26/02/2015
09:12:36
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Indici de Consciéncia Ecologica (ICE), en français Indice de Conscience Ecologique

CRÉATION DE L'ICE (INDICE DE CONSCIENCE ÉCOLOGIQUE)

Constituée pour l'heure seulement par des Milouxitans, "Sauvaguarda" a développé, après des heures de réflexion et de tests, l'ICE. Afin de mieux comprendre l'état de l'écologie dans le monde, un classé avec les états volontaires sera publié sous peu.

Voici comment se fait le calcul.

Sept critères seront pris en comptes : le recyclage, les plastiques rejetés dans la nature, la pollution des cours d'eau, les GES dans l'air, la place de l'agriculture biologique, les aires naturelles protégées (protection des biodiversités), et enfin le CO2 par tête.


1 - Le recyclage

Le recyclage occupe une place importante dans la préservation des ressources. Ici, c'est le pourcentage de déchets recyclés parmi tous qui nous intéresse. En fonction du pourcentage donné, une note de 1 à 10 sera donnée.

Exemple : au Milouxitania, 43.5% des déchets sont recyclés, ce qui est bien sûr insuffisant mais bien supérieur à la moyenne mondiale. Cela équivaut à une note de 9/10.

2 - Les plastiques

Le plastique, très utilisé sur la planète, et la cause première de la pollution des océans et des terres. Il est donc primordial de les recycler au mieux, voire de réduire leur utilisation. Ce qui nous intéresse ici, c'est le pourcentage de plastiques usés qui finissent dans la nature (mers, forêts, fleuves, etc...), bref, qui ne finissent pas à la poubelle.

Exemple : au Milouxitania, 7.1% des plastiques utilisés finissent leur vie dans la nature. Bien qu'encore trop élevé, ce chiffre, inférieur à la moyenne en raison des politiques strictes de l'état, donne une note de 9/10.

3 - Pollution des eaux

Faute de manière suffisamment développée pour calculer la pollution des eaux qui peut varier selon les saisons, nous demanderons aux pays volontaires de donner objectivement une note sur 10 quant à la pollution des eaux de leur pays. Ils peuvent pour ça se référer à leur scientifique. Plus la note est élevée, moins les cours d'eau sont pollués.

Exemple : au Milouxitania, la note de 8/10 a été donné en raison de la clarté de la plupart des cours d'eau, et de la viabilité de ceux-ci.

4 - Les gaz à effet de serre

Les GES contenus dans l'air sont le reflet de l'activité néfaste humaine. Ici, nous nous intéresserons au pourcentage de GES moyen contenu dans l'air.

Exemple : au Milouxitania, il y a 0.045% de GES contenus dans l'air, ce qui est un excellent indicateur en raison des restrictions sur le rejet de CO2 dans l'air. La note de 10/10 est de mise.

5 - L'agriculture

Voilà une autre facette de l'écologie. L'utilisation parfois massive de pesticides dans les champs agricoles est un facteur de diminution d'éléments essentiels à la biodiversité. Ici, nous nous intéresserons au pourcentage de parcelles agricoles biologiques (qui n'utilisent pas de pesticides), parmi toutes les parcelles.

Exemple : au Milouxitania, l'agriculture biologique a eu un bond ces deux dernières années après avoir vu une négligence des gouvernements précédents. Aujourd'hui, 19.3% des parcelles sont biologiques, ce qui confère une note de 7/10.

6 - Les aires protégées

La protection de la biodiversité est un élément important à prendre en considération lorsque l'on cause écologie. Les aires protégées permettent de sauvegarder des espèces sensibles et en danger. Nous allons ici prendre en compte le pourcentage qu'occupent les aires protégées naturelles par rapport à la superficie totale du pays.

Exemple : au Milouxitania, les aires naturelles protégées existent pour beaucoup depuis des siècles. Aujourd'hui, un peu moins de la moitié du territoire est considéré comme protégé, plus exactement 44.2%, ce qui donne une note de 9/10.

7 - Le CO2 par tête

Enfin, le CO2. Afin de ne pas privilégier les plus petits pays, nous nous intéresserons aux émissions de CO2 par habitant et non aux émissions totales.

Exemple : au Milouxitania, ce taux atteint 2.95 tonnes de CO2 par habitant, soit un taux très bas, donc une note de 9/10.

Au total, la note du Milouxitania s'élève à 61/70, soit 87.14/100, donc un ICE excellent.

Classement total :

0-20 : ICE très bas, désastre écologique

21-40 : ICE moyen, nous croyons en vous

  • Carnavale : 40

41-60 : ICE bon, encore un effort !

  • Pharois : 50.00
  • Peronas : 54.29
  • Prima : 55.71

61-80 : ICE haut, vous y êtes presque !

  • Fujiwa : 62.85
  • Shuharri : 65.71
  • Travie : 72.89
  • Volignon : 80.00

81-100 : ICE parfait, génies de l'écologie

  • Empire du Nord : 82.86
  • Milouxitania : 87.14
  • Lofoten : 88.57
  • Fjollskot : 90.00
  • Althalj : 91.48

N'hésitez pas à la suite de ce message de donner vos données (...) et nous calculerons votre ICE. Si vous ne pouvez pas remplir un critère, mettez une justification et la note sera mise sur 60, puis sur 100. Cela ne vous pénalisera pas.
Pays : Provinces-Unies du Lofoten

1 - Le recyclage :

Le tri sélectif est variable d'une province à l'autre, certaines ont des filières de recyclage très poussées, d'autres non. Chaque province a ses propres consignes de tri, ses propres règles de gestion, et son propre code sanitaire.
De manière générale :
53 provinces sur 60 pratiquent le tri sélectif
44 provinces sur 60 ont au moins plus d'une filière de recyclage.
26 provinces sur 60 pratiquent la consigne
22 provinces sur 60 ont rendu le compostage domestique obligatoire

Ainsi en moyenne le taux de recyclage atteint les 31% mais avec de très grandes disparités. Les Landsdeler du Ponant et du Midlands recyclent le plus, avec respectivement 45% et 36% de taux de recyclage, suivi du Northerlands, 27,5% et en que de peloton le Landsdeler du Sutherlands, seulement 19% de taux de recyclage. (c'est le Landsdeler le plus peuplé, le plus industrialisé, et aussi le plus riche)

Note de 8/10


2 - Les plastiques :


Le taux de recyclage des emballages plastiques s'établit à 48% en moyenne, là encore avec de très nombreuses disparités sur le territoire. Des Provinces interdisent purement et simplement le suremballage, l'utilisation de plastiques non biosourcés ou non recyclables, et les sachets/poches/sacs en plastiques. D'autres en revanche, n'ont aucune restriction, ni obligation de ce genre, même si elles sont en minorité.

En revanche, au niveau fédéral, il existe une taxe de contribution pour la valorisation des emballages plastiques, dont doivent s’acquitter tous les industriels, commerçants et professionnels du secteur, mais elle est très loin d'être incitative car trop faible. Elle permet néanmoins de réduire l'usage de plastiques uniques.

A peu près 42% des plastiques non reyclés et non recyclables sont incinérés ou enfouis. Le reste (aux alentours de 10%) terminent dans la nature.

