25/02/2015
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[ENSIKLOPEDI] Negara Strana

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Informations globales

Drapeau Stranéen

Nom officiel: Republik Sosialis Negara Strana
Nom courant: Negara Strana
Régime: République socialiste et parlementaire monocaméral

Gentilé: Stranéen et stranéenne
Langues officiels: Stranéen
Autres langues reconnues à l'échelle régionale et provinciale: Hutan, Pesisir, Fujiwan

Devise officielle : Biba egalitat ! Biba Republik ! ("Vive l’égalité ! Vive la République !")
Hymne officiel : Pawai pertempuran ("la marche au combat")
Fête nationale: 24 mars (date de l'Indépendance de 1960)
Monnaie nationale : emas pekerja ("l’or ouvrier")

Capitale : Kotarakyat
Population : 110 millions habitants (recensement du 01/05/2011)
Surface: 814 541 km²

Président de la République Socialiste du Negara Strana (Garant de la Nation): Akarsana Suwarno
Première Commissaire du Peuple: Kawaya Haryanto


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Histoire

Le temps des royaumes
Les premières traces du pays remontent à l’année 1103. Effectivement, des écrits attestent l’existence de quatres royaumes lors de cette période: le royaume de Strana, Hutan, Pesisir et le royaume d'Ishimura sur la “Corne” du pays. Ces deux derniers royaumes étaient en bons termes et ont signé un pacte de paix et de non-interférence. En 1514, la première guerre opposant les royaumes de Strana et Pesisir éclate, menant à l’annexion de la moitié du Pesisir par Strana. En 1578, celui-ci est complètement annexé. Le royaume de Strana décida de respecter les accords signés entre Pesisir et Ishimura, n’intervenant ainsi pas dans la Révolution de 1774. Cependant, le royaume d'Ishimura s'effondre au profit du royaume de Strana qui annexera ces territoires correspondant à l'actuelle région du Wilayah-Baru. En 1783, le royaume de Hutan, disposant d'une armée peu développée, est à son tour annexé.

La colonnie du Strana
L’histoire de la nation stranéenne est marquée par la colonisation fujiwane. L’empire de Fujiwa arrive au Royaume de Strana en mars 1927. Disposant de technologies avancées, la colonisation est rapide. Bien que le peuple stranéen ait beaucoup souffert de l’occupation, il est indéniable que celle-ci a permis au pays de se développer notamment dans le domaine portuaire. La ville de Pōto (de nos jours nommée Pradipta) a connu un formidable essor lors de la colonisation. Aujourd’hui, la ville abrite une partie de la diaspora fujiwane.
Le 21 juillet 1956, la guerre d’Indépendance, la Berjuang, débute avec une série d’attentat dans la capitale. Les valeureux combattants socialistes et communistes menés par Purwadi Pradipta défaient l’occupant fujiwan jusqu’à l’indépendance du Negara Strana, proclamé le 24 mars 1960.

L'histoire récente du Negara Strana
Suite à l'indépendance, le pouvoir est naturellement délégué à Purwadi Pradipta et son Parti Socialiste de Libération du Peuple (PSLP). En 1962, la Constitution est approuvé et entre en vigueur. Les moyens de productions sont rapidement nationalisés afin d'appliqué un socialisme économique. Tout autre parti que le PSLP était interdit avant de ne pas fragilisé le passage au socialisme du Negara Strana. Arrivé à maturité, le régime décida dans les années 2000 d'ouvrir le pays. Les frontières ouvrirent en 2001 afin d'accueillir notamment les touristes étrangers. En 2005, suite à plusieurs amendements de la Constitution de 1962, d'autres partis politiques ont été autorisés. Ainsi, les élections législatives de 2008 ont été les premières ouvertes à plusieurs partis. Aujourd'hui, le Negara Strana continue son ouverture, notamment par la voie diplomatique.
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Géographie
Globalement...
Le Negara Strana est un pays du sud-est du Nazum. Il s'étend sur une surface de 814 541 km². Le pays partage une frontière avec le Jashuria, l'exclave d'Heon-Kang du Grand Kah et le Grand Ling.

Le Negara Strana et ses régions

Carte du Negara Strana réalisé par l'Institut Géographique Lendave

Strana
La région de Strana, d'une surface de 175 216 km² (21,5% du territoire nationale), est hérité du royaume de Strana. La capitale régionale est Kotarakyat mais la plus grande ville est Pradipta. Strana est la région moteur du pays: l'essentiel de l'économie s'y produit et on y trouve les populations les plus aisés du pays malgré de plus grandes taxes appliquées. De plus, le taux d'urbanisation est le plus élevé du Negara Strana. La moyenne d'âge de la région est dans la moyenne nationale. En outre, la région concentre plus de la moitié de la diaspora fujiwane d'ethnie Aichi. Cette dernière concerne 55% des pradiptanais. Ainsi, le fujiwan est reconnu dans une partie de la région et y est souvent enseigné dans les grandes villes provinciales.

