Le secrétaire général, Lorenzo Geraert-Wojtkowiak, s'était déplacé à l'aéroport international de Lyonnars. L'intégralité de l'aéroport avait été placé sous contrôle militaire, le temps que l'avion en provenance de Saint-Marquise arrive puis reparte. Plusieurs véhicules blindés militaires avaient étés mobilisés, et on pouvait les croiser en face de l'aéroport. Ces véhicules blindés les suivraient dès que le secrétaire général partirai avec la représentante Saint-Marquoise, la Présidente de la République de Saint-Marquise, Isabelle Deprey.
Le drapeau Saint-Marquois avait été hissé en face de l'aéroport et au côté du drapeau Loduarien marqué du marteau et de la faucille, les deux drapeaux flottants au vent.
Un chœur de l'armée se tenait prêt à accueillir les représentants Saint-Marquois, et l'hymne national de la République de Saint-Marquise, qui avait été préparé depuis quelques jours déjà.
Par mesure de précaution, deux avions de chasse de type Sukhoï-Su7 allaient escorter l'avion Saint-Marquois à son entrée dans l'espace aérien Loduarien. De nombreux soldats avaient étés mobilisés, afin de garantir la plus grande sécurité pour assurer le bon déroulement de cette rencontre diplomatique historique.
En effet, c'était la première fois depuis 20 ans au moins que la Loduarie dans toute son histoire n'avait pas accueilli de rencontre diplomatique sur son sol. Rencontre diplomatique, qui plus est, concernait un membre de l'Organisation des Nations Commençantes, contre qui la Loduarie avait prit de sévères mesures. La position et les conditions de la Loduarie étaient simples, et Lorenzo espérait que cette rencontre aboutirait à un accord commun voit même à un apaisement des tensions entre la Loduarie et le reste de L'ONC.
Cette rencontre promettait au mieux un bon avenir.
Le secrétaire général reçu une communication : l'avion de Saint-Marquise approchait de l'aéroport et allait se poser.