19/08/2016
07:19:06
Index du forum Continents Afarée Faravan

[FIL DE PRESSE] Faravan News Agency (FNA)

Voir fiche pays Voir sur la carte
1694
La Faravan News Agency (FNA), ou l'Agence de Presse du Faravan est une agence de presse nationale généraliste et multimédia. Elle assure une couverture indépendante, impartiale et vérifiée de l'actualité faravanienne, dans tous ses domaines et sous toutes ses formes.

La Faravan News Agency (FNA), ou l'Agence de Presse du Faravan est une agence de presse nationale généraliste et multimédia. Elle assure une couverture indépendante, impartiale et vérifiée de l'actualité faravanienne, dans tous ses domaines et sous toutes ses formes.

Fondée en 1908 à Bandarhan, c'est la plus vieille agence de presse du pays. A ce titre, elle dispose de 800 collaborateurs et 400 journalistes actifs, faisant d'elle la plus grande agence de presse du Faravan. Elle fournis une information neutre et factuelle en plusieurs langues dont le farsi et l'arabe. En outre, elle est l'une des agences du pays qui est destinataire des informations officielles du gouvernement en vue de leur dissémination.

La FNA n'est pas un média en tant que tel, mais diffuse l'information destinées à être utilisée à leur profit. Son fil de presse actualisé en temps réel est néanmoins suivi par les entreprises et institutions, en plus des particuliers, pour servir de source et d'alerte. Outre le fil d'actualité, la FNA s'est récemment lancée dans l'écriture de dossiers de complément d'information, similaire à des articles, se rapprochant ainsi du rôle d'un média classique.

En 2010, elle à réalisée un chiffre d'affaire de 700 millions de Kran.

Pour ses activités qualifiées de mission d'intérêt général, l'Etat faravanien finance la FNA a hauteur du tiers de ses revenus. Dans le même temps, l’indépendance de l’a FNA est garantie par la loi. Cette dernière lui interdit de tenir compte d'influences ou de considérations qui pourraient remettre en cause l'exactitude ou l'objectivité de l'information. La loi lui interdit également de passer sous le contrôle d'un groupement idéologique, politique ou économique.
3574

TECHNOLOGIES - L'Université de Bandarhan développe son département d'Ingénierie Avancée - 23/02/2011



centersize=0.8bLe bâtiment administratif de l'Université de Bandarhan - 2011En décembre 2009, le président de la République Arash Farajpour, alors ministre de l'Economie, fit part de son intention de diversifier les secteurs de l'économie faravanienne, en particulier vers la haute technologie, ce qui était alors inédit pour le pays, dont l'économie dépendait et dépend encore toujours largement des hydrocarbures et de leur exportation.<br>/b/size/center
Le bâtiment administratif de l'Université de Bandarhan - 2011

En décembre 2009, le président de la République Arash Farajpour, alors ministre de l'Economie, fit part de son intention de diversifier les secteurs de l'économie faravanienne, en particulier vers la haute technologie, ce qui était alors inédit pour le pays, dont l'économie dépendait et dépend encore toujours largement des hydrocarbures et de leur exportation.

« Nous devons diversifier notre économie » car si « nos ressources venaient à manquer ou si nous étions victimes d'intentions malveillantes, nous serions gravement exposés », avait-il expliqué. Et d’ajouter que la « prise de conscience écologique » survenue dans le monde démocratique ces 30 dernières années « nous oblige à faire preuve d’innovation et de reconsidérer notre trajectoire économique ».

Aussi, en janvier dernier, le ministre de l'Education Iman Ebrahimi, a confirmé que l'Etat allait prochainement lancer un important plan de financement pour les écoles et universités du pays. Car évidemment, la diversification de l'économie passe obligatoirement par l'innovation dans d'autres secteurs, et donc par la recherche.

Les Universités du pays, en particulier celle de la capitale, Bandarhan, se sont naturellement réjouies à l'annonce de ces mesures. Son doyen, le professeur Ashem Hosseini, a fait part de sa satisfaction dans l'intérêt que porte l'Etat à l'éducation supérieure.

« Le domaine de l'éducation supérieure nécessite des investissements réguliers. […] Lorsque nous regardons en détail comment la recherche fonctionne, c'est d'abord l'argent investi dans la promesse d'un résultat qui permet d'aller de l'avant. C’est l’une des clés pour garantir le bon fonctionnement du processus innovatif », a d’abord souligné le professeur Hosseini, dans un entretien publié dans le numéro 119 de la revue Academia, éditée par les Presses Universitaires du Faravan [PUF].

Aussi, a-t-il continué, « pour éviter une économie rentière sur le long terme, la place de l'éducation supérieure reste donc primordiale afin de garantir la prospérité des autres secteurs de l'économie » car elle « permet à nos entreprises de rester compétitives via le vivier d'innovation nationale ». Et cela d’autant plus qu'elle fournis une main d'œuvre instruite et qualifiée.

Dans ces conditions, pour le ministre Ebrahimi, « nous ne devons plus être dépendant des autres nations pour l'éducation de nos enfants et de nos jeunes adultes »… alors que les capacités d'accueil des classes ont été négligées depuis des décennies. D’où, selon lui, la nécessité de « réinvestir » dans ce domaine et de « se montrer à la hauteur de nos ambitions, en investissant sur le renforcement de nos infrastructures » afin d’être « plus résilients ».

À cette fin, le ministère planche sur une stratégie de développement du domaine de la recherche au Faravan, appuyé de coopérations internationales, visant à « pouvoir acquérir les compétences qui nous manquent tout en développant celles qu'on a déjà. L'expansion de nos universités devra s'accélérer dans les années à venir si on veut être à la hauteur des défis qui nous attendent », a expliqué le le ministre Ebrahimi.

« En tant que première Université du pays, il est normal que nous prenions les devants. Nous avons commencé à échanger avec nos partenaires nationaux et internationaux, avec qui nous partageons beaucoup. Nous n’en sommes qu’aux débuts de la démarche, le département d'Ingénierie Avancée n'est que le premier d'une longue liste », a conclu le professeur Hosseini.

Photo : FNA
4569

TECHNOLOGIES - Lancement des travaux préparatoires à la construction d'un spatiodrome dans la province du Gilanan - 13/03/2011



centersize=0.8bLa cote qui pourra acceuillir le futur centre spatial du Faravan dans la province du Gilanan - 2011Les travaux préparatoires à la construction d'un spatiodrome a démarré dans la province du Gilanan. Le Centre des Etudes Aérospatiales (CEAS) souhaite en faire un port spatial moderne, ouvert à toutes les classes de lanceurs actuels et futurs. Sept projets sont sélectionnés. Une première tranche de travaux de 300 millions de kran est engagée./b/size/center
Le littoral de la province du Gilanan et l'océan des Perles, lieu qui accueillera le futur spatiodrome du Faravan - 2011

Les travaux préparatoires à la construction d'un spatiodrome a démarré dans la province du Gilanan. Le Centre des Etudes Aérospatiales (CEAS) souhaite en faire un port spatial moderne, ouvert à toutes les classes de lanceurs actuels et futurs. Sept projets sont sélectionnés. Une première tranche de travaux de 300 millions de kran est engagée.

Pour rester dans la compétition spatiale, le futur spatiodrome du Faravan envisage de tirer partie de sa position favorable sur l'équateur. La force centrifuge générée par la rotation de la planète permettra aux lanceurs mis en œuvre depuis le spatiodrome de bénéficier d'un boost significatif dans leurs performances. Le CEAS espère que ce facteur permettra d'attirer les investissements et la coopération étrangère.

Cet important investissement entre dans le cadre des ambitions du gouvernement de diversifier l'économie du Faravan en se tournant vers la haute technologie. Le spatiodrome marque un engagement dans un nouveau secteur prometteur pour les investissements en capitaux étrangers. De nombreux emplois seront crées grâce a cette filière et tout un champ de nouveaux savoirs faires seront acquis. Bien entendu, le spatiodrome ne servira pas uniquement aux utilisations étrangères et aux coopérations. Les secteur privé national, les agences gouvernementales ainsi que les forces armées ont d'ors et déjà signalé leur intérêt pour un tel projet.

Longtemps sceptique des intérêts économiques de la « nouvelle frontière », le CEAS préfère se lancer dans la course que de voir des marchés partir à la concurrence. Mieux vaut capitaliser sur une situation géographique favorable qui peut être mise à disposition de tous les acteurs du secteur et leur permettre la réalisation de tous les types de lancements dont ils pourraient avoir besoin.

Après un appel à intérêt lancé fin 2009, le CEAS a sélectionné sept entreprises nationales spécialisées dans les travaux publiques et les infrastructures pour la réalisation de ce projet inédit. Quatorze entreprises se sont manifestées et plusieurs seront repêchées lors d'un appel d'offres complémentaire.

Président du CEAS, Mehdi Hashempour confie à la FNA qu'il ne pense pas que seul le marché national justifie l'ampleur de ce projets, mais il déclare vouloir donner une chance aux investissement étrangers et ainsi consolider la coopération internationale dans le domaine spatial. « Je crois qu'on compte un grand nombre entreprises dans le monde qui souhaite développer des lanceurs de tailles variées. Evidemment, tous les projets n'iront pas à terme, d'autant que pour certains des programmes la barre est mise très haute et nécessiteront des infrastructures lourdes, néanmoins je suis persuadé que le Faravan peut jouer ses cartes correctement en fournissant un point d'accès vers l'espace adapté à ces projets », explique-t-il a « FNA ».

Grâce aux financements du gouvernement faravanien, le CEAS va ainsi consacrer 300 millions de kran pour engager la construction d'un spatiodrome complet et moderne, le produit final sera un port spatial multi-opérateurs, qui devrait être prêt d'ici quelques mois.

Les travaux de terrassement ont démarré. « On refait la zone, on apporte les routes d'accès, les sites de stockage, l'alimentation en énergie, tous les fluides nécessaires, les bâtiments d'assemblage pour les satellites et chacun construira ensuite son pas de tir. Comme dans un aéroport, on amène l'infrastructure et les salles blanches, tandis que les entreprises apporteront leurs fusées ». Le CEAS prévoit aussi de faire les tests sur un pas de tir dédié de son démonstrateur de futur lanceur national, un projet qui n'a pas encore de nom public. « Je ne sais si le Faravan aura besoin ou non d'un lanceur national, mais il ne faut pas se retrouver dans la situation absurde où l'on ne choisirait pas d'en posséder un, faute de maîtriser l'ensemble des technologies associées ».

En fonction de l'avancement du projet, des contrats seront signés pour la mise en place des moyens de lancement nécessaires et la phase d'exploitation opérationnelle de ces lanceurs. Au-delà de ce projet, le CEAS espère obtenir des financements importants pour développer sa stratégie spatiale et les infrastructures qui vont avec.

La liste des travaux envisagés concerne aussi bien la construction d'un centre de contrôle, que l'extension des réseaux d'eau et d'électricité, la commande d'un radar et le verdissement du site, avec des centrales solaires ou à biomasse et des projets de production d'hydrogène vert. La base spatiale consommera à terme pas moins de 15 % de l'énergie de la province du Gilanan.


