Nom officiel : région semi-indépendante d'Iondalbon
Nom courant : Iondalbon
Régime politique : constitution
Gentilé : Iondalbonné(e), Sahari, Ath, Beth.
Langue officielle : Arabe, Ath, Amazigh
Autre langue reconnue : autre dialecte berbères et maghrébins
Drapeau :
Chef de Région (Grand Waliya) : Almina Mohammed
Fête régionale : 12 Janvier
Capitale : Raigennd
Population : 7 200 000
Emplacement : au nord ouest du royaume, c'est aussi la seule frontière du royaume avec Althalj
Jusqu'à l'an 200 :
Les Saharis, vivant initialement de manière nomade, étaient des maîtres de la mobilité. Ils connaissaient les itinéraires à travers les dunes de sable brûlantes et les montagnes escarpées, leur permettant de trouver des pâturages verdoyants pour leurs troupeaux et des points d'eau vitaux pour leur survie. Leur mode de vie nomade leur conférait une grande flexibilité et leur permettait de se déplacer en harmonie avec les ressources naturelles de la région.
Les Saharis entretenaient également des liens étroits avec d'autres tribus nomades Alth et Beth des régions environnantes. Ils partageaient des connaissances sur les oasis cachées, les routes commerciales et les techniques de survie dans le désert. Ces échanges culturels ont contribué à enrichir les traditions et le savoir-faire des Saharis.
Au fil des siècles, les Saharis ont développé des compétences uniques pour la navigation dans le désert et la collecte des ressources rares. Ils étaient experts dans l'identification des plantes et des herbes médicinales qui poussaient dans les recoins les plus reculés du désert, utilisant leur connaissance approfondie de la flore pour guérir les maladies et soulager les maux. Leurs connaissances des étoiles et des vents étaient également exceptionnelles, leur permettant de se repérer et de prévoir les changements de climat.
La communauté des Saharis était tissée par des liens familiaux solides et des valeurs traditionnelles profondément enracinées. Ils se réunissaient régulièrement lors de grandes caravanes où les tribus se rencontraient pour échanger des biens, partager des histoires et célébrer leurs traditions communes. Ces rassemblements étaient l'occasion de renforcer les liens sociaux, de préserver les récits oraux transmis de génération en génération et de perpétuer les pratiques culturelles.
Les Saharis étaient également connus pour leurs compétences artisanales. Ils créaient des tapis et des tentes magnifiquement tissés, ornés de motifs colorés qui racontaient des histoires de leur héritage et de leurs voyages. Leurs objets en cuir finement travaillé, tels que des sacs et des sandales, étaient recherchés pour leur qualité et leur durabilité.
Malgré les défis inhérents à leur environnement aride et inhospitalier, les nomades ont réussi à prospérer grâce à leur ingéniosité, leur adaptabilité et leur résilience. Ils ont laissé un héritage durable dans la région d'Iondalbon, où leur influence culturelle et leur mode de vie nomade ont laissé une empreinte indélébile sur les communautés qui les ont suivis.
De l'an 200 à l'an 1230 :
Vers l'ouest, de nombreuses tribus nomades ont entendu parler des Althaljirs et de la communauté florissante de Tamurt n Althalj de l'autre côté des montagnes. Intrigués par les récits de prospérité et de solidarité de cette communauté, des nomades Beths ont décidé de les rejoindre, formant ainsi un groupe diversifié de peuples nomades qui s'installeraient dans la région.
Cependant, toutes les tribus nomades n'ont pas souhaité rejoindre la communauté de Tamurt n Althalj. Certaines d'entre elles, attachées à leur mode de vie isolé et à leur autonomie, ont décidé de poursuivre leur propre chemin. Elles ont entrepris une dernière migration vers l'est, en direction du cap d'Ifilku, où elles se sont installées pour plusieurs siècles.
La région derrière le cap d'Ifilku offrait un emplacement stratégique par rapport au golfe d'Émeraude et aux voies maritimes. Sa position avantageuse a attiré l'attention de plusieurs colonies en provenance de l'Eurysie. Ces colonies, attirées par les richesses naturelles telle que les métaux souterrains, les terres agricoles et les opportunités commerciales de la région, ont tenté de s'établir durablement dans la région d'Iondalbon.
