Observatoire fédéral de l’immigration à Novigrad
Recensement de l'immigration clandestine : ~1 928 000 individus.
L’immigration clandestine ne représente pas forcément une immigration secrète ou cachée. La plupart du temps elle est tolérée par l’administration fédérale afin de subvenir aux besoins en main d’œuvre dans les domaines agricoles des régions rurales du pays.
- Migrants Elpides : ~650 000 individus. Vague migratoire des anciens esclaves slaves d’Elpidia.
- Migrants Rémiens : ~460 000 individus. Crise migratoire novi-rémienne à la suite de la dissolution des territoires étendus de l’Empire.
- Migrants kaulthico-valhémiens : ~818 000 individus. Vague migratoire à cause de la guerre civile kaulthico-valhémienne.
L’immigration légale est possible dans la mesure où la nation de provenance dispose d’accords diplomatiques avec l’État novigradien. Ce sont pour la plupart des expatriés qui profitent d’un statut de résident permanent ou de long-séjour, dans la majorité des cas ce sont des commerçants ou des employés de sociétés internationales installées sur le territoire novigradien.
- Expatriés du Lofoten : 80 000 individus. Ils vivent surtout dans les grandes agglomérations novigradiennes et ce sont presque toujours des cadres ou des travailleurs qualifiés.
- Expatriés du Jashuria : 60 000 individus. La plupart vivent dans le Jashuria Town de la capitale fédérale mais on peut trouver quelques petites communautés de partout à travers le pays.
- Expatriés d'Elpidia : 40 000 individus. On trouve des communautés elpides près des frontières communes avec Elpidia ou autour de l'enclave de Melessia, ils vivent généralement du commerce entre les deux pays.
- Expatriés du Vogimska : 20 000 individus. Les expatriés vogimskans se fondent plutôt bien dans le paysage novigradien, ils préfèrent généralement les régions septentrionales où la culture slave est plus présente.
- Expatriés du Banairah : 20 000 individus. On retrouve une grande communauté banairaise dans la capitale fédérale, ils forment même un petit quartier oriental.
- Expatriés du Prodnov : 15 000 individus. Certains prodnoviens se sont exilés à Novigrad pendant la guerre civile de 2006, ils vivent pour la plupart à Ouressa dans la province de l'Ourak.
- Expatriés de l'Alguarena : 10 000 individus. Les expatriés alguarenos vivent plutôt dans les grandes agglomérations novigradiennes, ils occupent presque toujours des emplois de cadres ou de techniciens.
