Organisation des événements culturels et sportifs de 2009

Les événements culturels suivants seront organisés en 2009 :


🌟 Prix de [Nom de la ville] - printemps 2009
Il s'agira de l'équivalent du Prix Nobel, mais étendu à quelques disciplines comme le journalisme. La candidature sélectionnée aura le privilège de donner son nom à cet événement pour toujours (ou au moins, tant que le pays sera actif).

🏰 Deuxième session d'inscription au Patrimoine mondial - 2009
La ville sélectionnée organisera le congrès qui récompensera les différentes sites ou formes de patrimoine mondial matériel et immatériel.

📚 Festival international de littérature et bande dessinée 2009 - automne 2009

• Pour chacun de ces quatre événements, nous recherchons des villes organisatrices. C’est une occasion idéale pour décrire une de vos villes et vous faire connaître au reste du monde. Tout le monde peut envoyer sa candidature, la modération choisira l’une d’elle en fonction du soin et du développement apporté au formulaire.


• Dans l’idéal, chacun de ces événements se déroulera dans une ville distincte. Une ville pourrait néanmoins recevoir deux événements, en l’absence de candidatures probantes.


• Vous pouvez candidater plusieurs villes, à raison d'un message par ville candidate.


• Si vous avez déjà candidaté lors des précédents appels d'offre, que votre candidature eût été sélectionnée ou non, vous pouvez recandidater en 2009 avec la même ville. Pour ce faire, il suffit de poster un message avec les actualisations nécessaires (le logo, les événements de 2009 choisis). Sauf si vous avez opéré des modifications substantielles sur votre formulaire précédent, vous pouvez simplement inclure l'URL menant vers celui-ci, ceci en vue d'éviter le copier-coller et l'attribution de points de développement indus.

Pour y participer, veuillez remplir le formulaire avec au moins les éléments suivants et répondre à la suite du message :


Logo :
Nom de la ville choisie :
Evènement(s) choisi(s) : Veuillez sélectionner 1 à 3 événements et les classer dans votre ordre de préférence.
Description de la ville :
Pourquoi choisir votre candidature ? :



En outre, nous recherchons des villes organisatrices pour certains événements sportifs prévus en 2009 :
🏃‍♂️ Championnats du monde d'athlétisme
🥊 Championnats du monde de boxe
🏹 Championnats du monde de tir à l'arc
🏀 Coupe du monde de basketball

Pour y candidater, veuillez remplir le formulaire avec au moins les éléments suivants et répondre à la suite du message :

Logo (facultatif)
Nom de la ville choisie
Pourquoi choisir votre candidature ?


La présentation de votre ville est libre, mais des photos sont les bienvenues. Vous pouvez également reprendre la mise en forme des réponses à l'appel d'offres de 2004, de 2005, de 2006 et de 2008, mais aussi consulter la liste des liens utiles pour vous aider à concevoir un logo ou un collage.


Clôture des candidatures le 30 novembre 2022, 20 heures (prolongeable si besoin)

Logo : Nom de la ville choisie : Teltica
Evènement(s) choisi(s) : Prix Nobel
Description de la ville :

Historique du Prix 
Les premières traces du Prix de Teltica remontes à l'époque du Bas Empire. En effet, à une époque où science et religion sont intimement liés, la science étant alors vu comme une méthode de compréhension du divin, le pouvoir Impérial tente d'encourager certains domaines de recherche et d'en freiner d'autre. C'est ainsi qu'est crée durant l'antiquité l’ancêtre du prix de Teltica : Le Visage du Jaguar. Ce prix était alors une mise à l'honneur du scientifique et de son école.

Cette récompense disparaît avec la fin du Premier Empire Yuhanaca, en 512. Il faudra attendre 756 pour voir apparaître un prix similaire alors appelé « Prix de la Lumière ». La péninsule étant alors dans un élan fédérateur, le Prix de la Lumière à vocation à récompenser les plus grandes avancées scientifiques d'une décennie entière. Il est l'occasion d’âpre lutte entre les cités états et les royaumes indépendants. Les scientifiques honorés du titre sont alors financés pendant la décennie suivante. Il est à noter que la notion de science est proche de la notion de lumière en Yuhanac.

Le Prix de la Lumière va se perpétuer jusqu'au nouvel empire en connaissant des périodes de suspension plus ou moins longue durant son existence. Il sera remplacé en 1685 par le Prix de Teltica, également appelé Prix de l'Empereur, par l'Empératrice Alayna VI. Le prix est alors remis par l’académie Impériale, qui juge dorénavant au nom du pouvoir impérial les différentes avancées scientifiques. Petit à petit, de nouvelle discipline, parfois non scientifiques, sont ajoutés. L'actuel Prix de Teltica est la continuité de celui crée par Alayna VI.

Prix de Teltica 
Le prix de Teltica vie à récompenser les plus grands apports à l'humanité. S'il était dans un premier temps destiné à récompenser uniquement les grandes disciplines scientifiques, il s'est ouvert petit à petit. Il est aujourd'hui constitué des disciplines suivantes :

• Mathématique (Depuis 1685)
• Physique (Depuis 1685)
• Biologie (Depuis 1685)
• Ingénierie (Depuis 1685)
• Architecture (Depuis 1735)
• Musique (Depuis 1742)
• Art (Depuis 1742)
• Chimie (Depuis 1783)
• Littérature (Depuis 1790)
• Journalisme (Depuis 1910)
• Paix et Innovation Sociale (Depuis 1932)
• Economie (Depuis 1935)
• Informatique (Depuis 1985)
• Environnement (Depuis 1995)

Chaque discipline est récompensée de la même manière que les autres. Les lauréats se voit attribué une bourse d'un million de Toltac. De plus, leurs noms sont inscrits dans le grand hall du Panthéon Impérial de Teltica. Enfin, tous sont mis à l'honneur par la famille impériale. Le Prix de Teltica est l'une des récompenses les plus prestigieuses existantes.