Cependant, les nomades qui avaient choisi de rester isolés étaient farouchement attachés à leur mode de vie nomade et résistaient à ces tentatives de colonisation étrangère. Ils utilisaient leur connaissance approfondie du terrain et leur expertise en matière de survie dans le désert pour repousser les colons, telle que le grand cercle de feux en l'an 350 et la rivière noir de 610. Les nomades, unis par un fort sentiment d'identité et de solidarité, ont formé une alliance pour protéger leur territoire et leurs traditions comme l'alliance par mariage des nomades du nord(l'an 299) et l'alliance des nomades bleus(l'an 351).
Parmi les nomades, il y avait des individus curieux et avide de connaissances. Ils étaient ouverts à l'idée d'explorer de nouvelles idées et de nouvelles croyances. Les contacts fréquents avec les commerçants et les missionnaires musulmans qui eau début de l'an 702 venant commercer avec les colons stationner temporairement ont facilité cet échange d'idées. Les marchands nord Afaréens traversaient la région d'Iondalbon pour établir des routes commerciales et échanger des biens avec les les colonies.
Au fil du temps, de petits groupes de nomades ont commencé à embrasser l'islam. Ces premiers convertis ont ensuite partagé leurs découvertes et leurs expériences avec le reste de leur tribu. Ils ont expliqué comment l'islam pouvait compléter et enrichir leurs traditions nomades, sans pour autant les supprimer. Certaines tribu devenaient majoritairement musulmanes et entraient en conflit avec les tribus avec qui ils avaient un alliance, tel que le conflit de l'alliance des nomades bleu et l'assassinat de la nouvelle femme du chef musulman d'un des tribu convertie au détriment d'une des filles du chef des tribus dans l'alliances non converties.
D'autre chefs tribaux, voyant le changement progressif dans les attitudes de leurs membres, ont commencé à considérer l'islam comme une force unificatrice pour leurs tribus. Ils ont reconnu la nécessité d'une certaine stabilité sociale et politique pour assurer la sécurité et le bien-être de leur peuple.
Finalement, en 740, la conversion à l'islam s'est répandue dans plus de 80% des tribus nomades de la région d'Iondalbon. Elle a été un processus graduel, basé sur la compréhension et l'acceptation volontaire de la religion par les individus. Les tribus ont adapté les enseignements de l'islam à leur mode de vie nomade, intégrant les prières, les rituels et les valeurs islamiques dans leur quotidien.
de l'an 1230 à 1400 :
À partir de l'an 1230, un nouveau chapitre s'est ouvert dans l'histoire de la région d'Iondalbon. Les premiers Assams des Banairais, fuyant les invasions mongoles à l'est du continent, ont traversé de vastes étendues désertiques pour s'installer sur les larges plaines de la région de Nadim situées à l'extrémité du golfe. Quelques années plus tard, les Tehas les ont rejoints, s'établissant le long de la côte vers le nord, jusqu'à rencontrer les tribus nomades arabes Saharis.
L'arrivée des nouveaux arrivants Assams et Tehas dans la région d'Iondalbon a créé des tensions avec les tribus nomades Saharis qui étaient déjà établies dans la région. Les différences culturelles et les rivalités territoriales ont rapidement émergé, alimentées par des enjeux tels que l'accès aux points d'eau et aux routes migratoires. Les points d'eau étaient des ressources vitales dans le désert aride, nécessaires à la survie des tribus nomades. Les Assams et les Tehas, en s'installant dans la région, ont également revendiqué ces points d'eau pour leurs propres besoins. Cela a créé des frictions, car les Saharis considéraient ces ressources comme leur propriété ancestrale.
