Création de pays : Asbal
Généralités :
Nom officiel : Royaume d'Asbal
Nom courant : Asbal
Gentilé : Asbalais/Asbalaise
Inspirations culturelles : France du 17ème siècle, Europe de l’ouest
Situation géographique :
Langue(s) officielle(s) : Français
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Quelques dialectes régionaux
Drapeau :

Devise officielle : Pour Dieu, pour le Roi
Hymne officiel :
Capitale : Narfort
Population : 14 800 000 habitants
Aperçu du pays :
Présentation du pays :
Asbal a toujours été régi par une monarchie hormis entre 1952 et 1985, période durant laquelle les Asbalais vivaient en dictature.
1952 : Coup d’Etat militaire
Le Général Pierre Lefebvre renverse la monarchie et prend le pouvoir. Il proclame la République et devient alors le premier Président de la République d’Asbal (aucune élection ne sera jamais organisée). Dans un premier temps, les promesses d’un « monde nouveau » séduisent la population et calment les contestations, mais dès 1956 des groupuscules monarchistes (financés par la famille royale, alors en exil) s’organisent et commettent plusieurs attentats contre les institutions. Tous ces mouvements sont durement réprimés et les auteurs fusillés sans procès.
1985 : La révolte
Le 2 mars 1985, le pouvoir ordonne l’arrestation du porte-parole du principal syndicat agricole, jugé trop critique de la politique menée par le régime, qui est selon lui responsable de la grande famine de l’hiver 1984. Plusieurs manifestations de soutien ont lieu simultanément dans tout le pays et durent plusieurs jours. Le 17 mars, le Président Lefebvre donne l’ordre à l’armée d’ouvrir le feu sur la foule afin de dissuader la population de poursuivre les contestations. Le Chef d’Etat-Major Arnaud Blanquin refuse de transmettre cet ordre. Il est aussitôt démis de ses fonctions. Le lendemain, sur ordre de Blanquin, l’armée se retourne contre le régime et le Président Lefebvre est arrêté. Blanquin est nommé Président par intérim et se voit confier la tâche de rédiger une nouvelle Constitution. D’abord tenté d’instaurer une véritable République, le retour de la famille royale à Asbal, acclamé par la population, conduit Blanquin à opter pour une monarchie constitutionnelle. Le texte est validé par un référendum le 5 avril 1985. Sept jours plus tard, Henri de Masson, prétendant au trône est couronné, il devient Henri V.
Mentalité de la population :
Les Asbalais sont très attaché à leur patrie, et fiers de leur histoire. La figure du Roi est très importante pour nombre d’entre eux. La question de la préservation de l’environnement est une préoccupation pour beaucoup, en raison de la place cruciale qu’occupe l’agriculture.
Place de la religion dans l'État et la société :
La Constitution du Royaume d’Asbal désigne le catholicisme comme religion d’Etat. Néanmoins, la liberté de culte est assurée. Selon les sondages, 85% des Asbalais pratiquent une religion et 90% des pratiquants sont catholiques.
Politique et institutions :
Institutions politiques :
Asbal est une monarchie constitutionnelle. En plus d’être un symbole pour la population, le Roi dispose d’un pouvoir constitutionnel : il doit promulguer les lois votées au Parlement, aucun texte ne peut entrer en vigueur sans son approbation. Le Parlement est constitué d’une chambre unique (l’Assemblée) composée de 350 députés élus pour 6 ans au suffrage universel direct (scrutin proportionnel). La tête de liste du parti arrivé en première position lors des élections devient alors chef du Gouvernement (« Ministre du Roi ») et doit nommer un gouvernement. Le gouvernement est toujours composé de sept ministres qui sont les suivants :
-Ministre de la Sécurité Intérieure
-Ministre des Armées et des Affaires Etrangères
-Ministre de l’Education et de la Culture
-Ministre de l’Economie et du Commerce
-Ministre de la Justice
-Ministre de la Santé et du Travail
-Ministre de l’Agriculture
Principaux personnages :
Le Roi est encore aujourd’hui Henri V. L’actuel Ministre du Roi est Pierre Chevalier, chef du mouvement conservateur. Malgré une campagne qui ne l’annonçait pas vainqueur, il a su rassembler en promettant de grandes mesures pour l’écologie et la préservation environnementale, lui faisant obtenir 127 sièges à l’Assemblée.
L’opposition est incarnée par Arlette Vidal (Bloc de gauche – 102 sièges). Bien qu’elle soit à la tête du plus grand groupe d’opposition, les tensions internes affaiblissent grandement son pouvoir. La fraction radicale de sa coalition lui reproche notamment d’être trop complaisante avec les libéraux et surtout, de soutenir la monarchie constitutionnelle.
Le reste du Parlement est partagé entre centristes (79 sièges), libéraux (25) et écologistes(17).


Politique internationale :
Le Royaume d’Asbal n’au aucune volonté belliqueuse et souhaite mettre l’accent sur les échanges avec les pays frontaliers.