APPEL D'OFFRES | Guerre civile larvée en Iskandriane

RECRUTEMENT DE MERCENAIRES ET VOLONTAIRES
26/11/2010
Dans le cadre de l'escalade des tensions entre les différentes factions souveraines sur le territoire de l'ancienne satrapie d'Iskandriane, les gouvernements constitués revendiquant tout ou partie de la souveraineté sur le territoire iskandriote recrutent à tour de bras. Si cette pêche aux soldats comprend l'inévitable conscription des habitants du pays, un appel d'offres général est adressé aux sociétés militaires privées, corps francs et autres troupes irrégulières cherchant une solde. De plus, les factions cherchent des intervenants extérieurs capables de les soutenir, idéalement sous la forme de corps de volontaires. De préférence, les différents régimes qui suivent recrutent des groupes paramilitaires proches de leur corpus idéologique, comme présentés. En l'échange de soutiens financiers, matériels et humains, les différents régimes sont susceptibles d'accorder des avantages significatifs, comme une présence militaire permanente, des concessions économiques et un soutien réciproque selon les propositions faites par les candidats.


RAPPEL DE LA SITUATION DE GUERRE CIVILE LARVÉE ET DES FACTIONS



République d’Iskandriane
Autre nom : Iskandrie, « Républicains », « Iskandriotes »
Dirigeant : Gordhangas Katsariades
Capitale : Iskanderabad
Population : 15 millions
Idéologie : nationalisme laïc, social-nationalisme, nationalisme civique, laïcisme, anticléricalisme, capitalisme d’Etat, républicanisme, révolutionnarisme, unitarisme iskandriote
Superficie initiale : 123 378 km² (territoire initial : 45400;45203;45399;45201;45398;45397;45200;45202;45004)
PIB estimé : 15 milliards de dollars internationaux



Satrapie d’Iskandriane
Autre nom : « Monarchistes », « Loyalistes », « Iskandriotes »
Dirigeant : Magdalini Heliocleios
Capitale : Kshatrapolis
Population : 3 millions
Idéologie : conservatisme, monarchisme, hellénisme, cléricalisme, traditionalisme, unitarisme iskandriote, légère teinte de libéralisme
Superficie initiale : 68 808 km² (territoire initial : 45595;45793;45792;45990;45596)
PIB estimé : 5 milliards



République de Yaghobie du Nord
Autre nom : Yaghobistan, Ganaraja (République), « Yaghobs », « Nordistes », « Yaghobistanais »
Dirigeant : Saruz Asher (Conseil national yaghob)
Population : 20 millions
Capitale : Soratpolis/Suratpur
Idéologie : yaghobisme, nationalisme yaghob, nationalisme religieux/hindou, anticolonialisme, anti-impérialisme, traditionalisme, conservatisme, social-conservatisme
Superficie initiale : 141 858 km² (territoire initial : 45988;45987;46184;46183;46182;45986;45789;45790;45791;45593;45594)
PIB estimé : 10 milliards



République des îles Chesmites
Autre nom : Quesmie, « Insulaires », « Chesmites », « Quémiens »
Autorité centrale : la Majles, le parlement insulaire
Capitale : Sozb
Population : 2 millions
Idéologie : libéralisme, philhellénisme, autonomisme, républicanisme
Superficie initiale : 60 097 km² (territoire initial : 44222;43631;43829;42843)
PIB estimé : 20 milliards

Groupuscule armé proposant ses services aux factions iskandriotes

FORCES CLANIQUES DE CRISTOBAL RAVATOMANGA

Cristobal Ravatomanga dit “Charko le boucher”, est un seigneur de guerre mandrarikan en quête de reconnaissance à l’international.

Bien qu’il y ait pléthore de seigneuries de guerre mandrarikanes en Mandrarika, prêtes à faire la guerre au gouvernement théocratique de Rakoto Manorohanta, très peu parmi elles percent sur la scène internationale. Le clan de Cristobal Ravatomanga fait donc figure d’exception en la matière puisqu’il ne combat pas le gouvernement mandrarikan sur son sol, mais dédie ses actions armées à l’internationale, en qualité de mercenaires. Engagé sur le front kodedan, aux côtés des hyènes de Borokosobue, Cristobal Ravatomanga est raisonnablement un échantillon assez représentatif de la violence permise par les seigneuries de guerre.