Les tribus nomades Saharis étaient conscientes que les nouvelles arrivées étaient des réfugiés fuyant les invasions mongoles à l'est du continent. Ils supposaient donc que ces groupes cherchaient un refuge temporaire et qu'ils continueraient leur voyage à un moment donné. Par conséquent, les tensions territoriales étaient en partie atténuées par cette perception temporaire de la présence des Assams et des Tehas. Hélas, Les conflits sur les points d'eau et les routes migratoires se multiplient rapidement. Les groupes arabes crée, qui s'étaient installées sur les plaines au bout du golfe, se heurtent aux tribus nomades maghrébines Saharis qui occupaient déjà ces terres. Les affrontements s'intensifient en 1248, après qu'un groupe de la tribu nomades bleu en voyant s'installer un nouveau groupe arabe qui venait d'arriver d'une longue traverser du désert près de la fin d'un cours d'eau, le fils du chef de la tribu lui-même empoisonnât le cours d'eau à la Nielle des blés rouge en grandes quantité ce qui tua le groupe toute entier fait d'hommes, de femmes et d'enfants. C'est ainsi que noyer dans la colère, ce qui venait de se passer en plus de la rivalité ethnique alimenta les flammes de la guerre.
De l'escalade à la première nation arabe de 1392 :
1260 - Khalid Al-Samir, un chef charismatique des tribus arabes, émerge comme un leader courageux et tactique, menant des raids contre les tribus Saharis et gagnant en popularité parmi les siens. Son histoire est marquée par des événements clés qui ont façonné sa réputation et son influence au sein des tribus arabes.
Au mois de mars de l'année suivante, Khalid Al-Samir mène son premier raid réussi contre une caravane de dromadaires Sahari lors d'une migration saisonnière. Cherchant vengeance pour sa tribu qu'il avait laissée s'installer sur le cours d'eau, il rassemble une petite troupe de guerriers et attaque de manière surprenante et rapide, submergeant les Saharis désorganisés et capturant un important butin très spécial. Ce raid audacieux met au jour des fioles de rose d'adenium à moitié vides, sachant que ces fleurs ne germent que l'été. Faisant rapidement le lien, le groupe massacre tous les Saharis, vengeant ainsi les leurs et cela lui vaut une reconnaissance croissante parmi les siens. L'un de ses raids les plus audacieux se déroule en septembre, lorsque Khalid Al-Samir et ses guerriers attaquent un campement Sahari de grande envergure ( la tribu bleu). Utilisant la nuit comme couverture, ils s'infiltrent silencieusement dans le camp et provoquent la panique parmi les Saharis endormis. La surprise et la confusion leur permettent de causer des pertes importantes aux Saharis en tuant presque tous les hommes dont le chef et son fils, ils ont enlevés plusieurs femmes dont la fille du chef avant de se retirer en toute sécurité avec seulement une dizaine de blessés légers. Il offrit les femmes en cadeau à plusieurs tribus voisines dont trois qui s'allient sous son autorité, il attache la filles du chef (Zahra bint-Ramil) et la traine derrière un chevale le long de la rue de la ville de khalzark ( Crysos aujourd'hui) après avoir été jeter dans un puits pendant 62 jours sans manger, rester debout après après 20 coups de fouet avant de s'écrouler puis attacher et recevoir 646 de plus. Le femme meurt après être trainer sur 5 kilomètre et deviens un martyr pour les tribus nomades du nord.
Après la mort tragique de Zahra, fille du chef des tribus bleues, les tribus Saharis environnantes sont plongées dans un profond sentiment de tristesse et de colère. La nouvelle de sa capture, de sa détention et de sa torture par Khalid Al-Samir se répand comme une traînée de poudre parmi les Saharis, provoquant une vague de chagrin et d'indignation. La mort de Zahra en martyr laisse un vide insurmontable au sein de sa tribu et dans le cœur de ceux qui l'ont connue. Sa perte est ressentie comme une profonde blessure dans l'âme des Saharis. Les récits de son courage, de sa beauté et de sa force se propagent à travers les terres, rappelant à tous ceux qui les entendent la cruauté et l'injustice qui ont été infligées à cette jeune femme innocente mais sans pour autant rassembler les tribus entre eux et certains préfèrent se disperser dans le désert vaste pour échapper au groupes arabes qui commencent a se mélanger, d'autres la perte de Zahra devient un catalyseur de résistance et de détermination. La vengeance et la justice deviennent des aspirations profondément enracinées dans leur quête de justice et de liberté. Les chants funèbres résonnent dans les campements nomades, accompagnés par le bruissement des dunes de sable portant les lamentations des Saharis endeuillés. Des légendes se créent autour de Zahra, la décrivant comme une figure sainte et martyre, une voix qui inspire la résistance et l'espoir dans les temps les plus sombres. Les récits de son sacrifice héroïque se transmettent de génération en génération, alimentant le désir de justice et la volonté de préserver leur culture et leur identité Sahari.
