés sans étiquette arrivent, pour la première fois, à se faire élire, avec le soutien indirect d’UNI.
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Côte Ckey :

La Ckey, bastion historique du parti UNI et plus globalement des idées libérales et modérées a offert à ce dernier la plus grande victoire qu’un parti n’a jamais réalisé dans une région depuis 1823 et les premières élections fédérales. En effet, sur les 130 circonscriptions que compte le duché le plus riche de la Fédération, 122 sont remportées par UNI, aucun parti n’avait encore jamais réussi à obtenir plus de 93% des sièges d’une région. Certaines réélections sont extrêmement remarquables, notamment dans la très chic province de l’Otmo, connue pour ne presque jamais réélire les élus sortants.

La direction régionale du parti UNI, bien moins ouverte à la coalition que d’autres directions locales, a limité au strict minimum les investitures indirectes à d’autres candidats. Le parti n’a pas présenté de candidats dans seulement 8 circonscriptions, une a été accordée à Liberté au Roto et 7 autres aux Capitalistes : 3 au Roto, 2 à Bergvess, une à Carden et une dernière à Helrava. A chaque fois il s’agissait de sortant historiquement bien implanté et ayant largement soutenu le parti depuis de nombreuses années. Il faut donc remarquer qu'UNI a réalisé un "grand chelem" dans l'Otmo, 9 députés, et à Mossness, 13 sièges.

Il faut d’ailleurs remarquer que plusieurs sortants Liberté ou Capitalistes, parfois très favorables au gouvernement fédéral ont été sèchement battus par des candidats UNI, parfois novice en politique ou alors très peu connus au niveau local. Cela marque d’autant plus l’emprise toujours plus grandissante du grand parti “techno libéral” sur la région des bulbes.

Les forces de gauche, malgré de nombreuses alliances, ne parviennent presque jamais à dépasser les 10%. Pire dans la province du Roto, où le seuil de remboursement public de la campagne électorale est fixé à 3% par le Commissariat de la Reine, seul 2 candidates sur 54 se verront rembourser leur campagne, les partis ont été obligé de lancer plusieurs cagnottes pour recouvrir les dettes d’une coûteuse et catastrophique campagne.
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Baden :

Le Baden confirme être une des régions les plus à droite du royaume. Ainsi, les Capitalistes à eux seuls ont remporté près de 50% des sièges de la région, 54/109. Le Parti Liberté, en mauvaise forme dans tout le pays, réussit à conserver 10 sièges, principalement à Middlesborough, province réputée pour son conservatisme parfois plus que radical. Les Rounnais conservent d’ailleurs leurs 4 sièges dans la banlieue de WeissBorer et les quelques villages évangéliques de Ruthoram.

Malgré leurs réputations, Middlesborough et Mossley “offrent” 3 députés aux Verts, au détriment des Socialistes qui conservent un unique siège dans les quartiers étudiants de WeissBorer. Avec moins de 4% des sièges, la gauche badenoise a presque été autant exterminée qu’en Ckey, malgré des sondages plus qu’encourageant, qui se sont finalement révélés erronés, surtout dans WeissBorer. Dans les deux mêmes provinces que les Verts, l’Union des Pirates remporte deux sièges, au détriment des Socialistes. Les deux élus ont annoncé vouloir siéger en indépendant.

Enfin, UNI, qui a fait cavalier seul, a remporté plus de 30% des sièges, plus exactement 35 sur 109, marque une belle percée dans ce bastion des idées radicales. Il faut toutefois remarquer que la majeure partie des gains se sont fait dans la capitale ducale WeissBier autant au détriment de la gauche que des partenaires de la collation, voire de l’extrême droite.
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