Contexte : Après la récente introduction de Péronas au sein de l'Organisation des Nations Commerçantes, le Lofoten a souhaité engager des relations diplomatiques avec Péronas. Bien que les deux pays n'ait pas de proximité géographique, les capitales respectives sont situées à 14'700 kilomètres d'écart. Il en va de soi que pour garantir une coopération au sein de l'ONC que Péronas va devoir travailler auprès de tous les Etats-membres, à savoir l'Alguarena, le Banairah, Fortuna, le Jashuria, le Lofoten, le Novigrad, le Vogimska, la Youslévie. Actuellement, Péronas n'entretient des relations diplomatiques qu'avec moins de la moitié des pays. Péronas va donc travailler dans la poursuite de la démarche Lofotène afin de respecter son objectif. Cette rencontre diplomatiqu qui va se faire rencontrer le Chancelier Fédéral Lofotèn Atreus Fjörgyn et le Président Péron Montel Ricci. Cette rencontre va être importante et va permettre de fixer l'attitude de Péronas auprès de ses plus proches partenaires que sont les Etats-Membres de l'ONC.
17 janvier à 13 heures
Le 17 janvier à Péronas, l'été est en plein essor et démontre, de façon indéniable, sa présence vigoureuse. C'est un été typique, une manifestation remarquable de la puissance de la nature, avec des températures extérieures grimpant de façon vertigineuse jusqu'à atteindre des sommets. Dans la capitale de Péronas, Rore, le mercure grimpe frénétiquement pour atteindre une haute température de 37 degrés Celsius, une chaleur bouillonnante et implacable. Cette ambiance suffocante, cet air lourd et cette chaleur insupportable accueillent le Chancelier Lofotèn, qui vient de traverser 15'000 kilomètres, quittant derrière lui les températures négatives de Pemberton. Seulement seize heures auparavant, il faisait face à un paysage hivernal glacial, contrastant fortement avec la torpeur estivale qui l'accueille ici. Cependant, un soin méticuleux a été apporté à la préparation de tout le parcours de ce personnage de haute importance. Chaque endroit où le Chancelier posera le pied a été minutieusement climatisé pour assurer son confort. L'aéroport, son point d'entrée dans ce pays, affiche une température intérieure de 21 degrés, un soulagement rafraîchissant par rapport à l'étreinte chaude de l'été à l'extérieur. Cette même température agréable a été réglée dans la voiture blindée qui l'attendra, ainsi que dans la salle de rencontre, située au cœur du palais présidentiel. Cependant, malgré tous ces efforts, il est inévitable que le Chancelier soit confronté aux températures élevées à plusieurs reprises. Lors de son atterrissage, il devra quitter le confort climatisé de l'avion et traverser le tarmac brûlant pour rejoindre la voiture blindée. De même, à son arrivée au palais présidentiel, il devra affronter de nouveau l'atmosphère extérieure suffocante avant de pouvoir rejoindre l'intérieur du bâtiment. Pour contrer cet inconvénient, un système d'arrosage régulier a été choisi pour abaisser la température dans ces zones de transition ainsi que l'usage de grands parasols visant à couvrir le parcours du chancelier. Cela fournira un certain soulagement contre la chaleur intense, rendant les déplacements du Chancelier un peu plus supportables dans ce climat estival implacable.
L'avion du Chancelier Lofotèn se fit apercevoir non-loin de là, escorté sur le territoire Péron par des avions de chasses de l'Armée de Terre montrant la volonté de protection d'un leader aussi important. En attendant, la délégation Pérone s'occupa des derniers préparatifs au sein de l'aéroport alors que l'avion commença son atterissage. Montel Ricci, plus tout jeune, commença à se diriger vers le tarmac, à pas lent, escorté par les services de sécurité qui assurent également la protection de l'avion. On sentait la chaleur, même à l'ombre bien que cela passait encore tandis que sur le bitume noir du tarmac, on pouvait ressentir jusqu'à 80 degrés exposé plein soleil. Quoi qu'il en soit, Montel Ricci et le Chancelier Lofotèn devrait affronter eux, que des températures de 30 degrés maximum, ce qui reste toutefois excessif lorsque les températures annuelles ne dépassent jamais 25 degrés ou que dans de très rares cas.
Aussitôt débarqué de son avion, Montel Ricci s'empressa d'accueillir de la meilleure des manières son homologue. Après le serrage de main diplomatique, il s'empressa de le faire rejoindre l'intérieur de l'aéroport afin de lui faire éviter la chaleur étouffante de l'extérieur, c'est là où ils purent chacun à l'autre faire les formalités. Montel Ricci prit soin de vérifier du niveau d'hydratation de son homologue ainsi que de la qualité du voyage effectué pour rejoindre Péronas. Après le serrage de main officiel, la prise de photo par les photographes, et les différentes formalités entre les deux délégations, Montel Ricci accompagna Atreus Fjörgyn, escorté par les services de sécurité, jusqu'à la voiture présidentielle. Les rues étaient vides de monde comparé à d'habitude, cela se comprit suite à la température qui empêcher qui le voulait de venir voir Atreus Fjörgyn et Montel Ricci. Certains courageux étaient quand même de sortie et d'autres restaient à leurs fenêtres. Des drapeaux Pérons et Lofotèns étaient de sortie, de quoi ravir le Chancelier Fédéral Atreus Fjörgyn à peine les pieds posés à Péronas.
Le trajet dura une dizaine de minutes jusqu'au palais président de Rore où la rencontre allait officiellement commencer. En attendant, Montel et Atreus discutèrent de sujets divers et variés sans grande importance. Arrivé au niveau du palais présidentiel, Atreus Fjörgyn vit le palais décoré à l'image de cette rencontre, avec un mélange des deux drapeaux respectifs. De quoi montrer l'implication de Péronas dans cette rencontre.

Palais Présidentiel de Rore à l'occasion de la rencontre diplomatique avec le Lofoten
Arrivé au pied du palais il ne fallait franchir que quelques mètres de forte chaleur avant d'entrer au coeur du palais, palais dans lequel après quelques marches montées et un couloir emprunté, on arriva au lieu de la rencontre. Montel Ricci fit signe au Chancelier Fédéral Lofotèn d'aller s'installer avec sa délégation auprès de ses places attitrées, avant que Montel Ricci et ses conseilles en fasse de même. Montel Ricci commença à prendre la parole :
Montel Ricci : Je vous avoue être très heureux de vous reçevoir à Rore, mon cher Atreus. Je suis content de la perspective de pouvoir établir une communication efficace avec votre état. Avant toute chose j'espère que la chaleur ne vous a pas trop brusqué, vous avez autant à boire que vous le voudrez si vous le souhaitez. Enfin, permettez-moi d'ajouter encore les remercies des Etats-Membres de l'ONC et également à vous d'avoir voté en conséquence d'une entrée de Péronas au sein de cette organisation. Désormais, commençons ce sur quoi vous êtes là, de nombreux sujets vous intéressaient. Je vous écoute donc.