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Rencontre Loduarie - Inglie

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14 Décembre 2010, Aéroport International de Dyson.
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Les pistes sont dégagées pour se préparer à l'arrivée du Secrétaire Général de la Loduarie communiste Mr. Geraert-Wojtkowiak et de ses 4 avions de chasse qu'il a apporté pour sa sécurité. Dans le tarmac, le président temporaire de la République Lernenmayenne Inglienne, Mr. Peterson est accompagné de son ministre de la diplomatie et de son porte-parole, devant eux, deux haies de 10 gardes républicains en uniforme de cérémonie sabre à la main et fusil d'assaut au dos et un orchestre de l'armée républicaine. Le président est pensif, il se demande comment va se dérouler sa rencontre avec le Secrétaire Général de la Loduarie communiste.

Alors plongé dans ses pensées, il est dérangé par un bruit venant du ciel, il remarque que ce sont les avions loduariens. Deux avions de chasse se posent sur le tarmac, suivi de l'avion transportant le Secrétaire Général, enfin, les deux autres avions de chasse se posent derrière l'avion du chef d'état Loduarien. Au bout d'une minute, une porte de l'avion du chef d'état loduarien s'ouvre et en sort Lorenzo Geraert-Wojtkowiak, il est accueilli par l'orchestre jouant l'Internationale et par le président s'avançant pour lui serrer la main. Avec un sourire, Mr. Peterson lui dit :

J'espère que vous avez fait bon voyage, Mr. le Secrétaire Général. Veuillez nous accompagner au Palais présidentiel afin d'attaquer le cœur du sujet.
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https://www.avionslegendaires.net/wp-content/uploads/2021/02/Su-57-Felon-premier-avion-service-Russie-couverture_Keypublishing.jpghttps://www.avionslegendaires.net/wp-content/uploads/2022/09/Sukhoi-Superjet-100-commande-Aeroflot-UAC-couverture_UAC.jpeg

Dans le ciel Inglien, 5 avions firent leur apparition. Ces avions, bien que des avions militaires, étaient le signe d'un possible apaisement entre 2 nations. Un apaisement critiqué par la population d'une nation, et absolument désiré par l'autre. La Loduarie arrivait en Inglie.

Aussitôt que les avions Loduariens aient atterrit sur le sol Inglien, Lorenzo sortait de l'avion qui l'avait emmené. Il entendit L'Internationale, et se dit que c'était fort drôle d'entendre ce chant fondamentalement communiste et révolutionnaire dans un pays qui s'était battu il y a peu contre le communisme. Néanmoins, il ne dit rien, et se contenta de descendre de son avion. Il sera là main du président provisoire de l'Inglie qui l'accueilli.

Camarade Marc Peterson ! Bien le bonjour ! J'ai fait un très bon voyage, même si je ne suis pas le plus fan des déplacements par avion. Visiblement vous savez soignez vos acceuils ! Rien de mieux que des militaires pour acceuillir un vétéran de guerre. Je suis bien entendu prêt à vous suivre !
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Les deux dirigeants, sortis de l'aéroport, se dirigent vers une grande voiture noire portant à l'avant de la voiture deux drapeaux, un inglien, l'autre loduarien. Ils entrant dans la voiture qui se dirige vers le Palais présidentiel de Dyson.

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Palais présidentiel de Dyson.

Une fois rentrés dans le palais, les deux chefs d'état se dirigent vers une salle décorée d'ambre et d'or avec un bureau et derrière deux drapeaux ingliens et un portrait de Thomas Lernenmay, devant le bureau, une grande table avec plusieurs chaises. Mark Peterson s'assied à sa place attitrée, après lui, son porte-parole et son ministre de la diplomatie.

Asseyez vous, je vous en prie. Je vous laisse dire ce que vous avez à dire.
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Après leur petite traversé de la ville de Dyson, la voiture du président provisoire de l'Inglie s'arrêta en face du palais présidentiel. Là, Lorenzo suivi son hôte, jusqu'au lieu de réunion. Son uniforme militaire communiste faisait tâche dans un lieu aussi richement décoré.

Bien, puisque vous le souhaitez. J'ai fait le souhait de vous rencontrer afin d'affiner les problèmes et d'éliminer les tensions qui règnent entre nos deux pays. Pour le moment, la Nation Communiste de Loduarie ne reconnait pas la gouvernance actuelle de votre pays, nous reconnaissons au contraire la gouvernance de l'état communiste. Cependant, je respecte votre combat, comme je respecterais toujours touts les combattants de ce monde, qu'ils soient ennemis ou amis.
Ensuite, nous avons appris, par le biais de votre armée, que des civils Loduariens auraient étés exécutés. Vous n'ignorez pas qu'il s'agit là d'un acte grave, et que malgré tout ce qui peut imputer cet acte à d'autres cause, le peuple Loduarien lui nous appelle à rendre justice. Ainsi, je souhaiterais que vous éclaircissiez ce passage avant de continuer.



note HRP importante
Merci à toi de déplacer ce message dans cette section
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Mark Peterson écoute attentivement son invité, puis prend la parole.

Eh bien, nous ne pouvons pas vous forcer à reconnaître le République Inglienne, mais j'aimerais malgré tout vous dire que ce régime est reconnu par l'opinion public et, depuis le Traité de paix de Dyson, par la rébellion communiste.
Ensuite, pour le problème des civils loduariens tués, j'aimerais vous dire que cela a été une vaste erreur que l'armée à tenu pour vérité, nous vous redirigeons donc vers le communiqué de l'armée sur une unité rebelle se nommant les "Loduarian Decoys". Les touristes dont "Le Libéré Loduarien" à parlé sont en sécurité à Dyson, logés gratuitement et si vous voulez, avant de partir, on peut aller les voir.
Mais j'aimerais aborder si vous acceptez le sujet de votre désaccord avec l'Empire du Nord.