Pesisir
La région du Pesisir, d'une surface de 316 147 km² (38,8% du territoire nationale), prend son nom du royaume du Pesisir. La capitale régionale est Baranglama. Le Pesisir est une région en perte de vitesse: elle est peu dynamique et la population y est la plus pauvre, l'économie restant majoritairement rural. De plus, la moyenne d'âge y est plus élevé que dans le reste du pays. Le pesisirin est de moins en moins parlé dû au faible enseignement fait par le biais de l'éducation publique régionale.

Wilayah-Baru
La région du Wilayah-Baru, d'une surface de 61 400 km² (7,5% du territoire nationale), est formé après la chute du royaume d'Ishimura. La capitale régionale est Pantaibaru. Le Wilayah-Baru profite d'un dynamisme économique fort et récent provoqué en 2001 grâce à l'ouverture des frontières et le développement du tourisme. Pantaibaru est aujourd'hui la plus grande ville balnéaire du Negara Strana. En outre, le taux d'urbanisation reste faible mais augmente fortement ces dernières années. Ainsi, bien que stranéenne depuis des siècles, une identité régionale s'est difficilement formé, d'autant plus par les nombreux flux récents au Wilayah-Baru.

Hutan
La région d'Hutan, d'une surface de 261 778 km² (32,1% du territoire nationale), date de l'annexion du royaume Hutan. La capitale régionale est Hijau et concentre l'essentiel de la population Hutan. La majeure partie de la région est couvert d'une forêt tropicale luxuriante. Ainsi, le taux d'urbanisation est particulièrement faible. Les populations locales, et notamment celle d'Hijau, sont particulièrement attaché à la protection de la forêt d'Hutan et de sa biodiversité. De plus, l'identité régionale est très forte, dépassant clairement celle des autres régions. Dans cette logique, l'hutan est une langue toujours transmise et est habituellement enseigné en seconde langue. La région contient également un peu moins de la moitié de la diaspora fujiwane au Negara Strana.


De gauche à droite, en haut puis en bas, le drapeau de la région de Strana, Pesisir, Wilayah-Baru et Hutan

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Paysage politique


La Constitution de 1962 énonçait que le Negara Strana était dirigé par un unique parti: le Parti Socialiste de Libération du Peuple (PSLP). Ce choix avait été fait afin de réalisé pleinement la révolution socialiste, sans fragiliser un pays qui l'était déjà suffisamment. Des années plus tard, le Negara Strana a su se relevé en tant que nation et en tant qu'économie. Naturellement, des courants se sont de plus en plus distingué dans le parti. Ainsi, Akarsano Suwarno (actuel Garant de la Nation) milita et influença beaucoup l'Etat à ouvrir le pays intérieurement. Etant que Secrétaire du PSLP, son poids n'était pas négligeable et la constitution fut amendé afin d'accepter plusieurs partis politiques. Le 16 mai 2005, il devint donc constitutionnelle pour un parti de se former (sous réserve de l'exécutif, soit le Conseil des Commissaires des Peuples, pour évité toute menace à la République socialiste, garante de l'égalité).
Aujourd'hui, il existe 5 partis politiques stranéens dont les idées vont être brièvement expliqué:

