21/02/2015
19:04:33
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Opérations priscylliennes au Mokhaï

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Mokhaï

Contexte au Mokhaï,et position priscyllienne :


Le Mokhaï a récemment connut une révolution menée par son actuel leader communiste Aoki Saburo. Dès l’installation au pouvoir de celui-ci, Priscyllia s’est positionné en faveur de la paix en mettant en place un dialogue diplomatique avec le gouvernement du Mokhaï.
La République Autonome de Priscyllia redoute en effet les menaces de Jashuria sur ce petit territoire de l’Est Nazuméen, et le peuple priscyllien souhaite une pacification de la région dans l’intérêt du peuple de Mokhaï, qui a subit des massacres sans précédents lors de la révolution.
Aoki Saburo est reçu à Aërola en mars, mais quitte abruptement la conférence alors qu’il est poussé par les porte-paroles à s'expliquer sur le massacre de civils pendant la révolution. Des documents laissant planer le doute sur la légitimité potentielle de son gouvernement ont cependant été transmis en début de conférence, ce qui renforce la position anti-interventionniste de Priscyllia. Si le pays déclare le gouvernement actuel du Mokhaï comme son ennemi, le CASR ne tolèrera pas une intervention d’un état membre de l’ONC sur ce territoire.

Viennent se mêler à ses considérations diplomatiques des affaires internes préoccupantes pour le Comité des Affaires Stratégiques et Révolutionnaires de Priscyllia. Une journaliste-reporter priscyllienne au Mokhaï, Maureen Falinov, a envoyé aux membres de ce comité des photos attestant de la persécution de civil lors de la révolution dans la ville de Jiwan : sur ces clichés, un visage interpelle. C’est celui de Loris Borganov, assassin présumé d’Idriss Koliman et membre émérite des GASPs, que l’on discerne sur les photographies en train de frapper des civils en panique.
En plus de révéler la localisation de l’ennemi public numéro 1 de Priscyllia, ces photos et le moyen par lequel elles ont été transmises (une transmission satellite archaïque et généralement réservée aux militaires) laissent penser que Maureen Falinov coure un danger au Mokhaï.

Immédiatement, le CASR planifie une opération de sauvetage et d'exfiltration au Mokhaï, avec un double objectif :

- Assurer la sécurité de la journaliste Falinov, peut-être mise en danger par Loris Borganov ou par le gouvernement du Mokhaï pour son travail
- Capturer Loris Borganov et éviter qu’il ne profite de l’instabilité du territoire pour disparaître. Permettre ainsi son passage devant un conseil de justice, et récupérer d’éventuelles informations sur les GASP.

Avertissant le gouvernement du Mokhaï de cette intervention pour assurer que cette opération ne dépassera pas le cadre prévu, les camarades-stratèges reçoivent une réponse inattendue : Borganov ferait partie des nombreuses victimes résultants de la révolution du Mokhaï. Une thèse non-vérifiable pour le CASR, qui ne règle pas la question de Maureen Falinov. L’opération aura donc lieu.


Moyens et méthodes :

OPERATION IDRISS – PHASE 1 :

Le Comité des Affaires Stratégiques et Révolutionnaires a entamé la phase 1 de l’opération IDRISS.

Celle-ci consiste simplement à la préparation des effectifs priscylliens au départ vers le Mokhaï.

En accord avec la poursuite de l’opération, le CASR a prévue le déploiement de trois sections des FRAPs affiliées à deux corps d’armée différents : le bataillon révolutionnaire des forces terrestres priscylliennes, la brigade logistique aérienne et le bataillon révolutionnaire des forces aériennes priscylliennes. Tous les soldats mobilisés ont été transférés par convoi vers le camp de départ de l’aéroport de Falcon, ainsi que l’ensemble de matériel destiné à partir. Les avions et véhicules ont tous fait le plein et ont été vérifié techniquement afin d’être prêt à décoller dès le déclenchement de la phase 2.