Note de 7/10


3 - Pollution des eaux :


La gestion des eaux est entièrement privée aux Provinces-Unies, plusieurs agences et distributeurs, parfois opérant sur plusieurs provinces à la fois, se partagent le marché de la distribution du réseau d'eau potable public.
Là encore, chaque province a ses propres standards et ses propres normes.
Certaines sont par ailleurs parmi les plus exigeantes et strictes au monde.
Les eaux fluviables et les espaces maritimes sont régulièrement contrôlés par les agences fédérales. Fort heureusement, les provinces côtières et insulaires sont majoritairement gouvernées par des Jarls écologistes ou sociaux-démocrates, qui ont pris des mesures et des programmes de contrôle et de limitation de la pollution fluviale et marine assez importantes.
En outre, les très nombreux lacs et ressources hydriques du pays assurent un renouvellement et une quantité faramineuse d'eau de source, de fontes des neiges et d'eau de montagne, déjà très qualitative et exempte de polluants.

En moyenne, les Provinces-Unies sont proches de la note de 9/10 concernant la gestion de l'eau



4 - Les gaz à effet de serre :


Le pays est une nation pétrolière et industrielle, il est donc naturel de penser que les émission de gaz à effets de serre sont légion, or il s'avère que les normes environnementales sont pour la plupart assez élevées. De plus, les industries et entreprise sont pour beaucoup délocalisé leurs activités polluantes et éméttrices dans d'autres pays plus tolérants et permissifs en matière environnementale, notamment certains pays d'Eurysie et du Nazum.

En outre, grâce à une politique de subvention des énergies renouvelables, et la mise en place à marche forcée d'ENR dans le mix énergétique, et la fin abrupte et brutale des centrales à énergies fossiles font que les Provinces-Unies sont très peu émettrices de GES. Ajouté à la décarbonation de l'énergie, l'usage répandu du véhicule électrique et du vélo pour les trajets quotidiens, et surtout l'utilisation régulière et plébiscitée des zeppelins pour les vols intérieurs a drastiquement réduit la part des transports dans l'émission des GES.

Aussi le Lofoten , en terme de tonne d'émission de GES par tCO2 émis , est de 45 millions de tCO2e (l'équivalent de la Suède), soi une note de 9/10 à peu près.

5 - L'agriculture

Les Provinces-Unies sont tous sauf une nation agricole, mais passent par l'aquaponie et l'hydroponie, et leurs fameuses fermes verticales, très rentables et productives, au rendement significatif, presque exempts de tout intrant et produit phytosanitaire. Le peu de terres agricoles dont dispose le pays utilise peu de pesticides, la permaculture et l'agro-écologie, pour des raisons à la fois climatiques et historiques, sont la norme. On considèrera donc dans cette configuration un peu particulière que l'agriculture du Lofoten est bio à près de 92%, soit une note équivalente également à 10/10.

6 - Les aires protégées


Les grands parcs nationaux et les réserves fédérales sont légions aux Provinces-Unies. La gestion et la protection de ces réserves sont pour une fois, de la compétence fédérale, et gérée donc au niveau national, car beaucoup d'entre eux chevauchent plusieurs provinces à la fois, et qu'il était donc irréaliste de confier cette gestion au niveau provincial. Les Park Rangers, sont une force de protection de la vie sauvage, qui dépendent donc du Département d'Etat Fédéral à l'Environnement, et sont donc dotés d'un budget très conséquent.

Les Parcs Nationaux sont extrêmement protégés et surveillés, à la fois par les patrouilles de Rangers, mais aussi les gardes-côtés, et de nombreux hélicoptères dont ils disposent pour pouvoir couvrir des larges périmètres de défense.

LeLofoten est en avance en ce qui cocnerne la protection animale. C'est le seul pays unique au monde qui a inscrit le droit animal dans la Charte d'Union, et donc de manière constitutionnelle. La maltraitance animale et sévèrement punie, les zoos, marinelands, et autres lieux de divertissements où les animaux sont exploités à des fins triviales sont interdits.

En outre, près de 2 lofotens sur 5 se déclarent végétarien, et 1 sur 5 est végétalien (ou végan).

L'Archipel du Ponant possède le plus d'Aires Protégées, en fait la surface territoriale du Landsdeler, constitué de très nombreuses îles, est constituée de 68% d'aires protégées.

Beaucoup d'espèces sont également protégées. En abattre une peut s'exposer à de lourdes sanctions, car c'est un délit fédéral.

En moyenne 51% du territoire est considéré comme protégé, réserve naturelle, ou bien réserve semi-protégée, soit l'équivalent d'une note de 10/10.

7 - Le CO2 par tête

Les Lofotèns emettent très peu de C02 car la plupart possèdent des habitats écologiques à faible émissions et ont un usage des transports faiblement carboné (vélo et voiture électrique en ville, train et transports en communs à l'extérieur, zeppelins pour les plus long trajets). Une grande proportion d'entre eux est végétarien, et c'est notamment dû au climat, et au fait que les Lofotèns n'ont que très rarement eu recours à l'élevage animal, or c'est l'un des plus grands facteur de contribution au dérèglement climatique et une source très génératrice de méthane.
Le mix énergétique es constitué à 75% d'ENR et énergies vertes. En revanche, le seul point noir est l'extraction et le forage de puits et ressources pétrolifères, et le nord et les eaux du pays en sont très riches.

Beaucoup est exportée, et ne finit donc pas dans le bilan carbone de chaque lofotène, toutefois, son exploitation et son extraction génère une quantité importante de C02 et de pollution atmosphérique, qui devra donc être imputée à chaque lofotène
Ce taux atteint 3.05 tonnes de CO2 par habitant, soit un taux plutôt bas, et qui a tendance à diminuer. On peut donc attribuer au Lofoten la note de 8/10.

Soit 61 /70 => 87,14/100
1 - Le recyclage

A Carnavale, environ 70% des déchets ont plusieurs vies et sont réutilisés buts par les pauvres ! Carnavale s'engage pour l'écologie ce qui lui vaut un magnifique 10/10 !

2 - Les plastiques

A Carnavale, environ 80% des plastiques finissent dans les rues de la ville et pas dans la nature ! Merci Carnavale de préserver la planète grâce à tes buildings de déchets ! 5/10 !

3 - Pollution des eaux

A Carnavale l'eau est très polluée... heureusement les humains ne sont pas des poissons ! Ouf ! 0/10 !

4 - Les gaz à effet de serre

A Carnavale, il est recommandé de posséder un masque à gaz dans la plupart des quartiers. Les masques à gaz ? Un accessoire chic et classe pour toute la famille ! Respirez une bonne rasade d'oxygène détox grâce à nos filtre à airs parfum framboise, myrtille, grenadine et saumon ! 0/10...

5 - L'agriculture

0/10.

6 - Les aires protégées

Le zoo de Grand Hôpital abrite un grand nombre d'espèce disparues qui sont mangées en quantité limitées et régulièrement clonées. Merci Carnavale de sauver le patrimoine de la faune terrestre ! Qu'est-ce qu'on mange ce soir ? Miam du dodo ! 10/10 !

7 - Le CO2 par tête

A Carnavale, la grande quantité de miséreux permet de compenser le CO2 dégagé par les centrales à pneu ! Merci Carnavale de maintenir un niveau de vie supportable pour la planète ! 10/10 !


Note finale :

35/70
50/100 ICE bon, encore un effort !
Bravo Carnavale !
1 - Le recyclage : En volume, on est aux environs de 65 % de déchets recyclés. Plutôt 10 % de l'énergie utilisée.

Les Terres australes sont une région très limitée en ressources, quasiment tout ce qui peut être recyclé y est recyclé. La région de Tumgao est récente, elle dispose d'un réseau de recyclage fonctionnel, mais mise sous tension par la crise migratoire permanente à laquelle fait face la ville depuis la formation de la région en 2004. Hohhothaï est probablement la ville dans laquelle le système de recyclage est le moins fonctionnel. Le traitement des déchets est en miettes depuis la révolution et le Consortium de Hohhothaï n'avait jamais mis en place de système de recyclage auparavant. La politique shuhe est d'être en mesure de recycler au maximum ses ressources minérales, organiques, et énergétiques, car l'approvisionnement n'est pas considérée garantie.

