29/03/2015
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Fiche Pays

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Création de pays : REPUBLIQUE FEDERALE DE TANSKA


Généralités :



Nom officiel : République fédérale de Tanska
Nom courant : Tanska
Gentilé : Tanskien (masculin) et Tanskienne (féminin)

Inspirations culturelles : Nordiques avant tout.
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : Islandais
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Danois, Finnois

Drapeau :
Drapeau

Armoiries
Armoirie

Devise officielle : Frihet, Hav og Fred (Liberté, Mer et Paix)

Hymne officiel : Den Trape Landsoldat (Le brave soldat de la Patrie)

Monnaie nationale : Le Stykki

Capitale : Norja

Population : Environ 22 000 000 d'habitants


Aperçu du pays :



Présentation du pays :
La République Fédérale de Tanska, Tanska ou "RFT" est une république parlementaire sociale constituée de 7 régions et provinces constitutives de la fédération.
La capitale, Norja, est située en Eurysie et forme l'entrée du golfe en faisant face à l'Empire Démocratique latin Franciscquien. Toutefois, 3 provinces sont ultra-marines et plus ou moins éloignées de la Métropole.

On compte ainsi :
- La province d'Halvø, de la ville du même nom, voisine d'Upson. Elle fut la première province ultra-marine fondée. (La Métropole est au sud sur la présente carte).
Métropole et province d'Halvø

- la province d'Etelämanner sur l'Aleucie, centrée autour du port en eau profonde de Järvi.
province d'Etelämanner

- la province de Kýli sur l'isthme reliant le continent Eurysien à Afarée. Sa capitale administrative est Ny-Norja.
province de Kýli

Vieille république marchande, Tanska est aujourd'hui un pays fédéral densément peuplé en dépit de sa taille à l'agriculture impressionnante et diversifiée. Tourné vers la mer, la petite cité maritime de Norja aux multiples canaux et marais asséchés s'est étendue à parti de la période médiévale grâce au commerce des denrées du continent en profitant de sa position géographique avantageuse. Une ouverture qui permet de compenser l'absence quantitatives de ressources importantes à l'époque comme le fer ou les forêts coupées pour les navires. Aujourd'hui, c'est bien différent. La population, dont près de 16m sont en métropole sur les 22 que compte le pays, est avant tout urbaine. Le reste est couvert de forêts et de champs tout en étant parsemés de villages pittoresques, agricoles. Et de rail. Beaucoup, de rail. Reliant les principales villes et surtout la capitale, ils permettent le transport des marchandises des terres vers le Grand Port de Tanska, et du port vers ces dites terres.

Par le passé, notamment au cours des révoltes méridionales (période d'intégration des terres les plus au sud sur le continent au cours desquelles des révoltes eurent lieu), ces rails permirent entre autres les déplacements rapides des biens, des véhicules et des hommes.

Mais plus qu'un (petit) pays de train, Tanska est une nation maritime. Ce sont ces ports qui lui ont apportés des marchandises, des biens, des hommes, des maladies parfois, mais qui ont aussi permit l'export aussi bien de biens étranges, du luxe Norjien que des colons. En effet, inutile de le préciser, Tanska fut un empire colonial à partir du XVIIe mais surtout du XIXe siècle. A petit pays grandes colonies ? Pas réellement. Contrairement par exemple à la Sérénissime République de Fortuna, les possesssions ne furent longtemps que de simples comptoirs. Au XIXe, ils s'étendirent sur quelques terres mais le tout ne reste que limité géographiquement. Cela s'illustre par la proportion des territoires : 34 005 km^2 pour la métropole, 92 484km^2 pour ce qui forment désormais les provinces extra-marines.