Note hrp. Excuse moi ^^.
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Intéressant, intéressant. Néanmoins, je souhaiterais que les preuves que vous avancez soient vérifiées par nos enquêteurs militaires. Avec votre accord, bien sûr, je souhaiterais déployer une cinquantaine d'enquêteurs chargés de vérifier les dires de votre armée. De plus, je ne résiste pas à l'envie d'aller saluer mes concitoyens, alors je suis d'accord avec vous.

Quand vint le moment de parler de l'Empire du Nord, Lorenzo se crispa.

Concernant l'Empire du Nord, je serais intraitable sur la question. Cet empire ne foulera pas le sol Eurysien, moi vivant. Et ce certainement pas avec son armée. Je vous préviens, si ceux-ci tentent quand même de venir sur le sol Eurysien, nous serons là pour les en empêcher.
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Mark Peterson fut visiblement agacé par la déclaration de son invité, mais tenta de garder un sourire diplomatique et répond immédiatement.

Je comprend que cela vous agace, mais que vous le vouliez ou non, l'Empire du Nord va le faire avec la permission de l'état inglien. Voyez vous, nous (l'Inglie et l'Empire du Nord) sommes unis par le Traité d'Estham 2, ce sujet relève de la diplomatie entre moi et mon allié et cela relève aussi de la souveraineté inglienne et jusqu'à preuve du contraire, l'Inglie est inglienne, pas Loduarienne et, sans vouloir être abrupt avec vous, nous estimons que vous ne pouvez interdire l'Empire du Nord de fouler le sol inglien et que cela ne relève pas de votre décision. Sur ce sujet, vous avez devant un obstiné, et j'espère que malgré tout nous pourrons arriver à un terrain d'entente

Puis Mark repris le premier sujet avancé par Lorenzo.

Quand aux enquêteurs militaires, ils peuvent venir pour la simple et bonne raison que notre pays n'a rien à vous cacher et ne cherche que la paix, du moins pas que je sache.
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Concernant les enquêteurs militaires, je pense donc que la question est réglée.

Mais concernant l'Empire du Nord, je vais vous le redire, comme je l'ai déjà dit à la Clovanie, à l'Empire du Nord lui même et à vous maintenant : il est hors de question que cet empire de pacotille, ne foule la terre Eurysienne. Et quoi que vous disiez, vous aurez toujours de ma part un "non" catégorique. Ai-je été clair, cet fois-ci ?
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Écoutez, ces bases seront installées que vous le vouliez ou pas car je me répète mais ceci est une question de traité et de souveraineté de l'état inglien sur le territoire inglien, ce n'est pas une question de souveraineté loduarienne sur le territoire inglien. Je peux vous assurer que ces bases ne sont pas une menace pour vous et l'installation de ces bases sont à but purement défensif car il s'agit là de défendre les intérêts ingliens et nordistes, il ne s'agit pas de menacer les intérêts eurysiens et certainement pas loduariens.
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Il s'agit de quelque chose de bien plus vaste que de simplement menacer les intérêts Eurysiens. L'Empire du Nord, en implantant ses bases militaires chez vous, faut preuve d'un impérialisme flagrant -alors même qu'ils n'en n'ont pas les moyens, laisser moi rire- et participe à la déstabilisation durable du continent Eurysien, comme de nombreuses puissances étrangères. Je ne laisserait pas cela se faire, le comprenez vous ?
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Monsieur, je comprend votre point de vue, mais essayez de comprendre le mien. Il n'y a pas d'impérialisme dans la décision de protéger un allié et de respecter une clause d'un traité qui convient aux deux parties. Je me doute que le côté établissement de bases étrangères dans un autre continent peut paraître une démonstration flagrante d'impérialisme, mais il faut aussi prendre en compte les paramètres géopolitiques, si je puis dire, si le pays est en alliance avec le sujet à un établissement de bases et si il en a besoin, dans mon cas, j'estime cocher les deux cases.
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Bien, bien.
Dans ce cas, je crois que nous n'avons plus rien à nous dire pour le moment. Nous patinons, et je déteste rester sur la même chose trop longtemps. Nous pouvons mettre fin à cette rencontre, ne pensez vous pas ?
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Bien dans ce cas, avant de partir, voulez vous avec moi en ville voir les civils loduariens ?
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Je pense en effet que cela ne serait pas de trop. Et comme je l'ai dit, je ne peux résister à l'envie de saluer mes concitoyens.
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C'est dommage que nous n'avions pas trouvés d'accord sur le sujet principal de notre rencontre... Dans ce cas, suivez moi !

Mark Peterson se lève, ouvre la porte de la salle décorée d'ambre et d'or et fait signe à son homologue loduarien de sortir en premier. Ils se dirigent vers la même voiture qui les a guidés hors de l'aéroport, une fois rentrés dans la voiture, ils se dirigent en ville et s'arrêtent devant un grand bâtiment en marbre. Quand ils entrent, ils voient les civils loduariens, certains dorment, certains parlent, d'autres mangent mais ils ont tous l'air d'être en forme. Certains finissent par remarquer leur Secrétaire Général et se dirigent vers lui.
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