11/11/2014
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Régions de Southland | Dilete tša Setšhaba

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Gamascadar : Bien plus que deux îles

Voici un livre écrit par des historiens et géographes de renom présentant les régions de Southland une par une. Dans le premier article est présenté la région de Gamascadar.

Constitué de 2 îles nommées Selehkeh au nord, et Lefase au sud. Situées à l'est du pays, ces îles aux origines assez sauvages ont été découvertes en 1654, juste après la colonisation complète de Southland, et en même temps que l'île d'Anna, par les colons Youslèves. Mais malheureusement, ce n'est que de loin que qu'ils ont découvert les îles, car il était impossible de les approcher : elles étaient trop sauvages. Peuplées de tribus autochtones vivant au fin fond des forêts, dans les plateaux, ou encore sur les plages et les plaines, ces tribus étaient d'une extrême violence et attaquaient tout bateau essayant de s'approcher de l'île. Mais ce n'était pas l'unique problème des navigateurs, car leur hantise était plus les côtes rocheuses impossible à franchir car trop abruptes et dangereuses. mais sur la face Nord de Selehkeh, ils ont pu découvrir la particularité unique au monde de l'île, une anomalie géographique magnifique : des cascades se jetant dans la mer. Cela paraît impossible, mais c'est bien réel : Un rivière qui montait tout en haut des plateaux se jetais dans la mer depuis le haut des plateaux, créant ainsi des magnifiques cascades gigantesques : 965 mètres de haut, pour une largeur de 34 mètres, cette chute est tout simplement splendide à observer, et chaque année, elle brasse plus d'une dizaine de millions de visiteurs curieux, intrigués par cette anomalie naturelle. Mais malheureusement l'île de Selehkeh est la moins aménagée et la plus dangereuse, car les infrastructures modernes n'y sont pas installés pour la plupart, car l'île a un relief trop problématique, et ainsi, la surface habitée ne représente qu'un huitième de l'île, qui présente une superficie de 2031 km², à l'instar de sa sœur qui présente quant à elle une superficie de 3502 km², et un relief plus calme, ce qui permettra au colons de s'y installer sur certaines zones, et aujourd'hui, Lefase compte 2x plus d'habitants que Selehkeh, car plus moderne, mieux aménagée, et moins dangereuse que sa sœur. Mais Lefase est une des seules terres au monde qui abrite encore des populations autochtones coupées du monde. Vestige d'une époque perdue, la tribu de Morafe vit dans une forêt entourée de montagnes, et est autant dangereuse que les premières tribus ayant peuplée cette terre. Aujourd'hui, pour des raisons évidentes de sécurité, la partie de l'île est fermée au public et surveillée activement par 2 navires militaires. Mais pour mieux vous représenter tout ça, notre géographe et cartographe Mabak Jaffarsen vous a crée une carte sur-mesure de la région, pour pouvoir mieux imaginer tout ça. La carte sera bien évidemment accompagnée de photographies pour vous prouver la beauté de ces îles.

Carte
Ci-dessus, la carte du pays. On peut y voir les différentes zones de chaque île, les spécificités du relief, et tout ce dont vous aurez besoin à propos des îles.

Cascades
Ci-dessus, les fameuses cascades de Selehkeh, réputés à l'international pour leur beauté magistrale. Un véritable chef-d'œuvre de la nature.

Plateaux
Ci-dessus, le sommet des plateaux de Mahlatse, différents des autres plateaux du monde, il a la particularité d'être une véritable montagne à sommet plat culminant à près de 2500 mètres au-dessus du niveau de la mer.

Ci-dessus, le GR1, chemin de randonnée longeant la baie de Lewatle.
Ci-dessus, le GR1, chemin de randonnée longeant la baie de Lewatle.
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Kuweto, un nord tropical.

Voici un livre écrit par des historiens et géographes de renom présentant les régions de Southland une par une. Dans le deuxième article est présentée la partie nord du pays qui se nomme Kuweto.

Kuweto est une région côtière du Nord de Southland où l'on peut trouver de magnifiques régions comme les montagnes de Thaba et du Lebopo, les côtes du Golfe de Hlapi, ou encore les forêts du Lešoka sont tous simplement des pépites tropicales, où les touristes affluent de plus en plus. Cette zone possède également des zones très urbanisée, notamment avec la région métropolitaine du Port-Hlapi, port international parmi les plus importants du monde, où le commerce mondial afflue depuis des siècles, et où des pays comme l'Amnestie possèdent une énorme domination. Très important pour les colons Youslève, il permettait de faire le lien entre les nombreuses colonies de l'hémisphère sud de la Youslévie et d'autres pays comme le Fortuna. Encore aujourd'hui Port-Hlapi est une ville des plu importante au monde, avec une population de 9 623 122 hab. dans sa région métropolitiane. Mais il n'y a pas que ça qui a fait l'extrême richesse de cette région. En effet, ce qui a fait la plus grande partie de la richesse de la région sont les cultures de fruits tropicaux, qui ont été exportés par centaines de milliers de tonnes dans le monde entier depuis les ports de Hlapi. Mais malheureusement, Port-Hlapi a perdu une grande partie de son patrimoine d'antan avec l'urbanisation, l'industrialisation, et surtout la mondialisation du port. A cause de ça, il n'y a plus que la vieille ville du centre qui possède les plus anciens bâtiments de la ville. Mais il n'y a pas que Hlapi qui est intéressant dans la région de Kuweto, il y a également énormément de chemins de Grande Randonnée : que ce soit ceux qui longent la côte, ceux qui passe à travers les volcans, ou encore ceux qui sillonnent les chemins abrupts des montagnes, il y en a pour tous les goûts et ils font la renommée de la région chez les sportifs de l'extrême.

