27/02/2015
02:46:54
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Recherche de terres arables

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Appel d'offres à l'international : recherche de terres arables
Cet appel est envoyé au nom de la République Directe du Banairah, les achats seront donc d'ordre public.

Le Banairah est un pays en majorité désertique ou semi-désertique : seules les terres de la côte jusqu'à la montagne sont fertiles et naturellement irrigées, du moins pour la région. Au-delà de la Chaîne des Mortels, les déserts caillouteux et sablonneux sont maîtres. Le travail des cultivateurs puis des chercheurs a abouti à l'obtention de nouvelles exploitations, souvent organisées autour d'oasis, cependant leurs rendements sont plus faibles car nécessitant une plus importante main d'œuvre. Leur valeur sociale et environnementale est élevée, ce qui fait que leur modèle est encore conservé et promu dans le pays, mais elle ne peut pas garantir à elle seule la souveraineté alimentaire du pays en cas de catastrophe météorologique régionale telle que des tempêtes de sable par exemple, ou technologique comme la pollution de l'eau de mer acheminée après dessalement vers les cultures. C'est pour cela que le Banairah ouvre un budget d'achat de terres arables à l'étranger afin de sécuriser ses apports en nourriture de première nécessité, ou d'y installer des cultures plus spécifiques qui n'ont pas leur place dans le pays, ce dernier ne disposant que d'une place limitée. Les récoltes étant destinées pour la plupart à irriguer le marché national, il est préférable que les pays vendeurs disposent d'un accès à la mer ou d'infrastructures de transport. Néanmoins dans le cas d'une proposition intéressante (bon emplacement, grandes parcelles, proximité, fertilité,...), le Banairah peut faire appel à ses entreprises privées pour financer à ses frais la construction d'infrastructures qui bénéficieront au pays-hôte : routes, espaces de stockage en port, quais... et ce selon la rentabilité des parcelles et la sécurité alimentaire qui en est apportée. Si le Banairah préfèrerait des terres relativement proches (Leucytalée, Nazum de l'Ouest, côtes afaréennes de l'Est principalement), il est ouvert à toute proposition.

Si intéressé(e), veuillez décrire votre proposition sous les volets proposés ci-dessous afin d'aiguiller au mieux les services d'achat de la République.

[b]Nom du vendeur :[/b]
[b]Nom du pays originaire :[/b]
[b]Localisation des terres :[/b]
[b]Surface (en hectares) :[/b]
[b]Qualités nutritives, d'exposition et d'irrigation du sol, pollutions éventuelles :[/b]
[b]Accès éventuel aux infrastructures et/ou à la mer :[/b]
[b]Historique d'utilisation (non obligatoire mais recommandé) :[/b]
[b]Prix et conditions de vente proposées :[/b]


Le paiement se fera en Bilats d'or, monnaie nationale du Banairah, cependant des dispositions éventuelles peuvent être mises en place en cas de problème monétaire. Le service d'achats de la République tient également à préciser que le pays vendeur, ou du moins s'il s'agit d'une collectivité publique, peut demander un investissement matériel en tant que rétribution ou en tant que condition de vente. Le service d'achats étudiera la demande selon la rentabilité des terres proposées. Par historique d'utilisation, le service d'achats entend l'occupation du sol proposé à la vente durant les vingt dernières années. Ce volet est facultatif et les vendeurs sont libres d'adapter le formulaire à leur proposition, cependant l'accès à ces données aiderait le services d'achat à concevoir l'exploitation des terres en cas d'acquisition, ce qui rend la proposition plus attirante pour le service. Pour toute question concernant la procédure et ses modalités, ou les projets de la République concernant les parcelles agricoles concernées, le service d'achats du Ministère de l'Agriculture se tient à disposition en ce canal ou par le biais du Ministère des Affaires Extérieures.

