21/02/2015
17:14:48
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Activité militaire

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Le Département de la Défense Nationale est le plus éloigné du pouvoir central des départements de Maronhi. Il est situé dans le Quartier Aritawa, zone protégée dans la banlieue d'Ukabumachi, sur l'île d'Urawa (#11160). Le Département est chargé de l'administration de la puissance militaire du pays, de la défense de sa population et de la formation aux armes des Maronhiens. Il comprend notamment l'Armée de Terre, de Mer et de l'Air. Les Bureauxdes Polices sont quant à eux sous l'autorité du Département de la Sécurité Intérieure. Les armées sont sous la tutelle du chef du Département de la Défense Nationale, le bukegashira Masayu IKANAGA, mais sous l'autorité directe de la Gran Man qui détient également un titre de bukegashira du fait de sa détention du grand mandat mannal.
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Chant : La promesse du gardien


Ainsi jouaient les Hommes de naguère,
Pour louer le courage de nos pères,
Sur les chemins ruinés de la guerre.
...

Quand le doute vient troubler nos prières,
Quand la route n'offre plus de repère,
Ils font crier leurs cris de colère.
...

Et du ciel où je levais les bras,
Rugissant leur millier de voix,
Ils ont chanté depuis depuis l'au-delà.
...

Et mon cœur prisonnier de l'orage,
A puisé la force et le courage,
Au plus profond de leur chant de rage.
...

Je suis le vent,
Je suis le chant,
Je suis leur enfant !


En créole maronhien :Kono yō ni mukashi no hito o enjita,
Senzo no yūki o tatae,
Sensō no kōhaishita-dō de.
...
Utagai ga watashitachi no inori o samatageru toki,
Dō no mejirushi ga nakunattara,
Karera wa ikarinosakebi o agemashita.
...
Soshite ude o ageta sora kara,
Sen no koe o todorokase,
Karera wa zutto mukō kara utatte imasu.
...
Soshite arashi no toraware no kokoro,
Ryoku to yūki o hikidashi,
Karera no ikari no uta no okufukaku de.
...
Watashi wa kaze,
Watashi wa utadesu,
Watashi wa karera no kodomodesu!

"Fils de Maronhi, battez les tambours !", affiche officielle, 1963.
"Fils de Maronhi, battez les tambours !", affiche officielle, 1963.
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- TRAVAUX PUBLICS -

« Suite à la rencontre entre les Communes Unies du Grand Kah et la République Nationale-Socialiste de Maronhi, les génies militaire et civile ont été saisis par le Gouvernement pour étudier la construction d'un pont sur le fleuve Yawara avec l'aide des responsables kah-tanais, ainsi que pour la mise en place de plateformes logistiques standardisées à Iwako permettant de faire transiter les trains d'un côté à l'autre de la frontière. »
Extrait du Kongoinko, Journal national maronhien.

Officiers du génie, région d'Iwako dans la province de Hué.
Officiers du génie, région d'Iwako dans la province de Hué.
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Serment : Je ne déshonorerai pas

誓い

  • « Je ne déshonorerai pas mes armes et je n'abandonnerai pas mes compagnons, là où je serai au front ; je défendrai les lois divines et humaines et je ne laisserai pas à ma mort ma petite et ma grande patries amoindries mais plus dignes et plus prospères, dans la mesure de mes forces et avec l'aide de tous.

  • J'obéirai à ceux qui gouvernent avec sagesse et à ceux qui commandent avec fermeté, aux lois établies ainsi qu'à celles qu'ils établiront par la suite. Si quelqu'un veut les détruire, je ne lui permettrai pas, dans la mesure de mes forces et avec l'aide de tous ; j'honorerai mes pères et les cultes de mes pères.

    Que soient témoins de ce serment les dieux, les esprits, les bouddhas, les ancêtres, les bornes de la patrie ; les fleuves, les piques des cieux et le grand bois.

    Nous-mêmes ou la Mort, nous vaincrons ! »

Engagés maronhiens de la province de Jingyu, photographie, 2002.
Engagés de la province de Jingyu, photographie, 2002.
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État-major de la République Nationale-Socialiste de Maronhi
ÉTAT-MAJOR DE MARONHI



Rapport Militaire sur les Exercices Navals Conjoints avec le Burujoa

Du 1er au 10 avril 2010, la marine impériale burujoise et la veille aérienne ont mené des exercices conjoints avec la marine nationale de Maronhi dans le golfe de Biwa, les eaux nationales de la République et internationales au couchant du Paltoterra. Les exercices avaient pour but d'améliorer l'interopérabilité des deux marines, de renforcer les relations bilatérales et de maintenir la stabilité régionale. La première phase des exercices a duré trois jours et était axée sur la formation et les manœuvres de base, tandis que la deuxième phase a duré quatre journées et était centrée sur des opérations de combat simulées dans des environnements variés. Les opérations de la deuxième phase comprenaient des opérations de lutte contre la piraterie, de patrouille et de surveillance côtière, ainsi que des opérations de défense aérienne et de lutte anti-sous-marine. Les résultats ont été positifs, avec une bonne interopérabilité entre les deux marines, bien que nos corvettes aient montré des limites plus rapidement que la corvette burujoise lors des exercices de lutte anti-aérienne. En résumé, les exercices ont permis de renforcer la coopération et la coordination entre les deux flottes.
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Note du Conseil à la Stratégie et à la Sécurité.