Aux lacunes minières et démographiques que traversait la métropole, les colonies apportèrent des réponses et permirent cette densification et ce développement. Souvent à leur dépit. Si aujourd'hui la situation s'est quelque peu résorbée, au tournant du XXe siècle, les écarts étaient immenses. Au racisme d'alors se mêlait des différences de richesses et de citoyenneté. Mais depuis les mouvements indépendantistes du XXe siècle, Tanska s'est réformée. Au code indigéniste, ou code "Järvi", car d'abord promulgué dans cette cité, la citoyenneté pour tous a progressivement été implantée à partir de 1945 avec la fédéralisation du pays. A ce jour, tous citoyens ont un droit de vote similaire aux institutions qu'ils possèdent en leur territoire, en plus des institutions fédérales.

Néanmoins, les changements ne sont pas complet. La fédéralisation de 1945 visait aussi à empêcher les indépendances. Cela se ressent en particulier dans les forces armées. Si la Métropole ne dispose pas de forces permanentes au delà de la Garde Républicaine et de la Flotte Océanique, chaque province possède une "force provinciale" ainsi qu'une ou deux escadres de combat. S'y ajoute, selon les régions, des légions étrangères. Aujourd'hui Sociétés Militaires Privées, elles servaient autrefois à maintenir l'ordre sans avoir à recourir à des citoyens. Nous y reviendrons plus tard.

Démographiquement, la population est ainsi relativement variée bien que s'étant massivement unifiée avec le temps. Issue de mouvements migratoires - ou d'invasions selon les historiens - du Nord, Tanska est ethniquement plus proche d'Uusimaa et de Finnevalta que de l'Empire Ambarois. Les provinces ultra-marines sont désormais majoritairement - du moins selon l'Etat central et cela justifiait l'absence d'indépendance - Tanskienne plus qu'indigènes aux territoires concernés.



Mentalité de la population :
La population Tanskienne est diverse de part sa composition mais elle n'en reste pas moins fidèle à ses institutions fédérales, hasardeuses face à toute tentative de centralisation. Elle est tournée vers la mer malgré une agriculture importante. L'éducation pratique y a une place importante en particulier dans les territoires ultra-marins où le service militaire (légion étrangère ou Marine Républicaine) est très prisé. Il permet un accès à une éducation supérieur et à une reconnaissance sociale importante. Si en métropole c'est le travail du luxe et du commerce qui est important, l'accroissement des richesses fait naître une éducation "théorique" plus importante tournée avant tout vers les domaines juridiques et de haute technologie. Peu industrialisé en général, le pays n'en reste pas moins un centre de développement de technologies d'importances.

Le sentiment national est, en dépit des écarts, majoritaire et grandissant depuis les réformes et concentre une partie importante de l'éducation citoyenne.

Place de la religion dans l'État et la société :
Les diversités culturelles et ethniques ont amenées à des variétés religieuses considérables. Bien que longtemps Etat religieux catholique en partie représsif, la républicanisation (survenue au XVIIIe siècle) puis la fédéralisation ont amenées à un accroissement de l'athéisme. En 1945, le pays s'est officiellement séparée de l'Eglise de Volignon comme religion d'Etat et prône la Laïcité. En ce sens, la religion est en importante perte de vitesse sur l'ensemble des territoires.


Politique et institutions :



Institutions politiques :
La Présidence : Rôle symbolique. Elu par le Congrès Fédéral à la majorité absolu pour 6 ans il est le Chef d'Etat et le garant de l'intégrité de la Fédération. Si il ne dispose ni du pouvoir législatif ni du pouvoir exécutif, il signe toutefois les traités, les entrées en guerre et est le seul à même de proposer des référendum.

Précision d'importance : bien qu'étant un Etat fédéral, la loi n'en reste pas moins unifiée pour ce qui relève des droits, devoirs et des crimes. La peine de mort a été abolie en 1945. Les lois fédérales concernent les délits et infractions avant tout.

Premier Ministre : Chef du gouvernement. Nommé par le Président (parmi les députés du parti ayant le plus de sièges), il est obligatoirement confirmé par le Congrès Fédéral pour 6 ans après les élections législatives. Il peut être démit de ses fonctions par ce même Congrès.