Au printemps de l'année 1275, une série de batailles éclate dans la région de l'oasis d'Azmar, un point d'eau important pour les tribus nomades puisqu'ils avaient choisis cette endroit pour honorer la mémoire de Zahra La rose du Désert. Les tribus arabes et les tribus Saharis se disputent le contrôle de cette ressource cruciale, entraînant des affrontements violents qui font de nombreuses victimes des deux côtés. Un exemple marquant de ces affrontements se déroule en juillet 1275, lors de la bataille de Dhar Zin. Les tribus arabes, dirigées par Khalid Al-Samir, et les tribus Saharis, sous le commandement de Zair Al-Amari, se rencontrent dans une bataille féroce pour le contrôle d'un carrefour stratégique le long de la principale route migratoire. Les combats sont acharnés, avec des pertes importantes des deux côtés. La bataille s'arrête finalement par une impasse, aucun camp ne parvenant à prendre le dessus même si les Saharis sont coincer entre l'oasis et les forces arabes.
La bataille de Dhar Zin, qui se déroule en juillet 1275, est une confrontation décisive entre les tribus arabes, dirigées par Khalid Al-Samir, et les tribus Saharis, sous le commandement de Zair Al-Amari. Elle se déroule dans un carrefour stratégique le long de la principale route migratoire, qui représente un point de contrôle crucial pour le mouvement des troupeaux et des caravanes. Zair Al-Amari, le commandant des tribus Saharis, organise une défense solide en positionnant ses troupes de manière à exploiter les avantages du terrain. Les Saharis tirent parti des collines environnantes pour établir des positions défensives naturelles et des embuscades potentielles. La bataille commence avec une charge furieuse des Arabes, qui cherchent à briser les lignes Saharis et à prendre le contrôle du carrefour stratégique. Les Saharis résistent farouchement, utilisant leurs connaissances du terrain et leur habileté au combat pour repousser les attaques arabes. Les combats sont féroces et acharnés, avec des affrontements au corps à corps et des échanges de projectiles. Malgré les efforts considérables des deux côtés, la bataille s'achève finalement par une impasse. Aucun camp ne parvient à prendre l'avantage décisif. Les Saharis, bien qu'encerclés entre l'oasis et les forces arabes, font preuve d'une résistance farouche et d'une coordination tactique impressionnante. La fille du commandant Sahari, Leila bint-Zair Al-Amari, joue un rôle crucial dans la défense Sahari, démontrant son habileté au combat et sa détermination inébranlable. Appréciant l'importance de l'oasis pour la survie des Saharis, les Arabes utilisent leur position pour lancer des négociations avec les chefs Saharis. Khalid Al-Samir, en tant que leader charismatique et tactique, reconnaît que des combats prolongés pourraient causer des pertes importantes des deux côtés, sans pour autant garantir une victoire décisive. Ainsi, les Arabes proposent une alternative à la guerre totale. Ils offrent aux Saharis la possibilité de se retirer pacifiquement de l'oasis en échange de concessions du point d'eau abondant en échange de l'évacuation temporaire de l'oasis et la restitution de ce qu'il peut rester de Zahra comme symbole. Zair refuse bien sûr et comme les Saharis sont bloqués entre l'oasis et les forces arabes, les arabes ont un avantage tactique mais doivent également faire preuve de prudence pour éviter une escalade inutile. Il pose un blocus sur les Saharis jusqu'à que leurs réserves de nourriture s'épuise. Mais c'est sans compter sur la fille du chef et de son marri ( Leila et Kamel) qui de nuit réussissent a traverser tous l'oasis en retenant leurs souffles et partir de l'autre coter pour allez chercher de l'aide, ils volent un cheval et galopent chercher de l'aide. Après des jours d'Attente des silhouettes noirs attaquent par surprise les troupes arabes par derrière et réussissent a avoir l'avantage avec les troupes de Zair, la plupart des arabes réussissent à s'enfuir grâce au troupes ramener par Kamel puisque Leila n'a pas pu faire le trajet du retour et resta au village se reposer)
Les affrontements se propagent également le long des routes migratoires, où les tribus se disputent le passage et les ressources environnantes. Des embuscades et des escarmouches se produisent fréquemment, causant des pertes supplémentaires parmi les combattants des deux camps mais en particulier les Saharis. Les combats sont de plus en plus organiser mais les villes et systèmes civiles arabes également le sont dans plusieurs villes ou les échanges se font de plus en plus. Un jour fatidique approche pour la communauté arabe Assams et Tehas.