Teltica, ville de Lumière 
La capitale de l'Empire a de tout temps était active en recherche scientifique et en enseignement. Dès l'antiquité des académies de mathématiques et de science naturel furent présente dans la ville. A ce jour, la ville est l’hôte de l’Académie Impériale, institution chargé de centraliser et de compiler les connaissances de toutes sortes.


Palais de Lumière, actuelle demeure de l'Académie Impériale
L'actuel bâtiment de l'Académie, aussi appelé Palais de Lumière, date de 1735. Il prend place sur le lieu même de l'ancien Palais de Lumière, détruit en 1718 par un violent tremblement de terre.

La ville héberge également pas moins de 117 musées, du plus grand, le Musée Impérial des Arts, au plus petit, le Musée Azcotali. Si tous sont d'une qualité hors du combien, certains sont dépositaire de véritable pépite. Le Musée Impérial des Sciences Naturelles hébergent ainsi l'un des plus grands squelette complet de dinosaures au monde. On retrouve également dans sa collection des corps de primates et de différents mammifères retrouvés dans la couche de cendres d'une éruption volcanique survenue sur les terres australes en – 35.000 avant notre ère. Le Musée Impérial des Arts peux se prévaloir d'hébergé l'une des plus grande collection au monde d'art classique et de posséder des pièces reconnu mondialement, comme « La fille de Lumière » ou « Les Fiancés ». Enfin, il n'est pas possible de ne pas citer le Musée de l'Histoire Impériale. Ce musée historique retrace l'histoire de la péninsule de l'époque antique à l'époque moderne. On y retrouve notamment de nombreux ouvrage anciens ainsi que des pièces artistiques remontant au Haut-Empire.


Ecole Impériale des Sciences de Teltica et Ecole Impériale des Arts de Teltica
En plus des musées, la ville est un important centre universitaire et éducatif. En effet, Teltica abritent 13 grandes écoles, pour un total de plus de 600 000 étudiants. Il est à noter qu'une tradition remontant à l'époque des cités libres est toujours de vigueur : Chaque année, les écoles de Teltica, ainsi que de l'ensemble du pays se battent au sein d'une compétition appelée « Le Trophée des Pupilles ». Les écoles se retrouvent alors pour épreuves des dans des disciplines sportives, artistiques ou intellectuelles afin de cumuler des points. L'école ayant obtenu le plus de point remporte alors le trophée. Une délégation d'étudiant de dernière année est reçue par la Famille Impériale et une grande fête est organisé dans la ville de l'école vainqueurs. Une dotation est également remise aux associations étudiantes de la dite école. Au cours des trois dernières années, les vainqueurs furent l'Ecole Impériale de Science de Teltica, l'Ecole Impériale d'Humanité de Meltica et l'Ecole Impériale de Melsunica.

Enfin, la cité de Teltica abritent un grand nombre de centre de recherche et de technopole. On y trouve notamment l'Institut Impérial de Physique Nucléaire, dont la projet Pharox, un accélérateur de particule innovant prends place à une cinquantaine de kilomètre à l'Est de la ville. On trouve également au abord de la capitale un nombre important d'institut de recherche, dont les technopoles Exalink, sur le numérique et l'information, HepaMed, sur les recherches médicales et pharmaceutique ou encore TransDelta, sur le transport de demain.



Pourquoi choisir votre candidature ? :
Teltica et plus généralement le Yuhanaca est depuis longtemps un acteur important des sciences et du savoir. Le Prix de la Lumière puis le Prix de Teltica récompensèrent aux cours des siècles les plus éminents découvreurs de ce monde. C'est donc afin de perpétuer la tradition de la ville que sa candidature est déposée.

Lieu :
Les championnats du monde d'athlétisme se dérouleront dans la capitale youslève, Sedjan, plus précisément dans le Stadion Nacional de Sedjan, le plus grand stade du pays.
Tout équipé, aucun travaux ne seront à prévoir et il pourra accueillir plus de 78 000 spectateurs.




Pourquoi choisir votre candidature ? :
La Youslévie est un territoire de sport depuis toujours et l'histoire entre l'athlétisme et la Youslévie est ancienne. Nos ancêtres les yous s'affrontaient en effet lors d'olympiades rituelles où les vainqueurs se voyaient érigés en demis-dieux. Lancer de disques, de marteaux ou de javelot, courses à pied, lutte, sauts, la plupart des disciplines actuelles étaient pratiquées il y a des millénaires dans l'antique Youslévie.
Nous pourrions rajouter qu'en Lève ou chez les Vasques aussi, on se mesurait à travers des épreuves de force, la plupart du temps.
Il serait donc logique que les championnats du monde d'athlétisme reviennent se dérouler là où tout a commencé, au berceau de ces sports, dans le pays de la prouesse physique et mentale, la Youslévie.

Candidature de la Fédération Maronhienne de Tir à l'Arc pour les championnats internationaux 2009 de Tir à l'Arc.
Avec le soutien de la République Nationale-Socialiste de Maronhi.



