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Je m'appelle Frédéric Gustafen, ancien professeur d'histoire en Kaulthie, j'ai fuis le pays suite à la guerre civile qui opposait l'empereur et certains de ses vassaux.
En fuyant ma nation, j'ai été obligé de traverser la Tchérie, un pays voisin de la Kaulthie. Ce pays de barbares qui ont des politiques radicaux comme dirigeant en plus d'un roi faible !
Mais bon, il ne faut pas en rester à ce point, de toute façon, je n'ai plus le choix.
J'ai réussi à m'installer dans ce pays dans la province de Chérchérie. Cette région est malheureusement très agité suite au conflit ancestrale entre les deux ethnies de la Tchérie.
Alors qu'un jour comme les autres je me préparais pour aller travailler dans un collège Tchérin, le roi s'est adressé à nous et à ordonner la fermeture des frontières de la province où je vivais à présent depuis deux mois environs.
Puis, après le discours de sa majesté, plus rien, la télé s'est éteinte toute seule.
Non, une télé ne pouvait s'éteindre seule, il y avait un problème !
C'est alors que j'ai compris que le gouverneur de la province à couper l'électricité dans toute la province en voyant dans le noir que toute les lampes de la ville était éteintes. Moi, je m'éclairait à la bougie, se qui me posait pas de problème, mais l'acte du gouvernement me faisait très peur.
Ils ont fermés les frontières de la province, mais c'est impossible ! Pourquoi ? Il y avait aucunes raisons pour que le gouvernement Tchére face cela !
Le jours qui suivirent virent à quel point un phénomène dangereux allait se préparer. Les gardes nationaux et les hauts fonctionnèrent Tchéres ont fui la province et se sont réfugiés à la capitale du pays, Bennesbourg. Eux peuvent partir, car ils sont au gradés, pas comme moi ...
Les gens s'armait, par peur d'une guerre interne. Moi, je pris possession d'un modèle de fusil-mitrailleur et d'un pistolet ramasser chez la gendarmerie de la ville.
On aurait dit que c'était chacun pour soi.
Aussitôt après, à Onsburg, le lieu où j'habitait, on accueillit des réfugiés venant de Hasdroug dont une femme qui nous a dit en pleurant :
-Les gardes nationaux ont massacrés les hommes et les femmes qui étaient devant eux, ils ont pillé les maisons et tué des enfants !
J'ai été sous le choc de cette révélation. Je ne pouvait pas ne pas les croire puisque nous avons appris qu'ils n'y avait aucun homme présent dans ces réfugiés. De plus, ils semblaient traumatiser. Je ne pouvait donc que les croire...
Les deux jours qui ont suivis m'ont permis de découvrir deux autres réfugiés qui, à ma surprise, était Kaulthes !
Je leur demandait comment et pourquoi ils étaient ici et mon répondu :
-Je suis Karl Fonstrad et voici Rose Fonstrad, ma soeur. Nous avons fui dès que la guerre civile a commencé en Kaulthie. Nous espérions trouvé un Avre de paix mais nous avons malheureusement choisi le mauvais pays.
C'est ainsi que j'ai pus me sentir moins seul, mais en attendant, il fallait continuer à se préparer ...