Au porteur du grand mandat mannal.

Du recrutement au sein de nos armées :

Après observation approfondie des méthodes de recrutement en vigueur au sein de nos forces armées, il est de notre avis que la décision prise de réduire les effectifs de conscrits au profit d'une professionnalisation accrue de nos forces est judicieuse. Cette transition vers une armée plus spécialisée, formée et dédiée, avec l'aide et le concours du commandement impérial burujois, s'est avérée être un moyen efficace d'accroître la qualité et la réactivité de nos troupes, en particulier lors des dernières expéditions punitives sur les camps d'orpailleurs illégaux.

Par ailleurs, nos observations tiennent compte des progrès technologiques et techniques qui ont considérablement transformé la nature des opérations militaires. La professionnalisation des effectifs militaires s'inscrit dans cette dynamique de modernisation, offrant une réponse adéquate aux besoins actuels de défense et de sécurité.

Nous recommandons également d'envisager une diminution des effectifs globaux, en alignement avec les tendances internationales. Les différentes armées de pointe, grâce à leur professionnalisation et aux avancées technologiques, ont démontré une capacité accrue à opérer efficacement avec des troupes mieux formées et plus spécialisées.

Par ailleurs, notre attention s'est portée sur le recrutement au sein des classes guerrières traditionnelles, notamment chez celle dite des "jizamuraïs". Nos observations soulignent la qualité exceptionnelle des militaires issus de ces classes. Leur formation rigoureuse, leur dévouement ancestral à la discipline et à l'honneur militaire font d'eux des atouts majeurs pour nos forces armées. Nous préconisons donc de favoriser les mesures menant à renforcer la part de ces classes guerrières dans le processus de recrutement, reconnaissant ainsi leur rôle crucial dans la préservation de la sécurité et de la stabilité du territoire national.

Nous restons à votre disposition pour discuter de ces conclusions et sommes prêts à mettre en œuvre toutes les directives que vous jugerez appropriées.



Conseil à la Stratégie et à la Sécurité.
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Serment : Je n'ai pas

誓い

  • « Je n'ai pas de parents, je fais des cieux et de la terre mes parents.
  • Je n'ai pas de demeure, je fais du dantian ma demeure.
    Je n'ai pas de pouvoir divin, je fais de mon honnêteté mon pouvoir divin.
    Je n'ai pas de fortune, je fais de ma docilité ma richesse.
    Je n'ai pas de pouvoir magique, je fais de ma personnalité mon pouvoir magique.
    Je n'ai ni de vie ni de mort, ma vie et ma mort ne font qu'un.
    Je n'ai pas de corps, je fais de ma constance mon corps.
    Je n'ai pas d'yeux, je fais de l'éclair mes yeux.
    Je n'ai pas d'oreilles, je fais de ma sensibilité mes oreilles.
    Je n'ai pas de membres, je fais de ma promptitude mes membres.
    Je n'ai pas de lois, je fais de mon autodéfense ma loi.
    Je n'ai pas de stratégie, je fais du droit de tuer et de protéger ma stratégie.
    Je n'ai pas de dessein, je fais de la saisie instinctive de l'occasion mon dessein.
    Je n'ai pas fait de miracle, je fais du respect de la loi mon miracle.
    Je n'ai pas de principes, je fais de mon adaptation en toutes circonstances mon principe.
    Je n'ai pas de tactique, je fais de la vacuité et de la plénitude ma tactique.
    Je n'ai pas de talents, je fais de mon esprit prêt à réagir mon talent.
    Je n'ai pas d'amis, je fais de mon esprit mon ami.
    Je n'ai pas d'ennemis, je fais de l'imprudence mon ennemi.
    Je n'ai pas d'armure, je fais de ma bienveillance mon armure.
    Je n'ai pas de forteresse, je fais de mon esprit inébranlable ma forteresse.
    Je n'ai pas de sabre, je fais de mon non-être mon sabre. »

Engagés maronhiens de la province d'Ogata, photographie, 2013.
Engagés de la province d'Ogata, photographie, 2013.
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- TRAVAUX PUBLICS -

« Après le service de travail obligatoire du système pénitentiel, le modèle maronhien de "corvées au service armé", visant à développer le roulement des réservistes aux travaux d’intérêt national, devient le deuxième plus grand acteur de l’indépendance alimentaire des contrées enclavées. »
Extrait du Kongoinko, Journal national maronhien.