Ville choisie : Fujiao

Hymne d'ouverture proposé pour les championnats internationaux 2009 de Tir à l'Arc :
Orchestre de taiko de Fujiao : Le Soleil pour cible

Autrefois capitale du pouvoir burujois sur le plateau maronhien, Fujiao est aujourd'hui entrée dans le panthéon des lieux incontournables de Maronhi. Ville sanctuaire aux traits traditionnels basée sur le plan de Kurofunaro (Burujoa), elle incarne le portrait d'un pays riche en histoire et en patrimoine. À elle seule, Fujiao renferme les plus fabuleux trésors du pays classés au patrimoine national de Maronhi. Près de 1800 temples et plus de 300 jardins habillent cette destination à la beauté stupéfiante. Ville de l'amour, ville de la culture, ville à la jeunesse éternelle, Fujiao a su préserver une authenticité presque divinatoire.



Pourquoi choisir votre candidature ?

La ville accueille depuis une quarantaine d'années l'ensemble des championnats nationaux d'archerie, notamment les très prisés championnats de kyudo (tir à l'arc traditionnel nippon) et de yabusame (tir à l'arc nippon à cheval). Au-delà de la compétition, le choix de Fujiao permettrait ainsi de faire partager la culture maronhienne du tir à l'arc héritée à la fois de la tradition nippone et des apports paltoterrans. C'est pourquoi, avec la politique de partage des traditions qui est sienne, la Maronhi se jurera, au-delà d'offrir une compétition inoubliable, d'infuser la philosophie maronhienne du tir à l'arc dans ces diverses rencontres. Il faut ainsi garder à l’esprit que pour le Maronhien, la sensation prime sur toute analyse. Il est ici question d'une recherche d’un accord de tout l’être. La voie de l’arc s’efforce d’abord de tracer la voie des multiples possibilités qu’offre précisément l’enseignement issu de la tradition ; ensuite, si l’on s’efforce de déchiffrer le contenu d’une pédagogie, la voie de l'arc amène à la découverte de soi-même, en passant par le geste le plus banal pour parvenir à se sublimer.

Son expérience de l'organisation de championnats de tir à l'arc, aussi bien traditionnels que contemporains, a poussé en définitive les autorités maronhiennes à soutenir sa présente candidature pour accueillir les championnats internationaux 2009 de Tir à l'Arc. Enfin, la récente inauguration de la Cité des Sports à Siwa et de ses trois annexes à Uminomon, Yeonju mais en particulier à Fujiao permettrait d'accueillir un large public et de nombreux athlètes dans des conditions d'hospitalité comme jamais vues auparavant en Maronhi.

Candidature d'Aigues-Fauve (Manche Silice-Région des Coupes Cimes) pour l'accueil du festival international de littérature et de bandes dessinées 2009
Aigues-Fauves, au pied de l'Ostremont est une ville d'art et d'histoire. Son centre historique médiéval dominé par l'ancien temple du congrès incarnew juché sur un pic a inspiré, lors derniers siècles, tout ce que le continent eurysien a connu d'illustres artistes. Capitale du pays incarnados jusqu'au XVIe siècle, supplantée par Rio de l'Estuaire, la vieille ville possède un charme suranné avec ses hôtels particuliers aux façades défraîchies, palais abandonnés et restes de murs crénelés. C'est sur cette toile de fonds si singulière que Don Jacindo Fontalba (1782-1833), écrit le roman considéré comme révolutionnant la littérature siliquéenne, ampoulé, tragique, chevaleresque, avec un œuvre réaliste, parodique et grinçante sur les mœurs de la société. Son héros, Conejoaquim, issu des bas-fonds d'Aigues-Fauves, utilise toutes les ressources à sa disposition pour vivre parmi les dominants et les duper. Le succès des aventures de Conejoquim, connu des classes populaires grâce aux reproductions théâtrales puis à l'alphabétisation progressive, est toujours au rendez-vous. L'édition d'une bande dessinée au début des années 70 a donné un nouveau souffle à l'œuvre qui a également été adaptée par les studios Silicinema en film.

Avec 3,1 millions d'habitants, Aigues-Fauves est l'une des plus grandes villes du centre de la Manche Silice. Elle figure régulièrement en tête des classements des métropoles siliquéennes les plus agréables. L'ancienne capitale profite en effet d'un positionnement géographique idéal, au pied du massif montagneux, à l'entrée de la vallée de l'Aguapa, au carrefour entre les pays incarnados et tchenkov. En plus de la littérature, Aigues-Fauves se distingue au plan culturel par la présence à de nombreux coins de rue en soirée d'artistes pratiquant le belcanto.

La ville dispose des capacités d'accueil et d'hébergement des délégations. Pour arriver à Aigues-Fauves, il est conseillé aux participants de prendre la route ou le train à partir des aéroports de Rio ou de Meulière.

Plus d'infos et photos sur Aigues-Fauve.

Logo :



Nom de la ville choisie : Covadonga

Evènement choisi : Deuxième session du Patrimoine Mondial

Description de la ville : Covadonga est une ville à l’histoire riche. Berceau de la renaissance du Royaume de Naveces, elle fut propulsée au rang de capitale par Onofre le Conquistador. Elle est considérée comme le berceau de la révolution qui a mené à nouveau à l’indépendance de la nation.

Covadonga en plus de son histoire est le lieu culturel le plus prisé du pays. Grâce notamment à la Catedral de la Piedad qui est un lieu de culte majeur pour tous les chrétiens de la région. Elle fut conçue par le Roi Onofre pour laisser la possibilité à son peuple de se repentir de leurs péchés.