2 - Les plastiques : 15 % se retrouvent dispersés

En fait, si l'on parlait uniquement des plastiques utilisés actuellement, on serait plutôt autour de 5 %, et en partie des biopolymères généralement biodégradables. La majeure partie des plastiques échappant à la gestion des déchets viennent de ruines et de décharges hohhothaïennes encore non nettoyées. Sinon, l'importation de plastique pétrolier est évité à Hohhothaï et Tumgao car ces deux régions disposent de systèmes de cyclage des nutriments dont l'usage peut être compliqué par les matières organiques non biodégradables et les microplastiques. Les importations existent à Hohhothaï, les plastiques sont recyclés au possible, parfois dans des ateliers artisanaux mal équipés, rendant le recyclage de plastiques assez polluant faute d'équipement adéquat, mais limitant la dispersion dans l'environnement.

3 - Pollution des eaux : 4/10

Les eaux des Terres australes sont extrêmement propres et le Fjord des Ankallyts est une des zones les plus surveillées au monde, la survie de dizaines, voire de centaines de milliers de gens dépendant de la pêche dans ses eaux. Les lacs et cours d'eau de l'Enclave volcanique sont généralement propres, la pollution y est surveillées, un bon nombre sont toutefois pollués par des composés volcaniques, ce qui permet le développement d'organismes endémiques, mais ce qui rends ses cours d'eau assez dangereux pour les humains, une association milouxitane pourrait ou non considérer ces eaux polluées. La région de Tumgao dispose d'un important port de maintenance des bateaux ouvert à des navire parfois en mauvais état, sa mer est également riveraine de celle de bien d'autres pays, et est donc relativement polluée. Il reste possible d'y pêcher ou de s'y baigner. Hohhothaï au vingtième siècle était une ville très industrielle. Les cours d'eau et mers de Hohhothaï subissent les conséquences de décennies de développement industriel non contrôlée, si la révolution à arrêté la production industrielle, et si l'industrie y devient beaucoup plus strictement régulée, les ruines, les déchets, et les sols contaminés pollueront les eaux pour longtemps.


4 - Les gaz à effet de serre : 0.12 % environ

Statistique difficile à estimer à l'échelle nationale car on parle de régions au contexte très différents. Globalement, les gaz à effets de serre sont surtout volcaniques aux Terres australes (il y a très fréquemment une éruption quelque part, ce à quoi on peut rajouter des centaines de fumerolles), il existe une aciérie à Braha qui utilise du charbon à coke extraite au nord de l'Enclave, des ruminants sont présents sur le territoire, le gaz issu de la méthanisation est utilisée comme source d'énergie, notamment de carburant. A Tumgao, le bois est utilisé pour cuisiner et se chauffer (les nuits étant relativement froides au Shahil), les Pèlè et les Majeqa sont des peuples de pasteurs nomades et ont donc des élevages de ruminants conséquents. A Hohhothaï, les décharges et ruines émettent une bonne partie des gaz à effet de serre. 40 % de l'énergie de la ville environ est fournie par une centrale à gaz, et des générateurs à gaz. Enfin, aux Terres australes et à Hohhothaï, il existe d'importantes zones humides dont le sol comporte des conditions anaérobies, si bien que du méthane s'en dégage.

5 - L'agriculture 3 % des parcelles peuvent être considérées bios

L'agriculture Hohothaïenne est en plein remaniement, et des grandes polycultures traditionnelles ou collaboratives ont fait leur apparition, mais avec des zones déjà relativement polluées, très peu de parcelles pourraient prétendre à la labellisation biologique selon les standards de Sauveguardia. Dans l'Enclave, une partie de l'agriculture fonctionne selon des schémas traditionnels, mais la majeure partie se fait en condition hors-sol, les pesticides y sont très peu utilisées, la variété agricole et l'isolement des serres infectées étant préférée, il arrive que certaines serre utilisent des organismes pesticides. Ses serres sont un flou concernant l’appellation bio, donc elles ne sont pas comptabilisées comme telle. Globalement, il y a une région qui pourrait prétendre faire un majorité de l'agriculture biologique, c'est Tumgao. Là, des systèmes agricoles traditionnels shahilis côtoient des grandes multicultures municipales utilisant les dernières avancées de l'agronomie. A noter que les parcelles "bio" de Tumgao sont souvent de grands champs communaux, et que donc, il y en a peu, si bien que si 3 % des parcelles shuhes peuvent être considérées bio, elles assureraient plutôt 10 à 20 % de la production alimentaire du pays.

6 - Les aires protégées : 4 %

Les Shuhs n'ont connu que très tardivement les doctrines de protection des milieux naturels telles qu'elles pourraient être pratiquées en Eurysie. En général, les quelques zones qui pourraient répondre au critère sont protégées à titre religieux. Partout ailleurs, l'exploitation d'un territoire se fait par l'attribution de licences d'exploitation à tel groupe ou peuple. En général, l'on s'assure d'éviter les impacts irréversibles car cela pourrait impacter les chance de survie à long terme de toute la population shuhe.

7 - Le CO2 par tête : environ 1,2 tonnes d'équivalent CO2 par tête, y compris émissions importées et exportées.

Les voitures en fonctionnement sont très rares, la majeure partie de l'électricité est produite par l'énergie solaire, éolienne ou géothermique, les forêts sont en train de s'étendre à Hohhothaï. Les principales sources d'émissions de gaz à effet de serre sont l'élevage, existant dans les trois région, et les ressources minérales utilisées pour différents usages (l'informatique y est en plein développement par exemple, différents serveurs sont en construction, et plusieurs super-ordinateurs sont en plans). Un autre poste d'émission est le gaz, servant de source d'énergie d'appoint, et surtout, de carburant (faisant des peuples dérivants d'assez gros émetteurs pour des standards shuhs, ils sont fréquemment en déplacement et utilisent parfois du carburant gazier ou pétrolier pour manœuvrer leurs navires).
1 - Le recyclage : 9.5/10

Le recyclage est presque total, mettons 95%, puisque tout ce qui peut être réemployé l'est : tout les récipients en verre sont consignés, tout ce qui est carton sert à l'allumage des feux ou dans les toilettes sèches, les déchets organiques sont compostés ou données aux cochons, les machines ne sont pas soumises à l'obsolescence programmée et l'on répare tout les équipements à l'outrance, ce qui ne peut plus être réparé est vendu au ferrailleur pour le refondre. En somme Prima est une société traditionnelle et n'est pas une société de consommation, tout ou presque y est cyclique.
2 - Les plastiques : 9/10

Le plastique n'existe pas ou en tout cas très peu en Prima dont l'énergie est fournie par les charbons (bois et mine) que l'on craque en essence, il n'y a donc pas de passage par le pétrole permettant une pétrochimie du plastique. Prima est très largement excédentaire en ce qui concerne les matière agricoles et les matières premières, aussi les seuls plastiques que l'on trouve sont sur quelques produits technologiques d'importation qui, nous l'avons vu, sont réparés à outrance.Le très peu de plastique qui existe est au final utilisé ou brulé
3 - Pollution des eaux : 6/10

Il peut y avoir des pollutions ponctuelles des eaux, notamment aux alentours des teintureries ou d'autres usines semblables mais en revanche, l'agriculture étant de fait écologique et la densité industrielle réglementée, les zones polluées doivent se borner à quelques endroits, lesquels sont du reste assez peu pollués.
4 - Les gaz à effet de serre : 3/10

Énormes émissions, Prima fonctionne au charbon (de bois ou de mine) et au bois pour son électricité et au charbon craqué pour les engins, la géothermie et l'hydroélectrique existent aussi mais sont marginales. Cependant rappelons que les densités industrielles sont faibles et plutôt homogènes sur le territoire, il y a peu de pollution atmosphérique, pour le dire autrement : on respire bien.