Congrès Fédéral : Composé de 401 députés (151 Métropole, 75 par province). Scrutin uninominal majoritaire à deux tours. Les députés sont élus pour 6 ans. Le Congrès fédéral est chargé de gérer les politiques fédérales et constitue donc le gouvernement fédéral. Il vote les budgets et impôts fédéraux, gère les armées fédérales sans décider de ses engagements (en théorie, en pratique il propose au président qui valide après vote), l'éducation supérieure, les projets, le Plan Social.

Parlement Provinciaux : Ils sont 3. Un par province, en activité depuis 1945. Dispose d'un président de Parlement ainsi que d'un gouvernement réduit. Composé de 99 députés provinciaux chacun, ils sont eux élus au suffrage indirect par les élus locaux. Ils gèrent l'éducation primaire et secondaire, les infrastructures de transports terrestres ainsi que les anciennes légions étrangères provinciales devenues Sociétés Militaires Privées. Si le Parlement fédéral dispose d'un droit de regard pouvant bloquer un déploiement, il ne peut pas en forcer un. Les SMPs n'ont aucun droit de déploiement sur les territoires d'autres provinces ni ne peuvent désormais plus être utilisées sur un quelconque territoire national.

Parlement Central : Composé de 199 députés, il concerne la Métropole et ses 4 régions. Dispose aussi d'un président de Parlement (appelé Premier Prince, ancien nom usuel), et d'un gouvernement réduit. En activité depuis le 6 juillet 1775 (date de la Républicanisation), il traite des infrastructures terrestres de la métropole ainsi que de l'éducation et des gestions usuelles. Néanmoins, du fait de la proportion de la population majoritaire en métropole, certains droits anciens n'ont pu être transférées au Congrès Fédéral. Ainsi, le Parlement Central gère les connexions à la Métropole, et donc les infrastructures portuaires ainsi que les forces navales côtières. La Marine de haute Mer est, elle, sous le contrôle du Gouvernement et donc du Congrès Fédéral.

La Cour Sociale : Composée des Présidents de Parlement de première et deuxième génération, c'est-à-dire de ceux issus des deux précédentes élections ayant amenés à la nomination d'un nouveau président de province, il vérifie que chaque loi n'affecte pas l'Egalité fédérale (favorisant une province ou région sur une autre), ne porte pas atteinte aux droits fédéraux. En cela, il est garant de la Constitution.

Principaux personnages :
Jaka Lakkas, première Ministre du Parti Fédéral (à la tête du Congrès fédéral depuis 1945)
Guoni Skaugum, actuel Président de la République.
Harald Nordmsan, Chef d'Etat Major de la Marine Tanskienne

Politique internationale :
République démocratique sociale avant tout, la Politique internationale de la RFT se résume avant tout par une volonté de faire respecter les normes internationales, les souverainetés nationales mais aussi les droits de l'Homme. Un débat juridique de longue date est toujours en cours au sein du pays pour savoir si les Droits de l'Homme priment sur les souverainetés nationales. De fait, par l'action des Parlements, une action non nationale usant des SMPs nationale est de plus en plus envisagée dans des buts humanitaires et humanistes.
Sa politique vise aussi à assurer la sureté du commerce et des mers, et donc la participation, si nécessaire, à de la lutte contre la piraterie et à la sécurité maritime internationale.
République sociale, ses intérêts vont aussi avec d'autres pays soutenant les mêmes objectifs sans pour autant s'interdire toute forme de discussion avec des états moins démocratiques voir autoritaires. L'agenda politique ne vise pas à un accroissement des territoires mais à une sauvegarde de ceux-ci et de leur prospérité. Ainsi, la puissance navale représente une part importante de l'image que souhaite renvoyer le pays tandis que l'industrie de pointe (bien que faible) et le luxe représentent une part du "soft power" qui est aussi, évidemment, transmis par cette question des Droits de l'Homme et de la Démocratie.
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