Mais surtout la ville se caractérise par sa nature tellement exceptionnelle qu’elle fut énormément préservée lors du développement de la ville. Les lacs de Covadonga en sont la preuve, ces derniers abritent en plus d’une végétation luxuriante une faune riche.



Aussi, le Palacio del Gobernador sûrement le monument le plus impressionnant du pays y figure. Elle est la source de milliers de visites chaque année grâce à ses jardins et son architecture typique de Naveces.



Au vu de ses différents héritages, cela fait de Covadonga une ville riche qui aimerait accueillir un tel événement qui représente bien la capitale Navecéenne. Les différents prix seraient redistribués devant les monuments culturels de Naveces.

Pourquoi choisir votre candidature ? : L'histoire et la culture nationale ont toujours été extrêmement imprégnées dans l'esprit des Naveceos. Ils sont désireux de s'ouvrir aux autres pour mieux découvrir les merveilles qui se cachent aux quatre coins de la planète. Le fait d'accueillir un tel événement dans la ville symbolique de Covadonga serait pour eux un honneur incommensurable.

Aussi , l'isolationnisme Navecéen ayant été récemment aboli, c'est une manière de montrer leur nouvelle et totale ouverture au monde. Les habitants attendent beaucoup de cette candidature et ils espèrent que vous leur ferez l'honneur en acceptant cette dernière.

Covadonga est donc une ville où la culture de Naveces est majoritairement représentée et où ses habitants comme tous les Naveceos accordent énormément d'importance à leur culture. La ville a aussi de l'expérience dans l'organisation d'événements étant donné qu'elle en organise chaque année que ce soit pour la fête nationale ou pour des grandes célébrations chrétiennes à la Catedral de la Piedaz.

Logo :

Nom de la ville choisie : Roune
Évènement(s) choisi(s) : Prix de Roune

Description de la ville :

Description générale :
Roune est la capitale fédérale et royale de la fédération de Canta. Construite initialement sur les bords de l’Erdrin, plus précisément sur la rive droite, elle s’est étendue sur l’ensemble des îles du delta de l’Erdrin entre le XVI et le XXe siècle et s’étend maintenant sur la rive gauche du delta, puisque toutes les îles du delta sont dorénavant urbanisés.


Le Palais Royal de Roune -- La Cathédrale Notre Dame de Roune et le Pont Ferroviaire de l'Erdrin -- quartier du Monolith -- Nouvelle Gare Ferroviaire de Roune Rive Gauche


En tant que capitale cantaise et ville plus que millénaire, elle est riche d’un patrimoine architectural immense et varié, représentant un éventail presque exhaustif de tous les styles eurysiens. Vous pourrez ainsi trouver des restes de maison antique sous le palais de justice principal, mais aussi de très nombreuses maisons à pans de bois dans les quartiers historiques de la rive droite. Sur cette même rive droite vous pourrez également trouver des joyaux de l'architecture gothique flamboyante comme le palais de justice principal, ancien parlement du Canta, qui est par ailleurs le plus grand édifice gothique civil du monde ou bien la “petite cathédrale de Roune”, plus précisément l’abbaye Sainte Berthe dont les dimensions colossales n’ont rien à envier à n’importe quel autre cathédrale. Nombreux sont les touristes qui aiment se promener dans ce qu'ils pensent être là cathédrale alors qu'il s'agit d'une abbaye toujours en activité.

En avançant dans les rues de Roune vous avancez aussi dans l’histoire, ainsi en vous aventurant sur les îles Levaçon et Marrault, les premières îles du delta aménagés à partir de 1510, vous trouverez un très large panel d'hôtels particuliers ou de petits palais édifiés durant cette période par la nouvelle aristocratie cantaise. Toutes les autres îles du Delta sont un plaisir pour les yeux avec notamment les “belles avenues” des îles Narbagne, Poigane, Chagues et Bassy et les “mignonnes rues” d’Antosir, Camieu, Aurigues et Borvin. Mais il y a surtout les îles principales : Colbéliard, plus souvent dénommée île royale avec notamment le magnifique palais royal entourant intégralement une grande place piétonne. L’ensemble a été construit entre 1770 et 1778. Ces îles sont si grandes, spacieuses, aérées et impressionnantes que peu de personnes ont l’impression d’être sur des îles. L’autre grande île est Valensier, aussi dite île fédérale, regroupe la chancellerie fédérale, l’assemblée fédérale et de nombreux ministères fédéraux.

Enfin sur la rive gauche, se déploie le Roune moderne avec les très modernes quartiers d’affaires de Monolith, Centurion et Hammer. Mais aussi des quartiers éco futuristes comme Aeris, Nero et Arcadis. C’est également de ce côté que se trouve le très célèbre aéroport de Roune Thomas Ier et ses incroyables aérogares comme le vortex de pluie du terminal 5.


Roune est également un des plus grands centres culturels d’Eurysie. Elle accueille ainsi les médias cantais les plus respectés, comme les très sérieuses chaînes d’informations CDA ou encore le journal le plus connu du Canta et célèbre pour sa très grande rigueur et ses articles très fouillés, Das Kleine Nagetier. Les autres journaux écrits depuis Roune sont également des références dans leur domaine, comme La Revue littéraire, Eksperten dans le domaine économique, Urheil dans le domaine sportif ou Flugh News dans le domaine des mobilités et du voyage.


