Création de pays : Fédération de Zélandia
Généralités :
Nom officiel : Fédération de Zélandia
Nom courant : Zélandia
Gentilé : Zélandien, Zélandienne
Inspiration culturelle : le Bénélux ainsi que les mouvements libertaires pour le côté politique
Situation Géographique : La Fédération de Zélandia est une république fédérale se situant à la foi dans l'arche au sud de la mer de la Manche-Blanche sur le continent d'Eurysie. La Fédération possède aussi des territoires en Aleucie sur la presqu'île de Nij-Blankenvoorde (Nouvelle-Blankenvoorde en Zélandien), en Paltoterra sur la Gouden Kust (Côte de l'or), à la pointe sud de l'Afarée, dans la Baie de Baai Stêd (Ville de la Baie) et en Nazum, dans la Baie de Nij-Amstergraaf (Nouvelle-Amstergraaf).
Langue(s) officielle(s) : Zélandais, Flamand, Frison
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Aucune, mais les individus immigrants peuvent garder leur langue d'origine, à condition qu'ils apprennent aussi l'une des langues officielles.
Drapeau :
Devise officielle : Frijheid, wolfeart, mienskip ou Liberté, Prospérité, Communauté en français
Hymne officiel :
Monnaie nationale : De Seelânske Pûn ou la livre Zélandienne
Capitale : La capitale politique de la Fédération est la ville de Blankenvoorde. Elle est aussi la ville la plus peuplée. La Fédération a aussi une capitale économique qui est le port de Amstergraaf.
Population : 5,9 millions d'habitants
Superficie : 117 170 km²
Aperçue du pays :
Présentation du pays : La Fédération de Zélandia est une association de communes autonomes les une des autres pour les compétences liées à la politique économique interne, l'industrie, la justice, la police, l'éducation et la défense, assurée par les régiments de Partisans. L'État central lui, voit ses compétences attribuées à la politique étrangère, aux commerces et à la Marine marchande, militaire et civile.
En l'ans 493, le royaume de Zélandia voit le jour par le mariage d'un chef de guerre zélandien : Loadewyk et la fille d'un compte flamand : Linde de Flandre. Ce dernier est formé sur la péninsule orientale au sud de la Manche-Blanche. Jusqu'au XIIe siècle, le royaume s'agrandira par différentes conquêtes et mariages, d'abord au sud, puis vers l'ouest. À partir du XIIe siècle, grâce à son ouverture récente à l'ouest sur l'océan d'Espérance, au nord et à l'est, le royaume de Zélandia devient une plaque tournante dans le commerce entre le nord germanique et le sud latin de l'Eurysie. Cette période de prospérité amenant des souverains de plus en plus désintéressés par la chose politique, ces derniers mettent en place des séries de décrets privatisants l'économie et le commerce afin de diminuer leur charge de travail et de mieux se concentrer sur les futilités de cour. Ces décrets permettront à des entrepreneurs zélandiens de faire fortune en affrétant leurs flottes ou compagnies de mercenaire aux nations environnantes. Au XVe siècle, lors de la découverte de l'Aleucie, les grandes familles bourgeoises héritières des premiers entrepreneurs maritimes se réunissent en deux compagnie de commerce : la Western Zealand Nazum Company (W.Z.N.C.) ou Compagnie Zélandienne du Nazum Occidental et la Seelân Nazum Oriental Company (S.N.O.C.) ou Compagnie Zélandienne du Nazum Oriental (on pensait alors que l'Aleucie n'existait pas et qu'il s'agissait du même continent de Nazum). Ces deux compagnies organisèrent alors des expéditions afin d'explorer ces nouvelles terres et d'en acheter des parts aux populations indigènes s'ils y en a, ou de les réclamer aux noms des compagnie et de la couronne. Ces colonies furent rapidement peuplés par les marins et leurs familles, ainsi que par tous ceux qui rêvaient d'y faire fortune. Elles (les colonies) firent aussi la richesse de la métropole.
Au XVIe siècle, les souverains zélandiens eurent un regain d'intérêt pour les affaires politiques et commencèrent à déconstruire les décrets privatisants l'économie et le commerce fais par leurs prédécesseurs. En effet, la richesse des colonies, en particulier celle de la Côte de l'or du Paltoterra, permit de financer beaucoup des activités de la cour, au détriment de la population métropolitaine. Pour faire face à cette nationalisation, cinq famille de la noblesse, aidées par les deux compagnies que sont la W.Z.N.C. et la S.N.O.C., renversèrent la famille royale régnante, la rétrogradant au même niveau qu'une famille noble lambda et fondèrent l'Alliance de Zélandia.
C'est ainsi que l'Alliance vit le jour grâce à ces grandes familles de la noblesse zélandiennes qui avaient renversées l'ancien Royaume de Zélandia. Les Cinq Maisons noble fondatrices de l'Alliance possédaient toutes les compétences politiques, économiques et militaires citées ci-dessus, seulement pour la métropole. En effet, les Cinq Grands rétablirent les anciens décrets accordant l'autonomie au entreprises mais seulement pour les deux principales compagnies et leurs colonies. Mais les intérêts de chaque nobles ne concordants pas entre-eux, cela amena à une grande instabilité qui affaiblit l'Alliance sur la scène internationale.