Photo : FNA
6472

DEFENSE - Lancement de la première classe de sous-marins pour la marine faravanienne - 15/03/2011



première classe de sous-marins pour la marine faravanienne , la classe FATEH- 2011Ce 15 mars est un grand jour pour la Marine faravanienne en général et la Force des Sous-marins Océaniqun particulier puisqu’il marquera le début officiel de l'assemblage, dans les chantiers des Constructions Navale Faravanienne, du  Fateh Conquérant), le premier des six sous-marins d’attaquevus par le programme éponyme  Fateh , lancé en 2008 par le Bureau pour la Recherche et le Développement de l’Armeme dont le cot estimé à 13 milliards de kran dont 1,8 milliards de kran pour la seule construction d'une unité
La classe « Fateh » (Conquérant) dans sa cale sèche, premiers sous-marins de la marine faravanienne - 2011

Ce 15 mars est un grand jour pour la Marine faravanienne en général et la Force des Sous-marins Océanique [FSO] en particulier puisqu’il marquera le début officiel de l'assemblage, dans les chantiers des Constructions Navale Faravanienne [CNF], du « Fateh »(Conquérant), le premier des six sous-marins d’attaque [SSK] prévus par le programme éponyme « Fateh », lancé en 2008 par le Bureau pour la Recherche et le Développement de l’Armement [BRDA] et dont le coût [développement et construction] est estimé à 13 milliards de kran dont 1,8 milliards de kran pour la seule construction d'une unité.

Ces sous-marins seront les premiers de la marine faravanienne, ils permettront à la nouvellement créée Force des Sous-marins Océanique [FSO] de disposer d'un vecteur technologique et capacitaire, étant donné les innovations et les armes qu’ils embarqueront.

Ainsi, le « Fateh » aura un déplacement en surface de 1.600 tonnes et de 2.000 tonnes en plongée. D’une longueur de 60 mètres [soit presque l’équivalent de trois terrains de tennis] pour un diamètre de 6,2 mètres, il sera mis en œuvre par un équipage mixte de 31 marins. Pouvant rester en plongée à une profondeur supérieure à 350 mètres, son autonomie [50 jours] sera utilisée pour mener des missions hauturières en toute autonomie. En outre, son constructeur, les chantiers des Constructions Navale Faravanienne [CNF], assure que sa disponibilité sera de 270 jours par an grâce à une maintenance « optimisée ». L’industriel indique qu’une interruption pour entretien et réparation [IPER] sera toutefois nécessaire tous les 10 ans environ.

Pour évoluer dans les profondeurs, le « Fateh » est doté d’une propulsion diesel-électrique, qui, combiné à des batteries haute performances, fournirons la puissance nécessaire pour naviguer a plus de 20 nœuds sous la surface. À ce sujet, précise les Constructions Navale Faravanienne, « notre propulsion permettra au Fateh de naviguer en toute discrétion grâce à sa propulsion ultra silencieuse ». Enfin, il dispose également d'une turbine de propulsion, d'un turbo-alternateur et de moteurs électriques d'urgence.

S’agissant des évolutions technologiques par rapport aux sous marins d'ancienne générations étrangers, l’intelligence artificielle [IA] sera présente à bord du « Fateh ». Certes, comme l’a souligné l’amiral Hashem Pirouzfar, le commandant de la FSO, lors d’une récente audition parlementaire, elle est déjà implémentée sur d'autres sous-marins.

Le système d’exploitation du « Fateh » permettra « de commander et de surveiller, à distance, la totalité des installations [moteur, propulsion, électricité, sécurité plongée systèmes auxiliaires, stabilité] », explique les Constructions Navale Faravanienne.

Il sera ainsi le « un des premiers sous-marins a proposé un tel niveau d’automatisation », l’équipage étant en mesure de « conduire » le navire et de « gérer la vie à bord, à distance », depuis deux pupitres, dont « le poste de conduite propulsion [PCP], dédié à la conduite de l’usine électrique et de la propulsion, et le « poste central navigation opérations » [PCNO], dédié au contrôle et au commandement du sous-marin.

Doté d’un système de combat entièrement digitalisé, le « Fateh » sera dépourvu d’un équipement jusqu’alors considéré comme étant une caractéristique des sous-marins. Exit, donc, le périscope… remplacé par un mât optronique de veille et un mât optronique d’attaque non-pénétrant, munis de caméras jour haute définition, infrarouge et à intensification de lumière. Cela lui permettra d’observer la surface de jour comme de nuit.

Doté de liaisons de données tactiques assurant son interopérabilité et transmises par un système de communications modernisé, ce système de combat « intègre de nombreux sous-systèmes [sonar, radar, navigation, armes] assurant des capacités de veille et de lutte au-dessus et au-dessous de la surface de la mer », assure les Constructions Navale Faravanienne.

Ces évolutions technologiques ouvrent le champ des possibles en matière capacitaire. La discrétion étant fondamentale dans le combat sous-marin, le « Fateh », malgré sa masse et sa longueur, et grâce à un système de « tuiles anéchoïques », il sera cinq fois plus silencieux que les SSK de génération précédente. Dans le même temps, la performance de ses sonars sera largement augmentée… Un atout de taille quand on sait que les sous-marins en service sont toujours de plus en plus nombreux tout en étant plus performants.

Le « Fateh » pourra dans le futur aussi être optimisé pour les opérations spéciales, grâce à son « Dry Deck Shelter » [hangar de pont], qui est une sorte de sas qui, utilisé par les commandos de la marine, pourra emporter une dizaine de nageurs de combat.

Par ailleurs, ce « Dry Deck Shelter » pourra autoriser la mise en œuvre de drones sous-marins.

Un bon capacitaire conséquent, s'il est validé, concerne l’action vers la terre, avec les missiles de croisière navals que pourraient emporter les sous-marins de la classe « Fateh ». Cette évolution n'est pas prévue dans le calendrier bien replis de la classe, néanmoins des officiels n'excluent pas d'intégrer cette capacité dans la prochaine génération de sous-marins, ce qui fera d'eux le premiers sous-marin faravanien à être dotée d’une « capacité stratégique de frappe dans la profondeur ».

En outre, pouvant emporter un stock conséquent de munitions, il sera en mesure de mettre en œuvre des torpilles lourdes d'un type encore indéterminé et, plus tard dans le développement de la classe, des missiles antinavires.

Le cout développement et la construction du « Fateh », effectué sur appel d'offre de la marine faravanienne, sera amorti par son possible export, espère l’amiral Hashem Pirouzfar. La conception du « Fateh » est telle qu'il « rend le Fateh très attractif à l'export pour nos alliés. Ses technologies avancées et son cout abordable en font une solution de choix pour toutes les marines qui souhaitent se doter d'une telle capacité», explique les Constructions Navale Faravanienne.

D’ailleurs, la complexité d’un tel sous-marin a donné lieu à quelques retards… le « Fateh » ayant dû initialement être lancé en 2010. Ce qui a contraint la Marine faravanienne à se passer de cette capacité pour ses opérations. Il y a trois ans, Aida Shariati, alors directrice du Bureau pour la Recherche et le Développement de l’Armement [DRDA], avait évoquéé un « problème de qualité du travail » pour expliquer ce contre-temps.

Quoi qu’il en soit, le « Fateh » entamera ses essais au deuxième semestre 2011. Et sa mise en service fera entrer la marine faravanienne dans une nouvelle ère… qui devrait durer une bonne quarantaine d’années.

Photo : FNA
6085

FINANCES - Inauguration du nouveau quartier d'affaires de Bandarhan - 03/04/2011



La nouveau quartier d'affaires en plein cœur de Bandarhan, la capitale. Vu de nuit et illuminé pour son inauguration - 2011centersize=0.8b première photo du nouveau quartier d'affaires de bandarhan, vu de nuit et illuminé pour son inauguration- 2011centersize=0.8b deuxieme photo du nouveau quartier d'affaires de bandarhan, vu de nuit et illuminé pour son inauguration- 2011/b/size/center
La nouveau quartier d'affaires en plein cœur de Bandarhan, la capitale. Vu de nuit et illuminé pour son inauguration - 2011centersize=0.8b première photo du nouveau quartier d'affaires de bandarhan, vu de nuit et illuminé pour son inauguration- 2011centersize=0.8b deuxieme photo du nouveau quartier d'affaires de bandarhan, vu de nuit et illuminé pour son inauguration- 2011/b/size/center
La nouveau quartier d'affaires en plein cœur de Bandarhan, la capitale. Vu de nuit et illuminé pour son inauguration - 2011

En périphérie de Bandarhan, plusieurs immeubles de bureaux et hôtels sont en construction de part et d'autre de l'axe qui relie la capitale à l'arrière pays. Au centre, la Tour "Azadi" (برج آزادی, Borj-e Āzādi; Tour de la Liberté) de l'architecte Saeed Foroutan. Autour, les bureaux de l'esplanade, plus grande surface dédiée aux affaires du pays.

La nouveau quartier d'affaire sera fier de sa dizaine de gratte-ciel, son million de mètres carrés de bureaux… Mais le quartier entend aussi rompre avec l'image traditionnelle de centre d'affaires essentiellement dédié au "business". L'Autorité publique d'aménagement des centres urbains (Apacu) a décrété "la nécessité de prendre ses distances du tout-tertiaire". Cette décision se traduit par l'édification d'un quartier qui est également résidentiel et contient l'ensemble des loisirs nécessaire pour ses habitants. De nombreux projets sont encore a l'étude pour agrandir ce quartier, un stade ainsi que des salle de spectacles devraient ainsi récemment ouvrir leurs portes à l'automne 2011.

Ce quartier en gestation se situe à l'ouest de la capitale, dans le prolongement de l'axe historique, dit "axe impérial", qui lie Bandarhan à son arrière pays. Pour la première fois dans l'histoire de la capitale, ces immeubles à usage mixte nouvellement construits, donnent une Skyline à la ville. À terme, pas moins de 1.600 nouvelles entreprises sont attendus dans ce secteur.

Situé au centre de l'esplanade, le long de l'axe majeur, la Tour "Azadi" abrite une centaine d'appartements, du studio au duplex de luxe, avec vue imprenable sur la capitale ainsi qu'une centaine de milliers de mètres carrés de bureaux. Il ne reste que six appartements à vendre. Tous les autres se sont écoulés à un prix moyen de 15.580 kran/m² selon le promoteur (Bandarhan Real Estate). L'élégant bâtiment de 80 étages a été dessiné par le faravanien Saeed Foroutan. Au rez-de-chaussée : un centre commercial, un cinéma et un restaurant.

A ses cotés sur l'esplanade, l'immeuble Plasco affiche un hôtel et 113 appartements, ainsi que 3.700 m² de commerces et équipements de loisirs. Conçue par l'architecte Farshid Moussavi pour le compte de New City résidentiel, cette tour de logements et d'hôtellerie de 49 étages – aux façades blanches en acier et miroirs – s'élèvera le long de l'axe historique, à la limite de l'esplanade du nouveau quartier.

Un troisième ensemble de bureaux, le projet Bandarhan Garden, porté par le promoteur OfficeLife, prévoit 50.000 m² de bureaux par tour, en vente autour de 15.500 kran/m² –, au sein d'immeubles à l'armature foncée de 30 à 40 étages, signés Javad Amini, de l'agence FAR Architectes. Ils prendront place le long du boulevard circulaire, lequel marque la limite sud du nouveau quartier. Ce boulevard en forme de croissant, est appelé à accueillir d'autres programmes de gratte-ciel mixtes, ainsi qu'un groupe scolaire. L'agence bandarhanaise Razavian a été chargée d'imaginer les espaces publics.