Université Royale de Droit - Campus

Elle est aussi logiquement un grand centre universitaire, accueillant soit le siège d’une université royale, comme le droit, la médecine, l’histoire ou la géographie ou une importante antenne comme pour les sciences humaines ou les sciences de la vie. Une université royale est le titre donné à la faculté cantaise faisant référence dans un domaine et les travaux qui y sont menés sont souvent précurseurs, en particulier dans le domaine de la médecine oncologique et cardiaque ou en physique et biologie. La première université a ouvert en 1267 à Roune et ont progressivement ouverte jusqu’en 1971 avec l’ouverture de l’université royale d’informatique au Roto. Les premières couronnes sont décernées en 1451 par l’université de Théologie puis en en 1497 par celle de Littérature.

La première fois où toutes les universités décernent les couronnes est en 1508 où les universités de Théologie, Droit, Littérature, Observation spatiale et Sciences diverses organisent une fastueuse cérémonie de remise des prix. Ensuite, la couronne est systématiquement décernée chaque année par toutes les universités et cela dès l’ouverture de l’université, ainsi la première couronne d’Art est décernée en 1518 puis en 1520 pour l’Architecture. Viendront ensuite la Biologie et la Médecine en 1540 suivis par les Mathématiques en 1551. Les sciences diverses disparaissent l’année suivante avec l’ouverture des universités des Sciences Obscures et des Sciences Naturelles.


Université Royale de Littérature - Campus de Roune

De nouvelles universités ouvrent en 1825, les Sciences Obscures sont séparés en Chimie et Physique et les Sciences Naturelles en Biologie, Géologie et Sciences de la Terre. En 1826, c’est au tour des universités d’Economie et de Journalisme d’être ouvertes. Le prix de bienfaisance est créé en 1845 et est décerné par l’ensemble des universités royales.

Aujourd’hui des couronnes de Roune sont décernés dans les catégories suivantes :
- Bienfaisance mondiale
- Physique
- Chimie
- Biologie
- Médecine
- Littérature
- Economie
- Mathématiques
- Informatique
- Astronomie
- Architecture

D’autres couronnes sont réservés uniquement à des cantais :
- Spectacle vivant
- Théologie
- Droit
- Statistiques

Initialement ouvert aux travaux universitaires rounais puis cantais, le prix s’étend maintenant à l’ensemble des réalisations et travaux effectués par une personne ou un groupe de personnes, de n’importe quelle nationalité, au cours de l’année scolaire cantaise, les prix sont remis pendant la 1ère semaine de juillet lors de grandes cérémonies dans les universités cantaises. Cependant, certaines couronnes sont toujours réservées aux travaux universitaires cantais.

Les couronnes restent majoritairement attribués à des travaux cantais et la médiatisation des remises de prix restent cantonnés aux frontières de la fédération monarchique.

Pourquoi choisir votre candidature ?
En choisissant la ville de Roune, vous choisissez de rendre mondialement connu une récompense vieille de plusieurs siècles et ayant montré sa rigueur et sa constance au fil des années.

Elever au dessus des autres récompenses le prix de Roune, c'est plus que d'apporter de la médiatisation à un prix hautement exigeants, aux travaux soumis à un collège d'expert parfois eux mêmes détenteurs d'une couronne. C'est aussi honorer les travaux des chercheurs qui peuvent vivent dignement grâce aux généreuses récompenses accordés aux lauréats mais aussi aux autres éminences qui ont soumis leurs travaux aux universitaires. En effet, les lauréats peuvent gagner plusieurs dizaines de millions de dollars, de quoi assurer la poursuite de leurs travaux et de leurs talents.

Le prix de Roune c'est également honorer une certaine vision de l'excellence académiques et universitaires, avec une présentation et une étude des travaux anonymisés en totalité pour éviter tous les biais d'ethnie, de genre, de nationalité ou d'âge...

Logo :

Nom de la ville choisie : MutteVil

Evènement(s) choisi(s) :
Inscription au patrimoine mondial

Description de la ville :

MutteVil, actuelle capitale de la province de l’Otmo en Côte Ckey est la perle de l’architecture cantaise. Construite à partir de 1812 sur les ordres de la duchesse Lorelei, ses plans originels ont la particularité d’avoir été déssiné par le très grand paysagiste cantais, Frederic von Bruley et aujourd’hui encore MutteVil a conservé sa destination de “cité jardin” voulue par la duchesse Lorelei.

A l’origine la duchesse voulait avant tout disposer d’un écrin de verdure et de confort dans la vallée de l’Otmo pour bénéficier du plaisir des sources thermales de la vallée. Frederic von Burley a alors conçu une ville capable de mettre en valeur le charme naturel de la vallée tout en offrant tout le confort dont devait disposer la duchesse. Il a alors imaginé un grand parc articulé autour de l’Otmo ou de grands bâtiments de style “Rounais” sont construits au milieu de bosquets d’arbres, de grands parterres de fleurs, d’étangs, de petites rues à vocation pittoresques…

Voici un échantillon des plus beaux bâtiments de MutteVil :

Le Widglud Palace, c’est la résidence d’été des ducs de Ckey quand ils sont en visite à MutteVil, construit à partir de 1824 et achevé en 1858, il est situé en périphérie de la ville. Il est doté de magnifiques “jardins à la française” dont l'aménagement n’a jamais été touché. Ils disposent de certaines salles remarquables comme le théâtre ou la salle de bal et il accueille la nécropole des ducs de Ckey.





La “tchintchin Halle”, grande galerie située près de la rivière Otmo, c’est ici que les curistes peuvent venir boire de l’eau thermale. Son nom très original lui vient du bruit que faisaient les gobelets en verre des curistes quand ils trinquaient avant de boire. Aujourd’hui l’office du tourisme à pris la place de la buvette de thermes.