La première union entre les tribus Saharis se fut juste après la bataille en 1275, la vaillante guerrière Leila bint-Zair Al-Amari, appartenant à la tribu des Yeux d'Or, joue un rôle central. Après la bataille de Dhar Zin, où les Saharis ont fait preuve d'une résistance farouche face aux forces arabes dirigées par Khalid Al-Samir, Leila comprend que la situation ne peut pas se résoudre par la force brute seule. Elle se met en quête d'une solution pacifique qui garantirait la sécurité et l'unité des tribus Saharis. Sachant que La tribu des yeux d'or de Zair et la tribu bleu venue les aider se retrouvèrent côte à côte sur le champ de bataille, combattant ensemble pour défendre leur liberté et leur mode de vie nomade. Leur alliance marqua le début d'une nouvelle ère de solidarité et de coopération entre les tribus Saharis. Elle saisit l'opportunité de créer une alliance solide avec la tribu bleue de son mari Kamel, une tribu également confrontée aux mêmes défis et aux mêmes menaces des tribus arabes. Après de longues délibérations et des discussions avec les anciens de la tribu bleue, ils acceptent de former une alliance avec la tribu des yeux d'or. Une cérémonie solennelle est organisée pour sceller cette union, symbolisée par une prière près de l'oasis ou les `étincelles de l'union c'est créer, mais ils gardèrent cette union secrète pour un cours temps pour ne pas envenimer les choses et ne pas augmenter le scepticisme et la méfiance chez les arabes. Ainsi, grâce à la détermination et au courage de Leila Al-Amari, la première union entre deux tribus Saharis est créée, jetant les bases d'une résistance commune face à l'adversité et de la préservation de l'identité Sahari.
Le jour fatidique arrive, et les tribus se font face sur les pentes de la Montagne Rouge. Les armes luisent sous le soleil brûlant, et les tambours de guerre résonnent dans les vallées environnantes. La tension est palpable, tandis que chaque camp se prépare à en découdre, déterminé à remporter la victoire. La bataille s'engage avec une férocité inouïe. Les cris de guerre se mêlent aux sons des armes, tandis que les guerriers s'élancent les uns contre les autres avec une rage incontrôlable. Les flèches sifflent dans les airs, atteignant leurs cibles avec une précision mortelle. Les épées s'entrechoquent, éclaboussant les combattants de sang. Les chiffres des pertes humaines s'accumulent au fil des heures, avec des milliers de guerriers tombant au combat. Les rivières se teintent de rouge, et les plaintes des blessés et des mourants emplissent l'air. Les mères, les épouses et les enfants, cachés dans les recoins les plus reculés de la montagne, prient pour que leurs êtres chers survivent à ce carnage sans fin. Au crépuscule, la Bataille de la Montagne Rouge atteint son paroxysme. Les tribus Saharis sont épuisées, leurs forces décimées. L'issue de la bataille demeure incertaine. Alors que la bataille fait rage, la nuit tombe et laisse apparaitre la lune de sang qui donne au ciel une teinte d'un rouge sanglant, ajoutant une atmosphère sombre et sinistre à cette rencontre épique. Les corps jonchent le champ de bataille, les cris de douleur se mêlent aux lamentations des blessés.