Le quartier sera la cœur d'un nouveau district financier pour la capitale. Magnifique ensemble imaginé par le gouvernement et construit par le géant du BTP Faravan Construction Co (FCC), ce futur temple des finances doit être inauguré dans moins d'un an. Ces façades, constituée de grandes écailles – qui pourront être éclairées de toutes les couleurs à la nuit tombée – révèlent une construction respectueuse des normes environnementales contemporaines. Ses brises soleil – amovibles et intelligents, contrôlés par des capteurs de luminosité – permettent de réduire de façon significative la consommation des bâtiments. L'éclairage des façades – composé de lumières LED – sera quant à lui limité pour réduire la pollution lumineuse, tout en étant alimenté par des panneaux solaires de jour.

Les fondations de nombreux bâtiments n'ont été encore posés, mais l'ensemble de plusieurs hectares prend forme. Il abritera, à terme, un bâtiment destiné à l'administration publique et à un ministère. Cet immeuble de bureaux , dont la construction doit être lancée prochainement, sera l'objet de nouvelles techniques de construction qui en feront "le bâtiment de cette envergure le plus respectueux de l'environnement du monde,", à en croire les architectes. Le rez-de-chaussée, côté axe historique, contribuera à animer le secteur avec une brasserie, une bodega, des boutiques…Car l'Apacu souhaite faire du quartier non seulement un quartier financier habité, mais aussi un lieu animé, y compris le soir.

Dès la mi-décembre, une promenade reliera le parvis du quartier d'affaire aux Terrasses de Nanterre, qui descendent doucement vers la rivière Karaj, toujours dans l'axe historique. Des kiosques, cafés, commerces pérennes ou éphémères, et autres "folies" jalonneront ce cheminement entièrement piéton – les moteurs sont bannis – jusqu'au hub de transport du quartier (métro, train, tramway, bus…), qui doit être enrichi du prolongement d'une nouvelle ligne express qui traversera la capitale.

L'esplanade, recouverte de dalles colorées incrustées d'éclairage LED, est surplombée par une longue passerelle métallique de 400 m de long, qui débute aux marches du quartier et monte progressivement pour s'arrêter le long de l'axe impérial. L'Apacu souhaite aménager cet espace, construit à l'abord des tours, pour en faire un véritable parc avec des espaces verts et des fontaines.

Pour compléter l'offre de ce nouveau quartier, deux écoles d'enseignement supérieur ouvriront également leurs portes : une école de commerce (3.400 étudiants) à la rentrée 2012 au pied de l'immeuble Plasco ; et l'école de la pétrochimie, deux ans plus tard. De même, plusieurs hôtels dédiés sortiront de terre, à commencer par le "l'icone hôtel" (170 chambres), réalisé par Fourawad Architecture, en face de l'esplanade ; à compter du premier semestre 2012, son restaurant sera ouvert 7 j/7, 24 h/24. De l'autre côté, derrière la Tour "Azadi", une immense tour hôtelière de 800 à 1.000 chambres est prévue pour 2012. Un nouveau gratte-ciel dans le paysage, mais sans bureaux.

Photo : FNA
5527

DIPLOMATIE - Déplacement du président Arash Farajpour au Royaume de Teyla pour une visite au sommet - 15/03/2011



Déplacement du président Arash Farajpour au Royaume de Teyla pour une visite au sommet. L'Assemblée communale générale de la commune du Royaume de Teyla - 2011Déplacement du président Arash Farajpour au Royaume de Teyla pour une visite au sommet. L'Assemblée communale générale de la commune du Royaume de Teyla - 2011
L'Assemblée communale générale de la commune du Royaume de Teyla - 2011

Le cabinet du président de la République a annoncé, le 15 mars 2011, sa rencontre avec la reine Catherine III, souveraine et duchesse de manticore, pour marquer la première visite d’un président de la République au Royaume de Teyla.

Pour cette occasion, les teylor ont offert ce jour un acceuil rare au chef de l’Etat avec une cérémonie officielle comptant une vingtaine de gardes d'honneurs du Royaume, vêtus de tenues de cérémonie traditionnelle du pays, en armes avec leurs mains vêtues d'un gant blanc. Premier chef d'état faravanien à fouler le sol du Royaume de Teyla, Arash Farajpour a été accueilli par la Reine du Royaume de Teyla, Courvoisier de son premier nom, Catherine III de choix.

Arash Farajpour a ensuite assisté à une courte cérémonie de prise d'armes avant de commencer les discussions avec le gouvernement teylor. Le président à évoqué son « grand enthousiasme à la perspective du rapprochement diplomatique de nos deux nations », a-t-il annoncé.

Il appuie ainsi l’initiative de la normalisation des relations diplomatiques qui se sont lancées depuis plusieurs mois par le ministère des Affaires étrangères, mené par Dara Sahdavi. Ce rapprochement est le premier de l'administration du président Farajpour, il marque la encore une nouvelle étape vers les réformes profondes annoncées par le gouvernement et visant à changer pour le mieux la République faravanienne.

« (...) Notre pays vous remercie (...) pour votre invitation et pour les avancées historiques que nous avons pu faire ensemble lors de cette rencontre », a lancé Arash Farajpour en concluant le discours qu’il a prononcé lors de la rencontre.

Au cours de cette rencontre, plusieurs accords ont été signés entre les représentants du Royaume de Teyla et la délégation du président Farajpour. L'échange de représentations diplomatiques et l'installation d'ambassades a ainsi été officialisée lors des pourparlers. Des facilités pour la délivrance de visas à destination des citoyens faravaniens et taylorais ont également été discutées et seront implémentées dans un avenir proche.

Les fondements d'une collaboration éducative solide ont été établis par la création d'un programme commun d'échange d'étudiants entre les universités des deux nations. Ce programme vise à aller outre les frontières phisiques, offrant aux étudiants des opportunités académiques et culturelles uniques dans le but d'élargir leurs horizons. Une étape cruciale dans ce partenariat est la prise en charge équitable du programme par les gouvernements du Royaume de Teyla et de la République faravanienne. Cette démarche démontre leur engagement envers le développement intellectuel et interculturel de leurs jeunes générations. La République faravanienne mettra quant à elle l'accent sur l'approfondissement des échanges dans les domaines de la chimie avancée, de l'ingénierie et de la physique, trois domaines clés pour le futur du pays qui façonneront l'avenir économique.

Un engagement a aussi été pris envers l'exploration spatiale et la recherche scientifique avancée. Une entente a été conclue pour la prospection d'intérêts communs dans le domaine de la recherche et de l'exploration aérospatiale. Cette ouverture vers la conquête de la nouvelle frontière laisse présager une revue à la hausse des objectifs dans l'exploration de l'espace et pour le programme faravanien.

Des accords ont été signés dans le domaine économique avec à la clés un nouveau client pour le pétrole faravanien. Ces accords prévoient la livraison continue de deux cents mille barils de pétrole par jour dans les deux mois suivant la signature. Cette quantité augmentera ensuite progressivement à quatre cent mille barils par jour dans les quatre mois suivants. La coordination de la livraison des produits pétroliers via un transit par la République de Tanska renforce les liens économiques bilatéraux. Une étape cruciale vers un marché commun est également franchie avec l'entente d'organiser une rencontre future pour discuter des échanges et de la taxation des produits agricoles, créant ainsi une opportunité de croissance économique mutuelle.

Par ailleurs, quatre centres culturels faravaniens seront établis au Royaume de Teyla et quatre centres culturels teylorais seront inaugurés en République faravanienne, bénéficiant tous les deux d'un soutien financier à hauteur de vingt pourcents de la part du gouvernement local. Une exposition d'arts communs sera également organisée entre les deux nations, offrant une fenêtre sur les expressions artistiques de chaque pays. Enfin, un match de football amical se tiendra entre les équipes nationales avec, selon les rumeurs, la présence de la reine et du président dans l'assistance.

La sécurité régionale est renforcée par la signature d'un pacte de non-agression entre les deux nations, envoyant un message clair de stabilité et de paix dans la région. Pour consolider la coopération sécuritaire, des entraînements conjoints des forces de police seront organisés, permettant d'apprendre mutuellement des méthodes de travail et d'améliorer les pratiques de maintien de l'ordre. La volonté d'une coopération militaire plus étendue s'est manifestée du coté faravanien par l'organisation d'une réunion ultérieure entre les ministres des armées, axée sur l'échange d'expériences et la coordination des forces armées.

Le déplacement du chef d'état et de sa délégation aura durée 24h, les discussions s'étant conclues par un échange de bon procédés. Les faravaniens se sont par la suite vu offrir un séjour de visite du Royaume de Teyla afin qu'ils puissent apprécier la culture de cet état lointain. Le chef de l’Etat a ensuite quitté Manticore pour rentrer à Bandarhan où il devait rencontrer des chefs d’entreprise. Il a prévu de repartir pour une nouvelle rencontre dans un autre état le 20 mars, pour ce qui marquera sa première tournée internationale.

Photo : FNA
5316

DEFENSE - Les Industries Aéronautiques du Faravan ont laissé entendre, dans un message Immédiagram énigmatique, à quoi pourrait ressembler un avion de combat faravanien de future génération - 01/05/2011



L'image énigmatique postée par les Industries Aéronautiques du Faravan sur leur Immédiagram ce jour - 2011
L'image énigmatique postée par les Industries Aéronautiques du Faravan sur leur Immédiagram ce jour - 2011

Les Industries Aéronautiques du Faravan (IAF), le principal avionneur militaire faravanien, a publié un dessin énigmatique sur Immédiagram pour célébrer son 80e anniversaire. Il s'agit peut-être d'un indice sur ce à quoi ressemblera l'avion de combat faravanien de future génération. Les Industries Aéronautiques du Faravan (IAF) aurait montré un dessin d'un avion tactique piloté de future génération en cours de développement dans le cadre du programme de remplacement de la chasse de l'Armée de l'Air faravanienne. Ou du moins a quelque chose à voir avec ce projet.

Son avancement est aujourd'hui inconnu, ce dessin étant le premier indice détenu de son existence. On sait que les armées avaient montré un intérêt pour les chasseurs de nouvelle génération, sans pour autant concrétiser l'intérêt par des commandes officielles. Ce dessin pourrait bien être la preuve qu'un programme serait en cours pour doter l'armée de l'air de ces armes de nouvelle génération. En toute logique, le service serait amené à commander environ une centaine de chasseurs de nouvelle génération, sans précisions sur leur nombre exact ni leur entrée en service. A noter que le cout notamment élevé d'un tel programme forcera probablement la force aérienne à ne pas pouvoir remplacer ses appareils au 1:1, supposant une réduction en taille du parc aérien.

En septembre dernier, Hossein Atlasi, le major général à l’armée de l'air faravanienne, chargé des acquisitions, de la technologie et de la logistique, a surpris tout le monde en affirmant que le ministère considérait étendre significativement les capacités des forces aériennes. Et cela, dans le cadre du programme « Armée de l'Air Nouvelle Génération » [ADANG], qui vise à renouveler et agrandir le parc aérien.