5 - L'agriculture : 10/10

L'agriculture est très réglementée : limitation de la taille des parcelles, interdiction des intrants chimiques de synthèse (mais pas des autres, la marne ou le fumier sont légaux), contrôle scrupuleux des semenciers et interdiction des monopoles sur les semences, encouragement au replantage des graines locales.Idem pour l'élevage : obligation d'élevage de la race locale, cheptel limité en têtes, interdiction des antibiotiques, temps minimal imposé au pré, densité maximale sous bâtiment. En somme l'agriculture est totalement bio (et permacole chez les anarchistes primitivistes mais c'est un autre sujet).
6 - Les aires protégées : 5/10

Il n'y a pas d'aires protégées en Prima, seulement une politique de conservation de la nature des parcelles et l’imposition d'une densité maximale. Les zones urbaines sont gigantesques mais les immeubles sont presque interdits (ou plutôt, comme il faut un certain nombre d'arbres et de m2 de végétation par habitant, tout immeuble doit avoir son parc qui l'entoure). En sommes il n'y a pas vraiment de réserves mais la nature est omniprésente et protégée partout (même au cœur des métropole qui ressemblent à des banlieues rurales, abstraction faite des bâtiments publiques)
7 - Le CO2 par tête : 0/10

Ce calcul n'a jamais été fait mais le résultat doit être considérable, cela dit Prima a rejeté les thèses réchauffistes depuis fort longtemps. Aucun effort n'est donc fait en ce sens.


Total : un 42,5/70 (60.71% ?) seulement du fait des obsessions réchauffistes.
1 - Le recyclage
Au Royaume de Føllskot, 92% des déchets sont recyclés. La loi peut condamner les citoyens ne recyclant pas leurs déchets.

2 - Les plastiques

Au Royaume de Føllskot, 2% des plastiques finissent dans la nature, principalement à cause du tourisme. Des unités spéciales formées de volontaires ont été mises en place il y a peu. La plupart du plastique est recyclé.

3 - Pollution des eaux

Au Royaume de Føllskot, la note de 8.9 a été donnée, car la vie y est florissante et l'eau potable presque partout, mais certains endroits sont ruinés par la pêche.

4 - Les gaz à effet de serre

Au Royaume de Føllskot, y a 0.162% de GES contenus dans l'air. L'extraction de pétrole, de gaz et de métaux, ajoutant des GES à l'athmosphère ont été foretement réglementés.

5 - L'agriculture

Au Royaume de Føllskot, les pesticides sont très règlementés. 91% des parcelles n'en utilisent plus.

6 - Les aires protégées

62% du Royaume est protégé. Ces zones servent seulement à protéger la nature des touristes, souvent destructeurs pour les espèces vivant ici.

7 - Le CO2 par tête

Les citoyens du Royaume émettents 4.06 tonnes de CO2 par an par personne, le pays cherche ectuellement à faire baisser ce taux, mais cela semble compliqué.
Empire du Nord


1 - Le recyclage
Le recyclage dans l'Empire se développe de plus en plus et les dernières estimations (~2008) donnent une estimation de 47.9% des déchets, mais une estimation moins précise, mais plus récente (2010) estime 56% et c'est sur celle-ci que le gouvernement se base.

2 - Les plastiques
Le pays est un producteur de plastique relativement important et c'est pourquoi il est sensible à ce secteur. Environ 6.5% des plastiques finissent dans la nature et environ 58% des plastiques sont recyclés.

3 - Pollution des eaux
De grands lacs protégés desservant le pays, l'eau est relativement peu polluée mis à part la côte qui est sujet au commerce et donc plus pollué. Dans ensemble, les eaux de l'Empire sont estimée à 7/10. Cela s'explique aussi, car les eaux des territoires afaréens sont bien plus polluées, mais le gouvernement lutte contre cela.

4 - Les gaz à effet de serre

L'Empire rejette 107 millions de tonnes de CO² par ans.

5 - L'agriculture

Les pesticides sont autorisés, mais les différentes campagnes de sensibilisations gouvernementales ont fait baisser considérablement leurs utilisations et l'apprentissage de la terre à l'école sensibilisent les jeunes à cette problématique. Seulement 27% des terres sont sujets aux pesticides et le bio représente 59% des produits.

6 - Les aires protégées

Les aires protégées représentent 39.5% des terres impériales.

7 - Le CO2 par tête

Les nordistes produisent 7.99 tonnes de CO² par ans.
Pays : Fédération d'Alguarena

1 - Le recyclage : 6/10

L'Alguarena étant une nation fédérale, quelques variables peuvent bouger d'un pays à l'autre. Mais selon l'idée générale et considérant l'importance des flux touristiques dans l'archipel ainsi que les moyens dédiés à accueillir les visiteurs saisonniers, notamment aux Encolanas, il est permis de croire que la société civile alguarena et ses pouvoirs publics sont très peu sensibles au tri des déchets. Et pour cause, faut-il importuner les plaisanciers et les vacanciers sur leurs lieux de villégiature avec des tâches domestiques qu'ils viennent fuir le temps des vacances?

Néanmoins, compte tenu des fréquentations touristiques grandissantes, des élus locaux et arcoans alertent plus facilement sur la nécessité de préserver le capital touristique des régions visitées ou encore simplement l'espace urbain, en limitant les constructions attenantes. Et la préservation de ce capital renvoie nécessaire à une politique de préservation des espaces. Sur la base de motivations pécuniaires, les élus locaux tentent donc de plus en plus des initiatives écoresponsables, tournées vers le tri des déchets ou la suppression de certains matériaux polluants et susceptibles de se pérenniser en mer.

Aussi, des conteneurs de tri et de recyclage sont mis à disposition mais aucune législation ne sanctionne les manquements et la non-utilisation de ce benne à ordures ainsi que des sacs de tri. Misant sur le volontariat, on peut dire qu'à ce jour, en Alguarena, seulement 15% des déchets produits sont recyclés.

2 - Les plastiques : 8/10

La gestion des plastiques est un atout indéniable de la Fédération d'Alguarena puisque bien que la gestion des déchets reste perfectible, voire minimaliste comme cité plus haut, les industriels semblent avoir pris les devants sur un certain nombre de sujets, à l'instar du développement de plastiques biodégradables, comme ceux portés par le biochimiste et directeur général Filipo Seza des industries et bioraffineries Magueraz, candidat-lauréat au prix de la chimie 2009.

L'usage du maïs pour produire des biens en plastiques biodégradables va donc plus loin que la logique même de recycler des déchets polluants, puisqu'on entretient une démarche préventive et non curative du déchet plastique non dégradable et polluant.

3 - Pollution des eaux : 2/10

Le traitement des eaux usées et leur remise en service sont des actions confiées aux sociétés privées de la Fédération. Cette gestion des eaux implique donc une approche strictement commerciale de la ressource pour les entreprises qui en font le commerce. Cependant, l'absence de l'état fédéral parmi les gestionnaires du réseau d'eau, fait de lui un contrôleur exigent et impartial, que les sociétés privées ont appris à craindre, de peur de perdre des agréments administratifs, les autorisant à travailler et à commercialiser l'eau du pays.

Pour autant et ces acteurs mis de côté, les industries alguarenas sont peu scrupuleuses de la qualité de l'eau. Il y a effectivement sur le secteur primaire, un nombre non négligeable de piscicultures, la Fédération d'Alguarena étant passée maîtresse de l'élevage de crevettes. Une culture piscicole et un élevage intensif, largement entretenus par des rivalités commerciales avec le Pharois Syndikaali en ce qui concerne les matières premières issues de la mer.