“Les seigneuries de guerre mandrarikanes sont assez méconnues de la scène internationale, Cristobal Ravatomanga a contribué à les faire connaître, et jamais sous leurs bons jours…” explique le commissaire Hanif Mafilaza du poste de police de Mpiko-sud, où il détient une montagne de plaintes et griefs, à l’encontre du seigneur de guerre qu’il espère pouvoir neutraliser un jour et produire devant la justice du culte caaganiste.

“Les hyènes de Borokosobue sont clairement une menace pour l’intégrité des populations civiles mondiales partout où elles interviendront et nous espérons que leurs moyens de nuisance pourront être neutralisés. Toutefois, il est nécessaire d’identifier une réelle menace en la personne de Cristobal Ravatomanga, qui constitue un leader charismatique et une véritable incarnation de l’idéologie changeante des seigneuries de guerre mandrarikanes, tendant vers l’internationalisation… En la matière, le choix d'internationaliser sa lutte armée est plus qu’une innovation pour le clan Ravatomanga mais bien un acte révolutionnaire, puisqu’il marque la rupture avec les autres seigneuries de guerre restées au pays.

Bien que le clan fut jusqu’ici limité en moyens humains et matériels, les opportunités de conflits à l’international, mêlées à la renommée grandissante du seigneur de guerre sur le théâtre kodedan, peuvent attirer de nouveaux adeptes, y compris des enfants soldats fortement malléables et prêts à toutes les atrocités pour briller au sein d’un groupe et faire de l’argent facile, en ôtant des vies auxquelles ils n’accordent que peu d’intérêt.

Le recours aux enfants-soldats, réputés loyaux et peu scrupuleux, ou encore à des troupes irrégulières spécialisées dans les embuscades et attaques de convoi, constitue la force de ce contingent “iconoclaste” prêt à nourrir la mort sur la scène internationale, au gré des cachets qui lui sont concédés. Les factions qui seraient alors désireuses de les employer, peuvent compter sur des mercenaires à la fois présentés sous la forme de troupes régulières et irrégulières, irrégulières par la forme et l’expérience, considérant la présence de ces fameux enfants soldats.

Synthèse a écrit :

• Contingent disponible : TERRESTRE / Infanterie légère avec expérience variable et une motorisation blindée et non blindée.

• Motivation principale/contreparties attendues : Chercher l’appui d’un régime totalitaire et/ou autoritaire, pour faire prospérer leurs activités de mercenaires, sans subir le coup d’une législation locale trop contraignante (voire changeante au gré des mandats) et qui les briderait dans l’expression de leurs besoins les plus élémentaires.
En outre, le soutien d’un régime international, aiderait le clan Ravatomanga à nourrir un certain poids auprès des autres clans de la Force Clanique Combattante, qui se sont désolidarisés de son épopée extra frontalière au Kodeda.

• Atteintes aux populations civiles : OUI

• Pratique la torture : OUI

• Respect des prisonniers de guerre : NON (sauf exceptions et contreparties pécuniaires).

• Factions pour lesquelles ils accepteraient de combattre : République de Yaghobie du Nord ou Satrapie d’Iskandriane.

• Affrontement privilégié : Techniques de guérilla, embuscades et combats urbains.

Groupuscule armé proposant ses services aux factions iskandriotes

FORCES DU RÉGIMENT LIBERTARIEN

Commandant Mostafa Ali Aslani dit "la flamme de la Révolution"
Lors de la guerre civile varanyenne, la révolution conduite en opposition aux forces gouvernementales et répressives du Shah n'avait pas le monopole de la force et l'exclusivité de la violence. Les révolutionnaires ayant été incapables d'opposer une armée véritable, s'agissant littéralement d'une foule en colère, des contingents étrangers et animés par une âme que l'on pourrait qualifier de charitable, se sont greffés à eux. Le Régiment Libertarien était sur ce front, l'un des principaux détachements étrangers en soutien à cette révolution.