Le “Palais des fêtes” est le principal théâtre de la ville modernisé et agrandie, il mêle plusieurs styles classiques et modernes de l’architecture cantaise et mondiale. A l’origine construit en même temps que le reste de la cité vers 1840, le théâtre de la ville est peu utilisé et souffre de la concurrence du théâtre ducal, en 1967 il ferme définitivement ses portes mais à la fin des années 1980 la municipalité de MutteVil vend l’édifice à un jeune couple de nouveaux millionnaires qui décide de donner au théâtre sa splendeur d'antan mais également de lui donner une nouvelle vocation. C’est alors qu’une grande extension moderne est créée à l’arrière du bâtiment pour qu’il puisse accueillir une deuxième salle de concert, à vocation plus moderne.





Les parcs de la ville, la ville compte plus d’une centaine de parcs différents répartis sur plus de 50 km 2, on peut notamment citer le parc du casino avec ses grandes plantes bandes circulaires, le parc de l’Otmo avec ses multiples passerelles fleuris, ses vieux arbres centenaires et ses bosquets sauvages… Le parc du NefDort, sans doute le plus beau de tous avec ses immenses parterres de fleurs de toutes les formes, de toutes les couleurs dans un cadre exceptionnel.









Le casino, construit en même temps que le reste de sa ville,est le plus grand casino du pays et ses salles de jeu imitent les plus beaux salons des plus beaux palais du monde.





Le centre pittoresque, le centre ville a été spécialement aménagé pour représenter les villages pittoresques de la région avec des maisons très colorées, des rues pavées, des terrasses fleuries, des petites fontaines à chaque coin de rue…





Les thermes, la ville compte plusieurs établissements thermaux mais le plus connu d’entre eux sont les thermes Lorelei, ils imitent à la perfection les mythiques établissements thermaux antiques de l’Eurysie dans un bâtiment qui met à l'honneur l’architecture rounaise.






MutteVil est la première ville du monde a être inscrite au patrimoine mondial lors de la session 2006-2009 qui a eu lien à Novigrad C.F.

Pourquoi choisir votre candidature ? :
MutteVil est la première ville qui a été inscrite au patrimoine mondial, cela serait un beau symbole de continuité que la session 2009-2012 soit désigné dans la ville lauréate de la session précédente.

D'un aspect plus pratique, MutteVil est parfaitement adapté à l'accueil d'un tel congrès avec de nombreuses salles totalement adéquates à un tel évènement, comme le théâtre ou des salons d'accueil des casinos pouvant autoriser tout type de réunions ou de présentations devant tout type de public. Les délégations votantes seront en outre dans un cadre des plus inspirants pour choisir en outre le plus patrimoine de notre monde.

MutteVil est également une ville symbole des paradoxes du patrimoine mondial : une très forte médiatisation, un état extérieur "attrayant", une vie économique et culturelle importante mais en même temps une forte pression touristique, une désertification des habitants originels au profit de résidences secondaires, fort coût de la vie... MutteVil est comme tous les emblèmes du patrimoine avec ses défis mais aussi ses solutions et peut donc être un choix inspirant pour des pays qui ont des difficultés ponctuelles ou quotidiennes dans leurs grands lieux touristiques.

Concernant le patrimoine plus immatériel, MutteVil n'est pas en reste avec un fort passé des pratiques de carnaval, festival et en particulier le nouvel an traditionnel.

Candidature de la Municipalité de Novigrad C.F pour les championnats internationaux 2009 de Boxe.





Ville choisie : Novigrad


Fidan Klisco, champion du monde 2007 (75-81kg) et fils du controversé Vitali Klisco, champion de boxe de Novigrad en 1991 devenu par la suite le chef de la milice terroriste de l'Ourak.

Pourquoi choisir votre candidature ?

Haut-lieu sportif et culturel en Eurysie, la capitale fédérale de Novigrad est assurément une mégapole reconnue pour la qualité de son accueil et le niveau élevé de ses infrastructures sportives et touristiques. Métropole de plus de treize millions d’habitants, Novigrad, qui porte d’ailleurs le nom du pays dont elle incarne le cœur, est l’une des plus anciennes cités du continent. De son nom antique, Novir, la ville est un lieu historique de très grande importance en Leucytalée, attirant des centaines de milliers de touristes toutes les années grâce à un secteur de l’hôtellerie à la pointe des standards internationaux.

La boxe appartient d’ailleurs à l’histoire de la ville, en effet, le pugilat (du novirien ancien πυγμαχία) était un sport qui se pratiquait dans la région dès l’antiquité, très populaire pendant l’ère rémienne, il s’est progressivement étendu au reste de l’Empire. De nombreux historiens considèrent donc le pugilat comme l’ancêtre de la boxe moderne. C’est dans cet esprit que la municipalité de Novigrad C.F souhaite candidater pour les championnats mondiaux de 2009 afin de mettre en avant son exceptionnel patrimoine sportif. Troisième sport favori des novigradiens après le football et la lutte, la boxe est une discipline très suivie et respectée dans la région. Novigrad est d’ailleurs classée deuxième nation mondiale en Boxe en 2007 avec près d’une dizaine de médailles dont la moitié en or.

Villes choisies :

• à Péronas : Rore, Abruste, Zalocion
• au Grand Kah : Chan Chimù, Esperanza, Desmarais

Rore, Péronas


Stade reconnu nationalement voire internationalement, il est modulable et permet d'organiser tout type d'événements. Cependant, c'est lors des matchs de basket-ball que ce dernier se remplit en quelques heures. Les plus grandes stars du pays ont d'ores et déjà foulés sont parquet et dunkés sur ses paniers. Il reste un stade mythique pour les nombreux grands matchs s'y étant déjà joués. Ce stade a déjà fait ses preuves et nul doute qu'il sera à la hauteur d'une telle compétition, en effet il permet d'accueillir 15'000 spectateurs, ce qui en fait la plus grande salle de Basket-Ball de Péronas.