Forces armées présentes et prêtes sur le camp de Falcon :

Bataillon Révolutionnaire des Forces Terrestres Priscylliennes :
  • 100 soldats professionnels
  • 10 techniciens (soldats réservistes)
  • 10 véhicules léger tout-terrain
  • 2 hélicoptères de transport moyen

Brigade logistique aérienne :

  • 32 pilotes (soldats professionnels)
  • 7 avions de transport tactique
  • 1 avion de ravitaillement

Bataillon révolutionnaire des forces aériennes Priscylliennes :
  • 100 soldats professionnels
  • 10 pilotes (soldats professionnels)
  • 2 avions de chasse
  • 2 avions d'attaque au sol
  • 1 drone de reconnaissance



Un conseil de conflit local a été élu pour l’occasion :

Bradilva Soporizov, soldat du Bataillon Révolutionnaire des Forces Terrestres Priscylliennes
Mathilde Kroutchivik, technicienne du Bataillon Révolutionnaire des Forces Terrestres Priscylliennes
Brat Lugson, soldat-parachutiste du Bataillon Révolutionnaire des Forces Aériennes Priscylliennes
Niki Ricik, pilote d’avion de chasse du Bataillon Révolutionnaire des Forces Aériennes Priscylliennes
Noé Leonov, pilote de la Brigade Logistique Aérienne

Ce conseil de conflit local travaille actuellement à la prévision du déclenchement de la phase 2, c’est-à-dire le transfert des troupes vers le Mokhaï.

HRP a écrit :L'ensemble de la phase 1 de ces opérations se déroulant à l'intérieur de Priscyllia, il n'est pas possible pour un pays d'en avoir l'information à moins d'avoir mené une opération d'espionnage ou de reconnaissance en Priscyllia.
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OPERATION IDRISS – PHASE 2


La phase 2 de l’opération IDRISS a été votée à l’unanimité par le CASR et le Conseil de Conflit Local du Mokhaï.

Le CCL a donc transmis les ordres suivants aux trois sections des FRAPs sur le pied de guerre dans l’aéroport de Falcon. Les ordres ont immédiatement été relus dans les mégaphones de la base et transmis sous forme écrite à tous les soldats.


Deux convois partiront de l’aéroport avec 2 heures d’intervalles entre le dernier avion du premier convoi et le premier du second.
Le premier convoi est dénommé DELUGE et le second GEL.

DELUGE est constitué par les effectifs suivants :

Brigade logistique aérienne :

  • 8 pilotes
  • 2 avions de transport tactique
Bataillon révolutionnaire des forces aériennes Priscylliennes :

  • 100 soldats professionnels
  • 10 pilotes (soldats professionnels)
  • 2 avions d'attaque au sol
  • 2 avions de chasse
  • 1 drone de reconnaissance

Il décollera avec les chargements suivants :

L’un des avions tactiques transporte 50 soldats parachutistes, 2 pilotes de drone et un poste de contrôle du drone à distance. Il est piloté par une équipe de 4 pilotes.
L’autre avion tactique transporte 50 soldats parachutistes. Il est aussi piloté par une équipe de 4 pilotes.
Les avions d’attaque au sol sont chacun pilotés par deux pilotes, tout comme les avions de chasse.


Et dans la formation suivante :

Les deux avions de transport tactiques volant l’un derrière l’autre, encadrés par les avions de chasse et les avions d’attaque au sol. Le drone de reconnaissance précède le convoi.


Déroulé attendu de l'opération :

Le convoi DELUGE décollera le 20/04/2010 à cinq heures du matin et prendra la direction de Ghaliya en survolant la mer (afin d’éviter le territoire transblême). Le trajet fait environ 3500 km et le convoi se déplacera à une vitesse de croisière de 400 km/h en haute altitude. Le trajet durera donc environ 9h de vol.