Vous remerciant d'avoir étudié notre appel d'offres,

Le Service d'Achats du Ministère de l'Agriculture du Banairah.
Explication HRPKentsa a écrit :En un mot comme en cent, je vous propose de vous payer en points de développement des terres arables présentes dans votre pays ou dans un autre pays et dont vous auriez le titre foncier. Il s'agit que de terres inRP et bien évidemment pas de provinces, c'est donc tout gagnant pour vous : vous gagnez des points de dev en répondant à cet appel, en recevant une réponse positive (je serai pas trop exigeant tant que votre rp est détaillé et donc que j'ai de quoi écrire dessus) et même éventuellement en recevant chez vous des travaux d'infrastructures possiblement traduits en points de développement ! Et en plus vous avez de multiples sujets de RP à discuter, et moi aussi par ailleurs. Concernant d'éventuelles craintes d'ingérence, je vous rassure tout de suite, ce n'est pas le but, même si les transactions pourraient aider à l'ouverture ou à l'approfondissement de relations diplomatiques entre votre pays et le mien. Si vous voulez avoir des précisions, vous pouvez me contacter sur discord mais je suis plus présent sur le forum donc en rp c'est mieux ! Merci d'avance pour les réponses :D
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Nom du vendeur : Ministère de l’Agriculture
Nom du pays originaire : Travie

Localisation des terres :
La Plaine (aussi appelée « La Plaine du Vide » est une région s’étalant sur plusieurs cantons dans le Sud-Ouest de la Travie (cf. carte)

Surface en hectares : 8 000 hectares peuvent être mis à disposition.

Qualités nutritives, d'exposition et d'irrigation du sol, pollutions éventuelles :
La terre est jugée d’assez bonne qualité et aucun risque particulier de pollution n’est signalé. Les caractéristiques du terrain (sol, exposition, irrigation) permettent de bons rendements.
Le risque de sécheresse est présent en été et des restrictions de l’usage de l’eau peuvent être imposées. Dans ce cas, le Ministère met tout en ouvre pour assister les agriculteurs.

Accès éventuel aux infrastructures et/ou à la mer :
La Plaine est entourée des autoroutes A1, A3 et A4. Si un accord est trouvé, une autoroute traversant cette zone pourra être construite. Il en va de même pour le réseau ferroviaire.
De par sa situation géographique, la Travie n’a pas un accès direct à la mer. Néanmoins, nous notons la possibilité d’une exportation maritime via :
• Le Royaume-Soudé, pays frontalier et disposant d’un accès maritime
• Fortuna, pays frontalier et disposant d’un accès maritime également
• Eventuellement via notre zone franche portuaire en Clovanie
De plus, vous pouvez remarquer la présence de deux aéroports aux alentours de la Plaine.
Notons également la possibilité de prolonger les axes de transports actuels vers les pays frontaliers afin de bâtir une liaison maritime.

Carte des Infrastructures de transport

Historique d'utilisation :
La Plaine est une zone géographique à faible dynamisme économique. Cette région est historiquement constituée de terres agricoles appartenant à de petits producteurs.
La production est majoritairement céréalière et des oléo protéagineux, bien que l’on puisse trouver quelques cultures de pommes de terre.

Prix et conditions de vente proposées :
La Travie peut offrir un régime fiscal avantageux concernant les produits et les sociétés agricoles qui s’implanteront sur le territoire.
Remarquez que la Travie a interdit l’utilisation d’Organismes Génétiquement Modifiés ainsi que l’utilisation de plusieurs pesticides.
Concernant les redevances, elles s’établissent comme suit et peuvent être bien entendu négociées. Nous pourrons discuter des conditions lors d’une rencontre, durant lequel toutes les clauses seraient pensées.
Note importante : cette grille tarifaire peut faire l’objet de larges modifications si vous vous engagez à participer au développement d’infrastructures sur notre sol.

- Part fixe : 5 000 points - Annulée
- Part variable : 2 000 points/hectares - Réduction à 2 points/hectare
- Redevance annuelle : 2 000 points - Annulée

• Le payement de la part fixe peut s’échelonner sur 3 mois.
• Le payement de la part variable peut s’échelonner sur 6 mois.
• La redevance annuelle sera perçue chaque année à la date que vous souhaitez.

Conclusion :
Nous voyons dans votre projet la possibilité de trouver un accord commun qui permettrait de trouver des solutions pour chacun :
- Pour vous, a possibilité de cultiver des terres arables.
- Pour nous, la possible redynamisation de cette région.