Le Parti Socialiste de Libération du Peuple (PSLP/PSLR) est le parti au pouvoir depuis l'indépendance. Dans le cadre d'une société socialiste, le parti prône la nationalisation de toutes les entreprises nationales (ce qui tend à changer depuis le mandat d’Haryanto) et une implication de l’Etat dans l'économie sans pour autant la planifier. Sur le plan international, le parti a pour priorité le Nazum. Alors que le Fujiwa était dénoncé comme ennemi numéro 1 pendant plusieurs dizaines d’années, le parti a mené une politique de rapprochement avec le Fujiwa, notamment sous l'influence de la jeunesse et des autres partis. Le PSLP a mené pendant longtemps une politique d'urbanisation accéléré mais celle-ci a tendance à ralentir. De plus, le parti a su s'adapter aux différentes générations, ayant une ligne assez large. Grâce à cette stratégie, sa popularité reste grande. Dans cette optique, la coopération avec les autres partis est favorisée, notamment dans la distribution des ministères importants, par delà les divergences. Le parti ne dispose pas d'électorat précis bien qu'il soit d'autant plus populaire dans la région de Strana, grande bénéficiaire des réussites du parti au pouvoir. Le PSLP occupe 149 sièges à l'Assemblée Populaire. La Secrétaire du Parti est actuellement Kawaya Haryanto.
Le Kemajuan (KMJ) est le deuxième parti stranéen, formé en août 2007. Jusqu'en février 2012, le parti arborait le nom de Parti Écologiste Stranéen (PES). D'abord fondé autour de l'écologie, le parti a désormais pour mot d’ordre le progrès (kemajuan signifiant progrès en stranéen). Ainsi, le Kemajuan est favorable à une gestion énergétique plus responsable et à un ralentissement drastique de l'urbanisation. Le développement du tourisme de masse dans la région du Wilayah-Baru inquiète énormément le parti qui veut arrêter "ce désastre" pour le patrimoine stranéen et la qualité de vie des locaux. Le parti se porte également comme le principal acteur dans la reconnaissance et protection des droits des minorités comme le droit au mariage homosexuel. Concernant l'économie, celui-ci s'est dit ouvert à une privatisation limitée et libéralisation de certains secteurs comme celui des technologies. De plus, le Kemajuan est favorable à une forte coopération régionale et appelle à un plus grand rapprochement avec le Jashuria. L'électorat du Kemajuan est jeune. Il se localise dans les métropoles stranéennes et dans la région de l'Hutan où il est majoritaire. Le Kemajuan occupe 71 sièges à l'Assemblée Populaire. Le Secrétaire du Parti est actuellement Cangkir Rajasa.
Le Parti Communiste Stranéen (PCS/PKS) est le troisième parti politique au Negara Strana. Les mouvements communistes ont une longue histoire au Negara Strana. Au début du XXe siècle, les idées socialistes ne se propagent que faiblement dû à la lourde censure royale. Néanmoins, celles-ci se propagent rapidement à partir de la colonisation du pays par l'Empire Aichi, notamment grâce aux écrits du communiste Harto Taihoran. Ce dernier fonde la Ligue Communiste Stranéenne en 1941 (soit assez tardivement et bien après d'autres mouvements socialistes). Le taihoranisme instituera plusieurs principes fondamentaux du communisme stranéen qui se diffuseront dans le monde entier tel que la "théorie des trois mondes", la vive critique de l'impérialisme, l'anti-révisionisme et l'adaptation des thèses marxistes aux pays en développement. Cependant, Harto Taihoran ne gouvernera jamais, éclipsé par les socialistes modérés du Parti Socialiste de Libération du Peuple. Avec la politique du parti unique, une partie des membres de la Ligue Communiste Stranéenne rejoint le PSLP pour agir de l'intérieur pendant que beaucoup continuèrent de militer illégalement. Suite à la libéralisation de l'espace politique, le PCS devient le premier parti légalement formé en juillet 2005. Celui-ci est pour une collectivisation de l'économie et la création d’usines coopératives et de complexes agricoles autogérées par les travailleurs (plusieurs existent actuellement dans la région du Pesisir, sous gouvernance communiste). Le PCS est favorable à un durcissement de la liberté d'expression et d'association pensant que certains partis existant sont une “aberration” et une “honte à la nation” en étant ouverts à la privatisation. Historiquement, le parti a longtemps été profondément anti-Fujiwa ce qui se répercutait dans les propos de ses membres allant jusqu'à la xénophobie. Aujourd’hui, avec l’arrivée récente d'anciens du PSLP et le récent rapprochement de la diplomatie avec le Fujiwa, le parti a fortement modéré ses propos, restant tout de même fermement opposé au modèle économique libéral fujiwan. En outre, le parti est opposé à l'ouverture actuelle menée par le pays, désavantageuse pour les stranéens et laissant le pays “sombrer dans les vices capitalistes” selon lui. Le PCS aimerait également investir davantage dans l'armée afin de pouvoir mieux se défendre. Alors vieillissant et en baisse, l'électorat du parti s'est redynamisé ces dernières années. Il demeure fort dans les provinces rurales et dans la région du Pesisir qu'il gouverne actuellement. La Secrétaire du Parti est actuellement Maimunah Susanti.
Le Nouveau Parti Socialiste (NPS) est le quatrième parti au Negara Strana, autorisé en octobre 2007. Celui-ci veut développer un "socialisme de marché". Il est favorable à un développement plus poussé du libéralisme et d'ouverture au monde, peu importe les différends entre pays. Il est aussi intéressé par la privatisation de certaines entreprises et d'un recul de l'Etat dans l'économie. Selon le parti, le socialisme est déjà suffisamment installé dans le pays et celui-ci doit muter pour faire du Negara Strana un pays socialiste avec une économie de premier plan, rejoignant ainsi l’idée du “Renouveau Socialiste” porté par le Commissaire Lanang Waluyo. Le NPS approuve le développement du tourisme en Wilayah-Bura qui serait "une aubaine pour le pays" (à noter que le Commissaire délégué au tourisme est issu du NPS). Dû à ses positions ironiquement ambiguë sur le socialisme, le parti est surveillé particulièrement, certains demandant même son interdiction. L'électorat du NPS est localisé au Wilayah-Baru, surtout à Pantaibaru où se situe l'essentiel de l'électorat du parti. On observe également une montée du parti sur le littoral de Strana. Le Secrétaire du Parti est actuellement Murti Mahendra.