Sept ans après la création de l'Alliance, la S.N.O.C., qui avait par ailleurs rachetée sa rivale et s'était renommée la Seelân Overseas Trade Company (S.O.T.C.) ou Compagnie Zélandienne pour le Commerce des Outres-Mers renversa les dirigeants issus de la noblesse et fondèrent la Fédération comme elle l'est de nos jours. En écrivant la constitution, les directeurs de la S.O.T.C. prirent comme exemple le fonctionnement décentralisé des colonies, autonome les unes des autres et donnèrent plusieurs compétences à des communes, qui correspondent aux grandes villes et à des communautés qui sont un ensemble de plusieurs petites villes et villages. Par ailleurs, les colonies devinrent aussi des communes ou communauté, selon la taille des agglomérations s'y trouvant égalent à celles de métropoles. Cela permit d'assurer à chaque citoyen un pouvoir politique égal les uns aux autres et donc une prospérité économique pour chacun. D'ailleurs, les taux de pauvretés et de chômages sont bas dû à la solidarité des citoyens entres-eux grâce à leur proximité au sein de petite entité politique, ces derniers acceptant de s'entraider.
Quand aux populations indigènes, lors de la colonisation, les zélandiens cherchant des partenaires commerciaux traitèrent d'égal à égal avec les indigènes. Ces derniers, devenant de plus en plus dépendants aux produits zélandiens s'imprégnèrent rapidement du mode de vie des nouveaux arrivants, leur permettant de bien s'intégrer aux colonies, et de devenir des citoyens égaux aux colons lors de la création de la Fédération.
Mentalité de la population : De par leur rapprochement à la mer à cause de la dispersion de leur territoire, les Zélandiens sont dans l'ensemble des individus épris de liberté, individuelle ou politique et économique. Bien que pas très actifs sur la scènes internationales, ce sont d'ardents défenseurs de la liberté de navigation, cette même liberté qui leur a permis d'entreprendre de nombreuses explorations autour du globe ainsi que de nombreuses découvertes scientifiques et technologiques. Ces voyages leurs ont aussi fait découvrir de nouvelles cultures, leurs donnant une grande ouverture d'esprit, faisant de la Fédération de Zélandia une terre d'accueil pour les émigrés du monde entier ou les personnes rêvant de faire fortune à condition que l'effort soit fait des deux côtés, et que les nouveaux arrivants s'intègrent un minimum. Les Zélendiens se ferment rapidement à ceux n'ayant pas la même ouverture d'esprit qu'eux.
Place de la religion dans l'État et la société : À la fondation du Royaume de Zélandia, les premiers rois ont tout de suite accordés la liberté de conscience à leurs sujets afin d'éviter des troubles entre différentes confessions et de favoriser le vivre ensemble et la productivité. Quand l'Alliance vit le jour, les Cinq grands décidèrent de la séparation des Églises et de l'État afin d'éviter que les principaux dogmes, qui étaient royalistes, ne les renversent à leur tour en prenant trop d'influence. Et quand la Fédération vit à son tour le jour, ceux que l'on appel les "Seconds Père Fondateurs" -les premiers étant les nobles- prirent, afin de limiter encore plus l'influence des différentes Églises, la décision d'interdire tous les cultes sans exceptions. Cela permit donc de faire main basse sur la fortune des Église, en termes monétaire, foncier et culturel et de donner aux femmes les mêmes droit que les hommes, puisqu'il n'y avait plus de dogme pour assurer qu'un sexe était plus faible ou fort que l'autre. Dans la société, cela se traduisit naturellement par une ouverture d'esprit encore plus poussée.
Politique et institutions :
Institutions politiques : La Fédération de Zélandia est constituée de plusieurs communes et communautés fonctionnant comme une démocratie directe, dans laquelle la voix de chaque citoyens compte, homme comme femme. Les décisions sont prisent à la majorité absolue obligeant chacun à aller défendre son idée jusqu'au bout en s'exprimant bien.
Quand au gouvernent central, se dernier est composé de cinq secrétaires plus un secrétaire général président le gouvernement et représentant la nation, chacun élus pour cinq ans. Chaque candidats au poste de secrétaire se présente à l'élection d'un secrétariat. Il en existe donc cinq : les Affaires Étrangères, l'Économie et l'Industrie, l'Innovation et la Recherche, le Commerce extérieur et enfin la Marine qui comprend le Corps Expéditionnaire qui est l'armée extérieure de la Fédération ainsi que la Marine Civile et la Marine Marchande.
Principaux personnages :
Politique internationale : La Fédération de Zélandia est un État neutre et assez fermé en terme de relation diplomatique bilatérale. En revanche, la Fédération fera tout ce qui est en son pouvoir afin de défendre la liberté de navigation et le commerce mondiale. Appuyée par une Marine marchande composé de toute les flottes des compagnies de commerce forte de bâtiments de toutes sortes, petits mais bien armés et rapides à produire ou réparés, la Fédération n'hésitera pas à intervenir dans des conflits afin de porter assistance aux civils et entreprises dans des théâtres d'opérations dangereux ainsi qu'à protéger les bâtiments de commerces neutres peut important leur pavillons. De plus, cette dernière [la Fédération] engage régulièrement des "Opérations de nettoyage" anti-piraterie dans toutes les mers du globes.
Il est tout aussi important de préciser, qu'en temps de paix, les navires et leur équipage sont autonomes vis-à-vis de leur secrétariat et viennent régulièrement d'eux-même, prêter main forte aux navires ou aux populations côtières en difficultés, même si cela nécessite d'ouvrir le feu au besoin.