Finalement, après de nombreuses heures de combat acharné, la balance commence à pencher en faveur des troupes arabes. Leurs formations disciplinées et leur coordination tactique finissent par briser les rangs maghrébins. Les guerriers Saharis, épuisés et en nombre inférieur, sont contraints de reculer au sommet et de céder du terrain. Laissant les arabes monter la pente et les rejoindre au sommet une partie des tribus Saharis fait le tour et attaque le groupe par derrière dirigé par Hassan Al-Zahrawi lui-même. Ils se jettent dans la mêlée avec une fureur renouvelée, semant la confusion et la terreur parmi les rangs ennemis. Malgré leur dernier acte désespéré, les Maghrébins ne peuvent pas inverser le cours de la bataille. La supériorité numérique et la discipline tactique des Arabes finissent par prévaloir. Les troupes Saharis sont mises en déroute, leur résistance brisée. Mais les arabes ne s'arrêtent pas la, ils continuèrent de repousser les arabes qui continuer de se battre vers le sommet puis vers le bout de ce dernier avant de les pousser a tomber du haut de la montagne à coup de lance, Leila faisant partie de se groupe qui n'abandonner pas, elle profita pour planter un coup de dague chez Khalid en personne avant de se laisser tomber faisant un chute de plus de 1000 mètre.
La Bataille de la Montagne Rouge se conclut par une victoire amère pour les tribus arabes. Les pertes sont nombreuses des deux côtés, les champs sont jonchés de cadavres et de désolation. Le paysage est marqué à jamais par cette tragédie sanglante.
En 1351- L'alliance entre la tribu Sahari des Zaldiares et Leila Al-Amari, dirigée par le chef Abu Akhar, a eu un impact significatif sur le conflit entre les tribus arabes et maghrébines. Cette union a renforcé considérablement les rangs des Saharis et a créé une force redoutable à laquelle les tribus arabes ont dû faire face. La tribu Zaldiares, connue pour ses femmes assassins dissimulées presque partout dans les tribus du désert du Sahara et même au-delà des montagnes, est devenue un atout majeur pour l'alliance Sahari. Leurs compétences en matière d'infiltration, de renseignement et d'assassinat ont permis de déstabiliser les rangs ennemis et de semer la terreur parmi leurs adversaires. Parmi eux, la chefs du groupe le plus redoutable, les assassin d'Argents, Nura. Nura était une jeune femme d'une beauté envoûtante, mais derrière son apparence séduisante se cachait une redoutable tueuse. Elle était experte dans l'art du camouflage et de la discrétion, capable de se fondre dans n'importe quel environnement et d'éliminer ses cibles sans être détectée. Vers l'hiver de l'année 1352, les tribus arabes avaient organisé une réunion stratégique dans un oasis isolé du désert. Les chefs tribaux étaient rassemblés pour discuter des prochaines étapes de la guerre. C'était une occasion parfaite pour l'alliance Sahari de frapper un coup dévastateur à leurs ennemis. Nura, déguisée en danseuse nomade, se glissa dans l'assemblée sans éveiller le moindre soupçon. Elle avait pour mission d'empoisonner les nouveau leaders arabes qui essayer d'amasser plus de groupe et qui avait orchestrer le massacre de la montagne de sang. Ils avaient des gouteurs pour chaque leader, elle faisait en sorte de mettre une petite quantité de poison d'adenium dans le même vers pour ne pas éveiller les soupçons des gouteur, lorsque fit le tour d'une autre danseuse elle versa le reste dans le bol de thé avant de mettre le reste de la fiole dans les habits d'une danseuse d'un groupe arabe voisin pas encore allié.