Le Kah Stranéen (KS) est le dernier parti politique autorisé au Negara Strana, le 25 mars 2011. Tout droit venu de la puissance du Grand Kah, les idéaux du kah se répandent dans le pays assez rapidement, notamment avec l'ouverture de la frontière avec l'exclave de Heon Kuang. Dans un Court Manifeste de la pensée du Kah Stranéen, le Kah Stranéen a pu exposer ses mesures phares tel que la restructuration politique, social et institutionnelle du pays autour de Communes grâce à une démocratie directe. Le parti n’a toujours pas participé à des élections. Cependant, nous pouvons observer que le mouvement, bien que rapidement légalisé, en est toujours à ses débuts. Malgré cela, le parti a réussi à arriver en tête d’une des vingts communes les plus importantes, Perdijona. Les actuelles têtes de file du Kah Stranéen sont Nurul Maryati et Anggabaya Mangunsong, maire de Perdijona.
Le Parti Socialiste-Islamique (PSI) était un parti politique autorisé au Negara Strana, en août 2010, puis interdit en 2012. Né dans le Pesisir, le mouvement politico-religieux du socialisme islamique stranéen prend de l’ampleur depuis 2000, en parallèle d’une nouvelle hausse de l’Islam, sans pour autant s'organiser. Ce mouvement populiste était pour l’instauration de l’Islam en tant que religion d’Etat. Sa brève autorisation constitue une anomalie corrigée par le Président de la République Socialiste du Negara Strana.

Enfin, il est important de mentionner Renaisans. Ce parti est interdit car anticonstitutionnel et considéré comme terroriste. Ce parti est favorable à une monarchie constitutionnelle par reconnaissance de l'empereur Kozuki Oden, actuel empereur fujiwan. Plusieurs attentats et actes de vandalisme ont été perpétré par le groupe Renaisans. Ces derniers sont reconnaissables par leur logo, un R dans un cercle (semblable au symbole anarchiste). Bien que son influence ait largement diminué, un rebond est observable notamment chez la jeunesse de la région de Strana où la diaspora fujiwane est importante.
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Religions au Negara Strana


L’Etat et la religion
La République Socialiste du Negara est un Etat laïque depuis la Constitution de 1962.
La liberté de culte est garantie. Cependant, il est à noter que celle-ci est seulement inscrite dans la loi, et non dans la Constitution. Dans un contexte de montée de certains mouvements politico-religieux, la liberté de culte pourrait être menacée.

Aujourd’hui, plusieurs religions cohabitent au Negara Strana. Cependant, cette affirmation est à relativiser. En effet, les croyances religieuses sont très différenciées selon les régions. Ainsi, la majeure partie des bouddhistes stranéens sont de Hutan. De la même manière, les minorités religieuses (catholique, protestante et shintoïste) se situent toutes dans les grandes villes de la région de Strana. C’est aussi ici que le taux d’athée et d'agnostic est le plus élevé. Au Negara Strana, parler de religion renvoie forcément aux fractures régionales.



Islam
Selon l’étude du Badan Statistik Nasionale, 43.4% des stranéens sont de confession musulmane (sunnite, majoritairement soufis) soit plus de 47,7 millions de personnes.

L’Islam a été d’abord introduit au Royaume du Pesisir par des marchands afaréens au Ⅹe siècle. La religion se répand rapidement dans le royaume. Elle se répand ensuite dans le Royaume de Strana lorsque le Pesisir perd la guerre et se fait annexer en 1578. Du Ⅺ au ⅩⅦe, la plupart des mosquées stranéennes furent construites, faisant aujourd'hui partie du grand patrimoine national.

Alors que le nombre de pratiquants chuta les années suivant l’instauration de la République Socialiste, on observe un regain de l’Islam ces 10 dernières années. Les musulmans demeurent toujours très nombreux, la religion s'étant adapté au nouveau cadre politique. L’Islam politique est singulièrement proche du socialisme. Lors de la guerre d’indépendance, beaucoup de socialiste, communiste et musulman ont coopérer contre l’occupation fujiwane. Depuis la mise en place du socialisme dans les années 1960, les dirigeants politiques ont poussés davantage les chefs religieux vers le soufisme, laissant place à l'interprétation philosophique et spirituelle. Ce courant, importé des nations nazumis de l'ouest, était déjà important au Negara Strana mais constitue la norme aujourd'hui.

La Grande Mosquée de Baranglama

Athéisme, agnosticisme
Selon l’étude du Badan Statistik Nasionale, 35% des stranéens se disent athées ou agnostic ce qui représente un peu moins de 38,5 millions de personnes.

Sous l’occupation fujiwane, l’athéisme et l’agnosticisme étaient déjà présents mais c’est dans les années qui suivirent l’instauration de la République Socialiste laïque que ceux-ci se sont développés.