Une fois parvenu dans l’espace aérien du Mokhaï, le convoi entier diminuera considérablement son altitude en conservant la formation. Le drone de reconnaissance et les deux avions d’attaque au sol se détacheront du convoi et se dirigeront à vitesse élevée vers l’aéroport de Ghaliya. Le drone enverra en direct des images de l’aéroport avec pour objectif de repérer les éventuelles défenses de celui-ci et de vérifier la disponibilité des pistes. Si une défense (tout véhicule, bâtiment ou troupe militaire susceptibles d’attaquer le convoi, ou bien des explosifs sur les pistes) est repérée dans l’enceinte de l’aéroport où à moins d’un kilomètre de celui-ci, elle sera immédiatement prise pour cible par les avions d’attaque au sol. Les pilotes ont pour consigne de ne frapper qu’à la mitrailleuse, sans prendre de risque avec les populations civiles alentours. Les avions d’attaque au sol effectueront des tirs de petit calibre sur les pistes afin de déclencher des explosifs potentiels.
Normalement, le gouvernement du Mokhaï aura été prévenu de l’opération et sommé de fermer l’aéroport ainsi que de retirer toute présence militaire à un kilomètre à la ronde. Cependant, les mokhaïens abusent parfois de leur sens du sacrifice.
Une fois le reste du convoi arrivé au niveau de l’aéroport, les 100 parachutistes sont déployés au-dessus des pistes. Ils atterrissent directement sur le tarmac et ont pour mission de vérifier la sécurité dans l’aéroport entier. Ils ont pour consigne de ne tirer qu’en défense, et d’arrêter toute personne se trouvant dans l’aéroport en prenant le plus de précautions possibles. L’objectif est de vider définitivement l’infrastructure des soldats et civils qui pourraient mettre en danger l’opération. Les civils arrêtés sont immédiatement relâchés à l'extérieur de l'enceinte aéroportuaire. Les militaires arrêtés sont conservés à l'intérieur sous haute sécurité en attendant des consignes du CASR.
Sitôt l’aéroport vidé, l’ensemble du convoi devra atterrir et préparer l’arrivée du convoi GEL en sécurisant l’aéroport et les pistes. Aucun membre du convoi DELUGE n’a l’autorisation de mettre un pied en dehors de l’aéroport, sous aucun prétexte.



GEL est constitué de cette manière :


Bataillon Révolutionnaire des Forces Terrestres Priscylliennes :

  • 100 soldats professionnels
  • 10 techniciens (soldats réservistes)
  • 10 véhicules léger tout-terrain
  • 2 hélicoptères de transport moyen

Brigade logistique aérienne :

  • 24 pilotes (soldats professionnels)
  • 5 avions de transport tactique
  • 1 avion de ravitaillement

Il décollera avec les chargements suivants :

Le premier avion de transport tactique transporte 100 soldats professionnels et est piloté par 4 pilotes.
Le second transporte 2 hélicoptères de transport moyen avec leurs hélices démontées. Il est piloté par 4 pilotes.
Le troisième et le quatrième transportent chacun 5 véhicules léger tout terrain et sont tous deux pilotés par 4 pilotes.
Le cinquième avion transporte deux cuves de pétroles remplies, ayant à elles-deux la capacité d’un plein pour un avion de transport. Il est piloté par 4 pilotes, et transporte 10 techniciens.
L’avion de ravitaillement est piloté par une équipe de 4 pilotes.


Et dans la formation suivante :

Les 5 avions de transport tactique se suivent, avec derrière eux l’avion de ravitaillement.