La réunion se déroula comme prévu, les tribus arabes levèrent leurs coupes pour sceller l'alliance. Mais peu de temps après avoir consommé leurs boissons, les chefs arabes commencèrent à ressentir les effets du poison. La panique s'empara de l'assemblée, tandis que Nura et ses coéquipières disparaissaient dans les ombres du désert. Cette attaque sournoise et mortelle eut des répercussions profondes sur les tribus arabes. Non seulement elle les priva de leurs leaders les plus puissants, mais elle sema également la méfiance et la paranoïa parmi les survivants. Les tribus arabes devinrent méfiantes les unes envers les autres, incapables de faire confiance à leurs propres alliés puisqu'ils n'avaient aucune idée sur aucune alliance des Saharis garder secret par Leila. Cette histoire, connue sous le nom de "La Danse de la Mort", devint légendaire dans la région d'Iondalbon. Elle symbolisait la puissance de l'alliance Sahari-Zaldiares et leur détermination à utiliser tous les moyens nécessaires pour atteindre leurs objectifs.
Après l’attaque de Nura et ses coéquipières, les huit tribus arabes alliées sont plongées dans une crise profonde. Leur leadership est affaibli, leur confiance est ébranlée et leur unité est compromise. Les tribus arabes se fragmentent en 11 factions rivales, se disputant le pouvoir et les ressources. Ces factions aurons un rôle important sur l'histoire de la région.
La faction de Khalid Al-Samir est la faction la plus puissante et la plus influente parmi les tribus arabes. Elle est dirigée par Khalid Al-Samir, le chef charismatique et tactique qui a mené les tribus arabes dans plusieurs batailles contre les tribus Saharis depuis la cité ancestrale des Saharis Khalia. Sa faction revendique le leadership légitime de toutes les tribus arabes et cherche à se venger des Saharis pour les attaques qu’ils ont subies. Elle veut également étendre son territoire et sa domination sur le long de la rivière qui descend des montagnes d'Ifriq, en s’opposant aux colons eurysiens qui viennent tâter le terrain et prendre la température de temps en temps, et rejette les autres groupes ethniques que arabes. Sa faction est composée principalement des premières famille Assams et Tehas comme lui, qui sont les plus puissantes parmi les tribus arabes.
La faction de Hassan Al-Zahrawi : C’est la faction la plus radicale et la plus violente parmi les tribus arabes. Elle est dirigée par Hassan Al-Zahrawi, le chef fanatique, spirituel et impitoyable qui a succédé à son père, mort lors de la bataille de la Montagne Rouge. Sa faction prône une guerre totale contre les tribus Saharis, qu’elle considère comme des infidèles et des traîtres (car la majorité sont des musulmans sunnites). Elle veut également imposer un islam shiite rigoriste et intolérant aux autres tribus arabes, en éliminant toute forme de dissidence ou de divergence. Sa faction est composée principalement des tribus Al-Zahra et Al-Malik, qui sont les plus ferventes et les plus extrémistes parmi les tribus arabes en etant de base des sous tribus des Assams et Tehas.
et bien d'autre qui n'aurons pas autant d'impacte sur l'histoire d'Iondalbon et qui seront donc mentionner dans l'histoire et le point de vue de la région d'Esmea. Alors que les années s'écoulent, le désert d'Iondalbon devient le théâtre d'une série d'événements qui vont redéfinir le destin des tribus arabes, des tribus Saharis et de la région tout entière. Les factions rivales, Khalid Al-Samir, Hassan Al-Zahrawi et Omar Al-Rashid, continuent de se disputer le pouvoir, tandis que de nouveaux acteurs entrent en jeu, apportant avec eux des ambitions, des alliances et des trahisons qui ébranleront encore davantage l'équilibre fragile.
De 1392 à 1410 : La Quête du Pouvoir et les Intrigues
lors que les années passent, les factions arabes rivales continuent de s'affronter pour le pouvoir dans le désert d'Iondalbon. Les tribus Saharis, quant à elles, ont réussi à consolider leur alliance avec les Zaldiares, augmentant leur force et leur influence. La région est marquée par une paix fragile et des rivalités persistantes, avec des alliances changeantes et des manœuvres politiques de plus en plus complexes.
La faction de Khalid Al-Samir continue de dominer la scène politique, mais des divisions internes commencent à apparaître. Certains membres des tribus Assams et Tehas remettent en question sa leadership et se tournent vers Omar Al-Rashid pour des solutions pacifiques. Khalid, soucieux de maintenir sa position, tente de consolider son pouvoir en formant des alliances avec des tribus moins puissantes. Cela le met en conflit avec la faction d'Hassan Al-Zahrawi, qui considère ces tribus comme des traîtres et des infidèles.