Cependant, il est à noter que le nombre d'athées et d’agnostic n’augmente plus que faiblement depuis le début des années 2000.

Bouddhisme
Selon l’étude du Badan Statistik Nasionale, 14.2% des stranéens sont de confession bouddhiste soit près de 15,6 millions de personnes.

Le bouddhisme est surtout pratiqué dans la région de l’Hutan, frontalière au Jashuria qui a exporté cette religion dans le Royaume Hutan au Ⅱe siècle. Le bouddhisme au Negara Strana a longtemps suivi l’école Théravâda, comme dans tout le sud-est du Nazum, même si l’école Mahayana prend de plus en plus d’importance.

Le nombre de bouddhiste suit globalement le nombre du groupe ethnique hutan, pratiquant depuis plusieurs siècles la religion.

Pour en apprendre plus sur le bouddhisme d'influence jashurien

Temple bouddhiste à Hijau

Protestantisme
Selon l’étude du Badan Statistik Nasionale, 4,3% des stranéens sont de confession protestante ce qui représente 4,7 millions de personnes.

Le protestantisme a été introduit par des commerçants eurysiens au ⅩⅧe siècle. La plupart des protestants se trouvent aujourd’hui à Kotarakyat.

Le nombre de pratiquants est resté stable ces dernières années. Aujourd’hui, les gains de pratiquants se font principalement au dépend de l’athéisme et agnosticisme.

Eglise protestante à Kotarakyat

Shintoïsme
Selon l’étude du Badan Statistik Nasionale, 3.2% des stranéens sont de confession shintoïste soit près de 3,5 millions de personnes.

Le shintoïsme a été importé au Negara Strana, surtout dans la ville de Pradipta, lors de l’occupation fujiwane. Après l’indépendance du pays en 1960, tous les symboles de l’impérialisme fujiwan ont été réprimés, dont le shintoïsme. Bien qu’on observe peu de répression et que la liberté de culte est garantie de jure, des discriminations persistent encore.

Suite à la chute du shintoïsme dans les années allant de 1960 à 1970, le nombre de pratiquant decroit désormais que faiblement.

Catholicisme
Selon l’étude du Badan Statistik Nasionale, 2.4% des stranéens sont de confession catholique ce qui représente environ 2,6 millions de personnes.

Les origines du christianisme au Negara Strana ne sont pas très claires et définies mais un consensus est fait pour dire qu’il a été introduit par les colons fortunéens lors de leurs expéditions au Nazum. Cohabitant difficilement avec l’Islam, plusieurs massacres ont eu lieu, le plus connus étant celui de 1768 à Baranglama où 2.000 catholiques furent assassinées en une nuit. Aujourd’hui, les catholiques résident essentiellement à Pradipta.

A l’instar du protestantisme, le nombre de catholiques pratiquants est resté stable ces dernières années et les gains d’effectif se font principalement au dépend de l’athéisme et agnosticisme.

Cathédrale à Pradipta
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Economie et commerce


Informations économiques globales

Le Commissariat du Socialisme Economique, du Commerce et de la Mer
Le Commissariat du Socialisme Economique, du Commerce et de la Mer est responsable et dirigent de l'économie stranéenne. Bien qu'influencé par le Premier Commissaire du Peuple en place, le Commissariat est l'unique garant de l'économie et décide ce qu'il y a de mieux pour le peuple et la Nation.

Les entreprises stranéennes
Dès que la situation politique fut stabiliser par la Constitution de 1962, les moyens de productions ont été progressivement nationalisé. Aujourd'hui, toutes les entreprises sur le sol stranéen appartiennent à l'Etat (à l'exception d'AgroSynth, qui a obtenue une autorisation exceptionnelle) mais cela est voué à changer avec la nouvelle doctrine économique du Renouveau Socialiste. Effectivement, cette redirection économique a pour but de faire muer le socialisme afin de l'adapté et de le rendre meilleur pour les peuples.

Pour en savoir plus sur les entreprises stranéennes, cliquez ici

La monnaie stranéenne
  • Monnaie fiduciaire: Emas pekerja (communément “emas”)
  • Symbole monétaire : Ϸ
  • Organisme régulateur : Bankel Negara Strana (BNS)


Données commerciales globales

A compléter


Exportations du Negara Strana

Les produits issus de l'agriculture représentent une grande partie des exportations stranéennes. Cela forme l'un des principales atouts commerciaux du Negara Strana, le riz (10.5%) et le soja (8%) disposant d'une forte demande dans le Nazum. Les ressources naturelles telles que le charbon (9%) et le nickel (7%) incarnent également un point fort dans le commerce stranéen. Les industries, presque toute situé dans la région de Strana, ne sont évidemment pas à oublié. Effectivement, la part de l'industrie textile et la construction navale équivalent respectivement à 13% et 10% des exportations du Negara Strana.