Zalocion, Péronas


Salle plus petite que son aînée de Rore, mais ses plus de 6000 places sauront être à la hauter des matchs en phase qualificatives principalement. Elle possède l'avantage de posséder un parking souterrain de capacité amplement suffisante et d'être extrêmement bien desservie, en effet, elle se situe à 3 minutes à pied de la gare de train, elle-même très bien reliée aux autres grandes villes, ou à son aéroport.

Abruste, Péronas


Deuxième plus grande salle de basket-ball du pays, dotée d'une capacité d'environ 15'000 places. Il n'a été que inauguré que très récemment, et convient parfaitement pour accueillir une compétition d'une telle envergure. Sa modernité saura satisfaire tout visiteur qui découvrira son enceinte moderne en tout point. Il a également été co-financé par le Grand-

Chan Chimù, Grand Kah


Un des plus grand stades omnisports du Grand Kah, le stade est à l'image de la ville, moderne. Le stade est doté d'une capacité de plus de 18'000 places ce qui permettra à ce stade d'accueillir des matchs de la phase finale. Son entrée à la particularité de posséder une cascade vitrée, de nombreux touristes n'hésiteront pas à faire le déplacement pour visiter ce qui rend ce stade si unique.

Esperanza, Grand Kah


Une des salles omnisports la plus vieille du pays, elle est pourtant capable d'accueillir plus de 8'000 spectateurs. Malgré sa faible capacité, de nombreux grands matchs ont prévu d'être joué ici. En effet, cette décision se justifie grâce à l'histoire de cette salle, emblématique pour plus d'un fan de basket-ball. C'est sans aucune difficulté que les places pour ce stade se vendront.

Desmarais, Grand Kah


Stade construit pour l'occasion de la compétition, il est doté d'une capacité de 15'000 places. Il est récent et moderne. Il a été co-financé par Péronas à l'occasion donc d'une candidature commune. À l'instar du stade d'Abruste, sa modernité saura satisfaire tout visiteur qui découvrira son enceinte moderne en tout point.

Pourquoi choisir notre candidature ?

L'organisation conjointe d'une compétition internationale de sport ayant déjà été faite par le passée. L'expérience montre que cela est bénéfique à l'ensemble des organisateurs et que les visiteurs sont satisfaites d'avoir l'opportunité de visiter plusieurs pays au cours d'une compétition.

Cette organisation commune entre le Grand Kah et Péronas est également l'occasion de consolider les relations entamées entre les États au cours des années précédentes. Cela peut également favoriser la coopération future dans d'autres domaines, tels que les échanges économiques.

Les infrastructures d'accueil et d'hébergement à Péronas ainsi qu'au Grand Kah n'ont pas à justifier de leur efficacité, en effet, elle est déjà connue de tous. Les deux pays sont largement aptes à accueillir une foule de touristes, passionnés de basket-ball ou non. Les deux pays étant largement deux démocraties pleines et entières, il n'y a aucun risque qu'un étranger se sente mal à l'aise comme cela à pu être notifié dans des cas précédents.

Les deux nations organisatrices sont en plus deux nations sportives, et cela se conforte également avec deux équipes de basket-ball qui peuvent chacune avoir de grandes chances de remporter la compétition si le peuple local les soutient, ce qui, sans aucun doute arrivera.

Organiser un grand événement sportif tel qu'une Coupe du monde de basketball peut également être très coûteux. En coopérant ensemble, cela réduit drastiquement les coûts liés à la construction ou à la location d'installations, à la sécurité, à la publicité et à la promotion de l'événement, ce qui peut réduire les coûts globaux et rendre l'organisation de l'événement plus abordable.

En conclusion, l'organisation commune de la coupe du monde de Basket-Ball par Péronas et le Grand-Kah est justifié par diverses raisons telles que : coûts partagés, capacités d'organisation combinées, augmentation de l'attrait touristique, élargissement de la portée de l'événement, promotion des relations internationales. Cela a déjà été fait dans le passé, et cela devrait encore se reproduire.

Candidature des fédérations burujoise et maronhienne de basketball pour la coupe du monde 2009 de basketball.
Avec le soutien de l'Empire Burujoa et de la République Nationale-Socialiste de Maronhi.



Villes choisies :

Burujoa : Jin City, CongYeong et Okukonai

Maronhi : Siwa, Yeonju et Kayawa

Hymne d'ouverture proposé pour la coupe du monde 2009 de Basketball :Chœurs de Siwa et de CongYeong - Comme une sœur

Pourquoi choisir votre candidature ?

La présente co-candidature à l'organisation de la coupe du monde 2009 de basketball fait suite à un tout récent rapprochement des fédérations sportives burujoise et maronhienne, et en particulier des fédérations de basketball. Bien que peu marquées et toujours rares, les relations entre le Burujoa et la Maronhi n'ont fait que s'apaiser ces dernières décennies jusqu'à permettre une relative entente d'une partie de leurs organismes, associations et fédérations. Pourtant la culture de ces deux pays sont si semblables, et leurs histoires si liées, qu'il est plus que surprenant que le rapprochement se soit fait aussi tardif ; la raison est probablement a imputer au gouvernement du prédécesseur de l'actuelle Gran Man de Maronhi, feu Khoro Kouyouri, ce dernier accusant l'Empire Burujoa, avec d'autres pays, d'avoir participé à l'exploitation de la population maronhienne. L'organisation d'un tel évènement par ces deux nations sœurs permettrait ainsi d'entamer de solides relations basées sur la confiance mutuelle et visant peut-être à l'avenir à un rapprochement certain, voir à une collaboration durable.