L’annonce de M. Atlasi était surprenant à plus d’un titre. C’était en effet la première fois que le l'armée de l'air ambitionnait d'augmenter en volume depuis le début des années 1980, avec le changement de régime. Officiellement, du moins. Ensuite, les moyens pour développer un tel plan, que l’on imagine encore plus complexe que les précédents, devront être conséquents…

« Nous sommes prêts à construire l'armée de l'air de nouvelle génération avec une approche inédite », avait alors affirmé le responsable faravanien, en faisant une allusion à la « Digital Revolution » , qui repose sur les dernières avancées en matière d’ingénierie numérique, comme le concept de « LDT » ou Liaisons de Données Tactiques. Cela étant, M. Atlasi refusa d’en dire plus et de préciser les caractéristiques de cette nouvelle armée de l'air et de ses composants [qui sont « classifiées »] ainsi que l’industriel qui l’a développé.

Depuis, la chasse aux indices a été lancée. Le dessin énigmatique publiés sur Immédiagram par les Industries Aéronautiques du Faravan (IAC) pour célébrer son 80e anniversaire en sont une piste. Reste que, depuis le changement de régime, les bureaux d’études des industriels ayant la capacité de développer en secret un avion de combat ne sont plus aussi nombreux que par le passé, notamment après la vague de fusions-acquisitions encouragées par les précédentes administrations depuis les années 1980. Actuellement, les seuls à posséder cette pleine capacité sont les Industries Aéronautiques du Faravan (IAF), laquelle sont rompues à ce genre d’exercice, avec les projets précédents menés au profit de l'armée de l'air et de clients étrangers.

Justement, et comme le « Petit Poucet », le directeur financier des Industries Aéronautiques du Faravan (IAF), Farrokh Golshani, a semé quelques cailloux blancs lors d’une récente conférence téléphonique avec les analystes de la bourse de Bandarhan. « Nous prévoyons une forte croissance, à deux chiffres, de notre division des projets militaires, qui s’occupe du développement des programmes classés », a-t-il lâché en abordant l’activité aéronautique de son groupe. « Nous continuons d’exécuter des commandes récentes », a-t-il ajouté.

Aussi, il est difficile de ne pas faire le lien entre le le projet d'armée de l'air du futur évoqué par M. Atlasi et l’activité en forte progression de la division projets militaires des Industries Aéronautiques du Faravan (IAF). Faravan News Agency a voulu en savoir plus…

Et, là encore, M. Golshani n’a pas cherché à rectifier le tir, signe que ses sous-entendus étaient bien calculés. Lors d’un autre entretien téléphonique, ce dernier a parlé d’un « projet classifié » qui est la « priorité absolue » de la branche aéronautique des Industries Aéronautiques du Faravan (IAF) quand il y a travaillé entre 2008 et 2010. « C’était une offre agressive [et] nous l’avons gagnée », a-t-il dit. « Et nous sommes très satisfait des résultats en ce moment », a-il ajouté.

En outre, M. Golshani a également précisé qu’un nouveau bâtiment verrait le jour au QG des Industries Aéronautiques du Faravan (IAF) à Bandarhan, antre de la divison projets militaires. Et cela, pour un « projet classé » qui « intéresse vivement » d’autres clients. En outre, le Pdg des Industries Aéronautiques du Faravan (IAF), Hamid Faramarzian, a aussi indiqué qu’une grande partie des investissements réalisés en 2011 était liée « à des programmes classifiés, à la fois dans l’aéronautique et dans l’espace ».

Le site d’analyse financière Faravan Capital souligne que le « calendrier des dépenses et des revenus futurs potentiels » des Industries Aéronautiques du Faravan (IAF) est en phase avec le « développement du prototype d'Armée de l'Air de Nouvelle Génération des forces aériennes. » Et de conclure : « Les Industries Aéronautiques du Faravan (IAF) pourraient avoir un autre grand jour de paie en attente dans les coulisses. »

Photo : FNA
5941

SPORT - Départ dans le sud du pays du très anticipé rallye de la traversée historique, destination Bandarhan - 02/05/2011



Compétiteurs de la <i>traversée historique</i> affrontant les dunes de sable du désert faravanien - 2011La "<i>traversée historique</i>" est un rallye-raid de voitures, motos, camions, mais aussi de quads. C'est même dans sa catégorie, la course-reine, la plus importante à obtenir dans un palmarès. D'abord, un rallye-raid c'est une compétition de sport mécanique dont les étapes sont particulièrement longues - plusieurs centaines de kilomètres chaque jour - et dont la course en elle-même est longue - une à deux semaines. Il n'y a pas de circuit, ce n'est que du hors-piste et il faut faire appel à la navigation.
Compétiteurs de la traversée historique affrontant les dunes de sable du désert faravanien - 2011

La "traversée historique" est un rallye-raid de voitures, motos, camions, mais aussi de quads. C'est même dans sa catégorie, la course-reine, la plus importante à obtenir dans un palmarès. D'abord, un rallye-raid c'est une compétition de sport mécanique dont les étapes sont particulièrement longues - plusieurs centaines de kilomètres chaque jour - et dont la course en elle-même est longue - une à deux semaines. Il n'y a pas de circuit, ce n'est que du hors-piste et il faut faire appel à la navigation.

La "traversée historique", lui, a été fondée en 1964 par l'entrepreneur Dariush Mousavi. Deux ans auparavant, le magnat du pétrole avait eu l'idée de cette compétition en se remémorant les caravanes des premiers raids de prospection petroliere. Il crée donc une course de 2.000 kilomètres partant de l'axe historique de Bandarhan pour rejoindre la pointe sud du pays. L'épreuve séduit le public avec ses nouveaux aventuriers qui bravent le désert et ses tempêtes de sable. Elle est aussi marquée par de nombreux accidents, mortels ou non, comme celui d'un hélicoptère en 1976 qui couta la vie à 2 journalistes, au pilote et à Dariush Mousavi lui même.

La "traversée historique" a eu plusieurs trajets au cours de son histoire, il pouvait régulièrement changer d'une édition à l'autre : à la mort de Dariush Mousavi, il y a eu une "traversée historique" qui se contentait de suivre la cote, une version rallye de montagne, une traversée d'est en ouest, etc. Depuis 1999, la "traversée historique" a adoptée la version qu'on lui connait actuellement. Pour éviter la météo parfois capricieuse du désert profond, la compétition reste majoritairement le long de la côte. Les étapes finales incluent une partie rallye de montagne avec la traversée des monts Zabrouz avant de descendre dans la capitale Bandarhan, l'arrivée.

Le nom officiel est resté "traversée historique" car c'est ainsi qu'il s'est fait connaître. C'est désormais sa marque et l'organisateur, le groupe Faravan autosport organisation (FAO), ne souhaite pas en changer. Parmi les rallyes les plus célèbres du monde, la "traversée historique" a vécu dans le désert une histoire riche en péripéties. Son inspiration reste la même : toujours plus loin au cœur des grands espaces.

Parcourir une nature sauvage, rencontrer les populations et les cultures, aller toujours plus loin dans l’extrême : la "traversée historique" s’est construit autour des valeurs de l’aventure. Il réunit les passionnés de sports automobiles et mécaniques autour d’un esprit de partage et d’entraide dans le défi. En auto, à moto, en quad ou en camion, les quelques 300 participants parcourent un pays dans une course d’orientation de renommée mondiale. Les nationalités se croisent, les liens se nouent face à l’adversité. La "traversée historique" est une grande aventure humaine, à découvrir sur place.

La beauté du désert faravanien et les caravanes de prospection pétrolière sont à l’origine de la course. En 1962, l'entrepreneur Dariush Mousavi se perd lors d'une expédition de prospection, il est sauvé in extremis, et reste ébloui par l’immensité sauvage. Dès son retour, il imagine une course qui partirait de Bandarhan pour rejoindre les sites pétroliers du sud faravanien. Sa devise sera « une défi pour ce qui partent, un rêve pour ceux qui restent ». Bandarhan est alors choisi comme le point de départ, pour bénéficier d’un maximum de retombées médiatiques. La première édition eu lieu en 1964.

Aujourd’hui encore, la nature et les grands espaces font le rallye. Le désert est d’une grande richesse de paysage, de tracés, mais aussi de difficultés. Le désert du Dasht-e Kasparian en est la principale attraction, sec et avec une atmosphère chargée de poussières et de sable, il rend la course difficile sur la première moitié du trajet faravanien. Ses vents effacent les traces et déplacent les dunes. Le désert fait de la course un vrai défi d’endurance. En 1978, le Dasht-e Kasparian, « le désert des déserts » fait valoir ses droits et perd 20 concurrents dans une tempête de sable. Tout le monde sera retrouvé saint et sauf.

Pour l’édition 1999, les coureurs ont retrouvés les dunes du désert du Dasht-e Kasparian avec le nouveau tracé qui renoue avec ses origines. Les contours des grands espaces varient, les paysages changent, et la course est monté jusqu’aux sommets des monts Zabrouz à quelques milliers de mètres d’altitude. Les conditions atmosphériques se gâtent et viennent encore compliquer la course. Mais la ligne d'arrivée à Bandarhan n'est pas loin, et il y fera très chaud !

Le rallye raid a toujours été une grande attraction touristique. Tous les ans et depuis sa création, la "traversée historique" attire des milliers de spectateurs. Parcourant des milliers de kilomètres, les fans viennent du monde entier pour voir le passage des véhicules, et se rendent à Bandarhan pour assister à l’arrivée sur les avenues de la métropole. Les régions traversés profitent de l’événement, et l’économie connait un net rebond. Certaines activités et de nombreux hôtels ne vivent que du rallye, et la décision de changer les tracés à toujours fait l'objet de scandales et de convoitises politiques. Le tourisme lié à la course était une manne.

Ses sites spectaculaires, incontournables de la la "traversée historique" ont été visités et revisités des centaines de milliers de fois. La course a rendu célèbre les paysages du Faravan, faisant connaître sa beauté au monde entier. A deux pas de la ville de Bandarhan , les monts Zabrouz restent un incontournable. Ses sommets enneigés, siégeant a plusieurs milliers de mètres d'altitude, forcent le respect et l'admiration. Avec une vue plongeante sur la côte d'un coté, et sur la capitale de l'autre, il sont un cadre majestueux pour l’arrivée traditionnelle la "traversée historique".

Entre coureurs professionnels de renom et stars du show business, les grands noms se mêlent aux anonymes pour partager la même expérience : face au désert, la célébrité n’offre pas de privilèges.

Photo : FNA
4702

DIPLOMATIE - La République faravanienne reconnait officiellement la souveraineté de la République de Port-Hafen - 03/05/2011



L'attaque barbare de l'Empire Listonien sur la République de Port-Hafen - 2011
L'attaque barbare de l'Empire Listonien sur la République de Port-Hafen - 2011

Cette décision fait suite à l'attaque barbare et sauvage de l'Empire Listonien sur la République de Port-Hafen, exécutée le 22 mars 2011. Ancienne colonie listonienne, la République de Port-Hafen se revendique indépendante depuis peu avec la protection saint-marquoise.

Après d'autres confrères de la communauté internationale démocratique, la république faravanienne a décidé de « reconnaître la souveraineté de la République de Port-Hafen » sur l'intégralité de son territoire, a annoncé le 25 avril 2011 le cabinet de la présidence, en citant une lettre du président de la République faravanienne, Arash Farajpour, dans le contexte régional funeste.

« Par cette lettre, le président de la République faravanienne a porté à la très haute attention à son excellence le chef de l'état hafenois José Esteban la décision de l’Etat du Faravan de reconnaître la souveraineté de la République de Port-Hafen ainsi que son indépendance de la tyranie listonienne », indique la présidence dans un communiqué.