Les chiffres présentés correspondent à ceux de l'année 2010.

Importations du Negara Strana

Les importations stranéennes sont variés mais nous pouvons remarquer que la part des matériaux et outils de construction est assez élevé (19,09% des exportations au total). Les ressources énergétiques représentent une part similaire des exportations (20%), tout comme les produits manufacturés (21,7%). Nous pouvons également noter que le pays importe dans le domaine de l'armement.


Les chiffres présentés correspondent à ceux de l'année 2010.


Accords économiques et commerciaux en vigueur

Fujiwa
  • Baisse des taxes à l'importation et à l'exportation de 8%.

  • Jashuria
  • Achat important de produits issus des secteurs des travaux publics, de l'industrie, pharmaceutique et militaire.
  • Vente de riz et de terre rare.
  • Financement jashurien dans l'entreprise mixte Boyaji! afin de favoriser sa transition.

  • Grand Kah
  • Achat de matériel industriel, techniques et informatiques (en provenance du Kah Paltoterran).
  • Vente de produits agroalimentaires (pour l'exclave de Heon Kuang) ainsi que de pétrole, minerais métallifères et de bois (pour le Kah Paltoterran).
  • Régulation conjecturelle des échanges favorisant la baisse prix dans les marchés domestique respectifs

  • Milouxitania
  • Achat à prix préférentiels concernant le gaz, le blé et les produits issus de l'élevage.
  • Vente à prix préférentiels concernant le textile, le cuivre et l'industrie automobile.
  • Accords sur l'implémentation de Boyaji! au Milouxitania.

  • Empire Xin
  • Vente du pétrole brut stranéen en échange d'acier ushong

  • Wanmiri
    Accords stranéo-wanmirien signé le 20/02/2012
  • Achat de coton, thé, café, cacao, caoutchouc, fruits exotique et ressources halieutiques alimentaires
  • Vente de navires commerciaux, riz, huile de palme et soja.
  • Accès priviligé aux secteurs miniers, pétroliers, gaziers et touristiques contre de grands investissements stranéens dans ces secteurs.

  • Partenaires commerciaux du Negara Strana

    A compléter
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    Education

    La philosophie du système éducatif stranéen

    Depuis la fondation de la République Socialiste du Negara Strana, l'Education a toujours constitué la pierre angulaire du projet de société que voulait mettre en place Purwadi Pradipta. Dans les années soixantes, il entreprend une série de réforme pour construire un système éducatif encadrant servant les intérêts de la Révolution et du prolétariat. Durant ses années, le Commissariat à l'Education n'est même pas constitué, la Présidence de la République Socialiste du Negara Strana s'accaparant du domaine. Selon la philosophie pradiptienne, l'instruction du peuple est primordiale pour conserver sa cohésion autour des idées révolutionnaires et du socialisme. Elle permet non seulement l'élévation des compétences des travailleurs, permettant de former des travailleurs à hautes compétences, mais aussi à former une masse travailleuse conséquente, efficace et productive. Ainsi, les réformes de Pradipta ont conduit à l'instauration d'une école solide pour former autant de théoriciens que de pratiquants. Couplée à la restructuration du système éducatif, la masse investie annuellement dans l'Education (première dépense du budget depuis 1964) permet à celle-ci d'être particulièrement fonctionnelle, convaincante et reconnue à l'internationale.
    "Une Ecole ne formant que des théoriciens est bourgeoise. Le monde est bâtit autour des travailleurs pratiquants dont la formation ne saurait être négligée"
    - Purwadi Pradipta, avril 1964




    L'organisation du système éducatif stranéen

    Le système éducatif est organisé en trois temps. Premièrement, l'Ecole Fondamentale (Sekolah Mendasar) assure l'instruction des enfants allant de 6 ans à 15 ans. A la fin du cursus, le Diplôme National de l'Ecole Fondamentale (DNEF), dit Diploma Nasional Sekolah Mendasar (DNSM), est délivré. Celle-ci est complété par l'Ecole Complémentaire (Sekolah Pelengkap) pour les adolescents de 15 ans à 18 ans. A la fin du cursus, le Diplôme National de l'Ecole Complémentaire (DNEC), dit Diploma Nasional Sekolah Pelengkap (DNSP), est délivré. Finalement, les jeunes adultes ont le choix de rejoindre une Université stranéenne, dit Universitas, ou bien une Ecole Pratique, dit Sekolah Praktis, pour une durée variable en fonction des cursus et formations. Décrivons plus en détail ces trois étapes du système éducatif stranéen, de l'écolier à l'étudiant en passant par l'élève.

    L'Ecole Fondamentale et Complémentaire

    L'Ecole Fondamentale et l'Ecole Complémentaire correspondent aux deux premières étapes mais peuvent être regroupées en une. Leur objectif est de donner des connaissances solides, claires et fondamentales au sein de cinq domaines disciplinaires, classés ici par importance selon la nomenclature établit par Purwadi Pradipta, toujours en vigueur.