Afficher des photographiesLa Plaine
La Plaine
3815
Service d'achats du Ministère de l'Agriculture au Banairah (logo)

Missive de réponse à l'offre de vente du Ministère de l'Agriculture de Travie

Chers confrères eurysiens,

Nous vous écrivons pour accuser réception de votre offre qui nous intéresse fortement. La région de la "Grande Plaine" semble effectivement un endroit idéal pour la culture céréalière, et donc pour la fabrication de pain et autres denrées alimentaires de première nécessité assurant la sécurité alimentaire du pays. Nous sommes également satisfaits de la possibilité de connexion avec la mer via des partenaires fiables reconnus dans le monde du commerce. Dans le cas d'un achat des terres de cette région, le Ministère supervisera la culture de plantes céréalières non OGM comme demandé par la réglementation en vigueur et s'adaptant au climat sujet à la sécheresse occasionnelle. En cela, l'expérience de notre pays en la matière nous sera fort utile puisqu'il possède, en plus de cultivateurs talentueux, des semences sélectionnées (sans ingéniérie génétique nous vous rassurons) à travers les siècles pour leurs besoins frugales en eau et leurs feuilles moins sujettes à la transpiration foliaire. Le Ministère envisagera également la possibilité d'une culture sous agroforesterie, et ce selon d'éventuels gains de productivité économique ou de production alimentaire, dans une partie puis potentiellement la totalité des parcelles. La production de bois pourra être également revendue localement, au Banairah ou à l'international. Quoiqu'il en soit, la naissance d'une exploitation de bois couplée à la production céréalière pourra redynamiser la région et apporter des emplois dans ce secteur : bûcherons, artisans du bois, logisticiens, ... Les entreprises de transformation agroalimentaire banairaises pourront s'implanter pour transformer le produit sur place et ainsi exporter un produit fini moins sujet à la dégradation durant le transport, apportant ainsi des emplois supplémentaires.

Néanmoins, malgré tout l'intérêt que nous portons à cette proposition, une clause de paiement annuel nous chagrine quelque peu. Notre but étant bien-sûr d'apporter une nourriture accessible aux Banairais même en cas de pénurie sur le marché, payer chaque année pourrait nous compliquer la tâche. Le prix de 2 000pts/hectare nous semble également difficilement atteignable : 8000 hectares correspondraient à 16 000 000pts au total, à savoir un budget suffisant pour construire plus de 5 000 complexes industriels civils ! Même les plus grandes puissances de ce monde n'ont pas ce parc immobilier construit, et aucune ne pourrait le construire. Avec une telle somme, le Ministère pourrait aisément financer une campagne industrielle de grande ampleur qui fournirait à elle seule les aides nécessaires à l'achat au plus bas prix de denrées alimentaires pour les bientôt 26 millions de Banairais présents sur notre sol. Nous comprenons toutefois que votre administration ait pu faire une erreur de copiage et considérons de toute manière vos terres comme de grande valeur, mais nous vous incitons à considérer les prix du marché mondial ainsi que l'afflouement de capitaux et d'emplois qui résulterait de la vente dans votre calcul de prix. Nous sommes donc tout ouï pour votre éventuelle contre-proposition. En l'attente, en échange d'un prix plus raisonnable et si possible exempté de redevance annuelle, nous vous proposons en remplacement un engagement officiel du Ministère à investir dans la région, c'est-à-dire à financer des constructions dans la région comme par exemple des routes, centrales électriques ou châteaux d'eau qui bénéficieront grandement à la Grande Plaine. Nos supérieurs peuvent également, s'ils approuvent notre démarche, entamer des négociations avec vos voisins afin de se coordonner sur le développement des régions frontalières, et ainsi aider à désenclaver la Travie. Le Banairah sera pour ainsi dire un intermédiaire de négociation fort utile et posera les bases d'une économie florissante tournée vers l'extérieur pour les prochaines années.
Le service d'achats est par ailleurs tout à votre disposition pour toute question, contre-proposition ou demande de rencontre pour une négociation précise des prix, qui pourra s'effectuer sur votre sol ou sur le nôtre, ou encore à distance via visio-conférence ou appel téléphonique.

Sincèrement,

Le service d'achats du Ministère de l'Agriculture.
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Nom du vendeur : Syndicat des régies agricoles municipales kénètes
Nom du pays originaire : Kénétie
Localisation des terres :


Surface (en hectares) : 3210 hectares (au total)
Qualités nutritives, d'exposition et d'irrigation du sol, pollutions éventuelles : La Kénétie est un pays fortement irrigué et est connue dans le monde entier pour être entouré d’eau en dépit de son absence d’accès à la mer. Les terres sont de fait particulièrement fertiles, mais aussi sujettes à des inondations occasionnelles. Ce risque est très bien intégré par les agriculteurs kénètes, et des agronomes pourront apporter leur expertise aux Banairais qui loueront les terres. Par ailleurs, le pays est particulièrement plat et dispose peu de relief accidenté, ce qui facilite l’exploitation agricole.