Jadis à l'époque commandée par des combattants internationaux, venus bénévolement se battre au Varanya, l'unité s'est depuis vidée d'un bon nombre des volontaires internationaux, quittant le métier des armes à la proclamation de la République du Varanya et par conséquent, la fin de l'Empire du Shah qu'ils y ont combattu. Mais la nature a horreur du vide dit l'adage, et ces hauts responsables étrangers à la tête du Régiment Libertarien, ont trouvé des remplaçants parmi les locaux d'Afarée orientale, le commandant Mostafa Ali Aslani en est devenu un. Ainsi et après la fin de la guerre civile varanyenne, des combattants étrangers et varanyens sont restés engagés dans la lutte armée mais cette fois-ci en contrepartie de liquidités, espèces sonnantes et trébuchants, sous la dénomination fixe et durable de mercenaires...

Formé par les volontaires internationaux, le commandant Mostafa Ali Aslani s'est depuis leur départ, entouré de combattants locaux et originaires d'Afarée. Des combattants ayant été éprouvés dans les affres de la guerre civile varanyenne, et qui jouissent d'une certaine expérience, suffisamment pour s'être rendus compte de leur valeur marchande par le biais du mercenariat. Pour un certain nombre d'entre eux, la réinsertion à la vie civile était effectivement rendue impossible car leurs compétences martiales leur ouvraient plus de portes et d'opportunités que l'emploi précédemment occupé en société. Le cas du Kodeda, mobilisant des factions étrangères pour soutenir des intérêts davantage financiers à ceux idéologiques, a été révélateur des opportunités entretenues par ce secteur, sur le théâtre afaréen, "plus encore que ne l'aura été la guerre civile varanyenne où il a davantage été question de principes que d'enrichissement personnel..." confiera même en ces mots le commandant Mostafa Ali Aslani, pour parler du virage entrepris par sa faction au lendemain de la guerre au Kodeda, nourrie par la Révolution beïdane.

Synthèse a écrit :

• Contingent disponible : TERRESTRE ET AERIEN / Infanterie d'expérience avec un panel d'armements allant de l'artillerie, de la DCA, de la motorisée blindée et non blindée, à de l'aviation légère.

• Motivation principale/contreparties attendues : Bien qu'il soit inscrit dans une logique financière, le Régiment Libertarien cantonne nécessairement son aide à un nombre restreint de factions iskandriotes, celles qui ne créeront pas la rupture avec les valeurs républicaines jadis défendues pendant la guerre civile varanyenne.

• Atteintes aux populations civiles : NON (mais peu scrupuleux quant aux dommages collatéraux

• Pratique la torture : OUI

• Respect des prisonniers de guerre : OUI (ceux dont la détention est publiquement connue en tout cas).

• Factions pour lesquelles ils accepteraient de combattre : République des îles Chesmites ou République d’Iskandriane.

• Affrontement privilégié : Maintien de l'ordre et guerre conventionnelle.