    • Langue et Littérature Stranéenne. Alors que les premières années d'Ecole Fondamentale sont consacrées à l'étude de la Langue Stranéenne (leçon de grammaire, d'orthographe et de vocabulaire, dictée, phonétique et prononciation, etc...), le temps accordé à l'étude de la Littérature Stranéenne (roman, théâtre, poésie puis littérature d'idée) augmente au fil des années au détriment de la première. Dans les programmes des Ecoles Complémentaires, l'étude de la langue n'apparait plus au profit de l'étude de la Littérature Stranéenne qui est étendue à la littérature d'idée et à la philosophie.

    • Mathématiques. L'étude des mathématiques est centrale de la première année d'Ecole Fondamentale jusqu'à la dernière d'Ecole Complémentaire. Au sein de cette dernière, leur étude est appliquée à un domaine choisi par les élèves, ou peu demeurer générale pour les élèves se spécialisant dans les mathématiques. Dans ce même contexte, l'Economie peut également être enseigné.

    • Sciences de l'Humanité. Celles-ci correspondent, dans le cas de l'Ecole Fondamentale, à l'étude de l'Histoire et de la Géographie du Negara Strana. Ce domaine disciplinaire permet de transmettre aux écoliers et élèves l'histoire commune à l'ensemble des stranéens mais aussi leurs spécificités, ne formant pas un peuple homogène mais uni. Dans l'Ecole Complémentaire, l'enseignement de la sociologie peut être ajouté au cursus.

    • Sciences Physiques et Biologiques. Ce domaine regroupant plusieurs larges disciplines permet aux écoliers et élèves d'aborder, et de connaitre, les phénomènes physiques ou biologiques fondamentaux.

    • Langues Supplémentaires. Une ou plusieurs langues supplémentaires au stranéen peuvent être proposé par les Ecoles Fondamentales et Complémentaires. Le choix est laissé libre aux communes qui les définissent. Les langues étrangères les plus enseignées par les Ecoles sont le fujiwan, le jinséen et le jashurien. En outre, un grand nombre d'établissement propose l'apprentissage de langues régionales comme le Pesisir mais surtout l'Hutan qui a capitalisé sur cette possibilité pour conserver et transmettre ses spécificités culturelles au mieux.

    L'ensemble de la formation délivrée par les Ecoles est complétée de temps d'éducation sportive et d'éducation citoyenne. De plus, l'uniforme est obligatoire en Ecole Fondamentale et peut l'être également en Ecole Complémentaire dans certaines communes à la discrétion des Conseils Populaires Communaux. L'uniforme est bicolore, étant composé d'un haut blanc et d'un bas rouge. Seule la couleur de l'uniforme est fixe, la nature des vêtements (tshirt, polo, pull, hijab, jupe, pantalon, short, etc...) n'étant pas précisé et pouvant évoluer selon les Communes, les Ecoles ou les directives nationales. Les Communes, soutenues par le Commissariat de l'Education, sont responsables de l'achat des uniformes, fournis gratuitement aux écoliers.


    Ecoliers en 4e année d'Ecole Fondamentale portant l'uniforme
    Ecoliers en 4e année d'Ecole Fondamentale portant l'uniforme


    Les Universités

    Une fois leur Diplôme National de l'Ecole Complémentaire (DNEC) obtenu, les jeunes stranéens ont l'opportunité d'intégrer une Université. Avant cela, les premières universités sont apparus au Pesisir avec l'émergence progressive des sciences islamiques et de ses savants suites aux différents échanges commerciaux réalisés avec des marchands banairais à partir du Xe et XIe siècle. Indépendantes du pouvoir, celles ci sont toute de même consultées et soutenues par les rois successifs notamment par la création de l'Académie Royale des Sciences Islamiques en 1646. Lors de la proclamation de la République Socialiste du Negara Strana, les Universités sont remaniées. Elles deviennent publiques, gratuites et sous le contrôle de l'Etat. Néanmoins, à partir de la fin des années 1980 et du début des années 1990, celles-ci deviennent indépendantes de fait et ne sont plus soumis au contrôle étatique. Sous la Présidence de Pradipta, l'Académie Royale des Sciences Islamiques change de nom pour devenir le Conseil Universitaire Nationale, ayant deux fonctions. Ce dernier est à la fois un Conseil regroupant les Présidents d'Université consultable par le Commissaire à l'Education et une plateforme commune aux universitaires et chercheurs du Negara Strana.

    Depuis les réformes entreprises par Pradipta, les universités différentes coexistantes dans les villes ont été regroupés. Ainsi, chaques grandes villes possèdent une seule université. L'ensemble des universités portent la forme juridique "d'Université de X". Cependant, les anciennes dénominations tendent à perpétuer dans le langage courant et certains établissements utilisent un autre nom en dehors du cadre juridique. Les universités les plus réputés du Negara Strana sont, sans surprise, dans les plus grandes villes du pays, bénéficiant d'un nombre important d'étudiants et d'un grand héritage universitaire.