Dans sa missive, M. Farajpour précise que la position de son pays sera « reflétée dans tous les actes et les documents pertinents du gouvernement faravanien ». Elle sera « transmise aux nations démocratiques alliées, aux organisations régionales et internationales dont la République Faravanienne est membre, ainsi qu’à tous les pays avec lesquels le Faravan entretient des relations diplomatiques », ajoute le dirigeant faravanien, selon des extraits de sa lettre cités dans le communiqué présidentiel.

Enfin, M. Farajpoura informé le souverain hafenois que le Faravan examinait positivement « l’ouverture d’un consulat dans la ville du Port-Hafen », située dans la partie martyrisée du pays. Bandarhan souhaite que ses alliés ouvrent des représentations diplomatiques a Port-Hafen en reconnaissance de la « souveraineté » du territoire et en gage de leur soutien à la république. De fait, pour le président Arash Farajpour, « le dossier de Port Hafen est le prisme à travers lequel le Faravan considère son environnement international », avait-il souligné lors d’un discours télévisé.

« Cette décision s’inscrit dans le cadre de l'holocauste enclenché récemment, avec le bombardement et l'invasion barbare et illégale par l'Empire Listonien de la cité état, du soutien international apporté au pays martyrisé et à la suite de la campagne internationale d'aide lancée par les Communes Unies du Grand Kah », a déclaré à Faravan News Agency (FNA) un haut responsable faravanien sous couvert de l’anonymat. « Cette reconnaissance renforce cette dynamique », a-t-il assuré.

Ancienne colonie listonienne, la République de Port-Hafen est considérée comme un « territoire non autonome » des suites de son litige avec l'Empire Listonien en l’absence d’un règlement définitif. Il y a moins de deux mois, ce litige a tourné en un conflit sanglant et un massacre, organisé par les autorités listoniennes. L'Empire Listonien réclame la République de Port-Hafen sous sa souveraineté exclusive, tandis que la République holocauste revendique son autodétermination et protection sous l’égide saint-marquoise.

A Bandarhan, le ministre faravanien des affaires étrangères, Dara Sahdavi, a salué la décision. « Cette mesure va consolider les relations entre les Etats et les peuples, et la poursuite de la coopération afin de renforcer la paix et la stabilité régionale », a-t-il déclaré.

La décision faravanienne, qui était attendue, survient dans un climat de violences exacerbées entre la République de Port-Hafen et l'Empire Listonien, les deux pays ayant rompu leurs relations diplomatiques en 2011 à l’initiative de Port-Hafen.

Port-Hafen et la République Faravanienne ont entamées un processus de normalisation de leurs relations diplomatiques en avril 2011 dans le cadre de cette reconnaissance de souveraineté, un processus entre la République Faravanienne et plusieurs pays démocratiques, soutenus par la communauté internationale dans sa majorité. Cette alliance entre le Port-Hafen et la République Faravanienne va probablement aggraver les tensions avec l'Empire Listonien avec lequel le Faravan n'entretiens aucune relations diplomatiques.

Depuis le début du processus de normalisation diplomatique, la République de Port-Hafen et la République Faravanienne s’activeront probablement à accélérer leur coopération, essentiellement militaire, sécuritaire, commerciale et touristique. Ainsi, lundi, le chef d’Etat-major faravanien a fait part de sa volonté d'envoyer des soldats faravaniens en mission de maintien de la paix pour la première fois à Port-Hafen. La décision finale sera prise si la situation le nécessite ou sur demande hafenoise, a précisé un porte-parole militaire à FNA, alors qu'une aide humanitaire faravanienne doit être envoyée sous peu à destination de la République de Port-Hafen.

Depuis la fin du mois d'avril, le gouvernement à ainsi promis une aide humanitaire conséquente afin d'aider à la reconstruction et à restaurer l'ordre public, une première, à destination de la République de Port-Hafen.

Photo : Source étrangère
6896

DIPLOMATIE - Premier déplacement du président Arash Farajpour sur le continent de Paltoterra pour une visite diplomatique au Duché de Sylva - 06/05/2011



Bourg des Mahoganys, la capitale du Duché de Sylva ou s'est rendu le président Arash Farajpour - 2011
Bourg des Mahoganys, la capitale du Duché de Sylva ou s'est rendu le président Arash Farajpour - 2011


Le cabinet du président de la République a annoncé, le 20 mars 2011, sa rencontre avec la duchesse Alexandra Boisderose, souveraine du Duché de Sylva. Le président Arash Farajpour s'est ainsi rendu en terre sylvoises pour sa deuxième visite diplomatique à l'étranger. Il s'agit également du premier déplacement d'un chef d'état faravanien sur le continent de Paltoterra.

L'avion présidentiel a atterri dans la soirée à l'aéroport international de Bourg des Mahoganys, la capitale sylvoise. Pour accueillir la délégation, les faravaniens furent reçu en grande pompes avant de bénéficier d'un diner avec les officiels du Duché de Sylva. Premier chef d'état faravanien à fouler le sol du Duché, Arash Farajpour a été accueilli par la duchesse Alexandra Boisderose de la monarchie parlementaire paltoterrienne.

Le lendemain, Arash Farajpour a été reçu de nouveau par la duchesse ainsi que par quelques nobles et élus constituant les Hautes-Assemblés sylvoises. Le président à évoqué avoir « de grandes ambitions quant au futur de nos pays », a-t-il annoncé.

Il appuie ainsi l’initiative de la normalisation des relations diplomatiques qui se sont lancées depuis plusieurs mois par le ministère des Affaires étrangères, mené par Dara Sahdavi. Ce rapprochement fait suite à celui effectué récemment dans plusieurs autres nations, dont le Royaume de Teyla. C'est le premier déplacement en date de l'administration du président Farajpour sur le continent de Paltoterra, et du premier déplacement d'un chef d'état faravanien de surcroit. Cette visite concrétise le changement de paradigme effectué par le gouvernement quant aux relations diplomatiques. Ce dernier a ainsi affiché son intérêt pour la recherche de partenariats tout azimuts entre nations démocratiques. Par ce voyage encore jamais entrepris à ce niveau, la République faravienne envoie le message que pour sa diplomatie, aucun continent n'est trop loin, ni aucun océan n'est trop grand.

« (...) Notre pays vous remercie (...) pour votre invitation et pour les avancées historiques que nous avons pu faire ensemble lors de cette rencontre », a lancé Arash Farajpour en concluant le discours qu’il a prononcé lors de la rencontre.

Au cours de cette rencontre, plusieurs accords ont été signés entre les représentants du Duché de Sylva et la délégation du président Farajpour. L'échange de représentations diplomatiques et l'installation d'ambassades a ainsi été officialisée lors des pourparlers. Des facilités pour la délivrance de visas à destination des citoyens faravaniens et taylorais ont également été discutées et seront implémentées dans un avenir proche.

Les fondements d'une collaboration éducative solide ont été établis par la création d'un programme commun d'échange d'étudiants entre les universités des deux nations. Ce programme vise à aller outre les frontières physiques, offrant aux étudiants des opportunités académiques et culturelles uniques dans le but d'élargir leurs horizons. Cette démarche démontre leur engagement envers le développement intellectuel et interculturel de leurs jeunes générations. La création d'un programme commun d'échange d'apprentis et de stagiaires sera également étudié aux plus hauts niveaux, devant aboutir à la formation de plusieurs centaines de jeunes de part et d'autre de l'océan du Deltacruzando. La République faravanienne mettra quant à elle l'accent sur l'approfondissement des échanges dans les domaines de la chimie avancée, de l'ingénierie et de la physique, trois domaines clés pour le futur du pays qui façonneront l'avenir économique.

Un engagement a aussi été pris sur l'élaboration conjointe d'une astromobile (aussi appelé un rover n.d.l.r) dans le cadre de la coopération des programmes d'exploration spatiale. Une entente a été conclue pour la prospection d'intérêts communs dans le domaine de la recherche aéronautique, les deux pays partageant de grandes ambitions dans le domaine. Cette ouverture vers la conquête de la nouvelle frontière laisse présager une revue à la hausse des objectifs dans l'exploration de l'espace et pour le programme faravanien. Une coopération sera également établie sur le développement des énergies renouvelables et notamment solaires.

Des accords ont été signés dans le domaine économique avec à la clés un nouveau client pour le pétrole faravanien. Ces accords prévoient la livraison continue de trente cinq mille barils de pétrole par jour suivant la signature de ce traité. Cette quantité pourra être augmenter par la suite à cent quarante mille barils par jour si le Duché de Sylva en fait la demande. L'accord prévoit la mise en place d'une option concernant un oléoduc destiné à la livraison de produits pétroliers pour la République Démocratique de Péronas. Une disposition de l'accord comprend également l'autorisation accordée aux entreprises du Duché de Sylva de participer activement à l'exploitation des précieuses ressources pétrolières de la République faravanienne. Autre étape audacieuse vers une collaboration plus approfondie est la création d'une entreprise conjointe faravanienne-sylvoise. Dotée d'un financement équitable provenant de fonds publics des deux parties, cette entreprise sera entièrement dédiée à la recherche, à l'exploration et à l'exploitation expérimentale des ressources pétrolières. L'accord ne se limite pas au domaine énergétique, mais favorise également l'expansion des relations commerciales bilatérales. Les deux parties ont convenu d'ouvrir mutuellement leurs marchés aux produits agricoles respectifs. Cette ouverture stimulera les échanges commerciaux et renforcera les liens économiques globaux entre les pays.

Par ailleurs, des centres culturels faravaniens seront établis au Duché de Sylva et il en sera de même pour des centres culturels sylvois qui seront inaugurés en République faravanienne, bénéficiant tous les deux d'un soutien financier à hauteur de vingt pourcents de la part du gouvernement local. Une exposition d'arts communs d'une durée de deux mois sera également organisée entre les deux nations, offrant une fenêtre sur les expressions artistiques de chaque pays. Des échanges de productions artistiques de nature cinématographique, littéraire et autres auront également lieux avec, a terme, un service de traduction créer pour favoriser le partage de ces créations. Ce dernier sera financés à parts égales pour traduire films, romans, bandes dessinés et autres produits médiatiques, artistiques et culturels.

La sécurité internationale est renforcée par la signature d'un pacte de non-agression entre les deux nations, envoyant un message clair de stabilité et de paix dans le monde. La volonté d'une coopération militaire plus étendue s'est manifestée du coté faravanien par l'organisation d'une réunion ultérieure entre les ministres des armées, axée sur l'échange d'expériences et la coordination des forces armées.

Le déplacement du chef d'état et de sa délégation aura durée 72h, le plus long d'Arash Farajpour à ce jour. Les discussions s'étant conclues par un échange de bon procédés, les faravaniens se sont par la suite vu offrir un séjour de visite du Duché de Sylva afin qu'ils puissent se reposer de leur voyage et apprécier la culture de cet état lointain. Le chef de l’Etat a ensuite quitté Bourg des Mahoganys pour rentrer à Bandarhan où il devait accueillir, en tant qu'hôte cette fois-ci, une délégation banairaise. D'autres rencontres sont prévues à son agenda qui se révèle être très chargé. Cette visite s'inscrit dans la continuité de la tournée internationale débutée plus tôt ce mois-ci.