Réservistes des "corvées au service armé", région de Manawaliyapo dans la province du Jingyu.
Réservistes des "corvées au service armé", région de Manawaliyapo dans la province du Jingyu.
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Note du Conseil à la Stratégie et à la Sécurité.

Au porteur du grand mandat mannal.

De l'adaptation de La Voie des Cinq Roues :

Dans la droite lignée de l'application des enseignements des stratèges classiques à la doctrine militaire contemporaine de Maronhi, la Voie des Cinq Roues d'Ishino Hirayuki semble offrir de précieux principes pour affiner notre approche stratégique et opérationnelle. Cette note vise à explorer les moyens d'intégrer ces principes au sein de nos forces armées afin de renforcer leur efficacité et leur adaptabilité.

Les enseignements de la Roue de la Terre soulignent l'importance de solides fondations et de la connaissance du terrain. Nous recommandons de renforcer la formation tactique et stratégique en intégrant des modules spécifiques, basés sur les stratégies d'Hirayuki notamment, dans les programmes de formation pour tous les niveaux de commandement. De plus, nous encourageons le développement d'une cartographie et de scénarios avancés ainsi que l'utilisation des dernières technologies de cartographie pour élaborer lesdits scénarios et former les troupes à réagir efficacement en fonction du terrain. Constituer des unités d'élite capables de s'adapter rapidement aux différents types de terrains et situations, en partenariat avec divers pays dans des camps d'entraînement spécialisés - à l'image de ce qui a été récemment institué par un accord maronho-burujois entre le Vomogorod et le Grand Bois - nous assurerait déjà une formation tactique nécessaire à l'appréhension d'éventuelles interventions armées en dehors du territoire national.
Les enseignements de la Roue de l'Eau soulignent la flexibilité et l'adaptabilité dont doivent faire preuve les combattants, aussi bien en tant que personnes que corps armés. Nos forces doivent être capables de s'adapter rapidement aux changements de situation. Pour cela, il nous faudrait développer la formation en pensée adaptative, encourager une culture de flexibilité dans les unités de combat, passant par exemple par des exercices réguliers simulant des conditions plus variables et imprévues que ne l'ont été les exercices traditionnels jusqu'ici. Une autre mesure en ce sens pourrait concerner une éventuelle décentralisation du commandement et chercherait à promouvoir une structure de commandement plus décentralisée pour permettre une réactivité accrue sur le terrain, permettant aux unités locales de prendre des décisions rapides. Finalement, d'un angle plus global, il nous faut par dessus tout encourager une culture où la flexibilité, l'adaptabilité et l'innovation sont valorisées et intégrées dans nos doctrines militaires.
L'application enseignements de la Roue du Feu pourrait passer par une amélioration des capacités de frappe rapide, spécifiquement en mettant davantage l'accent sur les unités d'intervention rapide et les forces spéciales. Une formation à l'offensive stratégique permettrait aussi de nous assurer d'une professionnalisation de nos corps armées, passant par le développement de programmes intensifs - notamment par les camps d'entraînement spécialisés étrangers - pour maximiser l'impact des opérations initiales et déstabiliser l'ennemi dès les premières phases d'un conflit.
Les enseignements de la Roue du Vent sont ceux de l'amélioration des capacités de renseignement et de l'étude comparative des stratégies. Il s'agirait dans le premier cas de renforcer les capacités de renseignement, de surveillance et de reconnaissance (ISR) pour anticiper les mouvements ennemis et adapter les stratégies en conséquence ; et dans le second, d'instaurer des analyses régulières et systématiques des doctrines militaires étrangères - en établissant par exemple un réseau de renseignement structuré - pour comprendre les forces et faiblesses potentielles de ceux-ci.
Finalement, les enseignements de la Roue du Vide nous poussent à encourager l'innovation et la créativité, à favoriser un environnement où l'innovation et la pensée créative sont encouragées, permettant aux officiers de développer des stratégies non conventionnelles, comme il le fut pour les derniers seigneurs de guerre qui s'opposèrent au président Nakamura et à ses alliés. Si la mise en place de cellules de réflexion dédiées à la stratégie sont déjà sur pieds, il nous faut pousser le mouvement, notamment par l'établissement d'une ou plusieurs académies de stratégies évolutives comme il en a été décidé pour la guerre économique, et regroupant des experts en différentes disciplines pour concevoir des approches novatrices. Instituer des mécanismes d'évaluation continue des stratégies militaires, assurant leur pertinence et efficacité face aux menaces émergentes, serait un moyen certain de pousser à l'auto-critique de nos capacités et de pallier le plus rapidement possible à tous nos éventuels manquements sur la voie de la réussite et de la victoire.