    • L'Université de Kotarakyat, dite Université Nationale du Peuple, renommée pour sa qualité d'enseignement dans le domaine des Sciences de l'Humanité (histoire, géographie, anthorpologie). Cependant, elle constitue une référence dans l'ensemble des disciplines s'établissant comme un centre de formation général. Son Ecole de Droit est réputé, axé sur les théories du droit naturel. Généralement, le centre universitaire est un lieu d'ébullition de la pensée socialiste depuis le XXe siècle, continuant de l'être aujourd'hui. En outre, en étant la plus grande université stranéenne en terme d'effectif, elle dispose d'un vivier important de chercheurs. Historiquement, l'Université de Kotarakyat est considérée comme détentrice du titre de la meilleure université stranéenne.

    • L'Université de Pradipta, regroupant notamment l'Ecole des Sciences et Techniques de Pradipta et la Grande Ecole des Sciences Economiques et Juridiques de Pradipta. Au Negara Strana comme à l'international, la dite Ecole de Pradipta est reconnu pour former strictement ses étudiants, leur apportant une discipline et une précision remarquable. Considérée par beaucoup comme la meilleure université stranéenne pour l'économie et le droit, elle est l'initiatrice et le moteur des courants économiques libéraux sur le plan national et dispose d'une vision positiviste du droit, à l'inverse de l'Université de Kotarakyat, concurrente historique.

    • L'Université de Hijau, reconnu pour son Académie des Arts et l'Institut National des Sciences Biologiques. A l'image de la ville, l'Ecole est marquée par la nature, tant par les disciplines enseignées que par les locaux universitaires où la végétation prospère. Situé en bords de mer, l'Institut National des Sciences Biologiques, intégré à l'Université d'Hijau, bénéficie d'un terrain d'étude à ciel ouvert qu'elle optimise pour la formation de ses étudiants et les recherches de ses doctorants. L'Université forme aussi de nombreux architectes issus de l'Académie des Arts couplés aux enseignements mathématiques.

    • L'Université de Baranglama, autrefois renommée pour l'Institut des Etudes Islamiques. Depuis l'avènement de la République Socialiste, celle-ci a perdu en pertinence mais reste un centre de théologie important à l'international, attirant des étudiants musulmans du monde entier. De son côté, l'Ecole de Droit, qui faisait partie de l'Institut, s'est "laïcisé" et demeure une excellente université de droit, enseignant toujours les spécifités du droit islamique. Egalement inclus dans l'ancien institut, les enseignements en mathématiques et médecines ont été entretenus, ne perdant pas en prestige. Depuis le XXe siècle, l'Université constitue égalemet un important centre intellectuel communiste.


    Le Classement de Pradipta

    Chaque année, l'Université de Pradipta émet son classement académique des universités mondiales, fortement attendu et suivi à l'international: le Classement de Pradipta. A partir de nombreux critères, un classement général et plusieurs par catégorie sont effectués.

    Edition de 2014


    Les Ecoles Pratiques

    Alternativement aux universités, les Ecoles Pratiques peuvent être choisis par les étudiants pour continuer dans l'enseignement. Pure idée de Purwadi Pradipta, les Ecoles Pratiques sont des établissements visant à former les étudiants à certaines professions par la pratique et l'initiation professionnelle, les étudiants alternant entre cours et formation en entreprises. Pensées aux débuts de la République Socialiste, les Ecoles Pratiques sont toutes obligatoirement forte collaboration avec l'une, ou plusieurs, des grandes entreprises nationales telles que l'Agence Coordinatrice des Industries Stranéennes (la BKIS). Régulièrement, les cours sont dispensés par des travailleurs qualifiés provenant de ces entreprises, n'étant pas des professeurs à part entière. Lors de l'après guerre, ces établissements furent pensés pour former rapidement de la main d'oeuvre et reconstruire le pays. Aujourd'hui, le système fonctionne toujours et les travailleurs ne cessent d'être de plus en plus qualifiés.

    Au Negara Strana, les Ecoles Pratiques se situent dans les plus grosses villes. Les dix plus gros centres de formation sont ceux de Pradipta, Kotarakyat, Baranglama, Hijau, Perdijona, Nua Sokco, Karamanilopeji, Boce, Manalotaug et Kaigan. Néanmoins, de part leur modèle simple et efficace, les Ecoles Pratiques débutent à s'exporter avec la création des Ecoles Pratiques Stranéennes Internationales (EPSI). Aujourd'hui, l'essentiel des EPSI se trouvent au Wanmiri dans le cadre des récents accords billatéraux mais plusieurs de ces établissements naissent dans d'autres pays.
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