La région est également réputée pour ses espaces de pêche contenant une biodiversité marine exceptionnelle, d'où le nom du golfe de Hlapi, qui signifie poisson en Xhosa. Durant des lustres, l'industrie de la pêche avait contribué à la richesse des villes du golfe, avec des exportations dans le monde entier de poissons mais également une cuisine locale de fruits de mer digne d'un véritable art. Encore aujourd'hui, énormément de poissons vendus partout dans le monde viennent de Southland (pour les poissons "tropicaux"), et pour la cuisine locale, elle attire encore un flux important de touristes venant principalement d'Eurysie et d'Aleucie.

Mais trêve de gros paragraphes, nous allons vous aérer l'esprit en vous offrant un voyage en image directement direction Kuweto, avec une carte détaillée et des photographies splendides du paysage.

Carte
Ci-dessus, la carte de la région de Kuweto, située au Nord de Southland.

Forêt
Ci-dessus, une photographie prise en plein cœur de la forêt du Lešoka

Montagnes
Ci-dessus, une magnifique photographie prise dans les montagnes côtières du Lebopo.

Volcan
Ci-dessus, une photographie prise par un volcanologue Southlandais au sommet du volcan Nayarea, un des plus actifs de la zone.
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A la rencontre des autochtones

Depuis des millénaires, le pays est peuplé de nombreuses tribus autochtones malheureusement chassées lors de l'arrivée des colons ayant dû se retrancher dans la profonde forêt tropicale. Les tribus n'ont pas de nombre présumées, on sait juste qu'elle sont présentes et l'ont connait certaines d'entre elles. Malheureusement, Southland ayant subi la colonisation ces si belles tribus se sont retrouvées perdues dans la forêt si dangereuse. Aujourd'hui, elles font partie intégrante du patrimoine historique et culturelle du pays, si bien qu'un "Musée des Tribus" a récemment ouvert ses potes à Aban, avec de nombreuses trouvailles de tribus n'existant plus, d'anciennes tribus préhistoriques, comme des masques, totems, et même des ossements humains. Aujourd'hui, les lieux de leur vie sont protégés par la police locale car considérés comme réserves naturelles, c'est notamment le cas d'une partie de la grande forêt de Lesoka et de l'immense forêt de Sethokgwa Boima, ainsi qu'une partie reculée de la montagne de Thaba. D'ailleurs, la langue officielle du pays (hormis l'anglais) est le Xytham, langue issue d'un mélange entre les dialectes des trois tribus principales du pays, s'étant modernisée et proposant aujourd'hui de visiter ce à quoi ressemblait un campement en forêt à l'époque de la colonisation, et à quel point leur vie était dure. Mais présentons ces tribus :

1. Les Zalalas
Les Zalalas sont à l'heure actuelle la tribu la plus ancienne connue du pays, elle a su au fil des siècles se développer et devenir la plus puissante du territoire actuel, jusqu'à en occuper près de la moitié. Dirigé par la main de fer de chacun de leur roi chacun leur tour, ils ont réussi à persister avec le temps et par l'arrivée des colons ils ont su se moderniser et ont été parmi les fondateurs de la nation Southlandaise actuelle, militant pour l'indépendance de la région vis-à-vis de la Youslévie. Aujourd'hui elle a disparu mais propose des visites historiques, c'est notamment eux qui ont ouvert le musée des tribus à Aban.
Drapeau des Zalalas

2. Les Makaris
Les Makaris sont des alliés de longue date des Zalalas, selon les historiens, ils ont été durant de nombreux siècles, malgré l'ancienneté des Zalalas, la tribu la plus puissante du pays, avec un territoire étendu sur près de 70% du territoire actuelle de la République. Ils ont instauré dans leur tribu un principe fondamental de démocratie et ont été durant la colonisation les héros de nombreux esclaves en luttant pour leur donner plus de droits et lors de l'indépendance luttant pour la démocratie. Ajani Fortuin s'est d'ailleurs durant sa jeunesse longtemps rattaché aux Makaris et il les remercie encore aujourd'hui de leur lutte historique. Aujourd'hui la tribu a fondé le parti des Afaréens Libéralistes dont fait parti Ajani Fortuin.
Drapeau des Makaris

3. Les Sundaris
Les Sundaris ont été durant longtemps un peu condamnés au triste destin d'éternel troisième, à tenter déséspéremment de rattraper les deux autres tribus. Cependant, elle a durant longtemps diriger d'une main de fer l'économie en étant les leaders de l'agriculture dans tout le pays, jusqu'à l'arrivée des colons youslèves, où ils ont coopérés et amélioré le système de production agricole avec leur propre fonctionnement qui a fortement amélioré la productivité des plantations des colons. Les deux autres tribus leur ont longtemps reproché d'avoir coopéré avec les colons, mais aujourd'hui ils justifient cela par le "besoin de construire une économie stable dans le pays" car encore aujourd'hui leurs méthodes de productions restent très efficaces malgré les avancées technologiques, d'ailleurs de nombreux fabricants de matériel agricole Southlandais comportent une référence aux Sundaris dans leur nom.
Drapeau des Sundaris
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