Bien que ces activités aient un impact économique et social évident au sein de l'archipel, il est permis de relever une dégradation de la qualité des eaux entrant dans le processus piscicole. Un phénomène lié à la destruction des écosystèmes côtiers par la présence de ces fermes de crevettes installées sur des zones d'implantation de mangroves déboisées, pourtant très utiles localement pour prévenir les catastrophes naturelles. Outre l'affection que pourraient avoir les locaux pour ces zones de mangroves, force est d reconnaître qu'après les arbres, ce sont surtout de véritables écosystèmes locaux, des habitats vitaux pour de nombreuses espèces marines, y compris les oiseaux migrateurs, les poissons et les crustacés, et leur destruction entraîne une perte de biodiversité significative.

Certaines piscicultures ont le vice de consommer une quantité non négligeable d'eau douce, pour remplir les bassins et maintenir des conditions optimales pour la croissance des crevettes. Dans les régions où l'eau douce est, si ce n'est rare, limitée, cela peut entraîner une surexploitation des ressources hydriques locales, ce qui entraîne une diminution de la disponibilité d'eau pour les autres usages, tels que l'irrigation ou plus généralement l'activité agricole. En effet, l'exploitation intensive de ces bassins et de l'eau douce s'y trouvant, implique une présence phénoménale d'excréments et aliments non consommés qui se déposent au fond des bassins, se décomposent, et qui par leur surreprésentation conduit à la pollution de l'eau. Les niveaux de nutriments présents dans l'eau, sont effectivement propices au développement de bactéries et algues en tout genre, faisant de cette eau, un déchet difficile à traiter pour la remettre en circulation sur le réseau de distribution d'eau potable.

Au cas de la pisciculture de crevettes s'en ajoute donc un autre : la désalinisation de l'eau de mer au sein de la Fédération d'Alguarena. Processus quasi-industriel censé viabiliser la réserve d'eaux douces du pays, les stations de désalinisation sont en réalité des facteurs de pollution, par le rejet massif de saumure, une boue saline qui perturbe les taux de salinisation habituels au sein de certains espaces maritimes, ce qui n'est pas sans impact pour le développement de la faune ainsi que de la flore sous-marines.

4 - Les gaz à effet de serre : 3/10

Comptant parmi les pays les plus industrialisés au monde, la Fédération d'Alguarena est assurément un pays émetteur de gaz à effet. Une action d'autant plus favorisée, que le pays fait grand cas du développement de son secteur automobile, y compris par la commercialisation appuyée de véhicules sans permis, afin de permettre à tout le monde d'acquérir un véhicule moteur pour toucher du doigt l'autonomie dans ses déplacements...

5 - L'agriculture 7/10

L'agriculture bénéficie d'une analyse plus contrastée car les législations locales au sein des états fédérés abordent sous différents angles le rapport aux pesticides. Soucieuse d'augmenter sa production agricole pour atteindre une relative autonomie alimentaire, la République Heenylthaine a d'ores et déjà fait le choix d'assouplir la législation en ce qui concerne l'acquisition et l'utilisation de pesticides jusqu'ici réputés dangereux. Du côté de l'Arcoa et des Encolanas, le développement de l'agriculture s'est beaucoup reposé sur la mise en place de coopératives agricoles, pour permettre aux exploitations familiales de survivre, sans essuyer d'importantes dettes après avoir investi dans l'acquisition de machines agricoles sophistiquées...

D'autres faits notables sont favorablement au développement d'une agriculture vertueuse, comme l'emploi d'engrais naturels, notamment issus des urines collectées à travers les toilettes sèches et eaux usées.

6 - Les aires protégées : 7/10

Le territoire fédéral alguareno est dominé par un certain nombre de sites naturels "remarquables". Des paysages atypiques, où se mêle l’hostilité à la beauté sauvage de paysages d'exception, à l'instar des champs de marentierras sauvages, du désert fleuri "magenta", et qui nécessitent un investissement particulier des autorités fédérales, pour les préserver, à commencer par la quête de reconnaissance en qualité de monuments inscrits au patrimoine mondial.

Les animaux ne sont pas en reste puisque les bisons d'Aleucie implantés en ALguarena, sont aujourd'hui parmi les cibles d'une attention toute particulière des personnels et agents publics dédiés à la protection de l'environnement.

Toutefois, il convient de noter que certaines espèces sont à contrario victimes du braconnage et de la captivité à titre privée, notamment pour le cas de requins, détenus illégalement dans les piscines de criminels qui les détiennent pour faire grand étalage de leur puissance à leurs rivaux.

7 - Le CO2 par tête 8/10

Territoire archipélagique, la Fédération d'Alguarena voit ses ménages limités dans leurs déplacements, se cantonnant généralement à un espace insulaire. Toutefois après les ménages, les déplacements d'affaires au sein de la Fédération impliquent l'emploi d'un certains nombres de vol petits courriers. L'un dans l'autre les conséquences sont donc plutôt mitigées mais s'il fallait toutefois s'attarder sur le cas des ménages, il conviendrait de chiffrer ce taux à 4.64 tonnes de CO2 par habitant, qui pourrait toutefois tendre à augmenter, considérant l'accroissement des vols et correspondances internes et externes, destinés à soutenir les déplacements à l'arrivée ainsi qu'au départ de l'archipel alguarena.
Le Pharois Syndikaali a une conscience écologique assez faible, en raison de l'individualisme de sa population, la faiblesse des politiques publiques et une certaine culture de l'enrichissement et du progrès technologique qui pousse le pays dans une course en avant. Par ailleurs le climat froid, les terres peu fertiles et l'inhospitalité de l'océan du nord n'encourage pas spécialement à sa préservation.
Toutefois certains modes de vie et l'organisation décentralisée du Syndikaali a pu, dans une certaine mesure, faire émerger des embryons de conscience écologique. La culture pharoise donne une place importante à la contemplation et la poésie, et donc à apprécier les paysages et les préserver, fussent-ils mornes et gris.

1 - Le recyclage

Le recyclage est assez peu généralisé par manque d'intérêt pour ces questions. Seules certaines anciennes professions de ferrailleur/naufrageurs et la culture de la débrouille peuvent pousser les Pharois à réparer et faire de la récup, mais cela reste de l'ordre de l'initiative privé. D'autant plus que l'enrichissement rapide du pays rend de moins en moins nécessaire la frugalité.

Entre 4 et 6% des déchets sont recyclés, ou tout du moins ont une seconde vie grâce au marché de l'occasion des matières premières.


2 - Les plastiques

Contrairement aux métaux et produits technologiques qui sont souvent récupérés, le plastique a très peu d'intérêt et est donc peu recyclé. L'organisation géographique du Syndikaali qui favorise peu les réseaux n'a pas aidé à prendre de bons réflexes, en ville les comités de quartiers organisent bien la gestion des déchets mais pour les ruraux il est courant d'utiliser de simples décharges à ciel ouvert, voire dans les cas extrême de balancer ses ordures lestées au large.


3 - Pollution des eaux

7/10 d'après les relevés scientifiques.

Le Pharois a peu de cours d'eau mais possède un immense marécage en son centre, le marécage de Suo qui est une réserve naturelle protégée, relativement peu polluée. Toutefois cf. la question n°2 la mer du nord a un peu toujours servi de décharge aux Pharois (heureusement jusqu'à il y a peu leur niveau technologique et leur petite population a limité les dégâts).