Nous restons à votre disposition pour discuter de ces recommandations et pour élaborer les étapes concrètes de leur mise en œuvre.



Conseil à la Stratégie et à la Sécurité.
3372
État-major de la République Nationale-Socialiste de Maronhi
ÉTAT-MAJOR DE MARONHI



Rapport Militaire sur les Résultats des Premiers Entraînements des Forces Spéciales au Vomogorod

Ce rapport a pour objectif de présenter les résultats préliminaires des entraînements des forces spéciales de Maronhi dédiées aux opérations en climats hivernaux. Ces exercices ont été menés au camp Washi, situé dans la région nazumie du Vomogorod, réputée pour ses conditions hivernales rigoureuses. Le camp Washi offre un environnement idéal pour tester les capacités de nos forces dans des conditions de froid extrême. Les températures ont oscillé pour cette saison hivernale entre -15°C et -25°C, avec des chutes de neige fréquentes et des vents violents, recréant aussi fidèlement que possible un terrain opérationnel réaliste pour des missions hivernales auxquelles devront potentiellement faire face nos troupes d'intervention à l'étranger. Les principaux objectifs de ces premiers entraînements étaient l'évaluation de la résistance physique et mentale des troupes en conditions extrêmes, l'évaluation de l’efficacité de l’équipement et des vêtements hivernaux récemment acquis auprès des corps armés locaux de l'Empire Burujoa, le développement de tactiques de survie et de combat spécifiques aux environnements neigeux et glacés, ainsi que l'amélioration de la mobilité et de la coordination des unités en terrain difficile.

Les entraînements ont inclus trois phases principales, la première ayant consisté en l'appréhension des techniques de survie en environnement hivernal - la construction d’abris ou la gestion de l’hypothermie par exemple - et l'adaptation physiologique et psychologique aux conditions de froid extrême. La deuxième phase s'est ensuite composée en divers exercices de déplacements en raquettes et skis, puis en véhicules chenillés et motoneiges. Enfin, la troisième et dernière phase a été composé en diverses simulations de combat en conditions de faible visibilité, à l'adaptation aux techniques de camouflage en milieu enneigé et en exercices de coordination des mouvements et communications en situation de tempête de neige.

Visiblement, selon les premières observations de nos rapporteurs sur place, les soldats ont démontré une résistance impressionnante aux conditions extrêmes de cette région burujoise, bien que certains éléments aient montré des signes de fatigue et de stress après plusieurs jours d’entraînement continu. L’adaptation initiale aux températures très basses a pris plus de temps que prévu, mais les techniques de survie ont été maîtrisées efficacement dans leur ensemble. Les équipements hivernaux, c'est-à-dire les vêtements thermiques et les outils de navigation, se sont révélés efficaces sur le terrain ; quelques améliorations sont toutefois recommandées pour optimiser la chaleur et la mobilité avant d'être déployés en situation réelle. Les véhicules spécifiquement conçus pour les environnements neigeux ont bien performé, malgré quelques incidents techniques mineurs. Les techniques de combat et de déplacement en neige ont nécessité des ajustements continus ; les unités ont progressivement amélioré leur coordination et leur réactivité. Finalement, le camouflage hivernal a été particulièrement efficace et a permis des approches furtives et des embuscades réussies.

Pour la suite, nous recommandons de poursuivre les entraînements hivernaux pour renforcer l’endurance et l’efficacité des troupes, de procéder à des ajustements mineurs sur les vêtements et les outils de survie pour améliorer leur performance, d'investir dans l'acquisition ou la recherche de technologies spécifiques pour les opérations en milieu hivernal, et d'améliorer les chaînes d’approvisionnement pour garantir un soutien logistique fiable en conditions hivernales extrêmes.
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- ACQUISITION -

« La Maronhi a récemment renforcé sa flotte navale avec l'acquisition d'un sous-marin lanceur d'engins de sixième génération auprès de l'Empire Burujoa. Cette transaction s'inscrit dans le cadre des accords de spécialisation de la recherche en technologies militaires et d'échanges stratégiques, visant à renforcer les capacités défensives des deux États par l'optimisation des ressources respectives. Ce partenariat temporaire permet de maximiser le temps de recherche et développement dans le domaine des technologies militaires, tout en renforçant les liens diplomatiques entre les deux puissances. »
Extrait du Kongoinko, Journal national maronhien.

Sous-marin lanceur d'engins, Le Scintillant.
Sous-marin lanceur d'engins, Le Scintillant.
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