(Gauche) Complexe sportif d'Okukonai, Burujoa.(Droite) Complexe sportif de Kayawa, Maronhi.

La Maronhi, en raison de son long rejet des sports occidentaux et de son boycott désormais révolu des rencontres sportives internationales, n’ait que très peu familière aux organisations d’une telle envergure, qui plus est dans un sport qu’elle ne représente pas à l’international de par une absence d’équipe de basket nationale véritablement constituée. Cependant, Siwa, mégapole par excellence du plateau maronhien, s’est rapidement constitué un club de basket au début des années 2000 sous le mandat de la Gran Man, Awara Kouyouri, accélérant ainsi l’ouverture du pays aux coutumes sportives étrangères. C’est principalement sur cette dernière que s’est porté le choix de la Fédération Maronhienne de Basketaball. Plus qu’aucune autre ville de Maronhi, Siwa aura gardé les stigmates des ingérences étrangères qui jalonnèrent son histoire tout au long de la première moitié du XXème siècle, marquant par exemple son architecture constituée en partie de diverses influences eurysio-aleuciennes. Mais plus que la simple architecture, c’est tout un pan de la culture de la ville qui se trouve imbibée de l’histoire des autres nations, rendant de ce fait la visite inoubliable de par la profusion d’influences et parfois moins dépaysante que d’autres centres urbains de Maronhi marqués presque exclusivement par les cultures de l’Est du Nazum, mais la rendant aussi plus accueillante du reste du pays, resté comme il l’a toujours été, particulièrement retranché sur lui-même.

Au-delà de la capitale maronhienne, deux autres villes majeures du territoire ont été sélectionnées par la récente Fédération Maronhienne de Basketball pour candidater aux côtés du Burujoa à la Coupe du monde de basketball. Premièrement, Yeonju, ville principalement reconnue sur le continent Paltoterra pour son commerce du riz, et Kayawa, dont le massacre éponyme du 18 août 1959 a fait la renommée. Les deux villes ont ainsi été équipées d’importants complexes sportifs inaugurés respectivement pour Yeonju puis Kayawa, de mars 1996 et juillet 1999.

De plus, la récente Cité des Sports dont la construction est achevée depuis la fin d’année 2008 et qui englobe Siwa et trois autres annexes dont Uminomon, Yeonju et Fujiao a été pensée pour accueillir un large public et de nombreux athlètes dans des conditions d'hospitalité optimales. Enfin, une toute nouvelle ligne de métro (ligne 7) s’est également constituée pour permettre de relier entre eux les différents sites athlétiques, permettant en l'occurrence d’échanger plus facilement entre Siwa et Yeonju. Pour ce qui est de Kayawa, la ville pourra aisément être joignable par train ou par la ligne 4 mise en service depuis 1974 suite au plan de reconstruction de la ville commandé à l’époque par Khoro Kouyouri.

De son côté, et afin de participer à la co-candidature pour l'organisation de la coupe du monde 2009, la Fédération Burujoise de Basketball a finalement opté pour les trois villes suivantes : Jin City, Okukonai et CongYeong qui accueillera le gros des rencontres.

Ainsi, CongYeong, deuxième ville majeure de la minigapole de BongDang, plus moderne que sa voisine, dispose d'équipements de pointes résolument tournés vers le futur et accueille de nombreuses entreprises de haute technologie. Moins industrielle que les autres grandes villes d'Ylma Jinu elle conserve de nombreux espaces naturels, ce qui en fait une ville particulièrement singulière. Elle a bénéficié, comme les autres grandes villes du Burujoa, de grands plans d'infrastructures au début des années 2000, et qui se poursuivent toujours aujourd'hui. Par exemple sur le plan des transports, la première ligne de métro ouvre en 1993, la deuxième en 1997, la troisième en 2000 et désormais en 2009 le réseau purement local compte 11 lignes de métro et des centaines de lignes de bus. Mais au niveau de la minigapole c'est près d'une trentaine de lignes de train rapides qui assurent des liaisons efficaces entre les différentes villes de l'Ouest jinuien.

CongYeong est desservie par 2 lignes de trains à grande vitesse dont elle est le terminus, la plus importante est celle dite du Nord qui la relie à Indiga, la grande station du Nord de l'Engan et la deuxième la relie à Karaimu, en passant par le Tochi, cependant cette liaison plus ancienne est moins régulière que la première. CongYeong dispose d'un petit aéroport proposant des liaisons court courrier vers des villes d'Ylma Jinu ou vers le Vomogorod. Elle est cependant très proche du grand aéroport de Bong Dang - Nord Jinu ouvert en 2003 et proposant des liaisons vers tout l'empire, dans une bonne partie du Nazum et même davantage chaque jour au-delà de ces strictes zones mentionnées précédemment. Lui seront naturellement associé, comme annoncé plus tôt, les villes d'Okukonai, cité industrielle principalement reconnue au Nazum pour ses usines automobiles, et Jin City, capitale de Cendane, mégapole ultra-moderne rivalisant les plus villes d'Aleucie.

Clôture des candidatures, les évènements avec un seul candidat sont attribués automatiquement. Le vote se déroulera sur le serveur discord du forum.