Photo : FNA
7026
EN CONSTRUCTION (je finis demain)

DIPLOMATIE - Nouveau déplacement diplomatique du président Arash Farajpour, destination la capitale provinciale de Ny-Norja, République de Tanska - 06/05/2011



Nouveau déplacement diplomatique du président Arash Farajpour, destination la capitale provinciale de Ny-Norja, République de TanskaLe palais du gouverneur trônant sur la Place de l'Egalité au centre de Ny-Norja - 2011
Le palais du gouverneur trônant sur la Place de l'Egalité au centre de Ny-Norja - 2011


Le cabinet du président de la République a annoncé, le 20 mars 2011, sa rencontre avec la duchesse Alexandra Boisderose, souveraine du Duché de Sylva. Le président Arash Farajpour s'est ainsi rendu en terre sylvoises pour sa deuxième visite diplomatique à l'étranger. Il s'agit également du premier déplacement d'un chef d'état faravanien sur le continent de Paltoterra.

L'avion présidentiel a atterri dans la soirée à l'aéroport international de Bourg des Mahoganys, la capitale sylvoise. Pour accueillir la délégation, les faravaniens furent reçu en grande pompes avant de bénéficier d'un diner avec les officiels du Duché de Sylva. Premier chef d'état faravanien à fouler le sol du Duché, Arash Farajpour a été accueilli par la duchesse Alexandra Boisderose de la monarchie parlementaire paltoterrienne.

Le lendemain, Arash Farajpour a été reçu de nouveau par la duchesse ainsi que par quelques nobles et élus constituant les Hautes-Assemblés sylvoises. Le président à évoqué avoir « de grandes ambitions quant au futur de nos pays », a-t-il annoncé.

Il appuie ainsi l’initiative de la normalisation des relations diplomatiques qui se sont lancées depuis plusieurs mois par le ministère des Affaires étrangères, mené par Dara Sahdavi. Ce rapprochement fait suite à celui effectué récemment dans plusieurs autres nations, dont le Royaume de Teyla. C'est le premier déplacement en date de l'administration du président Farajpour sur le continent de Paltoterra, et du premier déplacement d'un chef d'état faravanien de surcroit. Cette visite concrétise le changement de paradigme effectué par le gouvernement quant aux relations diplomatiques. Ce dernier a ainsi affiché son intérêt pour la recherche de partenariats tout azimuts entre nations démocratiques. Par ce voyage encore jamais entrepris à ce niveau, la République faravienne envoie le message que pour sa diplomatie, aucun continent n'est trop loin, ni aucun océan n'est trop grand.

« (...) Notre pays vous remercie (...) pour votre invitation et pour les avancées historiques que nous avons pu faire ensemble lors de cette rencontre », a lancé Arash Farajpour en concluant le discours qu’il a prononcé lors de la rencontre.

Au cours de cette rencontre, plusieurs accords ont été signés entre les représentants du Duché de Sylva et la délégation du président Farajpour. L'échange de représentations diplomatiques et l'installation d'ambassades a ainsi été officialisée lors des pourparlers. Des facilités pour la délivrance de visas à destination des citoyens faravaniens et taylorais ont également été discutées et seront implémentées dans un avenir proche.

Les fondements d'une collaboration éducative solide ont été établis par la création d'un programme commun d'échange d'étudiants entre les universités des deux nations. Ce programme vise à aller outre les frontières physiques, offrant aux étudiants des opportunités académiques et culturelles uniques dans le but d'élargir leurs horizons. Cette démarche démontre leur engagement envers le développement intellectuel et interculturel de leurs jeunes générations. La création d'un programme commun d'échange d'apprentis et de stagiaires sera également étudié aux plus hauts niveaux, devant aboutir à la formation de plusieurs centaines de jeunes de part et d'autre de l'océan du Deltacruzando. La République faravanienne mettra quant à elle l'accent sur l'approfondissement des échanges dans les domaines de la chimie avancée, de l'ingénierie et de la physique, trois domaines clés pour le futur du pays qui façonneront l'avenir économique.

Un engagement a aussi été pris sur l'élaboration conjointe d'une astromobile (aussi appelé un rover n.d.l.r) dans le cadre de la coopération des programmes d'exploration spatiale. Une entente a été conclue pour la prospection d'intérêts communs dans le domaine de la recherche aéronautique, les deux pays partageant de grandes ambitions dans le domaine. Cette ouverture vers la conquête de la nouvelle frontière laisse présager une revue à la hausse des objectifs dans l'exploration de l'espace et pour le programme faravanien. Une coopération sera également établie sur le développement des énergies renouvelables et notamment solaires.

Des accords ont été signés dans le domaine économique avec à la clés un nouveau client pour le pétrole faravanien. Ces accords prévoient la livraison continue de trente cinq mille barils de pétrole par jour suivant la signature de ce traité. Cette quantité pourra être augmenter par la suite à cent quarante mille barils par jour si le Duché de Sylva en fait la demande. L'accord prévoit la mise en place d'une option concernant un oléoduc destiné à la livraison de produits pétroliers pour la République Démocratique de Péronas. Une disposition de l'accord comprend également l'autorisation accordée aux entreprises du Duché de Sylva de participer activement à l'exploitation des précieuses ressources pétrolières de la République faravanienne. Autre étape audacieuse vers une collaboration plus approfondie est la création d'une entreprise conjointe faravanienne-sylvoise. Dotée d'un financement équitable provenant de fonds publics des deux parties, cette entreprise sera entièrement dédiée à la recherche, à l'exploration et à l'exploitation expérimentale des ressources pétrolières. L'accord ne se limite pas au domaine énergétique, mais favorise également l'expansion des relations commerciales bilatérales. Les deux parties ont convenu d'ouvrir mutuellement leurs marchés aux produits agricoles respectifs. Cette ouverture stimulera les échanges commerciaux et renforcera les liens économiques globaux entre les pays.

Par ailleurs, des centres culturels faravaniens seront établis au Duché de Sylva et il en sera de même pour des centres culturels sylvois qui seront inaugurés en République faravanienne, bénéficiant tous les deux d'un soutien financier à hauteur de vingt pourcents de la part du gouvernement local. Une exposition d'arts communs d'une durée de deux mois sera également organisée entre les deux nations, offrant une fenêtre sur les expressions artistiques de chaque pays. Des échanges de productions artistiques de nature cinématographique, littéraire et autres auront également lieux avec, a terme, un service de traduction créer pour favoriser le partage de ces créations. Ce dernier sera financés à parts égales pour traduire films, romans, bandes dessinés et autres produits médiatiques, artistiques et culturels.

La sécurité internationale est renforcée par la signature d'un pacte de non-agression entre les deux nations, envoyant un message clair de stabilité et de paix dans le monde. La volonté d'une coopération militaire plus étendue s'est manifestée du coté faravanien par l'organisation d'une réunion ultérieure entre les ministres des armées, axée sur l'échange d'expériences et la coordination des forces armées.

Le déplacement du chef d'état et de sa délégation aura durée 72h, le plus long d'Arash Farajpour à ce jour. Les discussions s'étant conclues par un échange de bon procédés, les faravaniens se sont par la suite vu offrir un séjour de visite du Duché de Sylva afin qu'ils puissent se reposer de leur voyage et apprécier la culture de cet état lointain. Le chef de l’Etat a ensuite quitté Bourg des Mahoganys pour rentrer à Bandarhan où il devait accueillir, en tant qu'hôte cette fois-ci, une délégation banairaise. D'autres rencontres sont prévues à son agenda qui se révèle être très chargé. Cette visite s'inscrit dans la continuité de la tournée internationale débutée plus tôt ce mois-ci.

Photo : FNA
5717

INDUSTRIE AERONAUTIQUE - Le Faravan fait décoller l'IAF Stratoliner, son premier avion de ligne fabriqué par les Industries Aéronautiques du Faravan - 19/09/2011



L'IAF Stratoliner, dernier né des <i>Industries Aéronautiques du Faravan</i> et premier avion de ligne faravanien, au décollage de l'aéroport international Bandarhan-Karahbad - 2011
L'IAF Stratoliner, dernier né des Industries Aéronautiques du Faravan et premier avion de ligne faravanien, au décollage de l'aéroport international Bandarhan-Karahbad - 2011

L'IAF Stratoliner, premier avion de ligne entièrement conçu au Faravan, a réalisé avec succès son vol commercial inaugural, marquant ainsi un tournant majeur pour l'industrie aéronautique faravanienne qui aspire depuis longtemps à rivaliser avec ses homologues mondiaux.

Bandarhan nourrit de grandes ambitions pour l'IAF Stratoliner et espère qu'il sera en mesure de rivaliser avec les avions étrangers les plus populaires. Selon le constructeur, les Industries Aéronautiques du Faravan (IAF), à l'avenir, la majorité des passagers pourront choisir de voyager à bord de ces grands appareils de conception nationale.

Un vol inaugural réussi

Le vol FA2542 de Faravan Air, opéré par l'IAF Stratoliner, s'est posé en douceur à l'aéroport international de Bandarhan-Karahbad avec près de 40 minutes d'avance sur l'horaire prévu, aux alentours de 12h30 heure locale (04h30 GMT), comme l'a rapporté le constructeur, les Industries Aéronautiques du Faravan (IAF). Un passager à bord de l'avion a déclaré à FNA que le vol avait été extrêmement fluide, confortable et mémorable, et qu'il s'en souviendrait longtemps.

L'avion a décollé de l'aéroport de Bandar Mashhad dans le sud du pays en fin de matinée, comme l'ont montré les images diffusées par le constructeur, les Industries Aéronautiques du Faravan (IAF). On estime qu'il y avait environ 180 passagers à bord. Avant le décollage, des dizaines de personnes se sont rassemblées à l'aéroport de Bandar Mashhad pour admirer cet avion aux lignes épurées. Une fois à bord, les passagers ont reçu des cartes d'embarquement vertes, blanches et rouges et ont pu profiter d'un luxueux "repas à thème" pour célébrer cet événement historique.

Le Faravan, qui s'efforce de devenir autonome dans le secteur des technologies, a investi massivement dans la production de ce premier avion de ligne faravanien. Bien que l'entreprise des Industries Aéronautiques du Faravan (IAF) soit responsable de la construction de l'aéronef, de nombreuses pièces de l'avion proviennent de différents pays, démontrant ainsi la collaboration internationale dans cette entreprise ambitieuse.

L'IAF Stratoliner, un avion de ligne moderne

L'IAF Stratoliner a franchi une étape importante en réalisant son vol commercial inaugural. Le Faravan aspire désormais à consolider sa position sur la scène mondiale de l'aviation civile et à devenir un acteur majeur de l'industrie aéronautique. Ce succès représente un véritable symbole de la montée en puissance de l'industrie faravanienne dans le domaine de l'aéronautique.

Faravan Air a annoncé que le l'IAF Stratoliner sera mis en service à partir de la semaine prochaine pour les trajets réguliers intérieurs a haute densité, entre Bandarhan et Bandar Mashhad, dans un premier temps. La compagnie a annoncée son intérêt d'introduire progressivement le nouvel avion de ligne sur les routes internationales.