Groupuscule armé proposant ses services aux factions iskandriotes

FORCES DE LA BRIGADE DU JAGUAR PALTOTERRAN

Portrait du Général d'armée Tecolotl Cambeiro, commandant-en-chef de la Brigade du Jaguar Paltoterran, peut-être l'une des sociétés militaires privéesl es plus influentes de ce troisième millénaire.
Le Jaguar paltoterran et ceux qui le dirigent, possède une histoire un peu plus conventionnelle que les autres groupuscules susceptibles de se positionner autour de la guerre civile iskandriote. Créé par d'anciens officiers et sous-officiers de l'armée fédérale d'Alguarena au Varanya, après avoir pris conscience des combattants émérites qui s'étaient forgés dans le feu des combats face à l'Empire varanyen et ses alliés occidentaux tels que l'Albel ou la Cémétie, le Jaguar Paltoterran s'est depuis épanché sur de nouveaux théâtres de guerre, se faisant notamment le bras armé et clandestin de la Fédération d'Alguarena au Pontarbello, dont il a eu principalement la charge d'encadrer les opérations maritimes aboutissant au débarquement du contingent militaire de l'Armée Nationale du Pontarbello Libre. Les manœuvres amphibies et les opérations de débarquement sont donc un fait éprouvé pour le groupe paramilitaire, qui est l'un des rares pouvant se targuer de disposer d'une flotte de guerre respectable, capable de se projeter à des milliers de kilomètres. Un atout notable pour la proposition de service et la conduite d'opérations complexes, que la marine du Jaguar Paltoterran est en passe d'offrir. "Nombreuses sont les organisations paramilitaires qui disposent d'une petite garde-côtière, en effet, mais une seule est capable de projeter une force armée à l'international, c'est le Jaguar Paltoterran" expliquait en ces mots et sous une opinion très tranchée, le Général Caïtano Lossada, chef de l'état-major de l'armée fédérale d'Alguarena.

Aussi, s'il nous importait d'initialement décrire l’organisation comme conventionnelle, un point d'honneur doit cependant être porté sur les spécificités matérielles et humaines de cette société militaire privée, se faisant finalement des atouts majeurs au service d'une organisation hors norme à quelques égards.

Autorisée à passer commande auprès des industriels de l'armement alguarenos et capable de recruter des anciens généraux de l'armée fédérale d'Alguarena, la société militaire privée du Jaguar Paltotterran est un condensé d'audace dont l'hostilité a indubitablement déjà chèrement coûté aux organisations rivales, à l'instar des Brigades Solaires kah-tanaises lors des affrontements au sein de la péninsule pontarbelloise en 2007.

Synthèse a écrit :

• Contingent disponible : TERRESTRE, MARITIME ET AERIEN / La Brigade du Jaguar Paltoterran a des moyens d'intervention débridés, compte tenu d'un vivier d'opérationnels aguerris sur les théâtres varanyens et pontarbellois, ainsi que grâce aux agréments administratifs de la Fédération d'Alguarena, lui permettant de passer commande et d'acquérir auprès des industriels de l'armement alguarenos. Elle est donc en mesure de faire des acquisitions d'équipements qualitatifs et quantitatifs, pour peser sur le champs de bataille, qu'elle peut façonner à son image, compte tenu des forces polyvalentes à sa disposition, partagées à la fois par les dimensions terrestres, aériennes et maritimes.

• Motivation principale/contreparties attendues : Le renseignement alguareno a appris que le terroriste Randall Phelps, à la tête de la Brigade des Martyrs Volontaires, pouvait possiblement s'engager au sein de la guerre civile iskandriote. Compte tenu des recherches actives entourant l'individu, les services secrets de la Fédération d'Alguarena ont souhaité que les paramilitaires de la Brigade du Jaguar Paltoterran, puissent coopérer avec un état fort et légitime sur place, pour concourir à sa capture ou à sa mise à mort. Dans un second temps, le Jaguar Paltoterran et le renseignement alguareno sont forcés d’identifier la République des îles Chesmites comme un point de passage notable des routes commerciales vers l'Ouest du Nazum. Une route commerciale secondaire appréciable, quand l'on sait que les autres accès vers l'Eurysie du Sud ou l'Afarée du Nord, se font via la mer de Leucytalée, où la politique étrangère loduarienne ou encore kronienne, entretiennent de nombreuses incertitudes pour le commerce international.

• Atteintes aux populations civiles : NON, hors dommages collatéraux.

• Pratique la torture : OUI

• Respect des prisonniers de guerre : OUI (pour ceux dont la détention est publiquement connue de tous en tout cas).

• Factions pour lesquelles ils accepteraient de combattre : République des îles Chesmites.

• Affrontement privilégié : Guerre conventionnelle, opérations militaires complexes, surveillance des espaces aériens et maritimes, maintien de l'ordre et sécurisation des espaces publics, etc...