Hassan Al-Zahrawi, de son côté, continue de prôner un islam shiite rigoriste et cherche à éliminer toute opposition. Sa faction gagne en influence parmi les tribus extrémistes, mais son intransigeance crée des tensions avec les autres factions arabes et pousse certains membres à rejoindre Omar Al-Rashid. Pendant ce temps, les tribus Saharis observent les événements avec attention. Leila Al-Amari, déjà très âgée, toujours un symbole d'unité pour son peuple, cherche à exploiter les divisions arabes à son avantage. Elle déploie des émissaires auprès des différentes factions, proposant des accords commerciaux et des garanties de non-agression en échange de territoires et de ressources.
La situation est compliquée par l'éruption fréquente du volcan Alhariq Alkabir au nord. Les perturbations environnementales causées par les éruptions ajoutent une couche de chaos à une région déjà instable. Les morts augmentent, les ressources deviennent rares, et les tribus arabes et Saharis sont contraintes de rivaliser pour leur survie dans un désert de plus en plus inhospitalier. Le début des années 1410 marque un tournant critique. Les tribus Assams et Tehas, épuisées par les conflits internes et conscients des menaces extérieures, commencent à migrer vers le sud pour échapper aux troubles. Cette migration progressive affaiblit encore davantage la faction de Khalid Al-Samir et crée un vide de pouvoir dans certaines régions du désert.
De 1410 à 1455 : La Tension Maximale et la Bataille de Voilesanglante
Les années qui suivent voient la tension monter à son paroxysme. Un mystérieux et charismatique chef du nom d'Al-Malik Al-Azrak émerge comme une force majeure sur la scène. Le voile de mystère qui entoure sa véritable identité ne fait qu'accroître son pouvoir et sa menace perçus. Al-Malik Al-Azrak, surnommé "le Roi Écarlate", orchestre une série d'attaques audacieuses et stratégiques, ciblant spécifiquement les zones frontalières entre les tribus Saharis et arabes. Ces attaques font preuve d'une planification minutieuse et d'une connaissance approfondie du terrain, témoignant d'une intelligence militaire exceptionnelle. Les alliances fluctuent à mesure que les tribus arabes sont confrontées à l'ampleur de la menace. Dans un effort pour contrer Al-Malik Al-Azrak, le fils de Leila Al-Amari et nouveau chefs de la tribu bleu et de l'alliance Sahari propose une rencontre avec les dirigeants arabes et colons eurysiens pour discuter d'une alliance stratégique contre les pillards venant du nord. Plusieurs groupes et factions des deux coter refusèrent de participer a cette réunion dont la faction d'Hassan Al-Zahrawi pour les arabes et la tribu Hamrawa rouge pour les Saharis. La réunion a lieu à Voilanglans, une oasis neutre au cœur du désert entre la tribu des premier Saharis au sud et la faction de Aisha Al-Zahra. Cependant, le destin en décide autrement. Alors que les dirigeants se réunissent dans une atmosphère tendue de méfiance et de suspicion, des traîtres infiltrés par Al-Malik Al-Azrak déclenchent une attaque soudaine. L'oasis de Voilesanglante, qui aurait pu être un symbole d'unité, devient le théâtre d'une bataille sanglante et chaotique. Les cris de guerre, le son des armes et le tumulte de la bataille résonnent dans l'air, tandis que les dirigeants et les guerriers se battent pour leur survie. La bataille de Voilesanglante se révèle être une défaite désastreuse pour les tribus Saharis et arabes. Les pertes sont catastrophiques, et la réunion qui était censée sceller une alliance prometteuse devient le déclencheur d'une escalade encore plus grande du conflit. Les dirigeants survivants sont laissés en état de choc et de désarroi, confrontés à la réalité brutale de la situation.
De 1460 à 1540 : batailles, migrations et miracles
Dorénavant, la suite sera rédiger ici