4 - Les gaz à effet de serre

Les Pharois polluent beaucoup MAIS la concentration de certaines algues marines au large réduit le coût par tête de manière providentielle. Toutefois en termes d'émissions pures, le pays est très industrialisé, consomme beaucoup d'électricité et fonctionne presque exclusivement aux énergies fossiles : gaz et pétrole.


5 - L'agriculture

Très peu développée au Pharois Syndikaali, l'agriculture reste surtout traditionnelle et utilise finalement peu d'engrais chimique. Toutefois la nourriture est massivement importée de l'étranger ce qui déplace juste le problème. Les rares agriculteurs du Syndikaali sont plutôt des autonomistes ou des communautés paysannes plutôt respectueuses des sols.


6 - Les aires protégées

Le marécage de Suo est une aire protégée qui représente environ 60% des terres émergées du pays, dont la population se trouve quasi exclusivement sur les côtes.


7 - Le CO2 par tête

Le CO2 par tête est très élevé au Pharois. Hormis quelques couches de la population qui sont restées coupées de la technologie, le pays a mis en place depuis quelques décennies une politique d'investissement extrêmement rapide dans les nouvelles technologies et dans l’industrie, faisant du Syndikaali l'un si ce n'est le pays le plus productif par tête au monde (~136 000/hab) avec la pollution qui l'accompagne. D'autant plus que les Pharois portent assez peu d'intérêt à leur bilan carbone ou aux questions de développement durable.
Cyniquement, les rares à prendre au sérieux la question d'un potentiel réchauffement climatique estiment que la fonte des glaces les arrangerait en définitive.
Volignon


1 - Le recyclage

Volignon est une société traditionnelle, elle n'est pas une société de consommation, le recyclage y est donc de l'ordre du réflexe et on ne jette vraiment que ce qui ne peut pas servir à quelque chose, à savoir presque rien. C'est alors brulé (mais en Prima).

2 - Les plastiques

Comme en Prima, il n'y a presque pas de plastique, il n'est donc pas nécessaire de s'en inquiéter particulièrement.

3 - Pollution des eaux

Volignon est une cité état dotée d'un système d'égout performant. Il n'y a aucune pollution des eaux.

4 - Les gaz à effet de serre

Il n'y a que très peu d'industrie à Volignon, et à l'exception de la centrale à charbon, le gaz carbonique n'est produit qu'en hiver pour le chauffage.

5 - L'agriculture

Volignon est spécialisé dans la vigne (bio), et elle faut aussi un peu de blé et de maraichage, totalement bio.

6 - Les aires protégées

Il n'y a pas d'aires protégées puisqu'il s'agit d'un micro état.

7 - Le CO2 par tête

Aucune idée.
Pays : Péronas

1 - Le recyclage

Le recyclage est obligatoire uniquement dans le district de Gipur, ce district étant dirigé par une majorité écologiste. Le recyclage au sein de ce district fonctionne de la manière suivante :
  • Pour les citoyens, ils doivent trier leurs déchets selon leurs types, et tout est recyclé et réutilisé de quelque manière que ce soit.
  • Pour les commerces, il est interdit de jeter, voire même de bruler le stock non-vendu pour un magasin ou de jeter les aliments non utilisés pour les restaurants
  • Pour les industries, il leur est demandé de faire attention à un maximum de chose, traitement des déchets, rejet d'eaux usées, émission de gaz à effet de serres etc.

Pour l'ensemble des 6 autres district, il n'y a pas de règles quant aux recyclages, certaines villes indépendantes tentent de rendre obligatoire le recyclage et le tri des déchets, cependant, 75% des Pérons ne font pas attention à ce dernier, et 80% des déchets ne sont donc pas recyclés, mais purement et simplement incinérés.

Le projet de l'Etat sur la question du recyclage est assez floue, le système actuel au sein de Gipur possède certains atouts pour le climat mais l'économie de ce district tend à se développer plus lentement que les autres districts où certaines restrictions et ou obligations n'ont pas lieues. Le gouvernement réflechi donc à ne pas interférer dans la gestion des districts pour l'instant, cependant, si cela venait à trop ralentir l'économie de Gipur, certaines restrictions viendraient à être supprimées.

2 - Les plastiques

Le plastique est très fortement utilisé à Péronas et là encore, plusieurs questions sont posées. En effet, autant, dans le district de Gipur, le plastique tend à être remplacée, et on constate que de moins en moins de plastique est utilisé, autant sur les 6 autres districts, le plastique est une solution pratique, peu coûteuse et est beaucoup utilisée en matière d'emballage, en ustensiles de cuisine, en matériel électrique et électronique, en jouets etc.

Pour le district de Gipur, c'est donc seulement 4% des déchets plastiques qui se retrouvent dans la nature, ce chiffre monte à plus de 15% pour l’ensemble des autres districts.

C’est donc une moyenne nationale à 13.5% des déchets plastiques utilisés qui se retrouvent dans la nature, et ce, malgré l’intervention d’ONG militant pour son interdiction et même d’associations s’occupant d’en ramasser un maximum.

3 - Pollution des eaux

L’eau des rivières, fleuves, lacs et toutes les étendues d’eau à Péronas sont moyennement polluées. Cependant l’eau du robinet ainsi que les eaux de sources à Péronas sont considérées comme extrêmement pures.

En effet, le système d’eau à Péronas se veut très complexe et malgré son coût exorbitant, ayant donc un impact sur le prix, l’eau à Péronas est extrêmement propre, et les intoxications ou les problèmes se veulent situationnels

Concernant les étendues d’eaux à Péronas, au plus on est proche de la source, au plus l’eau est claire et limpide, au plus on s’éloigne de la source et on se rapproche de l’embouchure, au moins l’eau est limpide, cela se veut par le rejet de multiples agents toxiques et/ou nocifs par les industries avoisinantes, industries contre lesquelles le district de Gipur se bat.


4 - Les gaz à effet de serre

Péronas a émis 101 Mt de CO2 éq au cours de l’année 2009. Ce chiffre, en constante hausse n'alerte pas plus que ça les scientifiques, en effet, l’impact mondial reste négligeable, et sauf changements majeurs, cela continuera à impacter de manière négligeable.


5 - L'agriculture

Le secteur agricole représente une part importante des émissions de GES à Péronas. Les principales sources d'émissions agricoles sont la décomposition des résidus de cultures, la fermentation entérique du bétail (émissions de méthane provenant du système digestif des animaux) et l'utilisation d'engrais synthétiques. L'agriculture est également responsable de la déforestation liée à l'expansion des terres agricoles.

Concernant cette agriculture, seulement 5% remplissent les critères standards de l’agriculture bio, et les 95% restants font donc usage de pesticides.

6 - Les aires protégées

Au district de Gipur, 71% des espaces naturels sont considérés comme protégés, cependant, ce chiffre descend à seulement 21% sur l’ensemble du territoire national.

Cela pose d’immenses risques liés à la déforestation et à la surexploitation de ces espaces naturels. Le gouvernement réfléchit à avoir près de 50% d’espace naturel considéré comme aires protégées.

De plus, de nombreux feux de forêts résultant en l’émission de GES sont dûs à l’industries.

7 - Le CO2 par tête

En moyenne, sur le territoire, un habitant émet 4.5 tonnes de CO2 par an. Ce chiffre est en constante hausse depuis des années, on planche sur environ 8 tonnes de CO2 par habitant par an.