Société de Sécurité Privée Militaris

S'il est bien une qualité autant que un défaut, cela dépend des points de vue, que l'on peut aisément reconnaître à la Sérénissime Fortuna, c'est que la plus grande république marchande du monde dispose d'un seuil de tolérance et d'acceptation en de nombreux domaines des plus élevés, l'on doit en soit cela à sa nature profondément mercantile et sa vocation cosmopolite. En revanche, ce que peu de gens savent ou plus exactement reconnaissent, la tactique de l'autruche étant assez commune, c'est que par effet de ricochet et assurément via les influences patriciennes qui ont poussés dans ce sens, le domaine de la sécurité et de l'armement a partiellement été privatisé sous la forme d'un authentique marché à part entière du mercenariat qui s'est crée au sein de la République en prenant comme à bien des égards comme noyaux de cristallisation les clans patriciens dont les plus puissant ont mis sur pied des quasi-armées privés qui si elles restent dans la théorie et les faits assujettis à la loi fortunéen et plus généralement à la volonté du gouvernement qui dispose de prérogatives visant à prévenir les excès, disposent tout de même de libertés conséquentes.

La plus illustratrice étant leur capacité à s'exporter à l'international en contractant autant avec des privilégiés que des entités à part entières, gouvernementales ou autres. Et de toutes les sociétés existantes, la plus prestigieuse, importante et puissante demeure assurément celle que l'on nomme Militaris, les forces privés de la Dynastie Patricienne des Riminis célèbres pour être des magnats de la finance et à la tête des banques majeures de la Sérénissimes. Vétérans ayant faits partis de l'armée, coupes-jarrets repentis, aventuriers audacieux, les origines du personnel de la société de sécurité privée sont diverses et variés mais importent en général assez peu car en vérité il n'y a que deux points essentiels qui prévalent au sein de l'organisme, la quête de la richesse financière et la loyauté aux Riminis, qu'importent les passés où les réputations, Militaris est là pour engranger des bénéfices et permettre l'extension manifeste de l'empire économique des patriciens qu'ils servent.

Le cas échéant, les contrats qu'ils passent servent souvent un agenda économique préétablie, les autorités dynastiques offrant leur aval ou leur véto en fonction des plans d'opérations proposés. L'exemple le plus édifiant est par la même occasion ironiquement le plus grand vecteur d'expérience de la compagnie sur un terrain de guerre de haute intensité, en effet, Militaris a fait ses armes au cours de la décennie dans l'enfer de la guerre civile du Varanya aux côtés des brigades internationales ayant soutenus la coalition visant à renverser le Shah. Les nombreux vétérans du conflits ont pu ainsi acquérir des techniques de combats et une science de la guerre propre aux paysages arides et montagneux d'Afarée qui seront dans le cas de la guerre civile Iskandriane d'un intérêt certains. Mais au delà de ça, d'autres atouts sont à dénombrer et le plus important étant la capacité logistique et opérative. De fait, l'Empire économique des Rimini est autant un maître qu'un soutient clé dans les opérations de la société qui si elle doit se plier aux exigences bénéficie dans le même temps de tous les avantages tacites qu'inclue cette subordination. Entre autre, des financements généraux et des liens assurés avec les sociétés d'armement républicaines permettent un approvisionnement mesurée et ajusté en fonction des nécessités, de même, le réseau commercial de la Sérénissime permet un approvisionnement logique et régulier dû à une présence mondiale à laquelle l'influence patricienne permet l'accès.

Au delà de ça, il convient aussi de noter que Militaris dispose d'une longue expérience afin de sécuriser des sites et de protéger des individus clés, opérant régulièrement à travers tout Fortuna afin de protéger de sites sensibles ou des personnalités au quotidien. De facto, ils disposent de méthodes et de procédures bien rôdé dans les cadres de la protection rapprochée et de la défense de positions clés.