Le premier exemplaire de cet avion à fuselage large, capable de transporter plus de 230 passagers, a été officiellement livré à la compagnie aérienne faravanienne en septembre 2011. Il marque une étape importante dans le développement de l'industrie aéronautique faravanienne. L'Afarée, en particulier le Faravan, est un marché clé pour le constructeur national qu'est les Industries Aéronautiques du Faravan (IAF). Ce dernier cherche à répondre à la demande croissante de voyages aériens émanant d'une classe moyenne en expansion.

Les Industries Aéronautiques du Faravan renforcent leur présence sur le marché

En avril, les Industries Aéronautiques du Faravan (IAF) ont annoncés leur intention de doubler les capacités de production au Faravan. Un accord a également été signé pour la construction d'une deuxième chaîne d'assemblage dédiée au Stratoliner, dans une zone du pays encore gardée sous silence. Le premier site d'assemblage de Bandarhan, ouvert en 2008, produira bientot quatre IAF Stratoliner par mois, mais les Industries Aéronautiques du Faravan (IAF) espèrent augmenter cette cadence à six par mois d'ici la fin de l'année 2012.

La mise en service de l'IAF Stratoliner sur les vols réguliers entre Bandarhan et Bandar Mashhad est une étape significative pour Air Faravan. Cela témoigne de l'engagement du Faravan à développer son industrie aéronautique et à devenir un acteur majeur sur la scène mondiale. La demande croissante de voyages en Afarée offre de nombreuses opportunités aux constructeurs aéronautiques internationaux, qui cherchent à répondre aux besoins de la classe moyenne en plein essor. Avec l'expansion de ses capacités de production au Faravan, les Industries Aéronautiques du Faravan (IAF) renforcent leur présence sur ce marché stratégique et confirment leur engagement envers l'industrie aéronautique faravanienne.

L'Armée de l'Air intéressée par le Stratoliner

Le contrat notifié par le Bureau pour la Recherche et le Développement de l’Armement [BRDA] aux Industries Aéronautiques du Faravan (IAF), fin août 2010, prévoit l’acquisition de dix avions IAF Stratoliner neufs disposant d’un très bon potentiel technique. Ces dix avions rejoindront le nouvellement formé Commandement du Transport Aérien pour assurer la composante transport stratégique des armées. Hossein Atlasi, le major général à l’armée de l'air faravanienne, chargé des acquisitions, de la technologie et de la logistique n'a pas exclu l'acquisition de nouveaux exemplaires pour leur conversion ultérieure en avions de ravitaillement et de transport multi rôles, pour remplir un besoin actuellement fixé à 20 appareils.

Le 1er de ces dix avions vient d’être livré à l’armée de l’Air faravanienne. L’appareil a été convoyé le 27 aout 2011 par un équipage du Bureau pour la Recherche et le Développement de l’Armement [BRDA] vers l'aéroport de Yazpahan pour essais.

La livraison des derniers avions est attendue prochainement.

La flotte des Stratoliner sera exploitée par le Commandement du Transport Aérien à la fin du mois de novembre 2011.

Le dernier avion, qui sortira de la chaîne de production des Industries Aéronautiques du Faravan (IAF) à Bandarhan, sera livré ce trimestre.

Photo : FNA
4316

CULTURE - Concert des musiques traditionelles du Faravan au théâtre de la Salle Impériale de Bandarhan - 02/10/2011



Extrait vidéo du concert des musiques traditionnelles du Faravan. Titre : « Shadi » (La Joie) - 2011

Après l’avoir accueilli avec succès en mars 2011 pour l’opéra « To Bémân Faravan » de sa propre composition (160 artistes sur scène; 1979 spectateurs), la Métropole de Bandarhan invite de nouveau l’Orchestre Symphonique du Faravan à se produire dans la mythique Salle Impériale.

La Métropole accueille ainsi un concert exceptionnel sur les musiques traditionnelles du Faravan du compositeur Arash Fouladvand la semaine du 12 octobre 2011 au Théâtre de la Salle Impériale. Destiné à tous les publics, ce spectacle a pu être proposé à la Métropole grâce au soutien de plusieurs mécènes du territoire: la mairie de Bandarhan, l'Association Culturelle Capitale; le Conservatoire National de la République à Bandarhan et l'association Médias du Faravan.

En soutenant la métropole sur cette opération, les mécènes peuvent ainsi valoriser une action sociétale, porteuse d’image et de notoriété. Ils contribuent au rayonnement et au développement de la culture et du lien social dans la capitale faravanienne, à la dynamisation des échanges culturels et à la promotion de valeurs telles que le partage des savoirs, l'éducation, etc.

Après « To Bémân Faravan » en mars 2011, ce mécénat culturel est une deuxième pour la métropole. Dans un contexte financier restreint, le mécénat permet à l’agglomération de pérenniser une offre culturelle de qualité sur l’agglomération. Ce d’autant que ce partenariat est gagnant-gagnant pour la métropole car l’opération est blanche. La métropole souhaite d’ailleurs faire perdurer cette expérimentation inédite et innovante puisque une cellule mécénat et partenariat a été mise en place en interne depuis septembre 2011.

Directeur générale de l'Orchestre Philharmonique de Paris-Est, Arash Fouladvand est un compositeur reconnu avec une expérience démontrée dans l'industrie de la musique. Qualifié en direction de chorale, harmonisation, éducation musicale, arrangement et composition musicale. Natif du Faravan, son pays, Arash Fouladvand est membre du Conservatoire National de la République à Bandarhan ou il a reçu son éducation musicale dés son plus jeune âge. Il a débuté sa carrière comme Chef de Cœur à la chorale Bahar, spécialisée dans les musiques traditionnelles faravaniennes. Par la suite, il s'est engagé comme Compositeur et Chef d'Orchestre avant de se confirmer comme Chef de Projet dans de nombreuses compositions acclamées par les critiques. Arash Fouladvand est aujourd'hui Directeur générale de l'Orchestre Philharmonique de Bandarhan-Est. Son travail à Orchestre Philharmonique de Bandarhan-Est lui ont fait décerner de nombreux pris et de nombreuses distinctions.

L’Orchestre rend ainsi hommage à l’un des plus grands répertoires de musiques orchestrales de l’histoire du monde. Sous la direction d'Arash Fouladvand, les 80 musiciens de l’orchestre interpréteront des musiques mythiques, populaires et moins connues de l'histoire du Faravan : le programme détaillé est à découvrir sur le site internet du théâtre de la Salle Impériale.

Sur scène :
- Direction : Arash Fouladvand
- Orchestre Symphonique du Faravan.

Les informations pratiques
Concert de musiques musiques traditionnelles du Faravan
Semaine du 12 octobre 2011, 16h00 Théâtre de la Salle Impériale, Bandarhan
Tarifs :
- Plein tarif : 25 euros
- Moins de 25 ans : 10 euros
Réservation:
Billetterie en ligne

Point de vente : Théâtre de la Salle Impériale au numéro de téléphone fournis dans l'annuaire

L'Orchestre Symphonique du Faravan se produit partout dans le pays pour que la musique symphonique soit accessible à tous. En se produisant parfois dans des lieux de concert inhabituels, il peut ainsi répondre aux demandes de toutes les communes qui souhaitent offrir un temps fort culturel à leurs habitants.

L'orchestre touche un large public par un répertoire qui mêle chefs-d’œuvre de la musique symphonique, opéra, musique traditionnelles à des partitions plus rarement données en concert. L'effectif de 75 musiciens permet d'aborder le grand répertoire symphonique. Les chants ancestraux du Faravan, les symphonies impériales ou des œuvres commandées à des compositeurs de notre temps.

Arash Fouladvand propose, à chaque concert, quelques minutes d'explications sur une des œuvres du programme. Par des repères clairs, illustrés musicalement par l'orchestre, il permet à l'auditeur d'entrer naturellement au cœur de la musique. Le concert devient alors une véritable expérience musicale partagée.

Le financement de l’Orchestre Symphonique du Faravan est composé de partenariats publics et avec des entreprises et des particuliers. Grâce au financement privé, les communes qui accueillent l'orchestre, en mettant à disposition leur infrastructure, bénéficient d'une offre culturelle de qualité.

Extrait vidéo : FNA
5734

POLITIQUE - La réforme des Plans Locaux d'Urbanisme est adoptée au parlement - 03/04/2011



Conséquence des nouveaux Plans Locaux d'Urbanisme, la densification des zones urbaines. Ici Bandarhan et ses nouveaux quartiers résidentiels - 2012/b/size/center
Conséquence des nouveaux Plans Locaux d'Urbanisme, la densification des zones urbaines. Ici Bandarhan et ses nouveaux quartiers résidentiels - 2012

Le parlement a finalisé l'adoption de la nouvelle réforme des Plans Locaux d'Urbanisme (PLU) qui vise a densifier les villes faravaniennes. Cette réforme présentée par les ministères du logement, de l'aménagement du territoire et de l'écologie visera principalement à encourager la densification des zones urbaines et périurbaines des villes faravaniennes. Pour ce faire, les PLU devront mettre une place un frein permanent a tout nouveau projet immobilier contribuant à l'étalement urbain de nos villes. Les maires des zones périurbaines seront ainsi restreints dans leurs capacités à délivrer des permis de construire dans des terrains encore non développés. Avec cette réforme, le gouvernement espère contribuer a la densification des zones urbaines afin de favoriser leur accès aux services et réduire leur impact écologie en protégeant les zones naturelles à proximité des zones urbaines. Le ministère de l'écologie souhaite également réduire l'utilisation de la voiture par cette réforme qui devrait rendre les transports en commun plus efficient.

La réforme est passée malgrés une vive opposition des maires et des élus locaux, principalement du bord conservateur, qui ont affiché leur désaccord avec les mesures proposées. L'association des maires a en effet évoqué une réforme profondément injuste qui va accélérer l'exode rural en empêchant les habitants de disposer de leur propre pavillon. Les maires ont prévus de manifester aujourd'hui à Bandarhan par un cortège qui les amènera devant le parlement, ou les débats autour de la réforme sont actuellement en cours. En réponse à l'opposition des maires, le Ministre de l'Aménagement du territoire à répondu que le mode de vie pavillonnaire était "problématique" et qu'il était "nécessaire de s'en détacher".

Les arguments les plus populaires en faveur des villes plus compactes sont généralement environnementaux : soutenir des mesures de densification serait une façon efficace pour les États d’accélérer la réduction des émissions de Gaz a Effets de Serre (GES) sur leur territoire. En effet, les villes étalées, peu denses et compartimentées seraient propices à une consommation individuelle élevée de ressources, d’énergie et d’espaces menant à un niveau élevé d’émissions de GES nationales. Mais à ces arguments environnementaux en faveur de la densification s’ajoute une série d’arguments économiques, que l’on attribue entre autres aux économies d’agglomération. On parle ici des profits et des gains de productivité dont les entreprises, les commerces et les consommateurs bénéficient en étant regroupés dans un même lieu.

D’abord, contrairement à la construction de simples tours à logements sur un terrain aléatoire en périphérie de la ville, le développement de quartiers mixtes de haute qualité contribue à rendre la ville plus attractive auprès de futurs citoyens. Ces derniers sont en effet prêts à payer plus cher pour bénéficier de localisations centrales caractérisées par la qualité des espaces de bureaux, des cafés, des commerces et des services, par exemple. Et cette attraction permet à la ville de bénéficier d’un bassin plus important de contribuables. Ensuite, lorsqu’elle est bien planifiée, la densification suivant une approche axée sur la mixité rend également la ville plus attractive à des entreprises et des commerces de biens et de services spécialisés et de meilleure qualité. Ceci permet à la ville de bénéficier de revenus fiscaux provenant de diverses sources directes (bureaux, commerces) et indirectes (utilisation plus fréquente des services publics). La densification pourrait ainsi faire partie d’un cocktail de solutions au besoin manifesté par de nombreuses villes de trouver de nouvelles sources de revenus. Finalement, comme la majorité de la croissance démographique dans le monde se produira dans les villes de petite et moyenne taille, ces milieux urbains de plus en plus convoités seront un jour inévitablement saturés.