Le gouvernement là, essaie pourtant de diminuer ce taux, cependant cela devient de plus en plus complexe avec le temps. La petite taille de Péronas et sa faible population comparée à d’autres pays tendent le gouvernement à laisser la situation telle qu’elle est actuellement.
Tamurt n Althalj

Icemlet souhaite répondre à cette initiative qui dispose d'un potentiel fort de prise de conscience de l'importance de l'environnement et de l'impact sur la beauté et la santé du naturel, mais aussi sur la Femme. Il n'est plus à prouver que de nombreuses facettes de développement des Femmes au cours des deux siècles précédents ont eu des impacts considérables sur la sérénité vitale physiologique, psychologique et qu'un environnement respecté et préservé est instrumental à la stabilité sociétale et internationale.

Les Tamurt n Althalj émettent néanmoins un point de considération sur des mesures subjectives à travers un diagnostique et surtout une notation établis par les nations elles mêmes.
La nécessité d'une méthode impartiale permettrait de surcroît un état des lieux empirique de la situation internationale et nationale.

De ce fait, l'Althalj produira les données et la transparence nécessaire à l'Indice de Conscience Ecologique afin de participer à l'effort de compréhension et d'auto-discipline, toutefois ne pourra avec objectivité générer une notation de ses propres efforts et systèmes en place.

Une suggestion d'amélioration à l'ICE est faîte vis à vis de la consommation générale. Les points 4. et 7. peuvent être redondants, différenciant néanmoins une production d'énergie et de gaz à effet de serre considéré séparément d'une consommation générale de la population. La consommation annuelle des ménages n'est bien entendu pas un indicateur facilement mesurable et comparable par rapport à la communauté internationale du fait des fluctuations des devises ou des complexités de mesures précises.


1 - Le recyclage

Les Tamurt n Althalj disposent à travers la Charte Althalj Garantie (AG) des conditions précises et strictes d'importation ou de production qui répondent à la nécessité de durabilité. La chaîne de production en amont doit faire preuve de transparence, une traçabilité permettant de rentrer dans le cadre d'un niveau d' acceptabilité de l'impact écologique et social.
Le recyclage n'est pas lié au produit seulement et doit être intégré à chaque maillon et jalon de la chaîne de production.
Les technologies de semi-conducteurs ont été "rejetées" afin de préserver une économie propre Althaljir, mais aussi permettant une mise en recyclage à moindre coût de l'électronique, de plus en plus indispensable et présente au sein du quotidien.
La transformation logistique nationale, permettant des circuits courts, mais aussi un retrait du tout automobile au sein des grandes villes, met en exergue l'importance d'une production et recyclage "propre" des pneus par exemple ou l'utilisation nationale depuis plus de quatre décennies du basalte en remplacement d'un goudron pour la chaussée.

Redondant d'autres points, le recyclage est un élément culturel et naturel des Tamurt n Althalj combiné à une consommation faible de produits non durables.


2 - Les plastiques


La Maktaba a mis en place des conditions de l'élimination des plastiques pétrochimiques. L'utilisation d'alternatifs naturels ne permet pas encore des durabilités escomptées par la Charte AG, néanmoins les industries et la R&P (Recherche et Préservation) travaille sur la dé-pétro-plastification de la société Althaljir.
La faible consommation des ménages de manière générale fait de l'Althalj un pays qui n'utilise guère des produits plastiques à faible durabilité.
Les exemples sont nombreux, un échantillon d'une différence culturelle vis à vis de "standards" de consommation internationaux :
  • L'eau en bouteille plastique n'existe pas. La consommation de l'eau Althaljir est une source de fierté et spirituelle propre à la nation. Le projet du Grand Aqueduc pour permettre l'accessibilité à l'eau aux territoires Sahrannes est un exemple de recherche du partage sans utiliser des méthodes plastiques et non durables.
  • Les sacs plastiques (courses) n'existent pas. Les paniers et filets traditionnels sont monnaie courante et des éléments familiers des marchés.
  • Les jouets plastiques ne font pas mouche au sein de la population, considérés comme Nazuméens ou Paltoterrans et qui ne respectent pas la Charte AG.
Contre-exemple notable, l'augmentation de l'utilisation des nouvelles technologies qui utilisent une propension "nouvelle" de plastiques. Une favorisation de matières nobles est propre aux Tamurt n Althalj.



3 - Pollution des eaux


Sujet prioritaire des Tamurt n Althalj.
L'eau est assimilée à la montagne qui est le berceau d'Ilâhat.
L'eau de la Dorsale Glacée (en Alth: التلال المجمدة / Altilal Almujamada) est La ressource Althaljir qui se doit d'être préservée tant en quantité qu'en qualité.
Les pollutions générées par les mine de cuivre et de phosphate sont hautement contrôlées et génèrent de nombreux débats au sein de la population et de la Sororité. La fermeture de ce poumon économique a été maintes fois suggéré.
Le traitement des eaux usés est de même un sujet prioritaire. La relative faible population de l'Althalj a permis à la nation de s'organiser en amont et considérer des systèmes d'épuration non chimiques et naturels. Les avancements technologiques pourraient porter leurs fruits dans les décennies à venir, permettant une combinaison avec le recyclage agricole.
Voir la section 5. pour l'agriculture.


4 - Les gaz à effet de serre


L'industrie Althaljir dispose d'ambitions et de normes écologiques strictes.
L'énergie nationale est principalement tournée vers la production hydraulique.
Le tout automobile s'efface au fur et à mesure que le ferroviaire se développe et que la bicyclette reprend un rôle majeur au sein des grandes villes et des villages.
L'air conditionnée existe à travers des systèmes naturels et traditionnels / écologiques.
Le transport aérien qui sera de plus en plus important au sein du pays mise sur une nouvelle technologie de carburant et escompte limiter l'utilisation à outrance de propulsions polluantes. La technologie n'étant pas mature à date, la Sororité a retardé l'ouverture des nouveaux aéroports, notamment celui d'Acilmum.



5 - L'agriculture


L'agriculture n'utilise pas de pesticides qui ne sont produits sur le sol national. La Charte AG est stricte sur les produits utilisables par les agriculteurs Althaljirs. La préservation des sols (pollution, mais aussi l'érosion) est hautement prioritaire, notamment dans les régions Sahrannes. Les rendements sont moindres sur les terres Althaljirs, néanmoins "l'échelle Althaljir" permet une production adaptée et modérée. La diversification de production est naturelle depuis plusieurs générations et il y a très peu d'importations de produits alimentaires, limitant la diversification de consommation.
L'élevage de l'Est (Ifilku) et sur la Côte des Vents (Tifuzzel) est fermier et reste un élément traditionnel régional au service de l'identité nationale. (élevage caprin principalement + pêche à la morue)


6 - Les aires protégées


Les Tamurt n Althalj disposent d'une multiplicité de parcs nationaux dont le Parc National de Sukhur Abadia fait figure d'exemple tant par sa taille que par sa préservation.
La Dorsale Glacée et la région des volcans d'Ifilku sont toutes les deux d'énormes zones protégées.
La Sororité doit finaliser les frontières naturelles de ces parcs nationaux afin permettre de répondre à la demande croissante de développement national.
La Sororité avait précédemment fait mention d'une couverture de proche de 80% du territoire, ce qui semble dans les normes de ce que toute citoyenne Althaljir aurait en tête.
Les aires protégées incluent de même le maritime et l'éolien, une nouveauté qui régirait la logistique et le trafic aérien international.


7 - Le CO2 par tête


Cette mesure n'est pas disponible à l'heure actuelle.
La Sororité travaille avec la Corporations et Coopératives R&P afin de pouvoir mesurer et recenser.
Icemlet a souvent critiqué cet indicateur qui met en avant le CO2 et vulgarise la lecture de l'impact de la Femme sur son environnement.
République Démocratique Travienne (Travie)

1 – Le recyclage
Le recyclage des déchets le pouvant être est obligatoire. Il s’agit d’une compétence communale régie par des règles strictes. Les spécialistes de l’Académie Nationale s’accordent sur un taux d’environ 41,3 % de déchets recyclés. Loin d’être un bon chiffre, des mesures de plus en plus sévères sont prises par le législateur de manière progressive. L’objectif à moyen terme est d’obtenir un taux de 50 %.