Synthèse a écrit :

• Contingent disponible : TERRESTRE et AERIEN / Infanterie légère avec expérience certaine principalement adaptée à des manoeuvres défensives ainsi qu'à des opérations divers dans des climats arides, désertiques et montagneux, disposant d'un panel d'armement variés incluant de l'artillerie, de la DCA, des véhicules terrestres blindés et non blindés ainsi que des hélicoptères à usage de transport et de combats. Nonobstant, la proximité de l'île de Balsarah déjà utilisée comme base arrière pour les soutient de la coalition insurgée lors de la guerre civile du Varanya offre des capacités logistiques très prisés, de plus les liens avec l'Arsenal Régalien permettent l'acquisition de matériel supplémentaire performant en fonction des besoins.

• Motivation principale/contreparties attendues : Motivation financière sur le plan individuel de la compagnie, et volonté de faire avancer l'agenda économique des Riminis qui déjà implantés au Varanya voit là un intérêt à étendre leurs activités

• Atteintes aux populations civiles : NON (Officiellement, officieusement les dommages collatéraux sont admissibles)

• Pratique la torture : NON (Officiellement, officieusement cela dépend de la volonté des employeurs.)

• Respect des prisonniers de guerre : OUI (Le rançonnage étant une méthode employée, il convient de respecter la monnaie d'échange potentielle).

• Factions pour lesquelles ils accepteraient de combattre : République d’Iskandriane, Satrapie d’Iskandriane et République des îles Chesmites.

• Affrontement privilégié : Sécurisations de sites publics ou privés ainsi que de personnalités, Protection et mise en place des lignes logistiques, Guerre conventionnelle, Maintient de l'ordre.

RÉPONSE DES DIFFÉRENTES FACTIONS
18/01/2011
RÉPUBLIQUE D'ISKANDRIANE
La jeune République d'Iskandriane, semblable sur certains points à la République issue de la révolution varanyenne, souhaite s'installer durablement dans le pourtour de la mer Blême comme une puissance républicaine et laïque, sachant mettre au pas les différentes composantes les plus réactionnaires et obscurantistes du pays, à commencer par les religieux, les communautaristes et les monarchistes. La République d'Iskandriane invite le Régiment libertarien de Mostafa Ali Aslani à se joindre à ses troupes.


RÉPUBLIQUE DE YAGHOBIE
La République de Yaghobie tient à rappeler que, malgré l'absence de sollicitations de la part de sociétés militaires privées, elle est un phare des valeurs traditionnelles et de l'affirmation des populations colonisées face à la domination occidentale.


SATRAPIE D'ISKANDRIANE
La Satrapie d'Iskandriane, bénéficiant encore d'une certaine reconnaissance internationale en vertu de sa directe succession de la monarchie satrapique pré-guerre civile, est reconnaissante de la volonté du Clan Ravatomanga de Mandrarika de soutenir le régime monarchique au sein du marasme iskandriote. De plus, la monarchie est particulièrement volontariste en matière juridique et, étant donné les circonstances dramatiques, est peu regardante des pratiques de ses propres troupes et de ses alliés, reprenant les traditions autocratiques et violentes du satrape récemment décédé. La Satrapie d'Iskandriane invite les Forces claniques de Cristobal Ravatomanga à se joindre à ses troupes.


RÉPUBLIQUE DES ÎLES CHESMITES
En sa qualité de havre libéral et démocratique dans un océan de factions plus autoritaires les unes que les autres, les îles Chesmites (et la cité-état d'Ictre) ont pris un pas de côté de la vie politique continentale, indifférentes au sort de la satrapie et plus soucieuses de leur propre indépendance. Ainsi, l'archipel souhaite établir de manière durable un corridor de sécurité sur ses côtes et avec la façade maritime iskandriote continentale pour s'assurer de ne subir aucunes représailles de la part du continent, peu importe le vainqueur de la lutte à venir. La République des îles Chesmites invite la Brigade du Jaguar Paltoterran à se joindre à ses troupes. L'archipel avance également que ses ports pourraient servir de base arrière aux opérations du Jaguar en Iskandriane continentale. De même, la République invite la Société de Sécurité Privée Militaris à rejoindre ses forces armées.