Déroulé attendu de l'opération :

Le convoi GEL décollera le 20/04/2010 à sept heures du matin et prendra la direction de Ghaliya en survolant la mer (afin d’éviter le territoire transblême). Le trajet fait environ 3500 km et le convoi se déplacera à une vitesse de croisière de 400 km/h. Le trajet durera donc environ 9h de vol.
Une fois arrivé sur place, l’aéroport de Ghaliya devrait être sécurisé et les pistes dégagées : le convoi atterrira dans son intégralité. L’ensemble du matériel sera déchargé et le remontage des deux hélicoptères commencera immédiatement.
Les soldats débarqués iront porter main forte à la sécurisation du lieu.



Consignes communes à tous les soldats participant à l’opération :


  • Aucun civil ne doit être touché. Tout blessé civil est prioritaire au soin.
  • Même sur les militaires ennemis, aucun tir ne doit être effectué sans qu’il n’y ait eu une menace préalable.
  • L’arrestation prime sur la liquidation.
  • Aucune troupe d’infanterie ne doit sortir de l’aéroport.
  • Les biens potentiellement présents dans l’aéroport doivent être préservés si possible. Un livret répertoriant les dégâts occasionnés par notre intervention doit être tenu impérativement.

Le CCL fait partie de ces soldats, et se réunira immédiatement pour préparer la phase 3 de l’opération.


Message secretInformation secrète réservée aux personnes autorisées


HRP a écrit :Cette opération s'effectue dans le plus grand secret. A moins d'une opération d'espionnage ou de reconnaissance, il est impossible pour un gouvernement d'en avoir conscience. Seul le gouvernement du Mokhaï est susceptible d'en être informé par simple observation environ trois quart d'heures avant le parachutage des premières troupes. La Transblêmie et l'empire Karpok pourraient aussi, sur une observation poussée, détecter le passage du convoi à haute altitude, bien que cela paraisse peu probable.
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Sortie de conflit potentielle ?



La République Populaire du Mokhaï Communiste ayant joué la menace contre le Priscyllia pour éviter qu'il n'investisse l'aéroport, mais Aoki Saburo s'est rapidement rendu compte que cela n'a pas marché. Les milices étant relativement désorganisées et partie dans le nord du pays pour mater quelques rébellions ne pouvaient pas être dépêchées assez rapidement là-bas et le leader a dû se résigner à abandonner l'aéroport.

Il a donc décidé de retirer les 100 miliciens sur place, sachant qu'ils ne pourraient pas maintenir des soldats professionnels. Dans le plus grand secret, caché de sa population, il décide de déplacer directement sur place les documents que le Priscyllia voulait et a mis tous ses moyens dans la recherche du corps de Maureen Falinov et le leur livrer directement. Le gouvernement a préféré limiter la casse en donnant aux militaires ceux qu'ils voulaient. Ils sont également allés trouver Borganov pour le liquider de manière discrète en lui injectant de la ricine durant son sommeil, Aoki Saburo dirait au GASP qu'il a été tué dans son sommeil par un agent de l'Empire du Nord œuvrant dans le pays, car Saburo savait que l'Empire avait dépêché ses espions avant la fermeture des frontières. Ils ont brulé le corps et l'ont vidé de son sang pour qu'aucune autopsie ne soit faite et prouve qu'il a été tué récemment.

La réflexion du gouvernement a été la suivante :

Plutôt accéder aux demandes du Priscyllia et se séparer de Borganov plutôt que de devoir subir les conséquences de sa protection. Le pays se stabilisé à peine et si le Priscyllia trouvée des informations compromettantes, le grand-Kah, allié depuis peu, serrait relativement en colère et couperait peu-être toutes relations. De plus, le pouvoir de Saburo se voit contesté par l'Assemblée Populaire qui, dans les débats d'une constitution communaliste, distribue beaucoup de pouvoir à de nouvelles assemblées dépendantes du peuple qui devrait les élire. Cela enlève le contrôle de Saburo sur l'organe législatif et donnant une grande autonomie aux communes. Après tout, il a validé que le pays adhère au Kah en échange de la protection de la 3e puissance mondiale : le Grand-Kah, mais il ne pensait pas que l'assemblée serait aussi réactive et qu'elle commencerait de plus en plus à s'écarter de lui. Si cette constitution est votée, il perdrait bons nombres de pouvoirs. Enfin, cela n'a pas vraiment de rapport avec la situation.