Accès éventuel aux infrastructures et/ou à la mer : La Kénétie ne dispose pas d’accès direct à la mer, mais reste un pays bien desservi en infrastructures ferroviaires et fluviales. En cas d’acceptation de la candidature, le Syndicat s’engage à trouver une solution avec ses voisins pour acheminer les produits.

Historique d'utilisation (non obligatoire mais recommandé) : Le Syndicat est un regroupement de coopératives agricoles fonctionnant sous le principe de la régie municipale, c’est-à-dire que les municipalités louent des terres dont elles sont propriétaires (contre un loyer symbolique) à des exploitants qui leur vendent les fruits de leurs récoltes en priorité. Cette régie municipale permet d’assurer l’autonomie alimentaire dans les municipalités adhérentes. Ces municipalités sont exclusivement de gauche, et elles détiennent un surplus de terres qu’elles peuvent mettre à disposition au Banairah.

Les terres agricoles ne sont pas contiguës, puisque des municipalités de toute la Kénétie rejoignent le Syndicat sur des bases idéologiques, et non géographiques.

Prix et conditions de vente proposées : Le Syndicat est disposé à louer ses terres, à condition que les exploitants banairais adoptent enregistrent leur activité comme coopérative, et suivant par conséquent les principes coopératifs. Le but étant de promouvoir la viabilité de ce modèle économique, qui construira l’avenir de la Kénétie. Le loyer annuel est symbolique : 1 point par hectare.

Le Syndicat privilégie la location. Il est néanmoins possible d’acquérir ces terres pour un montant de 10 points par hectare. Ce prix d'achat reste négociable.
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Nom du vendeur :AgriServ
Nom du pays originaire :Le Saint Empire Karpok Unifié
Localisation des terres :Province de Vlowdiev

Surface (en hectares) :10 000 Hectares (culture céréalière) et/ou 5 000 Hectares (culture agricole variée)
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Localisation géographique des deux lots


Terre exposition sud sud-ouest pour le « lot 1 », exposition ouest pour le lot 2 :
Accès éventuel aux infrastructures et/ou à la mer :Les 2 lots peuvent être desservis facilement avec un accès au port de Vlowdiev. Le Lot 1 se trouve très proche des infrastructures portuaires, le lot 2 peut être desservis grâce, notamment, à un réseau routier nouvellement créé.
Nous ajoutons, au-delà des commodités de logistique exogène à l’Empire, la situation géographique de nos deux nations faciliterait votre logistique de transport et de la sécurité de celui-ci

Historique d'utilisation (non obligatoire mais recommandé) :Lot1 : culture céréalière d’anciennes productions communautaires expropriées par la Province et gérée désormais par l’entreprise d’État AgroServ. L’utilisation de pesticides est raisonnée. La culture céréalière de l’Empire a été réimplantée plus au nord.
Lot2 : culture de légumes et culture maraichère. Là aussi par soucis d’optimisation nationale, ces cultures ont été délocalisées.

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Champ de culture céréalière (photo réalisée il y a 2 années) Lot1


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Culture de choux Lot2

Prix et conditions de vente proposées : L’Etat de Saint Empire Karpokien par l’intermédiaire de l’entreprise AgroServ propose les conditions suivantes : Ces deux lots sont proposés sous forme de concession à raison de :
Lot1 : 16 000 pts de droit d’entrée + 5000 pts à l’année
Lot2 : 12 000 pts de droit d’entrée + 3000 pts à l’année
Le bail des concessions est de 3 ans renouvelables tacitement sauf volonté contraire d’une des deux parties.
Par ailleurs, Le Banairah dans l’optique d’acceptation, s’engage à poursuivre une agriculture raisonnée en ce qui concerne l’utilisation de pesticides et autres produits phytosanitaires. Un contrôle du respect de ces conditions peut être effectué par l’intermédiaire de l’entreprise AgroServ
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