En commençant à mieux organiser et préparer le territoire dès maintenant, les villes éviteront de subir ce flux démographique et pourront plutôt planifier une offre urbaine continue en fonction de la demande sur un horizon de long terme. En d’autres termes, elles bénéficieront de nouvelles opportunités de revenu sur une plus longue période de temps qu’une ville qui aura rapidement atteint son niveau de saturation par manque de planification de l’occupation future du territoire. En étant plus compactes, les villes économisent sur leurs dépenses. Il est certain qu’il est plus facile de construire sur des territoires encore vierges pour les promoteurs immobiliers. Mais pour les villes, ce type de construction implique l’ajout d’infrastructures, d’équipements et de services qu’elles auraient pu épargner en encourageant la densification des espaces déjà desservis par de tels dispositifs.

Avec cette mesure, le gouvernement ne souhaite pas condenser plus de personnes dans un espace plus restreint. Il s’agit plutôt de tirer parti de tout l’espace urbain déjà disponible et de l’utiliser de façon créative et innovante en anticipant les besoins sociaux et économiques ainsi que les préoccupations environnementales à court, moyen et long terme. En devenant plus denses, elles comptent davantage d’entreprises et de commerces qui pourront bénéficier d’un bassin plus large de consommateurs potentiels. Ces entreprises et ces commerces créent à leur tour des emplois pour la main-d’œuvre locale ou en attirent sur leur territoire. Plus d’emplois diversifiés signifient plus de possibilités pour les jeunes aux compétences et aux ambitions variées de trouver du travail à une distance raisonnable de leur domicile, ce qui leur permet de participer activement à l’économie locale. Le cycle se poursuit, puisqu’avec plus de contribuables et d’entreprises sur leur territoire, les villes bénéficient de revenus plus substantiels provenant des taxes pour financer les travaux publics, les infrastructures et les services. Elles deviennent aussi susceptibles de disposer d’un plus large éventail d’offres culturelles, ce qui attire à la fois les touristes et des résidents potentiels.

Photo : FNA
7657
NOTE : CE POST A ETE EDITE PAR ERREUR ET SA VERSION ORIGINALE A ETE PERDUE, MERCI DE NE PAS TENIR COMPTE DE CET ARTICLE


DEFENSE - Les Industries Aéronautiques du Faravan dévoilent le nouvel avion de suppériorité aérienne faravanien, l'IAF « Shafaq » - 01/05/2011




F47renderL'imagage énigmatique postée par les Industries Aéronautiques du Faravan sur leur Immédiagram ce jour - 2011Image déve énigmatique postée par les Industries Aéronautiques du Faravan sur leur Immédiagram ce jour - 2011Image dévoilée ce jour par les <i>Industries Aéronautiques du Faravan</i> du nouvel  avion de suppériorité aérienne IAF « Shafaq » (آذرخش , « aube » en Persan).- 2016L'imagage énigmatique postée par les Industries Aéronautiques du Faravan sur leur Immédiagram ce jour - 2011Image déve énigmatique postée par les Industries Aéronautiques du Faravan sur leur Immédiagram ce jour - 2011Image dévoilée ce jour par les <i>Industries Aéronautiques du Faravan</i> du nouvel  avion de suppériorité aérienne IAF « Shafaq » (آذرخش , « aube » en Persan).- 2016
Image dévoilée ce jour par les Industries Aéronautiques du Faravan du nouvel avion de suppériorité aérienne IAF « Shafaq » (آذرخش , « aube » en Persan).- 2016


Cinq ans après avoir publié une photo énigmatique sur leur compte Immédiagram, les Industries Aéronautiques du Faravan (IAF) révèlent aujourd'hui le chasseur de supériorité aérienne IAF « Shafaq » (آذرخش , « aube » en Persan). L’entreprise aéronautique précise que cet appareil de dernière génération est destiné à répondre au volet « domination aérienne » du programme « Armée de l'Air Nouvelle Génération » [ADANG]. Ce programme avait été dévoilé en septembre 2010 par le major général Hossein Atlasi, chargé des acquisitions, de la technologie et de la logistique pour l’armée de l'air faravanienne. L’IAF « Shafaq » représente le plus grand développement de la puissance aérienne tactique de l'armée de l'air faravanienne depuis de nombreuses années. Pièce maîtresse de l'initiative du développement de la force aérienne nationale, le nouvel avion avec pilote de combat furtif de dixième génération devrait changer à jamais le combat aérien, l'armée de l'air en aurait d’ores et déjà reçu les premiers exemplaires.


L'annonce a été faite en présence du président faravanien Arash Farajpour dans l’Etat Major de l’Armée de l’Air à Bandarhan aujourd'hui, aux côtés du président-directeur général des Industries Aéronautiques du Faravan (IAF), Hamid Faramarzian.


Les montants du contrat de développement et de la fabrication pour l’IAF « Shafaq » n’ont pas été révélés, mais des estimations prévoient plusieurs milliards d’investissements. Chaque exemplaire de l'avion a été estimé à plus de 2 fois le prix de ses équivalents de générations précédentes.


Il convient de rappeler que, si la désignation IAF « Shafaq » est fréquemment utilisée pour désigner l'avion de combat piloté qui vient d’être dévoilé, le programme de renouvellement de l’armée de l’air est une initiative beaucoup plus large. En tant que tel, il comprend le développement d’aéronefs de combat collaboratifs dotés d'un haut degré d'autonomie, ainsi que de nouveaux moteurs à réaction, d'armes, de suites de guerre électronique, de capteurs, d'écosystèmes de mise en réseau, de capacités de gestion de la bataille, et plus encore.


Contrairement aux précédentes compétitions d'avions de combat, le NGAD a été entouré de secret dès le départ. En effet, l'armée de l'air n'a même pas révélé qu’au moins un modèle de démonstrateur avait volé avant sa mise en service. De même, la date précise d’introduction de l’IAF « Shafaq » dans l’inventaire de l’armée de l’air faravanienne n’a pas non plus été révélée. Des officiels se sont contentés de préciser que le type était déjà en service et volait donc actuellement sous les drapeaux faravaniens. Ainsi, au moins un démonstrateur et prototype du Shafaq aurait volé depuis 2011, date à laquelle les Industries Aéronautiques du Faravan (IAF) ont révélées leur implication dans ce programme. L’industriel aéronautique faravanien est également impliquée dans plusieurs autres programmes d’avions de nouvelle génération, notamment un bombardier qui devrait voler prochainement selon nos sources.


L'annonce de l’IAF « Shafaq » de l'armée de l'air intervient à un moment où le pays est en plein effort de développement de ses forces armées, effort d’ailleurs partagé avec ses alliés de l’Organisation des Nations Démocratiques. Néanmoins, le programme de chasseur de nouvelle génération a pu être une importante source d'incertitude par le passé, puisqu'il était déjà question de coûts de production et d’exploitation fortement élevés. En fin de compte, il semble que la nécessité pour l’armée de l’air de disposer d'un chasseur de dernière génération dans le cadre d'un éventuel conflit majeur ait garanti l'avenir du programme.


Envisagé ostensiblement comme le successeur du chasseur IAF « Azarakhsh », l’IAF « Shafaq » a toujours été destiné à fournir des capacités de puissance aérienne suffisantes pour contrer des adversaires proches tels que les forces communistes d’Eurysie. Bien que l'avion de combat reste hautement confidentiel, on suppose généralement qu'il est conçu pour contrer les futurs combats de haut niveau dans la région d’Aleucie et de Paltoterra, en particulier. « Nous avons essayé un grand nombre d'options différentes, et il n'y avait pas d'option plus viable que l’IAF « Shafaq » pour atteindre la supériorité aérienne dans un environnement hautement contesté », a déclaré Hamid Faramarzian.


En tant que tel, l'avion de combat mettra l'accent sur des capacités importantes en termes de rayon d'action et de charge utile, mais il sera également doté d'un grand nombre de caractéristiques et de sous-systèmes exotiques, parmi lesquels la furtivité à large bande, l'électronique avancée et d'autres capacités de guerre « spectrale ». La FNA a déjà examiné en détail le type de performances que l'avion pourrait avoir au final dans l’article de 2011 dédié aux premieres révélations sur l’aéronef faites par les Industries Aéronautiques du Faravan.


Une fois de plus, l'avion de combat IAF « Shafaq » est destiné à fonctionner au sein d'un « écosystème » de combat aérien plus large, dans lequel les drones « effecteurs déportés » (ou loyal-wingmen) joueront un rôle essentiel. L’IAF « Shafaq » a toujours été envisagé pour servir, en partie, de contrôleur de drone avancé et pour opérer en étroite collaboration avec les drones qui l'accompagnent. Reflétant le rôle de combat des effecteurs déportés, l'armée de l'air a récemment investi dans plusieurs programmes de « drones de combat » avec plusieurs modèles eux aussi développés par les Industries Aéronautiques du Faravan.


La seule image dont nous disposons du nouveau design de l’IAF « Shafaq » montre le design d'un point de vue frontal. Bien qu'elle soit limitée dans ce qu'elle montre, certaines caractéristiques majeures sont clairement visibles. Le plan canard en est la plus remarquable.


Dans sa déclaration sur l’IAF « Shafaq », M. Faramarzian a qualifié le nouvel avion de « chasseur le plus avancé, le plus capable et le plus adaptable jamais mis au point, conçu pour surclasser tout adversaire qui pourrait s’y opposer ». M. Faramarzian s’est également exprimé sur le programme de développement et la campagne d'essais en vol liée au chasseur IAF « Shafaq » qui a été menée au cours de ces dernières années, en sous-entendant que plusieurs prototypes avaient possiblement était impliqués, effectuant des centaines d'heures de vol. « Ces avions expérimentaux ont démontré les innovations nécessaires à la maturation des capacités de l’IAF « Shafaq », garantissant que lorsque nous nous sommes engagés à construire cet avion de combat, nous savions que nous misions sur les bonnes technologies », a déclaré M. Faramarzian.


Le chef de l'armée de l'air a également fourni une comparaison intéressante avec IAF « Azarakhsh », son prédécesseur, déclarant que l’IAF « Shafaq » sera « plus adaptable aux menaces futures ». Par ailleurs, l'armée de l'air devrait disposer prochainement d’au moins une escadre du nouvel appareil. A terme, il n’est pas exclu que l’intégralité du parc des avions de supériorité aérienne de l’armée de l’air soit équipé en IAF « Shafaq ». En outre, le nouvel avion de combat aura « un rayon d'action nettement plus long, une furtivité plus avancée, une plus grande durabilité, un meilleur soutien et une plus grande disponibilité que nos avions de combat de précédente génération ». Son déploiement nécessitera également « beaucoup moins de main-d'œuvre et d'infrastructures ».


Photo : Industries Aéronautiques du Faravan
Haut de page