Sur place, Kang Huan, secrétaire d'État à la diplomatie qui pourrait se voir destitué de son poste en cas d'échec ou si l'assemblée lui retire ses pouvoirs par la constitution. Pour lui, la réussite de la mission est cruciale, car si elle échoue, il sera tenu responsable par Saburo. 20 miliciens surveillant l'entrée et protégeant Huan. Et sur le toit d'un immeuble proche, 3 mortiers cachés au cas où la situation dégénérait.
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OPERATION IDRISS – PHASE Terminale


La phase 2 de l’opération IDRISS a été couronnée de succès. L'aéroport était entièrement aux mains des forces priscylliennes selon le plan prévu dès le 20 avril au soir, et celui-ci avait été préalablement vidé de ses militaires et ses civils. Aucun tir défensif n'avait été mis en place par le Mokhaï, et rien ne présageait un quelconque danger pour les soldats priscylliens.

Mieux que cela, une équipe inspectant le hall de l'aéroport y rencontra deux corps disposés sur des tables, avec sur chacun d'eux un sachet en plastique contenant des papiers d'identité. Maureen Falinov, le corps calciné et strangulé, ainsi que Borganov, définitivement refroidi.
La nouvelle fut immédiatement transmise par voie satellite au CASR priscyllien, qui décréta la fin de l'opération le lendemain matin.

Le CCL a donc transmis les ordres suivants aux trois sections des FRAPs ayant occupé pendant quelques heures l'aéroport. Les ordres ont immédiatement été transmis sous forme écrite à tous les soldats.


La mission Falinov, en cours au secrétariat de la sécurité est avortée. Celle-ci doit cesser immédiatement et l'ensemble des soldats priscylliens doivent immédiatement rejoindre l'aéroport.

Un convoi quittera l’aéroport de Ghaliya le 21 avril au matin.

Celui-ci sera nommée FLOCON.

FLOCON est constitué par les effectifs suivants :

Bataillon Révolutionnaire des Forces Terrestres Priscylliennes :
  • 100 soldats professionnels
  • 10 techniciens (soldats réservistes)
  • 10 véhicules léger tout-terrain
  • 2 hélicoptères de transport moyen

Brigade logistique aérienne :

  • 32 pilotes (soldats professionnels)
  • 7 avions de transport tactique
  • 1 avion de ravitaillement

Bataillon révolutionnaire des forces aériennes Priscylliennes :
  • 100 soldats professionnels
  • 10 pilotes (soldats professionnels)
  • 2 avions de chasse
  • 2 avions d'attaque au sol
  • 1 drone de reconnaissance



Déroulé attendu de l'opération :

L'ensemble des avions effectueront dans la nuit un chargement en carburant leur permettant d'effectuant le trajet retour : le carburant doit provenir en priorité des cuves amenés par avion. Tout usage des cuves de l'aéroport de Ghaliya doit être quantifié et noté, dans l'optique d'un remboursement ultérieur. Un rapide check-up des appareils est aussi de mise, bien que rare soit les réparations pouvant s'effectuer en si peu de temps.

Le convoi FLOCON décollera le 21/04/2010 à huit heures du matin et prendra la direction de Falcon en survolant la mer (afin d’éviter le territoire transblême). Le trajet fait environ 3500 km et le convoi se déplacera à une vitesse de croisière de 400 km/h en haute altitude. Le trajet durera donc environ 9h de vol.

L'ensemble des militaires rapatriés de mission seront mis au repos. Les corps de Falinov et Borganov seront immédiatement transmis par convoi à la base du CASR pour autopsie, ainsi que leurs papiers. La fin de mission sera votée par le CCL aussitôt le convoi acheminé.
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