2 – Les plastiques
Les plastiques sont une des préoccupations majeures des mesures visant à la réduction des déchets et au bon traitement de ces derniers. Ainsi, comme pour le recyclage, des lois et règlements stricts sont en vigueur. Une entité est même chargée de contrôler les sites de recyclage afin de veiller au bon traitement des déchets. Le taux atteint donc depuis quelques années une position basse et stable de 8,1 %.

3 – Pollution des eaux
La Travie n’a presque aucune connaissance du milieu aquatique. En effet, le pays est enclavé et ne dispose que de deux ports. Les eaux intérieures sont contrôlées mais les moyens fournis ne suffisent pas. Néanmoins, le cadre réglementaire est très clair. Ainsi, le groupe d’experts qui s’est réuni pour répondre à cette enquête propose une note de 7/10.

4 – Les gaz à effet de serre
L’économie travienne n’est malheureusement pas très dynamique. Cependant, ce fait est plutôt positif d’un point de vue environnemental. Il est à noter que la Travie souhaite se spécialiser dans la chimie et la pharmacie. Les secteurs industriels spécialisés présentent donc un risque pour l’atmosphère. Pour réduire ce risque, des contrôles fréquents sont effectués sur les infrastructures et des dispositifs de mesure sont implantés sur le territoire. Le taux de gaz à effet de serre s’élève donc à 0,050 %.

5 – L’agriculture
Plusieurs statuts de culture existent. Les statuts les plus contraignants donnent accès à des aides pour les développer. De plus, un grand nombre de produits chimiques sont interdits d’utilisation. Cependant, les efforts des autorités sont récents et ne suffisent pas à convertir toutes les cultures. Nous pouvons donc estimer à 17,9 % le taux de cultures dites « biologiques » dans le pays.

6 – Les aires protégées
Connus pour les millefeuilles administratifs, les Traviens ont identifié près de 33,5 % du territoire comme zones de protection de la biodiversité. Ces territoires sont gardés par une organisation spécialisée : l’ORNAGA.

7 – CO2 per capita
Les scientifiques ont défini l’émission de CO2 à environ 3,6 tonnes per capita.
Etat du Fujiwa

1. Recyclage: Le Fujiwa a mis en place des politiques et des systèmes de recyclage sophistiqués. Les résidents sont généralement tenus de trier les déchets en plusieurs catégories, y compris les plastiques, le papier et les déchets alimentaires. Les municipalités et les entreprises jouent également un rôle clé dans la promotion du recyclage. Cependant, il reste des défis, tels que la réduction de la production de déchets à la source. ・ 7/10

2. Utilisation de plastiques: Le Fujiwa est un grand consommateur de plastique, en particulier dans les emballages de produits. Cependant, il existe une prise de conscience croissante des problèmes environnementaux associés aux plastiques et des efforts pour réduire l'utilisation de plastiques à usage unique, tels que l'introduction de taxes sur les sacs en plastique. ・ 5/10

3. Pollution des eaux: Après des problèmes majeurs de pollution de l'eau à partir des années 1900, le Fujiwa a pris des mesures significatives pour améliorer la qualité de l'eau grâce à des réglementations plus strictes. Cependant, la pollution marine, notamment par les plastiques, reste un défi. ・ 7/10

4. Émissions de gaz à effet de serre: En tant que pays industrialisé, le Fujiwa est un principal émetteur de gaz à effet de serre au Nazum. Le pays a fixé des objectifs de réduction des émissions dans le cadre de la politique environnementale du Cabinet des législatives de 2007, et met en œuvre des politiques pour encourager les énergies renouvelables et améliorer l'efficacité énergétique. ・ 6/10

5. Agriculture: L'agriculture fait face à de nombreux défis, tels que la petite taille des exploitations et le vieillissement de la population agricole. Cependant, il existe aussi un intérêt croissant pour des pratiques agricoles plus durables, et le gouvernement encourage des méthodes telles que l'agriculture biologique. Un bon exemple de cette politique est l'entreprise AgroSynth. ・ 7/10

6. Aires protégées: Le Fujiwa a de nombreuses aires protégées, y compris des parcs nationaux et des sites, qui sont essentiels pour la préservation de la biodiversité. Ces aires protégées sont souvent gérées avec l'aide de lignes directrices nationales et nazuméennes. ・ 7/10

7. Émissions de CO2 par habitant: Le pays a des émissions de CO2 par habitant relativement élevées, mais il y a des efforts en cours pour les réduire. Les Fujiwans ne font pas attention à leur consommation excessive dans la majorité des secteurs. ・ 5/10


Total: 44/70 --> 62,85/100.
ICE du Tsarat Constitutionnel du Rus've

1 - Le recyclage

Le recyclage est un élément de l'écologie qui est parmi les plus importants au Rus've. Grâce à un astucieux système de tri sélectif, des mesures visant à réglementer l'usage d'emballages à usage unique, et des boîtes à consignes, le Rus've a su efficacement combattre la polution des plastiques à usage unique et aujourd'hui 73 % des déchets sont recyclés, ce qui est énorme comparée à la moyenne mondiale.

2 - Les plastiques

Comme dit juste avant, il y a une très faible quantité de plastiques retrouvés dans les rues des villes ou encore dans la nature grâce aux différentes normes en vigueur. Mais malheureusement c'est de manière invisible que l'on retrouve les plastiques, dont la plupart finissent enfouis dans le lac Belezov où l'eau est polluée à 15% par des molécules de plastique. Aujourd'hui c'est donc 9.2 % des plastiques utilisés qui finissent leur vie dans la nature.

3 - Pollution des eaux

Malheureusement là est le grand défaut du Rus've : le fleuve traversant le pays ainsi que les nombreux lacs sont fortement pollués. Après de nombreux tests, il a été scientifiquement prouvé qu'il y a de nombreuses molécules de plastiques dans les eaux Rus've. Il est donc nécessaire de bien traiter l'eau afin de la rendre pure à 100%.

4 - Les gaz à effet de serre

Au Rus've, il y a 0,051 % de GES contenus dans l'air, grâce aux nombreuses normes en vigueur par rapport aux rejets de GES. Nous consommons principalement des énergies renouvelables comme l'énergie hydraulique grâce à l'immense fleuve qui sillone le pays, et à cause du relief la plupart des longs voyages se font en train, ce qui réduit grandement les rejets car les véhicules individuels sont moins nombreux au Rus've qu'ailleurs.

5 - L'agriculture

Au Rus've, dû à l'énorme quantité de céréales produite et exportée dans le monde, il a été nécessaire d'installer de nombreuses lois contenus dans la réforme des pesticides, visant à diminuer le pourcentage de parcelles agricoles biologiques à travers le pays. Actuellement, il n'y a que 7% des parcelles qui sont biologiques.

6 - Les aires protégées

Il y a un assez faible nombre d'aires naturelles protégées. Les seules qui existe sont principalement dans les hautes points du pays. Officiellement, tous les pics montagneux qui dépassent les 5800 mètres au-dessus du niveau de la mer sont des espaces protégés. Il y a également quelques espaces bordant les lacs qui sont protégés, ainsi que certaine portions du fleuve qui sillonne le pays. Le pourcentage du territoire protégé dans le Rus've est de 22 %.

7 - Le CO2 par tête

Au Rus've, le taux de CO2 par habitant est de 3.06 tonnes.
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